Rapport général. Tel se présente le pays dont il a été question ici de l avenir économique : la République centrafricaine.
|
|
- Solange St-Georges
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Située au cœur du Continent africain et couvrant une superficie de km2 pour une population d environ 4,5 millions d habitants ; limitée au Nord par le Tchad avec une frontière de plus de 1100 km de long, à l Est par le Soudan et le Soudan du Sud sur 1000 km, à l Ouest par le Cameroun sur 700 km et au sud par la République Démocratique du Congo sur 1200 km et la République du Congo sur 400 km. Tel se présente le pays dont il a été question ici de l avenir économique : la République centrafricaine. Excellence, Madame la Présidente de la République, chef de l Etat de transition ; Monsieur le Président du Conseil National de Transition ; Monsieur le Premier Ministre, chef du Gouvernement de transition ; Madame la Ministre du Commerce, de l Industrie, et des petites et moyennes entreprises ; Mesdames et Messieurs les membres du Gouvernement de transition Mesdames et Messieurs les Ministres- Conseillers ; Mesdames et Messieurs les membres du Corps diplomatique et représentants des organisations internationales ; Mesdames et Messieurs les représentants des Corps constitués de l Etat ; Mesdames et Messieurs les représentants des organisations patronales, des organisations syndicales et des associations professionnelles Distingués invités, Mesdames et Messieurs ; Chers participants et chers compatriotes,
2 2 L exposé que j ai l insigne honneur de présenter devant vous a pour objet, comme annoncé, de tirer le du «Forum sur la promotion du secteur privé en Centrafrique», exercice jusqu alors inédit, et qui s est tenu, sous le haut patronage de Son Excellence Catherine SAMBA PANZA, Chef de l Etat de transition, du 9 septembre à ce jour, 13 septembre 2015, à l hôtel Ledger Plaza de Bangui. Vous aurez compris cependant que ce rapport est un rapport un peu particulier puisqu il se trouve détaché de la présentation des recommandations. La solution pour être intéressante, n en est pas moins inédite et, surtout, porteuse de problèmes de frontières qui n ont probablement pas été tous résolus. C est pourquoi j en appelle d emblée à votre indulgence sur le contenu de ce qui va suivre. Interrogations préalables En premier lieu. Une question a parfois été posée au cours de ce Forum, une question que bien de nos compatriotes ont pu se poser à leur tour, et à laquelle votre Rapporteur général croit devoir répondre avant tout. Elle est de savoir ce qu est précisément ledit Forum. La réponse peut à cette question peut s énoncer simplement : notre Forum, c est une réunion d acteurs, qui ont échangé pendant 4 jours sous la houlette d un Bureau. La description ainsi énoncée est, à vrai dire, moins simpliste qu il peut paraître à première vue. En effet, chacun des éléments qui la composent est une porte d entrée sur ce qui a fait la richesse de notre réunion. Richesse des acteurs pour commencer. A l international, avec la participation active de l Organisation des Nations Unies pour le Développement industriel (ONUDI), de la Banque Mondiale, du Groupe Banque Mondiale à travers la Société financière internationale (SFI), et de l Agence française de Développement (AFD), mais aussi des institutions financières invitées. Les acteurs centrafricains, bien logiquement, ont été quant à eux plus nombreux à répondre présent et surtout, leur ensemble est apparu à votre Rapporteur comme un reflet significatif voire prometteur du tissu et de la vie économiques de la RCA. Organisations patronales correspondant aux différentes tailles d entreprises, organisations syndicales, autres associations professionnelles telle celle des Wali Gara, plateformes de la jeunesse centrafricaine tel que le Mouvement des jeunes centrafricains pour la rupture, associations des femmes, mais aussi leaders politiques, ainsi qu une forte représentation de l Etat dans ses différentes composantes : Présidence de transition, Gouvernement en divers ministères dont celui du Commerce et de l Industrie porteuse de la présente initiative, celui de l Economie et des Finances, Conseil national de transition, etc.
3 3 J ajoute que c est le même principe de diversité qui a guidé dans la composition du Bureau dont s est doté le Forum. Pour s en convaincre, un simple énoncé de cette composition suffit : - Président : M. Théodore JOUSSO, Ministre Conseiller à la Présidence de la République, - Vice- Président : M. Laurence NACIFF, Président du groupement - interprofessionnel centrafricain (GICA) Vice- Président : M. Gilbert GRESENGUET, Président de l Union nationale du patronat centrafricain (UNPC) - Rapporteur Général : Votre serviteur, Jean- François AKANDJI- KOMBE, Professeur d Université, issu de la diaspora centrafricaine ; - 1 er Rapporteur adjoint : Jean MAPENZI, Président du Mouvement des entreprises centrafricaines (MDEC) e Rapporteur adjoint : M. Aristide KPENGA, Directeur Général de l Industrie. 3 e Rapporteur adjoint : Mme Mireille BOUKANGA, opératrice économique. Cette configuration des acteurs centrafricains a fait dire de ce Forum qu il était, de fait, une modalité de dialogue public/privé, annonciatrice espère- t- on de partenariats public/privé à développer. J ai dit qu il y avait la richesse des acteurs. Il y a eu aussi celle des travaux. Aux participants du Forum ici présents, il n y a pas à en faire la preuve par la description des échanges de ces quatre derniers jours. Quant aux autres, citoyennes et citoyens centrafricains ainsi que partenaires de la Communauté internationale, c est, j en suis persuadé, sur nos recommandations seules, sur leur pertinence, leur cohérence et leur adéquation avec la réalité et avec les défis centrafricains, qu il nous faut compter pour les convaincre. J invite donc sur ce point à suivre attentivement l exposé suivant. En deuxième lieu. Outre cette question de savoir ce qu est le présent Forum, il en est une autre qui est restée en quelque sorte suspendue. C est la question du pourquoi. Pourquoi ce Forum? Encore un Forum? Pour faire quoi cette fois- ci? S est- on interrogé ici ou là. Questions à l évidence lourdes de préventions, de défiance et de suspicion, ce qui ne surprend guère eu égard à notre contexte national. Cette question du pourquoi, disais- je, n a pas été formulée ici explicitement. Il y a été tout de même répondu. D abord par Madame la Ministre du Commerce et de l industrie. C est ensuite Son excellence, Mme la Chef de l Etat de transition, qui a, dès le début de son discours inaugural, placé le présent Forum dans la continuité du Forum national de Bangui, signifiant par là qu il est une occasion voulue comme approfondissement et concrétisation des analyses et recommandations de la Commission économique du Forum national, mais aussi que le présent Forum s est imposé au titre des obligations incombant à la Transition de par la feuille de route. Ces raisons se suffisent à elles- mêmes. Permettez cependant à Votre Rapporteur d y ajouter une observation de simple bon sens qui s est dégagée de nos travaux.
4 4 Une Transition, surtout lorsqu elle est aussi longue et à tendance aussi persistante qu en RCA, ne saurait être un temps mort de l économie ; elle ne saurait signifier la suspension de la vie économique de la Nation. Mieux encore, il faut d autant plus s occuper d économie que l Etat et la Société sont désarticulés. Il y a là, en effet, ainsi qu il est ressorti de différentes interventions entendues ici, une autre manière de chercher à remettre notre pays debout. Ne dit- on pas que «Le développement est le nouveau nom de la paix» (lettre Encyclique du Pape Paul VI de 1967), voire qu il est le nom véritable d une paix durable? Ces préalables posés, il n est que temps d aborder le cœur même du sujet. Qu avons nous fait ces quatre jours derniers, pour quels résultats et avec quelles retombées potentielles pour l économie centrafricaine? Voilà les questions de fond. Voilà les seules questions qui importent. Objectifs du Forum et résultats attendus La réponse à la première des questions posées ci- dessus est que nous avions à remplir une mission. Cette mission, vous la connaissez tous, pour avoir été destinataires des «termes de référence» du Forum. Il n est cependant pas inutile de la rappeler pour nos compatriotes qui ne sont pas ici. En termes d objectif, le Forum devait permettre, je cite, «de convenir des stratégies susceptibles de promouvoir le secteur privé en général et de renforcer en particulier le partenariat public- privé dans la mise en œuvre du nouveau modèle de développement économique qui sera issu du Forum National de Bangui. Il s agira donc de proposer des stratégies en vue de mettre en place un environnement des affaires assaini pouvant promouvoir une forte croissance tirée par le secteur privé». En termes de résultats, il était prévu que ce Forum s achève en ayant permis : 1) Que les forces et faiblesses de l économie centrafricaine soient connues ; 2) Que les défis et enjeux de l économie nationale soient identifiés ; 3) Que les priorités en matière économique soient clairement définies, notamment en ce qui concerne les stratégies pour la promotion des grappes de croissances ; 4) Que des mesures correctives soient définies pour améliorer les conditions d une reprise économique conséquente ; 5) Que les mesures pour l amélioration du climat des affaires soient définies ; 6) Que des pistes de financement des infrastructures dans le cadre du Partenariat Public Privé soient identifiées ; 7) Que des mécanismes pour encourager l entreprenariat des femmes et de la diaspora soient mis en place ; 8) Qu une matrice de suivi de la mise en œuvre des recommandations du Forum assortie d un chronogramme précis ait été élaborée.
5 5 Déroulement et esprit des travaux Déroulement des travaux C est à la satisfaction de ces objectifs et dans le souci d atteindre ces résultats que nos travaux se sont déroulés. Comme prévu, ils ont connu deux modalités : plénière et travail en atelier. Les travaux en plénière ont occupé les deux premières journées tandis que les ateliers ont fonctionné sur les deux dernières journées. Comme prévu aussi, la plénière a constitué essentiellement un espace de partage d informations et de discussions liminaires préparant aux travaux en atelier. Le format retenu a été celui d exposés suivis d échanges avec les participants. Selon un principe convenu dès la première heure de plénière, la plus large place a été faite aux échanges entre les exposants et les participants ainsi qu aux contributions de ces derniers. Il a été également convenu que les participants, acteurs socio- économiques, ne seraient pas astreints à respecter un timing rigide, pourvu qu ils focalisent leurs propos sur des propositions et recommandations positives. C est dans ces conditions de forte implication des opérateurs nationaux et internationaux, mais aussi de forte interaction entre eux, qu ont été abordées un certain nombre de thèmes, jugés essentiels compte tenu des objectifs poursuivis ; des thèmes touchant : - à la fiscalité : dans une perspective d élargissement de l assiette et d incitation à l investissement ; - au financement de l économie : à la recherche de mécanismes innovants de financement ; - à la promotion de l entreprenariat féminin ; - à la redynamisation des structures d accompagnement du secteur privé, autour des Centres de gestion Agréés et autres structures d appuis ; - au renforcement des capacités, en ayant en vue l adéquation entre formation et emploi ; - et enfin aux contraintes liées à l intégration dans l économie régionale. Les ateliers, quant à eux, qui se sont déroulés simultanément, ont été thématiques. Trois d entre eux étaient spécialisés : ils ont porté sur les secteurs dont la République centrafricaine entend faire son moteur de croissance et qui, par ailleurs, expriment son identité profonde et propre, son ADN en quelque sorte. Il s agit de l agriculture, des mines et de la forêt. Le quatrième atelier, à moins que ce ne soit le premier, avait quant à lui une portée transversale : il a porté sur l environnement des affaires. Nos échanges ont été nourris, vifs parfois, confrontant des idées et des méthodes, dans la dignité, il importe de le préciser. De cela se dégage un premier enseignement. Ce pays du cœur d Afrique ne manque pas d idées pour son développement, ni de femmes et d hommes engagés pour ce développement. Il n en a jamais manqué d ailleurs, pour qui le connaît intimement.
6 6 Bien entendu, le fruit le plus attendu de nos travaux reste un ensemble, non pas de propositions abstraites, mais de recommandations concrètes pour relever notre beau pays. La lecture vous en sera faite dans un court instant. Le temps nous contraignant, le choix a été fait de ne présenter ici que les recommandations fortes, une trentaine sur les 150 enregistrées, celles qui sont les plus structurantes, et celles qui, tout en ayant vocation à se concrétiser rapidement, tracent des perspectives d avenir, indiquent la voie que nous avons choisi pour notre développement et épanouissement économiques. Chacun pourra cependant prendre connaissance de l ensemble de ces préconisations en lisant le rapport final que nous nous engageons à finaliser dans les meilleurs délais et, avant cela, en consultant l intégralité des documents du Forum d ores et déjà disponible sur clé usb, et qui sera distribué aux participants à la fin de la présente cérémonie. En attendant, et pour que ces recommandations réservées celles qui ne seront pas lues ici ne soient pas totalement absentes de notre rendez- vous d aujourd hui, permettez qu en quelques mots j en livre l esprit. Esprit des travaux et des recommandations L ensemble de nos travaux, et par conséquent la grappe de recommandations qui en est le fruit, a été animé par quelques convictions simples. La première, qui résulte de l interprétation que nous avons eue collectivement des termes de référence, est qu au point de croisée des chemins où se trouve notre pays, nous avions le devoir d inventer, ou au moins de tenter d inventer, un nouveau modèle économique centrafricain. Notre seconde conviction a été que nous avions, ensemble, à œuvrer pour le retour d un Etat digne de ce titre, maîtrisant son destin, ce qui n est guère possible sans la maîtrise de l économie ; un Etat soucieux également de la prospérité, du bien être et de la dignité de ses citoyens. De ces deux convictions ont découlé la philosophie que nous avons mise en œuvre à travers les recommandations, pour la promotion du secteur privé ; une philosophie qui peut se résumer aux trois propositions suivantes : 1) La République centrafricaine doit à nouveau être un pays économiquement attractif pour les investisseurs et les entreprises étrangères, et il faut lui en donner les moyens ; 2) Mais, contrairement au passé, la République centrafricaine doit aussi œuvrer à l émergence d un entreprenariat national, ce qui est un moyen de faire reposer sa croissance future et son émergence principalement sur ses propres forces ; de
7 7 même doit- elle aussi œuvrer à la protection des ressources de la terre, du sous- sol et des forêts, qui sont un patrimoine à transmettre aux générations futures. 3) Enfin, la République centrafricaine doit se montrer audacieuse dans les objectifs économiques qu il s assigne et exigeante dans la manière de les réaliser. Alors satisfecit sur toute la ligne? Certainement pas! D abord parce que nous avons accompli une œuvre humaine, et que celle- ci, pas plus que les autres, ne saurait être parfaite. Ensuite parce que nous sommes bien conscients qu il reste encore à lever la malédiction des suivis de Forum qui frappe la RCA. Mais au moins, pouvons nous nous dire que nous avons accompli notre part de la tâche, et que nous tous ici, centrafricains de l intérieur et centrafricains de l étranger réunis, avons donné le mieux de nous mêmes pour relever un défi incommensurable. Place maintenant aux recommandations. Mais pas sans vous avoir sincèrement remercié pour votre attention. Recommandations Excellence, Madame la Présidente de la République, chef de l Etat de transition, Excellences, Chers participants, C est un honneur mais aussi une fierté que de présenter le fruit du travail de nos réunions, plénière et atelier. Comme l a précisé le Rapporteur général, ne sont retenues ici, pour des raisons de temps, que quelques unes des recommandations adoptées, pour les raisons qui ont déjà été indiquées. Voici ces recommandations, ventilées dans 5 rubriques. Ressources humaines, formation et emploi 1. Réaliser une étude stratégique, dressant un état global de l éducation et de la formation en RCA, dans une perspective d adéquation entre la formation et l emploi, en prenant dument en compte la nécessité de promotion des trois grappes de croissance, à savoir l agriculture, les mines et les forêts. 2. Créer et/ou favoriser la création d établissements techniques et d apprentissage professionnelle, en priorité dans les domaines agricole, forestier et des mines, ces établissements devant être équitablement répartis sur le territoire national.
