SEMINAIRE SUR L ANALYSE DE L INFORMATION STATISTIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT. TUNIS les 13 et 14 Avril 2005
|
|
- Jean-Michel Martel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SEMINAIRE SUR L ANALYSE DE L INFORMATION STATISTIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT TUNIS les 13 et 14 Avril 2005 L INFORMATION STATISTIQUE AU SERVICE DE LA MODELISATION MACROECONOMIQUE CAS DE LA DPP * * Communication de M Moulay Ali SADIKI, Chef de service, Direction de la Prévision et de la Prospective, Haut Commissariat au Plan, Maroc
2 I- Introduction L étude diagnostique de l évolution économique et sociale, et la gestion du développement requièrent des indicateurs adéquats permettant d évaluer les acquis, de dégager les potentialités et surtout de déceler les insuffisances et les entraves à l origine des contres performances soulevées. Ce processus est mis en œuvre à travers l analyse de l information statistique et la confection des instruments analytiques, en l occurrence les modèles économiques dont les plus usuels sont les modèles de croissance, les modèles quasi-comptables, les modèles d équilibre général calculable, et les modèles macro-économétriques. A cet égard, l expérience marocaine en matière d analyse de l information statistique et des techniques de modélisation est riche, et plusieurs modèles macro-économiques sont construits ou en cours de construction. II- Attributions de la Direction de la Prévision et de la Prospective La Direction de la Prévision et de la Prospective du Haut Commissariat au Plan, de par ses attributions, est chargée de l élaboration du cadre macro-économique, de l'établissement des budgets économiques annuels et de mener des études de prospective et de simulation des effets des actions de la politique économique et des facteurs exogènes pour l éclairage de la prise de décision. II-1- Le cadre macro-économique Le cadre macro-économique, c est un document technique qui présente des projections économiques cohérentes à moyen terme. Cet instrument de cadrage des programmes socio-économiques pluriannuels est présenté généralement sous deux scénarios : x un scénario tendanciel mettant l accent sur les conséquences de la reconduction des politiques économiques antérieures x et l autre précisant les conditions requises pour la concrétisation des objectifs économiques et financières. Le cadre macro-économique sous-tend toujours les travaux de la préparation du plan de développement économique et social du pays en fixant les objectifs chiffrés de celui-ci, d où l importance de l information statistique fiable et actualisée pour mener à bien cette tâche. 2
3 II-2- Le budget économique L une des taches les plus importantes qu assume la Direction de la Prévision et de la Prospective est l élaboration des budgets économiques. Le budget économique traite des prévisions à court terme, ce qui permet le suivi macroéconomique de la réalisation des programmes pluriannuels en liaison avec la conjoncture économique et financière. Il étudie ainsi les évolutions nouvelles ou prévisibles qui pourraient affecter les engagements des pouvoirs publics à moyen terme et établit des perspectives à court terme de l ensemble des opérations économiques. Il se présente généralement sous deux versions : exploratoire et prévisionnel. En supposant la reconduction de la politique budgétaire et fiscale de l année en cours, le budget économique exploratoire présente les perspectives économiques exploratoires cohérentes pour l année suivante. Il constitue de ce fait un cadre de référence pour les institutions compétentes les aidant à identifier les actions et les mesures susceptibles d engendrer une croissance économique meilleure et d éviter les goulots d étranglement émanant de l évolution conjoncturelle du contexte à la fois national et international. L autre version du budget économique, à savoir Le budget économique prévisionnel, elle n est autre chose qu une actualisation de la version exploratoire sur la base des nouvelles informations économiques de conjoncture, des dispositions de la loi de finances adoptée et des perspectives internationales révisées par les institutions internationales spécialisées. II-3- La simulation de la politique économique Les pouvoirs publics entreprennent des mesures et des réformes, soit pour appuyer les programmes de développement économique et social, soit dans le cadre de l application de dispositions de différents accords établis avec le reste du monde. Des études sont donc nécessaires pour déterminer les effets de telles actions sur l économie nationale et sur le comportement des agents afin d éclairer la prise de décision quant aux types de mesures d accompagnement à mettre en œuvre. Le but étant d optimiser les résultats attendus et d éviter les distorsions susceptibles de surgir à tout moment. 3
