L enseignement des langues modernes dans la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les propositions des FDF

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L enseignement des langues modernes dans la Fédération Wallonie-Bruxelles. Les propositions des FDF"

Transcription

1 Note L enseignement des langues modernes dans la Fédération Wallonie-Bruxelles Les propositions des FDF Caroline Persoons Députée FDF Joëlle Maison Échevine de l enseignement Corinne François Échevine de l enseignement Et avec la collaboration des : Jeunes FDF 1

2 I. Introduction : Avec la place centrale de notre pays au cœur de l Europe, les impératifs liés à la mondialisation et la présence des nombreux européens qui vivent et travaillent dans notre capitale, nul doute que la connaissance d une ou de plusieurs langues favorise le développement d une économie compétitive, constitue un atout précieux pour accéder au marché de l emploi et permet une plus grande ouverture aux autres cultures. Pourtant, trop de disparités relatives à la connaissance des langues existent entre les Régions et les Communautés qui composent notre pays. Actuellement, le constat est sans appel : la connaissance des langues dans la Fédération Wallonie-Bruxelles est insuffisante par rapport aux objectifs européens. Pour rappel, le Conseil Européen de Barcelone avait fixé en 2002 l objectif d «améliorer la maîtrise des compétences de base, notamment par l enseignement d au moins deux langues étrangères dès le plus jeune âge ( )». Le Conseil de l Union européenne estime également que chaque citoyen européen devrait maîtriser trois langues : sa langue maternelle, une langue à portée internationale et une langue de proximité ou minoritaire. Dès lors, déterminés à promouvoir l ouverture vers le monde et bien conscients des enjeux économiques liés à l apprentissage des langues, les FDF souhaitent mettre en avant leurs propositions fortes pour améliorer significativement la connaissance des langues et la connaissance de deux langues supplémentaires à la langue de l enseignement. Parallèlement, les FDF rappellent combien la maîtrise de la langue d enseignement est un facteur essentiel pour la construction des apprentissages et l assimilation des compétences de base permettant de mieux lutter contre le décrochage scolaire. C est pourquoi, il faut tenir compte de la situation spécifique des primo-arrivants dans le débat relatif aux langues. Dans le sondage réalisé par les Jeunes FDF sur l apprentissage des langues, 33% des jeunes interrogés placent la maîtrise de la langue de l enseignement en tête de leurs priorités et ils sont 21,9 % à mettre l accent sur la maîtrise d une langue supplémentaire qui est trop souvent repoussée au lendemain II. Constats en Fédération Wallonie Bruxelles: Des résultats en dessous des objectifs européens Notre maîtrise des langues étrangères, que nous appellerons «langues modernes» au long de ce texte, en Fédération Wallonie-Bruxelles, est très mauvaise, surtout lorsqu on se compare aux autres pays de l Union Européenne. En Fédération Wallonie-Bruxelles, nos résultats sont en-dessous de la moyenne européenne. Alors que le pourcentage moyen d Européens unilingues est de 44% : 57% des Wallons sont unilingues, 28 % des personnes résidant en Flandre sont unilingues. A Bruxelles, 38 % de la population ne parle que le français ou le néerlandais. Si l on analyse le pourcentage de la population qui se déclare trilingue, ici encore, les résultats obtenus par 2

3 la Wallonie sont très moyens avec seulement 7% de la population qui se déclare trilingue français, néerlandais, anglais. Les résultats relativement bons de la Belgique reposent donc largement sur le plurilinguisme des néerlandophones. 1 L étude européenne des compétences en langues 2 nous indique que le pourcentage d élèves en Fédération Wallonie-Bruxelles qui atteint ou dépasse le niveau B1 (utilisateur indépendant) en anglais n est que de 29%, tandis que la moyenne européenne se situe à 42% 3. Seule éclaircie au tableau, pour le niveau A2 4 ), le taux de réussite en FWB oscille entre 41 et 65%, quand la moyenne européenne est située à 35 à 72 % 5. Pas d utilisation en FWB des outils européens Le cadre européen commun de référence pour les langues (CECR) constitue, en Europe, la base pour l élaboration de programmes de langues vivantes, de référentiels, d examens, de manuels,... Force est de constater que la FWB est le seul pays de l Union européenne (avec le Royaume-Uni) où le CECR est totalement absent de l enseignement obligatoire, alors qu il se généralise dans le milieu académique et professionnel. La Ministre en charge de l enseignement obligatoire vient à peine d engager un travail sur l intégration du CECR dans les référentiels inter-réseaux existants. L utilisation du Portfolio européen des langues qui suit l étudiant au long de son parcours est également une piste intéressante, trop souvent négligée par les enseignants. Les premiers apprentissages trop tardifs Dans la plupart des systèmes éducatifs européens, l apprentissage obligatoire d une première langue étrangère débute entre 6 et 9 ans 6. Cette obligation en Fédération Wallonie-Bruxelles est plus tardive et ne commence qu à 10 ans. Il est pourtant démontré qu un des facteurs de succès dans l apprentissage des langues est le temps global qui y a été consacré et la durée d apprentissage. Les résultats du sondage des Jeunes FDF ne disent pas autre chose. Les participants sont 43% à plaider pour l apprentissage d une langue étrangère dès la maternelle et 31 % dès le primaire. La proportion de temps consacré aux cours de langues sur l ensemble de l enseignement primaire est donc, sans surprise, parmi les plus faibles : 2,4% en FWB comme en Slovaquie, seule l Autriche obtient ici un score plus faible (2,2%). Heureusement, 41% des 128 écoles visitées dans l enseignement primaire 7 organisent des activités d éveil ou d apprentissage avant le début obligatoire des cours de langues. 1 Ginsburgh, v., & Weber, s. (2006). La dynamique des langues en Belgique. Version initiale regards économiques, p First European survey on language competences. Final report. Office des publications de l Union européenne, Luxembourg, Christiane Blondin et Florent Chenu, «L apprentissage des langues : mise en perspective européenne de la situation en Fédération Wallonie-Bruxelles», 2013, p A2 = «Niveau de Survie», sous le niveau B1. 5 Christiane Blondin et Florent Chenu, Ibid., p Christiane Blondin et Florent Chenu, Ibid., p

