L authentique altruiste

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1 Zo L authentique altruiste

2 Depuis notre plus jeune âge, nos parents nous enseignent l importance d être courtois et altruiste en nous invitant à rendre service aux autres. En vieillissant, ces gestes de courtoisie, que nous faisons maintenant fréquemment, nous valent de nombreux «merci» et «cela m a fait plaisir». C est ici qu un questionnement s est bâti dans mon esprit. L humain peut bien être hypocrite par moment, alors comment pouvons-nous vraiment savoir si un acte de gentillesse à notre égard est réellement sincère et dévoué à notre plaisir? Est-ce que rendre service est un acte que nous faisons vraiment pour aider les autres ou que, intérieurement et peut-être inconsciemment, nous faisons pour combler nos intérêts personnels comme le fait de vouloir bien paraître? Ma thèse s élèvera donc sur la question à savoir si l humain peut être authentiquement altruiste. Après réflexion personnelle, j en ai conclu, aussi cruel que cela puisse paraître, qu il est impossible de faire acte de sincère altruisme. Pour Joseph Heath, «[une] composante de motivation interne joue nettement dans l observance des règles. Nous ressentons souvent de la honte, de la culpabilité ou de remords, quand nous contrevenons à des règles.» (Joseph Heath, 2002, p.25) Ici, le philosophe nous résume son principe d obligation morale. Il vient nous prouver qu il n y a pas seulement des motivations externes, comme le fait de recevoir une amende, qui nous poussent à agir d une façon socialement correcte. Les facteurs internes sont aussi très puissants en ce qui a trait à l influence qu ils ont sur nos actes puisqu ils viennent jouer sur notre bien-être, notre estime. Sur ce point, je ne trouve pas encore de désaccord avec le philosophe. Cependant, pour lui, le fait qu il y ait présence

3 2 d une obligation interne morale prouve que l humain puisse effectivement agir avec sincère bonté. C est ici qu il est impossible pour moi d être en accord avec ce qu il avance. Ma première objection pour prouver qu un être authentiquement altruiste est impossible affecte directement la pensée de Heath sur son concept d obligation morale. Pour reprendre explicitement son exemple, le philosophe mentionnait ci-haut qu en ne contrevenant pas aux règles, nous ressentons un sentiment de honte, de culpabilité ou de remords. En réfléchissant davantage sur ce propos, j ai remarqué que Heath s était peut-être lancé dans une théorie contradictoire. Prenons en considération la définition même du terme altruiste déterminant une personne à se désintéresser à elle-même et à se consacrer à aimer les autres. Si nous faisons des actes supposément altruistes, c est effectivement pour éviter certains sentiments désagréables, ou encore pour ressentir de la fierté d être un bon citoyen. Cependant, en voulant nous protéger contre l angoisse ou encourager un bien-être, nous pensons justement à nous. Nous ne sommes pas complètement consacrés à aimer les autres. Notre égoïsme prend encore le dessus. Bien entendu, le résultat reste le même, nous obéissons aux règles. Par contre, ce sentiment d obligation morale, qui est sensé nous prouver que le vrai altruisme existe, s avère être lui-même un intérêt personnel. Prenons un exemple simple : votre ami a des problèmes de boisson. Vous décidez de vous rendre chez lui pour vous débarrasser de ses bouteilles d alcool et pour l inviter à une rencontre de groupe. Vous lui dites : «Cela va t aider, tu vas t en sortir. Je ne veux pas te voir te faire plus de mal.» Ici, vous

4 3 posez bien sûr un geste très amical rempli de bonnes intentions. Remarquez toutefois encore la présence d un intérêt personnel de votre part : «Je ne veux pas te voir» Bien que vous vouliez aider votre ami, il reste que vous agissez pour vous éviter un sentiment de remords et d inquiétude, ainsi qu une situation qui pourrait grandement dégénérer. Alors, le geste posé n est pas authentiquement altruiste puisque vous ne pensez pas seulement à votre ami, mais à vous-même aussi. C est en relevant cette contradiction que fait Heath que je peux encore soutenir ma thèse sur l inexistence d un être réellement altruiste. Mon second argument va soulever non seulement comment nos besoins naturels et sociaux empêchent un humain d être complètement altruiste, mais comment un bon acte, même s il peut aller contre nos instincts, reste tout de même égoïste. Vous observerez que l argument est étroitement lié à l objection soulevée contre Heath sur le principe d obligation morale. Dans la transformation de l homme au fil du temps, le philosophe Jean-Jacques Rousseau écrit à propos des humains : «Chacun commença à regarder les autres et à vouloir être regardé soi-même [ ] ce fut là le premier pas vers l inégalité, et vers le vice en même temps : de ces premières préférences naquirent d un côté la vanité et le mépris, de l autre la honte et l envie [ ]» (Jean-Jacques Rousseau, 1992, p.228) Ici, Rousseau vient nous montrer que l amour de soi, qui se déterminait par le sentiment naturel de veiller à notre propre conservation, s est transformé en amour propre, qui veut faire de nous des êtres intéressants et remarquables. À partir du moment où l opinion des autres a commencé à nous affecter mentalement, l humain est devenu dépendant au fait de bien paraître. Comme le

