SQL sous Oracle SIMPLE QUERY LANGUAGE OLIVIER DEHECQ
|
|
- Claudette Jean
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2016 SQL sous Oracle SIMPLE QUERY LANGUAGE OLIVIER DEHECQ
2 Table des matières 1 Règles spécifiques à Oracle Data Definition Language Data Manipulation Language PL/SQL (Procedural Language)... 9 Olivier DEHECQ Page 2
3 1 Règles spécifiques à Oracle Pas de SELECT sans FROM : Sous Oracle, on ne fait jamais de SELECT sans FROM (DUAL est le nom de la table par défaut) Exemple de requête nécessitant la table DUAL : SELECT sysdate FROM dual; En effet, la date système n est pas inscrite dans une table, c est une variable système d Oracle. Cependant, il s agit bien d une requête SELECT puisqu on veut voir la valeur de cette variable. Il faut donc utiliser la table DUAL. La table DUAL est la table utilisée pour les SELECT qui ne prendraient normalement pas de FROM. En DML, il faut commiter : Une personne qui n a pas l habitude de manipuler des données d Oracle oubliera au moins une fois de valider la modification des transactions. Les modifications du contenu des tables doitêtre commitées (COMMIT;) autrement les ces modifications sont volatives et seulement visibles par l utilisateur qui a modifié ces données. SQL_USER1> UPDATE matable SET colonne2='valeur1' WHERE colonne1='condition'; SQL_USER1> COMMIT; les modifications sont validées et écrites SQL_USER2> SELECT colonne1, colonne2 FROM matable; colonne1 colonne2 condition Valeur1 SQL_USER1> UPDATE matable SET colonne2='newvaleur' WHERE colonne1='condition'; SQL_USER2> SELECT colonne1, colonne2 FROM matable; USER1 n a pas commité colonne1 colonne2 condition Valeur1 on trouve donc Valeur1 au lieu de NewValeur Olivier DEHECQ Page 3
4 2 Data Definition Language Les types de valeurs d une table : VARCHAR(x) / VARCHAR2(x) correspond à du format chaîne de caractères. VARCHAR2(x) est préconisé. (x) correspond à la longueur de la variable. VARCHAR2(10) NUMBER(x,y) correspond à une format numérique. x correspond au nombre de décimales avant la virgule, y correspond au nombre de décimales après la virgule. Exemple NUMBER(5,2) pour un nombre pouvant aller jusqu à 99999,99 Supprimer une table : Syntaxe : DROP PURGE table [CASCADE CONSTRAINT] CASCADE CONSTRAINT : supprime les clés étrangères présentes dans les autres tables se référant à la table supprimée PURGE : supprime physiquement la table (vide les blocs), pas de retour en arrière (ROLLBACK) possible. DROP TABLE vehicules CASCADE CONSTRAINT; Modifier une table : Syntaxe : ALTER TABLE MODIFY ALTER TABLE clients MODIFY ( nom varchar2(50) not null, prenom varchar2(50) ); Changer le nom d'une table : Syntaxe : RENAME nom TO nouveau_nom ; RENAME clients to customers; Retour en arrière : Syntaxe : FLASHBACK TABLE table TO BEFORE DROP; Récupère la structure de la table avant sa suppression Retour à une date antérieure : La transaction doit-être validée (COMMIT) avant. Penser à faire : CREATE TABLE ( ) ENABLE ROW MOVEMENT; FLASHBACK TO TIMESTAMP (22/08/ :51:00, DD/MM/YYYY HH24:MI:SS); Indexer un champ : Syntaxe : CREATE INDEX champ ON table (colonne [DESC][,...]); CREATE INDEX ind_exemple ON clients(nom, prenom); Olivier DEHECQ Page 4
5 3 Data Manipulation Language Les Fonctions (un site web ici) : La concaténation consiste à fusionner plusieurs valeurs pour n en fait qu une seule. Syntaxe : SELECT CONCAT(a,b); SQL> SELECT CONCAT ('Un','Exemple','Simple'); UnExempleSimple SQL> SELECT CONCAT ('Un',NULL); NULL SELECT ou UPDATE ou INSERT ou DELETE ou renvoit une valeur de type VARCHAR2 renvoit un champ NULL SELECT ou UPDATE ou INSERT ou DELETE ou Syntaxe : SELECT a b; EXECUTE IMMEDIATE 'SELECT ' SELECT col1 FROM table1 ' FROM table2'; Nota : EXECUTE IMMEDIATE 'instruction'; exécute une instruction PL/SQL Il est possible de récupérer des informations sur une valeur Syntaxe : INSTR(c1,c2,n,m) Position de la n ième occurrence (DEFAULT 1) de c2 dans c1, à partir du m ième caractère SQL> INSTR('bonjour','o',1,3) 5 renvoit la position de la 1 ère occurrence de 'o' à partir du 3 ème caractère Il est aussi possible d extraire une partie de chaîne. Syntaxe : SUBSTR(c1,n,m) Extrait m caractères de c1 à partir du n ième caractère. SQL> SELECT SUBSTR('Bonjour',3,4) FROM dual; njou extrait 4 caractères de "Bonjour" à partir du 3 ème caractère CURRENT_DATE renvoie la date Il est possible de convertir une valeur obtenue dans un type différent. TO_CHAR / TO_DATE / TO_NUMBER Syntaxe pour TO_CHAR : TO_CHAR( valeur, [masque de format], [nls_language]) SQL> TO_CHAR( , ' 9,999.99'); ' 1,210.73' Il est possible de remplacer une valeur NULL par une autre valeur. extrait 4 caractères de "Bonjour" à partir du 3 ème caractère Syntaxe : COALESCE(expr1,expr2, expr_n) SQL> SELECT COALESCE(colonne1,colonne2) colonne3 FROM table1; Si colonne1 n est pas NULL alors colonne3=colonne1, sinon si colonne2 n est pas NULL alors colonne3=colonne2, sinon si colonne2 est NULL alors colonne3 garde sa valeur. Il est possible de remplacer une valeur par une autre valeur. Syntaxe : DECODE(expr1,search,result[,search,result] [,default]) SQL> SELECT colonne1 DECODE(id,1, 'titi',2,'toto','tata') FROM table1; Si id=1 alors colonne1='titi', si id=2 alors colonne1='toto', dans les autres cas, colonne1='tata'. Il est possible de faire des opérations sur les dates. Syntaxe : TRUNC(date,[format]) SQL> TRUNC(TO_DATE('24-NOV-13'), 'YEAR'); 01-JAN-13 renvoie la date correspondant au premier jour de l année de la date définie Syntaxe : ADD_MONTHS(date,n) SQL> ADD_MONTHS('24-NOV-13',1) 24-DEC-13 ajoute 1 mois à la date définie Syntaxe : MONTHS_BETWEEN(date1,date2) SQL> MONTHS_BETWEEN (TO_DATE ('2013/01/01', 'yyyy/mm/dd'), TO_DATE ('2013/03/14', 'yyyy/mm/dd')) il y a -2,42 mois entre le 01/01/2013 et le 14/03/2013 Les instructions Olivier DEHECQ Page 5