4 Discrimination entre filières L apprentissage des langues varie selon l école, la filière et même l option choisie par l élève. Les constats ne sont pas bons, mais ils deviennent interpellants quand on aborde les autres filières que l enseignement général. Dans l enseignement de qualification en FWB, les élèves sont 48 % à ne suivre aucun cours de langue étrangère 8 et seulement 14% à étudier deux langues. Dans l enseignement professionnel, l enseignement d une langue étrangère n est pas généralisé. Au niveau du troisième degré de l enseignement secondaire, «si certains élèves ont l occasion d apprendre jusqu à trois langues étrangères parfois en y consacrant 12 heures de l horaire hebdomadaire, d autres, dans certaines sections de l enseignement qualifiant, n ont plus aucun cours de langue au troisième degré» 9. Une récente thèse analysant l enseignement de transition 10 montre le manque de cohérence entre écoles quant aux objectifs poursuivis et le manque d outils adéquats. Les étudiants perdent donc toutes les connaissances acquises dans les huit premières années de l enseignement. La pénurie d enseignant : le recours aux articles 20 plus fréquent en Fédération Wallonie-Bruxelles Pénurie oblige, les pouvoirs organisateurs ont bien souvent recours à des articles 20, soit des professeurs qui ne sont pas détenteurs d un titre pédagogique et qui n ont pas de formation pédagogique. Les étudiants peuvent ainsi se retrouver dans des situations ubuesques et avoir comme professeur de néerlandais une secrétaire de formation dont on justifiera la présence par le seul fait qu elle ait étudié trois ans en Flandre Il y a des domaines où l absence de méthodologie entraîne inévitablement des désastres : l enseignement des langues est l un d entre eux. L absence de continuité et de cohérence au sein du système scolaire Le régime linguistique de l enseignement est fondé sur le principe de territorialité, c'est-àdire sur base de l existence de quatre régions linguistiques 11 et non sur le principe du libre choix de la langue de l enseignement. Plusieurs études déplorent les incohérences et la rupture des parcours dans les langues étudiées. 12 Le choix de la langue est laissé à 7 Rapport de l inspection de l enseignement 2012, p Christiane Blondin et Florent Chenu, ibid., p Rapport établi par le Service général de l Inspection au terme de l année scolaire , p D. Etienne, «Enseignement et apprentissage des langues étrangères en Communauté française de Belgique : quel(s) profil(s) seuil(s) pour les apprentissages en langues étrangères au sortir des humanités de transition? Essai de régulation», La région de langue française, la région de langue néerlandaise, la région bilingue de Bruxelles-Capitale et la région de langue allemande. 12 Blondin, Fagnant et Goffin, «L étude internationale des compétences en langues», 2008 ; D. Etienne, «Enseigner les langues étrangères. Quels sont nos objectifs et nos priorités?» 4

5 l établissement : en Wallonie, la première langue moderne enseignée peut être le néerlandais, l anglais ou l allemand. En cas de changement d école, l élève pourra être confronté à d importantes difficultés avec un décrochage à la clé. La suite du parcours de l enfant dépend des cours de langue organisés dans l établissement et de la filière fréquentée. Si en Communauté flamande, tous les élèves apprennent d abord le français, auquel s ajoute l anglais au 1 er degré du secondaire, la Fédération Wallonie-Bruxelles est moins cohérente : l apprentissage d une première langue moderne à Bruxelles débute en 3 ème primaire et en 5 ème primaire en Wallonie. Dans notre sondage, 24% des sondés indiquent qu il y a un problème de continuité dans le parcours : lorsqu ils changent de classe, d école ou même de région, les élèves étudient des thèmes déjà vus ou changent de langue (néerlandais à anglais par exemple) et 38 % souhaitent que l on regroupe les élèves par niveaux en langue de façon plus souple. Encore quelques lacunes au niveau de l immersion linguistique L immersion constitue un moyen d augmenter la période d apprentissage d une langue cible et d atteindre un niveau de compétence élevée. On comprend donc aisément les raisons qui poussent le «marché scolaire» à développer cette catégorie bien particulière d école. L atout offert par cet enseignement est indéniable : les élèves qui terminent leurs études après un parcours en immersion linguistique ont un niveau de connaissance linguistique nettement plus élevé que les autres. Depuis 1998, l immersion a été autorisée en FWB dans l enseignement fondamental et secondaire. Dès 2007, le décret relatif à l immersion linguistique a défini le cadre dans lequel ce système pouvait s organiser au niveau fondamental et secondaire (général, qualifiant et de transition). Pour l année 2013, la part des implantations organisant l immersion en FWB est de 15,9 % et élèves sont inscrits en immersion dans le fondamental et dans le secondaire 13. Le nombre d établissements en immersion a augmenté d année en année : 171 dans l enseignement fondamental dont 11 à Bruxelles et 160 en Wallonie ; 142 dans l enseignement secondaire, dont 19 à Bruxelles et 123 en Wallonie 14. Malgré ce succès grandissant, l enseignement en immersion doit encore être amélioré. De fait, le rapport de l Inspection de 2010 et les différentes enquêtes récentes réalisées par les jeunes FDF auprès des directions d écoles en Fédération Wallonie-Bruxelles ont mis en évidence une série de lacunes ou de difficultés concrètes: - Les programmes de disciplines enseignés dans la langue cible ne sont pas entièrement couverts. En 2010, près de 50% des classes en immersion linguistique n arrivent pas à couvrir le programme prévu (40% en secondaire tant en immersion Bruxelles : De Boeck, Coll. Action! 2011 ; Poulain, Compte-rendu de la Commission de l Education Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles 2013, p Compte-rendu de la Commission de l Education Ibid. 5

