Table des matières. Introduction. 1 La convection. 1.1 Convection naturelle et convection forcée
|
|
- Christophe Meunier
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Principes physiques des échanges de chaleur par convection avec et sans changement de phase liquide-vapeur. Applications au refroidissement des convertisseurs de l électronique de puissance. RÉMI SIESKIND remi.sieskind@ens-cachan.fr Table des matières 1 La convection Convection naturelle et convection forcée Constante de temps et échange de chaleur Nombre adimensionné et équation thermique L apport du changement de phase Systèmes diphasiques Enthalpie massique de changement d état Equation thermique et gain par rapport au cas précédent Le refroidissement des composants de l électronique de puissance Origine de l augmentation de température Chaleur à dissiper Solutions techniques le radiateur Les caloducs à capillarité les thermosiphons... 7 Introduction La conduction thermique correspond au phénomène de diffusion de la chaleur d un milieu matériel vers un autre. Cette loi reliant le gradient de température au flux de chaleur tend à montrer comment la température s homogénéise naturellement. A l intérieur d un composant d électronique de puissance, des pertes sont responsables d une nette élévation de la température, qui peut dégrader ses performances, accélérer son vieillissement voire tout simplement le détruire. Cette chaleur produite doit donc être évacuée et souvent, la surface extérieure du composant n est pas suffisante pour la dissiper simplement par conduction dans l air. Une première solution envisageable est constituée d un simple radiateur à ailettes qui permet de largement augmenter la surface de contact avec l air ; mais la capacité calorifique de l air étant faible, le temps de conduction dans le radiateur pouvant être long et la transmission de la chaleur du composant vers le radiateur n étant pas optimale, il n est pas rare qu un tel dispositif soit insuffisant. On se penche donc sur les solutions impliquant le phénomène de convection, dont les efficacités sont bien supérieures. 1 La convection 1.1 Convection naturelle et convection forcée Définition La convection naturelle correspond à un mouvement, une circulation du fluide dans un système sans intervention extérieure autre qu une source de chaleur. Pour l expliquer, il est intéressant de voir ce qui arrive à une particule fluide en contact avec une surface plane horizontale qui commence à chauffer. Par conduction, la température de cette particule fluide augmente, ce faisant, elle se dilate et sa masse volumique diminue : elle subit de la part du reste du fluide une poussée d Archimède qui la porte à se déplacer vers le haut. Au cours de son mouvement, à nouveau par conduction et au 1
2 contact du fluide plus froid, elle se contracte, sa masse volumique augmente et elle tend à retomber au fond. Selon les facilités de circulation, un courant plus ou moins intense est ainsi généré. De nombreux paramètres interviennent dans ce modèle et, notamment, les caractéristiques du fluide (géométrie du système, coefficient de dilatation thermique, masse volumique, capacité thermique et viscosité). Définition La convection forcée est, elle, provoquée par une circulation artificielle du fluide du système obtenue à l aide d une pompe ou d une turbine. Dans ce cas, le transfert est plus rapide que pour la convection naturelle. Le coefficient d échange (qu on définira par la suite) vaut alors 1W.cm 2 K 1 pour 0, 1W.cm 2 K 1 dans le cas de la convection naturelle. FIGURE 1 Schéma illustrant le phénomène de convection naturelle dit "de Bénard" Les systèmes de refroidissement par convection permettent d amener la chaleur plus vite et sur une surface plus grande afin de la dissiper plus facilement que par conduction directe vers un radiateur puis vers l air ambiant. 1.2 Echangeur de chaleur Un échangeur de chaleur est un dispositif destiné à la transmission de chaleur d un système à un autre. En son sein circule deux fluides, l un chaud, l autre froid, séparés par un solide bon conducteur. Il existe des échangeurs dans lesquels les deux fluides circulent dans le même sens, dits "à co-courant" et d autres dans le sens opposé (solution permettant d extraire une puissance thermique supérieure). On définit l efficacité d un échangeur comme le rapport de la puissance réellement échangée sur la puissance totale échangeable. 1.3 Nombre adimensionné et équation thermique Pour caractériser le transfert de chaleur au sein d un fluide, on peut utiliser le nombre de Rayleigh (pour la convection naturelle) : R a = g Td3 c (1) avec : : la masse volumique en kg.m 3 g : l accélération de pesanteur en m.s 2 : le coefficient de dilatation thermique en K 1 d : la longueur caractéritique en m : la conductivité thermique en W.m 1.K 1 c : la capacité calorifique massique en J.K 1.kg 1 : la viscosité dynamique en Pa.s Il faut simplement retenir qu en deça de R a = 2000 on considère le transfert plutôt conductif et au delà, plutôt convectif. 2
