Police scientifique Quelles leçons retenir?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Police scientifique Quelles leçons retenir?"

Transcription

1 Police scientifique Quelles leçons retenir? P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012 La tenue des médecins est parfois conforme mais pas toujours comme à l hôpital P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012

2 Première leçon : Ne pas contaminer une scène de crime P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012 Port des gants pour ne pas contaminer les indices P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012

3 Les mains gantées touchent les indices. P.Chaize - B.Croze 25 octobre puis parfois le matériel d investigation P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012

4 Dr MALARD a quitté ses gants pour prendre l appareil photo! P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012 Deuxième leçon : se protéger P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012

5 Port de lunettes pour se protéger Les lunettes de vue ne protègent pas complètement des projections des sur lunettes ou une visière sont nécessaires P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012 Son charme n est pas altéré par le port de lunettes de protection! P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012

6 Tenue civile qui côtoie des tenues de blocs P.Chaize - B.Croze 25 octobre 2012 Vous êtes aussi des experts des experts en soins

7 Prévention du risque professionnel Les experts en soins se protègent Quelques piqûres de rappel avec Jackie P Chaize B Croze 25 octobre ,2% des accidents percutanés évitables par la seule observance des «précautions standard» Source RAISIN AES GERES 2009 P Chaize B Croze 25 octobre

8 Les précautions standard Port d un masque Port de protection oculaire Port de tablier à usage unique Port de gants à usage unique P Chaize B Croze 25 octobre Les équipements de protection individuelle (EPI) P Chaize B Croze 25 octobre

9 Comment se protéger? P Chaize B Croze 25 octobre La tenue professionnelle est la première protection P Chaize B Croze 25 octobre

10 Pré-requis Attacher les cheveux longs Porter une tenue et des chaussures réservées au travail Avoir des chaussures fermées sur le devant Boutonner sa blouse ou sa tunique! P Chaize B Croze 25 octobre Les Équipements de protection individuelle Des «mesures barrières» sécuritaires, disponibles pour tout soignant Encore faut-il les porter! même si votre médecin préféré ne vous les a pas prescrits ne montre pas l exemple P Chaize B Croze 25 octobre

11 Port du masque Pour protéger le soignant (PS) Lors de soins avec risque de projections de sang, de liquides biologiques aspiration retrait de redon laboratoires de produits chimiques / toxiques préparation produits laboratoires vapeurs toxiques Si le patient présente une toux supposée d origine infectieuse P Chaize B Croze 25 octobre Port du masque Pour protéger le soignant lors de la mise en place des précautions complémentaires «Air ou Gouttelettes» P Chaize B Croze 25 octobre

12 Port du masque Pour protéger le patient bloc geste invasif isolement protecteur si professionnel enrhumé P Chaize B Croze 25 octobre Rôle du masque chirurgical Norme EN CE Fait écran aux projections de sécrétions ou de salive de celui qui le porte aux projections de sang, de liquide biologique lors de soins à risque Filtre les agents infectieux > 5 microns transmissibles par voie «gouttelettes» 24

13 Rôle d un appareil respiratoire APR de type FFP* Norme EN 149 Filtre les agents infectieux transmissibles par voie aérosol lors de manœuvres invasives, en cas d exposition à certains micro-organismes transmissibles par voie respiratoire les vapeurs toxiques * Pièce faciale filtrante 25 Le port du masque Un masque bien posé = une protection assurée 2. Modeler la barrette à l anatomie de son nez 1. Vérifier le sens (externe/interne) 3. Fixer les liens supérieurs au dessus des oreilles Ne pas croiser les liens 4. Positionner le bas du masque en englobant le menton 5. Fixer les liens inférieur sous les oreilles À jeter dès que mouillé, ou souillé, ou durée de vie dépassée 26

14 Freins au port du masque Le masque est inconfortable Le masque n est pas adapté à la morphologie du visage Le masque a un coût, prend du temps Le masque est gênant sur le nez il est manipulé et fait le «yoyo» P Chaize B Croze 25 octobre Quelles solutions? Choisir le bon type de masque Le masque doit couvrir le nez, le menton et la bouche Il doit être appliqué hermétiquement sur le visage Formation «mise en place du masque» obturer la surface filtrante, inspirer, le masque doit s écraser contre le visage si bien mis (mise en dépression) Il ne doit pas être repositionné Il peut être gardé de chambre en chambre mais non porté en collier lors d une épidémie, en service d hémato oncologie, ou si soignant enrhumé P Chaize B Croze 25 octobre

