SOMMAIRE. 3- Exemple de Pièces comptables et financières Pièce de caisse dépense 3-2- Reçu 3-3- Brouillard de caisse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SOMMAIRE. 3- Exemple de Pièces comptables et financières 134. 3-1- Pièce de caisse dépense 3-2- Reçu 3-3- Brouillard de caisse"

Transcription

1

2 SOMMAIRE I- INTRODUCTION 7 II - RAPPORT GENERAL 9 III - COMMUNICATIONS 21 - Gestion comptable administrative et financière d'une ONG 23 - Principes de gestion en vue de la pérennité des actions des ONG 37 - Initiation à l'informatique et la découverte de Vinternet 47 - Une approche nouvelle de gestion des projets dans les pays en développement 53 - Gestion de micro-crédits 69 - Marketing dans les ONG 87 IV - RESULTATS DES TRAVAUX DE GROUPES : Synthèses des exercices pratiques et des réflexions sur les thèmes développés 97 - Gestion comptable et financière 98 - Informatique et internet Gestion de projets 110 -Micro-crédits 115 -Marketing 118 V - LIVRES, CAHIERS ET PIECES MODELES COMPTABLES ET FINANCIERES Livres Livre journal 1-2- Grand livre 1-3- Livre de banque 1-4- Livret d'épargne individuel 1-5- Canevas du registre des membres 2-Cahiers Cahiers de Recettes 2-2- Cahiers de Dépenses 3- Exemple de Pièces comptables et financières Pièce de caisse dépense 3-2- Reçu 3-3- Brouillard de caisse

3 3-4- Brouillard de caisse avec ventilation des dépenses 3-5- Facture 3-6- Etat des dépenses 3-7- Fiche de stock 3-8- Planning de trésorerie 3-9- Demande d'adhésion 4-Liste des comptes des plans OCAM et SYSCOA 143 VI-ANNEXES Allocutions Ouverture 1-2- Clôture 2- Listes des participants Bénéficiaires 2-2- Encadreurs 3- Les groupes de travail Groupes des travaux de réflexions 3-2- Groupes des travaux sur ordinateurs et internet 4- Grille du séminaire Evaluation du séminaire Texte de l'évaluation 5-2- Synthèse de l'évaluation 5-3- Commentaires des résultats 6- Fiche de localisation des ONG pour les visites de terrain P.V d'adoption des statuts du réseau des ONG d'education de Base : RONGEB-BENIN Coupures de journaux Photographies de travaux de l'atelier 215

4 7 I - INTRODUCTION Le présent rapport est le dernier d'une série d'actions dont le top fut donné à Ouagadougou en février 1997 à l'occasion du premier ' 'Sommet Régional sur les droits de l'enfant ' '. Renforcer les capacités techniques et administratives des jeunes ONG locales d'education de Base dans 10pays Parmi les Moins Avancés (PMA) d'afrique et d'asie du Sud, après une enquête nationale de recensement des besoins de formation, constituait l'essentiel des principaux objectifs de la première étape de cette entreprise. Une série d'ateliers, au moins trois, devrait apporter des approches de solutions aux besoins de formation exprimés. Pour le Bénin trois ateliers ont pu se dérouler de janvier à mai -juin Les pays concernés par cette démarche sont : - En Afrique Australe : Le Mozambique, le Malawi, la Zambie et la Tanzanie - En Afrique Occidentale : Le Bénin, le Bourkina Faso et le Mali - En Asie du Sud : Le Bangladesh, le Bouthan et le Népal Le rapport ci-après fait d'abord état d'un résumé du rapport général qui décrit les différents moments du déroulement de l'atelier dont le thème est : Formation en Gestion des ONG d'education de Base. Ce rapport est suivi des différentes communications qui ont servi de base à des travaux de réflexions en groupe dont les synthèses découlent des exercices pratiques, des études de cas et d'échange d'idées en travaux de groupes et en plénières de sujets précis en matière de gestion, d'élaboration de projets et de marketing. Nous estimons que les besoins de formations exprimées par les ONG locales d'education de Base sur d'abord la nécessité de cerner de près le concept d'education de Base et de s'attarder sur le principal domaine qu 'est celui de l'alphabétisation vue comme le socle de développement de tout pays devraient nécessairement aborder les problèmes de gestion administrative, financière et comptable, l'élaboration de projets et le marketing pour que la mission que chaque ONG d'education de Base s'assigne s'entoure de garanties solides qui assurent la pérennité des résultats efficaces et efficients qui auront été ainsi obtenus. Le présent document est un véritable recueil des résultats des travaux de l'atelier que les membres itinérants des ONG concernées s'emploieront à exploiter au cours de leur fonction de formateurs des formateurs locaux. Ce sont donc de véritables outils pédagogiques destinés à la trousse prévue pour chaque bénéficiaire de ce projet. A cette étape décisive du projet il convient de féliciter toute l'équipe de pilotage dont les membres ont fait montre d'esprit associatif fort remarquable en conduisant sans ambages de bout en bout la série des actions deformation retenues. Nous rappelons ici la liste des intéressés : 1- Madame AFOUDA GABA Léa, Sociologue, Présidente du GAJES, membre du comité 2- Monsieur AGBOTON Sébastien, Inspecteur de l'enseignement Primaire, Président du CAEB, Coordonnateur du projet