5 4 mentionne Rousseau, le fait de ne pas se sentir à la hauteur a développé des sentiments néfastes pour notre santé psychologique comme l angoisse, la honte et le mépris. En ayant ce besoin d exister, d être remarqués et acceptés, nous avons commencé à faire semblant d avoir bien des qualités pour éviter de souffrir du rejet des autres tel que l altruisme, qui est une qualité recherchée dans notre société. C est ici que j utilise les idées développées par Rousseau pour, encore une fois, prouver que la réflexion de Heath sur l existence de l authentique altruisme est fausse. Plus haut, nous avons exprimé l idée que les sentiments liés au rejet et au manque d attention nous causent une sorte de détresse psychologique. L humain a maintenant le besoin vital d avoir une vie sociale pour lui assurer une santé d esprit qui l empêcherait de tomber dans des idées noires. Construire notre amour propre est devenu primordial. Si nous faisons passer les autres avant nous, nous bloquons un peu notre besoin d exister et notre besoin de nous démarquer dans la société. C est comme si nous nous livrerions nousmêmes à être malheureux en nous cachant dans l ombre des autres. Ressentir cette détresse d être oublié ne peut certainement pas nous encourager à être heureux. Alors, le véritable altruisme n existe pas puisqu il s élève contre notre instinct qui veut faire de nous des individus heureux et en santé. Seul l altruisme hypocrite existe puisque nous ne cherchons qu à sembler l être parce que c est bien vu. À partir d ici, vous devez être davantage attentif à l alternative que prend l argumentaire. Rousseau, définissant le terme de liberté de l homme, soutient

6 5 que celui-ci a le pouvoir d agir contre ses instincts, contrairement à ce que je viens de mentionner ci-haut. Alors, pour lui, un homme pourrait faire un acte allant contre son besoin d exister par égard pour autrui. Supposons que cela puisse effectivement être le cas, je ne pourrais que répondre une chose : même s il décide d aller contre ses besoins sociaux, l homme ne le fait pas complètement par souci pour autrui, mais aussi par intérêt personnel. Repensez à l objection que j ai soulevée contre Heath précédemment. Bien que le geste soit rempli de bonté envers quelqu un d autre, il reste que, intérieurement, vous l avez encore posé par égoïsme. Prenons un autre court exemple : vous voyez un enfant traverse la rue pour aller chercher son ballon. Vous voyez aussi une camionnette se dirigeant rapidement vers lui. Vous décidez alors de courir pour aller chercher l enfant et l éloigner de la rue. Vous venez de lui sauver la vie, tout en risquant la vôtre. Vous avez été contre vos instincts de survie par égard pour l enfant. Cependant, auriez-vous vraiment été capable de rester là, à ne rien faire, voir l enfant se blesser gravement et ne ressentir aucun remord par la suite? La réponse est non. Vous avez donc agi pour vous protéger vous-même de vivre un traumatisme. Ici, autant que mon accord avec Rousseau a aidé à défendre que l humain ne puisse être authentiquement altruiste, que notre désaccord a amplifié mes objections soulevées contre l obligation morale de Heath. Finalement, à bien y repenser, ma thèse peut nous faire prendre conscience de l existence possible d un élément complètement paradoxal qui nous entoure depuis notre plus jeune âge : l éducation transmise par nos

7 6 parents. En ayant expliqué qu aucun geste n est réellement altruiste, puisqu il sert nécessairement à combler un intérêt personnel, nous pouvons en venir à considérer la vraie raison qui pousse nos parents à nous l inculquer. Est-ce qu ils nous enseignent à être généreux pour que nous puissions bien nous intégrer à la société ou pour qu eux-mêmes aient le sentiment et le mérite de sembler être de bons parents? Rien ne paraît plus contradictoire, n est-ce pas? Être nous-mêmes égoïste d enseigner aux autres à être altruistes.

8 BIBLIOGRAPHIE Heath, Joseph La société efficiente. Pourquoi fait-il si bon vivre au Canada? Montréal : Les presses de l Université de Montréal, 408 p. Rousseau, Jean-Jacques Discours sur l origine et les fondements de l inégalité parmi les hommes. Paris : Flammarion, 573 p.

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