LE TRAVAIL ISOLE. Cependant plusieurs articles du code du travail abordent indirectement de la situation de travailleur isolé.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LE TRAVAIL ISOLE. Cependant plusieurs articles du code du travail abordent indirectement de la situation de travailleur isolé."

Transcription

1 Service Hygiène et sécurité LE TRAVAIL ISOLE Réglementation Fiche 7 Janvier 2009 Certains travailleurs peuvent être isolés sur leur poste ou du fait de leurs conditions de travail (astreinte, agent d entretien, ). Le travail isolé peut être dangereux pour son acteur ou pour autrui. Un opérateur isolé peut avoir un comportement inadapté conduisant à une situation accidentogène. En effet, étant seul face à une situation «anormale» il ne va disposer que de ses seules ressources personnelles (formation et expérience), et de ses caractéristiques mentales (anxiété, épilepsie ). De plus, en cas d accident grave tel qu une hémorragie importante, une perte de connaissance, l isolement peut aggraver les risques faute de secours en temps utile. Enfin, il est à noter que le travailleur isolé est une proie plus facile pour une agression extérieure. Le travail isolé n est par conséquent pas un risque en soi, mais un facteur aggravant d autres risques professionnels. DEFINITION On définit : Travail isolé : "toute phase de travail qui est hors vue et/ou hors d'ouïe d'autres travailleurs". Travail dangereux : travail reconnu comme tel dans le cadre du document unique ou pour lequel la réglementation rend la présence d'un surveillant obligatoire. Poste "essentiels à la sécurité" des autres : il n'y a pas de définition réglementaire ; on y inclut généralement tous les postes de conduite ainsi que les postes de surveillance de la sécurité d'autrui. REGLEMENTATION L employeur à une obligation générale de sécurité. Il doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs, notamment par la mise en place d une organisation et de moyens adaptés (art. L anciennement L du code du travail). Concernant les situations de travail isolé, il n existe nul part dans le code du Travail de définition du travail en situation d isolement. Cependant en 1966, le Comité Central de Coordination a émis le vœu suivant : «Il est recommandé aux entreprises de ne pas faire travailler seul à un poste de travail dangereux ou essentiel à la sécurité des autres travailleurs. D autre part, tout salarié ou équipe de salarié dont le poste de travail est isolé du reste de l entreprise doit faire l objet d une surveillance directe ou indirecte de jour comme de nuit.» Il ne s agit que d un vœu qui ne s impose pas aux employeurs comme une obligation. Cependant plusieurs articles du code du travail abordent indirectement de la situation de travailleur isolé. De plus, des textes réglementaires et des recommandations de la Caisse Nationale d Assurance Maladie - CNAM imposent pour certains postes à risques la mise en place d une surveillance lors de travaux isolés. CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 1 sur 6

2 1. Mesures générales abordant indirectement de la situation de travail isolé dans le code du travail: R et 16 (ancien R et R du Code du travail) Bien que le code du travail ne définisse pas de définition des situations de travailleurs isolés, plusieurs articles du code du travail abordent indirectement de la situation de travailleur isolé. Article R : Dans les ateliers où sont effectués des travaux dangereux, ou chantier occupant vingt personnes au moins pendant plus de quinze jours, un secouriste doit être présent pour vingt personnes. Article R : L'entreprise prend des dispositions nécessaires pour assurer les premiers secours aux accidentés et aux malades. 2. Réglementations particulières concernant les travaux dangereux nécessitant la présence d un surveillant. Certains travaux sont considérés comme dangereux et ne peuvent être réalisés par des agents travaillant seuls que sous certaines conditions. Une surveillance doit être mise en place. L'agent assurant la surveillance doit être une personne désignée, qualifiée, instruite sur les mesures à prendre en cas d'incident et d'accident et ayant à sa disposition les moyens nécessaires pour intervenir, donner l'alerte et apporter les premiers secours. Travail en hauteur (Décret du 8 janvier 1965 décret du 1 er septembre 2004)) BATIMENT TRAVAUX PUBLICS Lorsque la protection d un travailleur ne peut être assurée que par un système d arrêt de chute, ce travailleur ne doit jamais rester seul sur le chantier. Manœuvres de camions et engins (code du travail R ancien R ) Chariot automoteur (arrêté du 30 juillet 1974 art. 5) Elévateur de personnel à nacelle sur porteur (RECOMMANDATION R 386) Préparation et utilisation de produits anti-parasitaires (Arrêté du 16 mai 1983 départements OM) Lorsque le conducteur d un camion doit exécuter une manœuvre, et notamment une manœuvre de recul, dans des conditions de visibilité insuffisante, une ou plusieurs personnes doivent, soit par la voix, soit par des signaux conventionnels, diriger le conducteur et avertir les personnes survenant dans la zone où évolue le véhicule. Les mêmes précautions doivent être prises lors du déchargement d une benne de camion. Si la visibilité est insuffisante pour une conduite en sécurité, un convoyeur guide le conducteur. La manœuvre doit être effectuée par deux personnes au minimum : l utilisateur de la nacelle (situé sur la plate-forme de travail) et le surveillant de manœuvre (situé en sol). Ces agents doivent être titulaires d une autorisation de conduite délivrée par l autorité territoriale. Le surveillant de manœuvre, si le lieu de travail n est pas isolé du reste du chantier, peut faire partie du personnel environnant proche. N.B. L autorisation de conduite vise à s assurer que les agents : - sont aptes physiquement à conduire l engin ; - sont capables de manœuvrer l engin en sécurité; - connaissent les consignes de sécurité et les consignes d urgence liées au fonctionnement de cet engin. ESPACES VERTS Les travaux nécessitant l utilisation de produits anti-parasitaires doivent se faire sous la surveillance permanente de l employeur ou de ses préposés qualifiés. Entreprises extérieures (code du travail art. R (ancien R ) ENTREPRISES EXTERIEURES Lorsque l opération est effectuée de nuit ou dans un lieu isolé ou à un moment où l activité de l entreprise utilisatrice est interrompue, le chef de l entreprise extérieure concerné doit prendre les mesures nécessaires pour qu aucun salarié ne travaille isolément en un point où il ne pourrait être secouru à bref délai en cas d accident. CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 2 sur 6