6 Il est possible de supprimer l ensemble des lignes d une table. Attention : irréversible, immédiat Syntaxe : TRUNCATE TABLE table; SQL> TRUNCATE TABLE "clients"; Tout SELECT doit être suivi de FROM Syntaxe : SELECT FROM table; SQL> SELECT sysdate FROM dual; Les transactions Sous OracleDB10g, toutes les instructions du DML se passent dans une transaction. renvoit la date système Calcul d'agrégat Fonctionnement de la commande Rollback Il est possible d afficher le résultat du calcul de plusieurs enregistrements. Count : compter le nombre d enregistrements Sum : afficher la somme (sur une colonne numérique ou date) Avg : afficher la moyenne (sur une colonne numérique ou date) Min : affiche la valeur de l enregistrement ayant le plus petit résultat Max : affiche la valeur de l enregistrement ayant le plus grand résultat Group by indique ce qui permet de faire les groupes (exemple : les hommes et les femmes, la première lettre du prénom, l année de naissance, etc.) Having est l équivalent de la clause where lorsqu on fait du calcul d agrégat Syntaxe : SELECT AVG(Champ1) AS "NomDuLibelléDeColonne" FROM Table GROUP BY Champ2 HAVING Champ1>Valeur; Select MAX(Version) AS "DerniereVersionParAnnée" FROM Applications GROUP BY YEAR(Date) HAVING Type='Comptabilité'; Jointures Jointures naturelles Syntaxe : SELECT * FROM Employes NATURAL JOIN Services; Permet de réaliser une jointure automatique en se basant sur l intitulé du champ. Il doit-être identique dans les deux tables. Olivier DEHECQ Page 6
7 Jointures Internes / Externes inner join permet de regrouper les enregistrements d une tables dans une autre table. INNER JOIN classique : SELECT CONGES.CODEEMP, CONGES.ANNEE,nbJoursAcquis, SUM(nbJoursPris) FROM CONGES INNER JOIN CONGESMENS ON CONGES.CODEEMP = CONGESMENS.CODEEMP AND CONGES.ANNEE = CONGESMENS.ANNEE GROUP BY CONGES.CODEEMP, CONGES.ANNEE, nbjoursacquis; Afficher le contenu de la table congés (contient le code employé, l année et le nombre de jours acquis par l employé pour l année) et mettre le tout dans la table congemens (contient le code employé, l année, le mois et le nombre de jours pris par l employé dans le mois). Cela permet d afficher le nombre de jours pris dans l année. INNER JOIN avec USING : SELECT CODEEMP, ANNEE,nbJoursAcquis, SUM(nbJoursPris) FROM CONGES INNER JOIN CONGESMENS USING (annee,codeemp) GROUP BY CODEEMP, ANNEE, nbjoursacquis; C est la même chose que dans le premier exemple à part que dans ce cas, les colonnes qui servent pour la jointure des deux tables sont définies explicitement. C est plus rapide que la première méthode, mais comme c est du SQL2.0 c est moins répandu. Union, Intersection, Difference Ces opérateurs permettent d obtenir dans une requête des enregistrements provenant de requêtes différentes mais ayant la même forme (même nombre/type/ordre des colonnes). C est-à-dire des requêtes qui touchent à la même chose. Par exemple des requêtes qui concernent les employés : Syntaxe : Tables utilisées dans les exemples suivants SELECT A, B FROM a MINUS UNION INTERSECT SELECT A, B FROM b; MINUS pour faire la différence entre deux tables Permet d afficher les enregistrements de a mais pas ceux de b : SELECT * FROM a MINUS SELECT * FROM b; Olivier DEHECQ Page 7
8 UNION pour afficher l ensemble des champs des deux tables Les enregistrements de a + les enregistrements de b : SELECT * FROM a UNION SELECT * FROM b; Nota : UNION ALL affiche les doublons INTERSECT pour afficher les champs communs aux deux tables Les enregistrements communs à a et à b SELECT * FROM a INTERSECT SELECT * FROM b; champ en plus avec UNION ALL Tri Vues Permet de trier les résulats obtenus. DESC permet d afficher par ordre descroissant. Syntaxe : SELECT * FROM table ORDER BY <ChampsDeTri> [DESC]; SELECT * FROM table ORDER BY 2, 1 DESC; Permet de créer une table temporaire. Syntaxe : CREATE VIEW nomvue AS SELECT FROM WHERE ORDER BY WITH CHECK OPTIONS; Séquence Permet de créer une une valeur auto-incrémentée. Syntaxe : 2, 1 : numéros des colonnes à trier CREATE SEQUENCE sq_employes_codeemp START WITH 3; INSERT INTO Employes VALUES (sq_employes_codeemp.nextval, Picasso, ); Synonyme Chaque utilisateur Oracle (chaque personne qui utilise une session différente) utilise un schéma qui lui est attribué. Ce schéma préfixe de façon transparente le nom de chaque table, afin qu il n y ait pas de conflit si deux utilisateurs veulent créer et modifier leur table Employes sur une base de données existante. utilisateur1.employes et utilisateur2.employes Un synonyme permet de rendre publique une table en lui donnant un alias : Syntaxe CREATE [PUBLIC] SYNONYM Empl FOR Z.Employes; PUBLIC publie la table pour tous les utilisateurs Z est le nom du schéma Oracle auquel appartient l objet (login) Cela permet, lorsqu on désigne Employes de faire implicitement référence à Z.Employes Olivier DEHECQ Page 8
9 4 PL/SQL (Procedural Language) Le PL/SQL est le langage des procédures sous Oracle. L équivalent de PL/SQL pour SQL Server est le Transac. PL/SQL gère : toutes les commandes SQL, les variables, les contrôles, les boucles, le traitement des erreurs. Le bloc : Un bloc est toujours organisé de la façon suivante : --déclaration des variables; --ensemble d instructions SQL et/ou PL/SQL; EXCEPTION --traitement des exceptions ; Gestion des variables : Affichage de base : «valeur de vnb : 1» : vnb INTEGER; vnb :=1 DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('valeur de vnb : ' vnb); Récupérer tous les champs d une ligne d une table : lempemployes%rowtype; SELECT * INTO lemp FROM Employes WHERE codeemp=1; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE ( lemp.nom lemp.prenom); Récupérer un enregistrement (scalaire) d un champ d une ligne : lempvarchar2(80) Employes.nom%TYPE; SELECT nom INTO lemp FROM Employes WHERE codeemp=1; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE (lemp); Les chemins alternatifs IF / THEN / ELSE / END IF; vnb NUMBER := 2; IF vnb> 5 THEN DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('plus grand que 5'); ELSE DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('plus petit ou egal à 5'); END IF; Olivier DEHECQ Page 9