3 Dans le cas de la convection forcée, on utilise le nombre de Péclet (rapport du transport par convection et du transport par diffusion) : P e = cd2 (2) T avec : : la masse volumique en kg.m 3 d : la longueur caractéritique en m : la conductivité thermique en W.m 1.K 1 c : la capacité calorifique en J.K 1 T : le temps caractéristique en s Pour calculer les échanges, on a recours au modèle suivant : avec : j th le flux de chaleur S la surface d échange h le coefficient d échange en W.m 2.K 1 j th = hs T (3) Toute la difficulté réside donc dans le calcul du coefficient h (via le nombre adimensionné de Nusselt), puisqu on peut ensuite se ramener au modèle électrique équivalent de résistance thermique utilisé pour la conduction (on avait alors j th = S L T et R th = L S et T l équivalent de la tension électrique). Il dépend entre autre de la vitesse moyenne et du régime de l écoulement du fluide le long de la surface (qui conditionne l épaisseur moyenne apparente de fluide que la chaleur traverse par conduction). Exemple Pour l air, en convection naturelle, le coefficient d échange h est généralement compris entre 400 et 600W.m 2.K 1. 2 L apport du changement de phase Si la conduction ne permet de transporter les flux de chaleur générés par l électronique de puissance que sur quelques centimètres, la convection, elle, permet de d assurer cette fonction sur de grandes distances. Ainsi, un fluide traversant un système chauffé en extrait un flux de chaleur j th = cq(t s T e ) (premier principe) avec Q le débit massique de fluide et T s et T e les températures d entrée et de sortie du fluide Exemple L évacuation de 1kW avec un écart de 10K nécessite un débit de 0, 1kg.s 1 d air ou de 23, 4g.s 1 d eau. A titre de comparaison, par conduction à travers une plaque de cuivre de 1dm 2 de surface d échange, il faudrait un gradient de température au sein du cuivre de 2, 7K.cm 1. Mais, au-delà de cet avantage de la convection, le cycle d échauffement-refroidissement peut inclure un changement d état qui augmente de beaucoup l efficacité du dissipateur. Mode de refroidissement Fluide h Convection naturelle Gaz 5 à 30 Eau 100 à 1000 Convection forcée Gaz 10 à 300 Eau 300 à Changement de phase Ebullition 3000 à Condensation 5000 à FIGURE 2 Coefficient d échange h (en W.m 2.K 1 ) en fonction du type de refroidissement 3
4 2.1 Systèmes diphasiques Définition Un système est dit diphasique lorsqu il met en jeu deux fluides dans des phases différentes (liquide-liquide s ils sont non-miscibles ou liquide-gaz dans notre cas) Dans le cas qui nous intéresse, on va utiliser un fluide qui va se vaporiser au contact de la source chaude et se liquéfier sur les parois de la source froide. Rappelons qu à pression constante sur le liquide, le changement d état consomme de l énergie et impose une température constante pendant toute la transformation. Lorsque, dans des conditions données de pression, on apporte un flux de chaleur suffisant à ce liquide, sa température augmente jusqu à une certaine valeur, la température d ébullition, puis une partie de plus en plus grande passe à l état gazeux. La quantité de chaleur nécessaire à cette transformation d une unité de masse est l enthalpie de vaporisation. Ce phénomène est réversible et, lors du retour à l état liquide, cette quantité de chaleur est restituée. La circulation d un fluide entre deux points, à l état de vapeur dans un sens et à l état liquide dans l autre, permet donc un transfert de chaleur de l un vers l autre. En réalité, les systèmes sont à volume constant et la température augmente avec la quantité de matière qui se vaporise (augmentation de la pression). Dans un système diphasique, plusieurs régimes de transfert peuvent exister : FIGURE 3 Courbe de Nukiyama Pour des flux assez faibles, on retrouve la convection naturelle, puis, lorsque la puissance dissipée augmente, la température de surface tend à dépasser la température d ébullition, des bulles commencent à se former, c est l ébullition nuclée. Au-delà du point C sur la courbe, la vapeur englobe entièrement la surface libre du composant, les transferts se font par conduction dans le gaz. Pour notre application, on va essayer de trouver un point de fonctionnement entre B et C. 2.2 Enthalpie massique de changement d état Définition On appelle enthalpie massique de changement d état en J.kg 1, à la température T l énergie thermique transférée réversiblement pour faire passer l unité de masse du corps pur de l état initial à l état final. On écrit h = l 1!2. Le diagramme PV permet de relier "l avancement" du changement d état à la température et à la pression. A l équilibre dans un dissipateur à changement d état, on va essayer de travailler sur une isotherme sous les courbes de bulle et de rosée, de sorte à rester dans une configuration diphasique. 4