3 TRAVAUX DANGEREUX NECESSITANT UNE SURVEILLANCE DIRECTE (suite) Montage et démontage des pneumatiques et engins sur roues (Recommandation R 197 de la CRAM) Travaux en puits ou galerie (Décret du 8 janvier 1965) Travaux dans les cuves et réservoirs, fosses d aisance, puits (articles R , R et 24, R (anciennement : L233-2, R et R ) du Code du travail BATIMENT Une intervention sur roues à pneumatiques doit s effectuer, pendant toute sa durée et sans interruption, sous la conduite d une même personne dûment formée et instruite. Tant qu il y a des hommes dans une galerie souterraine ou au fond d un puits, un homme doit être constamment présent pour la manœuvre du treuil. Lorsque la profondeur d un puits dépasse 6 m, le service d un treuil mû à la main doit être assuré par deux hommes au moins. Dans les cuves ou appareils quelconques pouvant contenir des gaz délétères, les mesures suivantes s imposent : - les agents doivent être attachés par une ceinture ou protégés par un autre dispositif de sûreté. - un agent doit assurer la surveillance de l agent intervenant. - l agent de surveillance doit être une personne qualifiée, instruite sur les mesures à prendre le cas d incident et d accident et ayant à sa disposition les moyens nécessaires pour intervenir, donner l alerte, apporter les premiers secours. - les travaux ne doivent être entrepris qu après vérification de l absence de risque pour l hygiène et la sécurité des travailleurs et, le cas échéant, après assainissement de l atmosphère et vidange du contenu. - pendant les travaux, la ventilation doit être réalisée de manière à maintenir la salubrité. N.B. Ces dispositions impliquent que les interventions se fassent par équipe de deux agents, que l un d entre eux au moins soit formé aux premiers secours, qu ils disposent de détecteurs de gaz et de moyens de communication, que l agent intervenant soit relié à l extérieur par l intermédiaire d un harnais et d une longe et éventuellement qu ils puissent ventiler le local. Locaux ou emplacements particuliers de chocs électriques (Décret du 14 novembre 1988) Travaux électriques effectués hors tension et sous tension (Décret du 14 novembre 1988) Travaux exécutés au voisinage des pièces sous tension des domaines HTA et HTB (Décret du 14 novembre 1988) Vérification des installations électriques (Décret du 14 novembre 1988) Accumulateurs de matière (Arrêté du 24 mai 1956) Stations d épuration (Recommandation R 213) ELECTRICITE Des personnes non averties des risques électriques ne peuvent pénétrer que sous le contrôle permanent d une personne avertie. Pour les installations des domaines BTB, HTA et HTB, les travaux doivent être effectués sous la direction d un chargé de travaux, personne avertie des risques électriques et spécialement désignée à cet effet. Les intervenants doivent être sous surveillance permanente d une personne avertie des risques présentés par ce type d installation. Une personne connaissant les installations et les risques accompagnent les vérificateurs chaque fois que cela est nécessaire. La descente de personnel à l intérieur d accumulateurs de matières ne pourra être effectuée que sur l ordre du chef d entreprise ou de son préposé et sous la surveillance d un agent de maîtrise qualifié qui devra rester présent, à l extérieur de l accumulateur, pendant toute la durée des travaux. STATION D EPURATION Faire exécuter par deux personnes les tâches dangereuses. Dans les autres cas, assurer au profit du travailleur isolé une surveillance directe ou indirecte, de jour comme de nuit. Par tâches dangereuses, il faut entendre celles où, par suite de son isolement ou du fait de l environnement, l agent, en cas d accident, ne peut-être secouru à temps. Exemples : - nettoyage des éjecteurs ; - dégrillage ; - manipulation de produits dangereux ; - intervention dans les cuves, réservoirs ou en bordure du vide ou de l eau ; Travaux exposant à des risques de chute dans l eau (Arrêté du 28 septembre 1971) Dans les travaux d extraction par déroctage ou dragage, exposant au risque de chute dans l eau, un ouvrier doit rester constamment visible d un autre membre du personnel. Si il y a des travaux spéciaux, un agent de maîtrise compétent dirige la manœuvre et dispose d une embarcation. CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 3 sur 6