10 CASE / WHEN / ELSE / END CASE; CASE WHEN condition1 THEN action1; WHEN condition2 THEN action2; ELSE action3; END CASE; Les boucles répétitives LOOP (complexe): <<boucle>> LOOP -- Instructions; -- Changement valeur de variable; EXIT boucle WHEN condition; END LOOP boucle; FOR (pas de 1 ou -1 seulement) : FOR vn IN [REVERSE] LOOP REVERSE : pas de -1 ; (de 1 à10) -- Instructions; END LOOP; WHILE (à retenir) : Variable := ValeurDeDébut WHILE condition LOOP; -- Instruction; -- Changement valeur de variable; END LOOP; Les curseurs Un curseur récupère les numéros d enregistrements à partir d une requête SELECT. Il est ensuite possible de passer tous les enregistrements les uns à la suite des autres. Le but est de pouvoir faire des manipulations sur les lignes de cette requête Ecriture de la procédure Fonctionnement des curseurs CURSOR cemp IS SELECT codeemp, nom, prenom FROM Employes; lempcemp%rowtype; OPEN cemp; FETCH cemp INTO lemp; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('employé : ' lemp.nom ' ' lemp.prenom); CLOSE cemp; Olivier DEHECQ Page 10
11 Explications CURSOR cemp IS requête_select; Déclaration et définition des valeurs du curseur lempcnon%rowtype; lemp est formaté pour correspondre aux types des champs de la requête decemp OPEN CLOSE cemp; Ouverture / fermeture de l utilisation du curseur cemp FETCH cemp INTO lemp FETCH passe à la valeur suivante de cemp. La première utilisation de FETCH (après un OPEN) envoie à la première valeur trouvée de cemp Curseur dans une boucle FOR C est la façon la plus simple de l utiliser. Passe en revue les enregistrements de la requête l un après l autre jusqu au dernier. Le but est de faire des mises à jour sélectives de tables/champs. CURSOR cemp IS SELECT codeemp, nom, prenom FROM Employes; lempcemp%rowtype; FOR lemp IN cemp LOOP DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('employé : ' lemp.nom ' ' lemp.prenom); END LOOP; Attention à l ordre : FETCH cemp INTO lemp est différent de FOR lemp IN cemp LOOP La gestion des erreurs Il existe deux types d erreurs : Les erreurs prédéfinies dans Oracle (trop de champs par rapport au résultat attendu, aucun enregistrement retourné, etc.), Les erreurs définies par le développeur. Les erreurs prédéfinies dans Oracles vnomemployes.nom%type; SELECT nom INTO vnom FROM Employes WHERE codedepartement='compt'; DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('L''unique employé est ' vnom); SELECT nom INTO vnom FROM Employes; EXCEPTION WHEN TOO_MANY_ROWS THEN DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('Il y a plus d''un employé dans ce service'); WHEN NO_DATA_FOUND THEN DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('Il n''y a aucun employé dans ce service'); WHEN OTHERS DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('Erreur autre'); Construction : WHEN nom_de_lerreur THEN -- Instructions jusqu au prochain WHEN ou Quitte ensuite le bloc. Il n est pas possible de revenir à la procédure après une erreur. Olivier DEHECQ Page 11
12 Les erreurs définies par le développeur (erreurs personnalisées) trop EXCEPTION; vnbjourspris NUMBER; vnbjourspris := 47; IF vnbjourspris > 31 THEN RAISE trop; END IF; INSERT INTO CongesMens VALUES (1,2011,10, vnbjourspris); EXCEPTION WHEN trop THEN INSERT INTO CongesMens VALUES (1,2011,10, 31); Construction : On définit un nom d erreur (son type est EXCEPTION). Pour envoyer à la résolution de l erreur on RAISE l erreur, ce qui amène à la section EXCEPTION. Alternative Il est aussi possible, sans ajouter l erreur à la section EXCEPTION, de définir l erreur ainsi : RAISE_APPLICATION_ERROR (NumeroDeLErreur, Description) ; RAISE_APPLICATION_ERROR (-20100, 'le nombre de jours est supérieur à 30'); Nota : Le numéro d erreur doit être compris entre et Les blocs nommés Procédures : ensemble d instructions, ne retourne pas de valeur Fonctions : ensemble d instructions, retourne une seule valeur à la fin Les procédures Syntaxe : CREATE [OR REPLACE] PROCEDURE nom [(paramètres)] AS IS Bloc PL/SQL (sans le mot, finit par ) Les paramètres : [(nomparam {IN OUT IN OUT} type* [DEFAULT NULL**](,nomparam2 )] * sans la taille exemple : VARCHAR, NUMBER ** pour un paramètre optionnel Appel : Olivier DEHECQ Page 12
13 /* Création d'une procédure */ CREATE PROCEDURE bonjour(nom IN VARCHAR2) AS DBMS_OUTPUT.PUT_LINE('Bonjour ' nom '!'); /* Appel depuis un bloc */ vnom VARCHAR2(30) := 'Olivier Dehecq'; bonjour(vnom); /* Appel direct */ EXECUTE bonjour('mc Guyver'); Les fonctions (revoit UNE valeur à la fin) Syntaxe : CREATE [OR REPLACE] FUNCTION nom [(paramètres)] RETURN type* AS IS Bloc PL/SQL (sans le mot, finit par ) RETURN (variable) ; * le type de la valeur qui est renvoyée par la fonction Les paramètres : [(nomparam [IN] type* [DEFAULT NULL**](,nomparam2 )] *sans la taille exemple : VARCHAR, NUMBER ** pour un paramètre optionnel Appel : Exemples : /* Creation d'une fonction */ CREATE OR REPLACE FUNCTION addition(a NUMBER, b IN NUMBER) RETURN NUMBER AS RETURN (a+b); /* Appel d'une fonction */ SELECT addition(112,78) FROM DUAL; /* Création d'une fonction plus longue */ CREATE OR REPLACE FUNCTION departement(numdep NUMBER) RETURN VARCHAR2 AS vnomdep VARCHAR2(30); CASE numdep WHEN 1 THEN vnomdep := 'AIN'; WHEN 2 THEN vnomdep := 'AISNE'; WHEN 3 THEN vnomdep := 'ALLIER'; ELSE vnomdep := 'Autredépartement'; END CASE; RETURN (vnomdep); /* Appel d'une fonction */ SELECT departement(44) FROM DUAL; Les TRIGGERS : Un TRIGGER est un bout de code qui s enclenche automatiquement lors d un INSERT / UPDATE / DELETE. Olivier DEHECQ Page 13