6 précoce qu en immersion tardive). L apprentissage de la langue d immersion se fait donc au détriment de la discipline enseignée ou se marque par le manque de maîtrise du vocabulaire technique et scientifique visé en français ; - Le nombre plus faible d établissements en immersion à Bruxelles par rapport à la Wallonie (21 écoles secondaires dans toute la Province du Hainaut, contre seulement 19 à Bruxelles); - L absence d établissement en immersion dans l enseignement de qualification ou technique ; - L immersion en anglais au niveau de l enseignement primaire n est pas autorisée à Bruxelles et dans certaines communes à facilités de Wallonie ; - Les écoles rencontrent des difficultés à recruter des locuteurs natifs porteurs des titres adéquats pour la discipline enseignée et la langue cible ; - La difficulté d intégrer des candidats enseignants en immersion dans les équipes pédagogiques existantes; - La connaissance variable des locuteurs natifs des programmes utilisés en Fédération Wallonie-Bruxelles ; - L impossibilité d accorder un accès prioritaire à une école en immersion où un élève dont un frère/une sœur, ainsi que tout autre mineur résident sous le même toit fréquente déjà l école. Nous espérons que ces chiffres s amélioreront dans le rapport de l Inspection qui devrait être publié sous peu. 6

7 III. Nos propositions en 4 axes pour améliorer l apprentissage des langues : 1. Un apprentissage précoce 1. Généraliser en Wallonie l apprentissage d une seconde langue dès la 3 ème primaire. Depuis 1998, l enseignement des langues a été rendu obligatoire en 5 ème et 6 ème primaire dans les écoles situées en Wallonie. A Bruxelles, le néerlandais est enseigné dès la 3 ème primaire. Il est primordial d insister sur la nécessité d entamer un apprentissage le plus précoce possible et donc d aligner les écoles sur Bruxelles, à savoir l enseignement d une seconde langue (néerlandais, anglais ou allemand en fonction du libre choix des écoles) dès la 3 ème primaire. Les FDF souhaiteraient le mettre en place dès la 1 ère conscients des implications budgétaires liées à ce choix. primaire, mais nous sommes Concrètement, en termes de volume d apprentissage, cela signifie augmenter le nombre d heures à 3 périodes d enseignement en 3 ème et 4 ème années primaires et à 5 périodes d enseignement en 5 ème et 6 ème primaires. On estime le coût de cette mesure d harmonisation à 35 millions d euros. 2. Financer à 100% les périodes dédiées à l'enseignement des langues. À Bruxelles, les heures de néerlandais imposées par la loi du 30 juillet 1963 ne sont pas financées en totalité par la FWB, malgré l obligation fédérale d enseigner le néerlandais dès la 3 ème primaire! Par conséquent, les pouvoirs organisateurs assurent, bien souvent sur fonds propres, la part non assumée par la FWB et assument parfois jusqu à 4/5 ème de la charge. Les FDF estiment qu au regard de l importance de l apprentissage d une seconde langue de façon précoce, qui plus est, imposée par le fédéral, il s agit d une question de priorités politiques. 3. Généraliser un programme d éveil aux langues dès la 3 ème maternelle (dès le cycle 5-8 ans). Cet éveil aux langues n est pas un «cours de langue» à proprement parler, il s agit plutôt de sensibiliser de manière ludique les plus jeunes à la diversité linguistique et culturelle. Cette approche renforce chez l enfant l ouverture d esprit, développe sa curiosité d apprendre et le sens du respect de l autre. Il faut continuer de mettre en place les nombreux outils didactiques qui ont été mis au point dans le cadre des programmes EVLANG, JA-LING et d EOLE, qui constituent d ores et déjà une base solide. L expérience pilote menée dans quelques écoles a confirmé qu il ne fallait pas pour cela engager des professeurs qui connaissaient déjà la langue, puisque la majorité des enseignants ont estimé en fin d année qu il n était pas indispensable pour eux de connaitre eux-mêmes plusieurs langues pour organiser les activités étant donné que la plupart des supports fournissaient les informations nécessaires C. BLONDIN et C. MATTAR, «Cinq équipes éducatives s engagent dans l éveil aux langues projet pilote dans l enseignement fondamental en Communauté française», rapport final juillet 2004, Université de Liège, p