5 8 3- Monsieur BABA-MOUSSA Sidicou, Administrateur, Spécialiste de l'alphabétisation, Vice-Président de Dé-Base, Consultant du Projet 4- Madame DADJO Antoinette, Professeur de Math-Biologie, Présidente de Ligue-Life, membre du comité 5- Monsieur GOMEZ Eusèbe, Statisticien, Vice-Président de BED, membre du Comité 6- Monsieur HOUNGNINOU Barnabe, Instituteur, C.P de l'association SURVIE pour la Femme et l'enfant, membre du comité 7- Monsieur VIGNON Noël, Professeur de Lettres, Vice-Président de l'asted, membre du comité Nous félicitons en outre tous les participants, bénéficiaires, facilitateurs et communicateurs dont les efforts conjugués ont permis la réussite des travaux. Nous adressons ici nos vifs remerciements à l'unesco pour ses initiatives, ses interventions à chaque étape du projet et son soutien moral et financier. Nos remerciements vont aussi au Préfet du Département de l'ouémé, aux Ministres béninois chargés de l'education, de la Santé, de la Promotion sociale et de la Condition Féminine, du Développement rural, de l'environnement, du Commerce, de l'artisanat et du Tourisme dont tous les services départementaux n 'ont pas marchandé leur soutien technique au projet. Merci à tous ceux qui, de loin ou de près, ont contribué aux residíais enregistrés depuis l'enquête nationale à l'aboutissement du 3 eme atelier deformation. Nous avons espoir que les bénéficiaires de ces actions feront bon usage des outils pédagogiques mis à leur disposition pour l'accomplissement de leur mission de formateurs itinérants. Sébastien AGBOTON

6 II - RAPPORT GENERAL 9

7 11 PLAN DU RAPPORT GENERAL Introduction 1 -La cérémonie d'ouverture 2- Méthodologie et ambiance de travail 3- Les travaux de l'atelier 3.1- Les communications 3.2- Les productions de groupes 3.3- Les travaux pratiques sur ordinateur 4 - Autres travaux 5- Conclusion

8 12 INTRODUCTION Monsieur le Représentant Régional de l'unesco pour le BENIN et le TOGO ; Monsieur le Représentant du Ministre de l'education Nationale et de la Recherche Scientifique ; Monsieur le Président du CAEB et Coordonnâtes National du Projet BMZ/UNESCO ; Honorables invités Mesdames, Messieurs les stagiaires Le troisième atelier de formation des ONG béninoises d'education de Base organisés sous l'égide de l'unesco s'est tenu au CAEB à Porto-Novo du 25 Mai au 1 er Juin Le présent rapport rédigé avec l'aide d'une bonne équipe de secrétariat essaie de résumer les grands axes de nos délibérations et de saisir l'atmosphère générale du présent atelier. Il rappelle aussi brièvement les acquis des deux ateliers précédents. 1- LA CEREMONIE D'OUVERTURE L'atelier s 'est ouvert le Mardi 25 Mai 1999 à partir de 9h30 et a été marqué par deux allocutions : celle du Coordonnateur du projet BMZ/UNESCO, et celle de Monsieur Frédéric JONDOT, Représentant Régional de l'unesco pour le BENIN et le TOGO. Dans un discours de bienvenue, le Coordonnateur National du Projet BMZ/UNESCO et Président du CAEB (Conseil des Activités Educatives du Bénin) M. Sébastien AGBOTONa rappelé au Représentant Régional de 'UNESCO pour le BENIN et le TOGO les acquis des deux précédents ateliers. Les trente six (36) représentants de dix-huit (18) ONG d'éducation de base venus de tous les Départements du BENIN ont désormais une approche de définition de l'éducation de base. Ils ont ensemble défini une démarche d'investigations communautaires dont lafinalitéest l'identification des besoins d'éducation des populations à la base, et l'établissement de programmes de développement notamment en alphabétisation fonctionnelle. Ensuite, le Coordonnateur National du Projet BMZ/UNESCO a mis l'accent sur la substance de ce troisième atelier. Il a dit à ce sujet, qu'il s'agit d'amener les participants à connaître et à comprendre comment assurer la gestion administrative, financière et comptable des ONG d'éducation de base dans une approche participative au regard des grands principes de respect de l'attitude éducative, pédagogique et

9 13 endragogique qui concrétisent les conclusions des ateliers précédents et qui favorisent suivant chaque formateur, le développement d'un esprit de tolérance, du respect de la personne humaine, de la transparence et de la bonne gouvernance à tous les niveaux de l'organisation et de ses activités. Pour terminer son allocution, le Coordonnateur National du Projet BMZ/UNESCO, après avoir insisté sur la démarche suivie depuis le premier atelier, a ajouté : «... Nous allons à la fin de nos travaux mettre en place un réseau d'ong d'éducation de base pour faire en sorte que les investissements engagés jusqu'à présent soient régulièrement suivis, coordonnés et développés afin qu'ils ne soient vains mais porteurs de résultats efficaces pour le bien-être de chacune des populations bénéficiaires de nos activités et pour notre contribution au développement durable de notre pays, le Bénin.» Quant à M. Frédéric JONDOT Représentant Régional de l'unesco pour le BENIN et le TOGO, il a dans son allocution félicité les participants pour la qualité des précédents rapports qu 'il a attentivement lus. Il a ensuite convié les participants à faire bon usage des enseignements des trois (3) ateliers afin de permettre à leur ONG défigurer dans lefichierdu système des Nations Unies qui sera bientôt constitué. Enfin rappelons que le Presidium qui a dirigé les travaux de l'atelier est composé de : - Président : Sébastien AGBOTON - Directeur de stage : Euzerbe GOMEZ - Facilitateurs : Antoine SAIZONOU Julien A TTAKLA-A YINON Francis OKOYA - Rapporteur général : Léon KPAOSSOU 2- METHODOLOGIE ET AMBIANCE DE TRAVAIL Le caractère participatif de toutes les présentations de thèmes traduit le niveau élevé des séminaristes qui ont eu la chance avec leurs homologues, les membres de l'équipe d'encadrement et les communicateurs de partager les éléments distinctifs de leur culture et procédures respectives au niveau de leurs organisations. Ces méthodes ont beaucoup aidé les différents orateurs à sortir des généralités pour mettre l'accent sur le vécu quotidien des ONG d'éducation de base en matière de gestion.

