L expérience de Qualigaz au service de tous les professionnels du gaz. Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L expérience de Qualigaz au service de tous les professionnels du gaz. Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires"

Transcription

1 L expérience de Qualigaz au service de tous les professionnels du gaz Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires L état de l art technique pour assurer la conformité des installations 32 TTC 240 pages Reliure conçue pour garantir solidité et maniabilité dans toutes les conditions d utilisation (y compris sur chantier)

2 Préface Quatre ans après la sortie de la première édition du Guide Qualigaz, parue fin 2006, j ai le plaisir de vous inviter de nouveau à partager notre expérience et nos savoir-faire en vous présentant son édition Dès sa première édition, cet ouvrage a rapidement acquis le statut de référence auprès de tous les acteurs de la filière gaz. Cette notoriété nous oblige et nous nous attachons à le tenir en permanence à jour de toutes les évolutions réglementaires afin qu il reste l outil de référence de la profession. Les principales modifications de cette troisième édition portent sur les tuyauteries et leurs modes d assemblage, sur les moyens alternatifs d évacuer les produits de combustion, ainsi que sur de nouvelles obligations réglementaires concernant les dispositifs de sécurité collectifs en VMC-Gaz Nous souhaitons que cet ouvrage continue à satisfaire tous ceux qui veulent comprendre et maîtriser la réglementation et les règles de l art applicables à la conception et à la réalisation des installations domestiques de gaz. Jean-Michel Laborde DIRECTEUR GÉNÉRAL DE QUALIGAZ Chapitre 1 Généralités sur les canalisations de gaz Référence aux normes Les types de canalisations...19 Les canalisations en acier...19 Les canalisations en cuivre...20 Les canalisations en plomb...20 Les canalisations en polyéthylène...21 Les kits «PLT»...21 Les autres tuyauteries Les accessoires Les protections Le façonnage des tuyauteries...23 Les différents types de façonnage...23 Le façonnage des matériaux Les modes d assemblage des tuyauteries...26 Les modes d assemblage...26 Les raccords à braser...27 Le sertissage L assemblage des tuyauteries entre elles...28 Les canalisations en acier...28 Les canalisations en cuivre...29 Les canalisations en polyéthylène...30 Les canalisations en plomb L assemblage par raccords démontables Les raccords mécaniques...31 L assemblage par joint fileté...32 L assemblage par raccord isolant L assemblage des accessoires La pose des canalisations En enterré...33 En élévation...36 L abandon des tuyauteries...36 La protection contre les chocs électriques...37 La fixation des tuyauteries...37 L obturation de l espace annulaire...37 La protection mécanique...38 Le voisinage des tuyauteries...38 Les interdictions de traverser certains locaux ou éléments de construction...39 L autorisation de traverser certains locaux Les tuyauteries incorporées Les prescriptions complémentaires

3 1.11 Le dimensionnement des canalisations d alimentation des installations intérieures des logements...47 Le calcul des pertes de charges...47 L utilisation d abaques et de tableaux Le dimensionnement des canalisations d alimentation des chaufferies et des mini-chaufferies...55 Les abaques...55 Chapitre 2 Les installations à usage collectif 57 Définitions Les canalisations à usage collectif...59 Rappel sur les canalisations...59 Les incidents de tracé...59 La liaison équipotentielle...59 Le tracé et les restrictions Les gaines électriques...60 La traversée de gaines non spécifiques au gaz La traversée des mini-chaufferies...60 Le passage en vide sanitaire La conduite d immeuble...61 Son emplacement...61 La partie intérieure Le passage destiné au franchissement du bâtiment...61 La traversée d un parc de stationnement couvert de 250 véhicules au plus La conduite montante...62 Immeuble neuf...62 Immeuble existant...62 La gaine d immeuble...62 Cas particulier : la tige cuisine Les organes de coupure...66 L organe de coupure générale...66 L organe de coupure de branchement particulier...68 L organe de coupure pour conduite montante extérieure au bâtiment L organe de coupure pour tige cuisine Les essais...69 L essai de résistance mécanique...69 L essai d étanchéité...69 Chapitre 3 Les installations intérieures 71 Définitions Les tuyauteries de gaz L emplacement des canalisations Le cas des tiges après compteur Les organes de coupure...74 Généralités communes à tous les organes de coupure générale...76 Les organes de coupure en immeuble individuel...76 Les organes de coupure en immeuble collectif...77 Le cas des tiges après compteur...79 Le cas des branchements particuliers extérieurs Les robinets de commande des appareils...80 Les dispositions générales à tous les robinets de commande d appareils...80 Référence aux normes Les dispenses...81 L accessibilité des robinets de commande d appareils...82 Les robinets de commande d appareils pour gaz de réseau...82 Les robinets de commande d appareils pour gaz GPL distribué en récipient Les robinets de commande d appareils pour tige cuisine Les appareils et leur alimentation...84 Les obligations communes aux appareils...84 Les différents types d appareils Les sécurités...88 Les plaques signalétiques...89 L alimentation en gaz des appareils Les essais des installations...93 L essai de résistance mécanique...93 L essai d étanchéité...93 Chapitre 4 L implantation des appareils 95 Généralités L aménagement des locaux...97 Le volume du local...97 La présence d un ouvrant dans le local La ventilation des locaux contenant des appareils à gaz Les principaux systèmes de ventilation des logements Les dimensions des ventilations L implantation d un appareil dans un local selon le système de ventilation existant ou prévu Le cas du chauffe-eau non raccordé Les caractéristiques du local Les contraintes d usage