5 FIGURE 4 Diagramme PT et PV de changement d état de l eau 2.3 Equation thermique et gain par rapport au cas précédent Dans le cas d un changement de phase, la puissance absorbée au moment de la vaporisation vaut : P = Q.l vap (4) avec Q le débit massique en kg.s 1 et P la puissance en W. Il faut alors déterminer (expérimentalement?) la masse qui se vaporise en une seconde une fois qu on a atteint le point de fonctionnement stable et on peut en déduire (à partir de la surface d échange) le flux de puissance thermique qu on peut évacuer par cette méthode. En réalité, le point de fonctionnement est imposé par la chaleur à dissiper, il convient seulement de vérifier que toute la masse de liquide ne se vaporise pas. On peut calculer un coefficient d échange équivalent (ce qui est fait dans le tableau 2). On voit alors combien cette méthode est efficace. 3 Le refroidissement des composants de l électronique de puissance Comme on l a dit au début de l exposé, les composants d électronique de puissance ne fonctionnent correctement que dans une plage de température assez restreinte. Il est donc important de pouvoir prévoir l échauffement à partir de la physique du composant et connaissant l application visée (hâcheur, onduleur...) 3.1 Origine de l augmentation de température Il nous faut commencer par trouver la cause de l échauffement du composant. A l état passant, les composants d électronique de puissance se comporte comme une résistance nommée R DS,on (pour résistance drain-source à l état passant), or une intensité importante s établit dans le composant et la puissance Joule générée vaut alors P J = R DS,on Imoyen. 2 C est cette puissance qu il faut dissiper (La surface d échange est de l ordre du cm 2 ). La résistance thermique du composant est donnée dans la datasheet du composant (conduction de la chaleur générée par effet joule). 5
6 3.2 Chaleur à dissiper On peut trouver les éléments constitutifs du calcul dans les datasheet des composants de puissance. Ici, on prend l exemple d un MOSFET (200V, 30A). On suppose qu il est utilisé pour réaliser un hâcheur Buck et on se place dans le cas le plus défavorable, celui où passent 30A continûment. FIGURE 5 Résistance thermique sur une datasheet FIGURE 6 Données générales sur une datasheet La chaleur créee dans ce composant au niveau de la jonction vaut p =0, 085x30 2 = 76, 5W. Avant d arriver à la surface, la chaleur est évacuée selon la loi j th = T R th. On ne fera pas de calcul dans l immédiat, car R th va être additionnée aux autres résistances des dispositifs à venir. Connaissant j th on pourra alors déterminer T et donc la température extérieure de fonctionnement maximale. 3.3 Solutions techniques le radiateur On peut envisager l ajout d un ventilateur au radiateur (qui sert à répartir le flux thermique sur une plus grande surface afin de mieux le dissiper) afin d utiliser ce qu on a vu sur la conduction forcée. FIGURE 7 Profil d un radiateur aileté La résistance totale sera ici la somme de la résistance du composant (jonction-extérieur), de la résistance du matériau composant le radiateur (fonction de la conductivité de la longueur équivalente et de la surface) et de celle inhérente à la convection forcée (fonction de h et S). 6
7 3.3.2 Les caloducs à capillarité De manière générale, un caloduc 1 est une enceinte étanche qui contient un liquide en équilibre avec sa vapeur. Le liquide s évapore à évaporateur et la vapeur se liquéfie au condenseur. Tandis que la vapeur se déplace sous l effet de la différence de pression régnant à l évaporateur et au condenseur, le liquide retourne à l évaporateur sous l effet d une force imposée par le système. Pour le caloduc à capillarité, ce sont les forces de capillarité qui meuvent le condensat. FIGURE 8 Schéma de principe d un caloduc On peut calculer la résistance thermique équivalente d un tel dispositif en faisant la somme : des résistances des parois à l évaporateur et au condenseur des résistances des capillaires de l évaporateur et du condenseur des résistances d interface de l évaporateur et du condenseur de la résistance de la vapeur sur l ensemble du caloduc les thermosiphons Le thermosiphon est un caloduc dont la force de rappel du liquide à l évaporateur est simplement la gravité. FIGURE 9 Schéma de principe d un thermosiphon Le calcul de la résistance global est identique au cas précédent. 1. Se reporter au BE9545 des Techniques de l ingénieur 2. les calculs, quoique inintéressants ici, sont menés dans le BE9545 des Techniques de l ingénieurs 7
Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailLES DIFFÉRENTS MODES DE CHAUFFAGE
Les dispositifs de régulation La régulation : mode spécifique de fonctionnement permettant de maintenir une valeur (de température, de débit, de pression ) dans certaines limites préalablement définies.
