Conférence intitulée «Le français dans les Organisations internationales le défi du multilinguisme»
|
|
- Nicolas St-Georges
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conférence intitulée «Le français dans les Organisations internationales le défi du multilinguisme» Discours de Son Excellence Monsieur Abdou DIOUF Secrétaire général de la Francophonie Grand-Duché de Luxembourg, 25 octobre 2007 Seul le texte prononcé fait foi
2 Isocrate disait : «Prends la parole dans deux circonstances : ou quand il s agit de choses que tu sais parfaitement, ou quand la nécessité l exige.» Je ne me sens, aujourd hui, parmi vous, ni omniscient, ni contraint. Je suis tout simplement heureux de pouvoir partager avec vous un certain nombre de réflexions sur une problématique essentielle à laquelle votre Association - Monsieur le Président - porte un intérêt tout particulier: je veux parler, bien sûr, de la place de la langue française dans les organisations internationales, et singulièrement, en ce qui vous concerne, au sein des nombreuses institutions qu abrite le Grand Duché de Luxembourg. A cet égard, la beauté du site dans lequel nous nous trouvons, son histoire, et plus particulièrement les événements douloureux dont il fut le témoin en d autres temps, mais aussi la métamorphose qu il sut s imposer pour devenir ce lieu d ouverture, de partage intellectuel, de dialogue entre les cultures, nous invite à l humilité et à la persévérance. L humilité dont nous devons faire preuve, au regard des périodes les plus sombres de l Histoire, qui sont là pour nous rappeler que le chemin sur la voie de la démocratie, des droits, des libertés et de la paix est un chemin difficile, un chemin accidenté, fait d avancées et parfois de régressions brutales, mais qui, en dernier ressort, donne toute sa raison d être à la persévérance, seule à même de rendre l impossible possible, le possible probable et le probable réalisé. Et j ai la conviction que nous traversons une période de notre Histoire où le futur de tous les possibles est encore ouvert. Si j ai choisi de vous parler du plurilinguisme dans les organisations internationales, c est parce qu il s agit là d une dimension essentielle de ce défi majeur pour l avenir que constitue, en cette ère de mondialisation, la protection et la promotion de la diversité culturelle. Et je voudrais, d entrée de jeu, dissiper un malentendu. L inscription de la diversité culturelle et linguistique au rang des priorités de l Organisation internationale de la Francophonie ne saurait être interprétée comme un alibi pour masquer une unique obsession : la défense exclusive de la langue française. En défendant le français, nous entendons, plus largement, défendre le rayonnement de toutes les langues. J en veux pour preuve, les actions que nous menons, au sein de l espace francophone, en faveur des langues partenaires de nos pays membres. J en veux pour preuve les alliances étroites que nous avons nouées depuis quelques années, à l échelle internationale, avec les autres grandes aires linguistiques que sont la Lusophonie, l Hispanophonie, l Arabophonie, ou le Commonwealth. J en veux pour preuve, enfin, le rôle déterminant qu a joué notre organisation en faveur de l adoption, à l Unesco, de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. 2
3 Cela posé, je n ai pas la prétention, ici, de vous éclairer sur la place du français dans les organisations internationales, parce que vous êtes, de loin, les mieux placés pour dire la réalité et les pratiques linguistiques des institutions dans lesquelles vous évoluez. Je souhaiterais, bien plutôt, vous faire part des motivations qui nous animent, des actions que nous déployons, des attentes que nous nourrissons dans le combat que nous menons en faveur de la diversité linguistique. Au rang de ces motivations, j évoquerais, tout d abord, la conviction qu une langue ne saurait être réduite à sa fonction de communication entre les hommes. Permettez-moi d illustrer concrètement ce que d aucuns considèrent comme une évidence, sans pour autant en tirer les conséquences qui s imposent. Un chercheur en psychologie du langage a mis à jour que, dans les quelque langues encore parlées aujourd hui, seuls 300 mots avaient exactement le même sens, parmi lesquels : Je, tu, nous, un, deux, grand, petit, homme, femme, manger, voir, entendre, soleil, lune, étoile, terre, eau, feu, blanc, noir,.. On peut dire, en quelque sorte, que dans ces 300 mots s exprime le plus petit dénominateur commun de l humanité, et pourquoi pas, du même coup, la solution à nos interrogations sur