4 4.4 Cas particuliers Les placards cuisine L implantation d un appareil en salle de bains, de douche ou comportant une baignoire ou une douche Les alvéoles techniques gaz Chapitre 5 L évacuation des produits de combustion 119 Définitions Le raccordement des appareils de type B à leur conduit Généralités Les matériaux Le parcours Le tracé La mise en œuvre La section L interdiction de dispositif d obturation Le raccordement de deux appareils au même conduit de fumée Cas particulier du raccordement par flexible non extensible Cas particulier du raccordement par flexible extensible Le conduit de fumée des appareils de type B Comment identifier les différents composants du conduit de fumée? La composition d un conduit de fumée La géométrie du conduit de fumée La stabilité Le pied du conduit Le débouché du conduit La souche La plaque signalétique Cas des conduits en situation extérieure Cas des conduits en situation intérieure Les carneaux Les procédés de rénovation d un conduit de fumée Méthode de dimensionnement des conduits d évacuation des produits de la combustion des appareils raccordés fonctionnant en tirage naturel Généralités Calcul pour le raccordement d un seul appareil Calcul pour le raccordement de deux appareils Cas particulier d un raccordement de deux appareils à un conduit collectif shunt Cas particulier du raccordement d un appareil de type B11 sur un conduit collectif mixte gaz ventilation de type shunt Cas du conduit de fumée type Alsace Les alvéoles techniques gaz Le cas particulier de la VMC-Gaz Les dispositions applicables pour l installation des appareils à circuit de combustion étanche Généralités Le débouché du conduit pour un appareil de type C Cas particuliers d installation des terminaux d appareils de type C11, C12, C Implantation des terminaux d évacuation des produits de combustion des appareils à gaz de type C12 et C13 (conduits horizontaux) dans les courettes et les architectures en U Cas particuliers d installation des terminaux d appareils de type C31, C32, C Cas particuliers pour les appareils de type C4 (raccordés sur système 3 CE) Des solutions sous avis technique Généralités Les chaudières à condensation sur les conduits collectifs Les chaudières à pression positive à la buse Chapitre 6 Les mini-chaufferies d immeubles d habitation 163 Définitions Les dispositions constructives Le local mini-chaufferie L accès à la mini-chaufferie La ventilation du local mini-chaufferie Les prescriptions particulières pour les mini-chaufferies alimentées en gaz de pétrole liquéfiés L alimentation en gaz de la mini-chaufferie Généralités Mini-chaufferie située en immeuble L emplacement de la canalisation Les organes de coupure Le robinet de commande et l alimentation des générateurs Les essais des installations de gaz des mini-chaufferies d immeubles d habitation L essai de résistance mécanique L essai d étanchéité Chapitre 7 Les chaufferies d immeubles d habitation 183 Définitions

5 7.1 Les dispositions constructives Le local chaufferie Le dispositif d accès à la chaufferie L intérieur du local Les prescriptions particulières pour les chaufferies en sous-sol Les prescriptions particulières pour les chaufferies en terrasse ou au dernier niveau L équipement électrique La sécurité incendie La ventilation du local chaufferie L alimentation en gaz de la chaufferie Généralités Chaufferie située en immeuble neuf Chaufferie située en immeuble existant Le passage de l alimentation chaufferie destiné au franchissement du bâtiment Cas des chaufferies en terrasse ou en étage non surmonté d étages habités Cas particulier Les prescriptions relatives à l alimentation des chaufferies situées à l intérieur des bâtiments La détente et le comptage Généralités L implantation des détendeurs isolés ou en batterie L implantation des blocs détente en immeuble neuf L implantation des blocs détente en immeuble existant Le comptage Les organes de coupure Généralités Les organes de coupure manuelle Les organes de coupure automatique Les organes de coupure spécifiques chaufferie L implantation des appareils Les essais des installations de gaz des chaufferies d immeubles d habitation L essai de résistance mécanique L essai d étanchéité Installation complétée Installation modifiée Les dispenses Exemple de rédaction d un certificat de conformité Installation neuve dans une maison individuelle Installation complétée dans une maison individuelle Remplacement de chaudière dans une maison individuelle Annexes Pour en savoir plus 219 A.1 Les caractéristiques des gaz combustibles couramment utilisés La composition du gaz naturel La composition du gaz de pétrole liquéfié (GPL) La composition du gaz manufacturé Les principales caractéristiques des gaz Le monoxyde de carbone L odorisation des gaz A.2 Structure générale des installations de gaz La desserte à partir d un réseau de distribution La desserte à partir d un récipient d hydrocarbures liquéfiés A.3 Tableau de collecte des données pour le dimensionnement des canalisations de gaz A.4 Principales définitions et abréviations Terminologie Principales abréviations A.5 Bibliographie Pour les bâtiments d habitation individuels ou collectifs Pour les mini-chaufferies Pour les chaufferies Pour l évacuation des produits de combustion Chapitre 8 Les certificats de conformité Quel modèle de certificat de conformité utiliser? Définitions Installation neuve

6 Généralités sur les canalisations de gaz 1.2 Les types de canalisations Généralités sur les canalisations de gaz 1.2 Les types de canalisations Les types d acier rencontrés sont des aciers noirs, galvanisés ou inoxydables. Note : une catégorie d acier protégé très peu répandue et connue sous le nom de Solacier est plutôt utilisée pour les ouvrages de distribution avant compteur. On peut utiliser l acier pour réaliser des parties d installation en élévation, incorporées au bâtiment ou enterrées. Les tubes pour canalisations enterrées doivent être protégés extérieurement par un revêtement conforme à la norme NF A (matériaux bitumineux appliqués à chaud pour revêtement externe) ou NF A (revêtements externes double couche à base de polyéthylène extrudé). Lorsqu une tuyauterie acier autre qu inoxydable se trouve en élévation, elle doit être protégée extérieurement contre la corrosion par un revêtement, une peinture, ou par galvanisation répondant à la norme NF A Note : cette protection peut être réalisée en utilisant des bandes adhésives ou des bandes imprégnées conformes aux normes XP P ou XP P Les canalisations en cuivre C est le matériau le plus utilisé en installation domestique. Ceci s explique par sa facilité d emploi : relativement résistant, facilement façonnable et donc aisément adaptable aux configurations simples comme complexes. On peut trouver dans le commerce du cuivre nu (sans revêtement particulier), prégainé (un revêtement couvre complètement la surface du tube et le protège des agressions extérieures) et de fabrication différente : soit écroui (battu à froid pour le rendre plus dense et plus élastique), soit recuit (chauffé à une certaine température pour améliorer ses qualités physico-chimiques et structurales). On peut utiliser le cuivre pour réaliser des parties d installation en élévation, incorporées au bâtiment ou enterrées. Les canalisations en plomb Interdit pour la réalisation d installations nouvelles dans les immeubles neufs ou anciens, il peut être utilisé pour réparer une ancienne tuyauterie en plomb. Dans ce cas, la longueur de la tuyauterie en plomb utilisée ne doit pas excéder 50 cm. Son utilisation est limitée à une pression 400 mbar. Le plomb ne peut pas être utilisé en butane ou propane commercial. Les canalisations en polyéthylène Ce tube de plastique (appelé aussi PE ou Plymouth) étant sensible aux UV, il ne peut être exposé directement à la lumière. De couleur noire, il est facilement repérable de par son filet jaune qui parcourt toute sa longueur et qui le distingue du polyéthylène pour l eau, dont le filet est bleu. On utilise le polyéthylène pour réaliser des parties d installations enterrées, mais son installation en élévation (remontée en façade) peut être réalisée sous certaines conditions. Les températures d exposition du polyéthylène ne doivent pas excéder + 30 C en limite supérieure et - 20 C en limite inférieure. Les kits «PLT» Actuellement, il n existe qu un seul matériel qui n est pas décrit par la réglementation du DTU61.1 et qui a toutes les autorisations pour être utilisé comme tuyauterie fixe. Il s agit des kits de tuyaux onduleux pliables en acier inoxydable appelés communément kits «PLT». C est une tuyauterie en acier inoxydable recouvert d un revêtement plastique jaune (en général du polypropylène). Le fait d être onduleux (annelé) lui confère une souplesse qui permet de l enrouler pour le transporter et de le dérouler pour constituer la tuyauterie fixe d une installation. De plus, cette caractéristique permet de réaliser des changements de direction sur l installation sans aucun outil (pas besoin de cintrage). Toute une série d accessoires (raccords, éléments de dérivation, colliers de support ) est disponible avec le tuyau pour réaliser une installation complète. Ce tuyau est généralement vendu en couronne pouvant représenter de très importantes longueurs. Beaucoup de prescriptions décrites dans les règles RC ATG et RS ATG PLT ainsi que dans le cahier des charges AFG CCH accompagnent l utilisation de ces kits «PLT». Chaque fabriquant est tenu de les mettre à la disposition du professionnel qui souhaiterait utiliser cette solution. Attention! L ensemble tuyau + raccords formant le kit «PLT» doit provenir du même fabricant. Concernant les restrictions de tracé propres à cette tuyauterie, on peut quasiment admettre qu il est utilisable comme le cuivre. En revanche, il ne s assemble que par raccord mécanique et sa pression maximale d utilisation est de 0,5 bar. Il peut être utilisé pour les installations à usage domestique, individuelles, d alimentation de chaufferie et de mini-chaufferie. Les autres tuyauteries À la date de rédaction du présent ouvrage, aucune autorisation d emploi n est actuellement donnée pour l utilisation de tuyauteries autres que celles énoncées précédemment. La fonte encore présente sur les réseaux de distribution de gaz n est pas autorisée en installation intérieure. Note : avant toute utilisation d un tube, il est indispensable de s assurer de sa bonne vacuité (NF DTU , chapitre 5.3.1)