14 Il se déclenche soit avant, soit après la mise à jour de la table. Peut s exécuter plusieurs une seule fois pour plusieurs mises à jours, ou bien à chaque enregistrement modifié. Mise en place Trigger validant ou non la modification de la table : CREATE [OR REPLACE] TRIGGER bf_insert_employe {BEFORE AFTER} {INSERT UPDATE MODIFY} ON Table [FOR EACH ROW] Bloc complet (avec ); Trigger modifiant les données avant la mise à jour de la table : CREATE [OR REPLACE] TRIGGER bf_insert_employe INSTEAD OF {INSERT UPDATE MODIFY} ON Table [FOR EACH ROW] Bloc complet (avec ); Exemples : /* Creation d'un trigger */ CREATE OR REPLACE TRIGGER bf_insert_employe BEFORE INSERT ON Employes FOR EACH ROW existe INTEGER; --> vérifie si le service existe sinon il est créé SELECT COUNT(*) INTO existe FROM Departements WHERE codedepartement= :NEW.codeDepartement; IF existe = 0 THEN INSERT INTO DepartementsVALUES(:NEW.codeDepartement, 'Service ' :NEW.codeDepartement); END IF; --> verification de la clé primaire SELECT COUNT(*) INTO existe FROM Employes WHERE CodeEmp= :NEW.codeEmp; IF existe!= 0 OR :NEW.codeEmp IS NULL THEN SELECT MAX(codeEmp)+1 INTO :NEW.codeEmp FROM Employes; END IF; (Des)activer un trigger: ALTER TRIGGER bf_insert_employe DISABLE; ALTER TRIGGER bf_insert_employe ENABLE; Olivier DEHECQ Page 14
Langage propre à Oracle basé sur ADA. Offre une extension procédurale à SQL
Cours PL/SQL Langage propre à Oracle basé sur ADA Offre une extension procédurale à SQL PL/SQL permet d utiliser un sous-ensemble du langage SQL des variables, des boucles, des alternatives, des gestions
Plus en détailModule Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS
Module Administration BD Chapitre 1 : Surcouche procédurale dans les SGBDS 1. Introduction Nous allons aborder la notion de surcouche procédurale au sein des SGBDS relationnels tels que Oracle (PLSQL)
Plus en détailECR_DESCRIPTION CHAR(80), ECR_MONTANT NUMBER(10,2) NOT NULL, ECR_SENS CHAR(1) NOT NULL) ;
RÈGLES A SUIVRE POUR OPTIMISER LES REQUÊTES SQL Le but de ce rapport est d énumérer quelques règles pratiques à appliquer dans l élaboration des requêtes. Il permettra de comprendre pourquoi certaines
Plus en détailBases de données avancées
Bases de données avancées Jean-Yves Antoine LI - Université François Rabelais de Tours Jean-Yves.Antoine@univ-tours.fr UFR Sciences et Techniques IUP SIR Blois Master 1 Bases de Données avancées IUP Blois,
Plus en détailBases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion
III.1- Définition de schémas Bases de Données relationnelles et leurs systèmes de Gestion RAPPELS Contraintes d intégrité sous Oracle Notion de vue Typage des attributs Contrainte d intégrité Intra-relation
Plus en détailLes Triggers SQL. Didier DONSEZ. Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.
Les Triggers SQL Didier DONSEZ Université de Valenciennes Institut des Sciences et Techniques de Valenciennes donsez@univ-valenciennes.fr 1 Sommaire Motivations Trigger Ordre Trigger Ligne Condition Trigger
Plus en détailCOMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2
SQL Sommaire : COMMANDES SQL... 2 COMMANDES DE DEFINITION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE MANIPULATION DE DONNEES... 2 COMMANDES DE CONTROLE TRANSACTIONNEL... 2 COMMANDES DE REQUETE DE DONNEES... 2 COMMANDES
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours Bilan : Des vues à PL/SQL corrigé Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Cas exemple 2 Les tables... 3 Vues et index 4 Privilèges 5 Fonctions
Plus en détailLangage SQL (1) 4 septembre 2007. IUT Orléans. Introduction Le langage SQL : données Le langage SQL : requêtes
Langage SQL (1) Sébastien Limet Denys Duchier IUT Orléans 4 septembre 2007 Notions de base qu est-ce qu une base de données? SGBD différents type de bases de données quelques systèmes existants Définition
Plus en détailLangage SQL : créer et interroger une base
Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,
Plus en détailTP Contraintes - Triggers
TP Contraintes - Triggers 1. Préambule Oracle est accessible sur le serveur Venus et vous êtes autorisés à accéder à une instance licence. Vous utiliserez l interface d accés SQL*Plus qui permet l exécution
Plus en détail1. Qu'est-ce que SQL?... 2. 2. La maintenance des bases de données... 2. 3. Les manipulations des bases de données... 5
1. Qu'est-ce que SQL?... 2 2. La maintenance des bases de données... 2 2.1 La commande CREATE TABLE... 3 2.2 La commande ALTER TABLE... 4 2.3 La commande CREATE INDEX... 4 3. Les manipulations des bases
Plus en détailDevoir Data WareHouse
Université Paris XIII Institut Galilée Master 2-EID BENSI Ahmed CHARIFOU Evelyne Devoir Data WareHouse Optimisation, Transformation et Mise à jour utilisées par un ETL Mr R. NEFOUSSI Année 2007-2008 FICHE
Plus en détailOlivier Mondet http://unidentified-one.net
T-GSI Ch.4 Le Langage SQL LDD, LCD Cet exercice guidé reprend le plan suivis lors de l intervention de formation faite pour l académie de Versailles. L objectif principal visait en la présentation du langage
Plus en détailCREATION WEB DYNAMIQUE
CREATION WEB DYNAMIQUE IV ) MySQL IV-1 ) Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requêtes vers les bases de données relationnelles. Le serveur de
Plus en détailAdministration des bases de données. Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/
Administration des bases de données Jean-Yves Antoine http://www.info.univ-tours.fr/~antoine/ Administration des bases de données II Objets avancés dans les bases de données OBJECTIFS 2.1. NOTIONS 2.1.1.
