Christophe Roulet LA BOURSE
|
|
- Didier Thibodeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Christophe Roulet LA BOURSE
2 LA BOURSE: COMMENT ÇA MARCHE? La loi de l'offre et de la demande La Bourse représente le lieu de rencontre privilégié entre vendeurs et acheteurs qui tous souhaitent réaliser une transaction aux meilleures conditions possibles. A noter que la différence entre le prix demandé et celui offert pour une même valeur (le spread) est d'autant plus petite que le nombre d'acheteurs et de vendeurs est important, ce qui est généralement le cas sur les principaux titres négociés en Bourse. De la confrontation entre acheteurs et vendeurs résulte donc un prix d'équilibre qui permet de conclure une transaction entre deux contreparties. Mais contrairement à la valeur accordée aux biens de consommations par exemple, fixée pour des durées relativement longues, les prix pratiqués sur les marchés financiers fluctuent constamment en fonction de l'offre et de la demande, avec des variations qui peuvent parfois prendre beaucoup d'ampleur et évoluent en quelques secondes. Le rôle de la Bourse Comme on l'a vu, le grand avantage des Bourses est de réunir en un même endroit de nombreux acheteurs et vendeurs intéressés à conclure une transaction en leur faveur. Mais pour qu'ils aient des titres à négocier, il faut au préalable que des entreprises et des collectivités publiques aient décidé de lever des capitaux sur les marchés financiers sous forme d'emprunts, représentés par des papiers valeurs qui seront ensuite librement échangeables en Bourse. En ce sens, les marchés financiers rassemblent dans un premier temps des entités à la recherche de nouveaux fonds auprès des épargnants qui, eux, désirent investir 2
3 leurs capitaux dans des produits rémunérateurs. Entre ces deux intervenants, on retrouve des prestataires de services qui agissent en qualité de médiateur pour les entreprises et de négociateur pour les investisseurs. Les actions Le détenteur d'actions d'une société anonyme peut être considéré comme copropriétaire de cette compagnie à hauteur du nombre de parts qu'il possède. Pour cette catégorie de titres, il faut différencier la valeur nominale, dont la somme représente le capital-actions porté dans les comptes de la société au passif de son bilan, de sa valeur marchande négociée sur les marchés financiers. La détention d'actions confère des droits à leurs propriétaires qui, au niveau financier, se traduisent par une participation aux bénéfices sous la forme de dividendes perçus annuellement au pro rata du nombre d'actions en leur possession, si les résultats de l'entreprise le permettent; droit également au produit de la liquidation d'une société et enfin droit préférentiel de souscrire à toute nouvelle émission d'actions de la part de la compagnie qui procède à une augmentation de capital. A ces droits patrimoniaux, s'ajoutent des droits sociaux comme celui de participer aux assemblées générales de la société ou de se faire élire à son conseil d'administration. A noter enfin que les actions se rangent en plusieurs catégorie: actions nominatives (le propriétaire est identifié et figure au registre des actionnaires pour un meilleur contrôle de l'actionnariat), actions au porteur (l'identité du propriétaire n'est pas précisée), bons de participation (dépourvus droits sociaux). Les obligations Les entreprises et collectivités publiques ont une autre possibilité de lever des capitaux sur les marchés financiers en lançant des emprunts obligataires. La somme totale de l'emprunt est divisée en un certain nombre d'obligations, toutes d'égale valeur et de conditions identiques. En ce sens, ces titres acquis par les investisseurs représentent une reconnaissance de dette. En tant que tels, ils sont assortis du versement d'un intérêt annuel, généralement fixe et appelé coupon. Ces emprunts sont tous limités dans le temps, avec des échéances généralement comprises entre 3 et 10 ans, voire plus pour certains emprunts d'etat. Au terme de l'échéance, l'émetteur des obligations est tenu de rembourser leurs détenteurs au pair, c'est-à-dire à la même valeur que le 3
4 prix d'émission. En conséquence, il est facile de comprendre pourquoi les obligations passent pour des investissements nettement moins risqués que les actions. Les échéances peuvent être parfaitement planifiées, le rendement est assuré à date fixe par le versement d'un intérêt et le remboursement garanti par contrat. Les fonds de placement Du fait qu'ils répondent à une logique simple et efficace, les fonds de placement se sont multipliés de manière exponentielle ces dernières années sur les marchés, donnant naissance à une véritable industrie financière. Le principe consiste à réunir l'épargne d'une multitude d'investisseurs au sein d'un même véhicule de placement collectif afin d'obtenir une masse critique suffisante permettant une large diversification de portefeuille. Ce type de produit répond en effet à une des lois immuables régissant le monde des placements, très bien illustrée par l'adage selon lequel il ne faut jamais mettre tous ses œufs dans le même panier. En collectant plusieurs dizaines de millions au sein d'un seul fonds, les professionnels de la branche ont ainsi une marge de manœuvre suffisamment large pour obtenir une