10 14 En suite, le souci d'avoir des éléments facilement exploitables dans la trousse pédagogique a fondé la démarche complémentaire : travaux de groupe sur étude de casrecueil d'éléments Synthèse des résultats. Le système a été moulé de sorte que tous les maillons de la chaîne se sont parfaitement complétés. Enfin le mérite de l'approche méthodologique expérimentée depuis le premier atelier est qu 'elle a déplus en plus instauré une ambiance conviviale entre les participants eux-mêmes d'une part, et entre les participants et l'encadrement d'autre part. C'est dans cette atmosphère que les étapes suivantes ont été franchies : connaissance, compréhension, approfondissement, échanges d'expérience et productions d'outils. 3- LES TRAVAUX EN ATELIER Axés sur six (6) communications explorant divers sujets en matière de gestion, l'atelier a chaque jour donné l'occasion aux participants de réfléchir sur des cas auxquels peuvent s'apparenter les situations de leur ONG. La quinzaine de productions qui en est résulté constituera pour l'animateur itinérant un outil précieux quand il s'agira de gérer les biens physiques et les personnes dans son organisation. Déplus, les réstdtats du travail d'identification du niveau de chaque participant ayant révélé que plus de 70% n'avaient aucune connaissance en informatique justifie l'enthousiasme des stagiaires lors des séances d'entraînement sur les micro-ordinateurs LES COMMUNICATIONS La gestion administrative,financièreet comptable Les ONG constituent aujourd'hui dans notre pays une réalité incontournable dans l'atteinte des objectifs de développement. Elles sont les agences d'exécution d'un grand nombre de projets en cours au Bénin. Une des obligations essentielles d'une agence d'exécution de projets est de rendre compte des activités réalisées. Ces comptes rendus se font très souvent, sous forme de rapports techniques etfinanciers.le contenu de ces rapportsfinanciers,est fait pour la plupart de données tirées de la comptabilité de l'ong. Une ONG qui n'a pas une organisation comptable etfinancièreefficace aura des difficultés à rendre compte de ses activités aux bailleurs de fonds. Par ailleurs, la fonction administrative de l'organisation renforcée par la gestion des ressources humaines vient compléter ces deux

11 15 (02) premiers aspects et passe par l'unité de commandement, l'usage adéquat de l'autorité, la gestion des carrières des employés, l'organisation du secrétariat. En définitive les vingt (20) ONG d'éducation de base ont eu la conviction qu'une bonne organisation administrative, comptable et financière font partie des conditions qu'une ONG doit remplir pour être bien gérée. C'est tout cela qui fonde l'idée de pérennité des activités de l'ong Principes de gestion en vue de la pérennité des actions d'une ONG Nous avons désormais une définition claire de l'ong au regard des dispositions du Code de conduite des ONG exerçant au Bénin en ses articles 2 et suivants. Au cours de cette communication les stagiaires se sont formalisés avec les définitions et les implications des notions telles que durabilité institutionnelle et, viabilité financière analysées au regard de la stratégiefinancière,des ressources humaines et des structures. En définitive, il urge aujourd'hui pour les ONG se voulant durables de s'autoévaluer, de procéder au besoin à des réformes tant sur les stratégies du leadership que sur les modes de gestion en vue de réaliser l'objectif de viabilité. A terme, c'est l'unique option pouvant favoriser la pérennité de nos actions sur le terrain surtout qu 'à priori les activités éducatives ne génèrent pas de revenus Initiation à l'informatique et découverte de l'internet L'identification du niveau des participants révèle que plus de 70% d'entre eux sont des néophytes en informatique et surtout en matière de l'internet. A l'orée du XXF" 6 siècle et à l'heure de la mondialisation, il est indispensable de démystifier l'informatique dans les esprits des agents de développement que constituent les stagiaires de cet atelier. A ce propos certaines questions se posent : Peut-ont prétendre être initié à l'informatique en cinq (5) jours? Comment s'y prendra-t-on? etc.. La communication sur l'informatique a essayé de familiariser les participants avec quelques éléments de définition, les fonctions et la composition d'un ordinateur. Ensuite le réseau de communication que constitue l'internet a été brièvement présenté avec ses applications possibles et les besoins auxquels il peut répondre pour nous ONG ayant le

12 16 désir de communiquer et d'avoir l'information à peu de frais. Ce qui est sûr nous sommes allés au-delà de la démystification car les organisateurs ont prévu un micro-ordinateur pour deux à quatre stagiaires. Des moment obligatoires d'apprentissage ont été définis ainsi que des moments d'utilisation facultative des appareils sous la direction d'un animateur qualifié par poste. La journée du dimanche 30 mai était entièrement aménagée pour ces apprentissages libres. Les soirs les stagiaires les plus expérimentés entraînaient les autres dans une ambiance de solidarité agissante Une approche nouvelle de gestion des projets dans les pays en développement Cet exposé semble au cœur de la problématique de gestion des ONG béninoises puisqu 'elles vivent essentiellement des projets à elles confiés par des bailleurs de fonds. Nous avons retenu que la gestion de projet est tout un art qui s'appuie sur une situation problématique donnée. C'est pourquoi la conception et l'exécution d'un projet donné ne doit pas échapper à ce principe. L'approche de méthode développée par le communicateur permettra aux ONG de rendre à leurs idées de projet toute leur pertinence et d'éclairer l'évaluateur sur l'intérêt et l'utilité du projet. Cela aidera ce dernier à comparer les effets positifs et négatifs prévisibles des actions tant pour le développement interne du projet lui-même que pour l'ensemble de la collectivité, des populations bénéficiaires ou des communautés à la base La gestion des micro-crédits Ce thème s'est révélé comme étant au cœur même de la philosophie d'échange et de partage qui consacrent toute la réussite de cet atelier. En effet les débats ont amené les quelques ONG exerçant dans le domaine à faire état, d'une part, des forces et faiblesses et, d'autre part, des opportunités et menaces relatives à leur système de micro-finance. Il faut aussi retenir que la gestion de micro-crédits vient à propos parce que l'exercice d'activités relevant des domaines de l'éducation de base constitue des mesures d'accompagnement de sorte qu 'il serait hasardeux de raisonner en terme de rentabilité. Le communicateur a également présenté des modèles d'outils de gestion de microcrédits ce qui rappelle quelque peu le contenu de la première communication. Certes les canevas présentés ne sont pas standards. Il appartient donc à l'animateur de les adapter aux réalités de son milieu et aux priorités définies par son organisation.

