Rôles de l'eau. 1 er élément dont la carence entraîne la mort. Constituant le plus abondant de l'organisme :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Rôles de l'eau. 1 er élément dont la carence entraîne la mort. Constituant le plus abondant de l'organisme :"

Transcription

1 Rôles de l'eau 4 1) Besoins et rôles de l'eau 1 er élément dont la carence entraîne la mort o Forte soif si pertes d'eau 4-5 % du PV o Mort si pertes > 10 % Constituant le plus abondant de l'organisme : o 60 à 75% de la masse corporelle o Teneur + élevée chez le jeune (- de lipides) o Répartition dans l'organisme : Secteur intracellulaire : 70% Secteur extracellulaire : 30 % Plasma Liquide interstitiel

2 4 1) Besoins et rôles de l'eau Rôles : Rôles de l'eau o Transport des nutriments vers cellules o Évacuation des déchets o Maintien t corporelle o Milieu de réactions biochimiques (hydrolyse ) Régulation interne

3 Origines de l'eau corporelle 4 1) Besoins et rôles de l'eau 3 origines : o Exogène : Aliment Teneur en eau très variable (15-85%) Eau de boisson o Endogène : Oxydation des nutriments eau métabolique ( 10% des besoins) 100 g glucides 55 g eau 100 g lipides 107 g eau 100 g protides 39 g eau Eau de boisson Pertes Fécales 13% Eau de constitution des aliments Eau métabolique EAU CORPORELLE 71-73% de la masse maigre Pertes par les productions Pertes Pertes par Urinaires évaporation 64% cutanée 13% pulmonaire 10%

4 4 1) Besoins et rôles de l'eau Dépenses en eau 3 types de dépenses : o Liées à l'utilisation de l'aliment Fèces : 55-90% d'eau Urine o Liées à la thermorégulation Évacuation de vapeur d'eau (20-30% des pertes d'eau) o Liées aux productions Lait : 87% d'eau Gain de poids : % d'eau Œuf : 70 % eau Eau de boisson Pertes fécales Eau de constitution des aliments Eau métabolique EAU CORPORELLE 71-73% de la masse maigre Pertes urinaires Pertes par les productions Pertes par évaporation cutanée pulmonaire

5 Régulation de la consommation d'eau 4 1) Besoins et rôles de l'eau Centre de la soif dans l'hypothalamus Consommation d'eau régulée par l'hormone AntiDiurétique (ADH) Limitation des pertes Pertes d'eau osmolarité du plasma Osmorécepteurs des centres hypothalamiques Sécrétion d'adh REIN Réabsorption d'eau au niveau du tube contourné distal Soif Abreuvement Compensation des pertes

6 Facteurs de variation de l'ingestion d'eau 4 2) Facteurs de variation de la consommation Poids vif Nature de la ration o Eau bue quand MSVI o (Pertes fécales et urinaires ) o Besoins en eau exprimés en kg d'eau /kg de MSVI o Eau si MAT ou MM en excès (ex : NaCl) Niveau de production o lactation >> taries Le niveau de production : o Rationnement :Eau (apaise la sensation de faim : lest)

7 4 2) Facteurs de variation de la consommation Besoins en eau La température ambiante : o Besoins des bovins en eau (stabulation hivernale,t <15 C) o Si t C, les besoins (voir le document)

8 Effets de la température 4 2) Facteurs de variation de la consommation t < 20 C : peu de variations t > 20 C : eau bue beaucoup o 10 C 60 kg d'eau (VL) o 30 C 120 " " " Si t C > 35 C : o de la conso d'eau insuffisante o Chute ingestion Grande amplitude entre t jour et nuit chute d'ingestion Sensibilité au stress hydrique très variable selon individus

9 Exemple 4 2) Facteurs de variation de la consommation VL de 600 kg à 25 kg de lait ingère 85 kg d'eau/j en stabulation Elle rejette : o 30 kg dans les fèces o 12 kg dans l'urine o 22 kg dans le lait o 21 kg par évaporation

10 Exemple 4 2) Facteurs de variation de la consommation Une truie gestante : 15 l /j Une truie allaitante : 35 à 45 l/j Porcelets et porcs charcutiers: une règle simple : diviser le poids par 10. Porcelets de de 20kg 2l/j, porcs de 90 kg : 9l/j Projet CASDAR