le bien fondé du plurilinguisme. Il suffirait, après tout, de limiter nos échanges aux réalités essentiellement concrètes - contenues dans ces 300 mots, d autant plus que l on aurait vite fait de les traduire en toutes les langues, et d atteindre enfin à la communication universelle. Plus sérieusement, nous avons là l illustration du fait qu une langue est aussi et surtout l expression d une culture, de modes de vie, de valeurs, de traditions, de croyances, et qu elle véhicule par là-même une certaine représentation du monde. Nous devons, dès lors, en mesurer toutes les conséquences. La conséquence, tout d abord, que plurilinguisme et multiculturalisme sont interdépendants, et que la disparition du premier ne pourrait qu entraîner, à terme, la disparition du second, avec le risque de voir s exacerber les revendications identitaires. La conséquence, ensuite, de voir les langues perdre leur fonctionnalité dans certains champs essentiels de l activité humaine: relations interétatiques, recherche, commerce, finances, enseignement supérieur. En d autres termes, nous courons le risque de voir s instaurer, à l échelle mondiale, une partition hiérarchisée des rôles et des fonctions des langues. D un côté, une hyper langue largement imposée par l hyper puissance - à laquelle il reviendrait de concevoir et de diffuser les transformations, les innovations, les normes et les valeurs du monde. De l autre, des langues indigènes, figées, ghettoïsées, vouées à ne plus exprimer que la réalité environnante, la mémoire, les traditions locales, le folklore. Enfin, vouloir imposer à des peuples l emploi d une langue dans laquelle ils ne sauraient culturellement s identifier, c est porter atteinte à leur intégrité et à leur génie propre. 3
4 Dans le même ordre d idées, vouloir imposer à des chercheurs, à des diplomates, à des hommes d affaires l emploi d une langue qu ils ne maîtrisent pas totalement, c est les contraindre à plier leur pensée à la langue, et non plus la langue à leur pensée. Le problème ne se pose donc pas seulement en termes d identité, il se pose également en termes de droit. Et je le dis clairement, le respect de ce droit imprescriptible de l Homme à être luimême, le respect de la pluralité des cultures et des langues qui les sous-tendent, sont indissociables de l avènement d une démocratie mondiale, d un monde véritablement multipolaire, seul à même de nous préserver d un retour des grands clivages raciaux, religieux, idéologiques du passé, d un affrontement entre les civilisations. Préserver, respecter, aménager la diversité et la pluralité est donc le devoir de chacun et de tous : des organisations internationales, des États, des individus! Car nous sommes tous bien conscients que malgré les textes, les directives, le statut juridique dont jouit, en théorie, telle ou telle langue dans les institutions internationales, la pratique quotidienne consacre, chaque année un peu plus, la tendance au monolinguisme. A cet égard, je crois que l Union européenne a un rôle symbolique important à jouer aux yeux du reste du monde, et qu elle aurait beaucoup à perdre à succomber aux sirènes d une langue unique. Elle se priverait de ce supplément d âme que constitue la diversité des cultures et des langues qu elle recèle, et qui contribuerait à accroître, tout à la fois, sa force, sa légitimité, son originalité. «La langue de l Europe, disait Umberto Eco, c est la traduction». J entends, ici, les difficultés techniques, l urgence, les coûts de traduction que l on nous oppose régulièrement. Faut-il renoncer à un principe au seul motif qu on rencontre des difficultés dans sa mise en application? Ce serait ouvrir une brèche dangereuse. Peut-être faut-il dire, aussi, qu entre la babélisation à outrance et le recours à une langue unique, s offre à nous la solution, certes imparfaite, mais déjà plus satisfaisante, de l utilisation de quelques grandes langues de communication. Si l Union européenne continue donc à vivre comme une contrainte la diversité des langues dans le fonctionnement de ses institutions, elle éprouvera la plus grande difficulté à la promouvoir dans la mise en œuvre de la politique ambitieuse dont elle s est, par ailleurs, dotée, avec la nomination, notamment, d un Commissaire au multilinguisme. C est consciente de cet enjeu, consciente de la force d influence que peuvent constituer les 14 États qui sont à la fois membres de l OIF et de l Union européenne - notamment depuis l élargissement à l Est pratiqué par nos deux institutions - que la Francophonie, avec l aide du Luxembourg, de la Communauté française de Belgique, de la France, a mis en place un plan d action spécifique. 4