7 Généralités sur les canalisations de gaz 1.6 Les modes d assemblage des tuyauteries Généralités sur les canalisations de gaz 1.6 Les modes d assemblage des tuyauteries Le rayon de courbure du polyéthylène Diamètre extérieur du polyéthylène en mm Note : dans le cas d une remontée en coffret, il est préférable d utiliser des fourreaux en PVC compact préformés manufacturés. 1.6 Les modes d assemblage des tuyauteries La jonction des tuyauteries entre elles peut être réalisée soit par soudage, soit par l interposition d un organe ou accessoire, soit dans des cas plus rares par des raccords mécaniques démontables. De plus, le sertissage des tuyauteries cuivre entre elles est maintenant un procédé certifié. Les modes d assemblage On distingue un mode d assemblage certifié : le sertissage (voir cas particulier du sertissage page 28). Et plusieurs modes d assemblage réglementaires : le soudage ; le soudo-brasage ; l électrosoudage ; le brasage capillaire. Rayon minimal interne de courbure en mm Situation normale Remontée en façade (fourreau préalablement formé à cet effet) Les procédés de soudage sont les suivants : le soudage électrique (ou à l arc) : la soudure est réalisée par une fusion des matériaux obtenue par un arc électrique ; Photo page suivante le soudage oxyacétylénique. C est un soudage au gaz utilisant un mélange d acétylène qui permet d obtenir une chaleur de flamme d environ C ; Photo le soudo-brasage permet d assembler deux pièces par l apport d un métal à l état liquide obtenu par la fonte au chalumeau d une baguette à braser. La température de fusion de cette dernière est inférieure à celle du matériau à assembler, mais > 450 C. Cette technique permet d assembler des tuyaux sans raccord ajouté, mais directement bout à bout ; l électrosoudage. Ce principe est défini au cahier des charges ATG B Il consiste à poser autour du polyéthylène une coquille plastique (entourée d une bobine électrique) que l on va solidariser avec le tube de polyéthylène en y faisant passer du courant électrique. La chaleur émise par la bobine va fusionner les matériaux. Cette technique ne peut être réalisée que par une personne titulaire d une attestation d aptitude à ce type de soudure ; le brasage capillaire. Cette action permet d assembler deux tubes par l intermédiaire d un raccord par l apport d un métal à l état liquide obtenu par la fonte au chalumeau d une baguette à braser. La température de fusion de cette dernière est inférieure à celle du matériau à assembler. On distingue deux types de brasage capillaire : le brasage fort lorsque la température de fusion du métal d apport est > 450 C. Il est autorisé dans tous les cas pour le cuivre ; le brasage tendre lorsque la température de fusion du métal d apport est < 450 C (brasage à l étain). Le brasage tendre est interdit : en habitation individuelle alimentée à une pression > 400 mbar ; en habitation collective alimentée à une pression > 50 mbar ; sur les tiges après compteur et placées avant l organe de coupure générale situé avant la pénétration dans le logement ; pour réparer des assemblages initialement réalisés en brasure forte ; pour les tuyauteries situées avant pénétration dans les logements d immeubles collectifs. Note : si les assemblages d une même tuyauterie sont réalisés par des techniques de brasage différentes, il faudra respecter l ordre décroissant des températures. Les raccords à braser Ce sont des pièces préformées d usine et calibrées pour recevoir un diamètre de tuyauterie très précis. Ces raccords doivent répondre à la spécification ATG B

8 Tf Tf Tf 2004 INSTALLATIONS DE GAZ LE GUIDE QUALIGAZ ÉDITION 2011 Généralités sur les canalisations de gaz 1.11 Le dimensionnement des canalisations d alimentation des installations intérieures des logements Généralités sur les canalisations de gaz 1.11 Le dimensionnement des canalisations d alimentation des installations intérieures des logements L utilisation d abaques et de tableaux Définitions Tuyauterie principale : ensemble des tronçons allant du compteur à l appareil le plus éloigné. Tuyauterie secondaire : elle est «piquée» sur la tuyauterie principale et alimente un ou plusieurs appareils autres que celui considéré précédemment. Installations alimentées en basse pression par un réseau gaz naturel Dans la pratique nous constatons qu à égalité de débit thermique, une installation calculée dans un certain calibre pour fonctionner avec du gaz naturel ou de l air propané à 15,6 kwh/m 3 doit être exécutée dans le calibre immédiatement supérieur pour fonctionner avec de l air propané à 7,5 kwh/m 3. Dans un premier temps, il s agira d effectuer une collecte des données qui nous permettra d utiliser les abaques. On commence par compléter la partie haute de la feuille. Tableau Désignation de l immeuble : Nom : ANGE Emplacement Perte de charge admise dans Type d immeuble Adresse : LE PARADIS du compteur l installation après compteur Nature du gaz Gaz naturel X Individuel Air propané à 7,5 kwh/m 3 Air propané à 15,6 kwh/m 3 Collectif En limite de propriété X 1 mbar Dans le logement En local technique En gaine, en coursive ou dans le logement 0,5 mbar 1 mbar 0,5 mbar Le débit dont on se servira dans le tableau de collecte est défini par le type et la puissance des appareils présents. LONGUEUR À PRENDRE EN COMPTE Pour les tronçons de la tuyauterie principale, il faudra prendre la longueur comprise entre le compteur et le RCA de l appareil le plus éloigné. L équivalence nous est donnée dans le tableau ci-après. TYPE D APPAREIL DÉBIT GAZ (KW) Pour les tuyauteries secondaires, il faudra prendre la longueur comprise entre le compteur et le RCA alimenté par le tronçon. Un exemple de feuille de collecte des données est proposé dans l annexe A.3 page 228. EXEMPLE DE DIMENSIONNEMENT Cuisson 9 Chauffe-eau : 8,72 kw 12 Chauffe-bains : 17 kw 23 kw Eau chaude 28 kw 37 Accumulateur chauffe normale 2 Accumulateur chauffe rapide 6 A F D Chauffage Quel que soit le type d appareil Note : en aucun cas les débits ci-dessus ne doivent servir pour régler les appareils. 1,3 par kw de puissance nominale B E C AB = 15 mètres BC = 1 mètre BF = 3 mètres CE = 1 mètre CD= 6 mètres Pu chaudière = 23 kw Pour notre exemple, nous avons donc deux gazinières et une chaudière. Indépendamment de la puissance des gazinières, le débit de chacune d elles à utiliser pour le tableau de collecte sera donc la valeur 9. Concernant la chaudière, le tableau nous indique que la valeur du débit à reporter sera 1,3 x 23 kw soit 30 (arrondi). Ensuite on relève les tronçons. Tableau page suivante Exemple de dimensionnement 48 49