8 4. Permettre l apprentissage précoce d une troisième langue dans les écoles dès le niveau fondamental (5 ème primaire). Les FDF estiment qu il faut commencer la 3 ème langue dès la 5 ème primaire. A Bruxelles, qui est une métropole internationale, capitale de l Union européenne, qui accueille de nombreux citoyens venus du monde entier, il est essentiel d apprendre l anglais. Pour preuve, «si la connaissance et l apprentissage de l anglais se généralisent dans toute la Belgique, aux dépens parfois de l autre langue nationale, le statut international de Bruxelles et ses populations étrangères font de l anglais la langue vecteur incontournable». 16 En Wallonie, il est également essentiel d enseigner le néerlandais, dans les écoles où la seconde langue serait l anglais ou l allemand. A ce propos, les FDF ont déposé, successivement au parlement bruxellois et au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, une résolution relative à l apprentissage des langues étrangères, dès l enseignement fondamental (dès la 5 ème primaire) ou à tout le moins dès le 1 er degré du secondaire afin de mettre en œuvre un apprentissage précoce d une troisième langue. 2. Valoriser l apprentissage des langues et définir les objectifs à atteindre 5. Valoriser les apprentissages des langues dans les diplômes et certificats obtenus pendant la scolarité en faisant passer un examen certificatif aux élèves au terme de leur scolarité. Valoriser l apprentissage par un certificat, c est aussi motiver les élèves dans leur apprentissage des langues. Or que constate-t-on? Ni le CEB de fin de primaire, ni le Certificat d études secondaires ne mentionnent les langues apprises ou le niveau atteint par l élève. Encore une fois, la FWB fait figure d exception. Un examen organisé par le Selor ou un examen qui utilise les systèmes de certification européens (CECR) devrait être organisé au terme du niveau secondaire pour pouvoir s en servir sur le marché de l emploi. 6. Atteindre en dernière année de l enseignement secondaire de l enseignement général le niveau de connaissance B2 (Niveau «Autonome») et atteindre en dernière année de l enseignement secondaire de l enseignement technique et professionnel le niveau de connaissance B1 (Niveau «Seuil» avec un début d autonomie). Bien qu encore peu connus de grand public, les niveaux de connaissance du cadre européen commun de référence pour les langues (CECR) sont des outils dont il faut se servir. Utilisés dans le milieu académique et professionnel, ils permettent d être compris rapidement par un employeur qui cherche à déterminer le niveau de maîtrise d un candidat. Le niveau B2 du CECR se caractérise par un niveau où «l'étudiant peut comprendre le contenu essentiel de sujets concrets ou abstraits dans un texte complexe, y compris une discussion technique dans sa spécialité. Il peut communiquer avec un degré de spontanéité et d'aisance telle qu'une conversation avec un locuteur natif ne comportant de tension ni pour l'un ni pour l'autre. Il peut s'exprimer de façon claire et détaillée sur une grande gamme de 16 La Libre Belgique du 5 mai 2007 ; Ph. VAN PARIJS, «Bruxelles capitale de l Europe : les nouveaux défis linguistiques», Brussels Studies, numéro 6, 3 mai

9 sujets, émettre un avis sur un sujet d'actualité et exposer les avantages et inconvénients de différentes possibilités». Ce niveau permet dès lors aux élèves de disposer d une bonne base de connaissance pour ensuite s orienter vers le monde professionnel ou vers des formations plus spécialisées. Dans le qualifiant, nous visons le niveau B1 avec un début d'autonomie et une orientation «métier» permettant à l élève de se débrouiller dans la matière qu il pratique. On l a vu, certains élèves n ont aucun cours de langue dans l enseignement professionnel. Un décret voté récemment les rend carrément facultatifs dans les deux dernières années du degré professionnel 17. Dans cette filière technique et professionnelle, il faut s atteler à un niveau de connaissance axée «métier». 3. Moderniser l apprentissage des langues 7. Donner la possibilité d organiser des autres cours de langues modernes dès la 5ème et 6ème secondaire (arabe, chinois, russe, ). Cette initiation à d autres langues doit être autorisée dans les écoles secondaires qui font le choix de miser sur des langues dont l importance grandit. 8. Opter pour des dispositifs pédagogiques à hautes valeurs ajoutées et créer une plateforme en ligne à destination des enseignants, enfants et adultes avec des outils ludiques interactifs. Les cours traditionnels ou encore «magistraux» sont révolus. Les enseignants qui veulent transmettre leurs savoirs et surtout capter l attention de leurs élèves en sont convaincus. Une pédagogie active doit être généralisée en recourant aux nouveaux outils de transmission de la matière tels que les nouvelles technologies. En matière d apprentissage des langues, cette méthode semble tout particulièrement indiquée pour améliorer la connaissance des élèves. L élève découvre les langues étudiées à l aide d outils fournis par l enseignant : vidéos en ligne, podcast d émissions, 9. Généraliser les cours de langues dans les études supérieures notamment par le biais de plateformes informatiques. Les programmes de certaines facultés universitaires ou écoles supérieures prévoient l obligation de suivre des cours de langues ou des cours en langue étrangère. Très souvent, la connaissance d une langue étrangère (anglais, néerlandais, allemand ou espagnol) est même un pré-requis à l entrée dans l enseignement supérieur. Par ailleurs, plusieurs universités ou instituts font l effort d offrir à leurs étudiants la possibilité de suivre des formations linguistiques facultativement et parfois, moyennant des coûts supplémentaires. Mais trop souvent, de nombreux étudiants du supérieur ne sont plus, au cours de leurs études, mis en contact avec une langue étrangère et perdent les compétences acquises durant l enseignement obligatoire. Il conviendrait dès lors 17 Décret n 559 ( ) voté le 4 décembre 2013, modifiant les grilles horaires dans la section de qualification de l enseignement secondaire ordinaire de plein exercice( ). 9

