Consultation du concept cantonal pour la pédagogie spécialisée

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Consultation du concept cantonal pour la pédagogie spécialisée"

Transcription

1 Fribourg, 20 décembre 2012 Mme Isabelle Chassot Conseillère d Etat du Canton de Fribourg Directrice de l instruction publique, de la culture et du sport Rue de l Hôpital Fribourg Consultation du concept cantonal pour la pédagogie spécialisée Madame la Conseillère d Etat, Les Verts fribourgeois vous remercient de les avoir invités à prendre position au sujet du «Concept cantonal pour la pédagogie spécialisée dans le canton de Fribourg». Ce concept, touchant beaucoup de personnes, de groupes d intérêt et de services, a déjà suscité un vif débat et a donné lieu à de nombreuses critiques. Nous prions votre Direction d examiner avec soin les arguments et les requêtes formulés par les personnes concernées et d en tenir compte afin que le concept livre un cadre de travail au plus près des besoins du terrain. Même si nous partageons les buts principaux exprimés dans ce projet, nous sommes de l avis que les mesures et les moyens proposés ne sont pas toujours appropriés pour atteindre les objectifs fixés et qu il faudra veiller à ne pas mettre en danger des solutions qui ont fait leur preuve. Les dernières décennies ont vu, grâce à l AI, un développement bienvenu des services et des prestations en faveur des enfants et des jeunes ayant des besoins particuliers. Suite à la RPT, ces mesures sont transférées au Canton. Il doit être assuré que ce transfert n entraîne en aucun cas une diminution des prestations pour les bénéficiaires. Vous trouverez ci-joint les remarques et les propositions formulées par les Verts concernant le «Concept cantonal pour la pédagogie spécialisée». Nous vous remercions par avance de l attention que vous porterez à notre prise de position. Veuillez agréer, Madame la Conseillère d Etat, l expression de nos salutations respectueuses. Pour les Verts fribourgeois, Marie-Lucie Uehlinger et Christa Mutter

2 Prise de position des Verts concernant le Concept cantonal pour la pédagogie spécialisée Considérations générales Les Verts partagent l objectif du principe de l intégration des enfants et des jeunes dans l école ordinaire quand cette solution s avère possible et bénéfique. Toutefois, nous sommes de l avis que les moyens, les mesures et les contrôles proposés dans ce concept ne permettent pas d atteindre cet objectif de façon appropriée. Nous demandons que : - la Direction retravaille ce concept en profondeur, - qu elle renonce notamment à supprimer ou à réduire des prestations qui ont fait leur preuve jusqu ici auprès des enfants et des familles concernés (notamment SEI, logopédie, psychologie scolaire), - qu elle évite de créer une surcharge administrative ainsi qu un système de contrôle trop lourd qui risque de décourager les professionnels. Principe de l intégration bienvenu Nous saluons la volonté de favoriser davantage l intégration des enfants et des jeunes en situation de handicap. Cependant, il est important de s assurer que cette intégration, accompagnée de différentes mesures de soutien, apporte un bénéfice clair pour l enfant et l adolescent dans les domaines pédagogique et psychosocial. Dans ce sens, les structures séparatives (classes spéciales, Fondation les Buissonnets, classes de langage) ne doivent pas être présentées aux parents comme des solutions en cas d échec de l intégration, mais comme une véritable alternative lorsque le bien-être de l enfant l exige. En outre, le passage d une structure séparative vers l école ordinaire doit être possible et favorisée. Implication des parents dans toutes les décisions Les parents doivent être informés, consultés et écoutés pour toutes les décisions qui concernent leur(s) enfant(s). Ce principe ne doit pas seulement se trouver dans les déclarations générales du concept, mais aussi dans tous les aspects de son application.

