RT 2012 BBC : l impact sur la maçonnerie et le GO
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- Dominique Robert
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1 RT 2012 BBC : l impact sur la maçonnerie et le GO Robert AILLOUD Montpellier 31 janvier 2012
2 Plan Présentation UMGO Présentation de l étude QEB La RT 2012 et ses conséquences pour la maçonnerie et le gros œuvre 2
3 Présentation UMGO 3
4 UMGO Union de la Maçonnerie et du Gros Œuvre de la FFB entreprises adhérentes 46 Mds de chiffre d affaire 38% des salariés de la FFB Franck COTTON Président 4
5 5
6 Eric DURAND Délégué Général Laure RAVOT Chargée de mission Affaires sociales et formation Ingrid DEVITS Assistante Vincent SIMON Chargé de mission Economie et développement Wilfried PILLARD Directeur Technique Robert AILLOUD Directeur Technique Adjoint Marie DE MONNERON Assistante 6
7 Normalisation Recherches Produits Communication 7
8 Normalisation NF EN et NF EN 206-9, NF EN et DTU 21, DTU 23.4 et prédalles suspendues, DTU 20.1, DTU 55.2, ANC, Règles Pro. Réglementation Parasismique et règles CP/MI, RT 2012 et BBC, Termites Conception Eurocode 2 (béton), 6 (maçonnerie), 7 (géotechnique) et 8 (sismique) Produits Marque NF (BPE, granulats, blocs béton, briques terre cuite) et GS Recherche Nouveaux ciments, remontées capillaires, recyclage complet du béton, étanchéité à l air des parois maçonnées, classes d exposition Communication Site internet, lettre de l UMGO, nouveau guide essentiel technique Ajouts d eau, mémento AQC principes parasismiques 8
9 Le guide UMGO
10 Nouvelle édition 2011 Mise à jour normative DTU et Eurocodes Nouveaux chapitres Toitures-terrasses et acrotères Enduits Assainissement non collectif Réglementation sismique RT 2012 Termites Disponible auprès des FD et FR
11 Plan RT 2012, BBC et gros œuvre Communication de la filière et étude QEB La réglementation Un petit film Les performances du bâti Le traitement des ponts thermiques L étanchéité à l air L étanchéité à l air : le test 11
12 La communication de la filière minérale 12
13 La communication de la filière Thème central Le choix raisonné Cible Entrepreneurs relations clients (MAISONS INDIVIDUELLES) Format Livret 12 pages Contacts UMGO Eric Durand Vincent Simon 13
14 La communication de la filière Etude QEB 14
15 L étude QEB : méthodologie Bâtiments obéissant au label BBC : C ep 50 kwh/(m².an) (modulé) 97 bâtiments étudiés Catégorie Nbre S habitable (m²) SHON (m²) Maison de plain pied (Mozart) Maison à 1 étage (MI2) Immeuble de logements collectifs R+3 (LC2)
16 L étude QEB : méthodologie Eléments variables (MI) : Parois verticales Béton banché : coulé in situ ép. = 16 cm Bloc béton : pose à joints minces ép. = 20 cm Béton cellulaire : pas d isolation rapportée ép. = 25, 30 ou 36.5 cm Brique creuse : pose à joints minces ép. = 20 cm Monomur : pas d isolation rapportée ép. = 30 ou 37,5 cm Ossature bois : panneau de contreventement remplissage isolant LDV et bardage extérieur + isolation intérieure : LDV/PSE (sauf ossature bois) 16
17 L étude QEB : méthodologie Zone climatique H1b (Troyes), H2b (Nantes) ou H3 (Montpellier) Systèmes de chauffage Chaudière à condensation (gaz) Pompe à chaleur (électricité) 17
18 L étude QEB : RESULTATS 1 Coût économique réduit : 10 à 15 % à performance thermique égale (maison MOZART) 18
19 L étude QEB : RESULTATS 2a Impact environnemental des solutions béton proche du bois écart 10 % Impact changement climatique Emission de CO 2 (kg eq.) durant le cycle de vie Maison MOZART H2b 19