9 L implantation des appareils 4.2 La ventilation des locaux contenant des appareils à gaz L implantation des Chapitre appareils La ventilation des locaux contenant des appareils à gaz l appareil dispose bien d un coupe-tirage. En effet, certaines chaudières à haut rendement et à condensation mises sur le marché ne disposent pas d un coupe-tirage. Ce sont des appareils de type B 2X. L amenée d air est : directe ou indirecte ; réalisée soit dans une paroi verticale extérieure, soit par des orifices ou des modules implantés sur des menuiseries ou des coffres de volets roulants ; de section libre de passage 50 cm 2 et en fonction de la puissance de l appareil ; permanente donc non obturable ; située à une hauteur quelconque du sol fini. Sortie d air par le coupe-tirage d un appareil de type B1 Dans le cas où l amenée d air est indirecte, il ne faut pas oublier de réaliser ou de vérifier le passage de transit entre les prises d air neuf et le local où est situé l appareil à gaz. Il peut être réalisé soit par une grille de transfert soit par le détalonnage des portes (1 cm environ). LE LOGEMENT EST VENTILÉ PAR UNE VENTILATION GÉNÉRALE ET PERMANENTE EN TIRAGE NATUREL OU UNE INSTALLATION DE VMC La sortie d air est : réalisée par le conduit de ventilation situé dans le local où se trouve l appareil ou par la bouche d extraction de VMC située dans le même local que l appareil ; située à une hauteur 1,80 m ; permanente et non obturable. Dans le cas où la sortie d air est réalisée par un conduit, la section minimale de la sortie d air est de 100 cm 2. Dans le cas où la sortie d air est réalisée par des bouches d extraction prévues à cet effet, la section ou le débit est défini par le fabricant de la bouche. L amenée d air est constituée par un ensemble de modules d entrée d air. Ces modules sont : situés dans les pièces principales ; dimensionnés selon leur débit ; implantés en général sur les menuiseries ou sur des coffres de volets roulants. Note : le respect des débits d air notifiés dans les arrêtés relatifs à la ventilation suffit à assurer l alimentation en air de combustion des appareils de cuisson. Implanter un appareil de type B Un appareil de type B est raccordé à un conduit de fumée. Il est donc nécessaire de prévoir une amenée d air dans le local. En aucun cas, une sortie d air n est nécessaire pour ce seul appareil. L amenée d air est soit directe, soit indirecte. Elle peut être réalisée par un conduit ascendant, horizontal ou descendant. L évacuation des produits de combustion Dans le cas de l utilisation d un conduit descendant, la prise d air doit être située à une hauteur inférieure au débouché du conduit d amenée d air (voir page 101). Implanter un appareil de type C Ce type d appareil étant étanche par rapport au local dans lequel il est installé, il n y a pas lieu de créer d orifices de ventilation quels qu ils soient. Ce point inclut également l éventuel robinet de commande de l appareil et le détendeur-déclencheur de sécurité placé immédiatement avant l appareil et n alimentant que celui-ci. Définitions Cas particulier : le tirage naturel et les extracteurs Il existe une problématique 5.1 Le raccordement non négligeable des appareils lorsqu on de type décide B d installer un appareil de type B dans une habitation. àleur Il s agit conduit de la présence d extracteurs pouvant contrarier le tirage naturel. Nous allons tenter de résumer les différentes dispositions. Le texte le plus 5.2 ancien Le conduit évoquant dece fumée problème des appareils est le règlement de type B sanitaire départemental type qui dit dans un de ses articles : 5.3 Méthode de dimensionnement des conduits d évacuation des produits de la combustion des appareils raccordés «53.8 Interdiction fonctionnant visant certains en dispositifs tirage naturel mécaniques de ventilation. Il est interdit d installer des dispositifs mécaniques supplémentaires de ventilation tels que ventilateur de fenêtre, 5.4extracteur Le cas particulier de hotte, de et la devmc-gaz faire déboucher un vidoir de vide-ordures lorsque la colonne correspondante est ventilée par extraction mécanique : - dans une pièce 5.5oùLes se dispositions trouve un appareil applicables à combustion pour l installation raccordé à un conduit de fumée fonctionnant en tirage des naturel appareils ; àcircuit de combustion étanche dans un local distinct de cette pièce si ce dispositif ou vidoir de vide-ordures est susceptible de provoquer une dépression suffisante pour entraîner un refoulement des gaz de combustion.» On ne parle dans ce texte que des dispositifs supplémentaires par opposition aux dispositifs principaux, c est-à-dire ceux qui ne feraient pas partie intégrante de l aération générale et permanente du logement. La norme XP P (DTU 68.1), 3.1, nous indique qu il n est possible d avoir une bouche d extraction dans le même logement qu un appareil à tirage naturel que si ce dernier est dans un

10 Chapitre 5 L évacuation des produits de combustion Définitions Le raccordement des appareils de type B à leur conduit Le conduit de fumée des appareils de type B Méthode de dimensionnement des conduits d évacuation des produits de la combustion des appareils raccordés fonctionnant en tirage naturel Le cas particulier de la VMC-Gaz Les dispositions applicables pour l installation des appareils à circuit de combustion étanche Des solutions sous avis technique