4 TRAVAUX DANGEREUX NECESSITANT UNE SURVEILLANCE DIRECTE (suite) Appareils de levage Article R (ancien R ) LEVAGE Le poste de manœuvre d'un appareil de levage doit être disposé de telle façon que le conducteur puisse suivre des yeux les manœuvres effectuées par les éléments mobiles de l'appareil. Si le conducteur d'un équipement de travail servant au levage de charges non guidées ne peut observer le trajet entier de la charge ni directement ni par des dispositifs auxiliaires fournissant les informations utiles, un chef de manœuvre, en communication avec le conducteur, aidé le cas échéant par un ou plusieurs travailleurs placés de manière à pouvoir suivre des yeux les éléments mobiles pendant leur déplacement, doit diriger le conducteur. Par ailleurs, des mesures d'organisation doivent être prises pour éviter des collisions susceptibles de mettre en danger des personnes. Décret n du 8 janvier 1965 (Article 41) Décret du 23 août 1947 (art.30) Ascenseurs et monte-charge (Décret du 10 juillet 1913 modifié, article 11 g) Lorsqu'un appareil de levage se dresse à proximité d'une construction sur laquelle des travailleurs sont occupés, l'espace libre entre les éléments mobiles de l'appareil et le dernier plancher doit être de deux mètres au minimum. Si la charge passe à moins de deux mètres du dernier plancher, un travailleur doit être désigné pour signaler l'approche des charges. Lors que les travaux au voisinage de conducteurs nus sous tension ou de chemins de roulement des appareils qui ne sont pas à l arrêt, un surveillant qualifié est obligatoire. ASCENSEURS Il est parfois nécessaire, au cours des travaux d'entretien ou de réparation, de neutraliser les dispositifs ou les asservissements qui assurent la sécurité, de choisir les dispositions appropriées, de les faire connaître aux intéressés et de veiller à leur stricte application. Non seulement ces travaux seront confiés à deux ouvriers au moins (dont l'un aura pour fonction essentielle d'assurer la sécurité de son compagnon), mais encore ils doivent être exécutés en la présence d'un surveillant qualifié. Décret no du 30 juin 1995 (art.8) Le travail isolé est interdit si le port de charge est supérieur à 50 Kg, si il y a port de protection respiratoire ou de dispositif anti-chute, et si le travail est réalisé depuis le toit de la cabine ou dans la fosse de l ascenseur. Décret du 2 octobre 1986 (art 17) Décret du 28 mars 1990 (art.31) Arrêté du 27 juin 1968 (art. 3) Arrêté du 3 avril 1981 (art.9) Arrêté du 21 septembre 1982 (art. 8 de l annexe) (art.30) RAYONNEMENT IONISANT La manipulation et l utilisation des sources radioactives s effectuent toujours sous la surveillance d une personne compétente. MILIEU HYPERBARE Tout travailleur intervenant sous pression est surveillé en permanence par une personne compétente. TANNERIE La descente d un ouvrier dans une cuve de tannerie se fait sous la surveillance permanente d une personne désignée par l employeur. La remise en marche de la machine est réalisée sous la surveillance d une personne qualifiée désignée par l employeur. NAVIRES Un agent qualifié doit surveiller l atmosphère des locaux dangereux pendant toute la durée des travaux dans des navires contenant des liquides inflammables ou du gaz combustible liquéfié.. Les échafaudages flottants montés sur les barges ou radeaux flottants sont utilisés sous la surveillance d un agent qualifié. CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 4 sur 6

5 TRAVAUX DANGEREUX NECESSITANT UNE SURVEILLANCE DIRECTE (suite) Établissements pyrotechniques (Décret n du 28 septembre 1979 article 28) Décret du 3 mai 1995 (art.22 de l annexe) Décret du 27 mars 1987 (art.21) / décret du 22 octobre 1992 (art.25) Décret du 1 avril 1992 (art.17) EXPLOSIFS / MINES Si les matières ou objets explosibles ne sont pas complètement éliminés du local avant l'exécution des travaux, ces derniers doivent être surveillés en permanence, du point de vue des dangers pyrotechniques, par une personne qualifiée connaissant les risques particuliers audit local et les salariés dont la présence n'est pas nécessaire à l'exécution de ces travaux doivent être évacués. Les personnes exerçant leur fonction en isolé bénéficient d une surveillance adéquate ou d un moyen de télécommunication. L utilisation d explosifs (carrières, mines, BTP, travaux agricoles) est réalisée par un boutefeu. Après le tir celui-ci est assisté d une autre personne pour réaliser la reconnaissance des lieux. VOIES FERREES D ETABLISSEMENT Les manœuvres en conditions normales d exploitation sont dirigées par un chef de manœuvre. 3. Recommandations et normes La recommandation R.252 du comité technique des industries du BTP et des pierres et terres à feu (8 décembre 1986) sur les postes de travail isolés et dangereux ou essentiels pour la sécurité définit les points suivants : Faire en sorte que les postes de travail isolés présentant un caractère dangereux ou étant essentiels pour la sécurité du reste du personnel puissent faire l'objet d'une surveillance directe ou indirecte de jour comme de nuit, Dans ce dernier faute de rapprocher le salarié d'autres travailleurs par des dispositifs de télécommande ou de télésurveillance, établir une ronde ou lui fournir des moyens de communication avec des personnes susceptibles de lui porter secours. Pour les postes de travail isolés essentiels pour la sécurité du reste du personnel prévoir de disposer d'un suppléant à proximité immédiate ou en liaison avec le titulaire. MESURES DE PREVENTION et AXES DE REFLEXION SUR LES PROBLEMATIQUES DE TRAVAILLEURS ISOLES Les situations de travailleur isolé doivent être identifiées et gérées dans chaque collectivité. Il s agit de dresser la liste des postes ou des situations ou le travailleur est isolé, à rechercher ceux qui présentent un caractère dangereux ou essentiel pour la sécurité. Puis dans un second temps, il s agit d évaluer ces situations à risques afin de réduire les risques et engager des actions de prévention. L évaluation des situations à risques doit prendre en compte : - La présence du danger lié au travail, la gravité potentielle de l accident (décès, incapacité?) - La durée de l isolement (isolement ponctuel, courte durée?) - La possibilité d appel des secours (téléphone portable, Dispositif d Alarme du Travailleur Isolé : DATI?) - L aptitude du personnel en situation d isolement (capacité à supporter l isolement, problèmes de santé?) CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 5 sur 6

