Les principes d architecture, de circuits, d aménagement et d équipements des locaux au bloc opératoire

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1 Les principes d architecture, de circuits, d aménagement et d équipements des locaux au bloc opératoire 1 François XAINTRAY Directeur des Services Techniques Hôpitaux Civils de Colmar

2 Sommaire 1. Quelques définitions 2. Expression des besoins 3. Le programme technique détaillé 4. L avant projet sommaire 5. L avant projet définitif 6. Conclusion 2

3 1 - DEFINITIONS 1. L ensemble opératoire 2. Le bloc opératoire 3. La salle d opérations 4. La zone opératoire 3

4 1. Quelques définitions (1) L ensemble opératoire C est le milieu protégé au sein d une ambiance réputée dangereuse sur le plan bactériologique 4 Le bloc opératoire Il s agit de l ensemble de plusieurs salles d opérations réunies dans une même unité immobilière. Cet ensemble fonctionne de manière autonome

5 En pratique ENSEMBLE OPERATOIRE BLOC OPERATOIRE BLOC OPERATOIRE 5 IMAGERIE Radiologie interventionnelle ENDOSCOPIES AUTRES ACTIVITES

6 1. Quelques définitions (2) La salle d opérations C est l unité immobilière et mobilière destinée aux interventions chirurgicale 6 La zone opératoire C est le domaine de l activité opératoire : la table d opérations et son environnement immédiat, réservés à l équipe opératoire. Objet de mon exposé de ce jour

7 En pratique BLOC OPERATOIRE Unité Opératoire Transfert Salle Opération Zone opératoire Vestaires Réveil Unité Opératoire Salle Opération Zone opératoire Détente Matériel 7

8 8 2 EXPRESSION DES BESOINS

9 2. Expression des besoins BLOC OPERATOIRE Nombre d'interventions Organisation générale Contruction neuve Expression des besoins Réabilitation Optimisation de l'organisation du travail Respecter les règles d'hygiènes 9 Diminuer les couts d'investissement et d'exploitation

10 3 LE PROGRAMME TECHNIQUE DETAILLE 1. La liste des locaux 2. Les surfaces des locaux 3. Les circuits 4. L organisation du bloc 5. L asepsie progressive 10

11 3. Le P.T.D. BLOC OPERATOIRE Salle d'opération n 1 Utilisateurs Hygiénistes Salle d'opération n x Programme Technique détaillé (PTD) La liste des locaux La surface des locaux 11 Les circuits et les liaisons fonctionnelles entre les locaux

12 3.1. La liste des locaux Local de préansthésie BLOC OPERATOIRE Salle d'opérations n 1 Sas de transfert des malades Vestiaires propres et sales Sanitaires Bureaux Salle de détente Salle d'opérations n x Locaux de préparation chirurgien Locaux de nettoyage des instruments Locaux de stockage Salle de surveillance postinterventionnelle 12

13 3.2. Les surfaces des locaux (1) La salle d opération : 36 à 42 m² Forme carrée ou rectangulaire Angles arrondis ou en pans 13

14 3.2. Exemples de surfaces (2) Modèle choisi 5 salles d opérations Circulation unique par un couloir Locaux divisés en 3 zones Zone opératoire Zone de réveil Zone commune 14

15 3.2. La zone opératoire (3) 1. Zone de transfert et sas 40 m² 2. Stockage lits 21 m² 3. Stockage chariots 21 m² 4. Nettoyage chariots 15 m² 5. Salle de pré-anesthésie 5 x 12 m² 6. Zone lavage préparation 5 x 8 m² 7. Sas matériel décartonnage 10 m² 8. Stockages divers 5 x 15 m² 9. Salle d opérations 5 x 36 m² TOTAL : 462 m² 15

16 3.2. La zone de réveil (S.S.P.I.) (4) 1,5 à 2 lits minimum par salle d opérations, soit 8 lits de réveil 1. Salle de réveil avec poste de surveillance 80 m² 2. Local salubrité vidoir 10 m² 3. Réserve matériel 10 m² TOTAL : 100 m² 16