5 Notre objectif, est d aider les États de l Union à former leurs experts au et en français, tant dans les représentations permanentes et les missions auprès de l Union européenne à Bruxelles, que dans les administrations centrales et territoriales de ces pays, ou qu au sein des Ecoles nationales d administration et des Instituts diplomatiques bénéficiaires sont, chaque année, concernés par ce programme. Nous avons, de la même façon, vocation à veiller à la place du français, dans toutes les grandes organisations internationales, qu il s agisse de l ONU ou des organisations régionales, africaines notamment. Qu il s agisse aussi du mouvement olympique et des fédérations sportives internationales. C est tout le sens de la désignation d un Grand Témoin de la Francophonie aux Jeux olympiques. C est tout le sens, aussi, de la Cellule d observation de l'usage du français dans le monde que nous avons créée, et qui devrait nous permettre de suivre avec précision l'évolution de l'usage de notre langue sur la scène internationale. Car, dans toutes ces instances internationales, nous serions en droit de penser que le poids numérique de nos États membres peut constituer un gage de vitalité pour la langue que nous avons en partage. Mais il y a parfois loin de la réalité à la pratique. C est ainsi que lors de la dernière Assemblée générale des Nations unies, le mois dernier, à New York, sur les 68 États membres ou observateurs de la Francophonie qui se sont exprimés au plus haut niveau, 28 seulement l ont fait totalement ou partiellement en français. C est dire que la pratique du plurilinguisme au sein des organisations internationales dépend, aussi, grandement de la volonté politique des États à s engager dans cette voie. A cet égard, nous attendons beaucoup du vade-mecum que les chefs d État et de gouvernement ont adopté lors du dernier Sommet de la Francophonie à Bucarest. Par ce texte, ils s engagent, en effet, à utiliser le français dans les organisations internationales aussi souvent que possible, sans pour autant se priver de l usage de leur propre langue lorsque cette dernière jouit d un statut de langue officielle ou de travail. Ils s engagent, par ailleurs, à défendre, y compris par la revendication et la protestation, le statut de langue officielle et de travail de notre langue commune dans ces mêmes organisations. Il revient désormais, à chacun de nos États membres de prendre les mesures appropriées pour une mise en œuvre effective de ce vade-mecum, si nous ne voulons pas en rester au niveau des déclarations d intention. J ajouterai, aussitôt, que ces mesures même ne suffiront pas si chacun, dans son for intérieur, n est pas convaincu du bien fondé de cette démarche. 5
6 On me rapportait voilà quelques jours le cas d un diplomate qui, s apprêtant à s exprimer dans sa langue maternelle lors d une réunion, a jugé nécessaire de présenter ses excuses à ses collègues, en invoquant les instructions données en ce sens par son gouvernement. Entendons-nous bien! Il ne s agit pas dans notre esprit de récuser le plurilinguisme individuel. Nous avons tous intérêt, surtout pour les jeunes générations, à encourager l apprentissage et la pratique de plusieurs langues. Mais comprendre la langue des autres n implique pas de s exprimer systématiquement dans la langue des autres. Bien plus! Les travaux actuellement menés sur l intercompréhension linguistique pourraient nous ouvrir des perspectives nouvelles. Pour l heure, il est de mon devoir, en tant que Secrétaire général de la Francophonie, de dire à certains dirigeants, à certains hauts responsables politiques ou économiques, à certains scientifiques, dont le français est la langue maternelle, et qui choisissent de s exprimer dans une langue qui n est pas la leur, lorsque même rien ni personne ne les y oblige, au nom de la modernité, du progrès, du libéralisme, parfois - il faut bien le reconnaître - au nom d un certain snobisme, il est de mon devoir de leur dire qu ils contribuent, par leur comportement, à l émergence d une élite d un nouveau type, une élite linguistique, qu il contribuent à l émergence d une fracture d un nouveau type dont les lignes épousent malheureusement la plupart du temps d autres fractures cumulées par certains pays, une fracture entre les riches en langues et les pauvres en langues, condamnés, à ne pas comprendre les documents de travail qui leur sont soumis, condamnés à ne pas prendre la parole, parce que conscients de ne pas maîtriser une langue qu on continue