11 L évacuation des produits de combustion 5.3 Méthode de dimensionnement des conduits d évapdc des appareils de type B L évacuation des produits de combustion 5.3 Méthode de dimensionnement des conduits d évapdc des appareils de type B H maxi pour fonctionnement sec soit en utilisant les sections et les puissances : (P1 + P2) Sc = S1 P1 Sc = section du tronçon commun. S1 = section de la sortie de l appareil le plus puissant. P1 = puissance de l appareil le plus puissant. P2 = puissance de l appareil le moins puissant. Dans tous les cas, les départs des conduits de raccordement individuels seront de diamètres identiques, en prenant comme référence le diamètre de l appareil le plus puissant. EXEMPLE Afin de pouvoir raccorder une chaudière de 23 kw équipée d une sortie gaz brûlés de diamètre 125 mm et d un accumulateur de 9 kw dont le diamètre initial est de 80 mm, le tronçon commun devra avoir une section normalisée égale ou supérieure à : (Pu1 + Pu2) (P1 + P2) D=D1 enmmousc=s1 Pu1 P1 Le point ainsi trouvé m indique que l utilisation d un conduit de type W est obligatoire. En effet, l appareil va fonctionner en conditions humides. Pour avoir un fonctionnement normal en zone sec, il faudrait en fait réduire la hauteur pour arriver à 14 m maximum Calcul pour le raccordement de deux appareils Le calcul de dimensionnement des conduits de fumée à tirage naturel pour le raccordement de deux appareils doit être réalisé conformément à la norme NF EN Lors de la mise en œuvre d une installation composée de deux appareils à raccorder sur un conduit de fumée, il faudra que les appareils soient installés conformément à la réglementation en vigueur. Cas d un tronçon commun Il existe deux formules pour calculer la section du tronçon commun : soit en utilisant le diamètre de la buse de l appareil le plus puissant et les puissances : (Pu1 + Pu2) D=D1 en mm Pu1 D = diamètre du tronçon commun. D1 = diamètre de l appareil le plus puissant. Pu1 = puissance de l appareil le plus puissant. Pu2 = puissance de l appareil le moins puissant. (Π D²) Note : section =. 4 (23 + 9) (Π D²) (P1 + P2) D=125 Sc = * 23 4 P1 (Π * 12,5) (23+9) D = 147,44 soit 147 mm Sc = * 4 23 Sc = 122,7 * 1,39 = 170,55 cm² (4 * 170,55) D= = 14,7 cm = 147 mm. Π Cas de deux appareils sur conduit Calcul de la puissance utile maximum par appareil raccordable sur un conduit individuel. Afin de pouvoir utiliser le tableau B7 de l annexe B de la partie 7 du DTU 61.1 (appareil de type B11, chaudières standard), il faut déterminer le «type» de conduit en fonction du nombre de dévoiements sur les différents conduits de raccordement individuels ou tronçon commun. Le tableau B6 de l annexe précitée nous permet de déterminer ce type. Tableau page suivante Le tableau B7 permet, une fois le «type» de raccordement connu, de déterminer la puissance utile maximale de deux appareils raccordables sur un conduit individuel. Il faudra bien entendu connaître la hauteur et le diamètre du conduit de fumée. Pour cela, deux méthodes sont applicables

12 L évacuation des produits de combustion 5.5 Les dispositions applicables pour l installation des appareils à circuit de combustion étanche L évacuation des produits de combustion 5.6 Des solutions sous avis technique Les configurations ci-après présentent des terminaux sur les faces en vis-à-vis dans la zone mal irriguée. La puissance totale pouvant être installée dans cette courette est donc limitée à la valeur fournie par la méthode de calcul. Schéma L éventuelle pièce de raccordement disposée entre le conduit d amenée d air et d évacuation des produits de combustion concentrique et le système 3 CE doit permettre un raccordement étanche au système et demeurer accessible et démontable. P/2 L profondeur P Nombre de terminaux limité L P/2 profondeur P L P/2 profondeur P Évacuation des condensats Pour les appareils qui ne sont pas conçus pour recevoir des condensats, il faut garantir une légère pente descendante vers le système 3 CE. Dépose de l appareil En cas de dépose de l appareil, il faut prévoir l installation du tampon sur le conduit de liaison au conduit 3CE, aussi bien sur le conduit d évacuation des produits de combustion que sur le conduit d amenée d air. MÉTHODE DE CALCUL La méthode de calcul est la même que pour les courettes fermées non couvertes sans ventilation naturelle. La valeur obtenue étant la puissance totale maximale pouvant être installée dans les deux zones de la configuration en U, la surface à prendre en compte est la surface totale du U (P x L). Cas particuliers d installation des terminaux d appareils de type C31, C32, C33 Le débouché en toiture d un terminal vertical par rapport à une toiture ou une surface horizontale située en dessous est au moins égal à 30 cm. Cas particuliers pour les appareils de type C4 (raccordés sur système 3 CE) L appareil à gaz doit être installé avec son conduit concentrique d amenée d air et d évacuation des produits de combustion et l éventuelle pièce de raccordement prescrite par le fabricant : soit les conduits de liaison du système 3 CE ; soit les conduits collectifs proprement dits (selon les produits 3 CE). Prescriptions d installation des appareils La puissance utile doit être inférieure ou égale respectivement à la puissance utile ou au débit calorifique maximal défini dans le domaine d emploi du système 3 CE sur lequel l appareil sera raccordé. Un appareil de type C4 doit être raccordé sur un système 3 CE titulaire d un avis technique ou d un document technique d application (DTA). Mise en œuvre des conduits d amenée d air et d évacuation des produits de combustion concentrique Il faut s assurer que la longueur de raccordement nécessaire à l installation de l appareil est inférieure à la longueur de raccordement maximum admissible par le système 3 CE. 5.6 Des solutions sous avis technique Généralités Les règles de l art à respecter pour la réalisation d une installation domestique de gaz sont décrites dans l arrêté interministériel du 2 août 1977 modifié, dans la norme française DTU 61.1 et dans la norme française DTU 24.1 principalement. Quelques textes réglementaires annexes donnent également des directives ou des indications à suivre (règlements sanitaires départementaux, arrêté sur la ventilation générale et permanente des logements ). Au-delà de ces textes fondateurs, il existe en France une possibilité de faire valider des solutions techniques alternatives qui seront valables pour un produit ou une mise en œuvre particuliers. Il s agit de la procédure d avis technique ou de document technique d application. Dans ce cas, un constructeur ou un inventeur va établir un dossier pour présenter un produit ou une utilisation de produit au Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB). Après étude, le CSTB va émettre un avis qui, s il est positif, validera que le matériau ou la méthode, bien que non prévu par le tronc commun de la réglementation, est accepté comme règle de l art pour le domaine d utilisation défini. Lorsqu il est décidé d utiliser une solution sous avis technique, il est très important de vérifier notamment : la réalité de l existence de l avis ; son domaine d application ; ses conditions de mise en œuvre ; sa date de validité