meilleure répartition des risques qui constitue un avantage clé de ce type de placement. Le petit épargnant ne pourrait en effet jamais obtenir un aussi large spectre d'investissement avec ses seuls avoirs, c'est pourquoi les fonds de placement leur sont spécialement dédiés, d'autant qu'ils sont gérés par des professionnels aguerris qui modifient constamment la grille de placement en fonction de l'évolution des marchés. Pratiquement, l'investisseur acquiert une ou plusieurs parts d'un fonds qui sont calculées en faisant la somme de toutes les participations détenues en portefeuille, divisée de manière égale par le nombre de parts. Ce calcul donne la valeur nette d'inventaire (VNI) pour chacune des parts et sert de base d'évaluation pour ces produits d'investissement. Les instruments dérivés La famille des produits dérivés, même si leur variété est aujourd'hui relativement vaste, répond dans son ensemble à quelques principes de base. Par produit dérivé, on entend un véhicule d'investissement dont la valeur se base sur celle d'un autre actif ou instrument financier appelé sous-jacent ou notionnel. D'où leur appellation d'instruments dérivés. Ces actifs ou instruments sous-jacents peuvent être de plusieurs ordres: matières premières, actions, obligations, indices boursiers, taux d'intérêt, 4
5 taux de change ou d'autres produits dérivés. Ces véhicules d'investissement sont généralement des instruments financiers à terme, c'est-à-dire que l'acheteur et le vendeur conviennent à l'avance du prix auquel sera livré le sous-jacent dans un futur plus ou moins proche. La livraison matérielle des actifs n'a toutefois pas toujours lieu, la transaction pouvant être annulée en tout temps par une opération inverse. Les contrats à terme (futures en anglais) ont leur genèse inscrite dans le négoce des matières premières. C'est d'ailleurs encore essentiellement sur des denrées comme les céréales, le cacao, le sucre, le café, le coton, le soja, le pétrole, le cuivre, platine, l'or ou l'argent qu'ils sont basés. Théoriquement, un contrat à terme sur matière première consiste à en fixer le prix à l'avance pour un échange qui aura lieu dans le futur. Généralement les échéances interviennent à espace régulier jusqu'à un an. Selon le même principe, les spécialistes ont imaginé des futures sur des produits financiers tels que des indices boursiers, des devises, des dépôts à terme, des bons du trésor et autres instruments à taux d'intérêt. Dans ce cas, l'une des deux parties cherche à se prémunir contre un risque de change, de taux ou de baisse des cours sur des actifs détenus en portefeuille alors que l'autre, généralement une banque ou un courtier en Bourse, spécule sur une évolution inverse pour réaliser son gain. Comme ces contrats portent sur des sous-jacents immatériels, il n'y a pas de livraison de marchandise à terme. A l'échéance, on calcule la différence entre le cours du contrat et celui du sous-jacent pour déterminer les compensations financières entre les deux contreparties. Les options sont des contrats incluant un prix d'exercice, appelé également prix de base ou strike en anglais. Il s'agit du prix convenu à l'avance auquel se dénouera la transaction à l'échéance du contrat, en d'autres termes le prix déterminant pour la vente ou l'achat de l'actif sous-jacent à l'expiration du délai. A la différence des futures, l'acheteur n'est toutefois pas contraint de s'exécuter, il peut très bien laisser expirer son option sans la réaliser, alors que le vendeur, lui, a l'obligation de s'exécuter. Le cours des options qui fluctuent à la Bourse représente ce que l'on appelle une prime, à savoir le montant que va recevoir le vendeur pour assumer les risques inclus dans la transaction. Toutes les options ont ainsi un prix d'exercice, une échéance et une prime. Dans le jargon, on dit que le vendeur va prendre une position courte (short) contre l'encaissement d'une prime, alors que l'acheteur prend une position 5
6 longue (long) contre le versement de cette prime. En terme de durée, les options peuvent être courtes (short term option, STO), dont l'échéance porte sur quelques mois, ou longues (long term option, LTO) si l'échéance va au-delà d'un an. Les options peuvent être directement négociées entre deux parties, de gré à gré, sans passer par les marchés organisés. Quant aux options standards, elles font l'objet d'échanges intervenant auprès de Bourses spécialement dédiées à ce type de produits financiers, comme le Liffe à Londres, le Matif à Paris, le Chicago Board of Trade aux Etats-Unis ou l'eurex, né de la fusion de la Soffex suisse et de la Deutsche Termin Borse allemande. Toutes ces Bourses ont des chambres de compensation qui font office, comme pour les futures, de contrepartie lors des échanges assurant la liquidité du marché. Le cours des options varie à la Bourse selon l'offre et la demande et en fonction de l'évolution de l'actif sous-jacent. Option d'achat (call) On recense deux grandes catégories d'options. Les options d'achat ou call dans le jargon professionnel donnent le droit mais non l'obligation à l'acheteur d'acquérir, à l'échéance, l'actif sous-jacent au prix d'exercice fixé à l'avance. L'acheteur n'est donc pas tenu d'exercer son option si les cours du sousjacent évoluent à l'inverse de ses