6 Dans le cadre de l évaluation de la problématique du travailleur isolé, les axes de réflexions suivants peuvent être menés au sein de la collectivité. Une réflexion doit être menée sur l'isolement : Reconsidérer l'obligation de l'isolement, Trouver des solutions pour réduire même partiellement l'isolement (visuel ou sonore voire psychologique). Exemple : Si sur une journée de travail on réduit de 10% le temps de travail isolé (par déplacement d'une certaine opération en lieu plus fréquenté, ou par le percement d'une fenêtre) c'est toujours une réduction du risque. Une réflexion doit également être engagée sur le ressenti du travail isolé : Valider progressivement la formation et l'expérience d'un nouvel agent avant de lui confier des tâches en travail isolé Apprendre aux agents isolés à arrêter leur activité quand un aléa dépasse le travail prévu et leurs compétences Valoriser le recours téléphonique au hiérarchique ou à un collègue distant pour vérifier des hypothèses de travail (monter une permanence téléphonique si nécessaire) Organiser un système de retour d'expérience sur les problèmes rencontrés par chacun pour partager les expériences même si on ne travaille pas ensemble Envisager une certaine "sélection psycho-médicale" du personnel avec la médecine du travail : écarter les salariés immatures, les très angoissés, les porteurs de pathologies (cardiaques, épileptiques...) Une réflexion doit être menée sur les activités exercées, l identification des risques, leur évaluation et la définition d actions de prévention. Réduire les risques propres aux activités réalisées. Si les risques sont faibles : o veiller à assurer une couverture en secouristes, à maîtriser les horaires de travail afin qu ils ne dérapent pas, à afficher et communiquer aux agents les consignes et la conduite à tenir en cas d accident, à mettre à leur disposition une trousse de 1ers secours, etc. o veiller au bon fonctionnement des moyens de communication (couverture, équipements mobiles ) o envisager de sensibiliser les agents sur leur hygiène de vie (exemples : sommeil, alimentation, sport régulier, limitation de la consommation médicamenteuse, absence de recours aux drogues), o veiller à ce que les porteurs de pathologies portent avec eux, soi une carte d'identification de la pathologie avec les gestes d'urgence à faire et les numéros d'appel à composer, soi le traitement d'urgence adapté à leur problème de santé. Si les risques sont jugés forts il faut envisager en complément des mesures précédentes la mise en place d une "surveillance directe ou indirecte" : o La surveillance directe doit être assurée au minima pour certains postes dangereux (cf précédent concernant les postes dangereux pour lesquels il y a obligation de surveillance directe) par des agents désignés par l autorité, compétent. o La surveillance indirecte consiste à la mise en place d un système d'homme mort" (DATI détection d'alarme de travailleurs isolés). Attention le DATI est un équipement cher et lourd techniquement (émetteur / récepteur). La solution du rondier ou de l'appel téléphonique cyclique peut constituer une surveillance indirecte moins onéreuse, bien que sa mise en œuvre puisse également être contraignante et parfois illusoire. CDG 42- REGLEMENTATION Fiche 7 Page 6 sur 6

OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION

OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION OBLIGATIONS DE LA COLLECTIVITE AVANT INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES PLAN DE PREVENTION Service Santé Sécurité au Travail Maison des Communes Cité Administrative Rue Renoir BP 609 64006 PAU Cedex

Plus en détail

Etude sur les risques en entreprise du travailleur isolé

Etude sur les risques en entreprise du travailleur isolé Page 1 sur 18 Etude sur les risques en entreprise du travailleur isolé MASTER P.R.N.T 27, boulevard Jean Moulin - 13385 Marseille cedex 5 Tel : 04-91-83-55-33 Fax : 04-91-80-94-69 PROJET UE5 Année 2007

Plus en détail

Page 1. Le Plan de Prévention

Page 1. Le Plan de Prévention Page 1 Le Plan de Prévention 01 LA REGLEMENTATION Rappel : Le document Unique d Evaluation des Risques Dans toute entreprise, le chef d entreprise a pour obligation d assurer la sécurité et la santé de

Plus en détail

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE

LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Circulaire d'informations n 2009/17 du 15 septembre 2009 LES FORMATIONS OBLIGATOIRES EN HYGIENE ET SECURITE Références : - Loi n 84-594 du 12 juillet 1984 modifiée relative à la formation des agents de

Plus en détail

MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES

MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES MASTER PREVENTION DES RISQUES ET NUISANCES TECHNOLOGIQUES 1 I. Les textes applicables Décret du 8 janvier 1965 modifié qui concerne les mesures de protection applicables aux établissements dont le personnel

Plus en détail

Réglementation relative aux autorisations de conduite et habilitations électriques

Réglementation relative aux autorisations de conduite et habilitations électriques Réglementation relative aux autorisations de conduite et habilitations électriques Les autorisations de conduite Bases réglementaires Définition Les conditions de la délivrance d une autorisation de conduite

Plus en détail

1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION :

1. REGLEMENTATION : 2. INTRODUCTION : 1. REGLEMENTATION : Décret n 65-48 du 8 janvier 1965 modifié portant règlement d'administration publique pour l'exécution des dispositions de la partie IV du Code du travail en ce qui concerne les mesures