Plus en détailCorrigés détaillés des exercices
Corrigés détaillés des exercices Diagramme des tables objet La figure suivante vous aidera dans la compréhension des manipulations des objets de la base. Client_type Client num nom adresse {telephone_vry}
Plus en détailNotes de cours : bases de données distribuées et repliquées
Notes de cours : bases de données distribuées et repliquées Loïc Paulevé, Nassim Hadj-Rabia (2009), Pierre Levasseur (2008) Licence professionnelle SIL de Nantes, 2009, version 1 Ces notes ont été élaborées
Plus en détailLaboratoires de bases de données. Laboratoire n 6. Programmation SQL. par Danièle BAYERS et Louis SWINNEN
Département Informatique Laboratoires de bases de données Laboratoire n 6 Programmation SQL par Danièle BAYERS et Louis SWINNEN Ce document est disponible sous licence Creative Commons indiquant qu il
Plus en détailLe langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD
Le langage SQL pour Oracle - partie 1 : SQL comme LDD 1 SQL : Introduction SQL : Structured Query Langage langage de gestion de bases de donn ees relationnelles pour Définir les données (LDD) interroger
Plus en détailCours 3. Développement d une application BD. DBA - Maîtrise ASR - Université Evry
Cours 3 Développement d une application BD 1 Plan du cours Gestion de la sécurité des données Optimisation des schémas de bases via la dénormalisation Utilisation de vues Placement du code applicatif dans
Plus en détailSQL Historique 1982 1986 1992
SQL Historique 1950-1960: gestion par simple fichier texte 1960: COBOL (début de notion de base de données) 1968: premier produit de sgbdr structuré (IBM -> IDMS) 1970-74: élaboration de l'outil d'analyse
Plus en détailISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL
ISC21-1 --- Système d Information Architecture et Administration d un SGBD Compléments SQL Jean-Marie Pécatte jean-marie.pecatte@iut-tlse3.fr 16 novembre 2006 ISIS - Jean-Marie PECATTE 1 Valeur de clé
Plus en détailLe Langage De Description De Données(LDD)
Base de données Le Langage De Description De Données(LDD) Créer des tables Décrire les différents types de données utilisables pour les définitions de colonne Modifier la définition des tables Supprimer,
Plus en détailPlan Général Prévisionnel (1/2) (non contractuel) Internet et Outils L1/IO2 2006-2007 S2-IO2 Bases de données: Jointures, Transactions
Général Prévisionnel (1/2) (non contractuel) Internet et Outils L1/IO2 2006-2007 S2-IO2 Bases de données: Jointures, Cours Internet et Outils: [1/12] Intro, Internet, Web, XHTML (2H) [2/12] XHTML(2H) [3/12]
Plus en détailA QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?
BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès
Plus en détailSQL sous SqlServer OLIVIER D. DEHECQ Olivier http://www.entraide-info.fr 0
2013 SQL sous SqlServer OLIVIER D. DEHECQ Olivier http://www.entraide-info.fr 0 Table des matières Signalétique... 2 1 Les bases du SQL... 3 2 SQL server... 6 2 Références des exercices...21 DEHECQ Olivier
Plus en détailOptimisation SQL. Quelques règles de bases
Optimisation SQL Quelques règles de bases Optimisation des ordres SQL Page 2 1. QUELQUES RÈGLES DE BASE POUR DES ORDRES SQL OPTIMISÉS...3 1.1 INTRODUCTION...3 1.2 L OPTIMISEUR ORACLE...3 1.3 OPTIMISEUR
Plus en détailBases de Données Avancées PL/SQL
1/170 Bases de Données Avancées Thierry Hamon Bureau H202 - Institut Galilée Tél. : 33 1.48.38.35.53 Bureau 150 LIM&BIO EA 3969 Université Paris 13 - UFR Léonard de Vinci 74, rue Marcel Cachin, F-93017
Plus en détailLe langage SQL Rappels
Le langage SQL Rappels Description du thème : Présentation des principales notions nécessaires pour réaliser des requêtes SQL Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs,
Plus en détailLe Langage SQL version Oracle
Université de Manouba École Supérieure d Économie Numérique Département des Technologies des Systèmes d Information Le Langage SQL version Oracle Document version 1.1 Mohamed Anis BACH TOBJI anis.bach@isg.rnu.tn
Plus en détailSQL. Oracle. pour. 4 e édition. Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste
Christian Soutou Avec la participation d Olivier Teste SQL pour Oracle 4 e édition Groupe eyrolles, 2004, 2005, 2008, 2010, is BN : 978-2-212-12794-2 Partie III SQL avancé La table suivante organisée en
Plus en détailLicence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées
Licence de MIDO - 3ème année Spécialités Informatique et Mathématiques Appliquées ANNEE 2014 / 2015 Désignation de l enseignement : Bases de données Nom du document : TP SQL sous PostgreSQL Rédacteur :
Plus en détailCréation et Gestion des tables
Création et Gestion des tables Version 1.0 Z Grégory CASANOVA 2 Sommaire 1 Introduction... 3 2 Pré-requis... 4 3 Les tables... 5 3.1 Les types de données... 5 3.1.1 Les types de données Sql Server... 5
Plus en détailA.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW
A.E.C. GESTION DES APPLICATIONS TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION LEA.BW Groupe : 322 Exploitation des Banques de données 420-PK6-SL (1-2-1) Étape : 3 Professeur Nom: Marcel Aubin Courriel : maubin@cegep-st-laurent.qc.ca
Plus en détailOracle Le langage procédural PL/SQL
Oracle Le langage procédural PL/SQL Denis Roegel roegel@loria.fr IUT Nancy 2 1998/1999 Sommaire 1 Introduction 3 2 Création de packages 3 2.1 Procédures groupées.........................................