10 d encourager les écoles et les Universités à organiser pour tous les étudiants de l enseignement universitaire ou supérieur l obligation de suivre une formation linguistique, étant entendu qu ils auront la liberté de choix de la langue. Pour limiter les coûts, les FDF préconisent d investir dans des outils tels que les plateformes Internet ou les séances on line, telles que proposées ci-dessus. 4. Promouvoir et améliorer l enseignement en immersion 10. Promouvoir l immersion linguistique et la permettre en anglais dès le primaire à Bruxelles et dans les communes à facilités en Wallonie. A condition de couvrir le programme des disciplines enseignées dans la langue cible, les FDF sont favorables à l immersion et souhaitent inviter chaque commune à mettre en place un projet d enseignement en immersion dans au moins un établissement sur son territoire. Toutefois, nous regrettons, par exemple, que l immersion linguistique en anglais ne soit pas autorisée dans l enseignement primaire à Bruxelles et dans les communes à facilités en Wallonie. En effet, l article 12, 3 du décret prévoit que «dans la Région de Bruxelles- Capitale et dans les communes visées à l article 3 de la loi du 30 juillet 1963 (ndlr les communes à statut linguistique spécial), la langue moderne dans laquelle peut être organisée l immersion dans l apprentissage d une langue est le néerlandais». C est regrettable, car les rapports de l inspection démontrent que lorsque l on débute l immersion en secondaire, c est-à-dire très tardivement, le niveau des élèves s en ressent. C est pourquoi, les FDF souhaitent, par une modification du décret, corriger cette lacune. Nous proposons également d accorder une priorité d accès aux élèves dont un frère/une sœur ainsi que tout autre mineur résidant sous le même toit fréquentant déjà l école en immersion. Il faut combler la lacune selon laquelle «aucune priorité ne peut être accordée à un élève dont un frère/une sœur, ainsi que tout autre mineur résidant sous le même toit fréquente déjà l école». Cette mesure nous semble discriminatoire et particulièrement dérangeante pour des parents qui pourraient se voir obligés d inscrire leurs enfants dans des écoles différentes et de provoquer des inégalités de traitement des enfants au sein d une même famille. A titre informatif, la Communauté flamande accorde au contraire comme première priorité d inscription la fratrie; ceci déforce bien évidemment notre enseignement en immersion. 11. Conclure un accord de reconnaissance mutuelle des titres pédagogiques obtenus par les enseignants pour qu ils puissent enseigner dans l autre Communauté. Nous demandons un accord de coopération entre les Communautés permettant aux enseignants de travailler de l autre côté de la frontière linguistique en disposant d une équivalence des diplômes. Aujourd hui outre le fait que le salaire perçu en Flandre est légèrement supérieur à celui versé par la FWB, bien des professeurs compétents se voient contraints d accepter les conditions inhérentes aux personnes relevant de l article 20 (notamment un salaire moins élevé). Bien sûr, il est essentiel que les enseignants aient une bonne connaissance tant des programmes appliqués dans l autre Communauté, que de la langue de l enseignement, mais l objectif doit être une simplification des procédures. 10

11 11

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES

EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES EN BELGIQUE, LES MUTUELLES NE REMBOURSENT PAS LES SÉANCES DE LOGOPÉDIE POUR LES ENFANTS DONT LE QUOTIENT INTELLECTUEL EST INFÉRIEUR À 86 PAR THOMAS DABEUX ANAHM ASBL 29 OCTOBRE 2014 Des études récentes

Plus en détail

DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE 2015-2016

DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE 2015-2016 Contacts Frédéric HAMBERGER 05 63 48 19 62 frederic.hamberger@univ-jfc.fr CUFR Jean François Champollion Campus d Albi Place de Verdun 81012 ALBI Cédex 9 DEPARTEMENT ARTS, LETTRES ET LANGUES ANNEE UNIVERSITAIRE

Plus en détail

Circulaire n 5051 du 04/11/2014

Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés

Plus en détail

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais

Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Préparation d une maturité avec mention bilingue français-allemand ou français-anglais Dans les écoles de maturité des gymnases du canton de Vaud Edition 2014 Département de la formation, de la jeunesse

Plus en détail

2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé

2'223 4'257 (2'734 Équivalent temps plein ETP) 1'935 4'514 (3'210 ETP) 37'126. 1 540 Compris dans l'enseignement obligatoire Enseignement spécialisé af DE VAUD Département de la formation et de la jeunesse DFJ Projet : «Ecole et informatique» 1 Introduction Près de deux décennies après l introduction des premiers ordinateurs dans l École obligatoire,

Plus en détail

F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S. sur le

F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S. sur le F REGL PROF-Dispositions transitoires A 06 Bruxelles, 18.12.2007 MH/BL/JP A V I S sur le PROJET D ARRETE ROYAL MODIFIANT L ARRETE ROYAL DU 21 DECEMBRE 2006 RELATIF A LA COMPETENCE PROFESSIONNELLE POUR

Plus en détail

Compte rendu de la formation

Compte rendu de la formation Compte rendu de la formation «Expertise de vos pratiques en Méthode Naturelle de la Lecture et de l Ecriture (MNLE)» Animée par Sybille Grandamy Le 10 mars 2015 BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 9 participant(e)s

Plus en détail

ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé

ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé Roeland vzw Service de jeunesse pour la promotion de la connaissance des langues Krijgslaan 18 9000 Gent T +32 9 221 60 44 www.roeland.be info@roeland.be 1 QUI

Plus en détail

Politique linguistique

Politique linguistique Politique linguistique Informations sur le soutien apporté par le Baccalauréat International en matière de langues, cours de langue et langues d enseignement Mise à jour en octobre 2014 Cette politique

Plus en détail

Programme «Lecteurs Formateurs»

Programme «Lecteurs Formateurs» [Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres

Plus en détail

Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information

Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information OFFICE DES NATIONS UNIES A GENEVE UNITED NATIONS OFFICE AT GENEVA Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006 Note d information 1. Un concours de recrutement de professeurs de français

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1: L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant

Plus en détail

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques

Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,

Plus en détail

Sondage sur le travail de conseiller d arrondissement et de conseiller municipal

Sondage sur le travail de conseiller d arrondissement et de conseiller municipal Sondage sur le travail de conseiller d arrondissement et de conseiller municipal Mémoire déposé dans le cadre des consultations citoyennes sur le projet de réforme de la gouvernance du Renouveau Sherbrookois