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détailFLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles
FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailVI Basse consommation inverter
[ VERSION SURBAISSÉE ] CV CH CH 7 W pour 1 kw diffusé Applications Chauffage et/ou climatisation en résidentiel ou tertiaire NC Avantages Une offre compétitive en ventilo-convecteurs pour systèmes à eau
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailRéglementation incendie en ERP
R. ARTERO, Chef de produits Réglementation incendie en ERP à respecter pour la pose d un bâti-support WC Rappel de vocabulaire et réglementation Résistance au feu La résistance au feu caractérise le comportement
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailL énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère
LE CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LES PERFORMANCES DE TANÉO C EST L ASSURANCE : > DE 75 % D ÉNERGIE GRATUITE > D UN FONCTIONNEMENT
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailboilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable
boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable 1 boilers pompe à chaleur Midea est au niveau mondial un des plus important producteur de pompe à chaleur et de climatiseur
Plus en détailBabcock Wanson. Bienvenue. L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie
Babcock Wanson Bienvenue L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie BABCOCK WANSON INTERNATIONAL L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie Le Groupe
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailPourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments
Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailInstallateur chauffage-sanitaire
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme
Plus en détailarmoires de fermentation
armoires de fermentation contrôlée Le froid qui préserve vos pâtes 5 7 7, r u e C é l e s t i n H e n n i o n - 5 9 1 4 4 G O M M E G N I E S t é l. + 3 3. ( 0 ) 3. 2 7. 2 8. 1 8. 1 8 - f a x. + 3 3. (
Plus en détailSyScroll 20-30 Air EVO Pompes à chaleur réversibles
Compresseur croll Inverter Fluide Frigorigène R410a ycroll 20-30 ir EVO Pompes à chaleur réversibles De 20.0 à 34.0 kw De 20.0 à 35.0 kw 1 ycroll 20-30 ir EVO Les unités ycroll 20-30 ir EVO sont des pompes
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailFluide Frigorigène R407C HRW. de 5.8 à 38.1kW. Pompes à chaleur sur boucle d'eau Modèles 019 à 120. de 5.3 à 30.0kW
Fluide Frigorigène R407C HRW Pompes à chaleur sur boucle d'eau Modèles 019 à 1 de 5.8 à 38.1kW de 5.3 à.0kw Description des appareils 4 tailles de carrosserie avec compacité optimale, 10 modèles avec
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailSystème à débit variable T.One
C H A U F F A G E E T R A F R A I C H I S S E M E N T Système à débit variable T.One Pompe à chaleur Air/Air Habitat Système T.One Chauffage thermodynamique individ Une source d énergie renouvelable Une
Plus en détailNotre mission : garantir la haute disponibilité de vos données et applications critiques.
Notre mission : garantir la haute disponibilité de vos données et applications critiques. Emerson Network Power, est une division d Emerson (code NYSE : EMR), le leader mondial du Business-Critical Continuity.
