Préhistoire : généralités. Introduction aux méthodes de fouille

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1 1 INSTITUT ROYAL DES SCIENCES NATURELLES DE BELGIQUE KONINKLIJK BELGISCH INSTITUUT VOOR NATUURWETENSCHAPPEN Préhistoire : généralités Introduction aux méthodes de fouille par Anne HAUZEUR* BRUXELLES BRUSSEL * Association pour la Diffusion de l'information Archéologique Asbl Rue Vautier, 29, Vautierstraat 1000 Bruxelles - Brussel

2 2 Sommaire Qu'est ce que la Préhistoire? 3 Le milieu 3-6 La Préhistoire est divisée en trois grandes périodes 6 Les chasseurs nomades du Paléolithique et du Mésolithique 6-10 Un mode de vie nouveau : le Néolithique Pourquoi fouille-t-on pour retrouver les vestiges du passé? 12-16

3 3 Qu est-ce-que la Préhistoire? La Préhistoire est une très longue période du passé de l Homme (plus de 3 millions d années), pour laquelle on ne possède pas de documents écrits sur lesquels se baser pour la connaître, mais seulement des vestiges matériels (outils, restes de foyers, d habitat) que l on interprète (fig. 1). L Histoire, qui ne compte que ans, est caractérisée par l existence de textes qui aident à la reconstitution du passé. La recherche en Préhistoire a débuté il y a 150 ans à peine. Vers le début du XIXe siècle, un médecin belge, Philippe- Charles Schmerling, découvrit, lors d une fouille dans des grottes de la région liégeoise, des ossements humains associés à des animaux disparus aujourd hui, ou qui ne vivent plus dans nos régions, et des outils en pierre et en os qui lui permirent d établir l ancienneté de l Homme. Cette découverte bouleversa les idées que l on se faisait, au XIXe siècle, du passé de l Homme. La science préhistorique était née. Les découvertes se sont multipliées aussi bien en Europe qu en Afrique et en Asie et on s aperçut que l Homme n avait pas toujours été semblable à nous et qu il avait une origine lointaine, remontant jusqu à certains primates de l ère tertiaire. Complétant l étude de l Homme et de son passé, l analyse des ossements d animaux fossiles (la paléontologie) et celle des pollens de plantes (la palynologie) ont montré que le climat s était modifié plusieurs fois durant ces milliers d années. La végétation, les animaux et les Hommes ont dû s adapter à ces variations climatiques. En Europe, les plus anciennes traces de l Homme remontent à ans environ (Géorgie). Le milieu L Europe du Nord-Ouest a connu des phases de climat froid et rigoureux, alternant avec des phases de climat plus tempéré (fig. 2). Ce sont les périodes glaciaires et interglaciaires dont la durée a Phase froide Forêt clairsemée à pins et à bouleaux. 15 Juillet 5 Phase tempérée Forêt de chênes, noisetiers, tilleuls. Juillet Fig. 2 - Phases de climat.

4 4 Métal Sédentarisation Élevage Homme actuel Art Sépulture Le couteau Homme de Néandertal Homo erectus Feu Fig. 1 - Ligne du temps.

5 5 varié de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers d années. Ces changements climatiques ont entraîné une modification du paysage, tant au niveau du relief que de la végétation. Les phases de sédimentation, ont provoqué l accumulation de terres dans les vallées, par exemple. Les phases d érosion ont emporté des terres, parfois très loin, par les pluies et le vent. Pendant les périodes froides, la forêt tend à disparaître au profit des espèces herbacées. Quelques espèces d arbres subsistent comme le pin et le bouleau, sous forme d arbustes ou d arbres rabougris. Ce type de paysage se trouve de nos jours près du cercle polaire en Asie et en Amérique. Lorsque le climat devient plus tempéré, la forêt se reconstitue, d abord avec du pin et du bouleau. D autres espèces apparaissent ensuite progressivement comme le chêne, le noisetier et le tilleul. Le type de climat et de végétation favorise ou non l extension de certaines espèces d animaux. Les animaux qui résistent à des températures basses sont, entre autres, le mammouth, le rhinocéros laineux, l ours des cavernes, le renne, le renard polaire. Lors d une phase de réchauffement, ces espèces migrent vers le nord et sont remplacées par l ours brun, l aurochs, le léopard, l hyène, le cerf, le sanglier (fig. 3). Les derniers ans ont connu d abord une période de réchauffement (Eémien), d une durée de quelque ans. Elle a été entrecoupée par trois épisodes plus tempérés favorisant le développement d une forêt mixte. L érosion fut importante : les plaines alluviales se trouvaient à une dizaine de mètres en dessous du niveau actuel. Puis le climat va se dégrader pour aboutir à la dernière période glaciaire (le Weichsélien), interrompue par des périodes de réchauffements climatiques. A partir de ans, les conditions climatiques s améliorent, la forêt se réinstalle progressivement. A tel point que, vers ans avant notre ère, le climat a été sensiblement plus chaud qu actuellement. Depuis Cheval germanique Renne Cerf élaphe Boeuf musqué Ours des cavernes Aurochs Sanglier Mammouth Fig. 3 - Faune.