13 Le marketing dans les ONG Etant donné qu'a priori la démarche de l'ong en tant que structure de développement ne s'inscrit pas dans une logique de réalisation de profit, l'apparition du terme marketing sur la grille du séminaire devrait surprendre quelque peu. Mais c 'est un besoin fortement exprimé par les ONG à l'étape de l'enquête préliminaire. Le thème tel qu 'il a été abordé par le communicateur démontre qu 'il intègre une autre dimension de la vie associative. Nous ne le comprenons plus dans son sens dépassé de l'activité qui consiste à réaliser une vente. Le marketing se place dans une optique nouvelle d'activité interdépendante qui concourent à la satisfaction des besoins de nos clients que sont les communautés à la base et les Institutions partenaires. Etant donnée cette définition du marketing et son lien fondamental avec la notion de client il va sans démonstration que si une organisation veut grandir il lui faudra " respecter "ses clients puisque ceux-ci seuls constituent sa raison d'être. Cette considération appelle un certain nombre d'obligations pour nous animateur itinérant au sein de nos organisations. Veiller à ce que le manuel de procédures de gestion administrative,financièreet comptable existe et soit le fil conducteur de toute action, développer une culture qui valorise les mérites et les avantages distinctifs de l'organisation dans son environnement et faire l'effort de se conformer aux cahiers de charge des clients ; ce sont là des tâches auxquelles nous devons nous atteler une fois retournés dans nos ONG respectives afin de présenter une meilleure image de notre structure qui, en définitive, est elle-même un produit à vendre. Ce sont là les éléments essentiels du plan et de la stratégie marketing des ONG LES PRODUCTIONS DE GROUPE Nous avons appris depuis le premier atelier à matérialiser les connaissances acquises au cours des exposés et surtout aux conclusions des débats des travaux de groupe. Cela est d'un atout inestimable puisqu'il a été d'une grande utilité dans la formation des animateurs itinérants que nous sommes désormais. L'autre avantage est l'exploitation facile dont feront l'objet ces travaux sous forme défiches dans notre trousse pédagogique quand nous serons amenés à former les animateurs locaux. Au total, une quinzaine d'outils produits en huit (8) jours par les trois (3) groupes que nous avions formé ce n 'est pas peu au regard de la densité du travail abattu et de la diversité des résultats d'un groupe à un autre, la mosaïque d'expériences de tout un chacun de nous

14 18 dans la vie des organisations aidant. Aussi, ne nous sommes-nous pas arrêtés en si bon chemin. Nous avons vers la fin des travaux de l'atelier, participé activement à la mise au point définitive des éléments de la trousse pédagogique en réalisant des documents de synthèse LES TRAVAUX PRATIQUES SUR ORDINATEUR Nous avons eu droit au minimum à vingt (20) heures d'entraînement sur ordinateur. Mentionnons à ce sujet que l'entrain a été tel que la durée prévue a souvent été dépassée en temps personnel pour la plupart des participants. Outre l'usage du clavier et les commandes usuelles sous MS DOS, les descriptions du gestionnaire defichierset de fenêtre WINDOWS, la manipulation de la souris, la saisie, le traitement et l'impression de texte, les séances de travaux pratiques ont aussi concerné l'envoi et la réception de courrier sur Internet. Les autres applications de ce réseau pourront être utilisées plus tard par les stagiaires les plus curieux. 4- AUTRES TRAVAUX Nous avons toujours raisonné dans une logique de continuité des actions sans laquelle nos efforts actuels seront vains. Nous avons dans cette optique assisté à l'émergence d'idées de regroupement: le Groupe de Travail sur l'education Non Formelle (GTENF) et le Réseau des ONG d'education de Base (RONGEB) sont les nouveaux cadres de concertation que nous allons mettre en place. Pour le GTENF, Non Formelle. L'UNESCO il s'agit de rendre plus représentative cette structures d'education distingue cette variante éducationnelle de l'education de Base parce que le Groupe de Travail y afférent fait partie d'un ensemble de structures qui sont sous l'égide de VADEA (Associationpour le Développement de l'education en Afrique). Dans la dynamique du RONGEB-BENIN, la plupart des ONG présentes à cet atelier se sont engagées dans une activité de contribution à l'évaluation de l'education Pour Tous en 2000.

15 19 Les cinq (5) thèmes d'étude de cas retenus répondent aux préoccupations des ONG béninoises d'éducation de base. Il s'agit de la question du genre, de la participation communautaire, au développement de l'établissement de liens entre l'education Non Formelle et le Développement, de la Politique et des Pratiques de l'education des Adultes, du Partenariat. L'enthousiasme qui a animé les ONG dans le choix des thèmes annonce la force du Réseau en gestation. 5- CONCLUSION Au terme de ces trois (3) ateliers nous sommes frappées tous à la fois par la multitude des informations et expériences nouvelles qui existent dans les différentes ONG d'éducations de base réparties sur toute l'étendue du territoire national. Nous retenons de ces ateliers que nous devons capitaliser ces expériences par le canal de cadres de concertation réguliers afin de permettre l'éclosion des énergies dans le domaine socioéducatif au regard des défis aux quels tous les acteurs de développement devront faire face dans le troisième millénaire. Rappelons qu'au premier atelier le débat sur le concept et les domaines de l'education de base a été très fructueux. Beaucoup réinterprètées : c'est le cas : de notions ont été abordées ou - de toutes les variantes du mot Education (formelle, non formelle, de base, etc..) - de la responsabilité et surtout de la responsabilité civile à travers l'éducation à la vie familiale ; - des questions de santé alimentaire et nutritionnelle ; - des problèmes de pollution de l'air, d'érosion, de désertification, de déboisement et de gestion des déchets par l'éducation environnementale ; - de l'éducation des adultes qui nous enseigne en tant qu'ong que si nous n'unissons pas résolument nos forces dans les années qui viennent, l'exclusion et la marginalisation, feront sentir tous leurs effets et transformeront a promesse du siècle qui s'approche en une amère déception pour tous. En effet cette observation des participants est pertinente parce que l'éducation des adultes si elle est valorisée peut