Plus en détailIntégrité des données
. Contraintes d intégrité : Définition et objectif Intégrité des données Définition des contraintes Vérification des contraintes Contrainte d'intégrité : propriété sémantique que doivent respecter les
Plus en détailLes bases de données
Les bases de données Introduction aux fonctions de tableur et logiciels ou langages spécialisés (MS-Access, Base, SQL ) Yves Roggeman Boulevard du Triomphe CP 212 B-1050 Bruxelles (Belgium) Idée intuitive
Plus en détailAuto-évaluation Oracle: cours de base
Auto-évaluation Oracle: cours de base Document: F0475Test.fm 14/01/2008 ABIS Training & Consulting P.O. Box 220 B-3000 Leuven Belgium TRAINING & CONSULTING INTRODUCTION AUTO-ÉVALUATION ORACLE: COURS DE
Plus en détailPL langage de programmation côté serveur. SQL à la base : types, expressions, requêtes
Introduction à PL langage de programmation côté serveur installation nécessaire : CREATE LANGUAGE ou createlang interprété : erreurs de syntaxe possibles à l exécution SQL à la base : types, expressions,
Plus en détailCours SQL. Base du langage SQL et des bases de données
Cours SQL Base du langage SQL et des bases de données Auteur Tony Archambeau Site web http://sql.sh Date 24 mai 2014 Licence Mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution
Plus en détailPartie I : Créer la base de données. Année universitaire 2008/2009 Master 1 SIIO Projet Introduction au Décisionnel, Oracle
Année universitaire 2008/2009 Master 1 SIIO Projet Introduction au Décisionnel, Oracle Ce projet comporte trois parties sur les thèmes suivants : création de base de donnée, requêtes SQL, mise en œuvre
Plus en détailPlan. Bases de Données. Sources des transparents. Bases de SQL. L3 Info. Chapitre 4 : SQL LDD Le langage de manipulation de données : LMD
Plan Bases de Données L3 Info Céline Rouveirol 2010-2011 Bases de Données 1 / 77 Sources des transparents Bases de Données 2 / 77 Bases de SQL - M.P. Dorville/F. Goasdoué, LRI, Université Paris Sud - V.
Plus en détailA QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES?
BASE DE DONNÉES OBJET Virginie Sans virginie.sans@irisa.fr A QUOI SERVENT LES BASES DE DONNÉES? Stockage des informations : sur un support informatique pendant une longue période de taille importante accès
Plus en détailCompétences Business Objects - 2014
Compétences Business Objects - 2014 «Mars-Juin 2014. Réf : Version 1 Page 1 sur 34 Sommaire CONTEXTE DE LA REMISE A NIVEAU EN AUTOFORMATION... 3 1. MODELISATION... 4 1.1 DESCRIPTION FONCTIONNEL DE L'APPLICATION
Plus en détailPHP 5. La base de données MySql. A. Belaïd 1
PHP 5 La base de données MySql A. Belaïd 1 Base de données C est quoi une base de données? Une base de données contient une ou plusieurs tables, chaque table ayant un ou plusieurs enregistrements Exemple
Plus en détailBases de données et sites WEB
Bases de données et sites WEB Cours2 : Sécurité et contrôles d accès Anne Doucet 1 Authentification Autorisation Privilèges Rôles Profils Limitations de ressources Plan Audit Contrôle d accès via les vues
Plus en détailIntroduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données
Introduction au Système de Gestion de Base de Données et aux Base de Données Formation «Gestion des données scientifiques : stockage et consultation en utilisant des bases de données» 24 au 27 /06/08 Dernière
Plus en détailMysql avec EasyPhp. 1 er mars 2006
Mysql avec EasyPhp 1 er mars 2006 Introduction MYSQL dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui est un langage de requètes vers les bases de données relationnelles. Il en reprend la syntaxe
Plus en détailFileMaker 13. Guide de référence SQL
FileMaker 13 Guide de référence SQL 2013 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker et Bento sont des marques commerciales de
Plus en détailIntroduction au PL/SQL Oracle. Alexandre Meslé
Introduction au PLSQL Oracle Alexandre Meslé 17 octobre 2011 Table des matières 1 Notes de cours 3 1.1 Introduction au PLSQL............................................ 3 1.1.1 PLSQL.................................................