à leur imposer. Au moment de conclure, j aimerais livrer à votre réflexion la citation qui suit: «Quelle serait une société universelle qui n aurait point de pays particulier? Qui ne serait ni française, ni anglaise, ni allemande, ni espagnole, ni portugaise, ni italienne, ni russe, ni tartare, ni turque, ni persane, ni indienne, ni chinoise, ni américaine, ou plutôt qui serait toutes ces sociétés à la fois? Qu en résulterait-il pour ses mœurs, ses sciences, ses arts, sa poésie? De la fusion des sociétés résultera-t-il un idiome universel ou bien y aura-t-il un dialecte de transaction servant à l usage journalier, tandis que chaque nation parlerait sa propre langue, ou bien des langues diverses seraient-elles entendues de tous? Comment trouver place sur une terre agrandie par la puissance d ubiquité, et rétrécie par les proportions d un globe souillé partout? Il ne resterait plus qu à demander à la science les moyens de changer la planète.» Ces phrases ont été publiées en On les doit à Chateaubriand dans Les Mémoires d Outre-Tombe. Le temps est venu, pour nous, de répondre à ces interrogations prémonitoires. Le temps est venu, surtout, de nous mobiliser et de nous organiser pour que ces réponses contribuent à l émergence d un monde dans lequel tous les peuples et toutes les nations pourront s identifier et se rencontrer. Je vous remercie. 6
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailConvention sur la réduction des cas d apatridie
Convention sur la réduction des cas d apatridie 1961 Faite à New York le 30 août 1961. Entrée en vigueur le 13 décembre 1975. Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 989, p. 175. Copyright Nations Unies
Plus en détailCommission CI. Session d ouverture. Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI
35 ème session de la Conférence Générale Commission CI Session d ouverture Remarques d ouverture par le Président de la Commission CI Mesdames, Messieurs, Buenas tardes, Bonjour, Good afternoon, Здравствуйте
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailQu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français
AVANT-PROPOS Qu est-ce que le pansori? Je voudrais pour commencer interroger les raisons qui m ont amenée à me poser cette question, et à me la poser en français dans le cadre d une recherche avancée.
Plus en détailDU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE
DU ROLE D UN BUREAU MILITAIRE AU SEIN D UNE MISSION PERMANENTE Capitaine de vaisseau Ndome Faye, Conseiller Militaire à la Mission Permanente du Sénégal auprès des Nations unies à New York Dans certains
Plus en détailCharte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable
Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités
Plus en détailLe Québec, terre de traduction
Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détaillj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987
lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties
Plus en détailToronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :
Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du
Plus en détailRÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement
RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,
Plus en détailDiscours d Anne Hidalgo, Maire de Paris
Discours d Anne Hidalgo, Maire de Paris Seul le prononcé fait foi Mes cher(e)s collègues, Dimanche, les Parisiens m ont fait confiance pour être la première femme maire de Paris. Ce choix m'honore et m'oblige.
Plus en détailAssemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC. allocutions de
1 Assemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC allocutions de Bryan P. Davies Président du conseil d administration Société d assurance-dépôts du Canada et Michèle Bourque Présidente
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailL Avenir des ACLI. Voici les étapes significatives d un processus vertueux devant mettre en question les ACLI :
BELGIË ACLI BELGIO BELGIQUE Rue Franklin 136 Franklinstraat Bruxelles 1000 Brüssel Tel :02/742.26.40-Fax :02/734.10.52 aclibelgio@skynet.be aclibelgique@skynet.be Site : http://www.acli.be Bruxelles 28/08/09
Plus en détailAssociation SYNADEC. Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC
Association SYNADEC Association Loi 1901 Siège social : Association SYNADEC Il est fondé, entre les adhérents aux présents statuts, une association régie par la loi du 1er juillet 1901, le décret du 16
Plus en détailCHARTE ETHIQUE DE WENDEL
CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détail«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.