Plus en détail

LES RÈGLES D OR DE TOTAL

LES RÈGLES D OR DE TOTAL rendez-vous sur www.total.com Direction de la Sécurité Industrielle TOTAL S.A. Siège social : 2, place Jean Millier La Défense 6 92078 Paris-La Défense Cedex France Tel. +33 (0)1 47 44 45 46 Capital social

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL

FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus

Plus en détail

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets

LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ. Agents réalisant la collecte des déchets LIVRET DE CONSIGNES DE SÉCURITÉ Agents réalisant la collecte des déchets Sommaire 1- Enjeux et objectifs de ce livret... 3 2- Au départ (Avant la collecte)... 4 2.1 Les équipements de protection individuelle

Plus en détail

LE TRAVAIL EN HAUTEUR

LE TRAVAIL EN HAUTEUR F I C H E P R E V E N T I O N N 0 2 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LE TRAVAIL EN HAUTEUR STATISTIQUES Avec près d une centaine d agent victime de chutes de hauteur durant les 5 dernières années dans les

Plus en détail

Protocole de sécurité chargement déchargement

Protocole de sécurité chargement déchargement Protocole de sécurité chargement déchargement Note pratique de prévention N.P.P.-01/2007 CRAM Centre Ouest Caisse Régionale d Assurance Maladie Centre Ouest 37 avenue du Président René Coty - 87048 LIMOGES

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18 CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15.- Les éléments mobiles de transmission d'énergie ou de mouvements des équipements de travail présentant des risques de contact mécanique pouvant entraîner des accidents doivent

Plus en détail

LA CONDUITE DE VEHICULES ET D ENGINS

LA CONDUITE DE VEHICULES ET D ENGINS Fiche outil n 2 LA CONDUITE DE VEHICULES ET D ENGINS Le Code de la route fixe les dispositions relatives à la conduite des différents véhicules automobiles ou ensemble de véhicules pour tous les conducteurs.

Plus en détail

Habilitation électrique et ses nouvelles obligations

Habilitation électrique et ses nouvelles obligations Fédération des entreprises internationales de la mécanique et de l électronique 43-45 rue de Naples 75008 PARIS www.ficime.fr Service technique : Joël URBAN Tél. : 01.44.69.40.71 Fax : 01.44.69.40.61 Portable

Plus en détail

S informer sur les formations obligatoires ou recommandées

S informer sur les formations obligatoires ou recommandées GUIDE S informer sur les formations obligatoires ou recommandées FEV 2012 Le Code du travail ou les instances de prévention des risques professionnels imposent ou recommandent expressément le suivi de

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE

GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE / Hygiène et sécurité NORMES D EXPLOITATION Réf. : Aperam Safety ST 007 Grues et équipements de levage Publication : 15.05.2012 Version : v0 Rév. : AM Safety 007 v2 10.11.2010 GRUES ET ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE

Plus en détail

Carrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier

Carrefour ARRAS. Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Carrefour ARRAS Expertise réalisée par : Vincent Cordonnier Page / 4 Site : Carrefour ARRAS Expertise Identité complète Responsable : M. Bidon Paul rue des Sachets 600 ARRAS Date d'audit : 06/05/00 Consultant

Plus en détail

LE PLAN DE PREVENTION

LE PLAN DE PREVENTION 1 Association des Directeurs et Responsables de Services Généraux Facilities Manag ers Association LE PLAN DE PREVENTION Avertissement : ce document est un exemple établi pour un besoin particulier. Il

Plus en détail

Recours aux entreprises extérieures

Recours aux entreprises extérieures RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur;

Sont assimilées à un établissement, les installations exploitées par un employeur; Arrêté royal du 4 décembre 2012 concernant les prescriptions minimales de sécurité des installations électriques sur les lieux de travail (M.B. 21.12.2012) Section I er. - Champ d'application et définitions

Plus en détail

TABLEAU DES FORMATIONS OBLIGATOIRES

TABLEAU DES FORMATIONS OBLIGATOIRES CARAXO marque de votre empreinte la Fonction Formation www.caraxo.fr 1 DOCUMENT UTILE TABLEAU DES FORMATIONS OBLIGATOIRES Définition Les formations obligatoires représentent l ensemble des actions de formation

Plus en détail

Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail»

Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail» Pôle «Prévention et Santé au Travail» Service «Prévention et Conditions de Travail» Titre II du décret n 85-603 du 10 juin 1985 modifié par le décret 2012-170 du 3 février 2012 (articles 6 à 9) Article

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ÉLECTRICITÉ, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Démenagement d objets lourds et encombrants : un outil = le monte-meubles

Plus en détail

Règles Générales de Sécurité et Santé

Règles Générales de Sécurité et Santé R.G.S.S. destinées aux entreprises extérieures devant intervenir sur les bâtiments et installations de la Banque Internationale à Luxembourg S.A. Les Règles Générales de Sécurité et Sûreté (R.G.S.S.) ont

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Pose, maintenance et dépose des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques en sécurité Guillaume J.Plisson - pour l'inrs Des préconisations

Plus en détail

Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993)

Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Modifié par: (1) arrêté royal du 17 juin 1997 concernant la signalisation de sécurité et de santé au travail

Plus en détail

LES TRANSPALETTES ET TRANSPALETTES GERBEURS A CONDUCTEUR ACCOMPAGNANT

LES TRANSPALETTES ET TRANSPALETTES GERBEURS A CONDUCTEUR ACCOMPAGNANT N ewsletter N 24 mai 2010 Tous les éléments cités sur cette lettre d informations sont donnés à titre indicatif. Ils ne constituent en aucune façon une reproduction exhaustive ou littérale des prescriptions