15 Port d une protection oculaire (2) Chaque fois qu il existe un risque de projection ou d aérosolisation (PS) de sang ou de liquide biologique de produits chimiques (préparation des produits) lors de rayonnements optiques (laser, UV ) Notamment au bloc opératoire, stérilisation en endoscopie en hémodialyse en salle d autopsie, de plâtre P Chaize B Croze 25 octobre Port d une protection oculaire Respect du port de lunettes dans 28% alors que les circonstances l exigeaient Source Hospices Civils de Lyon 2006 P Chaize B Croze 25 octobre

16 Freins au port d une protection oculaire Absence de lunettes dans le service Crainte de porter des lunettes pouvant être souillées par le patient Crainte de porter des lunettes portées par tous Matériel inadapté au porteur de lunettes de vue Inconfortables Gênant la vision Modèle pas adapté à la morphologie du visage, pas de taille P Chaize B Croze 25 octobre Quelles solutions? Masque à visière Lunettes à usage unique Lunettes à usage multiple nominatives essuyage au DD avant utilisation À moindre coût que l usage unique Branches latérales ajustables, cordelettes réglables Légères Protèges front, pont de nez, protecteurs latéraux Solution pour les porteurs de lunettes de vue participer au test prescription d une monture de protection P Chaize B Croze 25 octobre

17 Port du tablier à usage unique (3) Lors de soins susceptibles d être souillants, mouillants, exposant au sang ou aux liquides biologiques (PS) Lors d un soin direct auprès d un patient requérant des Précautions complémentaires «Contact» P Chaize B Croze 25 octobre Freins au port du tablier à usage unique Manque d élégance Taille unique Ne protège pas les épaules Tient «chaud» Inconfortable P Chaize B Croze 25 octobre

18 Quelles solutions? Adhésion variable selon les services Équipement imperméable protecteur Léger, taille unique Coté pratique des rouleaux de distribution des tabliers EPI à faible coût Sur blouse manches longues poignets resserrés à réserver pour des indications spécifiques (gale, BHR ) P Chaize B Croze 25 octobre Port de gants à usage unique (4) S il y a un risque de contact avec du sang ou tout autre produit d origine humaine Les muqueuses ou la peau lésée du patient Lors de la manipulation de tubes de prélèvements biologiques, de linge et matériels souillés Lors de tout soin lorsque les mains du soignant comportent des lésions (coupure, blessure, excoriation ou dermatose) (PS) P Chaize B Croze 25 octobre

19 Intérêt du port de gants P Chaize B Croze 25 octobre Port de gants en prévention du risque AES Lors de la réalisation d une injection : 50,5 % Source : RAISIN AES 2009 Lors de la pose d un cathéter veineux périphérique : 67 % Source Audit cathéter veineux GREPHH 2010 P Chaize B Croze 25 octobre

20 P Chaize B Croze 25 octobre Freins au port de gants Manque d habitude Manque d apprentissage de la gestuelle gantée On ne «sent» rien Peur de rater le patient Pas la bonne taille Cela prend du temps Il n y a pas de risque Personne dans le service n en porte sauf les étudiants P Chaize B Croze 25 octobre

21 Par contre, ils sont portés systématiquement - dans de très nombreuses situations - lors d enchaînement de soins sans être retirés Ils deviennent des objets relais et augmentent le risque de transmission croisée. Les gants, mal utilisés, comportent plus de risques que le bénéfice attendu. THOMPSON BL ICHE 1997 GIROU E J Hosp Infect 2004 P Chaize B Croze 25 octobre Port de gants Il est recommandé de ne pas mettre systématiquement des gants de soins non stériles en entrant dans la chambre avant de pratiquer un soin sur peau saine avant de toucher l environnement proche, d un patient auquel s appliquent les précautions complémentaires de type contact. (exceptions : Clostridium difficile toxinogène, entérocoques résistants aux glycopeptides (ERG) Recommandation 94 Prévention de la transmission croisée SFHH 2009 P Chaize B Croze 25 octobre

22 Quelles solutions? Adhésion variable selon les services, selon les soignants, selon les organisations de travail Le risque AES est identique quel que soit le patient, jeune, âgé, facile ou difficile à piquer Les gants existent en plusieurs tailles et qualités participer au test Un gant adapté à la morphologie de la main, ne nuit pas à la dextérité donc à la réussite du geste P Chaize B Croze 25 octobre Quelles solutions? Gestuelle qui s apprend il est judicieux de démarrer l apprentissage auprès de patients «faciles» à piquer prévoir les gants lors d un soin à risque de contact avec les liquides biologiques persévérer pour les porter lors des prélèvements sanguins P Chaize B Croze 25 octobre