17 3.2. La zone commune de service (5) 1. Salle de détente 16 m² 2. Bureau cadre de santé 20 m² 3. Vestiaires hommes 20 m² 4. Vestiaires Femmes 30 m² 5. Stockage divers matériels 25 m² 6. Réserve linge propre 12 m² 7. Dépôt linge sale 8 m² 8. Local ménage 8 m² 9. Local de décontamination 20 m² TOTAL 159 m² 17

18 3.2. Récapitulatif des surfaces (6) Zone opératoire 462 m² Zone de réveil 100 m² Zone commune 159 m² TOTAL 721 m² Ajouter les circulations et locaux techniques m²

19 3.3. Organisation fonctionnelle (1) SERVICE SERVICE SEPTIQUE ASEPTIQUE S.S.P.I. TRANFERT MALADE ATTENTE LITS STOCK MATERIEL ANESTHESIE SAS MATERIEL PROPRE SALLE D'OPERATION TRAITEMENT LINGE PROPRE LINGE et MATERIEL SALE LOCAUX DIVERS VESTIAIRE PROPRE SAS LAVAGE 19 VESTIAIRE SALE CHIRURGIENS LINGE SALE TRAITEMENT

20 3.3. Le circuit du patient (2) SERVICE SERVICE SEPTIQUE 7 1 ASEPTIQUE S.S.P.I. 6 TRANFERT MALADE 2 ATTENTE LITS 3 5 STOCK MATERIEL ANESTHESIE 4 SAS MATERIEL PROPRE SALLE D'OPERATION TRAITEMENT LINGE PROPRE LINGE et MATERIEL SALE LOCAUX DIVERS VESTIAIRE PROPRE SAS LAVAGE 20 VESTIAIRE SALE CHIRURGIENS LINGE SALE TRAITEMENT

21 3.3. Le circuit des personnels (3) SERVICE SERVICE SEPTIQUE 7 1 ASEPTIQUE S.S.P.I. 6 TRANFERT MALADE 2 ATTENTE LITS 3 5 STOCK MATERIEL ANESTHESIE 4 SAS MATERIEL PROPRE SALLE D'OPERATION TRAITEMENT LOCAUX DIVERS 3 LINGE PROPRE VESTIAIRE PROPRE 2 1 SAS LAVAGE LINGE et MATERIEL SALE 21 VESTIAIRE SALE CHIRURGIENS LINGE SALE TRAITEMENT

22 3.3. Le circuit des matériels (4) SERVICE SERVICE SEPTIQUE 7 1 ASEPTIQUE S.S.P.I. 6 TRANFERT MALADE 2 ATTENTE LITS STOCK MATERIEL ANESTHESIE SAS 1 MATERIEL PROPRE LOCAUX DIVERS SALLE D'OPERATION 3 LINGE PROPRE VESTIAIRE PROPRE SAS LAVAGE TRAITEMENT LINGE et MATERIEL SALE 22 VESTIAIRE SALE CHIRURGIENS LINGE SALE TRAITEMENT

23 Matériel Personnel ACTE OPERATOIRE Patient 3.3. Récapitulatif (5) accueil réception préparation conditionnement reconditionnement départ accueil du patient Transfert préannesthésie Transfert hébergement réveil réanimation vestiaire extérieur change lavage main tenue opératoire déshabillage vestiaire extérieur réception contrôle déconditionnment préparation déconta élimination reconditionment mination stock intervention tri stérilisation 23 salle d'opération unité opératoire

24 3.4. Organisation du bloc (1) Elle repose sur 2 points principaux : L arrêté du 7 janvier 1993 relatif aux caractéristiques du secteur opératoire Le concept d asepsie progressive 24

25 3.4. Arrêté du 7 janvier 1993 (2) relatif aux caractéristiques du secteur opératoire Article 2 Le secteur opératoire inclut une zone protégée, cette zone garantie par des dispositions techniques, une organisation de travail et une hygiène spécifique et adaptée, Tout secteur opératoire et toute zone opératoire protégée doivent être physiquement délimités et signalés. 25

