La spécialisation est au cœur de la théorie du. Rue de la Banque N 20 Mars 2016

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1 N Mars Spécialisation du commerce international : faits, vulnérabilités et remèdes Walter STEINGRESS Direction des Études et des Relations internationales et européennes Cette lettre présente le résultat de travaux de recherche menés à la Banque de France. Les idées exposées dans ce document reflètent l opinion personnelle de leurs auteurs et n'expriment pas nécessairement la position de la Banque de France. Les éventuelles erreurs ou omissions sont de la responsabilité des auteurs. Les pays tendent à se spécialiser dans le commerce international comme l illustre la forte concentration des échanges extérieurs. Ainsi, un pays exporte en moyenne % de l ensemble des produits existants et tire la moitié de ses revenus d exportation de % seulement de ses produits exportés. S agissant des importations, en moyenne un pays importe un tiers de l ensemble des produits existants, tandis que la moitié de ses dépenses portent sur % des produits importés. Le degré de concentration est inversement proportionnel à la taille de l économie, les petits pays se spécialisant plus que les grands pays. Cette spécialisation engendre des vulnérabilités. Elle affecte la structure de l économie et accroît sa dépendance aux chocs pouvant toucher les secteurs et les produits concernés. Ce risque peut être atténué par des investissements en R&D favorisant la productivité. La spécialisation est au cœur de la théorie du commerce international. Une des conséquences des échanges mondiaux est que les pays n ont pas besoin de produire l ensemble de leurs biens, ils peuvent au contraire se spécialiser dans les biens qu ils savent comparativement mieux produire et importer ceux qu ils produisent de façon comparativement moins efficace. Du fait de la réallocation de la production vers des secteurs plus efficaces et de la possibilité d acheter des biens moins chers à l étranger, les pays tireront du commerce international des gains en termes de bien-être. L analyse des déterminants de la spécialisation est cruciale car elle permet non seulement de mesurer les gains de l échange, mais aussi d obtenir des informations sur la manière dont le commerce affecte la structure d une économie. Par exemple, un degré élevé de spécialisation accroît la probabilité que les chocs spécifiques à un produit exercent des effets agrégés sur la volatilité de la production et/ou une incidence sur les termes de l échange. Le présent article a un double objectif. Premièrement, il décrit les modes de spécialisation en examinant la concentration des exportations et des importations. À cette fin, il décompose le niveau de concentration global pour obtenir une mesure des marges et. La marge constitue un indicateur de la spécialisation selon le nombre de produits échangés (nombre de produits échangés par un pays parmi tous les produits existants dans le monde). L indice de concentration pour la marge mesure la spécialisation selon la valeur des biens échangés (comment la valeur des exportations et celle des importations sont réparties). Deuxièmement, cet article analyse la capacité d un modèle ricardien standard (Eaton et Kortum, ) à expliciter les schémas de spécialisation observés. Plus précisément, il évalue le modèle à partir de trois questions élémentaires : qu est-ce qui explique le degré de spécialisation des exportations et des importations? Qu est-ce qui détermine l écart entre la spécialisation des importations et celle des exportations? La spécialisation se produit-elle sur la marge ou la marge? À titre d exemple, on peut citer l Arabie saoudite et sa dépendance au pétrole, qui représente 9 % des revenus qu elle tire de ses exportations et % de son PIB. Par conséquent, une variation du prix de pétrole accroîtra la volatilité et aura d importantes conséquences au plan macroéconomique.