3 Crainte d une surcharge administrative Le concept va entraîner un surcroît de bureaucratie et de travail administratif pour les professionnels (évaluation des situations tous les 6 mois, passage des MAO aux MAR après 1 an ou 40 séances, demande de prolongation des MAO) au détriment des moyens et du temps consacré aux enfants. Nous craignons que cette lourdeur administrative surcharge les enseignants titulaires ainsi que les responsables d établissement au point qu elle menace la volonté d intégration défendue par le concept. Par ailleurs, nous ressentons ces mesures comme un contrôle exercé par la DICS sur des professionnels qui, jusque-là, ont fait un bon travail et qui sont au bénéfice des formations nécessaires. Remarques particulières 4.1.1, 6.1, 8.1 Maintien des mesures d éducation précoce spécialisée dans le milieu familial Il est reconnu que l éducation précoce dans le milieu familial est bénéfique aux enfants qui sont en situation de handicap ou dont le développement est limité et qu elle représente un aspect préventif important. Il est primordial que cette mesure ne soit en aucun cas diminuée, ni en reformulant la définition des enfants concernés, ni en diminuant la dotation en personnel. Nous sommes inquiets des conséquences du concept pour l Education précoce spécialisée (ci-après SEI). La comparaison intercantonale alors même que cette comparaison est difficile à réaliser - montre une bonne dotation en personnel pour le Canton de Fribourg. Il nous semble important que le Canton maintienne cette dotation afin de favoriser des prises en charge les plus précoces possibles. Cela diminue également la nécessité de mesures plus lourdes par la suite. Sur ce point le concept n est pas clair : il mentionne une dotation d un EPT pour 860 enfants au lieu d un EPT pour 1'500 enfants «sans réduire les prestations du SEI mais de répartir le financement de ces prestations entre la DICS et la DASAS selon le profil des élèves pris en charge». Astuce comptable ou réel transfert des compétences du SEI vers l AEMO? Plusieurs avantages propres aux services du SEI seront perdus pour les «enfants dont le développement est menacé en raison d un milieu familial défavorable» : le niveau des compétences professionnelles des intervenants dans le domaine du handicap et des difficultés de développement de l enfant, son intervention directe auprès des enfants et l offre de prestations non payantes pour les familles. En outre, l éducation précoce dans le milieu familial doit pouvoir continuer de façon non-réduite jusqu à la fin de la 2 e année de l école enfantine. Il nous paraît important de ne pas exclure le début de l intervention du SEI pour les enfants de

4 première enfantine qui n auraient pas été signalés avant le début de leur scolarisation Flexibilité de la dotation en enseignants spécialisés rattachés aux écoles La dotation d un EPT d enseignant spécialisé est prévue pour 180 élèves. Des ressources supplémentaires doivent être disponibles pour les situations particulièrement difficiles et elles ne devraient pas être réservées au seul critère d un Q.I. inférieur à 50. Les besoins en aide spécialisée d un établissement scolaire peuvent varier d une année à l autre , Surcharge des enseignants titulaires et complexification des tâches administratives L enfant intégré doit relever non pas de la seule responsabilité de l enseignant titulaire mais d une coresponsabilité partagée avec l enseignant spécialisé qui assume le suivi pédagogique de l enfant. Les mesures administratives et d évaluation périodique formulées dans ce point nous paraissent disproportionnées. Nous demandons : - un accès aux MAO sans démarche administrative lourde en gardant le système actuel de fiche de signalement ou de fiche de gratuité, - une évaluation périodique (et non tous les 6 mois comme précisé dans le concept) limitée à une réunion de réseau interne à l école, - des MAO de 40 séances sans limite de temps pour la logopédie, la psychologie et la psychomotricité, renouvelables une fois, grâce à une procédure simplifiée. - des MAR accordées pour une durée minimale de 2 ans. 6. Maintien des MAO dans la période préscolaire Le concept ne prévoit aucune mesure d aide ordinaire dans le domaine préscolaire, ni en logopédie, ni en éducation précoce spécialisé. Cette procédure ne respecte pas l Accord intercantonal signé par le Canton de Fribourg. Elle est un frein à une intervention rapide et facilement accessible. La logopédie comme l éducation précoce spécialisée doivent pouvoir continuer à offrir, dans certaines situations, des MAO afin d éviter des démarches administratives inutilement lourdes. 6.1 Cellule d évaluation préscolaire élargie Nous demandons que la cellule d évaluation préscolaire intègre, en plus des personnes déjà mentionnées, un ou une enseignant-e spécialisé-ess et un-e psychologue spécialisé-e dans la petite enfance.