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci

Plus en détail

Manutention et Levage

Manutention et Levage Manutention et Levage Manutentions Manuelles : la norme NF X35-109 La masse unitaire maximale acceptable est fixée à 15kg pour le soulever/ tirer Pour les hommes et les femmes. Et ce, dans des conditions

Plus en détail

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau

Présentation de l entreprise l postes de travail. Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d. Présentation des postes de travail: Bureau Illustration du guide SOBANE Risques d incendie d ou d explosiond Caroline Pirotte Ergonome Présentation de l entreprise l et des postes de travail Hôtel situé à Bruxelles Ville +/- 90 travailleurs +/-

Plus en détail

Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001

Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001 Table des matières 1. Généralités Introduction Table des matières Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001 2. Politique de sécurité Accueil et formation des nouveaux engagés

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

INSTRUCTION DE SÉCURITÉ

INSTRUCTION DE SÉCURITÉ INSTRUCTION DE SÉCURITÉ ayant force d obligation selon SAPOCO/42 TIS Rév. 3 Publié par : TIS-GS Date de révision : septembre 2003 Original : français Alarmes et systèmes d alarme de sécurité dite de «niveau

Plus en détail

Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.

Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3. Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et

Plus en détail

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés. Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare

Plus en détail

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc

Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d emplois correspondant au poste, la durée de travail, etc MODELE DE FICHE DE POSTE INTITULE DU POSTE : AGENT POLYVALENT DES SERVICES TECHNIQUES OBJECTIF PRINCIPAL DU POSTE : Principaux éléments de l emploi en particulier la filière professionnelle, le cadre d

Plus en détail

Formations à la sécurité Obligations de l employeur

Formations à la sécurité Obligations de l employeur Formations à la sécurité Obligations de l employeur 1 2Sommaire Introduction 3 Obligation liée à la formation à la sécurité incendie 4 Mise en oeuvre des extincteurs 5 Equipier de 1 ère intervention 6

Plus en détail

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail;

1 la loi: la loi du 4 août 1996 relative au bien-être des travailleurs lors de l'exécution de leur travail; Arrêté royal du 30 août 2013 fixant des dispositions générales relatives au choix, à l'achat et à l'utilisation d'équipements de protection collective (M.B. 7.10.2013) Chapitre I er. - Dispositions relatives

Plus en détail

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :

Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE : Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction

Plus en détail

Quel est le document principal qui vous précise les instructions de sécurité

Quel est le document principal qui vous précise les instructions de sécurité TEST HABILITATION Quizz 1 Textes et Normes Quel est le document principal qui vous précise les instructions de sécurité La norme NFC 15-100 Les prescriptions UTE C18 510 Le règlement interne de l'entreprise

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE

CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE 1 A. MODALITÉS DE MISE A DISPOSITION DU VÉHICULE RESERVATION 1) Faire la demande auprès du CDH53, définir la date à laquelle vous viendrez chercher le véhicule (hors samedi

Plus en détail

Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs.

Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs. 1 Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs. S. ARTIGNAN 1 (1) assistant en médecine du travail, Ecole d application du service de santé des armées, BP n 1, 00466 - Armées

Plus en détail

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)

POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe

Plus en détail

Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours

Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours Objectif Être capable : - d'appliquer la réglementation relative au transport des marchandises dangereuses et au stockage. - de rechercher

Plus en détail

2. Conduite d engins en sécurité

2. Conduite d engins en sécurité 2. Conduite d engins en sécurité Edition: 01/2015 Texte original en langue française 125, route d Esch L-1471 LUXEMBOURG Tél.: (+352) 26 19 15-2201 Fax: (+352) 40 12 47 Web: www.aaa.lu E-mail: prevention@secu.lu

Plus en détail

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES

POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements. Largeur totale cumulée. Effectif

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements. Largeur totale cumulée. Effectif CODE DU TRAVAIL Art. R. 232-12.- Les dispositions de la présente section s'appliquent à tous les établissements mentionnés à l'article L. 231-1 à l'exception de ceux qui constituent des immeubles de grande

Plus en détail

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2

Préambule.... 2 Chapitre 1 : Rappel des quelques obligations législatives et réglementaires... 2 Charte professionnelle visant à organiser et assurer l hygiène et la sécurité des salariés en situation de coactivité pendant les opérations de montage et de démontage des manifestations commerciales Préambule....

Plus en détail

Premiers secours. Article 36

Premiers secours. Article 36 Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers

Plus en détail

18 Février 2011 à 12 Heures

18 Février 2011 à 12 Heures MARCHES PUBLICS DE SERVICES Ville d Auterive Place du 11 novembre 1918 31190 AUTERIVE 05 34 28 19 30 Cahier des Clauses Administratives Particulières Création d une médiathèque dans le bâtiment dénommé

Plus en détail

DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION

DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES INDUSTRIES DES TRANSPORTS, DE L EAU, DU GAZ, DE L ELECTRICITE, DU LIVRE ET DE LA COMMUNICATION Mise en œuvre du dispositif CATEC : Certificat d aptitude à travailler

Plus en détail

CHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES

CHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES CHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES SECTION 8.3 : LA GESTION DES BIENS MEUBLES ET IMMEUBLES PAGE : 1 POLITIQUE SUR LES TRANSPORTS AVEC UN VÉHICULE LOURD Adoptée : CAD-8927 (14 10 08) Modifiée :

Plus en détail

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Le mot des Présidents Le décret du 5 novembre 2001 impose une nouvelle obligation aux entreprises : formaliser les risques de l entreprise sur un document unique.