6 6 plusieurs années, le climat se dégrade, évoluant vers une nouvelle période glaciaire qui atteindra vraisemblablement son maximum dans quelques milliers d années. La Préhistoire est divisée en trois grandes périodes Le Paléolithique, le Mésolithique et le Néolithique Chacune de ces périodes est définie par l Homme et son mode de vie, par les techniques qu il a mises en œuvre et par les types d outils qu il a fabriqués. Deux modes de vie, fondamentalement différents, caractérisent la Préhistoire. L un, nomade et prédateur, se fonde essentiellement sur la chasse et la cueillette, l autre, sédentaire, se distingue par une économie de production basée sur l agriculture et l élevage. Les chasseurs nomades du Paléolithique et du Mésolithique Homo erectus est le premier Homme qui apparaît en Europe, au Paléolithique. Il a des noms différents, selon qu on le retrouve en Chine (Sinanthrope) ou dans l île de Java (Pithécanthrope). Il est trapu; le front est fuyant avec de grosses arcades sourcilières et la partie inférieure de la face s avance. Homo erectus vit essentiellement de chasse et de cueillette. Ses moyens de subsistance dépendent étroitement des ressources du milieu environnant. C est un prédateur qui vit en petits groupes et qui se déplace fréquemment en quête de nourriture. Ce mode de vie nomade persistera pendant plusieurs centaines de milliers d années. Homo erectus fabrique des outils sommaires, le chopping-too1 (fig. 4), galet aménagé par quelques enlèvements, et le biface (fig. 5), outil taillé sur les deux faces, et les utilise pour toute sorte de tâches. Les restes de foyers que l on trouve dans les habitats témoignent de l utilisation du feu Le chopping-tool : en détachant quelques éclats d un galet, on obtient un tranchant sommaire. Le biface : outil régulier taillé sur les deux faces. Figs Le Paléolithique : deux outils à tout faire.

7 7 qui marque un tournant important de l évolution technique. L Homme peut l employer pour rabattre les animaux à la chasse. La présence d un foyer au campement garantit l Homme des incursions d animaux et lui permet de se chauffer et de mieux résister aux changements climatiques. D un point de vue technique, le feu intervient dans la cuisson des aliments et sans doute dans le mode de fabrication de certains outils. (épieu durci au feu; fig. 6). Aux environs de ans, apparaît l Homme de Neandertal (Homo sapiens neanderthalensis). Sa silhouette est encore robuste; il a le front et le menton fuyants et de grosses arcades sourcilières. L outillage se diversifie, et devient plus régulier. Les outils sont fabriqués en fonction du travail à accomplir (fig. 7). Denticulé 3 cm Racloir 0 Pointe Fig. 7 - L'outillage se diversifie. 5 cm 0 Fig. 6 - Épieu en bois (Clacton-on-Sea, Grande-Bretagne). Fig. 8 - L Homme enterre ses morts (La Chapelle-aux-Saints, France).

8 8 Les premiers témoignages d une vie spirituelle font leur apparition : l Homme de Neandertal enterre ses morts (fig. 8). Il disparaîtra sans laisser de descendance. Très rapidement, entre et ans, l Homme actuel (sapiens sapiens) s installe dans nos régions. Il se caractérise par une stature plus élevée, un front droit, une face plate et un menton bien développé. Il perfectionne les techniques acquises. L outillage est fabriqué en série et les types d outils correspondent à des tâches bien définies (grattoir pour le travail des peaux, burin pour rainurer l os, denticulé pour racler le bois, perçoir...; fig. 9). Il travaille les matières osseuses, façonne des sagaies en bois de cervidé pour la chasse, des harpons pour la pêche et des aiguilles à chas pour assembler les peaux (fig. 10). L art se développe et atteint un apogée : peintures et gravures sur les parois des grottes (art pariétal), décor sur plaquettes ou sur des objets utilitaires en os et Grattoir Burin Perçoir Fig. 9 - L outillage se diversifie.