20 L étude QEB : RESULTATS 2b Impact environnemental des solutions béton proche du bois écart 10 % Impact sauvegarde des ressources naturelles Besoin en énergie primaire Maison MOZART H2b 20
21 L étude QEB : RESULTATS 2b Impact environnemental équivalent Le critère le plus significatif est la zone climatique Impact sauvegarde des ressources naturelles Besoin en énergie primaire Maison MOZART 21
22 L étude QEB : L inertie thermique 3 Pas de solutions 100 % bois pour répondre au label BBC Capacité d un matériau à capter et stocker l énergie confort d été et d hiver 22
23 La réglementation 23
24 Les dates à retenir Aujourd hui RT 2005 (bientôt hier.) Demain RT 2012 (textes 26 octobre 2010) 28 octobre 2011 : Les bâtiments de bureaux, d enseignement et d établissement d accueil de la petite enfance, les bâtiments à usage d habitation en zone Anru 1 er janvier 2013 : tous les projets de construction de bâtiments à usage d habitation autres que ceux cités précédemment seront concernés 24
25 Les dates à retenir 1 er janvier 2013 (au plus tard): Autres bâtiments tertiaires (commerces, hôtels, hôpitaux ) en attente d arrêtés spécifiques Qu est ce qui fait foi? La date de dépôt du permis de construire 25
26 Un petit film sur la RT
27 Etude thermique OBLIGATOIRE Au dépôt du PC : attestation n 1 Coefficient Bbio Surface vitrée = 1/6 de la surface habitable Étude de faisabilité (choix des énergies) A la réception : attestation n 2 Vérification de la synthèse d étude thermique Vérification de la perméabilité à l air Etablie par un expert indépendant (contrôleur technique, diagnostiqueur, architecte, ou un organisme certificateur ayant délivré un label HPE sur le bâtiment) Maintien du contrôle «aléatoire» par l administration 27
28 Exigences RT B bio, besoin bioclimatique conventionnel en énergie B bio B bio max 2 - C ep, coefficient d énergie primaire (en kwh/(m².an)) C ep C ep max 50 kwh/(m².an) 3 - T ic, température intérieure conventionnelle (en C) T ic T ic réf SCENARIOS CONVENTIONNELS (cf. consommation de la voiture) 4 Traitement des ponts thermiques S 0.28 W/(m².k) somme des ponts thermiques du bâtiment L 0.6 W/(ml.k) ponts thermiques planchers/murs extérieurs 5 Traitement de l étanchéité à l air 28
29 BBC, RT 2012, BEPOS < 10% du parc RT 2000, RT 2005 Avant 1974 Moyenne Nationale 240kWh/(m².an) 29
30 Consommation d énergie RT 2005 C ep 160 kwh/an.m 2 RT 2012 C ep 50 kwh/an.m 2 /3 RT 2012 et approche globale (plusieurs leviers) orientation du bâti, des surfaces vitrées performances des équipements performances du bâti 80 % pertes = mauvaise isolation du bâti 30
31 Performances du bâti 31
32 Performances du bâti Résistance thermique R des murs (m 2.K/W) RT ,2 R < 3,2 RT R 5 Quelques exemples monomur e = 37,5 cm R 3 selon les types de maçonnerie, la nature de l isolant rapporté et son épaisseur 2,5 R 5 (8 cm Th 32 R = 2,5) Matériau l béton = 2 l PSE = 0,03 l petit isolant Produit (R= e/l) R grand isolant 32
33 Performances du bâti L innovation dans le bloc béton Ardoise expansée Isolation intégrée 33
34 Performances du bâti L innovation dans le bloc béton Pierre ponce + laine de roche Granulats R thermique R mécanique Poids Rembourré Pierre ponce 2,5 m²k/w L40 12kg Laine de Roche 34
35 Performances du bâti L innovation dans le bloc béton Bloc bois-ciment à bancher avec isolant Granulats R thermique R mécanique Poids Rembourré bois 4 m²k/w f (voile béton) 16kg PSE, liège.. 35