23 Vous êtes de plus en plus nombreux : Port de gants ,9 % ,1 % Source : RAISIN AES 2009 P Chaize B Croze 25 octobre Il est possible et obligatoire de se protéger sans ressembler à ce soignant P Chaize B Croze 25 octobre

24 Les experts se protègent Sont responsables de leur comportement professionnel et de leur sécurité Sont cohérents avec les règles professionnelles, les actes et le discours visà-vis des collègues et des étudiants Participent à l image collective du service Ils associent toujours une hygiène des mains au port des EPI P Chaize B Croze 25 octobre P Chaize B Croze 25 octobre

25 Bibliographie SF2H. Recommandations nationales. Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact SF2H. Recommandations pour l hygiène des mains SF2H. Prévention des infections liées au cathéters veineux périphériques.2005 HCSP - SF2H. Surveiller et prévenir les infections associées aux soins SF2H. Prévention des infections associées aux chambres à cathéter implantables pour accès veineux GERES. Guide des matériels de sécurité et des dispositifs barrières OMS Usage des Gants : Fiche d Information. avril 2010 P Chaize B Croze 25 octobre

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire

Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire PRÉVENIR Précautions standard Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire DGS/DH - n 98/249 du 20 avril 1998 relative à la prévention de la transmission d agents infectieux véhiculés par

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Prévenir... les accidents des yeux

Prévenir... les accidents des yeux Prévenir... les accidents des yeux 19 Ce qui peut venir troubler notre vision Chaque année, des milliers de personnes perdent la vue ou ont une importante baisse de la vision, à la suite d un accident

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions

L opération de la cataracte. Des réponses à vos questions L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

LA PERTE DE CONSCIENCE

LA PERTE DE CONSCIENCE CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)

Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer

Plus en détail

Notre système. Immunitaire

Notre système. Immunitaire Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l

Plus en détail

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

Votre bébé a besoin de soins spéciaux

Votre bébé a besoin de soins spéciaux Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Apprendre en pratique - dès le début.

Apprendre en pratique - dès le début. Apprendre en pratique - dès le début. Les unités de simulation de la gamme KaVo permettent une formation optimale grâce à un agencement flexible des composants de l équipement, une ergonomie excellente

Plus en détail

CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique

CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED. Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique CHROMOPHARE Génération F : éclairage innovant à réflecteur avec LED Un concept et un design d'éclairage qui réunissent fonctionnalité et esthétique Tuttlingen, novembre 2011 - La nouvelle CHROMOPHARE Génération

Plus en détail

NOTICE D UTILISATION. Masque de soudage protecteur de vision

NOTICE D UTILISATION. Masque de soudage protecteur de vision NOTICE D UTILISATION Masque de soudage protecteur de vision Attention : Lire attentivement le présent manuel dans son intégralité avant d utiliser le masque de soudage. Table des matières GUIDE DE L UTILISATEUR

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Extraits et adaptations

Extraits et adaptations Extraits et adaptations Guide de prévention des troubles musculo-squelettiques (TMS) en clinique dentaire - 2007 MOYENS DE RÉCUPÉRATION MUSCULAIRE Il est difficile de donner des soins dentaires en évitant

Plus en détail

LES RÈGLES D OR DE TOTAL

LES RÈGLES D OR DE TOTAL rendez-vous sur www.total.com Direction de la Sécurité Industrielle TOTAL S.A. Siège social : 2, place Jean Millier La Défense 6 92078 Paris-La Défense Cedex France Tel. +33 (0)1 47 44 45 46 Capital social

Plus en détail

Manuel de l ergonomie au bureau

Manuel de l ergonomie au bureau Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres

Plus en détail

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect

EBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE

APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 DE SCOTT POUR LES FORCES DE DEFENSE ET DE SECURITE FACE AU DANGER APPAREIL DE PROTECTION RESPIRATOIRE NBC M 95 LE MASQUE M 95 DE SCOTT SURPASSE LES NORMES DE

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Vêtements Cuir. Protection du soudeur. Tarifs au 1er mars 2010

Vêtements Cuir. Protection du soudeur. Tarifs au 1er mars 2010 Vêtements Cuir Le cuir brun Lava résistant à la chaleur et aux flammes est à base de croûte de cuir résistant et souple. Toutes les coutures ont des piqûres doubles avec du fil très solide et résistant