2 N Mars On part d une évaluation empirique des schémas de spécialisation selon les pays à l aide de mesures de la concentration des exportations et des importations pour pays. Les données du commerce proviennent de la base de données BACI du CEPII (Gaulier et Zignago, 9), dans laquelle un produit est identifié par un code à six chiffres de la nomenclature du Système harmonisé qui répertorie 9 produits échangeables au total. Pour mesurer la spécialisation, j ai calculé l indice de Theil d après Cadot, Carrère et Strauss-Kahn (), qui présente l avantage d être additivement décomposable en composantes et. Il convient de noter qu un indice de indique une diversification complète (un pays exporte l ensemble de ses produits et tire le même revenu d exportation de chacun des produits). À l inverse, un indice de, indique qu un pays est complètement spécialisé et exporte un seul produit. T Statistiques synthétiques sur les indices moyens de concentration des exportations Données Exportations Theil Niveau,,, Part (en %) Régression (données) log (PIB) -,***, -,9*** [,] [,] [,] Observations R,,, Source : Steingress,. T Statistiques synthétiques sur les indices moyens de concentration des importations Données Importations Theil Niveau,,, Part (en %) Régression (données) log (PIB) -,***,*** -,*** [,] [,] [,9] Observations R,9,, Source : Steingress,. Observation : les exportations et les importations sont fortement concentrées À partir de la définition des indices de Theil extensif et intensif, je démontre dans un autre article (Steingress, ), que les indices de concentration des tableaux et suggèrent ce qui suit : un pays exporte en moyenne % de l ensemble des produits existants et tire % de ses revenus d exportation de % des produits ; en ce qui concerne les importations, un pays moyen importe % de l ensemble des produits existants et % de ses dépenses portent sur % des produits qu il importe. Observation : les exportations sont plus concentrées que les importations Les tableaux et indiquent que les exportations sont plus concentrées que les importations sur toutes les marges. L écart entre le degré de concentration des exportations et celui des importations s explique par la marge, c est-à-dire que les pays exportent peu de produits et en importent beaucoup. Observation : la marge est élevée pour les exportations tandis que la marge l est pour les importations Concernant la ventilation des exportations, le principal déterminant de la concentration est la marge, à hauteur de %, tandis que pour les importations, la marge est prépondérante avec une part de %. Observation : le degré de concentration est inversement proportionnel à la taille de l économie S agissant des différences entre pays, les tableaux et présentent les coefficients estimés lorsque le logarithme du PIB est régressé sur les indices de concentration. Il convient de noter que les indices de Theil relatifs aux exportations et aux importations diminuent lorsque le PIB recule, ce qui signifie que les petits pays se spécialisent plus que les grands pays. L indice de Theil se définit de la manière suivante : N Rk Rk T = N k = R log ( R ) où R k désigne le revenu tiré de l exportation du produit k, R les revenus moyens d exportation et N le nombre total de produits. Si un pays exporte un seul produit, l indice de Theil devient log(n). Le nombre total de produits échangeables (N) est 9, ce qui implique que T = log( 9) =,.

3 N Mars Ensuite, j utilise un modèle de commerce international ricardien standard développé par Eaton et Kortum () pour apporter un éclairage sur le déterminant sous-jacent de la spécialisation. Une implication fondamentale de ce modèle est qu il montre comment l avantage comparatif détermine la spécialisation de façon endogène, tant sur la marge que sur la marge. Selon ce modèle, la situation géographique ainsi que l élasticité de substitution et le degré d avantage absolu et comparatif constituent les principaux déterminants de la spécialisation. Un niveau de technologie plus élevé accroît l avantage absolu d un pays (c est-à-dire sa productivité) et se traduit par l exportation d un plus grand nombre de produits. Le degré d avantage comparatif accroît la sensibilité de la concentration aux variations des coûts unitaires de production, déterminant ainsi la spécialisation sur chacune des marges. Les coûts de transactions réduisent l avantage comparatif et accroissent la spécialisation sur les marges et. Une élasticité de substitution plus élevée se traduit par une meilleure substitution entre les produits et permet aux différents pays d orienter leurs dépenses vers un nombre réduit de secteurs à bas prix. Par conséquent, la concentration sur la marge augmente. Pour calibrer le modèle, comme Waugh (), j utilise des données de commerce bilatérales ainsi que des données géographiques (distance, frontière) afin d obtenir les coûts de transactions, les niveaux technologiques et l élasticité de substitution. Les résultats simulés (cf. tableaux et ) montrent que, sur le plan qualitatif, le modèle produit la structure de spécialisation observée, les pays étant spécialisés dans les exportations et diversifiés dans les importations pour toutes les marges. Surtout, le modèle simulé reproduit également le degré de concentration en termes de marge et marge, tant pour les exportations que les importations. Au plan quantitatif, les niveaux obtenus pour les exportations sont trop élevés par rapport aux données. Le graphique (infra) présente la structure par pays pour les degrés de concentration simulés et observés par rapport au logarithme du PIB. Le modèle reproduit le schéma observé, la concentration des exportations se réduisant à mesure que la taille du marché (PIB) s accroît. Toutefois, la spécialisation déduite du modèle quant au nombre de produits exportés est excessive (cf. graphique c). Du côté des importations, le modèle calibré n est pas en mesure de reproduire la relation en forme de L entre le PIB et le degré de concentration (cf. graphique d). Dans la simulation, les pays tendent à importer moins de biens que ne l indiquent les données. Concernant la marge T Indices simulés de concentration des exportations Simulation Exportations Theil Niveau,,, Part (en %) Régression (simulation) log (PIB) -,9***,9*** -,*** [,9] [,] [,] Observations R,,9, Source : Steingress,. T Indices simulés de concentration des importations Importations Theil Simulation Niveau,,9, Part (en %) Régression (simulation) log (PIB) -,**,* -,** [,] [,] [,9] Observations R,,9, Source : Steingress,. (cf. graphiques e et f), les résultats montrent que le modèle ne prévoit aucune relation entre le degré de concentration et le PIB, conformément aux données. Dans l ensemble, les résultats indiquent que le modèle ricardien d Eaton et Kortum est cohérent d un point de vue qualitatif avec la structure de spécialisation observée. Il est notamment en mesure de reproduire le degré de concentration sur les marges et tant pour les exportations que pour les importations. La concentration des exportations et des importations d un pays reflète donc sa productivité sousjacente et les coûts de transaction. Autrement dit, la relation causale va de la productivité et de la situation géographique vers la spécialisation. Enfin, s agissant des différences entre pays, la concentration sera plus élevée pour les pays se caractérisant par une faible productivité et des coûts de transactions élevés.

