Le radon, un gaz radioactif naturel

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le radon, un gaz radioactif naturel"

Transcription

1 Le radon, un gaz radioactif naturel Le Radon en Bourgogne- Franche Comté Quelques éléments d information à destination des professionnels Héricourt 5 décembre Pascal DOREMUS

2 Ils ont survécu au radon, pourquoi pas nous?

3 Exposition de l homme à la radioactivité Radon Exposition médicale Eaux et aliments Rayons cosmiques Rayonnement des sols Autres (essais nucléaires, industrie) Radioactivité naturelle Radioactivité artificielle 3 voies d'exposition : Inhalation, Ingestion et Exposition externe

4 Exposition moyenne de la population française Sur irsn.fr Radon

5 La petite histoire du Radon DÉCOUVERTE DU RADIUM (Pierre et Marie CURIE) PREMIERS TRAVAUX SUR LA RADIOTOXICITE DU RADON (Bouchard et Balthazar) PREMIÈRE UTILISATION THERAPEUTIQUE DU RADON (Loewenthal) HYPOTHÈSE SUR LA RELATION RADON CANCER PULMONAIRE dans les mines de Schneeberg et Joachimsthal MISE EN OEUVRE DE LA RADIOPROTECTION DANS LES MINES D'URANIUM EN FRANCE (1ère réglementation française en 1958) RECOMMANDATIONS EUROPÉENNES RELATIVES AU RISQUE RADON DOMESTIQUE RECOMMANDATION CIPR POUR LES LIEUX DE TRAVAIL AVIS DU CONSEIL SUPÉRIEUR D HYGIÈNE PUBLIQUE DE FRANCE CIRCULAIRES DGS ET DGUHC DÉCRET DU 4 AVRIL ARRETES - Code de la Santé et Code du Travail ORDONNANCE du 10 février 2016 En 1898, Marie Curie isole pour la première fois le radium, mettant la radioactivité naturelle en évidence. Une histoire qui s accélère avec la prise en compte des effets sanitaires et du risque dans l habitat.

6 Quelques généralités sur le radon Le radon est un gaz radioactif d origine naturelle Le radon est un des agents du cancer du poumon toutefois bien loin derrière le tabac Le radon peut s accumuler dans les espaces clos Il existe des moyens pour diminuer les concentrations dans les bâtiments

7 Le radon 222, un petit-fils de l Uranium 238 4, ans 238 U b U (2, ans) a 4,2 MeV b Pa a 4,8 MeV 234 Th (1,17 min) 230 Th (7, ans) (24,1 jours) a 4,7 MeV 222 Rn 226 Ra (1600 ans) a 4,8 MeV a 5,5 MeV (3,82 j) (1, s) a 6 MeV 218 Po 214 Pb (3,05 min) b Bi b - (19,9 min) a 7,69 MeV 214 Po (5,01 j) (138 j) 210 Po 210 b - a Bi 5,3 MeV 210 Pb 206 Pb (26,8 min) (22,3 ans) (stable)

8 Les propriétés physico-chimiques du radon Où trouve-t-on le radon? Gaz rare Gaz, inerte chimiquement Inodore, incolore Émetteur alpha Période de 3,8 jours Peu soluble dans l eau Très soluble dans les solvants organiques Partout Dans l air que nous respirons Dans l eau Dans le sol Dans l atmosphère confinée des bâtiments Mais à des niveaux très variables Selon le lieu Le moment de la journée Nos modes de vie Le sol est l origine principale du radon de notre environnement

9 Radon et risque de cancer RADON Le radon est un gaz rare, peu soluble et peu réactif dans les tissus biologiques. C est un radioélément à période relativement longue (3,8 jours). Sa radio-toxicité est faible DESCENDANTS DU RADON Aérosols inhalables Périodes courtes (< 1 h sauf le 212 Pb = 10 h) Emetteurs alpha : grande efficacité biologique Les descendants se déposent le long des voies pulmonaires et irradient les tissus