13 Les certificats de conformité 8.1 Quel modèle de certificat de conformité utiliser? Les certificats de conformité 8.1 Quel modèle de certificat de conformité utiliser? La figure ci-après illustre le certificat de conformité modèle 2 qu utilise Qualigaz. Tous les certificats de conformité sont enregistrés auprès du centre d enregistrement et de révision des formulaires administratifs (CERFA). Chaque certificat de conformité possède un numéro d identification unique en haut à droite. L identification de l installateur est décrite lors de la commande du certificat de conformité. L'installateur doit remplir les parties (en bleu), à savoir : Illustration l identification de l installation ; la nature du gaz présent dans l installation et le distributeur ; la description des travaux réalisés par l installateur ; l attestation de l installateur ; le nom du responsable gaz dans l entreprise le cas échéant. Note : le responsable gaz doit être identifié dans le cas des entreprises titulaires d une qualification reconnue par le ministre chargé de la sécurité du gaz. C est le cas à la date de parution de cet ouvrage de l appellation Professionnel du Gaz (PG). Le visa de Qualigaz est apposé dans le pavé situé en bas à gauche du certificat de conformité. Modèle de certificat Numéro de dépôt du formulaire Type de certificat selon la qualification de l entreprise renseignée par Qualigaz Numéro d identification unique renseigné par Qualigaz Partie renseignée par Qualigaz à la commande du formulaire Le certificat de conformité modèle 1 est fourni vierge, car il n est pas visé par Qualigaz, mais par le distributeur. Partie à remplir par l installateur Visa de Qualigaz Description du certificat de conformité

L expérience de Qualigaz au service de tous les professionnels du gaz. Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires

L expérience de Qualigaz au service de tous les professionnels du gaz. Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires L expérience de Quali au service de tous les professionnels du Le seul ouvrage intégrant les toutes dernières évolutions réglementaires L outil idéal des responsables Gaz pour préparer leurs contrôles

Plus en détail

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries

Plus en détail

CATALOGUE DE hformation GAZ

CATALOGUE DE hformation GAZ CATALOGUE DE hformation GAZ 6 Rue des Bonnes Gens 68025 COMAR CEDEX Tél : 03.69.28.89.00 Fax : 03.69.28.89.30 Mail : contact@coprotec.net Site : www.coprotec.net SOMMAIRE PRESENTATION... 3 NOS FORMATIONS

Plus en détail

ADDITIF AUGUIDE 2011 QUALIGAZ. Comprendre le contrôle de conformité d une installation intérieure de gaz ADDITIF AU GUIDE QUALIGAZ 2011 PAGE 1

ADDITIF AUGUIDE 2011 QUALIGAZ. Comprendre le contrôle de conformité d une installation intérieure de gaz ADDITIF AU GUIDE QUALIGAZ 2011 PAGE 1 GUIDE QUALIGAZ ADDITIF AUGUIDE QUALIGAZ 2011 Comprendre le contrôle de conformité d une installation intérieure de gaz ADDITIF AU GUIDE QUALIGAZ 2011 PAGE 1 Mandatée par les pouvoirs publics, l Association

Plus en détail

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions

Plus en détail

Résidentiel. Une hotline technique afin de répondre à toutes vos questions techniques et réglementaires. www.cegibat.grdf.fr

Résidentiel. Une hotline technique afin de répondre à toutes vos questions techniques et réglementaires. www.cegibat.grdf.fr Aide-mémoire Résidentiel Depuis plus de 0 ans, CEGIBAT conseille les professionnels du gaz et du bâtiment sur les sujets techniques et réglementaires. Édition 0 Avec cette nouvelle édition, CEGIBAT a la

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

La nouvelle directive G 1. quoi de neuf?

La nouvelle directive G 1. quoi de neuf? La nouvelle directive G 1 quoi de neuf? La Chaux-de-Fonds le 6.3.13 S.Reymond 1 Chapitre 2.4.1 2 Chapitre 3 3 Chapitre 3 définitions et rappels légaux et normatifs Le chapitre 3 contient les définitions

Plus en détail

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie Thierry Gallauziaux David Fedullo La plomberie Deuxième édition 2010 Sommaire Sommaire Les bases de la plomberie Les matières synthétiques...16 Les dangers du gaz et de l eau...16 La plomberie...9 L eau...10

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

SolutionS rénovation ConDuitS DE FuMéES pour ChauDièrES à ConDEnSation Poujoulat

SolutionS rénovation ConDuitS DE FuMéES pour ChauDièrES à ConDEnSation Poujoulat Solutions rénovation CONDUITS DE FUMéES pour chaudières à condensation Conduit individuel Le conduit individuel se rencontre dans les immeubles anciens de l époque haussmannienne et en maison individuelle.

Plus en détail

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise

Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

A.E.B. Livret d'apprentissage. 3 Plomberie Sanitaire. 4 Finitions Décoration. 1 Aménagement 2 Electricité

A.E.B. Livret d'apprentissage. 3 Plomberie Sanitaire. 4 Finitions Décoration. 1 Aménagement 2 Electricité Livret d'apprentissage A.E.B. 1 Aménagement 2 Electricité 3 Plomberie Sanitaire 4 Finitions Décoration 31 - Créer un réseau d évacuation eaux usées et eaux vannes 32 - Créer un réseau d alimentation 33

Plus en détail

Modèle de rapport de visite de l'état de l'installation intérieure de gaz

Modèle de rapport de visite de l'état de l'installation intérieure de gaz Modèle de rapport de visite de l'état de l'installation intérieure de gaz Le rapport établi par l'opérateur de diagnostic doit comporter au minimum les informations ci-après. A. - Désignation du ou des

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

Notice de sécurité de votre. installation au gaz naturel

Notice de sécurité de votre. installation au gaz naturel Notice de sécurité de votre installation au gaz naturel 1 Sommaire 2 3 Le gaz naturel, une énergie d avenir 05 Le gaz naturel. Faire bon usage du gaz naturel 07 Description générale de l installation du

Plus en détail

NF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page

NF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page Sommaire Page Avant-propos...5 1 Domaine d application...6 2 Caractéristiques...6 3 Conditions générales...6 3.1 Services ou prestations compris dans le contrat d abonnement...6 3.2 Durée et dénonciation...7

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

FORMATIONS 2013. Professionnels de l immobilier Multi-énergies

FORMATIONS 2013. Professionnels de l immobilier Multi-énergies CataLoguE FORMATIONS 2013 Professionnels du gaz Chaufferies Intervenants en cuisine Locaux professionnels ERP5 Diagnostiqueurs immobiliers Service après-vente Professionnels de l immobilier Multi-énergies

Plus en détail

APPAREILLAGES AREILLAGES POSTES - COFFRETS - CHARIOTS - MATÉRIEL DE CONTRÔLE

APPAREILLAGES AREILLAGES POSTES - COFFRETS - CHARIOTS - MATÉRIEL DE CONTRÔLE AREILLAGES POSTES - COFFRETS - CHARIOTS - MATÉRIEL DE CONTRÔLE 51 POSTES POSTES FLAMME MINIFLAM BOUTEILLE Air liquide Unité 1 poste 455250 Poste de soudage OXY/AD sur chariot mobile Autonomie d'environ