16 20 rendre souples les liens entre développement humain et création de richesse pour notre pays. La question du genre telle qu'elle a été abordée lors du premier stage s'inscrit également dans la même approche. Au second atelier tout le monde a reconnu l'importance de l'investigation communautaire au moyen de la discussion socio-économique. Nous avons tous adopté cette méthode qui consacrera la réussite de ces organisations dans la conduite de toutes les activités en matière d'éducation des adultes. Le troisième atelier qui s'achève ce jour nous a appris à mieux gérer les biens et les personnes des ONG. C'est vraiment heureux que nous oyions terminé les ateliers par cette dimension deformation. En définitive l'ensemble des trois (3) ateliers laisse dans l'esprit des participants un sentiment de joie et de difficile séparation. Il est en effet réconfortant de voir tant d'attachement à la cause socio-éducative, attachement qu'atteste le fruit des immenses efforts que les ONG d'éducation de base ont consentis dans les diverses régions de notre pays. Monsieur le Représentant Régional de 'UNESCO, Monsieur le Représentant du Ministre de l'education Nationale et de la Recherche Scientifique, Monsieur le Coordonnateur du projet BMZ / UNESCO nous espérons vivement que nous n'allons pas nous arrêter en si bon chemin. L'immensité de la tâche qui nous attend nous a d'ailleurs conduits à soutenir l'idée de la création d'un réseau qui nous aidera à rester solidaires et à capitaliser nos expériences pour exploitation judicieuse. Nul doute que ces trois ateliers ont marqué un tournant dans laperpective des actions de ces dix-huit (18) ONG présentes sur les vingt (20) attendues.

17 21.. III - COMMUNICATIONS

18 23 GESTION COMPTABLE ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE D'UNE ONG Présenté par AKPOLI Célestin Technicien Supérieur en Gestion des Entreprises

19 25 GESTION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE I - LA FONCTION ADMINISTRATIVE On définit généralement l'administration comme " l'art de faire faire les choses ". Autrement dit, l'administration est le processus par lequel un supérieur prend une décision qu 'il fait exécuter par son subordonné. Mais prendre une décision pour en obtenir l'exécution doit avoir comme préalable la définition de l'objectif précis à atteindre. Cette démarche a l'avantage d'obtenir l'adhésion de l'employé à la décision et garantit son succès. Il faut souligner que l'activité administrative est une activité de groupe où l'individu fut-il chef accepte qu 'une partie de son autonomie soit amputée, afin qu 'une large place soit faite à l'expression collective. L'activité administrative se caractérise par la spécialisation : les décisions qui conduisent à des actions routinières sont déléguées à d'autres personnes et le chef se concentrent sur les objectifs plus "importants " Un facteur très important qui assure l'intégration des individus au sein de l'organisation et une meilleure application des décisions de l'administration est l'existence des groupes. L'appartenance des individus à un groupe, surtout informe, les rend plus " disciplinés " ne serait-ce que par la loyauté dont ils doivent faire preuve à l'égard du groupe. Toutefois, il peut se produire tout l'effet contraire si le groupe porte, déjà à sa constitution, des germes ou des facteurs nuisibles à la bonne marche de l'organisation. De tels groupes évidemment doivent être identifiés et démantelés au plutôt. A - ORGANISATION PRATIQUE DE L'ADMINISTRATION 1 - UNITE DE COMMANDEMENT Eviter de placer un employé sous la tutelle de deux chefs hiérarchiques. En cas de double commandements simultanés, l'employer peut se retrouver malgré lui dans une situation de tiraillement où il lui serait difficile de choisir à quel chef il faut obéir en premier lieu. Enfin de compte, c 'est l'autorité des deux chefs qui se trouve affaiblie.

20 26 2- UTILISERA BON ESCIENT SON AUTORITÉ L'autorité est le pouvoir de prendre les décisions qui orientent les actions d'autrui. C'est une relation entre deux individus, l'un "supérieur ", l'autre "subordonné ". L'exercice de l'autorité peut parfois sortir du cadre formel tout en étant respectée, d'où l'accent à mettre sur la personnalité de l'individu investi de l'autorité. 3- GERER CORRECTEMENT LA CARRIERE DES EMPLOYES A cet effet et suivant la taille de l'organisation, il peut être envisagé dans quelle mesure il faut mettre en place un service Gestion du personnel dont le rôle ira du recrutement des employés à la mise en place d'un système de promotion interne. Lorsqu 'on sait que l'employé ou le membre passe une bonne partie de sa journée au travail, on comprend la nécessité de créer au sein de l'organisation un climat social propice à son épanouissement. 4- ORGANISER LE SECRETARIA T Il est très important de bien gérer les courriers que vous émettez (registre de courrier Départ) et les courriers que vous recevez (registre de courrier Arrivée). Pour chacun de ces deux types de courriers, concevez un système de référence qui vous permette de vous retrouver facilement en cas de besoin. En plus, il est indispensable d'avoir un système de classement (conservation physique) de tous les courriers que vous recevez ou de tous les courriers que vous émettez (y compris les factures que vous recevez des fournisseurs ou celles que vous délivrez à vos clients.) B- LE CONTRAT DE TRAVAIL A TOUJOURS UNE PARTIE NON ECRITE Lorsqu 'une entité signe avec un de ses employés un contrat de travail (en bonne et due forme), il reste tout à fait vrai que ce contrat de travail ne peut aborder tous les aspects des multitudes relations inter personnelles qui auront lieu pendant la durée du contrat de travail. Il en est de même de la façon de saluer son patron dès son arrivée au

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable

Plus en détail

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements

Loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements Dahir n 1-09-22 du 22 safar 1430 portant promulgat ion de la loi n 41-08 portant création de l'agence marocaine de développement des investissements. B.O. n 5714 du 5 mars 2009 Vu la Constitution, notamment

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS 1) Les coopératives et les foyers ne sont pas des moyens de pallier certaines insuffisances financières ou matérielles : Ce

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes

Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Convention européenne sur la promotion d'un service volontaire transnational à long terme pour les jeunes Strasbourg, 11.V.2000 Préambule Les Etats membres du Conseil de l'europe et les autres Etats Parties

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2);

Sur le rapport du ministre du travail et de la sécurité sociale, Vu la Constitution, notamment ses articles 85-4 et 125 (alinéa 2); Décret exécutif n 2006-223 du 25 Joumada El Oula 1427 correspondant au 21 juin 2006 portant création, attributions, organisation et fonctionnement de l'organisme de prévention des risques professionnels

Plus en détail

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015

LA COMPTABILITÉ DU COMITÉ D ENTREPRISE : DE NOUVELLES OBLIGATIONS DE TRANSPARENCE À PARTIR DU 1 er JANVIER 2015 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- DÉCEMBRE 2014 NOTE N 24 LA

Plus en détail

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion

Plus en détail

SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE. Annexe

SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE. Annexe SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE A. du 1-7- 2002. JO du 10-7-2002 NOR : MENE0201542A RLR : 524-5 MEN - DESCO A4 Vu code de l'éducation, not. art. L. 311-1

Plus en détail

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Les emplois repères de cette enquête sont disponibles selon les trois blocs suivants

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?»

Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?» Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?» Propriétés Description Intitulé court Proposition d'une activité d'exploration élève de type Micro-trottoir

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement NATIONS UNIES TD Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement Distr. GÉNÉRALE TD/B/COM.3/EM.10/2 1er novembre 2000 FRANÇAIS Original : ANGLAIS CONSEIL DU COMMERCE ET DU DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Association déclarée régie par la Loi de 1901. Siège Social : 48, Boulevard Jourdan -75014 PARIS S T A T U T S TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

Association déclarée régie par la Loi de 1901. Siège Social : 48, Boulevard Jourdan -75014 PARIS S T A T U T S TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES C.E.P.R.E.M.A.P. Décembre 2004 CENTRE POUR LA RECHERCHE ECONOMIQUE ET SES APPLICATIONS C.E.P.R.E.M.A.P. Association déclarée régie par la Loi de 1901 Siège Social : 48, Boulevard Jourdan -75014 PARIS S

Plus en détail

de nettoyage de véhicules à la main, en mobilité et sans eau

de nettoyage de véhicules à la main, en mobilité et sans eau COORACE journée entreprendre solidaire Paris, 16 décembre 2014 de nettoyage de véhicules à la main, en mobilité et sans eau Document confidentiel : toute reproduction, copie ou utilisation sans l'autorisation

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE

NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Principes de liberté d'expression et de respect de la vie privée

Principes de liberté d'expression et de respect de la vie privée L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté

Plus en détail

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT

CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT PREMIER MINISTRE CONVENTION CADRE NATIONALE DE PARTENARIAT SUR LA CONDUITE ACCOMPAGNÉE DES APPRENTIS DU BÂTIMENT conclue entre l'état, la Caisse Nationale d'assurance Maladie des Travailleurs Salariés

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI CONTEXTE PROFESSIONNEL L'évolution actuelle des emplois montre que le rôle des petites et moyennes entreprises s'est considérablement

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE. Discours de bienvenue de M. Koïchiro Matsuura

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE. Discours de bienvenue de M. Koïchiro Matsuura DG/2000/38 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L EDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Discours de bienvenue de M. Koïchiro Matsuura Directeur général de l'organisation des Nations Unies

Plus en détail

Jusqu à trois prix seront décernés annuellement et ce dans les deux catégories suivantes.

Jusqu à trois prix seront décernés annuellement et ce dans les deux catégories suivantes. Directives de mise en candidature Association des universités de l Atlantique Prix d enseignement distingué et de leadership en éducation, 2015 Objectif Le but de ce programme de prix est d encourager

Plus en détail

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S

C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S C H A R T E D E S M A I S O N S D E S E R V I C E S P U B L I C S P r é a m b u l e Proximité Singularité de la personne Universalité du service De nombreux territoires ruraux et urbains se situent en

Plus en détail

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des

Plus en détail

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL Au niveau du second degré, l'économie et gestion recouvre un ensemble de champs disciplinaires relevant de l'économie, du droit, des sciences de

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance

Règlement intérieur. de la Commission de surveillance Règlement intérieur de la Commission de surveillance L a loi du 28 avril 1816 dote la Caisse des Dépôts et Consignations d un statut particulier destiné à assurer à sa gestion une indépendance complète

Plus en détail

FIDA : LA PROBLEMATIQUE DU FINANCEMENT DE L'AGRICULTURE EN AFRIQUE DE L'EST ET AUSTRALE

FIDA : LA PROBLEMATIQUE DU FINANCEMENT DE L'AGRICULTURE EN AFRIQUE DE L'EST ET AUSTRALE Quels modes d interventions pour améliorer la contribution de la microfinance au financement de l agriculture Fida : la problématique du financement de l'agriculture en Afrique de l'est et Australe (4/6)

Plus en détail

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste

Plus en détail

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement

Plus en détail

Annexe relative aux métiers et aux rémunérations dans les Maisons familiales rurales (janvier 2007)

Annexe relative aux métiers et aux rémunérations dans les Maisons familiales rurales (janvier 2007) Annexe relative aux métiers et aux rémunérations dans les Maisons familiales rurales (janvier 2007) 1 Définition des métiers 1.1. - Directeur Le directeur détient son autorité de l'association. Sa responsabilité

Plus en détail

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition)

Le Projet institutionnel. (Un avenir assuré = notre ambition) VIVRE ENSEMBLE Mutuelle d Aide aux Personnes Handicapées Mentales Siège Social : 5 rue de Breuvery 78100 St Germain en Laye Tél. : 01 34 51 38 80 - Fax : 01 39 73 75 72 e-mail : direction@vivre-ensemble.fr

Plus en détail

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)

LA COMMISSION DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission ~ UEMOA RÈGLEMENT D'EXECUTION N~(t..~.:.~.9.1 RELATIF AUX REGLES PRUDENTIELLES PORTANT SUR LES RISQUES COURTS, AUX MECANISMES DE GARANTIE ET

Plus en détail

La carte d'achat dans les organisations françaises

La carte d'achat dans les organisations françaises CHAPITRE 2 La carte d'achat dans les organisations françaises Pour bien appréhender l'usage efficace de la carte d'achat, il est important de toujours la considérer comme un moyen d'exécution de la commande.