11 Accès à l'eau 4 3) Apports d'eau o Qualité de l'eau analyses régulières Physico-chimique ph neutre Na Cl < 10 g/l Sulfate < 1 g/l Nitrates < ppm Eau limpide, incolore et inodore Microbiologique Vecteur de contamination par bactéries et virus Éviter la souillure des abreuvoirs (hauteur des abreuvoirs chez porcs et les volailles)

12 Accès à l'eau 4 3) Apports d'eau Accès permanent recommandé o Restriction d'eau ingestion d'aliment o Accélère le dév t du RR chez le veau Quantités consommées à surveiller o Surconsommation humidification litière o Sous-consommation production et mortalité Obstruction des canalisations Inadaptation des points d'eau à la densité Eau inappétente

13 Fibres et régulation de l ingestion Propriétés intrinsèques des fibres 1- Capacité de rétention hydrique 2- Pouvoir de gélification 3- Capacité d échanges ioniques 4- Effet de filtre 5- Adsorption de substances organiques

14 Propriétés intrinsèques des fibres 1- Capacité de rétention hydrique 1 g de Son retient 5 g d Eau Cellulose 7 g Gomme guar 23 g rétention d eau : fibre isolé > fibre dans un aliment Gonflement du bol alimentaire dès estomac (satiété) Mais pas prédictif du volume des féces (fermentations bactériennes)

15 Propriétés intrinsèques des fibres 2- Pouvoir de gélification Fibres solubles : visqueuses gel (pectines) Fibres insolubles : non visqueuses viscosité vidange gastrique ralentie modifie diffusion des nutriments dans l intestin grêle (ralentit digestion amidon et absorption glucose) portage des nutriments et ralentit l accès à surface absorbante effet de filtre gel exclusion de molécules ou bactéries selon taille ou force ionique ralentit digestion et absorption de nutriments dans IG altère disponibilité des fibres, AB, nutriments dans Int.

16 Rôles physiques des Glucides chez les Ruminants Dans le rumen Longueur des fibres o Mastication salivation pouvoir tampon o Motricité ruminale érosion régulière des papilles Quantité de fibres : % de fourrage/concentrés o fibres // concentrés (plus de 50% d amidon) favorise ph disparition protoz, perturbation flore cellulolytique, Digest. CB risque acidose C 3 et CO 2 débit sanguin niv. papilles + motricité ruminale L ORO laisse passer des particules assez petites (<1mm). Tant que ce diamètre n est pas atteint, les particules restent dans le rumen et l animal ingère d autant moins que son rumen est plein. Chez les Ruminants, la qualité de la digestion va donc dépendre de la composition mais également de la forme physique de la ration

17 Rôles physiques des Glucides chez les Herbivores Non Ruminants Fibre alimentaire : Rôle de lest et hygiène digestive LAPIN : Fibre insoluble accélère le transit : o Réduction de ADF (ligno-cellulose) de 15,5 à 9,3 % morbidité de 19 à 28 % (40 lapins/régime - Gidenne, 1999) o Diarrhée chez le Lapin pour taux de CB < 6 % (Davidson, 195) o Pour taux de CB trop élevé (> %), ingestion IC et CUDglobal et CUDénergie Ligno-cellulose, peu digestible CUD et perf. croiss. Fibres solubles régule transit et favorise activités fermentaires

18 Rôles physiques des Glucides chez les Herbivores Non Ruminants Fibre alimentaire : Rôle de lest CHEVAL : Fibre ralentit le transit (physiologie gastrique) par effet d encombrement digestif o Qualitativement : forme non condensée encombrement et peut diminuer la vigueur au travail o Quantitativement : o Défaut de CB : accélération du transit généralement associé à excès d amidon saturation de l amylase intestinale ferm. coliques acidose lactique lactacidémie ac. lactique absorbé surcharge hépatique, accu. ds muscles + perturbation flore formation d endotoxines (amines biogènes) prolifération anaérobies indésirables toxines hépatiques, rénales COLIQUES o Excès de CB : embarras gastrique, colique de stase, «maldigestion» CHEVAL : CB : mini 10%, optimal 15-18%

19 Rôles physiques des Glucides chez les Herbivores Non Ruminants Dans le tube digestif : Digestion enzymatique précède digestion fermentaire Forme physique de la ration n est pas imposée : o Fibre très grossière pas nécessaire ( Ruminants) o Ration peut être totalement sous forme granulée Rôle de lest des fibres Apport minimum pour le transit intestinal et l hygiène digestive

20 Le terme fibres alimentaires : l ensemble des polysaccharides non amylacés qui résistent à l hydrolyse par les enzymes digestives des animaux monogastriques. Les parois cellulaires des végétaux associés ou non à la lignine. L introduction de fibres dans les aliments des porcs : -diminue leur valeur nutritive. - interagissent avec le bon fonctionnement du tube digestif et donc sa santé, le bien-être de l animal en situation de restriction alimentaire.

