GENRE ET PARTICIPATION POLITIQUE EN AFRIQUE Par NDEUNA TCHOUMENI Carine Diane (Cameroun)

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1 Ms. Carine Diane Ndeuna-Tchoumeni est titulaire d un Master en Business Administration de l IAE de Poitiers en France. Dynamique, proactive, elle est présentement la coordinatrice générale du Réseau Camerounais pour l Entreprenariat et le Leadership des Femmes GENRE ET PARTICIPATION POLITIQUE EN AFRIQUE Par NDEUNA TCHOUMENI Carine Diane (Cameroun) Introduction En Afrique, en général, la place réservée à la femme est fortement influencée soit par les pratiques dans nos sociétés traditionnelles, soit par l histoire de la colonisation, soit encore de la façon dont se considère cette dernière. En effet, dans les sociétés traditionnelles africaines, le rôle de la femme était confiné à celui de procréer ou aux travaux domestiques ; elle ne prenait pas part aux discussions concernant la cité encore moins aux discussions concernant sa propre vie car son mariage par exemple ne dépendait pas d elle. Or, à cette époque elle n avait pour avenir que le mariage, car l éducation des jeunes garçons était celle à payer. De même, la colonisation qui est venue renforcer cet état de choses a laissé des séquelles encore plus graves. Ainsi, la femme fut de plus en plus confinée dans les rôles de cuisinière ou d animatrice pour distraire les hommes (soldats) dans leurs moments de détente. Par ailleurs, nous pouvons aller plus loin pour trouver les causes de cette exclusion de la femme à la chose politique dans la Bible. Lors du décompte de la population dans le livre des NOMBRE, on comptait très exactement le nombre d hommes et de façon furtive on généralisait les femmes et les enfants sans donner un chiffre exact. Ceci traduit bien la pensée véhiculée à cette époque où les hommes étaient assimilés à des guerriers et les femmes et enfants confinés aux tâches mineures. Ainsi, la situation actuelle en Afrique et dans la zone de la Communauté Economique et Monétaire de l Afrique Centrale (CEMAC) n est autre que la conséquence de cet état de choses. Aussi, est-il question pour nous de 1) documenter les raisons des échecs politiques des 1

2 femmes africaines dans la zone CEMAC ; 2) d identifier les meilleures expériences de participation politiques des femmes et 3) enfin de formuler des recommandations à l endroit de toutes les parties prenantes du jeu politique. I. Les résistances politiques à la participation des femmes africaines Il s agit de parler essentiellement des causes des échecs politiques des femmes africaines ; ces échecs sont soit d origine externes, soit d origine interne c est-à-dire liés à la femme ellemême. a) Les résistances externes i. les résistances fondées sur les croyances religieuses et les origines d ordre coloniale Selon le livre de Timothée I, chapitre 2 aux versets 11 et 12 la femme n est pas autorisée à prendre la parole en public car si elle a quelque chose à dire, qu elle le dise à son mari et celui-ci le communiquera à l assemblée. Cette pensée est encore répandue de nos jours et limite, de ce fait, l implication de la femme aux activités non pas simplement de l assemblée mais aussi à la chose politique considérée par beaucoup comme ne faisant pas partie des domaines dans lesquels Dieu souhaiterait que ses enfants exercent, encore moins la femme. Car comme il est écrit dans le livre de Genèse au chapitre 2, verset 22, la femme a été faite à partir d une seule côte sortie de l homme. Aussi, dans le verset 18, Dieu fit la femme pour être une «aide» à l homme. Ce qui justifie bien les pratiques observées dans nos sociétés traditionnelles. Alors que Dieu avait confié le jardin d Eden à l homme, Adam, c est encore lui qui donna les noms à tous les animaux. Or, c est par la femme que le péché est arrivé sur terre. Toutes ces croyances concourent à renforcer l idée selon laquelle la femme n a pas été faite pour participer à la vie politique de son pays. Ces pratiques s observent bien dans les pays de la zone CEMAC où le christianisme domine, en l occurrence le Cameroun, le Gabon, la République Centrafricaine, le Tchad et le Congo Brazzaville. Par ailleurs, c est la même constatation au Tchad où domine l islam, il n est pas autorisé à la femme de pratiquer la politique. Elle peut donner des conseils à son mari et n a que le devoir de le conseiller, libre à lui de décider. En somme, tout se passe comme si cette dernière est l accompagnatrice de l homme, elle doit s assurer de ce que ce dernier ne manque de rien pour vaquer à ses occupations ; autrement dit, son projet de vie se limite à ce dernier et ses enfants. ii. Les origines socioculturelles Consciemment ou inconsciemment, la société a toujours considéré la femme comme «le sexe faible», celle-là qui a besoin d être surprotégée, encadrée, contrôlée comme si elle ne peut rien faire d elle-même. Ceci a pour conséquence de créer une psychose générale et on considère que certaines fonctions sont uniquement dévolues aux hommes. 2

