PADHUE (Praticiens à Diplôme Hors Union Européenne)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PADHUE (Praticiens à Diplôme Hors Union Européenne)"

Transcription

1 Discourt du Président du SNPADHUE prononcé le 21 Septembre 2005 Devant le groupe d étude des professions de santé à l Assemblée Nationale PADHUE (Praticiens à Diplôme Hors Union Européenne) L état des lieux Monsieur le président, Mesdames, Messieurs les députés. Le sujet que je vous présente aujourd hui est, à la fois, sensible et complexe. Il s agit des praticiens de santé titulaires d un diplôme hors union européenne et prétendant à l autorisation pour exercer leur profession en France. D abord qu est ce qu un praticien à diplôme hors union européenne? Je ne dis pas médecin car il y a aussi des pharmaciens, des chirurgiens-dentistes et des sages femmes. C est avant tout un praticien comme un autre qui maîtrise le difficile art de soigner, il est d ailleurs recruté pour cela. Il remplit les mêmes tâches, il a les mêmes obligations et obéit aux mêmes principes déontologiques et éthiques que les autres praticiens de la profession. Comme les autres Enfin pas tout à fait, puisqu il est titulaire, à la base, d un diplôme hors union européenne, ce qui à l heure actuelle semble plus important que les années de formations, d exercice et d expériences professionnelles acquises par la suite. Pour mieux vous montrer l ampleur de la situation actuelle, un chiffre : 6000 praticiens sur le sol français se retrouvent dans cette situation (c est le chiffre communiqué officiellement, tout récemment, par le ministère de la santé). Parmi ces praticiens, il y a les anciens voire les très anciens, les moins anciens et les nouveaux.. QUELS SONT LEURS STATUTS À L HOPITAL? Ils sont variables mais ont tous en commun : la précarité et la sous rémunération institutionnalisée et codifiée, celles-ci étant, pour certains statuts, légales, au sens propre du terme. Il y a celles et ceux qui occupent des fonctions de seniors tel que la fonction de chef de clinique, d assistant spécialiste ou généraliste ou encore d attaché, avec toujours un qualificatif peu valorisant qui vient s ajouter à ces titres ; le mot «associé» qui signifie tout simplement qu ils n ont pas le droit officiellement d exercer leur profession en France! 2000 à 3000 praticiens se retrouvent actuellement dans cette catégorie. Ils sont, pour la plupart, arrivés avant la publication de la loi portant couverture maladie universelle dite loi CMU 99. Un grand nombre est français ou est en passe de le devenir, et en tout cas n envisage plus leur avenir ailleurs. Leurs études ont, presque pour tous, étaient effectuées en français. Ils comprennent par conséquent d autant moins le pourquoi de leur situation. Parmi ces statuts, nous avons : L assistant associé : C est un statut contractuel, limité à 6 ans. Ces praticiens assistants associés se fondent dans la masse de leurs confrères, ils endorment, ils opèrent, ils pratiquent des accouchements sans que personne ne soit inquiet de l origine de leurs diplômes. Leurs patients en consultations n ont pas l impression d être pris en charge par un sous médecin, leurs internes et futurs collègues demandent leurs avis sur des malades sans crainte et bénéficient de leur expérience.