5 7.1.1, Maintien de la relation thérapeutique indépendamment de l âge de l enfant et choix du thérapeute Certains enfants sont au bénéfice de mesures thérapeutiques préscolaires en logopédie ou en psychomotricité. Ces thérapies demandent une relation de confiance de la/du thérapeute avec l enfant et la famille. Il est dès lors important que ces mesures puissent se poursuivre, si nécessaire, avec la même personne en évitant une rupture du lien thérapeutique par un passage à un autre service/ thérapeute pour des raisons organisationnelles. Le cloisonnement des interventions des logopédistes en fonction de l âge prive les parents d une alternative de traitement hors cadre scolaire qui pourrait s avérer nécessaire en cas de conflit ou de manque de confiance envers l institution scolaire ou les services auxiliaires. 13. Crainte d une attribution contreproductive des moyens supplémentaires liés à l application du concept Le concept va engendrer des coûts importants. Davantage de moyens sont certainement nécessaires et nous ne sommes pas opposés à une évaluation judicieuse et régulière des mesures attribuées. Cependant la création de certains postes administratifs supplémentaires nous paraît injustifiée. La multiplication des interventions administratives, des évaluations et des contrôles vont contribuer à augmenter les coûts et à surcharger inutilement le personnel enseignant et les thérapeutes. 14. Offre dans tout le canton Le concept devrait assurer des offres similaires dans tout le canton et dans les deux régions linguistiques. Bien entendu, l augmentation des mesures dans certaines régions ne peut se faire au détriment d offres existantes et satisfaisantes dans d autres. Pour terminer, nous demandons que la terminologie, les définitions et les offres du Concept respectent l Accord intercantonal signé par le Canton de Fribourg. Pour les Verts fribourgeois : Marie-Lucie Uehlinger, psychologue, conseillère générale, Villars-sur-Glâne Christa Mutter, spécialiste en communication, députée, Fribourg

Brochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant

Brochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?

Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec

Plus en détail

30 mai 2006 06.136. Interpellation du groupe socialiste

30 mai 2006 06.136. Interpellation du groupe socialiste DECS 30 mai 2006 06.136 Interpellation du groupe socialiste Enseignement de la biologie Enseignement de la biologie: le rectorat de l Université de Neuchâtel fait d une pierre plusieurs coups: début de

Plus en détail

CONCEPT CANTONAL POUR LA PEDAGOGIE SPECIALISEE EN VALAIS

CONCEPT CANTONAL POUR LA PEDAGOGIE SPECIALISEE EN VALAIS CONCEPT CANTONAL POUR LA PEDAGOGIE SPECIALISEE EN VALAIS 10 décembre 2014 Élaboré par le Département de la formation et de la sécurité Toute dénomination dans le présent document est applicable indifféremment

Plus en détail

Unité de formation professionnelle du Ceras

Unité de formation professionnelle du Ceras Unité de formation professionnelle du Ceras 15 novembre 2013 : Journée romande de la commission latine d intégration professionnelle (CLIP) Cette présentation, susceptible d être d distribuée e aux personnes

Plus en détail

Secrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21

Secrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21 Secrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21 Recommandations de la CSHEP et de la CRUS pour la mise en œuvre coordonnée de la déclaration de Bologne

Plus en détail

NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES

NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES NOTICE SUR LA PROTECTION DES DONNÉES À l'intention DES LOGOPÉDISTES 1. Les bases juridiques applicables et autres informations La protection des données en logopédie est régie par la loi fédérale sur la

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des

Plus en détail

8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013

8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 Pour un meilleur échange entre chercheuses et chercheurs en Suisse : Réseau Recherche en pédagogie spécialisée et banque de données de la recherche du