Plus en détail

Loi concernant le régime linguistique dans l'enseignement L. 30-07-1963 M.B. 22-08-1963

Loi concernant le régime linguistique dans l'enseignement L. 30-07-1963 M.B. 22-08-1963 Lois 04329 p.1 Loi concernant le régime linguistique dans l'enseignement L. 30-07-1963 M.B. 22-08-1963 modifications : L. 26-07-1971 (M.B. 24-08-71) L. 27-07-1971 (M.B.22-10-71) L.10-07-1973 (M.B. 14-07-73)

Plus en détail

MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC

MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Adopté par le conseil d UFR le 10 juillet 2013 Voté au CA du 1 er octobre 2013 Adopté par la CFVU du 09 septembre 2013 MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION Mention DROIT PUBLIC Master année 1 Arrêté d habilitation

Plus en détail

La Situation du Marché de l Emploi Informatique en Belgique

La Situation du Marché de l Emploi Informatique en Belgique La Situation du Marché de l Emploi Informatique en Belgique www.itjobboard.be T: + 32 (0)2 5035 364 Contexte L objectif de ce rapport est de résumer la situation actuelle du marché de l emploi informatique

Plus en détail

La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française.

La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française. La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française. Dossier de presse rédigé par : Françoise de Viron, Présidente de la Commission Education tout au Long de la Vie (ETALV) du CIUF,

Plus en détail

DECLARATION DE BRUXELLES

DECLARATION DE BRUXELLES DECLARATION DE BRUXELLES Susciter une plus grande motivation dans l apprentissage des langues au moyen de politiques institutionnelles, de stratégies spécifiques et de pratiques innovantes MOLAN European

Plus en détail

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire

Plus en détail

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES

MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES Mention : Arts Spécialité : Cinéma et audiovisuel, approches interculturelles du cinéma Contacts Composante : UFR Humanités Contact(s) administratif(s)

Plus en détail

Diplômes professionnels pour adultes

Diplômes professionnels pour adultes Diplômes professionnels pour adultes Quatre manières d obtenir le certificat fédéral de capacité ou l attestation fédérale de formation professionnelle Direction de l instruction publique du canton de

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) 87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation

Plus en détail

GUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

GUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR CONSEIL AFRICAIN ET MALGACHE POUR L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (C. A. M. E. S.) 01 B.P. 134 OUAGADOUGOU 01 (BURKINA FASO) Tél. : (226) 50.36.81.46 - Fax : (226) 50.36.85.73 Email : cames@bf.refer.org GUIDE

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT

PROJET D ETABLISSEMENT PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter

Plus en détail

L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises

L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse

Plus en détail

REGLEMENT DES ETUDES

REGLEMENT DES ETUDES P a g e 1 REGLEMENT DES ETUDES INSTITUT DON BOSCO HUY Enseignement ordinaire de plein exercice rue des Cotillages 2-4500 HUY - Tél.: 085/27.07.50 - Fax: 085/23.55.29 E-Mail: direction@donboscohuy.be Site

Plus en détail

ASSURANCES. Votre partenaire formation continue. MODULES Salaires et Assurances dans la pratique : débutant, avancé, confirmé

ASSURANCES. Votre partenaire formation continue. MODULES Salaires et Assurances dans la pratique : débutant, avancé, confirmé ASSURANCES MODULES Salaires et Assurances dans la pratique : débutant, avancé, confirmé CERTIFICAT Généraliste en assurances sociales Votre partenaire formation continue www.virgile.ch tél. 021 921 19

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Langues, Affaires, Interculturalité

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Langues, Affaires, Interculturalité www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Langues, Affaires, Interculturalité Se former à la culture de l autre et aux affaires internationales La mondialisation des relations et des marchés, la valorisation

Plus en détail

Directive 05_04 Prise en compte des études déjà effectuées

Directive 05_04 Prise en compte des études déjà effectuées Haute école pédagogique Comité de Direction Avenue de Cour CH 04 Lausanne www.hepl.ch Directives du Comité de direction Chapitre 05 : Filières de formation Directive 05_04 Prise en compte des études déjà

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010

Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010 Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Libre de Bruxelles (ULB) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président, M. Mihai COMAN, M. Frank

Plus en détail

Wallonie-Bruxelles International

Wallonie-Bruxelles International Wallonie-Bruxelles International Une agence disposant de la personnalité juridique en charge des relations internationales ; Œuvrant pour les 3 gouvernements : Fédération Wallonie-Bruxelles, Région wallonne,

Plus en détail

Bac français. Bac international. Quel bac choisir? Classes 1 & Terminale

Bac français. Bac international. Quel bac choisir? Classes 1 & Terminale Bac français Bac international Quel bac choisir? Classes 1 & Terminale 2014-2015 Quelques critères de choix pour votre orientation en Première 1. Quel(s) métier(s) envisagez-vous? Dans quel(s) domaine(s)

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.)