prévisions. En revanche le vendeur du call est, lui, contraint de vendre l'actif en question si l'acheteur en exprime la volonté Les options de vente (put) Les options de ventes ou put dans le jargon professionnel donne le droit mais non l'obligation à l'acheteur de vendre, à l'échéance, l'actif sous-jacent au prix d'exercice fixé à l'avance. L'acheteur n'est donc pas tenu d'exercer son option si les cours du sous-jacent évoluent à l'inverse de ses prévisions. En revanche, le vendeur du put est, lui, contraint d'acheter l'actif en question si l'acheteur de l'option en exprime la volonté. Le comportement des acheteurs et vendeurs d'options est exactement à l'opposé l'un de l'autre. L'évolution de l'actif sousjacent a donc des répercussions directement inversées selon que l'on se place d'un côté ou de l'autre de la transaction. D'une manière générale, l'acheteur d'options, qui prend une position longue, risque au pire de perdre les sommes versées sous forme de prime. Pour le vendeur en revanche, qui prend une position courte, 6
7 les pertes vont augmenter à mesure que l'actif sous-jacent évolue dans le sens opposé à ses prévisions. En ce sens, il adopte un comportement purement spéculatif puisque ces pertes peuvent représenter un multiple des primes encaissées. Le fonctionnement de la Bourse Les marchés des valeurs mobilières fonctionnent tous sur un même modèle, même si certains d'entre eux ont leurs particularités propres. Pour une bonne compréhension du système, on prendra l'exemple de la Bourse suisse ou la SWX Swiss Exchange qui, en termes de volume d'échanges, occupe la troisième place en Europe et la sixième au niveau mondial. La SWX a le statut d'une association qui regroupe 60 membres, soit des établissements financiers suisses comme étrangers, pour un quart d'entre eux, agissant en tant qu'intermédiaires pour les émetteurs et les investisseurs. Son rôle en tant que plate-forme de négoce consiste ainsi à assortir le maximum d'ordres d'achats et de ventes qui sont introduits dans le système. Car depuis 1996, avec la disparition des corbeilles de Bâle, Zurich et Genève pour créer la Bourse électronique suisse (BES), le marché helvétique est devenu une place financière virtuelle totalement informatisée et automatisée, du passage de l'ordre à son règlement en passant par la chambre de compensation, Les différents intervenants ne sont ainsi plus présents autour d'une corbeille fonctionnant à la criée, comme c'est encore le cas à Wall Street, mais ils agissent par écran d'ordinateur interposé pour animer le marché des valeurs mobilières. Un simple clic de souris suffit donc à négocier, payer, exécuter et confirmer une transaction, En ce sens, la SWX fait certainement partie des Bourses à la pointe de la technologie avec sa plate-forme totalement intégrée. Lorsque l'investisseur désire passer un ordre de vente ou d'achat, il va donc s'adresser à son conseiller en placement qui, après discussion, l'exécutera pour lui, directement s'il est membre de la Bourse. L'investisseur pourra également effectuer lui-même son ordre en passant par un courtier en ligne, directement connecté à la Bourse via Internet. Les ordres entrant dans le système seront ensuite assortis selon les règles de conciliation de la SWX (matching rules), qui stipule précisément dans quelles conditions et à quel moment ils peuvent déboucher sur une transaction. La Bourse suisse fonctionne selon un principe de priorité prix/temps, en d'autres termes, la meilleure cotation sera toujours exécutée en premier. Une fois les transactions conclues, soit un échange simultané de titres et d'espèces entre deux contreparties, elles sont 7
8 traitées par des chambres de compensation, spécialement rattachées à la Bourse. Ces dernières ont pour tâche de comptabiliser les titres achetés et vendus entre membres de la Bourse. Les créances et les engagements sont alors compensés réciproquement et les soldes portés au crédit ou au débit des différents établissements financiers auprès de la chambre de compensation. La dernière opération consiste enfin à effectuer le règlement des transactions et le cas échéant la livraison des titres. Comme on l'a vu, à la SWX, le négoce, la compensation (clearing) et le règlement (settlement) des titres représente un processus totalement intégré, fruit d'un système électronique développé entre Swiss Exchange, Swiss Interbank Clearing (SIC) et SegalnterSettle (SIS). En règle générale, les transactions boursières sont décomptées «à date de valeur 3 jours». C'est-à-dire que la compensation et le règlement ont lieu le troisième jour de Bourse après la conclusion de la transaction. A I'échéance, SegaInterSettle (SIS) débite via Swiss Interbank Clearing (SIC) le compte de l'acheteur auprès de la Banque nationale suisse (BNS) du prix d'achat convenu et crédite le compte du vendeur de ce même montant. En échange, les valeurs mobilières sont transférées du compte de dépôts SIS du vendeur vers celui de l'acheteur. SIC est donc un système de paiement en ligne géré par Telekurs à Zurich. La BNS y est reliée directement, tout comme les banques membres de la Bourse. Celles-ci disposent en outre d'un compte de virement auprès de la BNS. Cet ensemble de mesures est ainsi destiné à former un marché équitable et transparent pour les