«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour
Plus en détailRecommandations pour développer une communauté locale participative Recueil de bonnes pratiques Sens et Autonomie (France) CIGL Esch-Sur-Alzette, Kalendula (Luxembourg) CRIE d Anlier (Belgique) Le contenu
Plus en détailQue fait l Église pour le monde?
Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens
Plus en détailLES RELATIONS INTERNATIONALES. du Conseil national de l Ordre des médecins
LES RELATIONS INTERNATIONALES du Conseil national de l Ordre des médecins 02_ LES RELATIONS INTERNATIONALES DE L ORDRE DES MÉDECINS UN MÊME ENGAGEMENT, D R PATRICK BOUET Président du Conseil national de
Plus en détailAllocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe
SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailDans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche
ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la
Plus en détailLes Bases de données de presse. Recherche documentaire
Les Bases de données de presse Recherche documentaire - nuage de mots réalisé avec http://wordle.net Bases de données de presse La presse à la bibliothèque Accéder aux bases de données Choix de la base
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailBELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées
BELGIQUE Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées Ouverture de la Conférence DECLARATION DE S.E. Mme BENEDICTE FRANKINET AMBASSADEUR
Plus en détailUn atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes
Débat et argumentation Un atelier philo pour se reconnaitre hommes et femmes à travers le partage d expériences «La question se pose de savoir si le lien social ne se constitue que dans la lutte pour la
Plus en détailQU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?
QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question
Plus en détail24 heures. dans la vie d Orrick Rambaud Martel
24 heures dans la vie d Orrick Rambaud Martel Fusions & acquisitions Droit boursier Financements Droit bancaire Marchés de capitaux Titrisation Capital investissement LBO Capital risque Contentieux Arbitrage
Plus en détailRenseignements pour l obtention d une ligne de cautions / garanties France et/ou Etranger
Assurance Caution Renseignements pour l obtention d une ligne de cautions / garanties France et/ou Etranger Conseiller : Cachet commercial 1- Présentation de l entreprise cautionnée ou garantie Dénomination
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES
RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032
Plus en détailProposition de modification des STATUTS de TOULOUSE BUSINESS SCHOOL ALUMNI
Proposition de modification des STATUTS de TOULOUSE BUSINESS SCHOOL ALUMNI Les modifications, retraits ou ajouts, sont surlignés en bleu dans les articles ci-dessous. ARTICLE 1 : Dénomination Il est constitué
Plus en détailINSTITUT INTERNATIONAL DES DROITS DE L HOMME INTERNATIONAL INSTITUTE OF HUMAN RIGHTS
INSTITUT INTERNATIONAL DES DROITS DE L HOMME INTERNATIONAL INSTITUTE OF HUMAN RIGHTS Fondé par / Founded by René Cassin (1969) L ENFANT ET LE DROIT INTERNATIONAL DES DROITS DE L HOMME 46 ème Session annuelle
Plus en détailC ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS.
C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. MAIS UN JOUR IL PARTIT PLUS AU NORD POUR DÉCOUVRIR LE MONDE. IL MARCHAIT, MARCHAIT, MARCHAIT SANS S ARRÊTER.IL COMMENÇA
Plus en détailPROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE
PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE 1 PROTOCOLE SUR LES AMENDEMENTS A L ACTE CONSTITUTIF DE L UNION AFRICAINE Les Etats membres de l Union africaine, Etats parties à
Plus en détailPrincipes de liberté d'expression et de respect de la vie privée
L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté
Plus en détailCLIPSAS. COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015. Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015
CLIPSAS COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015 Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015 Henri SYLVESTRE Grand Secrétaire aux Affaires Extérieures Adjoint 00 33 6 86 36 66 18 hd.sylvestre@wanadoo.fr Association
Plus en détailProcès-verbal de l Assemblée Générale Extraordinaire du 4 février 2012
Procès-verbal de l Assemblée Générale Extraordinaire du 4 février 2012 Le 4 février 2012, à l Isle-Adam (95290), Maison de l Amitié, 44, avenue de Paris, les membres de l association «Initiatives et Actions
Plus en détailcolonisation nous avons trouvé cet outil merveilleux : la langue française».