Plus en détail

COMMISSION HYGIENE ET SECURITE DOSSIER : la gestion des risques d agression dans la fonction d accueil du public

COMMISSION HYGIENE ET SECURITE DOSSIER : la gestion des risques d agression dans la fonction d accueil du public COMMISSION HYGIENE ET SECURITE DOSSIER : la gestion des risques d agression dans la fonction d accueil du public L accueil de public est une fonction stratégique et transversale au sein de la collectivité,

Plus en détail

7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles

7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles CHAPITRE 7 Les accidents et les maladies professionnelles 7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles 7.2.1 Méthodologie Définitions L accident

Plus en détail

Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux

Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux Entreprises de travaux, sécurisez vos chantiers à proximité des réseaux obligation depuis le 1 er juillet 2012 Un nouveau téléservice pour construire sans détruire www.reseaux-et-canalisations.gouv.fr

Plus en détail

Monte escalier à siège ou pour chaise roulante. sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond

Monte escalier à siège ou pour chaise roulante. sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG Luxembourg, le 10 février 2006 ITM-CL 317.1 Monte escalier à siège ou pour chaise roulante sur plan incliné, suspendu à un monorail fixé au plafond Prescriptions de sécurité types

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10

«CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS CEMLOC SERVICES Version 2 Page 1 sur 10 CEMLOC Services 4 Avenue des Roses Zac des petits Carreaux 94380 - Bonneuil sur Marne Téléphone : 09 67 46 51 09 - Fax : 01 43 99 51 09 www.cemloc-services.fr «CLIENT» CHANTIER DESIGNATION LOT : PPSPS

Plus en détail

Electrocuté dans une armoire de commande. Publication 13032.f

Electrocuté dans une armoire de commande. Publication 13032.f Electrocuté dans une armoire de commande Publication 13032.f Electrocuté dans une armoire de commande Tragique erreur: Alex J. (33 ans)* enlève le protecteur d une armoire de commande et reçoit une décharge

Plus en détail

CONCOURS EXTERNE 2012 POUR LE RECRUTEMENT D'AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES 19 septembre 2012

CONCOURS EXTERNE 2012 POUR LE RECRUTEMENT D'AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES 19 septembre 2012 N IDENTIFICATION : CONCOURS EXTERNE 2012 POUR LE RECRUTEMENT D'AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES 19 septembre 2012 AGENTS D'EXPLOITATION SPECIALISES DES TRAVAUX PUBLICS DE L'ETAT spécialité «routes, bases

Plus en détail

GRILLE D AUTODIAGNOSTIC. en santé et en sécurité du travail. Chariots élévateurs

GRILLE D AUTODIAGNOSTIC. en santé et en sécurité du travail. Chariots élévateurs Identification de l équipement: Date: Chariots élévateurs 3 Éléments du chariot 1 Mât d élévation 2 Vérin 3 Fourches 4 Tablier du porte-fourches 5 Roues motrices 6 Roues de direction 7 Châssis 8 Frein

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 25 HYGIENE ET SÉCURITÉ DÉCEMBRE 2002 Robin EMERIT Technicien en équipements électrique et énergie Tel : 02 38 79 46 74 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène

Plus en détail

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un

conséquence, en cas d'une alarme pour les biens, d'une intrusion non permise ou d'une tentative, ou en cas d'une alarme pour les personnes, d'un 25 AVRIL 2007. - Arrêté royal fixant les conditions d'installation, d'entretien et d'utilisation des systèmes d' et de gestion de centraux d' ALBERT II, Roi des Belges, A tous, présents

Plus en détail

Prévention des accidents lors des travaux en espaces confinés R 447 RECOMMANDATION

Prévention des accidents lors des travaux en espaces confinés R 447 RECOMMANDATION RECOMMANDATION R 447 Recommandation adoptée par le comité technique national du transport, de l eau, du gaz, de l électricité, du livre et de la communication lors de sa réunion du 25 juin 2009. CNAMTS

Plus en détail

Norme NFC 18-510. Règlementation 22 avril 2012

Norme NFC 18-510. Règlementation 22 avril 2012 Norme NFC 18-510 Norme NFC 18-510 PRINCIPALES NOUVEAUTES DE LA NORME NFC 18-510 EN APPLICATION DU DECRET 2010 118 DU 22 SEPTEMBRE 2010 NOTA : Cette présentation de la Norme succincte, tronquée, et non

Plus en détail

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel

L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Prévention et Gestion des Risques Professionnels Sécurité Sociale Caisse régionale d assurance maladie Alsace-Moselle L HABILITATION EN ÉLECTRICITÉ Démarche en vue de l habilitation du personnel Note Technique

Plus en détail

Mécanique véhicules lourds

Mécanique véhicules lourds Mécanique véhicules lourds sont des emplacements situés sous le niveau du sol qui servent à l en tretien ou à la réparation des véhicules. Il existe notamment : des fosses pour réparer ou inspecter les

Plus en détail

Le déneigement des véhicules lourds. transport

Le déneigement des véhicules lourds. transport Le déneigement des véhicules lourds transport TABLE DES MATIÈRES L élimination du danger à la source : éviter le travail en hauteur!...p. 5 En hauteur, mais en toute sécurité! Utiliser des moyens collectifs

Plus en détail

Repères. Gestion des défibrillateurs automatisés externes

Repères. Gestion des défibrillateurs automatisés externes Repères Gestion des défibrillateurs automatisés externes Juin 2014 Défibrillateurs automatisés externes grand public : Recommandations à suivre Vous êtes une entreprise, une structure accueillant du public

Plus en détail

Nouveau jeune collaborateur

Nouveau jeune collaborateur Insérez le logo de l'entreprise LIVRET D'ACCUEIL Nouveau jeune collaborateur Livret d accueil de : Prénom NOM ACCUEIL ACCOMPAGNEMENT Nous sommes heureux de vous accueillir au sein de notre entreprise.