investisseurs qui ont plusieurs possibilités à disposition pour passer leurs ordres : limités, au mieux, de protection des gains. Les grandes bourses internationales Si, pendant longtemps, les différents pays ont entretenu des Bourses régionales à côté de leur marché principal, suite à la globalisation des flux financiers, l'activité boursière a connu une forte concentration, nationale dans un premier temps et internationale aujourd'hui. Dans ce contexte, les marchés financiers commencent à se livrer une concurrence sans merci pour augmenter leur liquidité et attirer les investisseurs. Mais le New York Stock Exchange (NYSE ou Wall Street) fondé en 1792, tout comme le Nasdaq créé en 1971 exercent toujours leur suprématie sur l'ensemble des Bourses de la planète dans la mesure où leur évolution influence largement le comportement de l'ensemble des places financières. A fin 1999, la capitalisation boursière de Wall Street totalisait plus de 11'000 milliards de dollars et celle du Nasdaq dépassait 8
9 les 5'000 milliards. Ces deux places financières caracolaient ainsi en tête du classement des Bourses internationales devant celle de Tokyo (4'100 milliards de dollars), représentative de la deuxième économie mondiale, de Londres (2'700), Francfort (1'400), Paris (1'300) Toronto (860), Milan (670) et Zurich (630). Décembre CENTRE ROMAND DE FORMATION DES JOURNALISTES Florimont 1, 1006 Lausanne Tél. : Fax : secretariat@crfj.ch 9
SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES
SECTION 5 : OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 1 - DEFINITION DES PRODUITS DERIVES 2 - DEFINITIONS DES MARCHES 3 - USAGE DES CONTRATS 4 - COMPTABILISATION DES OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES 51 SECTION 5
Plus en détailExtrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES
Extrait du Bulletin Officiel des Finances Publiques-Impôts DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Identifiant juridique : BOI-BIC-PDSTK-10-20-70-50-20120912 DGFIP BIC - Produits et stocks - Opérations
Plus en détailBROCHURE INSTRUMENTS FINANCIERS PROPOSÉS RISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS
BROCHURE INSTRUMENTS FINANCIERS PROPOSÉS RISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS La présente vise à vous communiquer, conformément à la Directive MiFID, une information générale
Plus en détailRISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS
RISQUES ET NATURE SPECIFIQUES DES PRINCIPAUX INSTRUMENTS FINANCIERS La présente section vise à vous communiquer, conformément à la Directive, une information générale relative aux caractéristiques des
Plus en détailCHAPITRE 17. Opérations relatives aux titres. - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande.
CHAPITRE 17 Opérations relatives aux titres - Les bourses sont des marchés qui fonctionnent dans le cadre du jeu de l offre et de la demande. - Il y a par ex: o Bourses des valeurs pour le commerce des
Plus en détailTable des matières Schéma E - Emprunts
Table des matières Schéma E - Emprunts Table des matières Schéma E - Emprunts 1 INDICATIONS RELATIVES À L'ÉMETTEUR... 1 1.1 Indications générales... 1 1.1.1 Raison sociale, siège social et siège administratif...
Plus en détailComment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions?
en collaboration avec Comment aborder l Investment Challenge dans les meilleures conditions? Vous participez au concours organisé par l association Transaction l Investment Challenge, et vous avez bien
Plus en détailBrochure d'information sur les options
Brochure d'information sur les options Introduction La présente brochure explique succinctement le fonctionnement des options et se penche sur les risques éventuels liés au négoce d options. Le glossaire
Plus en détailSon Organisation, son Fonctionnement et ses Risques
La Bourse Son Organisation, son Fonctionnement et ses Risques Le Marché Financier a un double rôle : apporter les capitaux nécessaires au financement des investissements des agents économiques et assurer
Plus en détailDÉCLARATION DES RISQUES
DÉCLARATION DES RISQUES Tenant compte du fait que CM Marketing Associates Ltd accepte de conclure, à la base de gré à gré ( OTC ) des contrats financiers pour différences ( CFD ) et contrats de change
Plus en détailCOMPRENDRE LES OPTIONS BINAIRES - LEÇON 1
COMPRENDRE LES OPTIONS BINAIRES - LEÇON 1 Qu est ce que sont les options binaires? Le trading d options binaires, parfois connu sous le nom des options numériques ou ORF (options de retour fixe), est une
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détailLES ACQUISITIONS DE TITRES. Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). TABLE DES MATIERES
LES ACQUISITIONS DE TITRES Objectif(s) : o Classification des titres. Pré-requis : o Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). Modalités : o Immobilisations financières :
Plus en détailJEU BOURSIER 2015. Séance d introduction à la plateforme de trading SaxoWebTrader. - Pour débutants -
JEU BOURSIER 2015 Séance d introduction à la plateforme de trading SaxoWebTrader - Pour débutants - A partir d un ordinateur: a) Rends-toi sur le site suisse de SaxoBank: https://webtrader.saxobank.ch/sim/login/
Plus en détailAction quote-part d'une valeur patrimoniale; participation au capital-actions d'une société.