9 9 Harpon (Goyet) Sagaie (Goyet) Fig Le travail des matières osseuses. Aiguille à chas Bâton perforé (Goyet) 0 5 cm Plaquette décorée (Chaleux) 0 5 cm Fig L art.

10 10 La flèche Fig Le Mésolithique : invention de l'arc. en bois de cervidés, sculpture en ronde-bosse (art mobilier; fig. 11). La fin de la période des chasseurscueilleurs est marquée par le retour de la forêt mixte tempérée et l installation de la faune actuelle. Ce nouveau milieu a pour conséquence l invention de l arc, adapté à la chasse en forêt. Au Mésolithique, le chien est domestiqué pour en faire un compagnon de chasse (fig. 12). Les sépultures sont désormais regroupées en cimetières. Un mode de vie nouveau : le Néolithique L'élevage Mouton Porc Bœuf L'agriculture Vers 5000 avant notre ère, un nouveau mode de vie, originaire du Proche- Orient, fait sont apparition dans nos régions. L agriculture et l élevage (fig. 13) permettent à l Homme de s affranchir du milieu environnant. Il s agit d une économie Engrain Amidonnier Fig Le Néolithique. Les Néolithiques cultivaient deux variétés primitives de blé.

11 11 Fig Maison néolithique. de production. Conjointement, l Homme devient sédentaire, construit des maisons durables et s installe dans des villages (fig. 14). L Homme utilise de nouvelles techniques : le polissage (fig. 15) des outils de pierre (l herminette, ensuite la hache) et la fabrication de récipients en céramique (fig. 16). À côté des tombes à inhumation, on trouve des tombes à incinération dans les cimetières. La fin du Néolithique verra, pendant quelques siècles, l expression d un sentiment religieux particulier, illustré par Les acquisitions nouvelles : Le polissage des outils en pierre et la poterie Fig.15 - Hache polie dans sa gaine en bois de cerf (Betekom). Fig Poterie décorée (Darion). 0 3 cm

12 12 l existence de tombes collectives sous forme d ossuaires en grotte (fig. 17) et la construction de monuments mégalithiques (fig. 18). Vers 1700 av. J. C., les premiers objets en métal apparaissent dans nos ré- Fig Ossuaire en grotte (Furfooz). Des siècles se sont écoulés entre le moment ou l Homme préhistorique a abandonné son habitat et celui où l archéologue le découvre. Au cours du temps, la surface de la terre subit deux types de modifications contraires : la sédimentation et l érosion, sous l influence des agents climatiques. Après le départ de l Homme, le site d habitat et tous les objets qu il contient sont peu à peu recouverts par des sédiments. Le sol conserve alors le témoignage du passage de l Homme. Seulement il est exceptionnel de retrouver un site d habitat tel que l Homme l a laissé. Une érosion importante peut bouleverser l ordonnance des couches de terre et celle de l habitat. Les matières organiques se conservent mal, l os et surtout le bois se désagrègent et finissent par disparaître. Souvent il ne reste de l habi- Le dolmen de Wéris I. Les 3 menhirs d Oppagne. Fig Monuments mégalithiques de Wéris. gions (fig. 19). L âge du Bronze (jusqu à 700 av. J. C.) puis l âge du Fer sont les dernières phases de la Préhistoire. Celle-ci s arrête traditionnellement avec l arrivée de César en Gaule, en 57 av. J. C. et l introduction des premiers documents écrits. Pourquoi fouille-t-on pour retrouver les vestiges du passé? Les premiers objets en métal Fig Hache en bronze de Vaux-sur- Chèvremont.

13 13 tat que l outillage en pierre et parfois quelques objets en matières osseuses, c est-à-dire peu de choses par rapport à ce que l Homme préhistorique a utilisé (fig. 20). C est en se fondant sur la seule interprétation de ces vestiges matériels que l archéologue reconstitue le passé, contrairement à l historien qui s appuie sur les documents écrits. Imaginons que des archéologues futurs retrouvent les vestiges d une église dans laquelle il ne reste plus que quelques tableaux aux murs. Ces archéologues pourront imaginer que le bâtiment était un lieu de sacrifices humains ou l on torturait les gens avant des les crucifier. L archéologue préhistorien se trouve confronté aux mêmes difficultés. Des pointes de flèches retrouvées autour d un foyer avec des ossements d animaux brisés et des couteaux en pierre, évoqueront l Homme qui dépèce un animal près du feu et retrouve des flèches brisées dans la viande. Fig De l habitat préhistorique à la fouille.