10 Le radon dans notre environnement ATMOSPHÈRE EXTÉRIEURE AIR INTERIEUR LE SOL L'EAU SOUTERRAINE LE GAZ NATUREL LES FLUIDES GÉOTHERMIQUES LA COMBUSTION DU CHARBON LE SOL sous les bâtiments LES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION L'AIR EXTÉRIEUR L'EAU DU ROBINET LE GAZ NATUREL LES OCÉANS Bq/m Bq/m3

11 Paramètres météorologiques influençant l activité volumique du radon dans l environnement PRESSION ATMOSPHÉRIQUE TEMPÉRATURE ATMOSPHÉRIQUE HUMIDITÉ ATMOSPHÉRIQUE RADON DANS LE SOL ATMOSPHÈRE PRÉCIPITATIONS VITESSE ET DIRECTION DU VENT Temps (j)

12 Paramètres géologiques pouvant influencer l activité volumique du radon dans l environnement Granites TENEUR DU SOL EN RADIUM Schistes ATMOSPHÈRE RADON DANS LE SOL CARACTÉRISTIQUES DU SOL (densité, porosité, taille des grains, ) CONTRAINTES TECTONIQUES (séismes, éboulements, volcans, ) Plancher-les- Mines NIVEAU DE LA NAPPE PHRÉATIQUE

13 Activité volumique moyenne du radon Atmosphère 1 à 90 Trou dans le sol d un jardin 1000 à Fond de vallée 1 à 1000 Maison 10 à Mines et travaux souterrains 10 à Act. Vol. exprimée en Bq.m -3 Cavité fermée dans la croûte terrestre à Cavité fermée de 1 à 10 millions Minerai d uranium

14 Le radon dans les bâtiments Les bâtiments sont des espaces confinés La concentration de radon peut y atteindre des niveaux élevés On passe la majorité du temps à l intérieur de bâtiments (80 à 90%) Impact du mode de vie une journée Lever Coucher A B

15 L activité volumique du radon varie Dans l environnement extérieur Paramètres géologiques, teneur en radium Paramètres météorologiques Dans un bâtiment Localisation géographique Structure architecturale du bâtiment Mode de vie des occupants Chaque bâtiment est un cas particulier

16 Le radon en quelques mots Gaz Radioactif naturel Le tiers de l exposition totale aux rayonnements La moitié de l exposition aux rayonnements naturels Omniprésent dans notre environnement Concentrations très variables car fonction de nombreux paramètres S accumule dans les espaces confinés (bâtiments) Cancérigène(cancer du poumon) Le risque n est pas lié au gaz lui-même mais à ses descendants solides à vie courte (émetteurs alpha) Risques sanitaires du même ordre que le tabagisme passif Les modes de vie modernes accentuent le risque

17 Les Moyens de mesure Expertise Dépistage Contrôle et suivi de travaux Des moyens de mesures et des domaines d application privilégiés

18 Le radon à l échelle du territoire Tu vas ou en vacances? Le potentiel radon des sols : un enjeu et une inégalité territoriale

19 Carte géologique N Roches sédimentaires Quaternaire Tertiaire Crétacé Jurassique Permo-Triasique Primaire Roches métamorphiques et volcaniques Gneiss Granites Antécambrien Roches volcaniques

20 Activité volumique de radon dans l habitat français Un niveau de connaissance qui s améliore grâce : aux dépistages réglementaires aux initiatives territoriales de mesure dans l habitat, Moyennes arithmétiques départementales en Bq.m -3* > 150 * 1 Becquerel (Bq) = 1 désintégration par seconde France métropolitaine, points de mesure, bilan 2000

21 Quelques éléments de comparaison Bourgogne- Franche Comté 879 mesures, 110 Bq.m -3 France Bourgogne Franche Comté Bourgogne Franche Comté > 200 Bq.m -3 9,0 % 11 % 16,5% 13% > 400 Bq.m -3 2,3 % 3 % 6,3% 4% > Bq.m -3 0,5 % 0 % 1% 0,5% Habitat et valeurs de références > 200 Bq.m - 3 >400 Bq.m - 3 >1 000 Bq.m - 3 Pavillons Immeubles ?