26 3.4. Arrêté du 7 janvier 1993 (3) relatif aux caractéristiques du secteur opératoire Article 8 L organisation du secteur opératoire doit être précisée et consignée dans un document prévu à cet effet. 26 Ce document définit et précise : les modalités d établissement du programme opératoire Les procédures et modalités d entrée, de déplacement et de sortie des instruments, matériels et linges Les procédures d évacuation des déchets les procédures et modalités d entrée, de déplacement et de sortie du personnel et des patients les procédures et modalités de nettoyage, décontamination, désinfection et stérilisation

27 3.5. Le principe d asepsie progressive (1) Personnels Patients Matériels 27 Hôpital Souillé Douanes 1 Zone de protection du propre Secteur commun Propre Zone de Douanes 2 protection du stérile Salle Protégé Champ opératoire d opération Couloir Schéma proposé par T. Hoet 1985 Le bloc opératoire contemporain

28 3.5. Le principe d asepsie progressive (2) Asepsie progressive croissante Zone 1 Zone 2 Zone 3 Zone 4 Zone 5 Chirurgien Instrumentiste Table à instrument Salle d intervention Préparation chirurgien Pré-anesthésie Arsenal stérile S V T M S M Extérieur bloc Pa 15 Pa 15 Pa Douane 3 Douane 2 Douane 1 S V : sas vestiaires, T M : transfert malades, S M : sas matériel

29 3.5. Le classement des locaux (3) 29 Sas de transfert du patient Sas de décartonnage du matériel Vestiaires extérieurs Vestiaires extérieurs aller et retour Locaux de décontamination, tunnel Salle de réveil 3 ou 4 réserves de matériel Local matériel d entretien PC médical et chef de bloc Salle de détente Arsenal stérile Salle de préparation du patient Salle de préparation du chirurgien Salles d interventions (surface 40 m 2 Zones 5 et 4 Zone 4 Zone 3 Zone 2

30 4 L AVANT PROJET SOMMAIRE 1. Généralités 2. Le double circuit 3. Le simple circuit 4. Les sas 5. Le SSPI 6. Les locaux de stockage 30

31 4.1. Généralités 1. C est la première réponse de l équipe Architecte-Ingénieur au P.T.D. exprimé par les utilisateurs 2. L A.P.S. est une proposition de répartition des locaux à l intérieur du Bloc Opératoire. Pour cela il y a 2 grands concepts : La double circulation La simple circulation 31

32 4.2. La double circulation (1) Modèle à isolement du sale : schéma de principe Couloir d élimination des déchets et du matériel prédésinfecté prédésinfection Salle d opérations Habillage chirurgical Salle d opérations arsenal stérile préparation patient lavage chirurgical préparation patient arsenal stérile 32 «Couloir propre» Circuit chirurgiens Circuit malades Circuit matériel

33 4.2. La double circulation (2) Modèle à isolement du sale : schéma de bloc 8 salles «Couloir sale» S a.s prépa. patient Réserves «Couloir sale» déc. pré. chir. S S S lav. chir. patient prépa. Couloir «propre» Couloir «propre» Réserves surveillante Vestiaire Transfert Réveil Entrée Service Annexe 33 S S S S «Couloir sale»

34 4.2. Avantage du double circuit (3) Le linge sale Les déchets Le matériel souillé ne repassent pas par le couloir «propre» 34

35 4.2. Inconvénients du double circuit (4) Perte de place Risque de dérives dans l utilisation de l ouverture du couloir sale Risque perturbations aérauliques de la salle d intervention par l ouverture du couloir sale 35

36 4.3. Le simple couloir (1) Salle d opération Pré- Désinfection Prépa. Chirurg. Circuits Chirurgiens Malades Matériel Arsenal stérile Prép. Patient Prép. Patient Arsenal stérile 36 Couloir D après Th. Hoet : le bloc opératoire contemporain