Plus en détail

CONTENU DU CAHIER DE GESTION

CONTENU DU CAHIER DE GESTION COMMISSION SCOLAIRE DE KAMOURASKA RIVIÈRE-DU-LOUP CONTENU DU CAHIER DE GESTION SECTION I CONSEIL DES COMMISSAIRES Règlement fixant le jour, l heure et le lieu des séances ordinaires du conseil des commissaires

Plus en détail

Argumentaire Contre 13.079. Dokumentation Documentation Documentazione. Pour une caisse publique d assurance-maladie. Initiative populaire

Argumentaire Contre 13.079. Dokumentation Documentation Documentazione. Pour une caisse publique d assurance-maladie. Initiative populaire Servetschs dal parlament Argumentaire Contre 13.079 Pour une caisse publique d assurance-maladie. Initiative populaire Vo t a t i o n p o p u l a i re d u 2 8. 0 9. 2 0 1 4 Biblioteca del Parlamento Servizi

Plus en détail

Lettre-circulaire n 1 / 05 Assurance-invalidité / subventions pour l exploitation et les agencements selon l'art. 73, al. 2, let.

Lettre-circulaire n 1 / 05 Assurance-invalidité / subventions pour l exploitation et les agencements selon l'art. 73, al. 2, let. Domaine Assurance-invalidité Aux ateliers d'occupation permanente pour handicapés Aux homes et centres de jour pour handicapés Aux organes cantonaux de liaison 3003 Berne, le janvier 2005 Lettre-circulaire

Plus en détail

Quels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel?

Quels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel? Quels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel? Présentation des masters de Genève, Lausanne, Fribourg et Neuchâtel Association des étudiants en psychologie/ éducation, en psychologie

Plus en détail

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite

Plus en détail

22 2011 (CC-20111-110)

22 2011 (CC-20111-110) Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...

Plus en détail

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * * CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le

Plus en détail

Formation, Coaching et Thérapie- Tel : 06 47 89 49 52 ekoexistences@gmail.com

Formation, Coaching et Thérapie- Tel : 06 47 89 49 52 ekoexistences@gmail.com Formation, Coaching et Thérapie- Tel : 06 47 89 49 52 ekoexistences@gmail.com La confiance : Agir ensemble, établir un lien et construire en toute transparence une dynamique tournée vers un but commun.

Plus en détail

CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR CONDITIONS DE REUSSITE, DISPENSES, REPORTS ET CREDITS DANS L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Position de la Fédération des Étudiant(e)s Francophones (F.E.F.) discutée puis adoptée lors des Conseils du 25 septembre

Plus en détail

CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame...

CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... CONTRAT DE BAIL POUR UN APPARTEMENT Entre : 1. Monsieur... et Madame... domicilies a... ci-apres denomme bailleur - et 2. Monsieur... et madame... domicilie actuellement a... ci-apres denomme locataire

Plus en détail

Les prérogatives du mineur sur sa santé

Les prérogatives du mineur sur sa santé 5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée

Plus en détail

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et

Plus en détail

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour»

Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» Dép. 75 «Service d Accueil de Jour» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Le Service d accueil de jour -SAJE- est implanté sur le 19 e arrondissement de Paris et accueille

Plus en détail

sur les bourses et les prêts d études (LBPE)

sur les bourses et les prêts d études (LBPE) Loi du 14 février 2008 Entrée en vigueur :... sur les bourses et les prêts d études (LBPE) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu l article 65 al. 4 de la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai

Plus en détail

Voyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010

Voyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010 Voyage d étude aux Pays-Bas du 31 mai au 10 juin 2010 Isabelle Lieveloo, IA-IPR Lettres, Académie de Montpellier Introduction Ce voyage d étude qui s est déroulé du 31 mai au 10 juin m a permis de rencontrer

Plus en détail

Initiative sur les bourses d études : le mauvais chemin vers l égalité des chances dossierpolitique