22 La réglementation Code de la Santé Publique Directive EURATOM 96/29 normes de base relatives à la protection de la population et des travailleurs contre les dangers des RI Ordonnance n du 28 mars 2001 (art. L du code de la Santé Publique) Décret n du 4 avril 2002 Relatif à la protection générale des personnes contre les dangers des RI Arrêté du 22 juillet 2004 relatif aux modalités de gestion du risque lié au Rn dans les ERP La réglementation Code du Travail Décret n du 7 mars 2008 Relatif à la protection générale des travailleurs contre les dangers des RI Arrêté du 7 août 2008 relatif à la gestion du risque lié à l exposition au Rn dans les lieux de travail

23 La réglementation Habitat Pas de textes en vigueur à ce jour Projet de décret habitat relatif à la gestion du risque lié à l exposition au Rn dans les habitations Auto-mesurage pour les habitats individuels ( villas, pavillons, ) Mesures par des organismes agréés pour l habitat collectif 01/01/2017 Obligation d information dans le cadre de cession acquisition (Ord 10/02/2016) Démarches locales et régionales de sensibilisation au risque lié à l exposition au Rn dans les habitations Action pluraliste Franche-Comté / Pays de Montbéliard Agglomération Action Radon Morvan Action Radon en Pays des Vosges Saônoises Concarneau- Cornouailles Aglomération

24 Les valeurs de référence et évolutions Les valeurs réglementaires actuelles (ERP et certains lieux de travail) 400 Bq/m 3 obligation de mise en œuvre d actions correctives 1000 Bq/m 3 obligation de mise en œuvre immédiate d actions correctives Evolutions attendues Passage du seuil de référence à 300 Bq/m 3 et Disparition de la valeur haute Obligation d abaisser les valeurs aussi bas que possible Obligation d information dans le cadre de cession acquisition Cartographie des communes et classification vis-à-vis du risque radon

25 Cartographie : le potentiel radon des sols

26 Un Zoom régional Dijon Besançon

27 Evolution de la cartographie : les communes concernées

28 Cartographie communale : Un outil en ligne et disponible pour tous Outil de requête permettant de rechercher le potentiel de chaque commune Sensibilisation au risque radon dans l habitat et incitation au dépistage et à la mise en œuvre de travaux d atténuation Information pertinente pour les projets de rénovation de l habitat particulier

29 Cartographie communale : Un outil en ligne et disponible pour tous Bourgogne - Franche Comté

30 Merci de votre attention Je reste disponible pour toutes vos questions

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

Avant-propos. Paris, le 15 novembre 2011. Le Directeur de l habitat, de l urbanisme et des paysages. Le Directeur général de la santé.

Avant-propos. Paris, le 15 novembre 2011. Le Directeur de l habitat, de l urbanisme et des paysages. Le Directeur général de la santé. PLAN national D ACTIONS 2011-2015 POUR LA GESTION DU RISQUE LIé AU RADON Ce rapport a été rédigé par l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) en collaboration avec les membres du comité de suivi du plan national

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options

La gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

P17- REACTIONS NUCLEAIRES PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

CRIIRAD. Mars 2011 - n 51. Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité GAZ DE SCHISTE

CRIIRAD. Mars 2011 - n 51. Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité GAZ DE SCHISTE Mars 2011 - n 51 CRIIRAD Commission de Recherche et d Information Indépendantes sur la Radioactivité Bulletin d information des adhérents de la CRIIRAD GAZ DE SCHISTE SIGNALISATION DES RISQUES RADIOLOGIQUES

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)

Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

ANF Becquerel Assurance qualité Normalisation. http://reseau-becquerel.in2p3.fr

ANF Becquerel Assurance qualité Normalisation. http://reseau-becquerel.in2p3.fr ANF Becquerel Assurance qualité Normalisation http://reseau-becquerel.in2p3.fr P. 2 Un peu d histoire Le code Hammourabi (-2150) «Si un maçon construit une maison et que celle-ci s écrase et tue ses habitants,

