GRANDE GUERRE - CHEMIN DES DAMES
|
|
- Liliane Lessard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GRANDE GUERRE - CHEMIN DES DAMES «ENSEMBLE MÉMORIAL» DE CERNY-EN-LAONNOIS Mémorial Cimetière militaire français Cimetière militaire allemand A partir de trois lieux de Cerny-en-Laonnois, au cœur du Chemin des Dames, les élèves, étudient plusieurs aspects de la mémoire de la Grande Guerre et la place de la religion durant les combats et dans l après-guerre. En se rendant dans deux cimetières militaires et dans un mémorial, ils analysent de manière objective plusieurs faits tangibles mais perçoivent aussi un certain nombre de réalités de la Grande Guerre et des offensives au Chemin des Dames à travers une dimension plus émotionnelle. Une telle activité peut être menée de manière interdisciplinaire, en associant Histoire, Géographie, et Arts plastiques. Durée : 30 minutes à 1h30 environ selon les objectifs et le niveau de précision retenu pour le questionnement. Objectifs principaux : Savoirs, notions - Bilan de la guerre - Belligérant - Mémoire de la Grande Guerre, lieu de mémoire - Rôle de la religion - Place des anciens combattants Savoirs-faire - Observer, classer les informations relevées et les expliquer - Comparer des informations - Réaliser un croquis - Analyser une œuvre d art, l expliquer et en tirer des conclusions - Réaliser une synthèse Divers : il peut parfois être utile de rappeler à certains élèves l attitude qu il convient d adopter dans ce genre de lieux. Le Service éducatif du Chemin des Dames et de la Caverne du Dragon reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ou pour un rendez-vous afin de vous aider à préparer votre venue sur le site. BONNE VISITE, BON TRAVAIL!!! 1
2 QUESTIONNAIRE I. SITUATION 1. Quelle est la situation de cet ensemble sur le Chemin des Dames? Qu est-ce que cela peut symboliser? II. LES CIMETIÈRES 1. Afin d analyser le cimetière français et le cimetière allemand, de les expliquer et de les comparer entre eux, remplissez le tableau suivant (sauf les cases grisées) : 2
3 Nombre de morts Tombes individuelles Ossuaire Cimetière français Cimetière allemand Comment pouvez-vous expliquer les éventuelles différences entre chacun des deux cimetières? Total 3
4 S t è l e s Formes et symbolique Votre réponse peut être accompagnée d un croquis sommaire Selon quel critère un combattant décédé se voitil affecter un type de stèle plutôt qu un autre? 4
5 A quelle période les soldats français inhumés dans le cimetière le sontils majoritairement? Pourquoi?* 1 Il existe dans ce cimetière des tombes de soldats qui n appartiennent pas à l empire français. Quelle était leur nationalité? Comment pouvez vous expliquer leur présence? 1 Cette question peut être traitée en répartissant les élèves par groupes et en affectant à chacun d entre eux un carré du cimetière où seront relevées les informations requises. Ce travail de relevé peut, ensuite, donner lieu à un traitement statistique (constitution d un histogrammes, etc.) 5
6 Quelle en est la nature? Végétation présente dans les cimetières Où la trouvet-on? Végétation présente dans les cimetières Quelle en est la symbolique? Quel est l élément qui ne figure que dans le cimetière français? 6
7 Quelle est l ambiance, l atmosphère qui se dégage de chacun de ces deux cimetières? 2. Au terme de cette première étude, définissez ce qu est une nécropole en précisant l étymologie du mot et en indiquant si ce terme vous paraît adapté pour désigner le cimetière. 7