Plus en détail

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications FORUM MONDIAL SUR LES RELATIONS PUBLIQUES NOVEMBRE 2012 Le mandat des

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4

Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4 STRATEGIE DE FORMATION PROGRAMME JUNIOR 2015-2019 Juin 2015 Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4 2 LES ACTIVITÉS DE FORMATION DU PROGRAMME JUNIOR

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1)

LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) Modifications: L. 13 juillet 2001 (Mon. 4.VIII.2001) L. 24 décembre 2002

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE La restauration scolaire est un service public confié à un délégataire. Différentes catégories de personnels interviennent sur le temps de repas. Bien que relevant de statuts

Plus en détail

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n

DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n ETABLI ENTRE Madame Monsieur Domicilié(e) : ET DOCUMENT D'INFORMATION PRECONTRACTUEL n France La Société Domiciliée : FREECADRE Les portes d'uzès - 1 rue Vincent Faita 30000 Nîmes France Représentée par

Plus en détail

RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES

RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES Open IT For Development Résumé - Page 1 / 6 ASSOCIATION OPEN IT FOR DEVELOPMENT RÉSUMÉ PLAN D'AFFAIRES Document: Résumé plan d'affaires, du 2012-05-24 Entreprise: Siège: Activités: Rédaction: Relecture:

Plus en détail

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited

Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies. Lecture du mercredi 30 mars 2011. Société Betclic Enterprises Limited Conseil d'état - 5ème et 4ème sous-sections réunies Lecture du mercredi 30 mars 2011 Société Betclic Enterprises Limited M. Stirn, président M. Xavier de Lesquen, rapporteur M. Thiellay Jean-Philippe,

Plus en détail

Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif

Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif MINISTERE DE L INTERIEUR CAISSE DES PRETS ET DE SOUTIEN DES COLLECTIVITES LOCALES 9, rue de l assistance Cité El Khadhra -1003 Tunis Pour un Plan d Investissement Communal plus Participatif Ines SALLEM

Plus en détail

Démystifions le fonctionnement d'une caisse populaire. REMERCIEMENTS

Démystifions le fonctionnement d'une caisse populaire. REMERCIEMENTS Démystifions le fonctionnement d'une caisse populaire. REMERCIEMENTS Remerciements Nous tenons à remercier tous les apprenants qui fréquentent le Centre l'ardoise. Des nombreuses qualités qui façonnent

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire

Perspectives. Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud. Ediab Ali. que monétaire ARTICLE & ETUDE Les Orientations générales de la politique monétaire en Afrique du Sud Ediab Ali Le concept de la politi- Économiste que monétaire La politique monétaire est une des plus importants piliers

Plus en détail

41/128 Déclaration sur le droit au développement

41/128 Déclaration sur le droit au développement 41/128 Déclaration sur le droit au développement L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de la Charte des Nations Unies relatifs à la réalisation de la coopération internationale en

Plus en détail

Poste : AGENT AUX ACHATS. Conditions d accès à la profession : Tâches : ACHATS

Poste : AGENT AUX ACHATS. Conditions d accès à la profession : Tâches : ACHATS Norme professionnelle (Pour décrire des emplois de la chaîne d'approvisionnement, réaliser des évaluations du rendement, élaborer des plans de carrière, etc.) Description du poste (selon la définition

Plus en détail

DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO

DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO Opération PLATO Programme 2008-2009 Un tremplin pour les PME / PMI Dossiier «ENTREPRISE» 1 DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO 1- DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO L'origine de PLATO PLATO est un programme de

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

Déclaration sur le droit au développement

Déclaration sur le droit au développement Déclaration sur le droit au développement Adoptée par l'assemblée générale des Nations Unies dans sa résolution 41/128 du 4 décembre 1986 L'Assemblée générale, Ayant à l'esprit les buts et principes de

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

Article 1 : Relations contractuelles entre les parties

Article 1 : Relations contractuelles entre les parties CONTRAT DE CONSULTANCE Entre : La société..., ayant son siège social..., représentée par Monsieur..., administrateur délégué, Ci-après dénommée «la Société», Et : Monsieur... domicilié à... Ci-après dénommé

Plus en détail

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail.

Un GSI plénier est prévu en juin 2001 au cours duquel devra être présenté un document élaboré à partir des travaux du groupe de travail. Contrats éducatifs locaux missions et la formation des coordonnateurs de cel Réflexions du groupe de travail relevant du groupe de suivi interministériel des cel 1. Informations L'outil informatique de

Plus en détail

CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE. Séance du 16 février 2006 PERSONNEL DEPARTEMENTAL INSTAURATION D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS

CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE. Séance du 16 février 2006 PERSONNEL DEPARTEMENTAL INSTAURATION D'UN COMPTE EPARGNE TEMPS CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE 1 ère REUNION DE 2006 Séance du 16 février 2006 CG 06/1 ère /I-11 PERSONNEL DEPARTEMENTAL INSTAURATION D'UN COMPTE

Plus en détail

Charte Les projets pédagogiques / éducatifs au LEAP

Charte Les projets pédagogiques / éducatifs au LEAP Lycée d Enseignement Agricole Privé de St Maximin Chemin du Prugnon 83470 SAINT MAXIMIN Tel : 04 94 86 52 93 Fax : 04 94 59 78 91 E Mail : st-maximin@cneap.scolanet.org Fait à St Maximin, le 2 janvier

Plus en détail

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages www.qualityinternships.eu Préambule Etant donné que:! la passage des jeunes des études au marché de l'emploi devient de plus en plus compliqué

Plus en détail

Bachelor Business CATALOGUE DE COURS Première année 2013-2014

Bachelor Business CATALOGUE DE COURS Première année 2013-2014 Bachelor Business CATALOGUE DE COURS Première année 2013-2014 Catalogue de cours Bachelor Business 1 ère année 2013-2014 2 Le Bachelor Business est un programme de commerce et de gestion, destiné à former

Plus en détail

Guide pratique à l'usage des promoteurs, administrateurs et gérants

Guide pratique à l'usage des promoteurs, administrateurs et gérants Guide pratique à l'usage des promoteurs, administrateurs et gérants WSM SOLIDARITE MONDIALE WORLD SOLIDARITY PROGRAMME ~