4 N Mars G Concentration simulée et empirique des exportations et des importations rapportées au PIB (abscisses : Log du PIB relatif par rapport au PIB des États-Unis ; (abscisses : Log du PIB relatif par rapport au PIB des États-Unis ; ordonnées : concentration des exportations) ordonnées : concentration des importations) a) Concentration totale des exportations b) Concentration totale des importations CPV VUT AFG WSM SYC IRQ CAF SDN GEO SEN UZB SLE AZE ARM NGA VUT AFG ALB BIH CUB NER MRT FJI MUS ETH COG CMR BEN BFA GNQ KGZ JAM LBY MWI ZAR NPL GNQ CYP DZA ECU RWA TGO HTI TZA OMN GHA BHR COL HND CIV ISL GMB LAO NIC MDA LBN PRY SLV TTO VEN SYR MOZ KHM NZL WSM YEM LKA EST ARE LTU SRB SAU GNQ KAZ CMR ARM IRQ ZMB LVA MAR SWZ TUN CAF SLE HTI SYR UGA GTM CRI PER GNQ SVK WSM BGD BLR AUS BRA SYC CAF MOZ VNM AUS EGY BGR ISR ROM VUT GMB MRT COG NER ZMB ZAR MWI GMB SYC PER JAM CPV SLE BEN BFA GRC SVN UKR ARM CHL HUN BRA BHR PAK NOR RWA KGZ GHA ETH IRQ CUB DZA ARG CZE POL IND LAO ISL AZE ECU LBY MWI HTI CHL FJI MUS NIC PRT THA DNK AUT SWE ALB GEO KHM PRY CIV CYP HND NPL BFA TTO SDN BHR BEN CPV NER COG UZB RWA KGZ LAO BFA GEO TGO VEN IND YEM FJI MWI TGO SEN UGA TZA YEM UZB CRI LBN KAZ PER NGA CAF ARM KGZ AZE BIH CIV SLV MOZ ZAR NPL COL ARG BGD BLR CHL SWZ BGD ARE MDA ARG IDN IRL AFG BIH GTM IRL ISR LVA OMN SGP SAU SLV BLR AUS CAN ESP NLD EST LTU GRC COL LKA MAR NZL VEN BEN ALB AUT TUN SYR SRB MYS HUN VNM NOR EGY PAK BGR SVK ROM DNK BRA GBR CAN CZE UKR ARE BGR CPV ETH DZA GTM KAZ NZL ISR HTI LBY ECU CRI LKA EGY GRC HUN IND MOZ NPL ROM RWA SDN TTO AZE YEM UZB SRB SVN UGA SEN BHR SAU SLE SWZ ALB CYP CIV TUN BIH CMR OMN MYS FJI SWZ ZMB TZA MUS SEN LAO SVN AUT SWE ESP SGP THA POL MYS IDN GBR IND AFG COG GHA CYP KHM MDA PRY GHA UGA WSM SYC MAR NER NGA CUB CZE IRQ GMB LBN MRT NIC OMN PRY EST SDN LBY GER HND PAK BGD ARE IDN POL TGO DNK NLD GEO JAM MDA ISL GER GER HND LVA LTU EST SVK VNM SWE VUT ZAR CRI BGR BLR IRL ISR NIC TTO TZA ISL JAM LBN SYR KAZ SGP PAK DZA THA MUS LVA SLV LTU LKA ECU HUN DNK NGA AUT BRA CZE GRC ZMB CHL COL EGY NLD GBR GTM SVK NZL VNM NOR ARG AUS IDN MAR NOR UKR SAU PER PRT CAN ESP SVN TUN SWE SRB VEN ROM THA POL GBR GER IRL SGP MYS NLD CAN c) Concentration des exportations d) Concentration des importations IRQ VUT CPV AFG WSM SYC SLE HTI ISL RWA GMB ALB BEN BFA NPL BIH NER MWI FJI GNQ KGZ YEM SDN LAO DZA CUB CAF GEO ARM AZE LBY MDA PRY LKA TGO MRT ZAR BHR COG LBN JAM CYP KHM UGA MUS UZB ETH SYR TZA NIC MOZ GNQ TTO WSM VUT ECU CPV SWZ LVA BGD ZMB NGA CMR EST LTU MAR SEN OMN HND GTM KAZ BLR NZL SLV SRB SVN CAF RWA GMB SYC MRT BEN EGY BGR TUN VEN IRQ COG MWI PER GHA MOZ BFA ZAR NER ETH SDN LBY