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100 Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100.01 Titre I : Dispositions générales Art. 1 - Le Diplôme Européen de Compétences Professionnelles

Plus en détail

CIRCULAIRE N 1792 DU 09/03/2007

CIRCULAIRE N 1792 DU 09/03/2007 CIRCULAIRE N 1792 DU 09/03/2007 Objet : Bourse pour un programme d immersion didactique, à l intention des professeurs et maîtres spéciaux de langues. Réseaux : Tous Niveaux et services : Primaire - Secondaire

Plus en détail

Politique d aménagement linguistique de l Ontario pour l éducation postsecondaire et la formation en langue française

Politique d aménagement linguistique de l Ontario pour l éducation postsecondaire et la formation en langue française Politique d aménagement linguistique de l Ontario pour l éducation postsecondaire et la formation en langue française 2011 Message du ministre L Ontario a besoin d un système d éducation postsecondaire

Plus en détail

LE DECRET «INSCRIPTIONS» A BRUXELLES : QUESTIONS ET PISTES D AMENAGEMENT

LE DECRET «INSCRIPTIONS» A BRUXELLES : QUESTIONS ET PISTES D AMENAGEMENT LE DECRET «INSCRIPTIONS» A BRUXELLES : QUESTIONS ET PISTES D AMENAGEMENT Johanna de Villers et Véronique de Thier JUIN 2013-2/15 Fédération des Associations de Parents de l Enseignement Officiel ASBL Avenue

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014

Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er

Plus en détail

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008

ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils

Plus en détail

LES INTERVENANTS EXTERIEURS GUIDE PRATIQUE ET PRECONISATIONS DEPARTEMENTALES Groupe départemental ARTS/EPS

LES INTERVENANTS EXTERIEURS GUIDE PRATIQUE ET PRECONISATIONS DEPARTEMENTALES Groupe départemental ARTS/EPS LES INTERVENANTS EXTERIEURS GUIDE PRATIQUE ET PRECONISATIONS DEPARTEMENTALES Groupe départemental ARTS/EPS Table des matières LES TEXTES DE REFERENCE... 3 POURQUOI UN GUIDE PRATIQUE?... 4 L INTERVENTION

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Consultation 2014-2015

Consultation 2014-2015 Consultation 2014-2015 Synthèse des résultats de la consultation nationale sur le projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture MINISTÈRE DE L ÉDUCATION NATIONALE, DE L ENSEIGNEMENT

Plus en détail

Évaluation en vue de l accréditation

Évaluation en vue de l accréditation Évaluation en vue de l accréditation Programme Executive MBA in Tourism Management (EMTM) de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description

Plus en détail

Agile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse

Agile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation

Plus en détail

Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée

Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Appel à l action relativement au chômage, au sous-emploi et à la pénurie de main-d œuvre qualifiée Introduction Les diplômés des universités et des collèges du Canada sont confrontés à des taux inacceptables

Plus en détail

Bourses de mobilité des étudiants et membres du personnel de l UMONS Année académique 2014-2015

Bourses de mobilité des étudiants et membres du personnel de l UMONS Année académique 2014-2015 Bourses de mobilité des étudiants et membres du personnel de l UMONS Année académique 2014-2015 A) Règles d attribution Mobilité des ETUDIANTS 1 Les bourses de mobilités octroyées à l UMONS proviennent

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6

R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6 R a p p o r t 2 0 0 5-2 0 0 6 O b s e r v a t o i r e des filières de qualification de l enseignement technique et professionnel en alternance Secteur de l Industrie Technologique Technopass Centre de

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse

L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La

Plus en détail

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011 note d information 12.1 MARS 38 1 nouveaux arrivants non francophones de plus de 6 ans ont été scolarisés au cours de l année scolaire 21-211 : 18 5 dans les écoles élémentaires, 16 2 dans les collèges

Plus en détail

UN MBA POUR QUI, POURQUOI?

UN MBA POUR QUI, POURQUOI? PARTIE 1 UN MBA POUR QUI, POURQUOI? L e MBA est une formation connue et reconnue dans le monde entier. Cependant, l appellation MBA n est pas un label déposé. Conséquence : l univers des MBA est un monde

Plus en détail

Section 1. Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant?

Section 1. Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant? Section 1 Qu est-ce que la réussite à l'université d un étudiant? Dieudonné Leclercq et Philippe Parmentier Réussir la première année est un défi majeur pour tout étudiant qui entame des études supérieures

Plus en détail

CONFIDENTIEL ET PROPRIÉTÉ DE McKINSEY & COMPANY Toute utilisation de ce support, ainsi que de son contenu, sans autorisation expresse de McKinsey &

CONFIDENTIEL ET PROPRIÉTÉ DE McKINSEY & COMPANY Toute utilisation de ce support, ainsi que de son contenu, sans autorisation expresse de McKinsey & CONFIDENTIEL ET PROPRIÉTÉ DE McKINSEY & COMPANY Toute utilisation de ce support, ainsi que de son contenu, sans autorisation expresse de McKinsey & Company est strictement interdite Le leadership pédagogique:

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Depuis 1961, chaque matin, le Collège Saint-Joseph accueille des centaines d'étudiants et d'étudiantes. Nos défis pour le temps présent?

Depuis 1961, chaque matin, le Collège Saint-Joseph accueille des centaines d'étudiants et d'étudiantes. Nos défis pour le temps présent? Le Collège Saint-Joseph de Chênée propose un enseignement général de transition avec une grande variété d activités complémentaires et d options. Il a pour mission spécifique l enseignement, et sa vocation

Plus en détail

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s)

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s) L'application de cette politique est sous la responsabilité et la coordination de la Direction générale en collaboration avec la Direction des études et la Direction de la formation continue (langue d

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes)

CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes) 1 CONTRAT DE MOBILITE 2015-2016 POUR LES MOBILITES D ETUDES DU PROGRAMME ERASMUS+ dans les pays participant au programme (mobilités européennes) Nom légal complet de l établissement d envoi et code Erasmus

Plus en détail

ACCUEILLIR UNE PERSONNE EN SITUATION DE HANDICAP

ACCUEILLIR UNE PERSONNE EN SITUATION DE HANDICAP ACCUEILLIR UNE PERSONNE EN SITUATION DE HANDICAP COMMENT ACCUEILLIR UNE PERSONNE HANDICAPÉE AU SEIN DE SON SERVICE OU DE SON ÉTABLISSEMENT? Organiser une première prise de contact Une première rencontre