4 III- les instruments analytiques de la Direction de la Prévision et de la Prospective Pour mener à bien les différentes activités d analyse, de prévision, de projection et de simulation, la Direction de la Prévision et de la Prospective dispose d un certain nombre d instruments, qui sont : le modèle de croissance, le modèle quasi-comptable, le modèle d équilibre général calculable et le modèle macro économétrique. L information statistique nécessaire à l élaboration des bases de données complètes et cohérentes servant au cadre comptable de ces modèles, aux estimations et calibrage des paramètres est disponible dans les publications de la direction de la statistique, de la direction de la comptabilité nationale, de l office de change et de bank al magreb. Ainsi plusieurs opérations de grande envergure ont été réalisées par le Système National d Information Statistique pour répondre aux besoins des utilisateurs. La plupart de ces informations ne nécessitent généralement aucun traitement. D autres informations ont fait l objet d un traitement spécial pour établir des indices synthétiques, entre autre la demande mondiale adressée au Maroc, l indice des prix dans les pays partenaires et le revenu des agents économiques notamment celui des ménages. Quelques agrégats ne sont pas disponibles dans ces publications, tel que le stock du capital, pour remédier à cette insuffisance, le recours a été fait à d autres travaux et recherches réalisés en la matière à savoir l étude sur «les sources de croissance de l'économie marocaine» réalisée par la direction de la planification. III -1- Le modèle de croissance Le cadre comptable de ce modèle est inspiré des comptes nationaux. Il a pour but de fournir les projections économiques cohérentes à moyen terme. Il se base sur la théorie des modèles de croissance et qui part de l hypothèse que le niveau d épargne et de devises constitue des contraintes potentielles du taux de croissance économique dans le pays. Le fonctionnement de ce modèle repose essentiellement sur la réalisation, expost, de l équilibre entre ressources et emplois, à la fois d épargne et de devises, ainsi que sur les mécanismes d ajustement dans l économie qui permettent d atteindre cet équilibre à partir des projections ex-ante des variables macroéconomiques. 4
5 Ce modèle de projection, est un instrument essentiel pour tout travail de planification. Il fixe les objectifs économiques à atteindre et définit les conditions requises pour leur concrétisation. Il est suffisamment flexible pour permettre de simuler différentes modifications des paramètres clés de politiques économiques et des variables exogènes selon les préoccupations du planificateur. Il s agit essentiellement d évaluer le besoin de financement sous différents scénarios de politiques économiques et d évolution de l environnement extérieur. III -2- Le modèle quasi-comptable L élaboration du modèle quasi-comptable par les services du Haut Commissariat au Plan est dictée par le besoin de faire des prévisions économiques à court terme qui sont nécessaires à l'établissement du budget économique. C'est un instrument qui garantit la cohérence comptable des prévisions et peut accueillir facilement les informations issues de l'analyse conjoncturelle, et intégrer progressivement les estimations économétriques issues de l'amélioration et de l'allongement des séries statistiques. Les soubassements théoriques du modèle sont d inspiration keynésienne, sauf pour le secteur agricole et l'administration publique. Pour les différentes branches non agricoles il est supposé que l'offre de biens et services suit l'évolution de la demande. Pour l'agriculture dont la production dépend des conditions climatiques, son évolution est appréhendée par des indicateurs établis en dehors du modèle. Le modèle quasi-comptable est construit sur la base des principaux instruments de la comptabilité nationale nouvellement publiés, à savoir la matrice de production des branches, le tableau ressources emplois (TES), le tableau économique intégré et le tableau des opérations financières (TOF). III -3- Le modèle d'équilibre général calculable Le modèle d'équilibre général calculable est un outil de simulation des politiques économiques, dont le cadre comptable est fournit par la matrice de comptabilité sociale publiée officiellement pour la première fois au Maroc pour l année Ce modèle traite des activités sectorielles (Agriculture, Mines, Energie, Industrie, BTP, Services marchands et Services non marchands) et de deux facteurs de production le travail et le capital. Les ménages, les entreprises, l'etat et le reste du monde sont les institutions retenues dans le modèle. 5