8 III. LE MÉMORIAL DE CERNY-EN-LAONNOIS 1. Quelle est la nature de l édifice? 2. Qui est à l origine de sa construction et de son financement? 3. Quand a-t-il été inauguré? 4. Les plaques apposées sur les murs intérieurs : a. Comment les appelle-t-on? b. Qui les a apposées? c. Qui commémorent-elles? 5. Les statues de part et d autre de l autel : a. Qui représentent-elles? b. Pourquoi sont-elles en ce lieu? 6. L autel : a. Décrivez-le b. Que représente-t-il? 7. Le tableau au dessus de l autel : a. Qui en est l auteur? Quelles hypothèses pouvez vous formuler à son sujet? Les personnages (identification, attitude ) b. Afin d analyser puis d expliquer le document, remplissez le tableau suivant : Description Explication, symbolique des éléments décrits Objets représentés Couleurs Lumière c. Quels sont les liens qui existent entre les deux personnages et qu est ce que cela peut symboliser? IV. SYNTHÈSE A partir de l étude de «l ensemble mémorial» de Cerny-en-Laonnois que vous venez de mener, rédigez une synthèse sur la mémoire de la Grande Guerre et sur la place de la religion durant les combats et dans l après-guerre. E. Véziat SE du Chemin des Dames et de la Caverne du Dragon 8
Histoire - Géographie
BRUZ Histoire - Géographie Collège Pierre Brossolette Caen UNE JOURNÉE DANS L'HISTOIRE DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE Rennes CimetiEre allemand de LA CAMBE CimetiEre americain de Colleville O m a h a B
Plus en détailBOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC
BOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC Diverses bourses d études sont accessibles aux membres actifs et libérés des Forces canadiennes et à leur famille. Bien que toutes les bourses ci-après
Plus en détailUn don durable pour la science médicale Soyez informé
Un don durable pour la science médicale Soyez informé Renseignements et processus à l intention des personnes intéressées à faire don de leur corps pour la recherche et l avancement de l enseignement médical
Plus en détailMaurice Louis BOULANGÉ 29 ans
Maurice Louis BOULANGÉ 29 ans - Fils de Joseph PHILIPPE (charretier) et de Marie LEMBERT (blanchisseuse), domiciliés au 3 rue de Paris - Marié à Victorine BERTOUILLE le 23 janvier 1909 au Pecq - Domicilié
Plus en détailPRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES
PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailA l entrée du quartier, les militaires venaient boire un verre de bière blonde «un canon». L école a été construite par Monsieur Pottier, avocat.
LES RESTOS DU CŒUR Lundi 17 octobre, deux dames qui sont bénévoles, sont venues répondre à nos questions. Les restos du cœur ont été créés en 1985 par Coluche pour donner un coup de pouce pendant la période
Plus en détailAVERTISSEMENT du 19 SEPTEMBRE 2006
1 AVERTISSEMENT du 19 SEPTEMBRE 2006 Le présent essai de synthèse doit faire l objet d une actualisation en regard des nouveaux textes suivants : 1 ) Loi de simplification et de modernisation administrative
Plus en détailMODULE GESTION DU SYSTÈME D INFORMATION DE L ENTREPRISE
Université d Oran Es SENIA Faculté Des Sciences Economiques, des Sciences de Gestion et des Sciences Commerciales MODULE GESTION DU SYSTÈME D INFORMATION DE L ENTREPRISE MONSIEUR BENCHIKH Maître de Conférence
Plus en détailVous souhaitez obtenir de l aide en cas de deuil
Vous souhaitez obtenir de l aide en cas de deuil Vous souhaitez obtenir de l aide en cas de deuil La perte d un proche est douloureuse et pas facile à surmonter. C est volontiers que nous vous aidons à
Plus en détailC était la guerre des tranchées
C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué
Plus en détailHistoire de la marque PTT et du logo La Poste
Histoire de la marque PTT et du logo La Poste Sous la monarchie, la «Poste aux lettres» adopte la lettre «P» comme marque distinctive, pour se singulariser de la «Poste aux chevaux», qui n était chargée
Plus en détailSite «héritiers légaux»
Site «héritiers légaux» Clause bénéficiaire Lorsque vous souscrivez une assurance-vie, le contrat doit indiquer un ou plusieurs bénéficiaires. Par cette désignation, en tant que preneur d assurance, vous
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailOù et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?
Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses
Plus en détailChap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement
Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s
Plus en détailLE 11 NOVEMBRE. Un Jour-Mémoire. Collection «Mémoire et Citoyenneté» MINISTÈRE DE LA DÉFENSE. Secrétariat général pour l administration
n 8 Collection «Mémoire et Citoyenneté» LE 11 NOVEMBRE Un Jour-Mémoire MINISTÈRE DE LA DÉFENSE Secrétariat général pour l administration DIRECTION DE LA MÉMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES Le 11 Novembre
Plus en détail2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts
2ème OPERATION Travaux d'urgence de l'eglise paroissiale et intégration architecturale de la porte des morts DESCRIPTION ET PLAN L église paroissiale de Cernay- La- Ville inscrite à l inventaire des Monuments
Plus en détailDRACULA (RESURRECTION)
DRACULA (RESURRECTION) SOLUTION - Page 1 - MONDE 1 : LE COL DE BORGO Le Cimetière Prendre la pioche posée au fond vers la cabane à outils. Déposer la pioche sur la fosse du dragon où se voient des volutes
Plus en détailTechnique de la peinture
Supports pédagogiques: Fiches de travail n 1, 2 et 4 (lycée), fiche de travail n 3 (école primaire et collège). ENSEIGNANT E : Michel Haider (retable de Hohenlandenberg), Triptyque de la Crucifixion, panneau
Plus en détailClub langue française Quiz. Par Julien COUDERC et Maxence CORDIEZ
Club langue française Quiz Par Julien COUDERC et Maxence CORDIEZ Question 1 Quelle est l'orthographe correcte? 1. J'ai vécu des amours passionnés. 2. J'ai vécu des amoures passionés. 3. J'ai vécu des amours
Plus en détailCONTRAT DE RACHAT AVEC RÉMUNÉRATION RÉSIDUELLE
Contrat de rachat biogaz hydroélectrique 2015 N contrat :... Emplacement appareil :. Date : N Dossier :.. CONTRAT DE RACHAT AVEC RÉMUNÉRATION RÉSIDUELLE d énergie électrique issue d installations de production
Plus en détailChapelle de l'assomption, actuellement maison
Chapelle de l'assomption, actuellement maison 13 bis boulevard de la Falaise Pontaillac Vaux-sur-Mer Dossier IA17046411 réalisé en 2015 Copyrights Copyrights Auteurs (c) Région Poitou-Charentes, Inventaire
Plus en détailTOULOUSE TECH TRANSFER
CONFERENCE DE PRESSE TOULOUSE TECH TRANSFER BILAN ET PERSPECTIVES APRES DEUX ANNEES D OPERATIONS Mardi 15 avril 2014, à 17h Salle Capitulaire de l Université de Toulouse 15 rue des Lois Participants M.
Plus en détailEntraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions?
Entraînement, consolidation, structuration... Que mettre derrière ces expressions? Il est clair que la finalité principale d une démarche d investigation est de faire acquérir des connaissances aux élèves.
Plus en détailCONVENTION DE L OFFRE e.lcl A LA CARTE
Loi informatique et Libertés du 06/01/1978 modifiée et secret professionnel : Je reconnais avoir été informé(e) que le Crédit Lyonnais pourra utiliser les coordonnées électroniques (adresse e-mail, n de
Plus en détailRepères Gérer la capacité
Repères Gérer la http://www.agilecom.fr Les enjeux de la gestion de la Réaliser cet ajustement est un effort continuel : La stratégie de l entreprise évolue avec la conjoncture ; Les métiers développent
Plus en détailLa mort... On évite d y penser,
XXXXXX Les meilleurs services funéraires sur Internet Organisez vos obsèques, réglez les frais à l avance et léguez vos données numériques grâce au Web. Toute l ofre, passée au crible. La mort... On évite
Plus en détailexigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.
R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,
Plus en détailLes symboles français
Fiche Pédagogique Les symboles français Par Karine Trampe Sommaire : Tableau descriptif 2 Fiche élève. 3-4 Fiche professeur.5-6 Transcription.7 Sources. 8 1 Tableau descriptif Niveau A2 Descripteur CECR,
Plus en détailCORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE
LE MUR DE L ATLANTIQUE PAGES 4-5 Le Mur était constitué de blockhaus de toutes sortes : des batteries d artillerie équipées de canons, des radars, des obstacles pour défendre les plages Reportez, pour
Plus en détailEnsemble, soutenons le Bleuet de France!
DOSSIER DE PRESSE Il ne peut y avoir de Solidarité sans Mémoire Depuis 1991, les fonds récoltés par l Œuvre Nationale du Bleuet de France (ONBF) permettent d accompagner la politique mémorielle de l ONACVG.
Plus en détailCONSEIL MUNICIPAL DU 09 Octobre 2013
CONSEIL MUNICIPAL DU 09 Octobre 2013 L an deux mille treize, le neuf octobre, les membres du Conseil Municipal ont été convoqués pour une réunion ordinaire par Monsieur le Maire, conformément à l article
Plus en détailConseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres?