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailUne introduction aux chauffe-eau solaires domestiques
Une introduction aux chauffe-eau solaires domestiques Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet de l utilisation de l énergie solaire afin de produire de l eau chaude domestique,
Plus en détailFiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT
Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des
Plus en détailElectrique / eau chaude. Discret. Rideaux d air ventilation seule. Simple - intelligent. Confortable - innovant
PW/PE en applique Electrique / eau chaude Esthétique soignée Commande intégrée ou à distance Barrière thermique de 1 m, 1,5 m et 2 m Confort intérieur ou appoint chauffage Hauteur de montage 2 à 3,5 m
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailGLOSSAIRE AIDE MEMOIRE DU CHAUFFAGE
JATECH Traitements Magnétiques des Fluides - Eaux - Gaz - Hydrocarbures Cidex 251 06330 ROQUEFORT LES PINS France tél/fax : 04 93 60 80 06 www.jatech.fr GLOSSAIRE AIDE MEMOIRE DU CHAUFFAGE E Générateur
Plus en détailPompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies
Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite. Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0
ROTEX Solaris - Utiliser l énergie solaire gratuite Nouveau : Chauffe-eau électro-solaire ROTEX HybridCube 343/0/0 Nouvelle solution eau chaude solaire auto-vidangeable estampillée NF CESI et Bleu Ciel
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailCours d Acoustique. Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité
1 Cours d Acoustique Techniciens Supérieurs Son Ière année Aurélie Boudier, Emmanuelle Guibert 2006-2007 Niveaux Sonores Puissance, Pression, Intensité 1 La puissance acoustique Définition La puissance
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détailComment économiser de l électricité dans le bloc traite?
Comment économiser de l électricité dans le bloc traite? La consommation électrique du bloc traite représente 20 % en moyenne de la consommation énergétique totale d une exploitation laitière. Le tank
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailTABLE à LANGER MURALE PRO
S I G U L D A TABLE à LANGER MURALE PRO INFORMATIONS IMPORTANTES - LIRE ATTENTIVEMENT ATTENTION : conserver les différents éléments d emballage hors de portée des enfants pour éviter tout risque d étouffement.
Plus en détailService correctionnel du Canada Direction des services techniques Systèmes électroniques NORMES EN ÉLECTRONIQUE
Service correctionnel du Canada Systèmes électroniques SE/NE-0401 Révision 1 NORMES EN ÉLECTRONIQUE SYSTÈME DE DÉTECTION À LA CLÔTURE SYSTÈME PÉRIMÉTRIQUE DE DÉTECTION DES INTRUSIONS Préparé par : Approuvé
Plus en détail4.14 Influence de la température sur les résistances
nfluence de la température sur la résistance 4.14 nfluence de la température sur les résistances ne résistance R, parcourue par un courant pendant un certain temps t, dissipe une énergie calorifique (W
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailÉchangeurs de chaleur à contact direct
Échangeurs de chaleur à contact direct par Alain BRICARD Ingénieur du Conservatoire National des Arts et Métiers Ingénieur de Recherche au Centre d Études Nucléaires de Grenoble et Lounès TADRIST Docteur
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailDatacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité
Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailPerformances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.
Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et
Plus en détailà la fonction remplie par la pièce. AMP 1200 est un système de ventilation décentralisée d'applications. AMP 1200 est une centrale
68 NOMBREUSES POSSIBILITÉS OFFERTES PAR AMP 1 69 INFORMATION PRODUIT AMP 1 Avec un Airmaster vous ne choisissez pas seulement une solution d'avenir durable - mais PLEINS FEUX SUR LA FONCTIONNALITÉ ET LE
Plus en détailen Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...
Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque
Plus en détail30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation
SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et Valoriser les combles perdus s Un bâtiment perd de la chaleur par le haut, car la chaleur monte. L isolation de la toiture est donc la priorité. 30
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailThermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique
Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 Eau Easitemp définit un nouveau standard pour les thermorégulateurs. Un concept innovant,
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détailSARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine
Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes
Plus en détailMODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS
MODE D EMPLOI DES BAINS DE TABLE NUMÉRIQUES À ULTRASONS SONICLEAN SONICLEAN DIGITAL BENCHTOP ULTRASONIC CLEANERS MODÈLES: 80TD, 120TD, 160TD/HD, 250TD/HD, 500TD/HD, 750TD/HD, 800TD/HD, 1000TD/HD, 2000TD/HD,
Plus en détail