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES

MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES MINISTERE DE L INDUSTRIE ET DES MINES ACTIONS EN MILIEU DE TRAVAIL DES STRUCUTURES DE CONTROLES I- INTRODUCTION I-1 CADRE JURIDIQUE, RATTACHEMENT HIERARCHIQUE ET ORGANISATION I-2 ATTRIBUTIONS I-3 MISSIONS

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité

Plus en détail

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Faculté des Sciences d ORSAY

Faculté des Sciences d ORSAY Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

L ENERGIE CORRECTION

L ENERGIE CORRECTION Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Dossier «L énergie nucléaire»

Dossier «L énergie nucléaire» Dossier «L énergie nucléaire» (ce dossier est en ligne sur le site de La main à la pâte : http://www.inrp.fr/lamap/?page_id=16&action=2&element_id=374&domainsciencetype_id=7) Rédacteur David WILGENBUS

Plus en détail

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14

INSTRUCTION GENERALE. relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 INSTRUCTION GENERALE relative à l Hygiène, à la Sécurité et à l Environnement. Version initiale-1 1/14 SOMMAIRE 1 - La réglementation 3 2 - Principes généraux 2.1 Principes fondamentaux en matière d hygiène

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

La mesure du temps en géologie. Jacques Deferne

La mesure du temps en géologie. Jacques Deferne Jacques Deferne!! Jacques Deferne, 7 mai 2014 Jacques Deferne La mesure du temps en géologie Premières idées sur l'âge de la Terre Ce sont les théologiens qui, les premiers, ont exprimé leurs convictions

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).

2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes). SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,

Plus en détail

Le radon. Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION

Le radon. Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION Le radon Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation La Société canadienne d hypothèques et de logement (SCHL) est l organisme national responsable

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

L accessibilité des hôtels, restaurants et commerces de 5 ème catégorie

L accessibilité des hôtels, restaurants et commerces de 5 ème catégorie L accessibilité des hôtels, restaurants et commerces de 5 ème catégorie Guide pratique Règlementation, recommandations et préconisations Préambule 2 Définition d un ERP: Sont considérés comme des Établissements

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Historique. Les radiations nucléaires 1

Historique. Les radiations nucléaires 1 Les radiations nucléaires Dans notre vie de tous les jours, nous sommes continuellement bombardés de radiations de toutes sortes. Certaines sont naturelles et d autres, artificielles. Les premières proviennent

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Piegeage et stockage du CO 2

Piegeage et stockage du CO 2 Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)

Plus en détail

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel

LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel LE RÉSULTAT DU CERTIFICAT PEB Pour le résidentiel 1. A QUOI CORRESPOND LA LETTRE (A,B G) SUR MON CERTIFICAT PEB? La lettre correspond à une consommation théorique qui se base sur les caractéristiques propres

Plus en détail

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de

Plus en détail

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES

L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine L IRSN VOUS OUVRE TOUTES SES PORTES SAMEDI 15 SEPTEMBRE 2012 ENTRÉE LIBRE DE 10H30 À 17H SUR PRÉSENTATION D UNE CARTE D IDENTITÉ 31, AVENUE DE LA DIVISION

Plus en détail

Proposition de normes de planifcation / construction. par. Guodong WANG Architecte urbaniste IAUG

Proposition de normes de planifcation / construction. par. Guodong WANG Architecte urbaniste IAUG Le radon dans les bâtiments : approche scientifque, technique et législative Cours de formation continue de l EPFL, en collaboration avec l UNIL, l USI, l OFSP et la SIA. Proposition de normes de planifcation

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

Les formations en cycle ingénieur

Les formations en cycle ingénieur Les formations en cycle ingénieur Eau, environnement, aménagement Ce domaine forme des ingénieurs capables d'explorer et d'organiser l'espace (surface et sous-sol), d'exploiter durablement les ressources

Plus en détail

St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504. Oxygène Liquide INFORMATION SUR LE PRODUIT

St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504. Oxygène Liquide INFORMATION SUR LE PRODUIT 1-800-561-9465 Tel: 514-956-7503 Fax: 514-956-7504 Internet: www.megs.ca Email : support@megs.ca PRICIPAUX BUREAUX DE VENTES Montréal (Siège Social) St-Laurent Tél : 514-956-7503 Fax : 514-956-7504 Ottawa

Plus en détail

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

Complément: Sources naturelles de rayonnement

Complément: Sources naturelles de rayonnement Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à

Plus en détail

guide de la sécurité assistant maternel assistant familial

guide de la sécurité assistant maternel assistant familial guide de la sécurité assistant maternel assistant familial Guide de la sécurité - 2 Ce guide est fait pour vous aider. Il répertorie les points de danger les plus fréquents et les mesures à prendre pour

Plus en détail

NOYAU, MASSE ET ENERGIE

NOYAU, MASSE ET ENERGIE NOYAU, MASSE ET ENERGIE I - Composition et cohésion du noyau atomique Le noyau atomique est composé de nucléons (protons+neutrons). Le proton a une charge positive comparativement au neutron qui n'a pas

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

L E BILAN DES ACTIVITÉS

L E BILAN DES ACTIVITÉS L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,

Plus en détail

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007

Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,

Plus en détail

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :

Arrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre

Plus en détail

Actinides et stockage des déchets. Chimie des actinides pour la gestion de déchets radioactifs

Actinides et stockage des déchets. Chimie des actinides pour la gestion de déchets radioactifs Actinides et stockage des déchets. Chimie des actinides pour la gestion de déchets radioactifs Hélène Capdevila Christophe Poinssot Pierre Vitorge pierre.vitorge /\T cea.fr CEA DEN Direction de l'energie

Plus en détail

Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes

Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes Forum annuel Plan Climat des Alpes-Maritimes 15 Novembre 2013 Franck Lavagna franck.lavagna@orange.com Directeur des relations avec les Collectivités Locales José-Pedro Machado josepedro.machado@orange.com

Plus en détail

Office bavarois de l environnement

Office bavarois de l environnement Bayerisches Landesamt für Umwelt Office bavarois de l environnement À propos de nous L Office bavarois de l environnement (Bayerische Landesamt für Umwelt, LfU) est l administration spécialisée centrale

Plus en détail

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.

Plus en détail

La transition énergétique en France et en Allemagne

La transition énergétique en France et en Allemagne La transition énergétique en France et en Allemagne Regards croisés sur les politiques nationales de transition énergétique Institute for Sustainable Development and International Relations 41 rue du Four

Plus en détail

Système Management Environnemental

Système Management Environnemental Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme

Plus en détail

Soltis Toitures et Isolation Durable

Soltis Toitures et Isolation Durable Soltis Toitures et Isolation Durable Contactez-nous au 02 779 97 12 www.soltis.be info@soltis.be département de Soltis S.A. avenue Général Wahis 16G 1030 Bruxelles Soltis Toitures et Isolation Durable

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

que devez vous savoir avant le 26/09/2015?

que devez vous savoir avant le 26/09/2015? Réglementation ErP - éco-conception et étiquetage énergétique Réglementation ErP, éco-conception et étiquetage énergétique : que devez vous savoir avant le 26/09/2015? Préparez-vous au mieux à la réglementation

Plus en détail

RISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur

RISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve

Plus en détail

SCIENCES TECHNOLOGIES

SCIENCES TECHNOLOGIES R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les

Plus en détail

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT

RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Union des Villes et Communes de Wallonie asbl RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service

Plus en détail

Construction en bottes de paille

Construction en bottes de paille Construction en bottes de paille Performance technique, économique et écologique Construction en bottes de paille Performant : Super isolant, R = 6 (équivalent à 25 cm de laine de verre dernière génération)

Plus en détail

Etat des risques naturels et technologiques

Etat des risques naturels et technologiques Etat des risques naturels et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Commande n 3505 Date de réalisation : 23 septembre 2011 (Valable 6 mois) Mode COMMANDE

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Direction départementale Des territoires de l'orne - 1 -

Direction départementale Des territoires de l'orne - 1 - Direction départementale Des territoires de l'orne Service Habitat Construction Bureau Constructions Durables Et accessibilité Cité administrative place du Général Bonet, BP 537 61007 Alençon cedex Travaux

Plus en détail