Plus en détail

C 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa

C 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon

Plus en détail

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative

Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un

Plus en détail

Systèmes multicouches Alpex-duo - Turatec

Systèmes multicouches Alpex-duo - Turatec Systèmes multicouches Alpex-duo - Turatec pour les applications plomberie - sanitaire chauffage - eau glacée 10 ans Systèmes tubes + raccords GARANTIE Certificat CSTBat Certificat CSTBat Certificat CSTBat

Plus en détail

Chaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000

Chaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières

Plus en détail

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone

Avis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone Avis Technique 14/14-2041 Annule et remplace l Avis Technique 14/09-1511*V1 Flexibles comportant un tuyau en matériau thermoplastique revêtu d une tresse Flexibles de raccordement Flexible hoses Flexibel

Plus en détail

Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz

Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : AFNOR NF P 45-500 09 h 00 01 h 45 La présente

Plus en détail

SOLUTIONS POUR LA PLOMBERIE. Système de canalisation pré-isolée Uponor

SOLUTIONS POUR LA PLOMBERIE. Système de canalisation pré-isolée Uponor SOLUTIONS POUR LA PLOMBERIE Système de canalisation pré-isolée Uponor 9 Quelques mots sur L histoire L aventure prometteuse des canalisations en plastique remonte à une trentaine d années environ. A la

Plus en détail

Sertissage Aciers COMAP,

Sertissage Aciers COMAP, Sertissage Aciers COMAP, passez à la vitesse supérieure! Jean Vasseur Communication - Photo : Domino Pascal P. Plombier (Lyon) XPress aciers Carbone XPress aciers Inox RAPIDITÉ Réalisez vos installations

Plus en détail

Systèmes de ventilation double flux CWL

Systèmes de ventilation double flux CWL Economie d énergie et respect de l environnement de série Systèmes de ventilation double flux CWL CWL 180 : jusqu à 180 m 3 /h CWL 300 : jusqu à 300 m 3 /h avec ou sans bypass CWL 400 : jusqu à 400 m 3

Plus en détail

Un réseau commercial à votre écoute!

Un réseau commercial à votre écoute! Un réseau commercial à votre écoute! JDes J sessions de formation sur l ensemble du territoire français JDes J équipes en région pour vous conseiller et vous accompagner dans vos choix JUne J capacité

Plus en détail

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS

SOMMAIRE ARTIPRIX PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS PERCEMENTS SAIGNÉES SCELLEMENTS 1 2 3 4 5 6 7 PIQUAGES - FORAGES - PERCEMENTS DES MURS FORAGES DANS MURS FORAGES DANS PLANCHERS 15 PERCEMENTS 16 SAIGNÉES SCELLEMENTS FRAIS DIVERS D'INTERVENTION DE DÉPANNAGE RECONNAISSANCE DES TRAVAUX

Plus en détail

NOTICE D'INSTALLATION, DE MISE

NOTICE D'INSTALLATION, DE MISE 8908908902890256 8908908902890256 8908908902890256 NOTICE D'INSTLLTION, DE MISE EN SERVICE ET D'ENTRETIEN Optitherm 6.25/6.5 C Optitherm 5.25/6.25/6.5 B Tableau de commande 2 EXIGENCES RÉGLEMENTIRES ET

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a)

CODE DU TRAVAIL. Nombre de dégagements réglementaires. Nombre total d'unités de passage Moins de 20 personnes 1 1. 1 + 1 dégagement accessoire (a) CODE DU TRAVAIL Art. R. 235-4.- Les dispositions de la présente section s'appliquent aux établissements mentionnés à l'article R. 232-12. Les bâtiments et les locaux régis par la présente section doivent

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE

Chauffage individuel FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Chauffage individuel 2 9 10 CONNAÎTRE > Chauffage central à eau > Chauffage par pièce > Autres systèmes REGARDER > Energies utilisées > Consommations > Inconforts ENTRETENIR > Contrat de

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine

NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire

Plus en détail

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES

NOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements

Plus en détail

DESCRIPTIF PHASE D.C.E.

DESCRIPTIF PHASE D.C.E. MAITRE D'OUVRAGE : COMMUNE DE VEUREY-VOROIZE! OBJET CHANTIER : CONSTRUCTION MAISON DE LA NATURE LIEU DU CHANTIER : SECTEUR DES JAYERES 38113 VEUREY-VOROIZE DESCRIPTIF PHASE D.C.E. LOT 4 PLOMBERIE - SANITAIRES

Plus en détail

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau

DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour

Plus en détail

FLUENDO 11-14 CF E. CHAUFFE-BAINS A GAZ Modèles pour raccordement à un conduit de fumées. Notice d'installation et d'emploi. Sommaire: Description:

FLUENDO 11-14 CF E. CHAUFFE-BAINS A GAZ Modèles pour raccordement à un conduit de fumées. Notice d'installation et d'emploi. Sommaire: Description: FLUENDO 11-1 CF E CHAUFFE-BAINS A GAZ Modèles pour raccordement à un conduit de fumées Notice d'installation et d'emploi Cette notice d'installation et d'emploi est destinée aux appareils installés en

Plus en détail

Et la ventilation créa l eau chaude

Et la ventilation créa l eau chaude VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %

Plus en détail

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE

Plus en détail

Qu est-ce qu un raccordement?

Qu est-ce qu un raccordement? mars 2012 La prestation de raccordement : vue d ensemble pages 4/5 Votre demande de raccordement page 6 La proposition de raccordement d ERDF page 7 modalités de paiement prix du branchement Les travaux

Plus en détail

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB

Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 1 Séminaire Bâtiment Durable: Rendre son installation de chauffage performante grâce à la PEB 21 octobre 2014 Bruxelles Environnement LA REGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB Alain BEULLENS, DPT CHAUFFAGE ET CLIM

Plus en détail

OCEANE Machine de brasage double vague

OCEANE Machine de brasage double vague Information générale Un concept de machine qui offre une performance remarquable, machine spécialement conçue pour les petites et moyennes séries, idéal pour toutes les exigences de production. Tout le

Plus en détail

RÉGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB POUR LES IMMEUBLES À APPARTEMENTS.

RÉGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB POUR LES IMMEUBLES À APPARTEMENTS. RÉGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB POUR LES IMMEUBLES À APPARTEMENTS. Problèmes régulièrement rencontrés sur le terrain, quelles sont les soluhons? 07 10-2014 BASES RÉGLEMENTAIRES RELATIVES AUX INSTALLATIONS

Plus en détail

Système multicouche raccords à sertir et tubes

Système multicouche raccords à sertir et tubes Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,

Plus en détail

C.C.T.P. PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE

C.C.T.P. PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-GARONNE COMMUNE DE SAINT-JORY PROJET D'AMENAGEMENT D'UN CENTRE SOCIAL DANS UN BATIMENT EXISTANT C.C.T.P. vvv LOT N 04 - PLOMBERIE SANITAIRE - ZINGUERIE L Entrepreneur : Le Maître

Plus en détail

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire Décomposition du Prix Global et Forfaitaire Création d'un espace périscolaire Et d'une nouvelle mairie A CUSE et ADRISANS Rue PATARD 25 680 CUSE et ADRISANS Lot n 3 Ventilation - Plomberie sanitaire Maître

Plus en détail

Un réseau commercial à votre écoute!

Un réseau commercial à votre écoute! ÉDITO Un réseau commercial à votre écoute! Depuis de nombreuses années, Qualigaz est présent afin de vous offrir le meilleur accompagnement au quotidien. Chaque année, nous enrichissons notre gamme de

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE

NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant

Plus en détail

RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS SOMMAIRE

RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG RESEAUX DE DISTRIBUTION DE GAZ REGLES TECHNIQUES ET ESSAIS RSDG 1 Rev1 Juillet 2013 SOMMAIRE 1. 2. 3. 4. 5. 6. OBJET DU CAHIER DES CHARGES 4 LES OUVRAGES CONCERNES 5 NORMES DE REFERENCE

Plus en détail

Votre revendeur CHAPPÉE

Votre revendeur CHAPPÉE 1, avenue Charles-Floquet 1 Le Blanc-Mesnil cedex - France Téléphone : 01 1 00 Télécopie : 01 1 www.chappee.com BAXI S.A. au capital de 21 0 R.C.S Bobigny B 02 01 - A.P.E 22 D Votre revendeur CHAPPÉE Ce

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant

Plus en détail

Soltherm Personnes morales

Soltherm Personnes morales Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration

Plus en détail

Systèmes d aspiration pour plan de travail

Systèmes d aspiration pour plan de travail Systèmes d aspiration pour plan de travail Les systèmes d aspiration Nederman pour plan de travail peuvent être utilisés dans tout type d environnement en partant des postes d assemblage où des fumées

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

Cet ouvrage est destiné aux petites entreprises et artisans électriciens ou climaticiens.

Cet ouvrage est destiné aux petites entreprises et artisans électriciens ou climaticiens. SOLUTIONS DE VENTILATION DANS L'HABITAT INDIVIDUEL OBJET Cet ouvrage est destiné aux petites entreprises et artisans électriciens ou climaticiens. Il a pour but de les sensibiliser aux problèmes de ventilation

Plus en détail

Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN

Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN Sommaire 3 A LA UNE 4 LA VMC GAZ EN COLLECTIF 6 TRAITEMENT DES DGI 7 LES AUTRES MODIFICATIONS 2 A la une INFO La mise en application prévue au 1er juin 2013 nécessitera la publication de son arrêté de

Plus en détail

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires

Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Travaux de rénovation partielle de bureaux et de laboratoires Centre de recherche Saint Antoine UMR-S 893 Site de l Hôpital Saint Antoine Bâtiment Inserm Raoul KOURILSKY 6 ème étage Equipe 13 Alex DUVAL

Plus en détail

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP

guide lot CVC Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP ENTREPRISES GÉNÉRALES DE FRANCE BTP guide Points de vigilance à l usage des conducteurs de travaux EG lot CVC Avant-propos AVANT-PROPOS CHAUFFAGE... 1 CLIMATISATION... 2 GESTION TECHNIQUE CENTRALISÉE 3

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521

INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 INSTRUCTIONS D INSTALLATION MODÈLE 300521 WWW.BURCAM.COM 2190 Boul. Dagenais Ouest LAVAL (QUEBEC) CANADA H7L 5X9 TÉL: 514.337.4415 FAX: 514.337.4029 info@burcam.com Votre pompe a été soigneusement emballée

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Installateur chauffage-sanitaire

Installateur chauffage-sanitaire Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme

Plus en détail

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B

F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d

Plus en détail

Référentiel Professionnel

Référentiel Professionnel Référentiel Professionnel INSTALLATEUR EN SANITAIRE ET ÉNERGIES RENOUVELABLES 1/26 SOMMAIRE 1. INTITULE DE L'EMPLOI-TYPE...3 1.1 Fiche(s) ROME de rattachement... 3 1.2 Autres(s) appellation(s) de l emploi-type...

Plus en détail

Prévention des intoxications Entretien des chaudières

Prévention des intoxications Entretien des chaudières Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,

Plus en détail

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE

VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE G U I D E VOTRE EAU CHAUDE ELECTRIQUE SICAE Une réduction d'impôts peut être obtenue (sous certaines conditions) lors du remplacement de votre chauffe-eau électrique. Renseignez-vous auprès du Centre des

Plus en détail

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE

CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

UCF-FFB, UNCP-FFB, SYNASAV

UCF-FFB, UNCP-FFB, SYNASAV CONVENTION NATIONALE Professionnel du Gaz du 22 novembre 2006 entre Les organisations professionnelles CAPEB-UNA-CPC, UCF-FFB, UNCP-FFB, SYNASAV et l Association habita+ Préambule Depuis 1988 et la création

Plus en détail

Le chauffage, épisode 2 : plomberie

Le chauffage, épisode 2 : plomberie Le chauffage, épisode 2 : plomberie tomtom, le 19 mars 2010 à 14:47 Si vous avez bien tout suivi l'article précédent, nous voilà donc partis dans la conception et la réalisation d'un chauffage central.

Plus en détail

ÉGOUTS ANALISATIONS NETTOYAGE PROFESSIONNEL

ÉGOUTS ANALISATIONS NETTOYAGE PROFESSIONNEL Setting the standard POUR LE NETTOYAGE PROFESSIONNEL DES ANALISATIONS ÉGOUTS Sommaire de déboucheurs moteur électrique de haute performance parfaite qualité de flexible avec gaine riocore système d accouplement

Plus en détail

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.

Plus en détail

Règles Générales pour les Installations Gaz naturel. Exécutés par Vinçotte

Règles Générales pour les Installations Gaz naturel. Exécutés par Vinçotte Règles Générales pour les Installations Gaz naturel Exécutés par Vinçotte Édition août 2011 TABLE OF CONTENTS 1. BUT DE CETTE PUBLICATION 3 2. DOMAINE D APPLICATION 4 3. REGLES DE SECURITE 5 4. PRESCRIPTIONS

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

Chauffe-eau électrique Chaffoteaux

Chauffe-eau électrique Chaffoteaux Chauffe-eau électrique Chaffoteaux Guide de montage Difficulté : Durée de l intervention : 1h30 à 2h00 Besoin d informations? Contactez-nous au 01 47 55 74 26 ou par email à Sommaire Introduction... 2

Plus en détail

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire

Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1

Plus en détail