Conseils déco express Comment éclairer une pièce, décorer vos murs, habiller vos fenêtres? Textes rédigés pour le site www.mmatravodeco.com Reportage : projet de décoration Bambù, Paris 14 e Photos : Béatrice
Plus en détailRégime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions pour les actionnaires
Notice d offre Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions pour les actionnaires Septembre 1999 Imprimé au Canada BCE Inc. Notice d offre Actions ordinaires Régime de réinvestissement
Plus en détailInformation, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec
Information, confiance et cohésion sociale dans un conflit environnemental lié à un projet de parc éolien au Québec Résumé des résultats et conclusions de la recherche Marie-Ève Maillé, Ph. D. Centre de
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détail«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?
«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.
Plus en détailLE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente. 1914, cent ans après. Livret de l enseignant
LE CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE présente 1914, cent ans après Livret de l enseignant Une action des Archives départementales de la Loire Le projet 1914, cent ans après est organisé par le Conseil général
Plus en détailFIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER
FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5 Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER Jean-Marc Palhon Président d Extendam Pourquoi investir dans des PME du secteur hôtelier?
Plus en détailBOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC
BOURSES D ÉTUDES ACCESSIBLES À LA COMMUNAUTÉ DES FC Diverses bourses d études sont accessibles aux membres actifs et libérés des Forces canadiennes et à leur famille. Bien que toutes les bourses ci-après
Plus en détailPROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE
PROPOSITION DE CONTRAT CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE MICRO-CREDIT AU VILLAGE DE ZIGLA KOULPELE Entre Le C.V.G.T ou le C.V.D, instance représentative du village, et dénommée dans ce contrat
Plus en détailPIERRE NATURELLE. VOTRE SITE CINERAIRE en. La pierre naturelle est faite pour durer au-delà des hommes
VOTRE SITE CINERAIRE en PIERRE NATURELLE La pierre naturelle est faite pour durer au-delà des hommes Choisir, concevoir et réaliser votre site cinéraire VOTRE SITE CINERAIRE en PIERRE NATURELLE La crémation
Plus en détailL armée française en 1914 1918 Recherches historiques et généalogiques concernant les soldats et leurs unités
Recherches historiques et généalogiques concernant les soldats et leurs unités De la confiance de 1914 aux tranchées et à la victoire de 1918. 1 1. Organisation de l armée avant et pendant la guerre de
Plus en détailcommunes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager
Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...
Plus en détailParis monuments II MO-ME-N-T MOderní MEtody s Novými Technologiemi CZ.1.07/1.5.00/34.0903
1 Paris monuments II Projekt: Reg.č.: Operační program: Škola: MO-ME-N-T MOderní MEtody s Novými Technologiemi CZ.1.07/1.5.00/34.0903 Vzdělávání pro konkurenceschopnost Hotelová škola, Vyšší odborná škola
Plus en détail2 - Être Marin. 3 - Être Marin
2 - Être Marin 3 - Être Marin 2 - Être Marin 3 - Être Marin Nom : Prénoms : Date d'engagement : Matricule : 6 - Être Marin Être marin 5 - Être Marin I Être marin Etre marin, c est un mode de vie Le marin
Plus en détailAPS 4 : CREATION D'ENTREPRISE
APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailMes volontés quand je mourrai. Vivre signifie : vouloir s'accrocher et devoir quand même lâcher
Mes volontés quand je mourrai Vivre signifie : vouloir s'accrocher et devoir quand même lâcher Mes volontés quand je mourrai 1 Avant-propos Objectif Il n'est pas toujours facile de discuter de sujets douloureux,
Plus en détailLes Chemins de mémoire 14-18
NORD PAS DE CALAIS Les Chemins de mémoire 14-18 4 Parcours pour découvrir les sites et évènements de la Grande Guerre. Sommaire Mémorial canadien de Vimy En parcourant les «Chemins de mémoire de la Grande
Plus en détailLivret du jeune spectateur
Page1 Livret du jeune spectateur NOM : PRENOM : CLASSE : ETABLISSEMENT : PROFESSEUR DATE DE L'OPERA / DU CONCERT : LIEU DE L'OPERA / DU CONCERT : Page2 AVANT D'ALLER AU CONCERT / A L'OPERA : SE PREPARER
Plus en détailECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités
ECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités Les connaissances comptables et financières, le professionnalisme et le leadership pour les besoins d aujourd hui
Plus en détailLES MONUMENTS AUX MORTS DU CANTON DE MATIGNON
LES MONUMENTS AUX MORTS DU CANTON DE MATIGNON LISTES DES MORTS POUR LA FRANCE 1914-1918 du CANTON de MATIGNON 2014 Les monuments aux Morts Les monuments aux Morts ont été érigés afin de commémorer ou d'honorer
Plus en détail3 e étage. ESPACE 5. Une femme et ses symboles. PANNEAU PHOTO «Histoire des femmes»
3 e étage 6 ESPACE 5. Une femme et ses symboles. PANNEAU PHOTO «Histoire des femmes» 22) En comparant les photos 2 et 5, dites ce qui a changé, depuis 1945, dans le rôle des femmes en tant que mères? Photo
Plus en détailCommune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE
Commune d Yvorne LA MUNICIPALITÉ REGLEMENT DU CIMETIERE D YVORNE Art. 1 Le Service des inhumations et des incinérations ainsi que la police du cimetière rentrent dans les attributions de la Municipalité,
Plus en détailAnnonces internes SONATRACH RECHERCHE POUR SON ACTIVITE COMMERCIALISATION :
Bourse de l emploi Annonces internes : Direction Administration et Moyens Un Technicien Electricien Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé de la Maintenance en pompes) Un C/Maitre Electricité BAT (Chargé
Plus en détailLA RETRAITE DES PROFESSEURS : le point après la loi n 2003-775 du 21 août 2003.