6 Le modèle peut répondre à des questionnements sur les effets afférents à des mesures, des réformes et des chocs exogènes sur l'économie nationale. Il permet de mesurer les variations des différents agrégats économiques entre l'équilibre initial et final suite aux changements des variables de politiques économiques retenues dans le modèle. Cependant, il convient de préciser que ce genre de modèle est conditionné par la structure de la matrice de la comptabilité sociale qui le sous-tend. III -4- Le modèle macroéconométrique Les travaux de construction de ce modèle sont entamés en collaboration avec l INSEE, et ce, dans le cadre du programme d appui à la planification stratégique mené par la Direction de la Prévision et de la Prospective en collaboration avec le PNUD. Ce modèle est en cours de finalisation pour la version annuelle agrégée à un seul produit. Pour la version annuelle désagrégée, les travaux d élaboration sont entamés. la version trimestrielle du modèle, n a pas encore vu le jour étant donné les contraintes de la disponibilité d informations statistiques infra annuelles relatives à plusieurs agrégats de l'économie nationale et qui sont en cours d élaboration par la Direction de la Comptabilité Nationale. Le modèle macro-économétrique agrégé part d hypothèses chiffrées et applique un ensemble de formules mathématiques décrivant le comportement des agents pour produire une description logique de l évolution des principales variables de l économie marocaine. Il est destiné essentiellement à la compréhension des mécanismes régissant l économie nationale, à l analyse des changements structurels, à l analyse des conséquences de décisions de politique économique et aux prévisions à court et moyen terme. Les principaux aspects qui caractérisent le modèle macroéconométrique agrégé sont : x Macro-économique x Econométrique x Structurel x Dynamique x Néo-keynésien à court terme et néoclassique à long terme 6
7 L aspect macro-économique signifie que le modèle décrit le comportement de chaque agent économique de manière agrégée. Les agents pris en considération sont: les ménages, les entreprises, les institutions financières, l Etat et le reste du monde. Le terme Econométrique et structurel, signifie que les formulations estimées ont été définies à l avance parmi un ensemble respectant une certaine théorie. Le rôle de l économétrie est de valider les équations prédéfinies et d orienter le choix des versions alternatives. Le terme Dynamique, signifie que les valeurs passées des variables affectent le présent. Le terme Keynésien, signifie ici que: l offre dépend de la demande, mais la demande dépend aussi clairement de l offre. Une augmentation de la production génère des investissements et des emplois, donc une augmentation des salaires, des revenus et de la consommation. Le modèle n est pas simplement keynésien, mais présente des éléments importants de côté offre, en particulier la production dépend des capacités disponibles et du taux d utilisation de ces capacités. De ce fait le modèle est mixte, il contient des aspects néo-classiques et des aspects keynésiens. Il est à rappeler que le modèle permet aussi de spécifier les trois grands processus de croissance à savoir: i) Les effets multiplicateurs qui correspondent à une variation plus que proportionnelle de l activité économique suite à un choc exogène ; ii) les effets de compétitivité qui entretiennent deux processus de croissance fondés sur la substitution relative des importations par la production domestique et le développement des exportations ; iii) les effets de productivité qui sont induits par des économies d échelle obtenues par la mise en œuvre, soit d investissements de capacité en réponse à une hausse de la demande, soit d investissements de modernisation et de rationalisation qui conduisent à des gains de productivité. IV- Conclusion Les travaux de la construction des modèles macro-économiques nécessitent une attention particulière pour l élaboration et le traitement des bases de données, 7
8 une maîtrise de l outil informatique, notamment les logiciels spécialisés et une concertation continue avec les producteurs de l information statistique. Ainsi, toute amélioration en terme de régularité de production d informations statistiques et de comptes nationaux, de désagrégation, de couverture spatiale et temporelle et d harmonisation avec les statistiques sous produites apporterait plus d efficacité aux instruments analytiques et plus de précision aux prévisions et aux projections économiques. 8
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailMonnaie, chômage et capitalisme
Franck Van de Velde Monnaie, chômage et capitalisme Presses Universitaires du Septentrion internet : www.septentrion.com Sommaire Introduction Générale 7 1. Monnaie 7 2. Monnaie et capitalisme 10 3. Monnaie,
Plus en détailLe Cadre de Dépenses à Moyen Terme. Définition et principes généraux
Le Cadre de Dépenses à Moyen Terme Définition et principes généraux Définition du CDMT Le CDMT est un instrument de programmation triennal glissant permettant de placer la gestion budgétaire dans une perspective
Plus en détailENSIIE. Macroéconomie - Chapitre I
ENSIIE Macroéconomie - Chapitre I Le 13 avril 2013 Table des matières 1 Introduction 2 2 La théorie Keynésienne 3 2.1 Keynes......................................... 3 2.2 Quelques ordres de grandeur.............................