21 Propriétés des fibres alimentaires dans le tube digestif Temps de mastication salivation humidification du bolus Estomac : fibre : rôle / satiété Adsorption eau Viscosité (FS) vitesse de vidange gastrique Satiété

22 Propriétés des fibres alimentaires dans le tube digestif Intestin Grêle Viscosité (gel) (FS) Dilution de AW enzym. Adsorption comp. hydrophiles (enz,.. Ralentissement de solubilisation des constituants alimentaires disponibilité des nutriments pour digestion et absorption Vitesse du transit Fibre insoluble Fibre soluble ou effet IG distal > proximal

23 Propriétés des fibres alimentaires dans le tube digestif Côlon Motricité : (FI) ou (FS) Pouvoir irritant mécanique (FI) Stimulation motricité intestinale Diminution temps de transit Fermentescibilité : FS >FI AGV Modification flore Les FS arrivant dans le côlon ont adsorbé beaucoup d eau. Lorsqu elles sont fermentées, l eau est libérée, les fèces sont plus riches en eau. Les FI ont adsorbé de l eau (moins que les FS), mais sont très peu fermentées, elles sortent dans les fèces et en assurent la tenue.

24 Propriétés des fibres alimentaires dans le tube digestif Fèces volume des matières fécales et fréquence défécation (FI) fibre fermentescible (pectines,...) : selles molles voire liquides (FS) fibre non fermentescible (cellulose) : selles dures Risque diarrhéique o Trop de fibres solubles : trop de fermentations AGV,... P.O. appel d eau diarrhée osmotique o Trop de fibres insolubles : irritation muqueuse, motricité tout le long du TD diarrhée mécanique (colite?)

25 Propriétés des fibres alimentaires dans le tube digestif des Monogastriques Estomac Intestin Grêle Côlon Fécès Satiété Vitesse du transit Disponibilité des nutriments Fermentescibilité Motricité Volume Fréquence

26 Les fibres alimentaires dans le TD des Monogastriques F. Insolubles Estomac Rétention d Eau Intestin grêle Enzymes Phospholipides F. Solubles Lipase GEL SATIETE Adsorption Echanges ioniques VITESSE DIGESTION Côlon Accélération du transit Pouv. irritant Bactéries VITESSE TRANSIT gaz Fermentation AGV Féces volume MS ph

27 Rôles physiques des glucides Rôle particulier des fibres : conséquence de leurs propriétés intrinsèques o Capacité de rétention d eau o Encombrement / lest o Interactions avec les autres composants de la ration à moduler selon l espèce considérée o place des réservoirs gastriques (Ruminants vs non Rum t )

28 À propos des contrôles Au programme du prochain CT : Les chapitres I à VI (l ensemble des cours) Les TD feront partie d'un autre contrôle en juin Coefficients : o QCM : 0,75 o CM : 1,25 o TD : 1,5 o Bon courage.

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Livret de l agriculture. L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins

Livret de l agriculture. L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins Livret de l agriculture L ALIMENTATION DE LA VACHE LAITIERE Physiologie et Besoins Christine CUVELIER*, Jean-Luc HORNICK*, Yves BECKERS*, Eric FROIDMONT**, Emilie KNAPP*, Louis ISTASSE*, Isabelle DUFRASNE*

Plus en détail

Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?

Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? 1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

Le trajet des aliments dans l appareil digestif.

Le trajet des aliments dans l appareil digestif. La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique

Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique Quoi manger et boire avant, pendant et après l activité physique (comparaison entre athlètes et non-athlètes; nouvelles tendances comme le jus de betteraves) Comme vous le savez, l'alimentation de l'athlète

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC?

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? Daniel LEFEBVRE, Ph.D., agronome PATLQ inc. Sainte-Anne-de-Bellevue Conférence préparée en collaboration avec : Doris PELLERIN, Ph.D., agronome Professeur en sciences

Plus en détail

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.

Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

L équilibre alimentaire.

L équilibre alimentaire. L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour

Plus en détail

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions

Liquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des

Plus en détail

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE

BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION

Plus en détail

Apport hydrique et boissons

Apport hydrique et boissons Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

d importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs.

d importantes quantités de CO,. Summary. Influence of diet on respiratory quotients and fat deposition in growing pigs. Influence du régime sur les quotients respiratoires chez le porc en croissance Geneviève CHARLET-LERY Marie-Thérèse MOREL Laboratoire de Physiologie de la Nutrition LN.R.A., 78350 Jouy-en-Josas Summary.

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire

Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN

L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014

Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Exemple de cahier de laboratoire : cas du sujet 2014 Commentaires pour l'évaluation Contenu du cahier de laboratoire Problématique : Le glucose est un nutriment particulièrement important pour le sportif.

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao

Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao Ordonnance du DFI sur les sucres, les denrées alimentaires sucrées et les produits à base de cacao du 23 novembre 2005 Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu les art. 4, al. 2, 26, al. 2 et 5,

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,

Plus en détail

Que deviennent les aliments

Que deviennent les aliments Que deviennent les aliments que nous mangeons? cycle 3 Figure 1 Pour tout organisme vivant, se nourrir est un besoin fondamental. L alimentation humaine, thème interdisciplinaire par excellence, revêt

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité

Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité OBJEIFS Parcours Microbiologie appliquée à l agro-alimentaire et l agro-environnement La spécialité a pour but de former des cadres de haut

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Au cours d'un cycle de production, les semaines qui entourent la mise-bas sont capitales : elles conditionnent

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE

1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,

Plus en détail

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999

NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin? Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles.

Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

Guide sur la régie du maïs ensilage BMR

Guide sur la régie du maïs ensilage BMR Guide sur la régie du maïs ensilage BMR Les hybrides BMR de marque Mycogen MD procurent des résultats hors du commun. Ce qui différencie le BMR de Mycogen des autres BMR et hybrides de maïs conventionnels

Plus en détail

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie

Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Partie 2 Fonctionnement de l organisme et besoin en énergie Y Cette partie doit permettre à l élève d appréhender quelques aspects généraux concernant le fonctionnement du corps humain. Il s agit principalement

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1 TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

LA QUALITE DE LA PRODUCTION

LA QUALITE DE LA PRODUCTION LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier

Plus en détail

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet

Plus en détail

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems

Le Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI

Plus en détail

Composition corporelle

Composition corporelle Composition corporelle Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Définition des compartiments... 3 I.1 Le modèle anatomique... 3 I.2 Le modèle biochimique...

Plus en détail

INFO-SANTE / 32 ESPERANCE DE VIE NOS SYSTEMES "ELIMINATIONS ET EXCRETIONS" CORPORELLES :

INFO-SANTE / 32 ESPERANCE DE VIE NOS SYSTEMES ELIMINATIONS ET EXCRETIONS CORPORELLES : INFO-SANTE / 32 NOS SYSTEMES "ELIMINATIONS ET EXCRETIONS" CORPORELLES : NOUS AVONS BIEN C01\1PRIS DANS LE CHAPITRE PRECEDENT, RELATIF A NOTRE DIGESTION, QU'IL EST CAPITAL DE BIEN NOURRIR NOTRE ORGANISME

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!! Mythe : Le chien est un omnivore C'est faux!! Les chiens sont des carnivores et non des omnivores. La théorie selon laquelle les chiens sont omnivores reste à être prouvée, alors que le fait que les chiens

Plus en détail

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:

(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête: Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe

Plus en détail

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31

Fiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31 Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées

Plus en détail

(72) Inventeur: Baijot, Bruno Faculté des Se. Agronom. de l'etat Dép. de Technol. agro-alimentaire et forestière groupe Ceteder B5800 Gembloux(BE)

(72) Inventeur: Baijot, Bruno Faculté des Se. Agronom. de l'etat Dép. de Technol. agro-alimentaire et forestière groupe Ceteder B5800 Gembloux(BE) Patentamt à JEuropâisches European Patent Office Numéro de publication: 0 039 1 04 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 81200405.9 Int. Cl.3: C 12 N 11/00 Date de

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail