COURS D ASTRONOMIE POUR CRPE PREMIÈRE PARTIE. Les points cardinaux, la boussole
|
|
- Jean-Baptiste Bourget
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COURS D ASTRONOMIE POUR CRPE PREMIÈRE PARTIE Jean-Michel ROLANDO (Site de Bonneville) Les points cardinaux, la boussole La boussole est une aiguille aimantée qui, à la surface de la Terre, s oriente approximativement dans la direction Nord-Sud. Une boussole présente un pôle nord (qui s oriente approximativement vers le pôle nord de la Terre) et un pôle sud qui s oriente approximativement vers le pôle sud de la Terre. L orientation des boussoles est le signe de la présence d un champ magnétique à la surface de la Terre. Ce sont les mouvements de convection (dus à une différence de température entre le centre et la périphérie) de la partie liquide du noyau terrestre, constitué essentiellement de fer, qui produisent ce champ magnétique selon un mécanisme complexe que les scientifiques ne comprennent encore que partiellement, mais qui rappelle le fonctionnement d une dynamo. Ces mouvements fluides, on peut le concevoir aisément, ne sont pas d une régularité absolue, mais subissent des variations qui affectent la direction du champ magnétique. C est ce qui explique que celle-ci varie de façon non régulière au cours du temps. Si l on peut prévoir la direction du champ magnétique terrestre au cours des quelques prochaines années, on ne peut pas savoir ce qu elle sera dans quelques milliers d années. Actuellement, la direction dans laquelle s orientent les boussoles est presque parallèle au méridien du lieu où elles se trouvent. La direction indiquée par le pôle nord de la boussole est appelée «nord magnétique» ; le nord magnétique est proche du «nord géographique». Plus précisément, l aiguille d une boussole et la direction Nord-Sud font un angle de quelques degrés appelé déclinaison magnétique. Cet angle, indiqué notamment sur les cartes topographiques, varie constamment. Sa valeur peut changer notablement en 5 ou 10 ans. La lumière Les sources de lumière On distingue deux types de sources de lumière. Les sources primaires de lumière : corps qui émettent de la lumière. Exemples : le filament d une ampoule, le Soleil, les étoiles, une flamme... Les sources secondaires de lumière : corps qui diffusent la lumière reçue d une source primaire (diffuser = réémettre dans toutes les directions). À la place de source secondaire, on utilise parfois le terme d objet diffusant. Exemples : la Lune, les planètes, l atmosphère, des particules en suspension dans l air (brouillard, poussières), n importe quel objet lorsqu il est éclairé (exception faite des objets noirs qui paraissent visibles par effet de contraste). On verra dans la suite qu il est intéressant d imaginer, par abstraction, des sources de lumière tellement petites qu on peut les assimiler à un point lumineux. On est ainsi amené à raisonner sur deux cas différents : les sources ponctuelles de lumière les sources étendues de lumière
2 Dans l absolu, les sources ponctuelles n existent pas. Dans la pratique, on considère les étoiles comme ponctuelles ; on peut aussi percer un trou très fin dans un carton (pointe d un compas) et placer ce dernier juste devant une source étendue de façon à limiter une toute petite partie de celle-ci. La propagation de la lumière La lumière ne se propage que dans certains milieux dits transparents. Dans le cadre de ce concours, on aura à raisonner essentiellement sur des milieux homogènes (par opposition aux milieux hétérogènes). Un milieu est homogène si ses différentes parties possèdent les mêmes propriétés : même matière, même température, etc. Exemple : on considère en général que l air est un milieu homogène ; mais en été, au voisinage du sol, l air n est pas homogène car les couches les plus basses sont plus chaudes que les couches les plus hautes. Dans un milieu transparent et homogène, la lumière se propage en ligne droite. NB : le vide est considéré comme un milieu : il est nécessairement transparent et homogène. La vision Nous voyons une source de lumière si et seulement si notre oeil reçoit de la lumière de cette source. Exemple 1 Oeil 2 ponctuelle S Oeil 1 La source S émet de la lumière dans toutes les directions. Si elle est dans un milieu homogène, celle-ci se propage en ligne droite. L œil 1 ne peut pas la voir car, du fait de l objet, aucun rayon ne peut lui parvenir. En revanche, l œil 2 peut la voir. Exemple 2 diffusant (source secondaire) ponctuelle S Oeil
3 À titre d exercice, tracer les rayons lumineux qui conviennent pour interpréter le fait que l oeil peut voir l objet. Exemple 3 A M B étendue C Oeil Pour interpréter les situations dans lesquelles interviennent des sources étendues, il convient de les assimiler à un ensemble de sources ponctuelles. Par exemple, le point M, appartenant à la source étendue, se comporte comme une source ponctuelle. Il émet donc de la lumière dans toutes les directions. Si le milieu est transparent et homogène (ce qu on suppose ici), elle se propage en ligne droite. - Le point A émet de la lumière dans toutes les directions. En particulier, il émet des rayons en direction de l œil qui ne sont pas interceptés par l objet. L œil peut donc voir le point A. - On peut tenir le même raisonnement pour tous les points situés entre A et B. - En revanche, au-dessous de B, aucun rayon issu de la source ne peut parvenir à l œil. - Ainsi, l œil verra une partie seulement de la source étendue. Voir plus loin l interprétation des éclipses qui est fondée sur ce principe. Les ombres Considérons un objet placé devant une source de lumière. On appelle ombre, la zone qui ne reçoit aucune lumière de la source. La partie de l objet situé à l ombre est appelée ombre propre Si, en outre, un écran est placé derrière l objet, la partie de l écran qui ne reçoit pas la lumière de la source est appelée ombre portée. Représentation des rayons issus du Soleil En astronomie, de nombreux raisonnements font appel aux rayons issus du Soleil et atteignant la Terre. Le schéma ci-dessous montre qu un observateur reçoit des rayons qui font entre eux un certain angle qu on peut calculer lorsqu on connaît la distance Terre-Soleil ( km) et le diamètre du Soleil ( km). Soleil α = 0,5 Terre
4 La distance Terre-Soleil étant très grande par rapport au diamètre du Soleil, on admettra que cet angle est très petit, ce qui revient à dire que les rayons issus du Soleil sont quasiment parallèles entre eux. C est ce qui explique les schémas dans les paragraphes qui suivent. Le «sténopé» ou «chambre noire» : exercice Une boîte fermée est percée d un petit trou sur une de ses faces. Le fond de la boîte, face au trou, est constitué d un papier calque. - Sur le papier calque du fond, on observe l image renversée et floue d un objet lumineux (une bougie, par exemple). Expliquez pourquoi en réalisant un schéma. - Que se passe-t-il si on éloigne la bougie? Justifiez par un schéma. - Que se passe-t-il si on agrandit le trou? Justifiez par un schéma. - Tout point de la bougie est une source ponctuelle de lumière qui émet (ou diffuse) de la lumière dans toutes les directions. On s intéresse au faisceau qui pénètre dans la chambre noire. Le faisceau provenant de A rencontre le calque en A et le faisceau provenant de B rencontre le calque en B. Si A est en haut de la bougie, A est en bas de l écran ; de même, si B est en bas de la bougie, B est en haut de l écran. C est ce qui explique que l image est renversée. L image d un point n est pas un point mais une tache. C est ce qui explique que l image est floue. - Si on éloigne la bougie, son image diminue (faire un double schéma pour répondre à l énoncé : bougie à une certaine distance du trou / bougie plus éloignée). - Si l on agrandit le trou, il y a plus de lumière qui pénètre dans la boîte. Mais la tache image de chaque point devient plus grande. L image est donc plus lumineuse, mais plus floue. (faire de même un double schéma pour respecter la consigne de l énoncé). Nature ondulatoire de la lumière : les ondes électromagnétiques La lumière fait partie des ondes électromagnétiques qui constituent un vaste ensemble. Une onde est caractérisée par sa longueur d onde (on peut se faire une idée de ce que représente la longueur d onde en évoquant le cas des vagues : c est la distance entre deux creux successifs ou entre deux sommets successifs ; attention toutefois, les vagues ne sont pas des ondes électromagnétiques). La lumière visible a une longueur d onde comprise entre 0,4 µm (pour le violet) et 0,8 µm (pour le rouge). Dans le domaine des longueurs d onde supérieures à celle de la lumière, on trouve le rayonnement infrarouge (IR) responsable de l effet de serre, puis les ondes hertziennes qui comportent les micro-ondes (des fours) vers 30 µm, les ondes très courtes des émissions en modulation de fréquence (FM) (quelques m), puis toutes les ondes radio dites courtes, moyennes et longues (1600 m environ pour France Inter grandes ondes). Dans le domaine des longueurs d onde inférieures à celle de la lumière, on trouve le rayonnement ultraviolet (UV) responsable des coups de soleil, les rayons X puis les rayons γ.
5 À savoir surtout : les limites de la lumière visible sont inhérentes à l œil, mais il existe des rayonnements de même nature que la lumière qui, bien qu invisibles à l œil, présentent des propriétés importantes comme les IR et les UV. Il existe une grande variété de capteurs qui permettent de détecter les rayonnements invisibles à l œil (exemple classique : la plaque sensible d un appareil de radiographie).
Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailune centrale ou organe de commande des détecteurs des dispositifs de signalisation d alarme (sirène, alarme lumineuse)
L ANTI-INTRUSION Comment assurer la sécurité des biens et des personnes? Définitions La détection intrusion a pour finalité principale la détection de personnes qui forcent ou tentent de forcer les protections
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailComment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière. Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye
CCOLLEGE YCLE 3 CCYCLE 3 OLLEGE Comment voit-on les objets qui nous entourent? À la découverte de la lumière Cécile de Hosson, avec la collaboration de Véronique Delaye Éditions Le Pommier, 2009 Objectifs
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailCaractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault
Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailS'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte
www.ign.fr > Espace éducatif > Les fiches thématiques > Lecture de la carte S'orienter et se repérer sur le terrain avec une carte Il s'agit d'effectuer une correspondance entre le lieu où l'on se trouve
Plus en détailSavoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée
Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailIR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure
IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et
Plus en détailCelestia. 1. Introduction à Celestia (2/7) 1. Introduction à Celestia (1/7) Université du Temps Libre - 08 avril 2008
GMPI*EZVI0EFSVEXSMVIH%WXVSTL]WMUYIHI&SVHIEY\ 1. Introduction à Celestia Celestia 1.1 Généralités 1.2 Ecran d Ouverture 2. Commandes Principales du Menu 3. Exemples d Applications 3.1 Effet de l atmosphère
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailLE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL?
Document professeur Niveau : Seconde LE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL? Compétences mises en œuvre : S approprier : extraire l information utile. Communiquer. Principe de l activité : La question posée à la classe
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailLa recherche d'indices par fluorescence
La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailLes objets très lointains
Les objets très lointains Lorsque les étoiles sont proches il est possible de mesurer la distance qui nous en sépare par une méthode dite abusivement directe, la trigonométrie, qui permet de déduire les
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailDes ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie
Seconde Thème santé Activité n 3(expérimentale) Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Connaissances Compétences - Pratiquer une démarche expérimentale pour comprendre le
Plus en détailSommaire de la séquence 10
Sommaire de la séquence 10 t Séance 1 Source primaire et objet diffusant. t Séance 2 Une condition nécessaire pour la vision. t Séance 3 La lumière est-elle toujours visible? t Séance 4 Comment se propage
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détail1 222 rue de l Université 75343 PARIS 07 téléphone 01 56 61 71 01
Questionnaire sur les conditions générales d accueil et de conservation d œuvres dans le cadre d un prêt Institution : Adresse : Téléphone /Fax : Email : Date : Questionnaire rempli par (nom et qualité)
Plus en détailQU EST-CE QUE LA RFID?
QU EST-CE QUE LA RFID? Lorraine Apparue dans les entreprises au cours des années 80, la Radio Frequency Identification (RFID) permet de reconnaître, à plus ou moins grande distance, un objet, un animal
Plus en détailP.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE
Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailCollimateur universel de réglage laser
Collimateur universel de réglage laser Manuel de l utilisateur Réf. WG-840 Mise à jour 27.08.2013 En projetant un rayon laser dans l axe du canon de votre arme à feu, ce collimateur universel de réglage
Plus en détailPanneau solaire ALDEN
SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition
Plus en détailUn spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants
& INNOVATION 2014 NO DRIVER! Logiciel embarqué Un spectromètre à fibre plus précis, plus résistant, plus pratique Concept et logiciel innovants contact@ovio-optics.com www.ovio-optics.com Spectromètre
Plus en détailQuelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?
Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailTraffic engineering MODE. ou FIXE. électrique, le réseau MODE. d enregistrement. LED s avec. par des
2008 ISIS 120 Analyse Trafic SIRIEN SA 11/03/2008 1. INTRODUCTION Le radar préventif ISIS 120 peut s utiliser selon deux modes : MODE RADAR PRÉVENTIF : Il fonctionne simplement comme radar préventif MOBILE
Plus en détailNUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES
NUAGES INTERSTELLAIRES ET NEBULEUSES P. Sogorb I. INTRODUCTION Les milliards d étoiles qui forment les galaxies, baignent dans un milieu interstellaire qui représente, dans le cas de notre Galaxie, 10
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailGuide de l éclairage 1to1 energy Efficacité énergétique, confort et esthétique
Guide de l éclairage to energy Efficacité énergétique, confort et esthétique Sommaire Pour y voir plus clair 3 L essentiel en bref 4 Comparatif anciennes/nouvelles ampoules 6 Ampoules basse consommation
Plus en détailÉtude et modélisation des étoiles
Étude et modélisation des étoiles Étoile Pistol Betelgeuse Sirius A & B Pourquoi s intéresser aux étoiles? Conditions physiques très exotiques! très différentes de celles rencontrées naturellement sur
Plus en détailINSTALLATIONS ÉLECTRIQUES CIVILES
index ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATION MONOPHASEE ALIMENTATIONS DL 2101ALA DL 2101ALF MODULES INTERRUPTEURS ET COMMUTATEURS DL 2101T02RM INTERRUPTEUR INTERMEDIAIRE DL 2101T04 COMMUTATEUR INTERMEDIAIRE
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailRepérage de l artillerie par le son.