Plus en détailConsommation et investissement : une étude économétrique
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une
Plus en détailPrésentation du projet de jumelage
MISE EN PLACE D UN CADRE DE POLITIQUE MONÉTAIRE AXÉ SUR LE CIBLAGE D INFLATION À LA BANQUE CENTRALE DE TUNISIE Présentation du projet de jumelage Mohamed Salah SOUILEM Directeur Général de la Politique
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailRéduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009?
Note expresse N 61 juin 2009 Réduction de la commande publique : jusqu à 2 points de croissance en moins en 2009? Moteur essentiel du dynamisme économique réunionnais, la commande publique a contribué
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailPatrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao
Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations
Plus en détailPOINT D ETAPE SUR LES EVOLUTIONS DU FINANCEMENT
Haut Conseil du financement de la protection sociale POINT D ETAPE SUR LES EVOLUTIONS DU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE Mars 2014 Page 1 Page 2 POINT D ETAPE SUR LES EVOLUTIONS DU FINANCEMENT DE
Plus en détailRecommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailFINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC
FINANCEMENT DU DEFICIT BUDGETAIRE AU MAROC Rabat, 19 octobre 21 M. Ahmed HAJOUB Adjoint au Directeur du Trésor et des Finances Extérieures chargé du pôle macroéconomie I- Consolidation budgétaire: expérience
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailQuels outils pour prévoir?
modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailLSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg
LSM2 : un modèle avec secteur bancaire pour le Luxembourg Szabolcs Deák 1 - Lionel Fontagné 2 - Marco Maffezzoli 3 - Massimiliano Marcellino 4 Introduction Les modèles dynamiques stochastiques d équilibre
Plus en détailLes comptes nationaux et le SEC 2010
Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailBANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailTable des matières. Principaux indicateurs macro-économiques. 1
Tableau de bord des indicateurs macro-économiques mai 2015 Table des matières Présentation générale Principaux indicateurs macro-économiques. 1 Comptes et agrégats de la nation.... 2 Valeur ajoutée réelle
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailLA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE
LA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE Karl Heinz Braun, chercheur-associé à Etopia et député Ecolo au Parlement de la Communauté germanophone Décembre 2011 www.etopia.be 222222 Page 2 sur 6 La plupart
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailMémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.
Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY
Plus en détailEpargne et investissement
Epargne et investissement Nature du sujet : Sujet de type «mise en relation». Mots-clés / Définitions : Tous! «Epargne» : Part du revenu qui n est pas consommée Epargne des ménages : - Concept le plus
Plus en détailProgramme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?
Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements
Plus en détailHausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Bureau fédéral du Plan Avenue des Arts 47-49, 1000 Bruxelles http://www.plan.be WORKING PAPER 11-09 Hausse de la fiscalité sur l énergie et baisse d autres formes de prélèvement : résultats macroéconomiques
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailDEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE DES RÉSULTATS
Deuxième étude d impact quantitative sur le risque de marché Sommaire des résultats Comité mixte BSIF, AMF et Assuris Janvier 2011 DEUXIÈME ÉTUDE D'IMPACT QUANTITATIVE SUR LE RISQUE DE MARCHÉ SOMMAIRE
Plus en détail2.1.4. L'équilibre général des échanges
2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailPartie 5 : La consommation et l investissement
Partie 5 : La consommation et l investissement Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite La troisième partie a exposé les théories
Plus en détailNuméro 2010/01 Juin 2010 La désindustrialisation en France
Numéro 2010/01 Juin 2010 La désindustrialisation en France Lilas DEMMOU LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE Une analyse des déterminants intérieurs (évolution de la structure de la demande et externalisation
Plus en détailRèglement interne de la Société suisse de crédit hôtelier
Règlement interne de la Société suisse de crédit hôtelier (Règlement interne de la SCH) du 26 février 2015 Approuvé par le Conseil fédéral le 18 février 2015 L administration de la Société suisse de crédit
Plus en détailMacroéconomie chapitre IV : L'économie ouverte, le marché des changes Le modèle Mundell-Fleming, Changes Flexibles
Université Paris IX Dauphine UFR Mathématiques de la Décision 2ème année de DEUG MASS Macroéconomie, Cours de C. Hurlin Année 2001/2002 Macroéconomie chapitre IV : L'économie ouverte, le marché des changes
Plus en détailLe CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique
Le CRM en BFI : une approche du pilotage stratégique Sébastien Pasquet, Responsable de missions Le CRM (Customer Relationship Management) s est développé depuis 10 ans essentiellement par l intégration
Plus en détailRoyaume du Maroc. Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation. L'épargne intérieure au Maroc
Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation L'épargne intérieure au Maroc Décembre 2001 Constituant une sélection mensuelle des travaux menés par les cadres de la Direction
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailObservation et Conjoncture Économique. Économie Nationale approche par les revenus
Observation et Conjoncture Économique Économie Nationale approche par les revenus qu est ce que le Revenu? La rémunération des facteurs de production? Le capital Le travail La consommation intermédiaire
Plus en détailNote d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.
Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie
Plus en détailMonnaie, Banque et Marchés Financiers
Collection FlNANCE dirigée par Yves Simon, Professeur à l'université Paris-Dauphine, et Delphine Lautier, Professeur à l'université Paris-Dauphine Monnaie, Banque et Marchés Financiers Didier MARTEAU C
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailNote de présentation générale. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES 11 mai 2010 «Variantes de durée d assurance et d âges de la retraite» Dossier technique préparé par le secrétariat général du COR Document N 1 Document de travail, n
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détail3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques
3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par
Plus en détailChocs des prix internationaux et bonnes pratiques agricoles au Burkina Fao
1 sur 45 Chocs des prix internationaux et bonnes pratiques agricoles au Burkina Fao Une approche d équilibre général Á propos du Programme de formation aux politiques de la FAO Ce programme a pour but
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailNombre de crédits Nombre d'évaluation UE Majeure de spécialité 6 2. UE mineure de spécialité 3 ou 2 1. UE libre 1 1
Mode d'évaluation Pour les sessions normales, le nombre d'évaluations dépendra de la nature de l UE. Ainsi: les UE majeures comportent deux évaluations: une évaluation à mi-parcours (devoir sur table ou
Plus en détailLa diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger
Conseil National du Commerce Extérieur La diplomatie économique et la promotion économique du Maroc à l étranger Anticiper Partager Agir 2000 www.cnce.org.ma Sommaire INTRODUCTION 1. LE NOUVEAU CONTEXTE
Plus en détailGestion de portefeuilles RBC