Glossaire Action quote-part d'une valeur patrimoniale; participation au capital-actions d'une société. Alpha Alpha est le terme employé pour indiquer la surperformance d un placement après l ajustement
Plus en détailInformations sur la nature et les caractéristiques des instruments financiers et les risques associés
Informations sur la nature et les caractéristiques des instruments financiers et les risques associés INTRODUCTION Ce document n'a pas pour objet de présenter de manière exhaustive les risques associés
Plus en détailGLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES
GLOSSAIRE VALEURS MOBILIERES Action Valeur mobilière représentant une part du capital d'une société. Le détenteur d'une action bénéficie d'une rémunération sous forme de dividendes et a normalement un
Plus en détailNomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section K Division 66
Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section K Division 66 66 ACTIVITÉS AUXILIAIRES DE SERVICES FINANCIERS ET D'ASSURANCE Cette division comprend la prestation de services connexes des services financiers
Plus en détailLes valeurs mobilières. Les actions 3. Les droits et autres titres de capital 5. Les obligations 6. Les SICAV et FCP 8
Les actions 3 Les droits et autres titres de capital 5 Les obligations 6 Les SICAV et FCP 8 2 Les actions Qu est-ce qu une action? Au porteur ou nominative, quelle différence? Quels droits procure-t-elle
Plus en détailFICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES
FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction
Plus en détailBAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois
BAX MC Contrats à terme sur acceptations bancaires canadiennes de trois mois Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailTURBOS WARRANTS CERTIFICATS. Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital.
TURBOS WARRANTS CERTIFICATS Les Turbos Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits non garantis en capital. 2 LES TURBOS 1. Introduction Que sont les Turbos? Les Turbos sont des produits
Plus en détailRÈGLE 1 INTERPRÉTATION ET EFFETS
RÈGLE 1 INTERPRÉTATION ET EFFETS 1. Dans les présentes Règles à moins que le contexte ne s'y oppose, le terme : «activités manipulatrices et trompeuses» désigne la saisie d un ordre ou l exécution d une
Plus en détailSPREAD (CYLINDRE) CONSTRUCTION DE DEUX OPTIONS
Dans un contrat d'option, le détenteur acquiert un droit, l'émetteur contracte une obligation. Un prix doit être payé par le détenteur à l'émetteur : c'est la prime (premium). LE CALCUL DU MONTANT DE LA
Plus en détailNote informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts
Note informative aux clients de la BANQUE RAIFFEISEN et des CAISSES RAIFFEISEN affiliées en relation avec les produits financiers offerts Cher client, chère cliente, La BANQUE RAIFFEISEN tient à vous informer
Plus en détailLoi Fédérale sur les bourses et le commerce des valeurs mobilières (LBVM)
Cette note a été établie à la suite de l introduction de la Loi Fédérale sur les bourses et le commerce des valeurs mobilières (LBVM) entrée en vigueur le 1 er février 1997. Bien que, dans l ensemble,
Plus en détailNORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23
NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles
Plus en détailTREETOP ASSET MANAGEMENT BELGIUM
TREETOP ASSET MANAGEMENT BELGIUM APERÇU DES CARACTERISTIQUES ET RISQUES ESSENTIELS DES INSTRUMENTS FINANCIERS Ce document ne prétend pas décrire tous les risques inhérents aux investissements en instruments
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailCommercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00)
Commercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00) dans la limite de l'enveloppe disponible Batik Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance*
Plus en détailLE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES
LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.
Plus en détailChapitre 4 : les stocks
Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailContrats sur différence (CFD)
Avertissement à l attention des investisseurs 28/02/2013 Contrats sur différence (CFD) Principales recommandations Les contrats sur différence (CFD) sont des produits complexes qui ne sont pas adaptés
Plus en détailLe portefeuille-titres dans les établissements bancaires
NC 25 Le portefeuille-titres dans les établissements bancaires Objectif 01. Dans le cadre de ses activités courantes, la banque peut affecter une partie de ses ressources à la gestion d'un portefeuille-titres.