36 L ITE et l ITI ITE : Solution fiable et éprouvée : 30 ans d expérience et ETA (CSTB) Dépend du type de bâtiment BBC (aspect économique) En MI BBC, l ITE n est pas la solution la plus pertinente économiquement Il existe des solutions MI BBC éprouvées sans recours à l ITE Plus il y a d étages, plus l ITE apparaît comme une solution intéressante L ITE, avant tout une excellente solution pour la rénovation 36
37 Les ponts thermiques 37
38 Les ponts thermiques Partie de l enveloppe du bâtiment où la résistance thermique est réduite par absence ou dégradation locale de l isolation importantes fuites de chaleur vers l extérieur. Ponts thermiques de liaison (PTL) Ponts thermiques intégrés (PTI) 38
39 Les ponts thermiques
40 L enveloppe performante Ponts thermiques Problèmes liés aux ponts thermiques: Condensation: Moisissures: Dégradation du bâti Consommations: Dans certains cas, les ponts thermiques peuvent représenter jusqu à 45% des pertes de l enveloppe!! 40
41 L enveloppe performante Ponts thermiques Problèmes liés aux ponts thermiques: Condensation: Moisissures: Température superficielle = 9,7 C Constat: «point de rosée» 60 cm de rayonnement sur tout le périmètre du bâtiment - 7 C +20 C 41
42 L enveloppe performante Ponts thermiques Principaux ponts thermiques: Balcons Liaisons planchers/façade Menuiseries Acrotères Liaisons refend/façade Liaisons mur/mur Chevrons Panne faîtière Fondations Fixation isolant 42
43 Le pont thermique de liaison 20 % des déperditions thermiques d une maison isolée RT 2012 : Plafonner les ponts thermiques 43
44 Le traitement des PTL : les rupteurs thermiques Principe général 44
45 Le traitement des PTL : les rupteurs thermiques 45
46 Le traitement des PTL Rupture par les hourdis de rive 46
47 Le traitement des PTL Rupture par la planelle 47
48 Le traitement des PTL : les rupteurs thermiques Rupture totale 48
49 Le traitement des PTL : les rupteurs thermiques Rupture partielle En ITI : Plancher + (mur maçonné avec planelle isolante) 49
50 Le traitement des PTL : les rupteurs thermiques Points importants : Domaine non traditionnel Avis techniques Utilisation en zone sismique Le dimensionnement : élément structurel calculé selon la portée et l épaisseur de la dalle Respect des enrobages supérieurs et inférieurs (jonction dallebalcon) Respecter le sens de pose (boucles côté mur et aciers côté dalle) Respecter le plan de ferraillage et le ligaturage (continuité des armatures ex des filants dans les boucles) 50
51 51
52 Action en cours (programme RAGE 2012) Accompagnement des professionnels Programme Règles de l Art Grenelle Environnement 2012 (RAGE 2012) Objectifs programme RAGE 2012 Mise à jour des règles de l art en vigueur Proposition de règles de l art nouvelles (rénovation) Révision des référentiels de formation De la phase de conception à réception + entretien et maintenance 52
53 Action en cours (programme RAGE 2012) A quoi sert un rupteur thermique? Quels sont les éléments du bâtiment impactés par sa présence? Quelles sont les précautions de mise en œuvre dans chaque cas? 53
54 Performances du bâti Associer les performances Ne pas négliger un seul aspect (plus de garde-fous de la RT 2005 sauf pour les ponts thermiques) Marge de manœuvre Toit Mur Sol sur VS Sol sur TP R (m².k/w) Valeurs préconisées par Effinergie 54
55 L étanchéité à l air 55
56 étanchéité à l air Bonne étanchéité à l air = flux d air maîtrisés Sinon : 1 Confort thermique : courants d air et difficultés à chauffer 2 Confort acoustique : bruits extérieurs 3 Qualité sanitaire de l air intérieur : poussières, fibres, COV, 56