Plus en détail

Les Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission

Les Essentiels COLLECTION. Les règles de sécurité. pour le dépannage. des véhicules électriques. & hybrides. Commission COLLECTION Les Essentiels Commission Mai 2013 Président : Eric Faucheux Véhicules électriques & hybrides Les règles de sécurité pour le dépannage des véhicules électriques & hybrides 1 Sommaire I. Les

Plus en détail

La prévention des risques professionnels : hygiène et sécurité au travail

La prévention des risques professionnels : hygiène et sécurité au travail COLLECTION «Les diagnostics de l emploi territorial» hors série n 5 La prévention des risques professionnels : hygiène et sécurité au travail Sabrina Auduberteau Karine Gavino Sommaire 1 - Avant-propos...p

Plus en détail

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du bien-être au travail Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.

Plus en détail

Sécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies

Sécurité des machines CE neuves è Grille de détection d anomalies Sécurité des machines CE neuves Grille de détection d anomalies ED 4450 Document uniquement téléchargeable sur www.inrs.fr Afin de ne pas exposer les opérateurs à des risques d accident ou de maladie professionnelle,

Plus en détail

L utilisation des engins de chantier

L utilisation des engins de chantier La Sécurité sociale au service de la prévention R 372 modifiée L utilisation des engins de chantier Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salariés - Département prévention des accidents

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

PLAN PRÉVENTION. Établissement scolaire : Nom du chef de l'établissement scolaire : Entreprise extérieure : Nom du chef de l'entreprise extérieure :

PLAN PRÉVENTION. Établissement scolaire : Nom du chef de l'établissement scolaire : Entreprise extérieure : Nom du chef de l'entreprise extérieure : PLAN DE PRÉVENTION Établissement scolaire : Nom du chef de l'établissement scolaire : Entreprise extérieure : Nom du chef de l'entreprise extérieure : Nature des travaux : Localisation des travaux : Date

Plus en détail

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO : Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr

Plus en détail

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES

Plus en détail

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)

RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

- Lire attentivement chacune des fiches Elèves (E1, E2, E3) puis les recopier dans ton classeur à l aide de la planche S1-P1

- Lire attentivement chacune des fiches Elèves (E1, E2, E3) puis les recopier dans ton classeur à l aide de la planche S1-P1 - Lire attentivement chacune des fiches Elèves (E1, E2, E3) puis les recopier dans ton classeur à l aide de la planche S1-P1 - Faire appel au professeur dès que cela te semble nécessaire - Remplir le tableau

Plus en détail

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION

LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION LES RISQUES ROUTIERS EN MISSION DEPUIS 10 ANS LES ACCIDENTS DE LA CIRCULATION LIÉS AU TRAVAIL REPRÉSENTENT : 54 à 59% des accidents mortels du travail 23 à 25% des accidents avec incapacité permanente

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

Présenté par. Carl Tremblay, ing.

Présenté par. Carl Tremblay, ing. Présenté par Carl Tremblay, ing. Familiariser les participants avec la réglementation québécoise. Familiariser les participants avec la notion de modification et de modernisation des appareils de transport

Plus en détail

RÈGLE D'ORGANISATION

RÈGLE D'ORGANISATION R8 RÈGLE D'ORGANISATION Surveillance des risques d'une entreprise Edition 08.1998.2 (décembre 2007) CNPP, expert en prévention et en maîtrise des risques CNPP ENTREPRISE 2007 ISBN : 978-2-35505-011-4 ISSN

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DE L ASSURANCE MACHINE

CONDITIONS GENERALES DE L ASSURANCE MACHINE CONDITIONS GENERALES DE L ASSURANCE MACHINE Pagina 1 SOMMAIRE I. Conditions de garantie A. Objets assurés B. Garanties de base C. Garanties supplémentaires D. Exclusions II. Conditions communes et administratives

Plus en détail

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire

Plus en détail

3/11_WHEEL ROADER/KE's仏語 04.3.11 5:13 PM ページ 3 KUBOTA WHEEL LOADER

3/11_WHEEL ROADER/KE's仏語 04.3.11 5:13 PM ページ 3 KUBOTA WHEEL LOADER KUBOTA WHEEL LOADER Puissantes, polyvalentes, et souples d utilisation, nos chargeuses sur roues offrent des performances optimales pour une grande variété d applications. Charger, reboucher, niveler,

Plus en détail

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1)

Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Logo de l organisme de Formation Intitulé Formation initiale d agent des services de sécurité incendie et d assistance à personnes (SSIAP1) Public Tout public Pré-requis - aptitude physique à suivre la

Plus en détail

mode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits

mode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits PROTÉGEZ LA VIE E CEUX QUE VOUS AIMEZ mode d emploi 18 Z Z Z 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen Les numéros d urgence gratuits Cette brochure peut vous sauver la vie, ne la jetez pas,

Plus en détail

Utilisation des chariots automoteurs de manutention à conducteur porté

Utilisation des chariots automoteurs de manutention à conducteur porté La Sécurité sociale au service de la prévention RECOMMANDATION R 389 Utilisation des chariots automoteurs de manutention à conducteur porté Recommandation adoptée par le CTN des industries des transports

Plus en détail