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs

La technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts

Plus en détail

Références et partenaires :

Références et partenaires : Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR

ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES SUR LA SANTE Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR Capacité de Médecine et Santé au Travail

Plus en détail

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail

Procédures Utilisation des laboratoires L2

Procédures Utilisation des laboratoires L2 N PROCEDURES Personnes page concernées I PROCEDURES D UTILISATION I-1 Entrée/sortie du personnel Utilisateurs 2 I-2 Utilisation d un PSM de type II Utilisateurs 3 I-3 Elimination des déchets solides Biologiques

Plus en détail

www.ceotronics.fr CT-DECT GateCom 3W avec Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth / tablette tactile et téléphones GSM Geschäftsbericht 09/10 I 1

www.ceotronics.fr CT-DECT GateCom 3W avec Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth / tablette tactile et téléphones GSM Geschäftsbericht 09/10 I 1 www.ceotronics.fr CT-DECT avec Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth / tablette tactile et téléphones GSM Geschäftsbericht 09/10 I 1 NOUVEAU! 3W (3-voies) avec CT-DECT GateCom Fonction CT-ASR CT-DECT Bluetooth

Plus en détail

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes

Plus en détail

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS PEDICULOSES PARASITOSES Hélène DALMAS Les pédiculoses (poux), la gâle sont dues à une infestation de l homme par des parasites. Ile se transmettent par contact avec une personne atteinte. Ils sont surtout

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe

Plus en détail

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau

TACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau TACHES N 1 Descendre les marches Marcher le long de la ligne S appuyer sur les deux

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)

Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son

Plus en détail

Guide d utilisation des LASER

Guide d utilisation des LASER Guide d utilisation des LASER Mai 2013 Mikael Leduc, département de génie physique Officier en Sécurité Laser Table des matières 1. Laser 1.1 Classes et dangers p.2 1.2 Exposition maximum permise p.3 2.

Plus en détail

L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE

L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire

Plus en détail

Contexte de la chimiothérapie à domicile

Contexte de la chimiothérapie à domicile Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle

Plus en détail

Surveillance des accidents avec exposition au sang dans les établissements de santé français en 2008 Résultats

Surveillance des accidents avec exposition au sang dans les établissements de santé français en 2008 Résultats Maladies infectieuses Surveillance des accidents avec exposition au sang dans les établissements de santé français en 2008 Résultats Sommaire Abréviations 2 1. Introduction 3 2. Objectifs 3 2.1 Connaître

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération

GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération GUIDE D'ENSEIGNEMENT PRÉOPÉRATOIRE Pour la clientèle admise avant l'opération Voici un petit guide qui vous renseignera sur tous les éléments à connaître concernant votre chirurgie. AVANT L OPÉRATION Les

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

COLLABORATEURS CLINIQUES

COLLABORATEURS CLINIQUES CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière

Plus en détail

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4

1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4 Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie

Plus en détail

et protection Une nouvelle référence : design, confort The Power to Protect Your World*

et protection Une nouvelle référence : design, confort The Power to Protect Your World* 3M Département Solutions pour la Protection Individuelle 3M Peltor Série X Une nouvelle référence : design, confort et protection SM The Power to Protect Your World* 1765.indd 1 NOUS VIVONS DANS UN MONDE

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Protection EPI, Equipements individuels

Protection EPI, Equipements individuels Protection EPI, Equipements individuels SECURITE ANTI CHUTE Réf: 12150 Longe polyamide 12 mm Longueur 1,50 m Réf: 15020 Cordage polyamide 15 mm Longueur 20 m Réf: 15030 Cordage polyamide 15 mm Longueur

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0

Eau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0 Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit

Plus en détail

Chapitre IV : Gestion des soins

Chapitre IV : Gestion des soins Chapitre IV : Fiche n IV.1 : Actes infirmiers et de nursing : Soins respiratoires - Aérosolthérapie Injections : IV/IM/SC Soins respiratoires - Oxygénothérapie Hygiène des mains professionnels et résidents

Plus en détail

Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE

Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE Compte-rendu de la conférence débat du 26 mai 2005 : LA TELECHIRURGIE Intervenants : - Docteur Nicolas Bonnet, chirurgien, service de Chirurgie Thoracique et Cardiovasculaire de l Hôpital de la Pitié-Salpêtrière,

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -

SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des

Plus en détail