Allocution d Alain ROSSIGNOL, Ancien conseiller culturel dans les pays d Afrique francophone «Nul n est prophète en son pays» a-t-on coutume de dire. Berceau de la langue française, la France et sa population
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailLe futur doit s ancrer dans l histoire
Conférence de presse du 3 septembre 2013 Le texte prononcé fait foi. Le futur doit s ancrer dans l histoire Patrick Odier, Président du Conseil d administration, Association suisse des banquiers Mesdames,
Plus en détailARROW ELECTRONICS, INC.
7459 South Lima Street Englewood, Colorado 80112 Aout 2013 P 303 824 4000 F 303 824 3759 arrow.com CODE DE CONDUITE DES PARTENAIRES COMMERCIAUX ARROW ELECTRONICS, INC. Cher partenaire commercial, Le succès
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailBonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détailregion guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA
region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page1 Guide pratique à l attention des professionnels de santé URPS DE BIOLOGIE MÉDICALE PACA region guide sante bis:mise en page 1 05/03/13 09:24 Page2
Plus en détailGuide pratique pour la société civile FONDS, SUBVENTIONS ET BOURSES EN FAVEUR DES DROITS DE L HOMME
Guide pratique pour la société civile FONDS, SUBVENTIONS ET BOURSES EN FAVEUR DES DROITS DE L HOMME Table des matières Introduction...1 Fonds et subventions...2 Programmes de bourses du HCDH...22 Contactez-nous...36
Plus en détailCONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28
CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Décision du Conseil
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailProjet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale
Nom du sénateur Eric Bocquet Groupe Communiste Républicain Citoyen Sénateur du Nord Paris, le 19 mars 2013 Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Monsieur
Plus en détailComplémentaire Santé. MCDef MELODY SANTE. Préservez votre capital santé
1 Complémentaire Santé MCDef MELODY SANTE Préservez votre capital santé 2 MCDEF MELODY SANTE À partir de 46,93 / mois* pour un assuré de 60 ans en formule ECO * département 79 Au fil du temps, les besoins
Plus en détailQuand les enfants apprennent plus d une langue
Quand les enfants apprennent plus d une langue En tant que parent d un enfant qui apprendra deux langues ou plus, vous avez peut-être des questions. Cette brochure basée sur des recherches récentes vous
Plus en détailVous êtes marié avec un conjoint de
Divorce et résidence à l étranger Quel tribunal peut-on saisir? Les époux peuvent-ils choisir la loi applicable à leur divorce? Sous quelle forme? À défaut, quelle sera la loi applicable au divorce? Quels
Plus en détaileducationsolidarite.org
Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailLa gouvernance dans les grandes associations et fondations
La gouvernance dans les grandes associations et fondations Institut Français des Administrateurs Evaluer son Conseil d administration 7 rue Balzac 75008 PARIS Tel. : 01 55 65 81 32 - email : contact@ifa-asso.com
Plus en détailLes Trophées «Y a d l idée en Normandie!» Edition 2015
z 1 Les Trophées «Y a d l idée en Normandie!» Edition 2015 Règlement du concours www.concours-innovation.fr 2 Article 1 : Présentation du concours Les Trophées «Y a d l idée en Normandie!» sont issus de
Plus en détailLa culture : quatrième pilier du développement durable
La culture : quatrième pilier du développement durable S'appuyant sur le travail mené de longue date par la Commission de culture de CGLU, sur la Déclaration universelle de l'unesco sur la diversité culturelle
Plus en détailJe m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.
Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,
Plus en détailAllocution de M. Hassan B. Jallow Procureur du TPIR et du MTPI, devant le Conseil de sécurité de l ONU 10 décembre 2014
United Nations Mechanism for International Criminal Tribunals Nations Unies Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux ALLOCUTION (Destiné exclusivement à l usage des médias. Document non officiel.)