LA RETRAITE DES PROFESSEURS : le point après la loi n 2003-775 du 21 août 2003. La loi n 2003-775 constitue une réforme importante pour la retraite des professeurs agrégés. Certains points restent imprécis
Plus en détailMINISTERE DE LA DEFENSE
MINISTERE DE LA DEFENSE SECRETARIAT GENERAL POUR L ADMINISTRATION DIRECTION DE LA MEMOIRE, DU PATRIMOINE ET DES ARCHIVES SOUS-DIRECTION DE L ACTION CULTURELLE ET EDUCATIVE DEMANDE DE SUBVENTION (Monument
Plus en détailBUREAUX D ÉTUDES INSTALLATEURS DISTRIBUTEURS EXPLOITANTS LOGICIEL DE DIMENSIONNEMENT ECS
BUREAUX D ÉTUDES INSTALLATEURS DISTRIBUTEURS EXPLOITANTS LOGICIEL DE DIMENSIONNEMENT ECS LOGICIEL DE DIME FAITES DU LOGICIEL AQUATIC VOTRE OUTIL DE PRÉDILECTION, QUE VOUS SOYEZ : Bureau d études Sélectionnez
Plus en détailCONVENTION DE MISE A DISPOSITION DU VEHICULE ASSOCIATIF DE LA VILLE DE MAZAMET
Cadre Réservé au service Mois Date D Date R PC Entre les soussignés : CONVENTION DE MISE A DISPOSITION DU VEHICULE ASSOCIATIF DE LA VILLE DE MAZAMET La Ville de MAZAMET, représentée par son Maire, Olivier
Plus en détailVOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE
Version octobre 2012 VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE ASSISTANTES MATERNELLES & SALARIES DE PARTICULIERS EMPLOYEURS Une équipe de conseillers est à votre service du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30
Plus en détailEnseignement professionnel. 2 ème degré. Electricité. Institut Saint-Joseph (Ecole Technique)
Enseignement professionnel 2 ème degré Electricité Institut Saint-Joseph (Ecole Technique) Deuxième degré professionnel Electricité Grille Horaire ELEC 3 4 A. FORMATION OBLIGATOIRE Religion 2 Français
Plus en détailChap 4: Analyse syntaxique. Prof. M.D. RAHMANI Compilation SMI- S5 2013/14 1
Chap 4: Analyse syntaxique 1 III- L'analyse syntaxique: 1- Le rôle d'un analyseur syntaxique 2- Grammaires non contextuelles 3- Ecriture d'une grammaire 4- Les méthodes d'analyse 5- L'analyse LL(1) 6-
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détailEl Tres de Mayo, GOYA
Art du visuel / «Arts, ruptures, continuités» Problématique : «Comment l expression du sentiment surgit-elle dans l art au XIX è siècle?» El Tres de Mayo, GOYA Le Tres de Mayo, Francisco Goya, huile sur
Plus en détailREVUE. Annexe : liste des règles coutumières du droit international humanitaire. Le principe de la distinction
Volume 87 Sélection française 2005 REVUE INTERNATIONALE de la Croix-Rouge Annexe : liste des règles coutumières du droit international humanitaire La liste ci-après est fondée sur les conclusions exposées
Plus en détailDictée : le son [ a ]
Français Dictée : le son [ a ] son 1 1- Les mots et les fiches élèves. 1. un ami 2. une carapace 3. un lapin 4. mardi 5. samedi 6. nager 7. la classe 8. un cartable 9. avec 2- La dictée du jeudi. Samedi,
Plus en détailCONSULAT GENERAL DE FRANCE A ANNABA
Page 1 sur 5 CONSULAT GENERAL DE FRANCE A ANNABA BOURSES UNIVERSITAIRES AGREEE PAR LE MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORET ANNEE 2015/2016 LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI
Plus en détailASSOCIATION NATIONALE DES SOUS-OFFICIERS DE RESERVE DE L ARMÉE DE L AIR
STATUTS DE L ANSORAA PLAN CHAPITRE I BUTS SIEGE DUREE MEMBRES SECTION 1 CONSTITUTION DENOMINATION PRINCIPES SECTION 2 BUTS SECTION 3 SIEGE SECTION 4 DUREE SECTION 5 MEMBRES A) Les membres actifs B) Les
Plus en détailL'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE. Controle et assurance. Jacques Charbonnier. larcier
L'ASSURANCE DU R1SQUE AUTOM OB1LE Controle et assurance Jacques Charbonnier larcier TABLE DES MATTERES Du meme auteur Table des matieres Abreviations Sigles Remerciements Avant-propos VII ix XVII XIX xxi
Plus en détailGuide du bénéficiaire GUIDE DE PRÉSENTATION DES DEMANDES DE RÈGLEMENT AU TITRE DE L ASSURANCE VIE COLLECTIVE
Guide du bénéficiaire GUIDE DE PRÉSENTATION DES DEMANDES DE RÈGLEMENT AU TITRE DE L ASSURANCE VIE COLLECTIVE Lorsque survient un décès dans la famille, le premier souci est souvent de trouver l argent
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailACCORD RELATIF A L'INSTAURATION D'UN REGIME DE FRAIS MEDICAUX OBLIGATOIRE. Pour le personnel de la
BANQUE POPULAIRE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE ACCORD RELATIF A L'INSTAURATION D'UN REGIME DE FRAIS MEDICAUX OBLIGATOIRE Pour le personnel de la BANQUE POPULAIRE BOURGOGNE FRANCHE-COMTE Entre La BANQUE POPULAIRE
Plus en détailChapitre 1. 1. Vol et autres actes de malveillance. 1.1. Questions générales. 1.2. Risques d intrusion. 1.3. Fixation et rangement des objets
Chapitre 1 1. Vol et autres actes de malveillance 1.1. Questions générales 1.1.1. Situation de l église dans la commune 1.1.2. Sensibilité des objets 1.1.3. Voisinage 1.1.4. Gestion des clefs 1.2. Risques
Plus en détail70 e anniversaire de la Bataille de Normandie Les évènements organisés par le Conseil général de l Orne
Le 6 juin 2014 Irène Martin-Houlgatte Conseil général de l Orne Print presse Tél 02 33 81 60 00 Poste 1226 LD 02 33 81 63 97 martin-houlgatte.irene@cg61.fr Blandine Bienfait Conseil général de l Orne Print
Plus en détailI. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU?
I. FAIR-PLAY, D OÙ VIENS-TU? QUI ES-TU? Le fair-play est une notion bien souvent employée à tort et à travers. Associée surtout au vocabulaire sportif, elle s applique aujourd hui à de multiples situations,
Plus en détailHistoire Le Moyen-âge La société féodale
Histoire Le Moyen-âge Objectif(s) : - Connaître les 3 ordres de la société médiévale - Découvrir le cadre et le mode de vie des seigneurs au Moyen Age : Seigneurs / vassaux / chevaliers Histoire racontée
Plus en détailIntroduction. Joëlle DUSSEAU. Inspectrice générale d histoire et géographie
1. Le Mont-Valérien Haut-lieu de la mémoire nationale Livret pédagogique livretpedagogiquemontv.indd 1 18/04/12 18:51 livretpedagogiquemontv.indd 2 18/04/12 18:51 Introduction Ce livret pédagogique permet
Plus en détailI. Dispositions générales. Article premier : Le cimetière de Cotterd est le lieu officiel d inhumation de la commune de Bellerive.
I. Dispositions générales Article premier : Le cimetière de Cotterd est le lieu officiel d inhumation de la commune de Bellerive. Art. 2. Le service des inhumations et des incinérations, ainsi que la police
Plus en détailEnquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique
Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de
Plus en détailBase de données opérationnelle pour les phénomènes PAN Commission SIGMA 2 - AAAF
Le groupe 3AF (SIGMA 2) : - approfondir les cas intéressants exploitable (en aval du GEIPAN) - rechercher de nouveaux cas (bases de données, publications référencées) - constituer un réseau scientifique
Plus en détailSUJETS DE LA FICHE-CONSEILS
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Lignes directrices 2. Issue extérieure au niveau du sol Accès et aire de manœuvre Sécurité fonctionnelle 3. Étages desservis par un Bâtiment protégé par des extincteurs automatiques
Plus en détailLA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE
1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème
Plus en détailCréation, reprise ou développement d une activité (moins de 20 salariés et moins de 3 ans après le démarrage de l activité).
1 ) Le créateur : doit être en insuffisance de fonds propres doit consacrer 100% de son temps au projet dès le démarrage de la société doit être le propre promoteur de son projet auprès de Paris Initiative
Plus en détailCampagne. aprem GELAUCOURT. les. à la. août 25. septembre 15 16. DOSSIER DE PRESENTATION Éditions précédentes Programme prévisionnel 2012
Grand Prix Européen et National du fleuriement Expoition Métier d Art Café Concert Pain cuit à l ancienne Animation pour enfant Jardin Remarquab 8 9 août 25 26 eptembre 15 16 DOSSIER DE PRESENTATION Édition
Plus en détailJOURNEES SYSTEMES & LOGICIELS CRITIQUES le 14/11/2000. Mise en Œuvre des techniques synchrones pour des applications industrielles
JOURNEES SYSTEMES & LOGICIELS CRITIQUES le 14/11/2000 Mise en Œuvre des techniques synchrones pour des applications industrielles Mise en œuvre des techniques synchrones pour des applications industrielles
Plus en détailASCENSEUR ET APPAREILS ÉLÉVATEURS
OBJECTIFS a. Permettre d accéder facilement à tous les niveaux en toute sécurité et sans se heurter à un obstacle. b. Prévoir un accès direct à tous les niveaux d un bâtiment dès sa conception. c. Assurer
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailSon - Lumière - Vidéo
Son - Lumière - Vidéo 02 38 31 60 37 www.stars-europe.com LIVRAISON GRATUITE Voir conditions générales Du lundi au samedi de 10h à 18h * LOCATION DES KITS Dans la limite des stocks disponibles Rapide et
Plus en détailCONTRAT OBSEQUES ET TUTELLE : UN ARRET* PRECISE LES MODALITES D APPLICATION
JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE JURISPRUDENCE CONTRAT OBSEQUES ET TUTELLE : UN ARRET* PRECISE LES MODALITES D APPLICATION La Cour d appel de Douai a rendu le 16 Juin
Plus en détailL essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme
L essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme Entrée en vigueur le 1 er octobre 2007 Toute demande d autorisation déposée le 1 er octobre sera soumise au nouveau dispositif. Tout dépôt de déclaration
Plus en détailConditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile
Conditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile 1 4 Les De plus en plus d organisations voient l Agilité comme une piste de solution aux problèmes auxquels elles sont confrontées. Par ailleurs,
Plus en détailConseil Municipal du 22 Août 2012
Conseil Municipal du 22 Août 2012 Convocation du 14 Août 2012 Etaient présents : M. Jean-Pierre SART (Maire) - M. Michel GARRAS - Mme Nathalie RACOLIN M. Fabrice BERNADET Mme Sandrine RIBEYROT (Adjoints)
Plus en détail- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE
- QUESTIONNAIRE HISTORIQUE HISTOIRE DES GARDES POMPES ET DU BATAILLON 1) De quel pays, Du Périer a-t-il rapporté la pompe à incendie pour laquelle il a obtenu un privilège royal en 1699? Hollande 2) Quel
Plus en détailLicence professionnelle Bibliothécaire
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Bibliothécaire Université Bordeaux Montaigne Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier
Plus en détailResponsabilité des dirigeants d entreprise en société
Responsabilité des dirigeants d entreprise en société François MOISES, avocat Un des objectifs de la constitution d une société est de mettre son patrimoine privé à l abri des poursuites des créanciers
Plus en détailPCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678
Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE
Plus en détailAnnexe A de la norme 110
Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet
Plus en détail