Initiative sur les bourses d études : le mauvais chemin vers l égalité des chances dossierpolitique Initiative sur les bourses d études : le mauvais chemin vers l égalité des chances dossierpolitique 30 mars 2015 Numéro 3 Initiative sur les bourses d études L «Initiative sur les bourses d études», déposée

Plus en détail

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI

Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI Programme détaillé Analyse des actions de prévention précoce en PMI La formation continue du Centre d Ouverture Psychologique Et Sociale (Copes) s adresse à tous les acteurs du champ médical, psychologique,

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1

Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Fonction éducative, fonctions psychologiques, deux réalités d une intervention. Jérôme THONON 1 Dans la prise en charge d adolescents en grande difficulté, de nombreuses personnes sont mobilisées autour

Plus en détail

Sans formation à l aide sociale que faire?

Sans formation à l aide sociale que faire? Sans formation à l aide sociale que faire? CSIAS, mai 2010 Françoise Jaques cheffe du Service de prévoyance et d aide sociales du canton de Vaud Constats 2009 canton de Vaud 33 000 personnes ont recouru

Plus en détail

Ordonnance sur différentes structures en faveur de la jeunesse

Ordonnance sur différentes structures en faveur de la jeunesse - - 850.00 Ordonnance sur différentes structures en faveur de la jeunesse du 9 mai 00 Le Conseil d Etat du canton du Valais vu les art. 5,, 5,,,, 6,,, 5, 7 et 5 de la loi en faveur de la jeunesse du mai

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7

Sommaire. Sommaire. L Entreprise Page 3. Qu est-ce que la PNL? Page 4. Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Sommaire L Entreprise Page 3 Qu est-ce que la PNL? Page 4 Thérapie PNL et hypnose ericksonienne Page 7 Préparation mentale pour sportif Page 8 Arrêter de fumer Page 11 Mincir par l hypnose Page 12 Traitement

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES SÉANCES DE LOGOPÉDIE POUR LES ENFANTS DONT LE QUOTIENT INTELLECTUEL EST INFÉRIEUR À 86 PAR THOMAS DABEUX ANAHM ASBL 29 OCTOBRE 2014 Des études récentes

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE

POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE POLITIQUE POLITIQUE RELATIVE AUX CRITÈRES RÉGISSANT L ADMISSION ET L INSCRIPTION DES ÉLÈVES PRÉSCOLAIRE, PRIMAIRE ET SECONDAIRE Responsabilité Direction générale adjointe aux affaires administratives Direction

Plus en détail

Rapport du Conseil d Etat au Grand Conseil sur la pétition pour rendre accessibles les écoles aux personnes à mobilité réduite

Rapport du Conseil d Etat au Grand Conseil sur la pétition pour rendre accessibles les écoles aux personnes à mobilité réduite Secrétariat du Grand Conseil P 1798-B Date de dépôt : 11 janvier 2013 Rapport du Conseil d Etat au Grand Conseil sur la pétition pour rendre accessibles les écoles aux personnes à mobilité réduite Mesdames

Plus en détail

Directive 05_04 Prise en compte des études déjà effectuées

Directive 05_04 Prise en compte des études déjà effectuées Haute école pédagogique Comité de Direction Avenue de Cour CH 04 Lausanne www.hepl.ch Directives du Comité de direction Chapitre 05 : Filières de formation Directive 05_04 Prise en compte des études déjà

Plus en détail

T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011

T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011 CMS Bureau Francis Lefebvre 1-3 Villa Emile Bergerat, 92522 Neuilly-sur-Seine Cedex, France T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre

Plus en détail

AVANT-PROJET DE LOI SUR L ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE

AVANT-PROJET DE LOI SUR L ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE AVANT-PROJET DE LOI SUR L ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE Consultation publique du 0 novembre 009 au mars 00 Département de la formation, de la jeunesse et de la culture Message de Madame Anne-Catherine Lyon

Plus en détail

Plan stratégique. Pour la promotion de l intégration des personnes en situation de handicap CONSEIL D ETAT DU CANTON DE FRIBOURG