SVK TGO CUB DZA CIV LAO ARM HTI ZMB UGA YEM GHA JAM AZE COL DNK CRI GRC CHL VNM ALB BHR CMR FJI KGZ NGA SLE ISL NIC MDA SEN GEO KHM TTO PRY TZA ROM PRT HUN NOR CZE AUS MUS AFG CYP CIV BIH HND NPL LBN OMN UZB CRI ECU KAZ SWZ GTM UKR SAU PAK BGD IRL POL AUT NLD EST LVA SLV VEN ARE LTU TUN SAU SYR LKA SRB BLR MAR CHL ARE GRC COL EGY NZL PER BGR IRL HUN ISR NOR ARG SVN SVK VNM SGP ROM IDN AUS DNK PRT CAN AUT ARG SWE CAN CZE MYS UKR PAK SWE POL SGP IDN IND ESP THA THA NLD ESP BRA BRA GBR GBR MYS IND GER GER VUT AFG GNQ WSM SLE GNQ CAF CMR LAO HTI BRA MWI GMB ARM PER IRQ SYR AUS BFA CPV MRT RWA ZAR COG SLV KGZ NER VEN SYC FJI UZB BEN BFA AZE FJI TGO MWI MOZ TTO GEO NPL COL BHR KHM UZB NZL CIV ARM BLR CHL ARG HTI RWA UGA YEM SDN CAF GTM ECU AZE ISR CRI KAZ BGD BEN ETH KGZ MOZ SWZ MDA ALB BIH YEM MUS LKA ZMB SRB SAU CPV ALB BIH DZA EGY ROM TZA SEN CUB HUN IND NIC NPL GHA LBY BHR CIV CMR WSM EST SYC MAR NER SLE ETH LBY SEN UGA GHA BLR UKR NGA PRY BGR GRC POL COG CYP ARE ESP GMB GEO HND IDN JAM KHM LAO LTU LBN MDA LVA BGR CUB KAZ GER NIC TZA SYR SDN MUS HND LVA CZE AUT IRQ MRT OMN PAK BGD SWE TGO ZAR ISL JAM CYP TUN CRI GTM SVN PRT NOR VUT ZMB ECU ARE CZE AUT ARG BRA HUN DZA AFG EST SVK VNM CHL DNK IDN IND TTO PRY LBN LTU OMN PAK SLV SVN LKA VNM NGA UKR TUN MAR COL EGY THA AUS CAN ESP GBR IRL ISR MYS NLD SRB SVK NZL PER ROM SWE POL NOR PRT THA GRC SGP VEN SAU DNK GBR CAN GER SGP IRL MYS NLD e) Concentration des exportations f) Concentration des importations 9 SEN NGA UZB SAU ARE COL GEO GHA CIV AZE CAF SDN OMN HND CMR BRA ETH ARM MUS SLV VEN CUB ECU ISR MRT TZA COG CRI ARG AUS IND JAM NER ZAR NZL TGO CYP FJI NIC TTO KAZ ROM THA SYC SLE LBY ALB BIH LTU SRB TUN PER SVK VNM UKR SWE BHR EST CPV ZMB MAR SLE MWI GNQ DZA GRC HUN ESP KGZ MOZ NPL NER MOZ SYR ZMB JAM PAK POL WSM SYC TTO PER CHL SGP GTM BLR EGY CHL IDN AUT GBR CAF LBN KHM LVA MRT KGZ ZAR NOR BGR ISL CMR ARE ARG MDA COG ARM BHR GHA CRI ECU IRL ISR CZE AUS CAN GER PRY LKA MYS RWA UGA GMB GNQ MYS WSM SWZ MUS CIV BGD BEN BFA BGD IRL NLD IRQ VUT YEM BFA ALB BIH BLR CUB BRA CYP FJI GEO HND NPL UZB KAZ MDA LAO KHM HUN NIC PRY LVA SVN SGP CAN LAO BEN AZE BGR DNK COL ESP HTI EST ETH LBN NZL GTM LBY MAR DNK GMB AFG HTI ISL AFG AUT DZA CZE GRC EGY IDN GBR IND NGA PAK TGO SEN TZA SAU UGA SLV SDN SVK VNM LTU TUN NOR OMN PRT UKR SWE THA VUT YEM SVN GER CPV SYR VEN LKA POL MWI SRB IRQ ROM NLD RWA SVN MYS IND CYP TUN AUT AFG BIH ALB ARE IRQ CPV GMB BEN BHR BGR BFA CAF ETH CYP DZA COG ARM BGD CZE DNK GEO FJI GHA ARG AUS AZE CIV CHL CMR EST CUB ECU CRI EGY GRC COL GBR GNQ KGZ GER HTI HND ISL GTM ISR HUN JAM KAZ KHM LAO LBN LBY IDN IRL IND NER MRT SLE OMN MDA MWI