Plus en détail

CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES

CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES VISANT À RÉGLEMENTER L'UTILISATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL DANS LE SECTEUR DE LA POLICE

Plus en détail

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS 1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant

Plus en détail

STATUTS. DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse)

STATUTS. DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse) STATUTS DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse) Chapitre premier: Nature et buts Article 1: Dénomination et siège Les associations cantonales de gérants, courtiers et experts

Plus en détail

Société française d'économie rurale

Société française d'économie rurale Article 1 : L'association dite «Société Française d'économie Rurale}} est régie par la loi du 1er juillet 1901 et par les présents statuts. Article 2 : Le siége social de la SFERest au 19 avenue du Maine,

Plus en détail

Les métiers du secrétariat et de la bureautique

Les métiers du secrétariat et de la bureautique Les métiers du secrétariat et de la bureautique Présentation des métiers Alors que l'on avait annoncé la quasi-disparition des secrétaires, supplantées par les ordinateurs, elles bénéficient aujourd'hui

Plus en détail

Bâtir et améliorer son système d appréciation

Bâtir et améliorer son système d appréciation Bâtir et améliorer son système d appréciation Bâtir et faire évoluer son système d'appréciation, Se doter de critères pertinents pour son entreprise, Se positionner en tant que conseil dans l'entretien

Plus en détail

A) Les modifications du champ d'application du Règlement n 1346

A) Les modifications du champ d'application du Règlement n 1346 La proposition de la Commission pour la révision du Règlement "faillite": une deuxième chance pour les entreprises en difficulté Durant le mois de mars 2012, une consultation publique a été lancée, sollicitant

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC

8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC 8 e rencontre du comité Ad Hoc Genre de la COMIFAC Compte rendu Par Julie GAGOE Date : Jeudi 05-04-12 Lieu : Bureau du SE COMIFAC Agenda 1. Evaluation de la feuille de route 2011 2. Défis et priorités

Plus en détail

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole.

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed

Plus en détail

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos

Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos 1 sur 7 Appel à projets Incubation et capital-amorçage des entreprises technologiques de mars 1999 L'appel à projets est clos Présentation générale Le ministère chargé de la recherche et de la technologie

Plus en détail

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas :

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas : Compte-rendu : «Les enjeux des TIC : le Knowledge Management» Conférence du 3 ème millénaire, Salon Initiatives du jeudi 18 octobre 2001 Orateur : Jean-Yves Prax, Directeur de POLIA CONSULTING Face à un

Plus en détail

CONVENTION POUR L'ACTIVITE HANDISPORT A L'ECOLE

CONVENTION POUR L'ACTIVITE HANDISPORT A L'ECOLE CONVENTION POUR L'ACTIVITE HANDISPORT A L'ECOLE ENTRE : L'Inspecteur d'académie, Directeur des services départementaux de l'education Nationale, Le Président du Comité Départemental U.S.E.P. de l'ain,

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 Tunis, le 6 Mai 19861 CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 OBJET : Activité des banques non-résidentes. La loi n 85-108 du 6 Décembre 1985, portant encouragement d'organismes financiers et bancaires

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

M.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. Complété par l arrêté n 2333-12 du 13 juin 2012, B.O n 6084 du 20/09/2012

M.S - Direction de la réglementation et du contentieux - BASE DE DONNEES. Complété par l arrêté n 2333-12 du 13 juin 2012, B.O n 6084 du 20/09/2012 Complété par l arrêté n 2333-12 du 13 juin 2012, B.O n 6084 du 20/09/2012 Référence : B.O n 5958-5 chaabane 1432 (7-7-2011) Arrêté de la ministre de la santé n 1363-11 du 12 joumada II 1432 (16 mai 2011)

Plus en détail

PROGRAMME DE FORMATION

PROGRAMME DE FORMATION SOLUTION PACKS KALITISS PROGRAMME DE FORMATION in&co, 3 avenue Marie Reynoard 38100 Grenoble Tél/Fax 04 76 22 23 85 contact@inandco.com SOMMAIRE 1 - PACKS DE FORMATION... 3 1.1 - Pack Sécurité...3 1.2

Plus en détail

(Cotonou, le 18 Juillet 2013)

(Cotonou, le 18 Juillet 2013) République du Bénin ************** Ministère de l Enseignement Secondaire, de la Formation Technique et Professionnelle, de la Reconversion et de l Insertion des Jeunes (MESFTPRIJ) **************** Ministère

Plus en détail

Annexe sur la maîtrise de la qualité

Annexe sur la maîtrise de la qualité Version du 09/07/08 Annexe sur la maîtrise de la qualité La présente annexe précise les modalités d'application, en matière de maîtrise de la qualité, de la circulaire du 7 janvier 2008 fixant les modalités

Plus en détail

OBJET : Mise en œuvre du décret n 2004-1144 du 26 octobre 2004 relatif à l'exécution des marchés publics par carte d'achat.

OBJET : Mise en œuvre du décret n 2004-1144 du 26 octobre 2004 relatif à l'exécution des marchés publics par carte d'achat. Secrétariat général DIRECTION DE L'EVALUATION DE LA PERFORMANCE, ET DES AFFAIRES FINANCIERES ET IMMOBILIERES SOUS-DIRECTION DES AFFAIRES IMMOBILIERES SLAC/N AFFAIRE SUIVIE PAR : Pierre AZZOPARDI Tél :

Plus en détail

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance

SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance SOCIETE FRANCAISE EXXONMOBIL CHEMICAL S.C.A. Rapport du Président du Conseil de Surveillance Procédures de contrôle interne relatives à l'élaboration et au traitement de l'information comptable et financière

Plus en détail

La Bourse aux Financements Solidaires (BFS)

La Bourse aux Financements Solidaires (BFS) La Bourse aux Financements Solidaires (BFS) 1/ Contexte Socio-économique global La BFS est née d'un double constat. D'une part, le parcours d'un créateur d'entreprise ou d'activité est difficile, particulièrement

Plus en détail

PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE

PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de

Plus en détail