Plus en détailRepo - un instrument financier pour les banques
Repo - un instrument financier pour les banques Victor Füglister, Directeur adjoint de l'association suisse des banquiers Mesdames, Messieurs, Le marché des pensions (REPO) n'est ni une nouveauté ni une
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS INFINIS BEST Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emetteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI
Plus en détailII. CARACTERISTIQUES DES MARCHES A TERME
II. CARACTERISTIQUES DES MARCHES A TERME Le marché à terme définit un prix d'échange pour un produit donné et pour une date future. Ce prix formé par la libre confrontation de l'offre et la demande, sert
Plus en détailLes obligations. S. Chermak infomaths.com
Les obligations S. Chermak Infomaths.com Saïd Chermak infomaths.com 1 Le marché des obligations est un marché moins médiatique mais tout aussi important que celui des actions, en terme de volumes. A cela
Plus en détailPerformance creates trust
Performance creates trust Vontobel Mini Futures Futures Investissement minimum, rendement maximum Vontobel Investment Banking Vontobel Mini Futures Investir un minimum pour un maximum de rendement Avec
Plus en détailentreprises. Ensuite, la plupart des options d achat d actions émises par Corporation
28RE_chap_EP4.qx:quark de base 7/16/09 7:37 PM Page 858 Troisième partie : Le financement des ressources Les principales caractéristiques des travaux suggérés Questions de révision (N os 1 à 25) Exercices
Plus en détailCOMMISSION D ORGANISATION ET DE SURVEILLANCE DES OPÉRATIONS DE BOURSE
COMMISSION D ORGANISATION ET DE SURVEILLANCE DES OPÉRATIONS DE BOURSE INVESTIR EN BOURSE Sommaire 1 Introduction 2 Qu est-ce que la Bourse des valeurs mobilières? 3 Quels sont les droits liés aux valeurs
Plus en détailGLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.
GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un
Plus en détailPRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI
PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI About NYSE Euronext NYSE Euronext (NYX) est l un des principaux opérateurs de marchés financiers et fournisseurs de technologies de négociation innovantes.
Plus en détailAVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS
Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe
Plus en détailCERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004
CERTIFICATS TURBOS Instruments dérivés au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Emétteur : BNP Paribas Arbitrage Issuance B.V. Garant du remboursement : BNP Paribas S.A. POURQUOI INVESTIR
Plus en détailDocument d'information
Document d'information CPG Opportunité de revenu annuel HSBC Non enregistrés Le présent document d information s applique à tous les certificats de placement garanti Opportunité de revenu annuel HSBC non
Plus en détailMERCANTILE EXCHANGE OF MADAGASCAR SA
MERCANTILE EXCHANGE OF MADAGASCAR SA www.mexmadagascar.com Mercantile Exchange of Madagascar, en tant que bourse de commerce, travaille dans la mise en place d une plateforme boursière sur laquelle s échangeront
Plus en détailMathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012
Mathématiques pour la finance Définition, Evaluation et Couverture des Options vanilles Version 2012 Pierre Andreoletti pierre.andreoletti@univ-orleans.fr Bureau E15 1 / 20 Objectifs du cours Définition
Plus en détailLes Turbos. Guide Pédagogique. Produits à effet de levier avec barrière désactivante. Produits présentant un risque de perte en capital
Les Turbos Guide Pédagogique Produits à effet de levier avec barrière désactivante Produits présentant un risque de perte en capital Les Turbos 2 Sommaire Introduction : Que sont les Turbos? 1. Les caractéristiques
Plus en détailLes produits dérivd. des instruments incontournables du paysage financier
Les produits dérivd rivés s : des instruments incontournables du paysage financier Léon Bitton Vice-président, R&D Bourse de Montréal Inc. CONGRÈS DE L'ASDEQ 19 mai 2005 1 Produits dérivd rivés s : Outils
Plus en détailAPERÇU DES CARACTERISTIQUES ET RISQUES ESSENTIELS DES INSTRUMENTS FINANCIERS
APERÇU DES CARACTERISTIQUES ET RISQUES ESSENTIELS DES INSTRUMENTS FINANCIERS Ce document ne prétend pas décrire tous les risques inhérents aux investissements en instruments financiers. Il a plutôt pour
Plus en détailRÉSUMÉ DESCRIPTION GENERALE DES ÉMETTEURS LA BANQUE ET LE GROUPE
RÉSUMÉ Ce résumé a été rédigé conformément à l'article 5(2) de la directive sur les prospectus (directive 2003/71/CE) (la «Directive Prospectus») et doit être considéré comme une introduction au Prospectus
Plus en détailFloored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels
Plus en détailPonts Investment Challenge 2008
SOMMAIRE I /Définition II/ Aperçu historique III/ Rôle et fonctionnement IV/ Les Produits financiers V/ Les marchés financiers VI/Les métiers de la finance VII/ Critiques de la bourse VIII/ Remerciements
Plus en détailLES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE. Finance internationale 9éme ed. Y. Simon & D. Lautier
LES MARCHÉS DÉRIVÉS DE CHANGE 1 Section 1. Les instruments dérivés de change négociés sur le marché interbancaire Section 2. Les instruments dérivés de change négociés sur les marchés boursiers organisés
Plus en détailCalcul et gestion de taux
Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4
Plus en détailNYSE EURONEXT LES OPTIONS : MODE D EMPLOI
NYSE EURONEXT LES OPTIONS : MODE D EMPLOI A propos de NYSE Euronext NYSE Euronext (NYX) est l un des principaux opérateurs de marchés financiers et fournisseurs de technologies de négociation innovantes.