NGA NPL MOZ MUS PRY PAK LVA LKA LTU MAR MYS NLD SAU NOR NIC PER NZL ROM RWA SDN SEN SRB SVK TGO SYC AFG KHM VUT VNM WSM YEM BEN ARE UGA TZA UZB ARM BHR CIV OMN IRL ISR SGP DZA VUT ZAR ZMB PRT SGP SWZ SYR BFA AUT THA BRA CAN POL SWE SLV TTO ALB AZE BGD GEO CMR CRI CHL DNK COL VEN UKR ARG AUS CAN BRA CPV CAF COG BIH BGR ECU EGY EST ETH GRC ISL HUN HND GHA GBR CZE ESP GER GMB GTM IRQ GNQ HTI JAM LBN LKA KAZ IDN KGZ LVA LTU LBY MAR BLR CUB FJI MDA PRY MRT NER NZL SAU SYC SEN MUS NGA NOR NLD MWI MOZ NIC SLV SDN PAK PER PRT RWA NPL SRB SVK SWZ TGO TTO THA SWE SVN ROM POL UGA TZA YEM UZB TUN SYR VNM VEN UKR ZMB WSM LAO SLE ZAR Données simulées Données empiriques Source : Steingress,. Cette analyse a d importantes implications pour la politique macroéconomique. Il ressort de la littérature empirique que la concentration des exportations et des importations accentue l exposition des pays aux chocs spécifiques à un secteur, ce qui se traduit par une volatilité accrue de la production et des termes de l échange (Ramey et Ramey, 99 et Jansen, ). Cette volatilité peut entraîner ultérieurement une baisse des revenus (Koren et Tenreyro, ). La baisse des coûts de transactions ou l accroissement de la productivité via l investissement en R&D entraînerait une diversification des exportations et des importations et, par conséquent, une réduction de ce risque.

5 N Mars Bibliographie Cadot (O.), Carrère (C.) et Strauss-Kahn (V.) () «Export diversification: what s behind the hump?», The Review of Economics and Statistics, 9, p. 9-. Eaton (J.) et Kortum (S.) () «Technology, geography, and trade», Econometrica, (), p. -9. Gaulier (G.) et Zignago (S.) (9) «BACI: international trade database at the product-level», CEPII Working Paper -. Jansen (M.) () «Instabilité des revenus dans les petites économies en développement : l incidence de la concentration des exportations», Document de travail de l OMC n, Organisation mondiale du commerce (OMC). Koren (M.) et Tenreyro (S.) () «Volatility and development», The Quarterly Journal of Economics,, p. -. Ramey (G.) et Ramey (V.) (99) «Cross-country evidence on the link between volatility and growth», American Economic Review,, p. -. Steingress () «Specialization patterns in international trade», Document de travail de la Banque de France n. Télécharger le document Waugh (M. E.) () «International trade and income differences», American Economic Review,, p. 9-. Éditeur Banque de France Directeur de la publication Marc-Olivier STRAUSS-KAHN Directeur de la rédaction Françoise DRUMETZ Réalisation Direction de la Communication Mars

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