57 L étanchéité à l air 4 Facture énergétique : consommation en hausse de 25 % 5 Pérennité du bâti : condensation indésirable (moisissure et corrosion) 1m 3 d air HR = 70 % et 20 C : 10 g d eau HR = 70 % et 0 C : 4 g d eau Si 1 m 3 d air s exfiltre à l extérieur : 6 g d eau dans l enveloppe!! 57
58 L étanchéité à l air Valeurs réglementaires (perméabilité sous 4 Pa) Usage RT 2005 Valeurs par défaut RT 2005 Valeurs de référence RT 2012 MI 1,30 0,80 0,60 Logement collectif 1,70 1,20 1,00 Bureaux 1,70 1,20 TH-BCE Autres 3,00 2,50 En attente 58
59 L étanchéité à l air 1,30 m 3 /h.m 2 ¾ feuille A4 0,60 m 3 /h.m 2 1/3 feuille A4 458 cm² 211 cm² Gain de 23 % sur consommation de chauffage 59
60 Comment s'y prendre? Définir la peau étanche Assurer la continuité de l enveloppe Non chauffé Non chauffé Chauffé Non chauffé Chauffé Chauffé Chauffé Chauffé Non chauffé Source ECOBÄT énergy 60
61 L étanchéité à l air Localisation des fuites Liaisons façades planchers Menuiseries extérieures (seuils, liaison mur fenêtre au niveau du linteau) Equipements électriques (interrupteurs et prises de courant) Traversées de parois (trappes d accès aux combles ou aux gaines techniques) 61
62 Limiter le nombre de pénétrations (recommandation PassivHaus : 15 pénétrations max.) Plans de synthèse des détails explicitant les matériaux et méthodes utilisées pour le traitement de l étanchéité à l air par corps d état Définir les Liens des différents corps de métier avec «Qui fait quoi» 62
63 L étanchéité à l air ATTESTATIONS DE FIN DE CHANTIER Vérification de la note de calculs Certificats des produits utilisés (fiches techniques ) Résultat du test d étanchéité à l air 63
64 L étanchéité à l air LE TEST 64
65 L étanchéité à l air : LE TEST Principe de la mesure : NF EN (test de la porte soufflante) Contrôle réglementaire (clos couvert) 65
66 L étanchéité à l air : LE TEST 1 Obturation des orifices volontaires 66
67 L étanchéité à l air : LE TEST 2 Mise en place de la fausse porte reliée à un ventilateur et instrumentation 67
68 L étanchéité à l air : LE TEST 3 Mesure du débit de fuite (par paliers) 68 68
69 L étanchéité à l air : LE TEST 4 Détection des points de fuite : poire à fumée (ou thermographie IR) 69
70 Entre menuiseries et bati 70
71 Liaisons périphériques (parois, plancher, plafond) 17.4 C A r Les liaisons façades et planchers Où sont les points faibles? 71
72 Dernière rangé de parpaing non enduite Défaut de collage de la membrane sur le mur Fuites quand le mur n est pas enduit Fuites seulement sur le premier rang car il n est pas enduit Fuites quand le mur n est pas enduit L étanchéité à l air s obtient maçonneries enduites 72
73 Défauts entre les murs et le plancher bas Défaut entre l ossature bois et la dalle béton Fuites au niveau de la longrine périphérique Coordination entre les différentes entreprises 73
74 ELEMENTS TRAVERSANTS Traversées d éléments de charpente Plomberie et réservations Synthèse avec les corps d état techniques 74
75 Prises, interrupteurs Sonnette Ampoules au plafond Commande volet roulant Arrivée tableau électrique EQUIPEMENTS ELECTRIQUES 75
76 ENTRE OUVRANT ET DORMANT Porte d entrée Fenêtres Baie Vitrée 76
77 ELEMENTS TRAVERSANTS Gaines de VMC Conduit de cheminée Module d extraction VMC Traversée de la membrane par une gaine électrique Conduit de hotte Importance du test intermédiaire 77
78 Quelques réalisations MI à Cavalaire (83) 50 logements avec parking Paris Batignolles MI à Toulouse (31) MI à Dax (40) 78
79 MERCI DE VOTRE ATTENTION 79
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