Gestion de portefeuilles RBC Plus qu un investissement Que vous y recouriez pour assurer une croissance à long terme ou tirer un flux de trésorerie régulier de votre épargne, le programme Gestion de portefeuilles
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailLes défis du reporting macro-prudentiel
Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance
Plus en détailTendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les comptes nationaux
N o 13-604-MIF au catalogue N o 049 ISSN: 1707-1844 ISBN: 0-662-70787-7 Document de recherche Comptes des revenus et dépenses série technique Tendances sur le plan de l'épargne et du prêt net dans les
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailFormation «Comptabilité bancaire : cycle long»
Formation «Comptabilité bancaire : cycle long» REFERENCE : 202 1. Objectif général Situer l'activité bancaire dans son environnement économique et réglementaire. Souligner les aspects techniques et économiques
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailSéminaires organisés en France Séminaires organisés au Canada Séminaires organisés au Maroc Séminaires organisés au Sénégal
éminaires organisés en France éminaires organisés au anada éthodes et outils d élaboration des DT (global et sectoriels) dans le cadre de la réforme des finances publiques Budgétisation axée sur les objectifs
Plus en détailRapport d étude Les créations d emploi en Ile-de-France à l horizon 2030
Rapport d étude Les créations d emploi en Ile-de-France à l horizon 2030 Morad Ben Mezian Décembre 2012 2 PREAMBULE Défi métiers, le carif-oref francilien, réalise périodiquement des projections, à moyen-long
Plus en détailLes paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?
Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité
Plus en détailCUSTOM SOLUTIONS SA RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LA GESTION DU GROUPE. Sociétés Forme Pays d immatriculation
CUSTOM SOLUTIONS SA Société anonyme au capital de 4.863.050 Siège Social : 135, avenue Victoire Z.I. de Rousset-Peynier 13790 ROUSSET RCS AIX EN PROVENCE B 500 517 776 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION
Plus en détailLa politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux
OCP Policy Center Seminar series La politique monétaire après la crise financière mondiale : Nouveaux enjeux Pierre-Richard Agénor, Hallsworth Professor, University of Manchester and Senior Fellow, OCP
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailExposé 1: Les aspects théoriques des relations monétaires internationales
Guide à l attention de l enseignant Jour 5: Les relations monétaires internationales H. Michelsen Université d'hohenheim Cette journée d étude a pour but de raviver les connaissances de base sur les relations
Plus en détailÀ quelles lacunes en matière de données doit-il être remédié?
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 5 avril 2011 Français Original: anglais ECE/CES/2011/9 Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Cinquante-neuvième
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailJournée_: Modules HoraireEpreuve
AA 13 Deuxième année Licence Fond. en Gestion: Administration des affaires Comptabilité de Gestion GESTION DE LA PRODUCTION FINANCE Marketing - Techniques et Stratégies d'achat Gestion par objectifs Techniques
Plus en détailLES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI
LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies E/ESCAP/CST(2)/4 Conseil économique et social Distr. : Générale 7 octobre 2010 Français Original : Anglais Commission économique et sociale pour l Asie et le Pacifique Comité de statistique
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détailLettre de l. Plus de 10 milliards d euros engagés dans un choc fiscal pour. n 288 LE «CHOC» FISCAL TIENDRA-T-IL SES PROMESSES?
Lettre de l Observations et diagnostics économiques n 288 Jeudi 26 juillet 2007 LE «CHOC» FISCAL TIENDRA-T-IL SES PROMESSES? Éric HEYER, Mathieu PLANE et Xavier TIMBEAU Département analyse et prévision
Plus en détailLe modèle de croissance marocain : opportunités et vulnérabilités
Juin 214 / N o 14 Macroéconomie & développement Introduction Depuis la crise financière internationale de 28, les pays de la région du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord (Middle East and North Africa,
Plus en détailPerspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire
ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers
Plus en détailVeuillez trouver ci-joint la communication de Monsieur le Gouverneur à l occasion du forum international des finances et des affaires tenu à
Veuillez trouver ci-joint la communication de Monsieur le Gouverneur à l occasion du forum international des finances et des affaires tenu à Casablanca du 2 au 5 décembre 2003. PRÉSENTATION DE MONSIEUR
Plus en détail