2 Malgré cela, ils n auront jamais le droit de se prévaloir du statut d ancien assistant des hôpitaux, ne pourront pas passer le concours de praticien des hôpitaux, et au terme de leur 6 années de contrat, ils devront chercher un autre type de statut et souvent quitter un hôpital dans lequel ils étaient bien intégrés. Le praticien attaché associé : C est sans doute la catégorie qui colle le plus à la norme commune depuis que le statut d attaché a été révisé et que l attaché associé a enfin presque la même rémunération et les mêmes perspectives d avancement que les autres praticiens attachés. Sauf que désormais le montant de leur garde a été minoré inexplicablement de 50 euros alors que justement ils pourvoient généreusement aux listes de garde. Le ministère de la santé vient de leur restituer 30 euros, à titre dérogatoire portant leur indemnité de garde à 238 euros alors que leurs collègues perçoivent 252 euros pour le même temps de travail et les mêmes tâches! Dans leurs établissements ils assurent le fonctionnement des services, des consultations, des blocs opératoires. Ils encadrent les internes, et en fait rien ne les différencie de leurs collègues, sauf qu ils n ont pas le droit à l autorisation pleine d exercice de la médecine en France ou de passer le concours de praticien hospitalier et ils risquent d être remercié à tout moment. Les FFI : Le terme est l acronyme de «faisant fonction d interne». Arrivés pour la majorité après la publication de la loi CMU en juillet 99, dans le cadre d une formation de spécialisation telle que le DIS (diplôme inter universitaire de spécialisation pour sa dernière promotion) ou l AFS et l AFSA (attestation de formation spécialisée et spécialisée approfondie). Ils sont estimés au nombre de 3000 à 4000 milles dans les hôpitaux. Il s agit d un autre type de praticiens que celles et ceux que nous avons pu connaître. Dans la majorité des cas, ce sont des praticiens titulaires d un diplôme de spécialité acquis hors union européenne. Ils viennent combler les postes non pourvus au choix des internes de spécialité, ou alors ils sont recrutés dans des services qui n ont plus de poste ouvert au choix, mais qui ont un besoin indispensable d un effectif médical supplémentaire. Le FFI répond à ce besoin d une manière commode pour un coût modique, puisqu il est rémunéré 1150 euros nets (soit moins qu un interne de médecine générale en premier semestre), sans possibilité d avancement. Sa garde lui est rétribuée à hauteur de 113 euros nets pour 14 heures de travail, soit environ 8 euros de l heure, ce qui est à peu prés le salaire horaire d une baby-sitter. Bon nombre d entre eux sont très appréciés, ils font même carrière dans ces fonctions, faisant 2, 3,4 semestres ou plus au sein d un même établissement (le contrat d un FFI, est limité à 6 mois). Depuis la loi dite CMU 99 qui ferme en principe le recrutement des praticiens à diplôme hors union européenne, c est le mode favori des hôpitaux pour recruter du personnel médical. Ces praticiens restent donc majoritairement bloqués sur ce genre de statut pendant plusieurs années sans pouvoir être recrutés sur des postes d attachés ou d assistants pourtant vacants, puisque la loi ne le permet théoriquement pas. Enfin, la conversion se fait quand même dans certains endroits, dans des hôpitaux où la chute de la démographie médicale n est pas une vue de l esprit et où le besoin est plus que pressant sous peine de ne plus pouvoir assurer une continuité des soins dans des conditions de sécurité normales Il faut savoir que les praticiens «associés», passent tour à tour d un statut à l autre, le FFI peut devenir assistant associé, puis en fin de contrat être recruté sur un poste d attaché associé. Tant et si bien, que certains sont en mesure d étaler un parcours de 10, voire 15 ans entre ces différents statuts, ce qui fait, vous en conviendrez, une étrange carrière médicale, plutôt imposée.

3 Pour finir avec les statuts, il reste la situation particulière des Sages femmes : Ce sont celles dont la situation est la plus kafkaïenne. Ne pouvant être recrutées par les hôpitaux, elles travaillent dans des structures privées qui utilisent leurs compétences sous couvert d une fonction officielle d auxiliaire de soin. Ce qui a pour effet qu elles ne peuvent et ne pourront, quand on le leur demandera, prouver leur expérience professionnelle en France. QUELLES SONT LEURS FORMATIONS? Sur le plan de la formation et des diplômes, il y a celles et ceux qui sont titulaires d un DIS (diplôme inter universitaire de spécialisation) un diplôme de spécialité français mais la France ne les reconnaît pas! Normal, puisqu ils ne sont même pas reconnus en tant que généraliste. Ils ont été recrutés par la voie d un concours organisé dans les ambassades de France puis formés au cœur des CHU français. Il y a également celles et ceux qui sont titulaires d un DES à titre étrangers, sélectionnés par la voie du concours national d internat, en sus du numerus clausus et formés à l identique de leurs collègues DES. Il y a aussi celles ou ceux qui ont préparé une AFS ou une AFSA après leur diplôme de spécialité acquis hors union européenne. Et il y a enfin celles et ceux qui ont réussi l examen écrit et oral du CSCT ; une ancienne voie d autorisation dont il ont à peine eu le temps d en savourer le succès aux examens avant que le verdict de leur exclusion ne tombe, par la commission d autorisation, sans justification, et j en passe. COMMENT EN SOMMES NOUS ARRIVES LA? Tous ces praticiens ne sont pas là par hasard, leur présence répond à un besoin que personne ne pourra contester aujourd hui. Leur participation au maintien et à la continuité des soins dans les hôpitaux n est pas une affaire de quelques jours ni de quelques mois, leur travail ne semble pas être chimérique. Le numerus clausus, les changements de mentalités, la demande grandissant aux soins, l aménagement du temps de travail, le caractère financièrement peu attractif et contraignant des carrières hospitalières avec des risques professionnels croissante de jour en jour. Tous ces facteurs ont participé certainement à la pénurie des professionnels de la santé dans les hôpitaux. Alors essayons d imaginer, un court instant, ce que pourraient être nos hôpitaux sans eux. Qui peut prétendre qu ils seraient capables de fonctionner? Qui pourrait croire que la continuité des soins pourrait être encore assurée alors que dans certaines spécialités telle que les urgences, l anesthésie réanimation, la gynécologie obstétrique, la pédiatrie et la psychiatrie, et certainement d autres. Ces praticiens remplissent les tableaux de service et les tableaux de garde dans une proportion que leur petit nombre ne peut expliquer? Alors que l on évoque régulièrement le nombre de postes vacants dans les hôpitaux, la difficulté de faire fonctionner certains services ou même certains hôpitaux, de remplir les listes de garde, ces signes du début d une ère de pénurie sont forcément amortis par la présence de tous ces praticiens dont le diplôme initial vient d ailleurs. Cet élément n est malheureusement guère pris en compte dans les calculs des démographes et des stratèges de la santé publique. Si les praticiens à diplômes hors union européenne étaient soudainement rayés de la carte sanitaire, on se trouverait d emblée dans la situation que l on envisage survenir dans une dizaine d années. Et le processus n en est pas à son terme, preuve en est que les recrutements continuent, en dépit de ce qui avait été souhaité en Comment faire autrement d ailleurs? Les acteurs sur le terrain, directeurs des établissements et chefs de service, n ont pas le choix, la nécessité a force de loi. Les visites dans les services doivent être menées, les consultations assurées et les patients opérés.

4 Certains émettent des soupçons sur la valeur des diplômes de ces praticiens. Mais, il n apparaît pas que l on soit moins bien soigné à l hôpital depuis une quinzaine d années. Personne ne peut croire que l on permettrait à des praticiens incompétents, non qualifiés de s approcher, de prendre en charge, de décider de ce qui doit être fait pour les patients. Personne ne croira une seule seconde qu après l affaire du sang contaminé on pourrait de nouveau prendre un risque quelconque. D autant que nos hôpitaux, nous dit on, ne sont pas assez riches pour payer des indemnités qui ne manqueraient pas d être réclamés dans notre société de plus en plus exigeante en qualité de soins. L expérience prouve que ces praticiens ont un niveau de compétence ou de connaissance qui leur permet d être à la hauteur de leur tâche. Chaque jour, à chaque garde, ils font la démonstration de leurs qualités, ils ont validé par leur expérience, par leur nombre d années de pratique en France, la pertinence de leurs diplômes. On peut se poser la question de savoir s ils ont vraiment besoin d une autre évaluation que celle qu ils exercent avec succès au quotidien. POURQUOI FAUT-IL QUE LEUR SITUATION CHANGE? Parce qu elle est inadmissible! Comment pourrait-on continuer d accepter que dans notre pays des personnes, faisant le même travail, soient rémunérées de manière différente, que la nuit de garde de l un vaille moins que celle de l autre. Qui l accepterait pour lui-même? Leur situation doit changer parce que l on ne peut laisser des praticiens de santé s user à multiplier les gardes pour compenser un salaire insuffisant avec les risques que cela comportera. Parce que plus que par son diplôme, un praticien prouve sa valeur au lit du malade et ces Praticiens à diplômes hors communautaires démontrent tous les jours leurs capacités qui sont aujourd hui largement certifiées par leurs chefs de services. Parce que tout simplement c est l évidence même qu un besoin existe, et que ceux qui peuvent y répondre sont là, que ces gens là connaissent parfaitement le système hospitalier pour y travailler depuis longtemps et qu ils sont donc la solution la plus naturelle. Et enfin, parce que le paradoxe que constitue la disponibilité de postes hospitaliers sur lesquels des médecins disponibles ne peuvent être recrutés est inacceptable. L hôpital n est pas un monde sans règle. Mais, c est néanmoins pour nous un espace où les règles ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Pour ces praticiens, la règle c est la précarité, l instabilité, la sous rémunération et l absence de perspectives. Cela semble tout de même peu gratifiant après une dizaine d années d études universitaires et des services rendus à la France. Il est temps de permettre à ceux qui ont déjà fait montre de leur qualité de rejoindre le lot commun, de pouvoir enfin mener une véritable carrière hospitalière, dans leur intérêt et dans l intérêt de la collectivité. Il est temps de régler définitivement et d une manière pragmatique un problème qui n a que trop duré et que les procédures précédentes n ont pu solutionner, problème que la nouvelle procédure d autorisation actuelle ne pourra mathématiquement pas régler. 218 candidats sélectionnés parmi 3800 candidats inscrits à la première session de la NPA en 2004 soit un taux de réussite de moins de 5%. 218 postes occupés sur 260 postes ouverts, soit plus de 30 % des postes non attribués! Cette forme de rejet remet en question nos compétences, nos services rendus mais surtout la confiance en nous même! Sommes-nous aptes à soigner les citoyens français alors que nous le faisons au quotidien? Sommes-nous dangereux pour leur sécurité?

5 La réponse nous semble évidente : nous sommes compétents, mais seulement pour des postes précaires de praticiens «associés» avec des salaires de 40 à 50 % inférieurs à celui d un praticien hospitalier! Le ministère de la santé, par le biais de ce recrutement, semble avoir trouvé la solution optimale pour répondre, d une part au besoin croissant de praticiens spécialistes qualifiés et d autre part à une politique de réduction des dépenses de la santé! Alors, peut-on encore tolérer ou accepter, en ce début du 21 ème siècle, un tel comportement, au cœur même de la République française, pays des droits de l homme et de l égalité des chances? Il m est impossible de penser que l on puisse laisser prospérer l inégalité et la discrimination en violation de tous nos principes républicains. Il m est impossible de penser que dans notre pays on puisse plus longtemps accepter de laisser sciemment perdurer une situation qui ne peut que révolter les consciences. ALORS QUELLES SONT LES SOLUTION POSSIBLES? Des solutions, il y en a certainement. Mais avant tout, permettez-moi de rappeler qu il y a urgence pour en trouver. Certains de ces praticiens s enlisent dans la précarité depuis 10, 15 voire 20 ans! L attente s éternise et le temps compte. Notre syndicat réclame, tout simplement, des solutions cohérentes et adaptées au contexte de pénurie actuelle, des solutions prenant en comptes l ancienneté et les acquis professionnels, la formation, les diplômes ainsi que les parcours de chacun. Nous estimons que parmi ces praticiens, il y a celles et ceux qui doivent être autorisé sans passer par la nouvelle procédure d autorisation, seule voie proposée actuellement. Ils s agit des praticiens justifiant de 5 années d exercices et d expériences professionnels en France sur des fonctions de seniors, des praticiens titulaires d un DIS ou d un DES à titre étranger et les candidats ayant réussi l examen Oral et écrit du CSCT. Cela nous semble tout à fait possible et réalisable par la publication du décret d application de la validation des acquis de l expérience stipulée par la loi n du 17 janvier 2002 dite loi de modernisation sociale publiée au J.O n 15 du 18 janvier 2002 page Cette validation est inscrite dans les articles L et L du code de l éducation nationale. Autrement, la solution doit nécessairement passer par une réforme de la loi CMU 99 afin de permettre la création d une nouvelle commission d autorisation pour ces praticiens. Notre syndicat revendique par ailleurs, le réajustement des conditions du concours de la nouvelle procédure d autorisation (NPA) avec les règles d évaluation des compétences d un praticien de santé dès la prochaine session, par l intégration d une note attribuée aux dossiers «Titres et Travaux» et «Services rendus» dans la note finale qui permet le classement en rang utile des candidats inscrits aux épreuves de contrôle des connaissances prévues par la NPA. Cette note sera attribuée selon une grille de notation prédéfinie au préalable. La procédure existe pour les autres concours de la fonction publique notamment le concours des praticiens des établissements publics de la santé (PH). Monsieur le président, Mesdames, Messieurs les députés. Je vous remercie de nous avoir accorder cette audience en espérant avoir pu refléter avec clarté les éléments de ce dossier dont les solutions tardent à venir. Je vous remercie de votre attention. Dr Talal ANNANI / Président du SNPADHUE (Syndicat National des Praticiens à Diplôme Hors Union Européenne) Texte élaboré en collaboration avec le Dr Madjid SI HOCINE / Président du SM PLUS.

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PHARMACIE EN FRANCE POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE ET POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME

Plus en détail

GUIDE ET CONSEILS PRATIQUES

GUIDE ET CONSEILS PRATIQUES Syndicats membres SNPADHUE : Syndicat National des Praticiens Á Diplôme Hors Union Européenne / www.snpadhue.com SMPLUS : Syndicat des Médecins à titre Extra Communautaire. SNCSCT : Syndicat National des

Plus en détail

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PROFESSION DE CHIRURGIEN DENTISTE EN FRANCE POUR LES CHIRURGIENS DENTISTES À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE

Plus en détail

DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE AUTORISATIONS MINISTERIELLES D'EXERCICE

DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE AUTORISATIONS MINISTERIELLES D'EXERCICE DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE AUTORISATIONS MINISTERIELLES D'EXERCICE 1 - DIPLOMES OUVRANT DROIT A L'EXERCICE DE LA MEDECINE EN FRANCE I - Les titres de formation exigés

Plus en détail

BELGIQUE. 1. Principes généraux.

BELGIQUE. 1. Principes généraux. BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

École de Santé des Armées. Édition 2014-2015

École de Santé des Armées. Édition 2014-2015 1 Le service de santé des armées : «Une force au service des hommes» Le service de santé (SSA) assure, en toutes circonstances, le soutien médical des forces armées (Terre, Air, Marine) et de la Gendarmerie.

Plus en détail

Syndicat National des Internes en Odontologie

Syndicat National des Internes en Odontologie Syndicat National des Internes en Odontologie Président en charge du Présents : Compte-rendu de la réunon du 19 mars 2014 avec les coordonnateurs des DES Mr le Professeur Robert GARCIA (Président de la

Plus en détail

Questionnaire «B» Peuvent être nommées procureurs les personnes ayant le casier judiciaire vierge et ayant le droit de vote qui ont acquis :

Questionnaire «B» Peuvent être nommées procureurs les personnes ayant le casier judiciaire vierge et ayant le droit de vote qui ont acquis : Questionnaire «B» I. Les conditions préliminaires pour la nomination au poste du procureur sont les suivantes : Aux termes de la loi régissant les rapports de service au sein du parquet : Peuvent être

Plus en détail

Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013

Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Comment promouvoir la place des paramédicaux dans la recherche clinique: type d activités, place et statuts, reconnaissance, formations La recherche clinique fait

Plus en détail

1 - Les conditions légales et réglementaires

1 - Les conditions légales et réglementaires LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires

Plus en détail

Berne, le 15 avril 2014. Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation Monsieur Josef Widmer Effingerstrasse 27 3003 Bern

Berne, le 15 avril 2014. Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation Monsieur Josef Widmer Effingerstrasse 27 3003 Bern Berne, le 15 avril 2014 Secrétariat d Etat à la formation, à la recherche et à l innovation Monsieur Josef Widmer Effingerstrasse 27 3003 Bern par: stefanie.haab@sbfi.admin.ch Prise de position de l association

Plus en détail

N 23 SENAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1982-1983 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. (Urgence déclarée.)

N 23 SENAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1982-1983 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. (Urgence déclarée.) PROJET DE LOI adopté le 27 octobre 1982 N 23 SENAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1982-1983 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT relatif aux études médicales et pharmaceutiques. (Urgence déclarée.) Le Sénat

Plus en détail

MEMOIRE DU GOUVERNEMENT SUR LA RECEVABILITE ET LE BIEN-FONDE

MEMOIRE DU GOUVERNEMENT SUR LA RECEVABILITE ET LE BIEN-FONDE EUROPEAN COMMITTEE OF SOCIAL RIGHTS COMITÉ EUROPÉEN DES DROITS SOCIAUX 9 octobre 2012 Pièce n 2 Union syndicale des magistrats administratifs (USMA) c. France Réclamation n 84/2012 MEMOIRE DU GOUVERNEMENT

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Diplôme de formation médicale spécialisée et diplôme de formation médicale spécialisée approfondie

Diplôme de formation médicale spécialisée et diplôme de formation médicale spécialisée approfondie Diplôme de formation médicale spécialisée et diplôme de formation médicale spécialisée approfondie NOR : ESRS0800237A RLR : 432-3c arrêté du 8-7-2008 ESR - DGES B3-3 Vu code de l'éducation ; code de la

Plus en détail

UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD

UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD UNIVERSITE DES COMORES LA REFORME UNIVERSITAIRE A L UNIVERSITE DES COMORES MISE EN ŒUVRE DU LMD Par KAMALIDDINE AFRAITANE Doyen de la Faculté des Sciences et Techniques HISTORIQUE Mise en place du Comité

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement

A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement A Nancy 14 novembre 2012 n 12/00388, Ch. soc., M. c/ Sté Lorraine Environnement (Extraits) Sur le licenciement : Attendu que la lettre de licenciement, qui fixe les limites du litige, doit être suffisamment

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION

Plus en détail

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE

UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UNIVERSITE DES ANTILLES ET DE LA GUYANE UFR DES SCIENCES MEDICALES FACULTE DE MEDECINE Hyacinthe BASTARAUD Campus Universitaire de Fouillole B.P. 145 97154 Pointe-à-Pitre Cedex Tél. : 0590 48 33 33 Fax

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION

REGLEMENT DE LA CONSULTATION REPUBLIQUE FRANCAISE Mairie d ORCINES Place Saint Julien 63870 ORCINES 04 73 62 10 09 04 73 62 73 00 mairie.orcines@wanadoo.fr www.orcines.fr REGLEMENT DE LA CONSULTATION Maître d ouvrage COMMUNE D ORCINES

Plus en détail

Responsabilité professionnelle des Infirmiers

Responsabilité professionnelle des Infirmiers Responsabilité professionnelle des Infirmiers Diplômés s d Etatd Direction des Affaires Juridiques et des Droits du Patient Bureau de la Responsabilité Médicale et du Contentieux des Personnels Emily THIBAULT

Plus en détail

Bourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes

Bourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes Objectifs Bourses de formation du Fonds pour la Santé des Femmes Le Fond pour la santé des femmes (FSF) à pour objectif principal de développer et soutenir financièrement des actions de formation d information

Plus en détail

EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET

EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET La notion de «fonds libéral», instituée par la Cour de Cassation il y a quelques années simplifie juridiquement la cession des cabinets libéraux. Auparavant, les juristes

Plus en détail

Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus

Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus Communiqué de presse 2 ème édition du Baromètre Appel Médical des salaires de la santé Les infirmiers anesthésistes ont les plus hauts salaires, les préparateurs en pharmacie, ceux qui progressent le plus

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires

CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure

Plus en détail

Le salaire des internes en DES de Médecine Générale

Le salaire des internes en DES de Médecine Générale Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)

Plus en détail

Licence professionnelle Commerce, spécialité E-commerce/e-marketing : gestionnaire de projet

Licence professionnelle Commerce, spécialité E-commerce/e-marketing : gestionnaire de projet Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Commerce, spécialité E-commerce/e-marketing : gestionnaire de projet Université de Bordeaux Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A)

Plus en détail

UN MBA POUR QUI, POURQUOI?

UN MBA POUR QUI, POURQUOI? PARTIE 1 UN MBA POUR QUI, POURQUOI? L e MBA est une formation connue et reconnue dans le monde entier. Cependant, l appellation MBA n est pas un label déposé. Conséquence : l univers des MBA est un monde

Plus en détail

LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. mode d emploi

LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. mode d emploi LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE mode d emploi Découvrir la Fonction Publique Territoriale Trois fonctions publiques en France Il existe en France trois fonctions publiques : la Fonction Publique d Etat

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU 28 FÉVRIER 2014 RELATIF AU TEMPS

Plus en détail

Formation professionnelle continue

Formation professionnelle continue Formation professionnelle continue La formation professionnelle continue comprend deux types d actions : - les actions figurant dans le plan de formation de l établissement ; - les actions choisies par

Plus en détail

Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint)

Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint) Dossier à établir en 2 exemplaires : 1 exemplaire pour l IEJ 1 exemplaire à conserver Nom du candidat :... (nom de famille suivi éventuellement du nom du conjoint) Agrafer ici photo d identité Prénom :..

Plus en détail

Contrat régional d exercice sanitaire Appui aux étudiants. Entre les soussignés :

Contrat régional d exercice sanitaire Appui aux étudiants. Entre les soussignés : Contrat régional d exercice sanitaire Appui aux étudiants Entre les soussignés : 92768502 La Région Ile-de-France, représentée par le Président du Conseil Acte Régional Certifié exécutoire agissant en

Plus en détail

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)

LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein

Plus en détail

LE NOUVEL ESPACE STATUTAIRE DE LA CATEGORIE B. Mode d emploi Questions/réponses

LE NOUVEL ESPACE STATUTAIRE DE LA CATEGORIE B. Mode d emploi Questions/réponses LE NOUVEL ESPACE STATUTAIRE DE LA CATEGORIE B Mode d emploi Questions/réponses 01 Dans quel cadre le nouvel espace statutaire de la réforme de la catégorie B a-t-il été créé? Cette réforme traduit l engagement

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

La fonction publique en France

La fonction publique en France MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE édition 2013 La fonction en France Des métiers au service des citoyens les essentiels Dans la fonction, tous les agents

Plus en détail

Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?

Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? > pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital

Plus en détail

Projet de loi n o 20

Projet de loi n o 20 Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

agrément DES professions paramédicales

agrément DES professions paramédicales agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5

Plus en détail

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES

Plus en détail

Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute. Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014

Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute. Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014 Réingénierie du Diplôme de Masseur Kinésithérapeute Point d étape Organisations professionnelles COPIL Journée UIPARM 3 octobre 2014 Commencée en fin 2007 -Rappel historique- Groupe de travail: initié

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 Décret présidentiel n 14-196 du 8 Ramadhan 1435 correspondant au 6 juillet 2014 portant organisation et gestion de la formation et du perfectionnement

Plus en détail

Arrêtent : Article 2 : La sélection des candidats s effectue selon les critères ci-après :

Arrêtent : Article 2 : La sélection des candidats s effectue selon les critères ci-après : Arrêtent : Article 1 er : En application des dispositions des articles 17, 23 et 29 du décret exécutif n 10-77 du 4 Rabie El Aouel 1431 correspondant au 18 février 2010, susvisé, le présent arrêté a pour

Plus en détail

Avertissement. Signes conventionnels utilisés

Avertissement. Signes conventionnels utilisés Avertissement Sauf mention contraire, les données «France» concernent la France métropolitaine et les départements d outre-mer hors Mayotte. Sur les sites Internet de l Insee (www.insee.fr) et d Eurostat

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droit international général de l Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des

Plus en détail

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie

Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs»

Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs» Modalités d interprétation des dispositions particulières applicables aux veilleurs, surveillants et encadrants de nuit «Statut des veilleurs» Les présentes modalités ont pour objectif d interpréter les

Plus en détail

Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1

Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1 Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE Projet de loi n 1 Loi sur la représentativité des sexes sur le marché du travail Présenté par Mme Jade Boivin Ministre du Travail

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.

Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Dr Raphaël BRIOT ; Dr Jean GARRIC Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d'anesthésie-réanimation RÉSUMÉ

Plus en détail

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC

MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins

Plus en détail

F I C H E P R A T I Q U E N 4 L E C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E D U S E C T E U R P U B L I C

F I C H E P R A T I Q U E N 4 L E C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E D U S E C T E U R P U B L I C F I C H E P R A T I Q U E N 4 L E C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E D U S E C T E U R P U B L I C Avant les démarches administratives - pour tout contrat, qu il soit du secteur privé ou du secteur

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Contrôle des connaissances. Licence professionnelle Notariat

Contrôle des connaissances. Licence professionnelle Notariat Contrôle des connaissances Licence professionnelle Notariat Approuvé par : - Le Conseil de Gestion de l Ecole de Droit du 9 juin 204 - Le Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire de l Université d

Plus en détail

Le montant forfaitaire envisagé "est le même que celui en vigueur pour l'indemnisation des ayants droit des agents décédés", ajoute la DGOS.

Le montant forfaitaire envisagé est le même que celui en vigueur pour l'indemnisation des ayants droit des agents décédés, ajoute la DGOS. APM International Jeudi 26 mai 2011-18:43 Gestion des CET: la DGOS annonce des modifications PARIS, 26 mai 2011 (APM) - Des dispositions modifiant la gestion des comptes épargne temps (CET) dans la fonction

Plus en détail

R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S

R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S Direction des ressources humaines Centre de formation Formations spécialisées en soins R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S P O U

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction

Plus en détail

Créé le : 30.03.2009 Approuvé le : 26.03.2009

Créé le : 30.03.2009 Approuvé le : 26.03.2009 3. Personnel et \ 3.2 Corps Nombre de pages: 1/6 1. OBJET DE LA DIRECTIVE La présente directive définit les principes de calcul des salaires des médecins internes, chefs de clinique avec ou sans FMH, pharmaciens

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Note de synthèse concernant une réflexion sur les Services de Santé (bucco-dentaire) au plan européen

Note de synthèse concernant une réflexion sur les Services de Santé (bucco-dentaire) au plan européen Note de synthèse concernant une réflexion sur les Services de Santé (bucco-dentaire) au plan européen le 31 janvier 2007 La Confédération Nationale des Syndicats Dentaires est favorable à la mobilité de

Plus en détail

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire 1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS

DOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS INSTITUT DE FORMATION INTERHOSPITALIER THEODORE SIMON CJ/PV/23/11/2005 DOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS 2 concours d entrée par an 2 sessions

Plus en détail

Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire

Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire Fiche n 1 : Personnel salarié Chargé d enseignement vacataire I. Condition générale: Avoir une activité salariée d au moins 900h de travail, ou 300 heures d enseignement, par an II. Condition liée à l

Plus en détail

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles

Plus en détail

Guide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers

Guide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers Guide du tuteur Baccalauréat professionnel Accueil-Relation Clients et Usagers Lycée Professionnel Henri Brulle 65 Route de Saint Emilion 33500 Libourne Tél : 05.57.48.12.30 Fax : 05.57.85.11.52 Présentation

Plus en détail

ACCORD DU 18 JUIN 2010 PRÉAMBULE

ACCORD DU 18 JUIN 2010 PRÉAMBULE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3367 Convention collective nationale IDCC : 2847. PÔLE EMPLOI ACCORD DU 18 JUIN 2010 RELATIF AU TRANSFERT

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

Fédération Nationale des Syndicats d Internes en Pharmacie

Fédération Nationale des Syndicats d Internes en Pharmacie Fédération Nationale des Syndicats d Internes en Pharmacie RÉSULTATS DE L ENQUÊTE NATIONALE JUIN 2013 President@fnsip.fr Tél : 06.10.28.39.18 5, rue Frederick Lemaître 75020 Paris www.fnsip.fr Twitter

Plus en détail

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale

Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Ministère du travail, de l emploi et de la santé Direction de la sécurité sociale Sous-direction de l accès aux soins, des prestations familiales et des accidents du travail Bureau couverture maladie universelle

Plus en détail

La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC

La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC La retraite des Praticiens Hospitaliers = retraite du régime général de la Sécurité Sociale + retraite complémentaire IRCANTEC Denis Desanges A - Introduction I - La retraite du régime général Différentes

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CENTRE DE GESTION DE MAINE ET LOIRE NOTE D INFORMATION MARS 2008 Mise à jour JUIN 2009 (Annule et remplace la précédente) LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE

chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE chapitre 1 ORIENTATION : LES ÉTUDES EN MANAGEMENT Par Christine GUESDON avec l aide de Jean TULOUP et de Mustapha BENKALFATE 8 Chapitre 1 L engouement pour les formations en management, au sein des écoles

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 1 SANTE AU TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Dr Sylvain PEREAUX 1. L APTITUDE MÉDICALE DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le but de l aptitude médicale à un poste de travail est de vérifier

Plus en détail

MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE

MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le Ministère de la santé, de la famille Et des personnes handicapées. MESURES D ADAPTATION DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE Le ministre de la santé, de la famille

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

Equivalences et dispenses de diplômes pour l accès à un concours

Equivalences et dispenses de diplômes pour l accès à un concours LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Mise à jour le : 20/01/2015 Equivalences et dispenses de diplômes pour l accès à un concours Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale du Cher B.P 2001 18026

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

DESCRIPTION DU METIER D AUXILIAIRE AMBULANCIER IFPS - BESANCON

DESCRIPTION DU METIER D AUXILIAIRE AMBULANCIER IFPS - BESANCON Institut de Formation de Professions de Santé Centre Hospitalier Régional Universitaire de Besançon Formation auxiliaire ambulancier 44 chemin du Sanatorium 25 030 BESANCON CEDEX Tél. : 03.81.41.51.37

Plus en détail

Le Contrat d engagement éducatif. CDDP 2 février 2012

Le Contrat d engagement éducatif. CDDP 2 février 2012 Le Contrat d engagement éducatif CDDP 2 février 2012 1 SOMMAIRE 1 Le CEE Kézako? 2 La Directive Européenne 3 La Jurisprudence (CJCE et CE) 4 Conséquences et perspectives 5 Questions diverses 2 Le CEE 1

Plus en détail

L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique

L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

TIERS PAYANT. des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD!

TIERS PAYANT. des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD! TIERS PAYANT des professionnels de santé GÉNÉRALISATION DU TIERS PAYANT : LA FRANCE A UN NET RETARD! La généralisation du tiers payant à l ensemble des soins de ville avant 2017 fait partie des mesures

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé

Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de

Plus en détail

20 SEPTEMBRE. juin 2010

20 SEPTEMBRE. juin 2010 05224 19 20 SEPTEMBRE juin 2010 2014 LEGISLATION Les principaux changements relatifs à l organisation et au fonctionnement des SST Décision de la Direction Générale du Travail 29 avril 2014 Annulation

Plus en détail