Plus en détail

DE LOUPE SUR LE POUVOIR LOCAL EN BELGIQUE

DE LOUPE SUR LE POUVOIR LOCAL EN BELGIQUE J'agis dans ma COUP commune DE LOUPE SUR LE POUVOIR LOCAL EN BELGIQUE éditions J'agis dans ma commune COUP DE LOUPE SUR LE POUVOIR LOCAL EN BELGIQUE Cet outil pédagogique bénéficie du soutien de la COCOF,

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

I. Compte-rendu groupe 1 II. Compte-rendu groupe 2 III. Compte-rendu groupe 4

I. Compte-rendu groupe 1 II. Compte-rendu groupe 2 III. Compte-rendu groupe 4 JOURNEE D'ANIMATION SUR LA LIAISON BAC PRO/BTS DANS LE SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL MME GANDON IEN-ET SBSSA MME CAPRA IA-IPR SMS BSE MERCREDI 19 FEVRIER 2014 LYCEE VOLTAIRE ORLEANS LIAISON BAC PRO ASSP/BTS

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani.

Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Sommaire Programme, Capacités (http://www.education.gouv.fr/cid50636/ mene0925419a.html) Dossier documentaire d histoire géographie en CAP : Note de cadrage de l épreuve.

Plus en détail

Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.

Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo. Centre Régional Africain d Administration du Travail (CRADAT) BP 1055 Yaoundé Tél. 22.23.32.04 Fax. 22.22.21.80 E-mail. : cradat@ilo.org I- PRESENTATION DU CRADAT A- Création - Siège Le Centre Régional

Plus en détail

La mobilité. Une évidence. Journée internationale, IFSI Virginie Olivier

La mobilité. Une évidence. Journée internationale, IFSI Virginie Olivier La mobilité Une évidence. 1 Le cursus en soins infirmiers en Belgique Les 2 filières L enseignement supérieur en Belgique Les challenges pour le futur Présentation de la Haute Ecole Namur-Liège-Luxembourg

Plus en détail

inter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen

inter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen inter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen Qu est-ce qu inter +? Présenté et sélectionné comme projet de partenariat stratégique scolaire dans le cadre de l appel

Plus en détail

Évaluation et recommandations

Évaluation et recommandations ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne

Plus en détail

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages www.qualityinternships.eu Préambule Etant donné que:! la passage des jeunes des études au marché de l'emploi devient de plus en plus compliqué

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14,7% de la population belge sous le seuil de pauvreté 1 La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans Forte hausse des demandes de microcrédits

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS

COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU 25/11/2014 RÉNOVATION DU BTS COMPTABILITÉ GESTION DES ORGANISATIONS Ce document n a aucune valeur réglementaire et ne se substitue pas aux textes officiels INTRODUCTION La

Plus en détail

BOURSES D IMMERSION LINGUISTIQUE DE LONGUE DUREE Plan Marshall Bourse de 10.500 à 15.000 Euros

BOURSES D IMMERSION LINGUISTIQUE DE LONGUE DUREE Plan Marshall Bourse de 10.500 à 15.000 Euros BOURSES D IMMERSION LINGUISTIQUE DE LONGUE DUREE Plan Marshall Bourse de 10.500 à 15.000 Euros DEUX SEMESTRES en Grande-Bretagne, en Irlande aux USA, au Canada, en Allemagne, en Espagne, aux Pays-Bas ou

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Et les conférences : Conférence des Présidents d Université (CPU), Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d Ingénieurs (CDEFI),

Et les conférences : Conférence des Présidents d Université (CPU), Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d Ingénieurs (CDEFI), Accord de reconnaissance mutuelle d études et diplômes en vue de la poursuite d études supérieures dans les établissements d enseignement supérieur français et taiwanais Les associations : Association

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010

Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

22 2011 (CC-20111-110)

22 2011 (CC-20111-110) Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves POLITIQUE DE L'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS POLITIQUE

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining)

Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Description de projet Mise à jour le 18 mai 2006 Coordinatrice: Equipe de projet: Laura Muresan, EAQUALS / PROSPER-ASE, Roumanie Frank Heyworth,

Plus en détail

PROFIL D ENSEIGNEMENT BACHELIER en GESTION DES TRANSPORTS ET LOGISTIQUE D ENTREPRISE

PROFIL D ENSEIGNEMENT BACHELIER en GESTION DES TRANSPORTS ET LOGISTIQUE D ENTREPRISE PROFIL D ENSEIGNEMENT BACHELIER en GESTION DES TRANSPORTS ET LOGISTIQUE D ENTREPRISE Une formation aux couleurs de la HELHa L'enseignement de la Haute École Louvain en Hainaut donne une place centrale

Plus en détail

PARLEMENT WALLON SESSION 2014-2015 21 AVRIL 2015 PROJET DE DÉCRET

PARLEMENT WALLON SESSION 2014-2015 21 AVRIL 2015 PROJET DE DÉCRET 158 (2014-2015) N 2 158 (2014-2015) N 2 PARLEMENT WALLON SESSION 2014-2015 21 AVRIL 2015 PROJET DE DÉCRET portant assentiment à l accord de coopération conclu le 26 février 2015 entre la Communauté française,

Plus en détail

CONSEIL DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE. Bulletin des interpellations et des questions orales

CONSEIL DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE. Bulletin des interpellations et des questions orales CONSEIL DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE Bulletin des interpellations et des questions orales Commission des finances, du budget, de la fonction publique, des relations extérieures et des affaires générales

Plus en détail

Les services en ligne

Les services en ligne X Les services en ligne (ressources partagées, cahier de texte numérique, messagerie, forum, blog ) Extrait de l étude «Le développement des usages des TICE dans l enseignement secondaire», 2005-2008 SDTICE

Plus en détail