Plus en détailIntégrité sémantique dans les bases de données relationnelles
Intégrité sémantique dans les bases de données relationnelles 1 - Intégrité sémantique Bernard ESPINASSE Professeur à Aix-Marseille Université (AMU Ecole Polytechnique Universitaire de Marseille Fev. 2013
Plus en détailHistorisation des données
Historisation des données Partie 1 : mode colonne par Frédéric Brouard, alias SQLpro MVP SQL Server Expert langage SQL, SGBDR, modélisation de données Auteur de : SQLpro http://sqlpro.developpez.com/ "SQL",
Plus en détailIntroduction aux Bases de Données 2004/2005
Introduction aux Bases de Données 2004/2005 Chapitre 6: Le langage SQL Ecole Nationale Supérieur de Physique de Strasbourg Christian Wolf christian.wolf@ensps.u-strasbg.fr 6.1 Stockage physique Film numfil
Plus en détailMySQL / SQL EXEMPLES
MySQL_exemples_janv04_mpT EXEMPLES 1 MySQL / SQL EXEMPLES Typologie du langage Il est possible d'inclure des requêtes SQL dans un programme écrit dans un autre langage (en langage C par exemple), ainsi
Plus en détailGestion des utilisateurs et de leurs droits
Gestion des utilisateurs et de leurs droits Chap. 12, page 323 à 360 Lors de la création d'un utilisateur vous devez indiquer son nom, ses attributs, son profil, la méthode d'authentification (par le SE
Plus en détailBases de données relationnelles
Bases de données relationnelles Système de Gestion de Bases de Données Une base de données est un ensemble de données mémorisé par un ordinateur, organisé selon un modèle et accessible à de nombreuses
Plus en détailLes BASES de DONNEES dans WampServer
Les BASES de DONNEES dans WampServer 1 Définitions Générales Une base de données (BDD) permet d'enregistrer, de stocker, de ranger des données de façon organisée et hiérarchisée. SQL est le langage qui
Plus en détailLe langage SQL (première partie) c Olivier Caron
Le langage SQL (première partie) 1 Plan Le S.G.B.D. postgres Le langage SQL Langage de manipulation de données Langage de requêtes 2 Quelques mots sur Postgres (1/2) Travaux de Stonebraker (Univ. Berkeley)
Plus en détailPour les débutants. langage de définition des données
Pour les débutants SQL : langage de définition des données Les bases de données sont très utilisées dans les applications Web. La création, l interrogation et la manipulation des données de la base sont
Plus en détailTD : Requêtes SQL (BDR.TD2-1) INSA 3IF 2008-2009
TD : Requêtes SQL (BDR.TD2-1) INSA 3IF 2008-2009 Loïc Maisonnasse 1 Objectif Ce TD a pour objectif de vous familiariser avec le langage de requêtes SQL. Et de vous apprendre à écrire des requêtes SQL pour
Plus en détailLe langage procédural PL-PGSQL
Le langage procédural PL-PGSQL PL/pgSQL est un langage procédural utilisé dans le système de gestion de bases de données PostgreSQL. Objectifs : créer des fonctions standards et triggers, ajouter des structures
Plus en détailBases de Données Réparties Concepts et Techniques. Matthieu Exbrayat ULP Strasbourg - Décembre 2007
Bases de Données Réparties Concepts et Techniques Matthieu Exbrayat ULP Strasbourg - Décembre 2007 1 Définition Une base de données répartie (distribuée) est une base de données logique dont les données
Plus en détailSystème de Gestion de Bases de Données Relationnelles. MySQL. Youssef CHAHIR
Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles MySQL Youssef CHAHIR 1 PLAN Introduction Démarrer MySQL Syntaxe de MySQL Types des attributs Identificateurs Effectuer des requêtes Fonctions de MySQL
Plus en détail14/04/2014. un ensemble d'informations sur un sujet : exhaustif, non redondant, structuré, persistant. Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble.
Gaëlle PERRIN SID2 Grenoble Le 10/04/2014 Base de Données (BD) : une grande quantité de données, centralisées ou non, servant pour les besoins d'une ou plusieurs applications, interrogeables et modifiables
Plus en détailORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION. Distribution de données avec Oracle. G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010
ORACLE 10G DISTRIBUTION ET REPLICATION Distribution de données avec Oracle G. Mopolo-Moké prof. Associé UNSA 2009/ 2010 1 Plan 12. Distribution de données 12.1 Génération des architectures C/S et Oracle
Plus en détailLes bases fondamentales du langage Transact SQL
Les bases fondamentales du langage Transact SQL Version 1.0 Grégory CASANOVA James RAVAILLE http://blogs.dotnet-france.com/jamesr 2 Les bases fondamentales du langage Transact SQL Sommaire 1 Introduction...
Plus en détailMysql. Les requêtes préparées Prepared statements
Mysql Les requêtes préparées Prepared statements Introduction Les prepared statements côté serveur sont une des nouvelles fonctionnalités les plus intéressantes de MySQL 4.1 (récemment sorti en production
Plus en détailPartie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3
Sommaire Partie 0 : Gestion des tablespace et des utilisateurs... 3 1- Créer deux TableSpaces votre_nom-tbs et Votre_nom-TempTBS :... 3 2. Créer un utilisateur qui porte votre nom :... 3 3. Attribuer à
Plus en détailQuelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD Oracle
Département informatique de l IUT (de l université) de Bordeaux Cours de Bases de Données : présentation partielle d un SGBD RO 12 août 2015 Olivier Guibert Quelques aspects du Relationnel-Objet du SGBD
Plus en détailTable des matières PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS. Introduction
PRESENTATION DU LANGAGE DS2 ET DE SES APPLICATIONS Depuis SAS 9.2 TS2M3, SAS propose un nouveau langage de programmation permettant de créer et gérer des tables SAS : le DS2 («Data Step 2»). Ces nouveautés
Plus en détailCours Bases de données 2ème année IUT
Cours Bases de données 2ème année IUT Cours 12 : Concurrence d accès Anne Vilnat http://www.limsi.fr/individu/anne/cours Plan 1 Accès concurrents Définitions Verrous Collisions Niveaux de cohérence Blocage
Plus en détailOpenPaaS Le réseau social d'entreprise
OpenPaaS Le réseau social d'entreprise Spécification des API datastore SP L2.3.1 Diffusion : Institut MinesTélécom, Télécom SudParis 1 / 12 1OpenPaaS DataBase API : ODBAPI...3 1.1Comparaison des concepts...3
Plus en détailBases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications
Bases de données Oracle Virtual Private Database (VPD) pour la gestion des utilisateurs d applications P.-A. Sunier, HEG-Arc Neuchâtel avec le concours de J. Greub pierre-andre.sunier@he-arc.ch http://lgl.isnetne.ch/
Plus en détailOra2Pg. Présentation, bonnes pratiques et futur du projet
Ora2Pg Présentation, bonnes pratiques et futur du projet Sommaire Historique et généralités Installation Bonnes pratiques Configuration générique Migration du schéma Migration des données Migration des
Plus en détailSystèmes de Gestion de Bases de Données
Systèmes de Gestion de Bases de Données Luiz Angelo STEFFENEL DUT Informatique 2ème année IUT Nancy Charlemagne Vues Vue : une table virtuelle de la base de données dont le contenu est défini par une requête
Plus en détailGestion de base de données
Université Libre de Bruxelles Faculté de Philosophie et Lettres Département des Sciences de l Information et de la Communication Gestion de base de données Projet : Take Off ASBL Cours de M. A. Clève STIC-B-505
Plus en détailPrésentation Windows Azure Hadoop Big Data - BI
Présentation Windows Azure Hadoop Big Data - BI Sommaire 1. Architecture Hadoop dans Windows Azure... 3 2. Requête Hive avec Hadoop dans Windows Azure... 4 3. Cas d études... 5 3.1 Vue : Administrateur...