Repérage de l artillerie par le son. Le repérage par le son permet de situer avec précision une batterie ennemie, qu elle soit ou non bien dissimulée. Le son se propage avec une vitesse sensiblement constante,
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailNotre objectif est de simplifier la vidéosurveillance professionnelle pour tout le monde
Notre objectif est de simplifier la vidéosurveillance professionnelle pour tout le monde Stockage sécurisé des données et excellente facilité d utilisation 2 Simple et fiable Frank Moore, propriétaire
Plus en détailCOTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas. Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre?
COTTAZ Céline DESVIGNES Emilie ANTHONIOZ-BLANC Clément VUILLERMET DIT DAVIGNON Nicolas Quelle est la trajectoire de la Lune autour de la Terre? Terminale S1 Lycée Elie Cartan Olympiades de Physiques 2003-2004
Plus en détailLes Contrôles Non Destructifs
Les Contrôles Non Destructifs 1 Méthodes de maintenance MAINTENANCE d'après l'afnor CORRECTIVE PREVENTIVE PALLIATIVE Dépannage (Défaillance partielle) CURATIVE Réparation (Défaillance totale) SYSTEMATIQUE
Plus en détailLes biens culturels :
www.cicrp.fr Imagerie scientifique Jean-Marc Vallet & Odile Guillon Journée «Contrôle non destructif» Paris - 6 octobre 2011 Les biens culturels : - Caractère unique et précieux - Notion d ancienneté,
Plus en détailPour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction
Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître
Plus en détailAccessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*
Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de
Plus en détailEtude RFPro Exposition professionnelle
Société de médecine et santé au travail 20 mars 2009 Etude RFPro Exposition professionnelle A. Massardier-Pilonchéry, M. Hours T. Demallmann, C. Dousson, G. Lafon, M. Gillet, Jc.Gobet, E. Trescol UMRESTTE
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailMode d emploi du kit de mesure
Conseil en maîtrise de l énergie et énergies renouvelables Mode d emploi du kit de mesure Présentation Dans le cadre du défi «Familles à Energie positive», ce kit est remis au capitaine de chaque équipe.
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailALARME DOMESTIQUE FILAIRE
ALARME DOMESTIQUE FILAIRE DOSSIER RESSOURCES Académie de LYON BAC Pro Électrotechnique, Énergie, Équipements Communicants Page 1 sur 15 SOMMAIRE Introduction... page 3/15 Le sous-système : maquette alarme
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury
Plus en détail"La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston
"La collimation est la première cause de mauvaises images dans les instruments amateurs" Walter Scott Houston F.Defrenne Juin 2009 Qu est-ce que la collimation en fait? «Newton»? Mais mon télescope est
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailETUDE REALISEE A LA DEMANDE DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE. W. PIRARD, Ingénieur Civil en Electronique, Chef de la Section Electronique Appliquée.
ETUDE DES RISQUES LIES A L EXPOSITION AUX CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES RAYONNES PAR LES FAISCEAUX HERTZIENS UTILISES PAR LES OPERATEURS DE TELEPHONIE MOBILE ETUDE REALISEE A LA DEMANDE DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE
Plus en détailDossier enseignant Etude d un tableau. grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on
avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris www.universcience.fr Dossier enseignant Etude d un tableau grâce aux ondes électromagné ques Lycée Service Éduca on Chloé LAVIGNOTTE SOMMAIRE INTRODUCTION...p3
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détailRéussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop
Réussir et traiter ses photos sous UV avec Photoshop par Rémi BORNET le 29/12/2009 Beaucoup de personnes n'arrivent pas à obtenir de bons résultats en photos sous UV et ne trouvent pas de conseils. Cet
Plus en détailChoisir entre le détourage plume et le détourage par les couches.
Choisir entre le détourage plume et le détourage par les couches. QUEL CHOIX D OUTILS ET QUELLE METHODE, POUR QUEL OBJECTIF? Il existe différentes techniques de détourage. De la plus simple à la plus délicate,
Plus en détailJeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur
PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détail30% POURQUOI EST-IL IMPORTANT DE VOUS ÉQUIPER? 80% des cambriolages* ont lieu en plein jour. 55% des cambriolages* ont lieu entre 14h et 17h.
80% des cambriolages* ont lieu en plein jour. 55% des cambriolages* ont lieu entre 14h et 17h. 7 FRANÇAIS SUR 10 sont cambriolés au moins une fois dans leur vie et les installations de systèmes d alarme
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détail