Plan stratégique. Pour la promotion de l intégration des personnes en situation de handicap CONSEIL D ETAT DU CANTON DE FRIBOURG CONSEIL D ETAT DU CANTON DE FRIBOURG Plan stratégique Pour la promotion de l intégration des personnes en situation de handicap Conformément à l article 197 chiffre 4 de la Constitution fédérale et à l

Plus en détail

Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre. Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex

Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre. Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex Préavis No 11/2012 Demande de crédit pour l achat et la pose d horodateurs au parking du Centre et Politique globale de parcage dans le village de Château-d Oex Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs

Plus en détail

CORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points

CORRIGÉ GEDOC SA. Proposition de barème sur 70 points CORRIGÉ GEDOC SA Proposition de barème sur 70 points Questions à traiter Travaux demandés Dossier 1 Organisation des réunions 1.1 Mettre en évidence les inconvénients de l organisation actuelle des réunions.

Plus en détail

Loi sur l enseignement privé (version en vigueur jusqu'au 31 décembre 2014)

Loi sur l enseignement privé (version en vigueur jusqu'au 31 décembre 2014) Loi sur l enseignement privé (version en vigueur jusqu'au 31 décembre 2014) du 10 mai 1984 Le Parlement de la République et Canton du Jura, vu les articles 8, lettres d et h, 38 et 39 de la Constitution

Plus en détail

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin 2013 1/5

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin 2013 1/5 LES CONDITIONS PARTICULIERES Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents Juin 2013 1/5 2/5 L objet de la convention Elle encadre les modalités d intervention et de versement de la prestation

Plus en détail

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,

Plus en détail

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185

Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits

Plus en détail

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H.

QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. Document nécessaire à l étude de la demande d Allocation d Education d Enfants handicapés DOSSIER N (GED) :. Cadre réservé à la MDPH NOM Prénom de l enfant : Date

Plus en détail

5.9 Comment sont imposées les assurances vie Constitutives de Capital

5.9 Comment sont imposées les assurances vie Constitutives de Capital 217 5.9 Comment sont imposées les assurances vie Constitutives de Capital Les assurances vie constitutives de capital couvrent principalement l assurance mixte et ses différentes variantes. Il y a donc

Plus en détail

PÉDAGOGIE SPÉCIALISÉE 12.041

PÉDAGOGIE SPÉCIALISÉE 12.041 PÉDAGOGIE SPÉCIALISÉE 12.041 Rapport du Conseil d'etat au Grand Conseil à l'appui d'un projet de décret portant adhésion à l accord intercantonal sur la collaboration dans le domaine de la pédagogie spécialisée,

Plus en détail

Statuts. Av. de Rumine 2 1005 Lausanne Tel. 021 341 90 78 Mobil 078 891 95 96 www.horairecontinu.ch

Statuts. Av. de Rumine 2 1005 Lausanne Tel. 021 341 90 78 Mobil 078 891 95 96 www.horairecontinu.ch Statuts Av. de Rumine 2 1005 Lausanne Tel. 021 341 90 78 Mobil 078 891 95 96 www.horairecontinu.ch Statuts de l Association suisse des écoles à horaire continu I. Généralités Art. 1 Désignation, siège

Plus en détail

Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration

Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration Association pour la Promotion de l Assurance Collective Clauses de désignation et de migration 1 1/ Qu est ce qu un accord de branche? Un accord de branche est un acte juridique issu d'une négociation

Plus en détail

L Udaf de l Isère. se positionne sur. les lois de. bioéthique. Dossier de presse. janvier 2011

L Udaf de l Isère. se positionne sur. les lois de. bioéthique. Dossier de presse. janvier 2011 L Udaf de l Isère se positionne sur les lois de bioéthique Dossier de presse janvier 2011 Contact : Marie Catrice 04 76 85 13 23 - mcatrice-udaf38@orange.fr 2 rue de Belgrade, 38000 Grenoble La Bioéthique?

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg.

Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg. Prise de position de l association Trait d union concernant la mise en consultation de l avant-projet de loi HES-SO Fribourg. 1. PREAMBULE L association, Trait d union Association fribourgeoise pour la

Plus en détail

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne

Rapport : Sur mandat de Promotion Santé Suisse Avenue de la Gare 52, 1003 Lausanne Croix-Rouge suisse Département santé et intégration Service santé Werkstr. 18 3086 Wabern Rapport : Examen et ajustement des politiques cantonales dans le cadre du programme «Poids corporel sain» sous

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

L assurance-maladie pour les sportifs.

L assurance-maladie pour les sportifs. L assurance-maladie pour les sportifs. Offre pour la clientèle privée Aperçu 2012 vivacare, l assurance-maladie pour les sportifs. Les prestations proposées par vivacare sont spécialement conçues pour

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Nos enfants et Internet

Nos enfants et Internet Extrait du support de présentation orale Nos enfants et Internet Isabelle Le Roy Isabelle Gulphe-Lachaud Anne Gustin Eléonore Papeix Mars 2014 Avec le soutien de 1 Bon anniversaire! 2 Une bonne occasion

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches

L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches Par Annick Faniel Dans notre article précédent, nous avons tenté de définir l'art, avec ses codes d'évaluation

Plus en détail

Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt

Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Madame, Monsieur, Le Fastt (www.fastt.org), est une association (Loi 1901) paritaire, créée en 1992 par les partenaires sociaux de la branche professionnelle

Plus en détail

MESSAGES TYPES POUR UNE PRISE DE CONTACT

MESSAGES TYPES POUR UNE PRISE DE CONTACT MESSAGES TYPES POUR UNE PRISE DE CONTACT 1. Les principes à retenir Personnalisez vos messages La solidarité au sein des réseaux est étonnante, mais les membres sont des gens occupés. Personnalisation,

Plus en détail

Assurance obligatoire des soins

Assurance obligatoire des soins Assurance obligatoire des soins selon la Loi fédérale sur l assurance-maladie (LAMal) Conditions d assurance Sanitas Corporate Private Care Edition de janvier 2009 (version 2013) Organisme d assurance:

Plus en détail

Décret sur les traitements du personnel de l'etat

Décret sur les traitements du personnel de l'etat Décret sur les traitements du personnel de l'etat du 7 novembre 0 (première lecture) Le Parlement de la République et Canton du Jura, vu l'article 44 de la loi du septembre 00 sur le personnel de l'etat

Plus en détail

NOM DE L ELEVE :.. Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée).

NOM DE L ELEVE :.. Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée). Dossier à rendre complété avant le 16 Mars 2015 (afin de vous éviter le temps des formalités lors de la pré-rentrée). NOM DE L ELEVE :.. Prénom : I. DOCUMENTS A RETOURNER A L ETABLISSEMENT Réservé à l

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal.

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal. Par courriel Abteilung Leistungen@bag.admin.ch Office fédéral de la santé publique OFSP Division Prestations Schwarzenburgstrasse 165 3003 Berne Zurich, 3 octobre 2014 Consultation sur la révision partielle

Plus en détail

Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois

Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois Mode d emploi de l outil de classification des collaborateurs soumis à la convention collective de travail dans le secteur social parapublic vaudois Av. de la Vallombreuse 51 1004 Lausanne Tél. 021 621

Plus en détail

La Mutualité en chiffres

La Mutualité en chiffres La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Activité collaborative en ligne. Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé

Activité collaborative en ligne. Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé Activité collaborative en ligne Isabelle GRAND, IAE/IUP Santé Objectifs et contexte Construire un cours de management d'équipe et communication MASTER 1 Management du Social et de la Santé Dispositif à

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

4.04 Etat au 1 er janvier 2013

4.04 Etat au 1 er janvier 2013 4.04 Etat au 1 er janvier 2013 Rentes d invalidité de l'ai Généralités 1 Les personnes assurées qui, du fait d une atteinte à la santé, sont totalement ou partiellement empêchées de travailler ou d accomplir

Plus en détail

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)

BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI) Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS

Plus en détail

Introduction : reconnaître et développer

Introduction : reconnaître et développer Introduction : reconnaître et développer l Économie sociale et solidaire Qu est-ce que l ESS? chiffres clés z 200000 structures z 2,4 milions de salariés z + 23 % d emplois créés depuis 10 ans Coopératives

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA

«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur

Plus en détail

Rapport de la Commission des pétitions chargée d étudier la pétition pour la défense du planning familial (unité de santé sexuelle HUG)

Rapport de la Commission des pétitions chargée d étudier la pétition pour la défense du planning familial (unité de santé sexuelle HUG) Secrétariat du Grand Conseil P 1846-A Date de dépôt : 11 juin 2013 Rapport de la Commission des pétitions chargée d étudier la pétition pour la défense du planning familial (unité de santé sexuelle HUG)

Plus en détail

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE

FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D DESCRIPTION DU POSTE FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE SOUS DIRECTION DES PERSONNELS CONTRACTUELS BUREAU DES VOLONTAIRES INTERNATIONAUX RH3D ( à retourner dactylographiée 4 mois avant la date de recrutement souhaitée) PAYS : CHINE

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

INFORMATION SUR LES ASSURANCES

INFORMATION SUR LES ASSURANCES Delémont, le 29 octobre 2014 INFORMATION SUR LES ASSURANCES Aux employés de l'etat Récapitulatif des différentes assurances sociales Les termes utilisés dans le présent document pour désigner des personnes

Plus en détail

Q.I. POUR QUI? POURQUOI?

Q.I. POUR QUI? POURQUOI? Q.I. POUR QUI? POURQUOI? Huguette HOSTYN, Attachée au Département de Psychologie de l Hôpital NECKER Diplômée en Psychopathologie de l Université Paris X La Celle Saint-Cloud RESUME 1 Définition de l intelligence,

Plus en détail

Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures

Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions

Plus en détail

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress

Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress GÉRER LE STRESS DANS L ENTREPRISE OBJECTIFS PEDAGOGIQUES DUREE : 1 JOUR Comprendre les phénomènes biologiques et psychologiques du stress Identifier la notion de risques psychosociaux au titre de la Loi

Plus en détail

Motion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit»

Motion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit» Motion pour «L interdiction des affiches publicitaires pour le petit crédit» De par mon métier d assistante sociale, je peux constater les ravages de l endettement sur la vie des familles et des jeunes

Plus en détail

Conditions d'engagement des maîtres et maîtresses généralistes dans l'enseignement primaire genevois. Année scolaire 2015-2016

Conditions d'engagement des maîtres et maîtresses généralistes dans l'enseignement primaire genevois. Année scolaire 2015-2016 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Direction générale de l'enseignement obligatoire - DGEO Service des ressrces humaines EP Modifiée : 05.01.2015

Plus en détail

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école

Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013 ANNEXES RETRACANT LES ECHANGES DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013

COMPTE RENDU DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013 ANNEXES RETRACANT LES ECHANGES DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013 COMPTE RENDU DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013 ANNEXES RETRACANT LES ECHANGES DU CONSEIL D ADMINISTRATION DU 28 NOVEMBRE 2013 Monsieur le Principal désigne Madame DESVAUX Marie-Madeleine

Plus en détail

Offres publiques d'emplois

Offres publiques d'emplois RÉPUBLIQUE ET CANTON DE NEUCHÂTEL DÉPARTEMENT DE L'ÉDUCATION, DE LA CULTURE ET DES SPORTS Offres publiques d'emplois de postes à pourvoir pour l'année scolaire 2011/2012 dans l'enseignement obligatoire

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»

10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» 10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,

Plus en détail

Pourquoi des soins dentaires scolaires? Les objectifs des soins dentaires scolaires

Pourquoi des soins dentaires scolaires? Les objectifs des soins dentaires scolaires Pourquoi des soins dentaires scolaires? Dans tous les cantons des lois, des ordonnances et des décrets régissent l organisation et la mise en œuvre des soins dentaires scolaires; il s agit pour partie

Plus en détail