14 14 Fig Petite histoire d'une fouille.

15 15 1) Dans l atmosphère, il y a du gaz carbonique (un atome de carbone C et deux atomes d oxygène O) contenant beaucoup de carbone 12 et un peu de carbone 14 radioactif. 2) Le carbone du gaz carbonique est assimilé par les plantes. Les animaux et les Hommes, qui mangent les plantes, assimilent à leur tour du carbone, élément essentiel de tout organisme vivant. 3) Un arbre, à l égal de tout être vivant emmagasine durant sa vie des atomes de carbone 12 et une faible proportion d atomes de carbone 14. 4) A la mort de l organisme, on assiste à la fin du stockage des atomes de carbone. Tandis que le carbone 14 se désintègre, la quantité de carbone 12 reste constante. Au bout de chaque période de 5730 ans, la moitié des atomes de carbone 14 restants à disparu. 5) Le spécialiste évalue la proportion de carbone 14 et de carbone 12 qui est contenue dans l'échantillon qu'il a prélevé. A la mort de l'organisme Échantillon prélevé Après ans 6) D'après la quantité de carbone 14, il détermine le nombre d'années qui se sont écoulées entre la mort de l'organisme et le temps présent (conventionnellement 1950). Notre arbre a donc été abattu il y a environ 4500 ans, c'est-à-dire = l'an 2550 avant J.-C., au moment de la construction des grandes pyramides d'egypte. Quantité minimum d un échantillon pour effectuer une datation: 20 mg de bois, charbon de bois 40 mg de coquillage 500 mg d ossements Après ans Fig La datation au carbone 14.

16 16 Le but de la fouille est de retrouver les vestiges enfouis au cours du temps et d observer leur association entre eux. Le moindre indice est important pour la compréhension du site car la fouille est un livre, écrit dans une langue difficile, et qu on ne déchiffre qu une seule fois parce qu on en détruit les pages au fur et à mesure de la lecture. C est pourquoi, la fouille est une affaire de spécialistes. Bien que les objectifs de la fouille soient identiques, quel que soit le site fouillé, les moyens mis en œuvre sont différents. La méthode de fouille est adaptée à chaque site. La première étape est le décapage qui consiste à enlever les couches qui ont recouvert le site et à dégager les vestiges. L archéologue établit ensuite les plans du site et prend de nombreuses photos qui lui permettront de reconstituer l aspect du site après la fouille. Chaque objet est repéré sur le plan. Il est alors numéroté et soigneusement emballé pour l étude en laboratoire (fig. 21). En même temps que l archéologue dégage les vestiges, d autres spécialistes participent à la fouille pour aider à reconstituer le milieu dans lequel a vécu l Homme préhistorique : le climat, la végétation, les animaux existants, chassés ou élevés. Des échantillons de charbons de bois seront recueillis pour une datation au carbone 14, par exemple (fig. 22). Après la fouille, le travail de l archéologue est loin d être terminé. Il faut étudier les vestiges pour pouvoir en communiquer les résultats aux autres chercheurs. L archéologue analysera les types d outils fabriqués par l Homme, déterminera à quoi ces outils ont servi et comment ils ont été utilisés; l anthropologue examinera les ossements humains pour déterminer à quel type appartiennent les Hommes qui ont vécu à cet endroit. D autres spécialistes participeront aussi à l interprétation, du site fouillé. Le paléontologue (fig. 23) identifiera les espèces d animaux, contemporaines de l Homme et le palynologue (fig. 24) reconstituera, grâce à l étude des pollens fossiles, le paysage et la végétation de l époque. L archéologue devra alors interpréter tous ces résultats, en faire la synthèse et, enfin, les consigner dans un rapport de fouille. Les objets découverts seront conservés et, éventuellement, exposés dans un musée. Les spécialistes de la flore et de la faune participent à la reconstitution du milieu et du climat de l époque de l Homme préhistorique. Fig Le paléontologue analyse les restes des animaux chassés ou domestiqués par l Homme préhistorique et reconstitue la faune de l époque. Fig Le palynologue identifie les pollens, caractéristiques de chaque plante, qui se fossilisent dans la terre. Il détermine, par son étude, les différentes espèces végétales sur un site.

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