Plus en détailBTS/CGO P10 SYSTEME INFORMATION Année 2012-2013
BTS/CGO P10 SYSTEME INFORMATION Année 2012-2013 TS2 CGO 7 mars 2013 2 heures Aucun document autorisé Calculatrice autorisée Nota : Il vous est demandé d apporter un soin particulier à la présentation de
Plus en détailTP Bases de données réparties
page 1 TP Bases de données réparties requêtes réparties Version corrigée Auteur : Hubert Naacke, révision 5 mars 2003 Mots-clés: bases de données réparties, fragmentation, schéma de placement, lien, jointure
Plus en détailTP3 : Creation de tables 1 seance
Universite de Versailles IUT de Velizy - Algorithmique 2005/2006 TP3 : Creation de tables 1 seance Objectif : Creation et modication de tables dans une base de donnees. Avant de commencer ce TP, terminer
Plus en détail//////////////////////////////////////////////////////////////////// Administration bases de données
////////////////////// Administration bases de données / INTRODUCTION Système d informations Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données
Plus en détailEncryptions, compression et partitionnement des données
Encryptions, compression et partitionnement des données Version 1.0 Grégory CASANOVA 2 Compression, encryption et partitionnement des données Sommaire 1 Introduction... 3 2 Encryption transparente des
Plus en détail1. Base de données SQLite
Dans ce TP, nous allons voir comment créer et utiliser une base de données SQL locale pour stocker les informations. La semaine prochaine, ça sera avec un WebService. On repart de l application AvosAvis
Plus en détailPHP et mysql. Code: php_mysql. Olivier Clavel - Daniel K. Schneider - Patrick Jermann - Vivian Synteta Version: 0.9 (modifié le 13/3/01 par VS)
PHP et mysql php_mysql PHP et mysql Code: php_mysql Originaux url: http://tecfa.unige.ch/guides/tie/html/php-mysql/php-mysql.html url: http://tecfa.unige.ch/guides/tie/pdf/files/php-mysql.pdf Auteurs et
Plus en détail1 Introduction et installation
TP d introduction aux bases de données 1 TP d introduction aux bases de données Le but de ce TP est d apprendre à manipuler des bases de données. Dans le cadre du programme d informatique pour tous, on
Plus en détailNFA 008. Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013
NFA 008 Introduction à NoSQL et MongoDB 25/05/2013 1 NoSQL, c'est à dire? Les bases de données NoSQL restent des bases de données mais on met l'accent sur L'aspect NON-relationnel L'architecture distribuée
Plus en détailChapitre 5 : Les procédures stockées PL/SQL
I. Introduction Une procédure ou une fonction stockée est un bloc PL/SQL nommé pouvant accepter des paramètres et être appelée. Généralement, on utilise une fonction pour calculer une valeur. Les procédures
Plus en détailFORMATION A L UTILISATION DE PMB QUELQUES NOTIONS DE SQL
FORMATION A L UTILISATION DE PMB QUELQUES NOTIONS DE SQL Cette création est mise à disposition selon le Contrat Paternité-Pas d'utilisation Commerciale-Partage des Conditions Initiales à l'identique 2.0
Plus en détailDurée : 4 heures Le sujet se présente sous la forme de deux dossiers indépendants
ÉPREUVE E5 : ANALYSE DE GESTION ET ORGANISATION DU SYSTÈME D INFORMATION Durée : 4 heures Le sujet se présente sous la forme de deux dossiers indépendants Page de garde... p 1 Présentation de l entreprise...
Plus en détailBases de Données Réparties
Bases de Données Réparties Architecture Mise en œuvre Duplication et Réplication Michel Tuffery BDR : Définition Ensemble de bases de données gérées par des sites différents et apparaissant à l utilisateur
Plus en détailSQL Server 2000. Cyril Gruau. 11 février 2003
SQL Server 2000 Cyril Gruau 11 février 2003 Résumé Ce support de cours regroupe quelques notions concernant la l implémentation et le développement de bases de données avec le langage SQL, une présentation
Plus en détailSupport de cours. Introduction à SQL et MySQL. 2003, Sébastien Namèche (sebastien@nameche.fr)
Support de cours Introduction à SQL et MySQL 2003, Sébastien Namèche (sebastien@nameche.fr) Licence de Libre Diffusion des Documents -- LLDD version 1 (Par Bernard Lang, http://pauillac.inria.fr/~lang/licence/lldd.html)
Plus en détail1. LA GESTION DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES
Dossier G11 - Interroger une base de données La base de données Facturation contient tout un ensemble d'informations concernant la facturation de la SAFPB (société anonyme de fabrication de produits de
Plus en détailSQL Server 2000, Analysis Services et DTS
SQL Server 2000, Analysis Services et DTS Cyril Gruau 4 mars 2004 Résumé Ce support de cours regroupe quelques notions concernant la l implémentation et le développement de bases de données avec le langage
Plus en détailAccess et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite.
Access et Org.Base : mêmes objectifs? Description du thème : Création de grilles d écran pour une école de conduite. Mots-clés : Niveau : Bases de données relationnelles, Open Office, champs, relations,
Plus en détailOracle Décisionnel : Modèle OLAP et Vue matérialisée D BILEK
Oracle Décisionnel : Modèle OLAP et Vue matérialisée SOMMAIRE Introduction Le modèle en étoiles Requêtes OLAP Vue matérialisée Fonctions Roll up et Cube Application Introduction Data Warehouse Moteur OLAP
Plus en détailMODE OPERATOIRE OPENOFFICE BASE
MODE OPERATOIRE OPENOFFICE BASE Openoffice Base est un SGBDR : Système de Gestion de Base de Données Relationnelle. L un des principaux atouts de ce logiciel est de pouvoir gérer de façon efficace et rapide
Plus en détail