Plus en détailLouise, elle est folle
Leslie Kaplan Louise, elle est folle suivi de Renversement contre une civilisation du cliché la ligne Copi-Buñuel-Beckett P.O.L 33, rue Saint-André-des-Arts, Paris 6 e pour Élise et Fred tu m as trahie
Plus en détailManifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale
Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement
Plus en détailLA LETTRE D UN COACH
LA LETTRE D UN COACH COACH DIDIER GAGNANT KALIPE N 18 du Dimanche 04 Mai 2014 «Il fallait commencer un peu plutôt ; c'est-à-dire maintenant et résolument.» Un Coach vous enseigne la Méthode qui permet
Plus en détailCONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES
CONVENTION SUR LA PROTECTION ET LA PROMOTION DE LA DIVERSITÉ DES EXPRESSIONS CULTURELLES PRÉAMBULE La Conférence générale de l Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture,
Plus en détailAssemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA
Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants
Plus en détailÉTUDES SOCIALES : DE LA MATERNELLE À LA DOUZIÈME ANNÉE
ÉTUDES SOCIALES : DE LA MATERNELLE À LA DOUZIÈME ANNÉE PHILOSOPHIE ET RAISON D ÊTRE DU PROGRAMME Les études sociales permettent aux élèves d acquérir des attitudes, des compétences et des connaissances
Plus en détailDécembre 2009 Nobody s Unpredictable
Perception de l attachement des Français et des Eurois à leur département Décembre 2009 Nobody s Unpredictable Fiche technique Sondage national (ADF) Sondage effectué pour : L Assemblée des Départements
Plus en détailRéunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailObservations de Reporters sans frontières relatives aux projets de loi sur la presse marocains -
Dernière révision : 19 novembre 2014 Observations de Reporters sans frontières relatives aux projets de loi sur la presse marocains 15 novembre 2014 Reporters sans frontières (RSF), organisation internationale
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailLA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE. LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort
LA SOUFFRANCE DU MALADE EN FIN DE VIE LES COMPORTEMENTS FACE A LA PERTE : vécu de la mort relation SRLF Paris, 11-12-13 mai C.LE BRIS BENAHIM Psychothérapeute - Formatrice Quimper CHIC Comment le vécu
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailConseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort
Conseil canadien de la magistrature Voies de fait et autres infractions contre la personne n entraînant pas la mort Table des matières Infraction 244...3 Décharge d une arme à feu avec intention (Art.
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailAssises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007
Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir
Plus en détailWIPO/GRTKF/IC/7/3 ANNEXE I
ANNEXE I RESUME DU PROJET D OBJECTIFS DE POLITIQUE GENERALE ET DE PRINCIPES FONDAMENTAUX CONCERNANT LA PROTECTION DES EXPRESSIONS CULTURELLES TRADITIONNELLES OU EXPRESSIONS DU FOLKLORE La présente annexe
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détailN.V. Bourov, I.Yu. Khitarova. ART-INFORMATION Problèmes de stockage et de communication. Matériel didactique
N.V. Bourov, I.Yu. Khitarova ART-INFORMATION Problèmes de stockage et de communication Matériel didactique Recommandé par l Union méthodique d études de L Académie Russe des Sciences naturelles de l enseignement
Plus en détailNiveau linguistique Berlitz 1 Niveau A1 du CECRL
Niveau linguistique Berlitz 1 Niveau A1 du CECRL Vous pouvez comprendre et utiliser des expressions courantes familières et des phrases simples. Vous êtes capable de vous présenter et de poser à vos interlocuteurs
Plus en détailUNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS
UNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS LA COMMUNAUTÉ DE MÉDIAS LA PLUS INFLUENTE DU MONDE L UER, qui compte des Membres dans 56 pays d Europe et d alentour, est la plus grande alliance
Plus en détailQu est-ce qu une tâche?
Qu est-ce qu une tâche? «Tâches», «Perspective actionnelle», «activités centrées sur le sens» Ce sont des concepts dont on entend beaucoup parler dans notre profession, mais que signifient-ils exactement?
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détail& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.
Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française
Plus en détailLIVRET MASTER (Bac +4 / Bac +5) Epreuves de première année
EXAMENS FEDE PROCEDURES, REGLEMENTS ET GRILLES DE NOTATIONS LIVRET MASTER (Bac +4 / Bac +5) Epreuves de première année ANNEE 2013 Version numérique disponible sur internet à l adresse : http://www.fede.org/1-252-procedures-et-reglements-examens.php
Plus en détail