8 8 Environnement des affaires 3. Prendre des mesures urgentes et appropriées en vue de promouvoir l entreprenariat féminin et des jeunes, ainsi que leur insertion. 4. Entreprendre immédiatement une démarche de réforme en vue d améliorer la position de la RCA dans les classements internationaux, dont le classement «Doing Business». 5. Concevoir et mettre en œuvre un dispositif volontariste pour la promotion des très petites entreprises et de l artisanat ; ce dispositif devra comprendre : Une facilitation de la création de ces entreprises, assorti d un accompagnement technique et administratif ; Un renforcement des capacités en matière d organisation d entreprise, de gestion, de comptabilité, de techniques d expression et de communication : Un financement adapté à ce type d entreprise, ainsi qu une facilitation d accès au crédit. 6. Créer un Fonds de garantie de l Etat. 7. Engager immédiatement, dans des régions pilotes, une expérimentation des Centres de gestion agréés, avec comme objectif à moyen terme la généralisation de leur mise en place sur toute l étendue du territoire ; inclure dans cette dynamique les centres de gestion existants. 8. Engager en urgence l informatisation du Grand Livre Foncier pour sa sauvegarde. 9. Entreprendre immédiatement une démarche de réforme en vue d améliorer la position de la RCA dans les classements internationaux, dont le classement «Doing Business». 10. Prendre immédiatement des mesures d encouragement de l initiative privée national, en ayant en vue le développement rapide d un tissu d entreprises nationales, ce qui suppose, d une part, de faire pleinement bénéficier les capitaux et entreprises nationales des avantages et facilitations juridiques et fiscales et, d autre part, de mettre en œuvre des protections permettant aux entreprises nationales de prospérer dans les 3 grappes de croissance. 11. S assurer que l activité des ONG, tant nationales qu internationales, ne concurrence pas dans les faits les entreprises nationales pour ce qui concerne les activités industrielles, commerciales et de service ; dans le cas contraire, prendre les mesures correctives dans les meilleurs délais, en ce compris la pleine application à ces ONG du régime des activités commerciales, industrielles et de service 12. Mettre en place des zones spéciales de stockage au Cameroun au Congo, au Soudan, au Sud- Soudan, et réactiver le projet de création d un port sec à PK 26, route de Boali.
9 9 Grappe de croissance Agriculture 13. Adopter et mettre en place le code foncier. 14. Créer une Banque de Développement Agricole. 15. Moderniser l agriculture, par la mise en place d équipements et d infrastructures adaptées. 16. Promouvoir la formation et la recherche agronomique, par la réhabilitation ou le développement de centres pilotes. 17. Promouvoir les filières porteuses. 18. Promouvoir les techniques de conservation des produits périssables; faciliter et encourager la création des chambres froides par les opérateurs économiques et collectivités nationaux, à proximité des zones des pêches ainsi que les dispositifs de salaison et de fumigation avec des fours améliorés Grappe de croissance Mines 19. Sécuriser les zones minières. 20. Promouvoir le partenariat Public- Privé dans le domaine de la Prospection, de la Recherche et du Développement des activités minières. 21. Réviser la loi de 2009 portant Code Minier 22. Rendre transparentes la procédure de signature des contrats miniers, ainsi que le paiement des bonus. 23. Mettre en place un plan de formation des acteurs du secteur minier, incluant des éléments relatifs aux autres substances minérales. Grappe de croissance Forêts 24. Prendre des mesures immédiates pour favoriser et encourager les ventes de bois par les communautés de base et les petits entrepreneurs. 25. Promouvoir une industrialisation locale du bois en favorisant le développement d un artisanat de proximité, facteur de création d emplois en milieu forestier. 26. Mobiliser les ressources financières nécessaires afin d adopter dans un bref délai le document stratégique des PFNL. 27. Entreprendre une valorisation éco- touristique des aires protégées.
10 Elaborer une politique de promotion des énergies renouvelables. 29. Libéraliser et promouvoir le secteur du transport fluvial. 30. Doter le Pays d un Plan d Aménagement faunique, ainsi que d une charte d investissement des zones fauniques. Et enfin, 31. Institutionnaliser la tenue annuelle du Forum pour la promotion du secteur privé. *** Ainsi a statué le Forum sur la promotion du secteur privé en Centrafrique, réuni à Bangui du 9 au 13 septembre Le Rapporteur Général Professeur Jean- François AKANDJI- KOMBÉ A la cérémonie de clôture du Forum : Lecture des éléments liminaires du rapport a été donnée par le Rapporteur général, M. le Professeur Jean- François AKANDJI- KOMBÉ ; Lecture des recommandations a été faite par la Rapporteur adjointe, Mme Mireille BOUKANGA, opératrice économique.
INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailSecrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles
République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailDISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX
DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailPROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET
PROJET DE BONNE GOUVERNANCE DANS LE SECTEUR MINIER COMME FACTEUR DE CROISSANCE (PROMINES) UNITE D EXECUTION DU PROJET ID Projet : P106982 IDA H589 ZR TF010744 Pour le recrutement d un Consultant International
Plus en détailHonorables invités, Mesdames et Messieurs,
Discours du Gouverneur de la Banque Centrale des Comores à l occasion de la cérémonie officielle de lancement de la nouvelle pièce de 250 FC Palais du Peuple, le 02 janvier 2014 - Excellence Monsieur le
Plus en détailCérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle
1 Cérémonie de clôture de la réunion débat sur le thème de la 56 e session ministérielle Discours de Madame ALBATOUL Zakaria, Ministre de l'enseignement fondamental et de l'alphabétisation du Tchad, Présidente
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE Pour diffusion immédiate
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Pour diffusion immédiate Programmation détaillée du 4 ème DAVOC, 5 au 7 mai, Palais des congrès, Yaoundé Yaoundé, le 28 avril 2011 CASA-NET (CAmeroonian Skills Abroad NETwork) est
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailAtelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun
Atelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun AKONO du 30 au 31 Juillet 2015 Termes de Références Introduction Au Cameroun,
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailUn gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé
Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailTABLE RONDE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DES TIC EN PRÉLUDE À LA 42 ÈME RÉUNION DE L ICANN. Hôtel Méridien Dakar, SENEGAL.
COMMISSION DE L UNION AFRICAINE REPUBLIQUE DU SENEGAL ---------------- MINISTERE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TABLE RONDE DES
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailDiscours d ouverture de Sem Alassane Ouattara
Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détail========================
RESEAU DES FEMMES AFRICAINES POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE (REFADD/RCA) BP : 242/BANGUI Tel :(00236)75 03 77 26 Email : bata_gbako@yahoo.fr ======================== Projet
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailBANQUE CENTRALE DU CONGO
BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détailDEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL
DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine
Plus en détailLa gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!
La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailASSOAL En partenariat avec
ASSOAL En partenariat avec AC-BP-FL, le PNDP? et le FEICOM? JOURNEES NATIONALES DE LA TRANSPARENCE BUDGETAIRE Contexte PREMIERE EDITION YAOUNDE, OCTOBRE 2014 TERMES DE REFERENCE Au Cameroun, la loi constitutionnelle
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détail1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011
1ER CONGRÈS DES FORÊTS COMMUNALES D'AFRIQUE CENTRALE DU 03 AU 06 MAI 2011 Jean Claude Stone Njomkap Département Recherche/ Développement des projets Secrétariat du RAFM jc.njomkap@africanmodelforests.org
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailL Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe.
1 1 2 2 Qui est l Union des Femmes Investisseurs Arabes? FICHE D IDENTITÉ L Union des Femmes Investisseurs Arabes est une entité dépendant de la Ligue Arabe. Elle a été créée par l Union économique arabe
Plus en détailGUIDE DES PROCEDURES DU DISPOSITIF DE CREATION DE NOUVELLES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET D ELEVAGE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL GUIDE DES PROCEDURES DU DISPOSITIF DE CREATION DE NOUVELLES EXPLOITATIONS AGRICOLES ET D ELEVAGE - Circulaire
Plus en détailLes activités du Ministère
MINISTERRE DU COMMERCE, DE L ARTISANAT ET DE LA PROMOTION DES PME ---------------- Le Ministre Le Cabinet ---------------- REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ---------------- Union-Discipline-Travail Les activités
Plus en détailRÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA
RÉÉVALUATION DES ACTIFS IMMOBILIERS DES SOCIÉTÉS D ASSURANCE SUIVANT LES DIRECTIVES DE LA CRCA & DE LA CIMA LA METHODE DITE PAR CAPITALISATION DU LOYER BASÉE SUR LA SURFACE CORRIGÉE C.R.C.A. : Commission
Plus en détailAppel à Manifestation d'intérêt
AfricaInteract : Renforcement des liens entre la recherche et les décideurs politiques pour l'adaptation au changement climatique en Afrique Appel à Manifestation d'intérêt Recrutement d'un expert pour
Plus en détailALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L
ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailPREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE
PREPARATION A L EXAMEN PROFESSIONNEL DE SECRETAIRE ADMINISTRATIF DE CLASSE EXCEPTIONNELLE EPREUVE DE LA NOTE OPERATIONNELLE RAPPEL DU SUJET : Vous êtes secrétaire administratif de classe exceptionnelle,
Plus en détailRefondation du Mali et refondation de l aide internationale
Refondation du Mali et refondation de l aide internationale La crise malienne et la manière dont elle a pris les partenaires techniques et financiers de ce pays par surprise est un bon révélateur des faiblesses
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détailDÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE
DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailInnovation & Internationalisation (I²)
Partenariats d intérêt mutuel bien compris, tout azimut Les inter-pme panafricaines et internationales réalisées massivement Innovation & Internationalisation (I²) L Afrique se tire elle-même du marécage
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailBrou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1
1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE
CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE Sur recommandation du Comité Monétaire institué par la Convention de Coopération du 22 novembre 1972, Le Gouvernement de la République
Plus en détailNotre approche de développement local
Notre approche de développement local Renforcer le pouvoir d agir des personnes et des collectivités La grande marche de la démocratie La Déclaration universelle des droits de l homme adoptée en 1948 affirme
Plus en détailCommuniqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007
Communiqué de Londres 18 mai 2007 Communiqué de la Conférence des Ministres européens chargés de l Enseignement Supérieur, Londres, 17-18 Mai 2007 VERS L ESPACE EUROPEEN DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR : REPONDRE
Plus en détailAu cours du séminaire de clôture seront présentés les livrables suivants :
La gouvernance du projet de coopération est assurée par un Comité de Pilotage composé par - Le Président de la Chambre Régionale d Agriculture qui en assure la présidence - Deux représentants élus de chaque
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailLE FONDS NATIONAL DE GARANTIE
LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66
Plus en détailQUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE
QUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT 30 mars - 1 er avril 2015 ESPACE LATRILLE EVENTS, ABIDJAN RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE La 4 ème session plénière
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailCORRECTION BREVET PONDICHERY 2014
CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va
Plus en détailIntervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailAIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges
Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE
Plus en détailAcronymes. Introduction
Société civile et observation indépendante de la mise en application de la loi forestière et de la gouvernance (OI-FLEG) en République du Congo : progrès, leçons tirées et ouverture sur l avenir Juin 2009
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailProgramme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013
Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailSEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs
SEMINAIRE REGIONAL AFRICAIN SUR LA GOUVERNANCE LOCALE 13-17 Octobre 2008 a Saly Portudal - Senegal L initiative d Apprentissage Mutuel entre Pairs By Omar Ousman Jobe Analyste en Politique et Budget Pro-Poor
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailCadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces
Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailLE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER. Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM
LE CADRE LEGAL DES SECTEURS MINIER ET PETROLIER Présenté par : Thiam Zakaria Conseiller chargé des Affaires Juridiques - MPEM SOMMAIRE I- LE CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE MINIER EN MAURITANIE I-A. ÉLÉMENTS
Plus en détailMot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP
Mot d ouverture de Mamadou Lamine N DONGO Lead Results Adviser Banque Africaine de Développement Coordonnateur de AfCoP 17 Septembre 2013, 9h00 Tunis, Tunisie Monsieur le Directeur du Département Assurance
Plus en détailNote de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan
Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailLa montagne n aura pas accouché d une souris à Bruxelles, tant étaient
Le pari stratégique de la France en Afrique TRIBUNE n 541 Germain-Hervé Mbia Yebega Observatoire Politique et Stratégique de l Afrique (Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Chercheur associé à la
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailDécision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185
Décision du Défenseur des droits MDE-MSP-2014-185 RESUMÉ ANONYMISÉ DE LA DÉCISION Décision relative à une Recommandation Domaines de compétence de l Institution : Défense des droits de l'enfant, Droits
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détail