3 A titre d illustration, aucune femme n a jamais occupé le poste de Présidente de la République dans un pays de la CEMAC. Non pas par manque de volonté ou de qualification mais le contrôle lors de la validation des candidatures féminines aux postes électoraux est plus stricte que celui des candidatures masculines. Le nombre d enfants, la situation matrimoniale, sont évalués et peuvent constituer un blocage. Or, ces faits sont plutôt des arguments pour juger du sérieux d un candidat homme. Par ailleurs, bien que constituant la majeure partie de la population, au Cameroun (52%), les femmes sont moins représentées au niveau des instances décisionnaires des formations politiques. A titre d exemple, l animation est inscrite comme stratégie de développement dans ce processus de modernisation et cette mission échoit à la femme ainsi que le formule l article 47 (nouveau) des statuts du RDPC (ex-parti unique au pouvoir) : «L organisation des femmes du parti a pour but la mobilisation des femmes camerounaises en vue de leur conscientisation et de leur participation à la poursuite et à la réalisation des objectifs du parti.». Autrement dit, leur rôle est de contribuer au succès du parti et de ne pas songer à occuper de hauts rangs ; l architecture du parti au pouvoir le montre bien et se retrouve dans tous les autres partis politiques où les femmes sont cloisonnées dans les associations de femmes. La faible présence des femmes au niveau décisionnel est en contradiction avec leur présence massive au sein des formations politiques dans la zone CEMAC et rend visible le rôle de figurantes, d harangueurs de foules, généralement tenu par les femmes en leur sein. «Aussi peut-on les voir gesticuler, faire foule, chanter et danser pour agrémenter la tenue des grands évènements, les rencontres des partis politiques, bref à jouer les rôles folkloriques pendant que les hommes travaillent, réfléchissent pour prendre des décisions qui vont à coup sûr, influencer leur existence» comme le disait MFARAM ATCHANG lors de la conférence internationale sur les femmes actrices de développement pour les enjeux mondiaux en Mars 2008, Liège (Walonie). Ces discriminations se traduisent par l absence dans les programmes des partis politiques, de stratégies de promotion des femmes. iii. Les résistances économiques Ayant été longtemps sous l aile de son époux, la femme africaine dépendait de ce dernier qui était chargé de ramener les revenus pour toute la famille. Si elle exerçait une activité, c était une activité de subsistance et elle ne pouvait donc pas investir à grande échelle pour épargner. Mariée, tous les biens et actes étaient au nom du mari (titres fonciers, bien acquis en communs) ; par conséquent, elle se trouvait ainsi davantage fragilisée. De nos jours, bien qu ayant pris conscience de cet état de chose, la femme qui veut s engager en politique souffre du manque de financement de sa carrière, ne pouvant compter ni sur le soutien de la banque (elle n a pas de garantie à déposer) ni sur celui de son époux. 3

4 De plus, les femmes disposent donc de peu de ressources et de réseaux de soutien moins étendus que ceux des hommes, toutes choses qui sont nécessaires pour gagner les élections. B- Les Résistances liées à la femme elle-même 1. Intériorisation par la femme des valeurs traditionnelles et socioculturelles Ayant vécu pendant longtemps sous l influence de ces limitations, la femme a fini par accepter cet état de choses et la conséquence logique est la suivante : -le manque de volonté, d audace et de combativité; - le manque de confiance et faible estime d elle-meme ; -le manque de solidarité entre les femmes et de leadership ; - et le manque de vision à long terme. Ainsi, la femme a tendance à se replier sur elle-même ou alors elle se considère comme une victime résignée. 2. La vie familiale et les maternités La décision d engager ou de poursuivre une carrière politique par la femme est fortement influencée par sa situation familiale. Car pour celle qui est mariée, il lui faut concilier le triple rôle d épouse, de mère et de femme politique ; sous réserve bien sur de l accord du mari, sinon elle est exposée au risque d instabilité conjugale. Pour celles qui ne sont pas mariées, elles souffrent de devoir faire face aux préjugés et regards malveillants car une femme «seule» est souvent stigmatisée en Afrique, continent où le sens de la famille est très développé. 3. La carrière du mari Le choix de la femme devant être validé par son mari, celle-ci l orientera dans le sens de ne pas nuire à la carrière du mari et à son image. Car, c est très mal considéré qu un homme laisse sa femme faire la politique alors que c est lui qui doit tenir les reines et à elle de le suivre. II. Les meilleures expériences de participation politique des femmes africaines de la Zone CEMAC Toutes ces femmes qui ont bravé préjugés, insultes, mépris et manque de considération ont toutes un point commun : la détermination et la poursuite d une vision d un idéal commun pour leur nation. a) Le Cas du Cameroun Au Cameroun par exemple, l un des brillants parcours les plus récents est celui de Edith Kahbang-Walla, candidate à l élection présidentielle d Octobre Longtemps, cette dernière a dirigé le «Shadow Cabinet»-Cabinet stratégique- du principal parti au pouvoir, le 4

5 Social Democratic Front (SDF). Elle était partie favori sur les listes électorales alors que son mari s opposait à sa candidature. Elle a démissionné de ce parti où sa voix n était pas entendue pour former le Cameroon People Party (CPP). Pour sa toute première participation à une élection présidentielle, le CPP est arrivé 5 ème sur 21 candidats (elles étaient deux femmes dans la course) ; devançant ainsi d autres leaders hommes qui ont déjà participé à plusieurs élections présidentielles. Et comme elle le dit toujours : «Quand on est une femme, on doit travailler deux fois plus que les hommes pour se faire accepter et respecter» b) Le Cas du Gabon Au Gabon, une Avocate, Ministre Déléguée aux Finances et Député du Parti Démocratique Gabonais (PDG), Madame Pauline OYANE s est vue exclure de ce parti avec menace de lever son immunité parlementaire parce qu elle s est opposée à la modification de la constitution par le Président de la République. Toujours déterminée à servir son pays, elle est militante des droits de l homme, de la femme et de l enfant. Sa consœur Gabonaise qui est Maire Rose Allogho-Mengara, est comme plusieurs femmes de la sous-région, à une bonne position. En effet l expérience montre que plus on se rapproche de la sphère décisionnelle, moins elles sont présentent. c) Le Cas du Tchad Madame Amina Kodiyana, Ministre des Droits de l homme et des libertés fondamentales. C est sans doute l un des postes les plus prestigieux que peut occuper une femme dans un tel pays où l islam domine et où la femme n est pas sensée parler en public. d) Le Cas de la République Centrafricaine Candidate aux dernières élections présidentielles, Marie Reine Hassen, candidate indépendante du peuple pour le renouveau a axé sa campagne sur : une force d avenir : la volonté de changer le regard sur la Centrafrique. III. Les Recommandations Face à cet état des lieux et considérant que la femme est un moteur incontesté de la société, il est impératif de formuler des recommandations afin que sa participation aux instances de décisions soit plus considérée. Ces recommandations vont à l endroit de l Etat et des politiques (A), des religieux qui sont les «gardiens de la morale et de la paix»de la société (B) et enfin des femmes engagées ou aspirantes en politique (C). a) Recommandations pour les états et les politiques i. Pour les Etats 5

6 Au-delà des politiques de discriminations positives mis en place par l Etat et des ministères essentiellement pour femmes, il est important que l Etat repense son organisation en laissant ouverte la porte qui mène aux hautes sphères de décision de la République. Prenant en compte les capacités des femmes et non leur statut de femme, l Etat gagnerait à développer un autre visage de la politique ; car la femme est reconnue comme celle qui écoute, établit des relations de solidarité avec ses collaborateurs et délègue plus facilement, donc pas de risque de confiscation du pouvoir. Le problème ne se trouvant pas au niveau des textes et lois qui régissent nos Etats, ces derniers ont intérêt à mettre en place des cellules d écoute et d encadrement pour mettre un terme aux frustrations et au clientélisme dont les femmes sont victimes. ii. Pour les politiques Il serait judicieux de revoir les textes qui régissent leurs formations politiques pour eviter ce qui se passe au niveau de l Etat qui a de très bons textes mais dont l application pose problème. Les formations politiques sont encore fortement dominées par les pratiques d exclusion de la femme qui avaient cours dans nos sociétés traditionnelles et pendant la période précoloniale. Or, de la même façon qu ils comptent sur les femmes pour mobiliser et faire passer leurs messages aux populations - souvent considérées comme plus crédibles, ils pourraient utiliser cet atout pour gagner en légitimité. De plus, au lieu de cloisonner la femme à un «rôle mineur» au sein des formations politiques, il gagnerait à profiter de leur dynamisme pour les mettre au cœur de l action politique. b) Recommandations pour les religieux i. Annulation des croyances négatives Considérés par plusieurs comme les «gardiens de la morale et de la paix» au sein de la société, les religieux ont donc la responsabilité de veiller à la cohésion sociale ; car ils jouissent de l estime et de la considération du peuple et des politiques. Ceci dit, la bonne interprétation des versets sur lesquels s appuient certains leaders religieux pour exclure la femme de la chose politique doit être faite. Il faut donc, de toute urgence, lutter contre ces croyances négatives qui limitent ainsi l exploitation du potentiel que Dieu a placé en la femme. Aussi, le démantèlement de ce réseau d hommes religieux qui répandent pareille psychose permettrait d arrêter d endormir la femme de la sorte et de la reconsidérer dans la société. ii. L exemple de la femme politique dans la bible : Esther 6

7 Ces croyances semblent ignorer le fait que c est Esther (une femme) qui avait pris l initiative du jeun de trois jours et invita son oncle Mardochée à demander à tout le peuple de jeuner avec elle pour implorer la miséricorde de Dieu. Au terme de ces trois jours, lorsqu elle se présenta devant le roi, elle gagna la faveur du roi de telle sorte qu Israël fut libéré. Ce seul exemple montre bien combien la femme peut tenir les reines de la cité et la conduire à la prospérité. c) Recommandations pour les femmes engagées ou aspirantes en politique i. Pour les femmes engagées Il faut simplement tenir ferme et garder la vision car pour tout changement politique, la femme a toujours joué un rôle majeur dans l histoire, bien que ignoré. Surtout, conscientes de l environnement dans lequel elles évoluent et des défis auxquels elles font face, il est nécessaire qu elles se mettent ensemble pour être mieux entendues. En travaillant de façon solidaire et non en rangs dispersés, elles auront une meilleure occasion de mettre leur talent à profit et seront reconsidérées. Aussi, elles ne doivent jamais perdre de vue le fait que les jeunes aspirantes en politique ont les yeux rivés sur elles ; donc elles doivent être irréprochables. ii. Pour les femmes aspirantes Contrairement aux femmes déjà engagées en politique qui ont plus d expériences et rencontrent d autres types de résistances, en plus d être inexpérimentées, les jeunes aspirantes en politique font face aux harcèlements sexuels du fait de leur jeunesse car c est ce qui leur est présenté comme moyen de réussite en politique. Ayant moi-même fait l expérience de cette situation lorsque j étais en année de Licence à l Université de Yaoundé II en 2005 ; il s agissait d élire la présidente ou le président de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Un responsable de la commission qui organisait les élections m avait clairement dit qu il n est pas possible que je gagne car disait-il «Bien que tu aies le meilleur plan d action, tu ne pourras pas gagner car tu n es pas manipulable, et tu parles en regardant droit dans les yeux. Tu es trop droit». J avais 22ans et je fus longuement choquée de savoir à quel point la réussite de la femme est si différente de celle de l homme. Comme il me l avait dit je suis arrivée 2 ème à l élection ; mais j avais vécu une expérience qui marqua ma vie de telle sorte que je me dis toujours «Quand on est une femme, on doit travailler deux fois plus que les hommes pour se faire accepter et respecter» De plus, c est la détermination, le courage de dire non aux propositions indécentes qui feront la différence avec le système déjà en place. BIBLIOGRAPHIE Statuts régissant le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), 7

8 MFARAM ATCHANG Conférence internationale sur les femmes actrices de développement pour les enjeux mondiaux en Mars 2008, Liège (Walonie). ETOGA EYILI, S «Pour une implication accrue des femmes dans l administration publique camerounaise», in B. AMAMA (dir.), op. cit. : 292. Ibrahim MOUICH Département de Science politique, Université de Yaoundé II. Difficultés d insertion politique des femmes au Cameroun Colette Florence MEBADA Conférence sur le renforcement des capacités de la femme dans l administration, la gouvernance et le leadership. Le développement de la carrière des femmes dans les organisations publiques au Cameroun : Enjeux et DEFIS RANDALL, V Women in Politics, London, The Macmillan press. AGUESSY, D «Femmes et démocratie», Démocraties africaines, 1 : BARBIER, J.-C. (dir.) 1993 Femmes du Cameroun. Mères pacifiques, femmes rebelles, Paris, ORSTOM-Karthala. CONAC, G. (dir.) 1979 Les institutions administratives des États francophones d Afrique noire, Paris, Economica L Afrique en transition vers le pluralisme, Paris, Economica. DIOUF, M Libéralisation politique ou transition démocratique, perspectives africaines, Dakar, CODESRIA. HIRSCHMANN, D «Woman and Political Participation in Africa : Brooding the Scope of Research», Word Development. KAMTO, M Pouvoir et droit en Afrique noire. Essai sur les fondements du constitutionnalisme dans les États d Afrique noire francophone, Paris, LGDJ. LE VINE, V. T Le Cameroun : du mandat à l indépendance, Paris, Les Éditions internationales 8

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