Plus en détailLa stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse
La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse par Robert Wyss, SWX Swiss Exchange Auprès des bourses internationales, l'euphorie de la dernière décennie a disparu et les participants
Plus en détailNorme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31
Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture
Plus en détailCOMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/18 Le traitement comptable des options sur actions (considérées isolément) Avis du 7 novembre 2012
COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2012/18 Le traitement comptable des options sur actions (considérées isolément) Avis du 7 novembre 2012 I. Introduction A. Mécanisme du contrat d'option 1. Définition
Plus en détailLe Crédit Renting. De quoi s'agit-il?
Le Crédit Renting Le Renting Financier est une forme de financement d un investissement similaire au leasing financier (leasing opérationnel) mais qui se distingue néanmoins de ce dernier par la hauteur
Plus en détailAsk : Back office : Bar-chart : Bear : Bid : Blue chip : Bond/Junk Bond : Bull : Call : Call warrant/put warrant :
Parlons Trading Ask : prix d offre ; c est le prix auquel un «market maker» vend un titre et le prix auquel l investisseur achète le titre. Le prix du marché correspond au prix le plus intéressant parmi
Plus en détailRésumé du Programme de Warrants (bons d option ou certificats)
Résumé du Programme de Warrants (bons d option ou certificats) Le résumé suivant (le "Résumé") doit être lu comme une introduction au présent Prospectus lequel est soumis dans son intégralité aux réserves
Plus en détailL unique CFD AutoStop
L unique CFD AutoStop Une solution alternative aux certificats Avertissements : Les CFD sont des produits spéculatifs à effet de levier pouvant mener à une perte totale voire supérieure à l investissement
Plus en détailFORMATION DES JOURNALISTES THÈME 2 : FONCTIONNEMENT D UNE BOURSE : ORGANISATION DES ÉCHANGES PAR LA COSUMAF
FORMATION DES JOURNALISTES THÈME 2 : FONCTIONNEMENT D UNE BOURSE : ORGANISATION DES ÉCHANGES PAR LA COSUMAF SOMMAIRE DU THEME 2 I LES DIFFÉRENTS ORDRES DE BOURSE 1. Les caractéristiques d un ordre de bourse
Plus en détailConditions Générales Annexe. Caractéristiques des Instruments Financiers et risques spécifiques associés à ceux-ci
Conditions Générales Annexe Caractéristiques des Instruments Financiers et risques spécifiques associés à ceux-ci 2 Table des matières I Dispositions généraux...4 1 Risque de liquidité... 4 2 Risque lié
Plus en détailFonds de revenu Colabor
États financiers consolidés intermédiaires au et 8 septembre 2007 3 ième trimestre (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie
Plus en détailCOGECO CÂBLE INC. RÉGIME D OPTIONS D ACHAT D ACTIONS. 17 juin 1993
COGECO CÂBLE INC. RÉGIME D OPTIONS D ACHAT D ACTIONS 17 juin 1993 Modifié le 20 octobre 2000, le 19 octobre 2001, le 18 octobre 2002, le 17 octobre 2003, le 13 octobre 2006, le 26 octobre 2007, le 29 octobre
Plus en détailGuide d information sur les OPCVM
Guide d information sur les OPCVM 1. Les OPCVM : Définition et types. 2. Les Avantages d un placement en OPCVM. 3. L a constitution d un OPCVM. 4. Le fonctionnement d un OPCVM. 5. Les frais de gestion
Plus en détailBanque nationale suisse Résultat de l exercice 2014
Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a
Plus en détail2- Comment les traders gèrent les risques
2- Comment les traders gèrent les risques front office middle office back office trading échange d'actifs financiers contrôle des risques, calcul du capital requis enregistrement des opérations traitement
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailI. Risques généraux s appliquant à l ensemble des instruments financiers
I. Risques généraux s appliquant à l ensemble des instruments financiers 1. Risque de liquidité Le risque de liquidité est le risque de ne pas pouvoir acheter ou vendre son actif rapidement. La liquidité
Plus en détailS informer sur. Les obligations
S informer sur Les obligations Octobre 2012 Autorité des marchés financiers Les obligations Sommaire Qu est-ce qu une obligation? 03 Quel est le rendement? 04 Quels sont les risques? 05 Quels sont les
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE PARIS
BANQUE NATIONALE DE PARIS Société anonyme au capital de F 1.632.580.000 Siège social : 16, boulevard des Italiens, 75009 PARIS R.C.S. PARIS B 662 042 449 fiche d'information ÉMISSION DE F 2.000.000.000