37 4.3. Intérêt du simple circuit (2) 37 Permet d avoir plus d espace pour la salle d intervention L éclairage naturel des salles d opérations plus facile à réaliser Possibilité d une seule porte coulissante limitant les flux de particules et les baisses de pression de la salle d interventions Circuits plus simples La tendance actuelle est en faveur du circuit simple

38 4.3. Contraintes du simple circuit (3) Lors de l évacuation, il est indispensable d emballer Le linge sale, Le matériel souillé et Les déchets dans un contenant propre, afin d éviter toute contamination du circuit. 38

39 4.4. Les SAS 3 types de SAS : La zone de réception spécifique pour les DM et les consommables ou SAS de «décartonnage» La salle de transfert des patients (ne jamais amener le lit dans la salle d intervention) 39 Le vestiaire du bloc

40 4.5. Le vestiaire (1) Couloir extérieur Armoires WC Douches Tenue bloc Couloir de 3 desserte 1 2 interne 4 des salles d opérations Lavabos Sacs et poubelles Dépôt tenue de ville Lavage mains Habillage tenue de bloc 40 Extérieur 1 1 Rhabillage Toilette douche Déshabillage Intervention

41 4.5. Le vestiaire (2) C C C C Vestiaire extérieur Vestiaire intérieur retour Zone circulation bloc opératoire 41 C C C C S C : casier, L : point de lavage des mains, L Vestiaire intérieur aller S : sanitaires (douches, lavabos, WC), sens de circulation

42 4.6. La S.S.P.I. (1) Recommandations de la SFAR septembre place mini par salle d interventions minimum Une surface de 10 à 12 m2 par emplacement est recommandée Permettre la possibilité d un isolement septique 42

43 4.6. La S.S.P.I. (2) Importance: de la qualité et du positionnement des postes de lavage de mains et des flacons de produit hydro-alcoolique muraux (à commande au coude) de ne rien avoir sur le sol pour faciliter l entretien (Rails suspendus) 43 de l organisation de la salle

44 4.6. La S.S.P.I. (3) 44 Disposition montrant les aléas de l étirement excessif de l unité : longueur des parcours à couvrir pour le personnel de soins, mauvaise vision de la majorité des lits

45 4.6. La S.S.P.I. (4) 45 Aménagement en forme de U approfondi favorisant la vision des lits et réduisant les déplacements

46 4.7. Les locaux de stockage (1) Rappel : Ne pas stocker de matériel dans les locaux de déchets et de linge sale Assurer une bonne rotation des stocks en rangeant le matériel le plus récent derrière. 46 En dehors des interventions, ne rien stocker dans les salles d interventions

47 4.7. Les locaux de stockage (2) Indispensables. Souvent pas assez nombreux et/ou de surfaces insuffisantes lors des constructions de nouveaux blocs Arsenaux de stockage des DM stériles Stockages du matériel propre 47 Stockages de la réserve de pharmacie (+ non tissés) Stockages intermédiaires des déchets et du linge sale Stockages du matériel d entretien des locaux

48 4.7. Les locaux de stockage (3) 48 L éventail de plus en plus grand : de matériel d appareils d équipements mobiles de fournitures (recyclables ou non) hébergées dans les blocs opératoires,oblige à revoir le ratio de surfaces consacrées au stockage à la hausse.