Plus en détailRecueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts
Recueil des formulaires et des instructions à l'intention des institutions de dépôts RELEVÉ DES MODIFICATIONS Risque de taux d'intérêt et de concordance des échéances Numéro de la modification Date d établissement
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailStratégies d options Guide pratique
Stratégies d options Guide pratique L OIC fournit cette publication à titre indicatif seulement. Aucun énoncé dans cette publication ne doit être interprété comme étant une recommandation, un conseil,
Plus en détailPARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable
Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable PARVEST World Agriculture a été lancé le 2 avril 2008. Le compartiment a été lancé par activation de sa part N, au prix initial
Plus en détailLes rachats d'actions propres par les sociétés cotées en bourse : L'expérience suisse
(Article paru dans la Revue Bancaire et Financière 2006/2, pp. 67-71) Les rachats d'actions propres par les sociétés cotées en bourse : L'expérience suisse Pierre-André Dumont, professeur de finance à
Plus en détailINTERROGATION ECRITE N 3 PFEG INTERROGATION ECRITE N 3 PFEG
Q1 - Quelle est la différence entre une banque de détail et une banque de gros ou universelle? Une banque de détail reçoit des dépôts de ses clients et leur accorde des crédits. Elle se limite aux métiers
Plus en détailFonds de revenu Colabor
États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans
Plus en détailLa nouvelle façon d investir sur les marchés
Holdings plc La nouvelle façon d investir sur les marchés Accédez aux CFD IG Markets 17 Avenue George V 75008 Paris Appel gratuit : 0805 111 366 * Tel : +33 (0) 1 70 70 81 18 Fax : +33 (0) 1 56 68 90 50
Plus en détail2. La croissance de l entreprise
2. La croissance de l entreprise HEC Lausanne Vincent Dousse 2007 1 2.1. Les succursales Définition: Etablissement commercial qui, sous la dépendance d une entreprise dont elle fait juridiquement partie(établissement
Plus en détailGuide de l'investisseur
Guide de l'investisseur Les principaux instruments d investissement PRINCIPAUX SERVICES FINANCIERS EN RAPPORT AVEC DES PRODUITS D'INVESTISSEMENT Il faut distinguer ces trois principaux services financiers
Plus en détailBOURSE DE. de produits dérivés. Le supermarché
BOURSE DE Le supermarché de produits dérivés Photo : Spyros Bourboulis 12 Depuis le 27 mars dernier, la Bourse de Montréal est le seul marché d options au Canada, avec un total de 141 catégories d options
Plus en détailLes produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu).
EXCLUSIVITÉ UNICREDIT! Les produits de Bourse UniCredit sur le CAC Ext (Étendu). De 8h00 à 18h30, le potentiel des prix et de la liquidité*. CES PRODUITS SONT DESTINÉS À DES INVESTISSEURS AVERTIS. PRODUITS
Plus en détailChapitre X : Monnaie et financement de l'économie
Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement
Plus en détailNORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS
NORME IAS 32/39 INSTRUMENTS FINANCIERS UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORMES IAS 32/39 : INSTRUMENTS FINANCIERS...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailinférieur par rapport aux créances de tous les autres créanciers et ne seront remboursés qu'après règlement de toutes les autres dettes en cours à ce
Règlement grand-ducal du 10 janvier 2003 portant modification du règlement grand-ducal du 14 décembre 1994 pris en exécution de la loi modifiée du 6 décembre 1991 sur le secteur des assurances et précisant
Plus en détailING Turbos Infinis. Avantages des Turbos Infinis Potentiel de rendement élevé. Pas d impact de la volatilité. La transparence du prix
ING Turbos Infinis Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos Infinis Les
Plus en détailNature et risques des instruments financiers
1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,
Plus en détailGuide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé
juin 2011 www.bdo.ca Certification et comptabilité Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé Guide sur les
Plus en détailManuel sur les risques liés aux portefeuilles d'investissement DEGIRO
Manuel sur les risques liés aux portefeuilles d'investissement DEGIRO Sommaire 1. Introduction... 2 2. Aperçu du portefeuille... 4 3. Risque du portefeuille dans la pratique... 7 4. Risques au niveau des
Plus en détail