49 49

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52 5 L AVANT PROJET DEFINITIF 1. Généralités 2. Le traitement d air 3. Les murs, sols et plafonds 4. Les éléments intégrés 5. Les équipements 6. Le mobilier 52

53 5.1. Généralités 53 Cette fois, comme son nom l indique, l A.P.D. définit tous les détails de fonctionnement du Bloc Opératoire 1. Le traitement d air 2. Revêtements des sols 3. Revêtements des murs 4. Portes 5. Eléments intégrés 6. Plafond 7. Mobilier 8. Distribution électrique et fluides médicaux

54 5.2. Le traitement d air (1) 2 types de flux : Le flux turbulent Le flux unidirectionnel La filtration Filtres en position terminale (caissons en salle) Possibilité de réglage séparé pour chaque salle Filtres à très haute efficacité (THE) à 99,99% DOP 54

55 5.2. Classes d aérobicontamination (2) Qualité microbiologique de l'air Zones à risques Classes ISO d'empoussièrement Classes USA Fédéral Standard (209 E) Nombre maximal de particules ³ 5 µ / m3 Type d'activité chirurgicale Filtration (dernier étage) Taux de renouvellement en volumes / h Taux d'écoulement de l'alimentation en air filtré Air hyper- aseptique Orthopédique 99,99% pour 0,3 µ en DOP Filtres HEPA (THE) à efficacité maximale ("absolus") > 50 Unidirectionnel ("laminaire") Air aseptique Cardio-vasculaire, neurologique et de transplantations d'organes 99,99% pour 0,3 µ en DOP Filtres HEPA (THE) à efficacité maximale ("absolus") 35 à 40 Unidirectionnel ("laminaire") Air décontaminé Digestive, gynécologique, obstétricale, urologique et ORL 99,97% pour 0,3 µ en DOP Filtres HEPA (THE) à efficacité maximale ("absolus") 25 à 30 Unidirectionnel ("laminaire") ou non unidirectionnel ("turbulent") Air peu contaminé Air contaminé Petite chirurgie des tissus superficiles sous AL (sutures, biopsies, excisions, ) 95 % pour 0,3 µ en DOP Filtres HEPA (THE) à très haute efficacité 15 à 20 Non unidirectionnel ("turbulent") Non unidirectionnel ("turbulent") 55 Un métre cube d'air extérieur conrient généralement plus de bactéries par mètre cube Chaque sujet présent dans une pièce émet de l'odre de 100 à bactéries par minute au repos, 500 à en activité

56 Schéma de principe (3)

57 Le flux turbulent (4)

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60 Le flux laminaire (5)

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63 5.3. Murs, sols et plafonds (1) 63 Portes étanches, à commande non manuelle et de préférence coulissantes pour ne pas perturber le flux aéraulique Revêtements de murs lisses et non poreux, imperméables et lessivables ; carrelage : problème des joints cimentés de sol imperméables, résistance au piétinement, entretien facile : lés de PVC d excellente qualité ou revêtement spécial ; carrelage : problème des joints cimentés

64 Les portes (2)

65 5.3. Les sols (3) Sol PVC en lés lisse 65

66 Les murs (4)

67 Les éléments intégrés (1)

68 5.4. Les statifs (2) Statif suspendu avec 2 bras articulés 68

69 L éclairage opératoire (3)

70 Bras d anesthésie et chirurgical (3)

71 Le microscope opératoire (4)

72 La table d opération (5)

73 Le chariot de transfert (6)

74 Implantation des équipements (7)

75 L appareil mobile de scopie

76 Les armoires mobiles (2)

77 CONCLUSION

78 6. Conclusion (1) Une architecture adaptée favorise l adoption par le personnel soignant de comportements et pratiques adaptés à la prévention des infections nosocomiales, mais ne garantit pas leur application. 78 Pour celà, 5 points essentiels : Le principe d asepsie progressive Le choix des circuits La politique de stockage ++ La qualité des matériaux sols, murs, plafonds, fenêtres, portes. Le type de traitement d air et sa maintenance

79 6. Conclusion (2) Pour une maîtrise architecturale du risque infectieux en bloc, importance : de s engager dès l avant projet sommaire d une réflexion pluri-disciplinaire du choix des circuits (Notion de douanes) de prévoir suffisamment de locaux de stockage 79

80 6. Conclusion (3) Devant l évolution rapide des pratiques, des recommandations, de la technologie et de l information, privilégier des possibilités de flexibilité, d adaptabilité dans l architecture des blocs (Éviter les cloisonnements en «dur»...) 80

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