PLAN DE NETTOYAGE ET DESINFECTION
|
|
- Agnès Gaumond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PLAN DE NETTOYAGE ET DESINFECTION FASCICULE N 1 SOMMAIRE : INTRODUCTION DEFINITIONS... 3 NETTOYAGE... 3 DESINFECTION... 3 PLAN DE NETTOYAGE ET DESINFECTION ANALYSE DES DANGERS DANGER DE CONTAMINATIONS MICROBIENNES Mesure préventive principale Autres mesures préventives DANGER DE CONTAMINATIONS CHIMIQUES FORMATION DU PERSONNEL OBJECTIF CONTENU ET MODALITES ENREGISTREMENT ET EVALUATION DESCRIPTIF DES OPERATIONS DE NETTOYAGE ET DESINFECTION PRINCIPES GENERAUX RECENSEMENT DES CIBLES Cas particulier du personnel Propreté corporelle Propreté vestimentaire Surfaces et matériels cibles du plan de nettoyage désinfection Plan d ensemble des locaux de l organisme Fiches récapitulatives OPERATIONS DE NETTOYAGE ET DESINFECTION Fiches d exécution Fiches d instruction Choix des produits Choix des modes d application PLAN DE VALIDATION PLAN D AUTOCONTROLE AUTOCONTROLES VISUELS AUTOCONTROLES MICROBIOLOGIQUES ACTIONS CORRECTIVES En cas de nettoyage insuffisant En cas de désinfection insuffisante Niveau Niveau CONCLUSION P 1
2 INTRODUCTION Le présent document résulte d une réflexion collégiale menée par le «groupe de travail HACCP» constitué sur la BA 102 de DIJON-LONGVIC, sous l impulsion du Conseiller Vétérinaire Régional Interarmées en Région Nord-Est et de la Direction Régionale du Commissariat de l Armée de l Air. Ce travail a été réalisé dans le cadre de la mise en application de l AM du 29/09/1997 fixant les règles d hygiène applicables aux établissements de restauration collective à caractère social et notamment ses articles 5 et 12. Au-delà de la simple formalisation d un plan de nettoyage et désinfection appliqué à un organisme donné, l objectif ultime de cette étude est de rassembler des données de nature à faciliter la conduite d une étude personnalisée et ainsi d adapter aisément le plan proposé à des organismes possédant des contraintes spécifiques. Le présent document synthétise donc une démarche largement reconnue, propose des éléments de choix des produits et des procédés d application, définit le contenu et les modalités du plan de formation du personnel et du plan d autocontrôle. Les procédures retenues pour les opérations de nettoyage et désinfection des différentes cibles font l objet de fiches d instruction rédigées avec la coopération du personnel d exécution directement concerné. En annexe de ce guide, se trouvent le plan mis en place sur la BA 102 regroupant : - des procédures sous forme de fiches récapitulatives par lieu de travail, - des instructions regroupées sous la forme X/20 pour les surfaces d infrastructure X/40 pour le gros matériel fixe X/60 pour le petit matériel - des fiches enregistrements prévues. P 2
3 1- DEFINITIONS NETTOYAGE Le nettoyage est l opération qui permet d obtenir une propreté visuelle par élimination des salissures ou souillures macroscopiques. Le nettoyage combine habituellement l action chimique d un produit détergent ou détersif et une action mécanique de raclage, brossage ou utilisation d eau sous pression. DESINFECTION La désinfection est l opération qui permet de réduire à un seuil acceptable les microorganismes présents sur les surfaces et les matériels ; en complément du nettoyage, elle assure donc une propreté microbiologique indispensable en restauration collective. Une désinfection réellement efficace ne peut être obtenue qu après un nettoyage préalable car les souillures organiques ou minérales protègent les micro-organismes de l action des désinfectants. La désinfection peut être réalisée par des procédés physiques (chaleur, UV) et surtout par des procédés chimiques mettant en œuvre des produits désinfectants. PLAN DE NETTOYAGE ET DESINFECTION Les opérations de nettoyage et désinfection obéissent à des procédés scientifiques et doivent être réalisées selon des méthodes rationnelles et éprouvées décrites dans un plan d action. Le plan de nettoyage et désinfection définit l organisation d ensemble de ces opérations sous forme d un programme d action formalisé qui recense l ensemble des cibles et décrit précisément pour chacune d elles les procédures à respecter. Ce document énonce également les fréquences des opérations, la ou les personnes responsables et les modalités de surveillance dans le cadre des autocontrôles. 2- ANALYSE DES DANGERS 2.1 DANGER DE CONTAMINATIONS MICROBIENNES La sécurité et la qualité hygiénique des plats servis aux consommateurs dépendent des contaminations initiales des matières premières, des possibilités de contaminations surajoutées à chaque étape du process d élaboration, de la possibilité de contamination résiduelle lorsqu un traitement assainissant est appliqué et enfin des possibilités de multiplication des micro-organismes présents dans la denrée. L analyse des sources de contaminations surajoutées, au crible de la règle des «5 M» conduit à examiner le rôle du milieu et du matériel. Les différentes surfaces ainsi que l ensemble de l équipement représentent autant de supports pour l implantation et le développement de micro-organismes indésirables, qu ils soient pathogènes pour l homme ou agents d altération des denrées. P 3
4 Le transfert aux denrées de cette contamination microbienne peut se réaliser directement par simple contact ou indirectement par mise en jeu d un vecteur comme la main. Le risque est majoré pour toutes les surfaces et le matériel dits «alimentaires», c est à dire habituellement au contact direct des denrées comme par exemple les plans de travail, la batterie de cuisine, les petits ustensiles et certains appareils tels les batteurs-mélangeurs, mixeurs, hachoirs, éplucheuses Les surfaces et le matériel qui ne se trouvent habituellement pas au contact des denrées participent également au microbisme ambiant ; Par ailleurs, un contact accidentel entre les denrées et ces surfaces est théoriquement possible suite à une utilisation fautive. Il s agit par exemple de la chute d un produit au sol ; de même, les équipements installés en hauteur accumulent de la poussière qui par sédimentation peut secondairement se déposer sur les plans de travail ou directement sur les denrées non protégées Mesure préventive principale Prévenir la contamination microbienne des denrées par les éléments d infrastructure et le matériel impose la réalisation d opérations efficaces de nettoyage et désinfection, afin d interrompre le cycle décrit. L efficacité de ces opérations ne peut être garantie que par un plan d action formalisé, validé et contrôlé : il s agit du plan de nettoyage et désinfection, objet de document. La maîtrise de l hygiène concerne l ensemble des surfaces, du gros matériel fixe et du petit matériel mobile. Dans cette étude, le champ d application du plan de nettoyage et désinfection s étend au personnel de restauration, sous le double aspect de l hygiène corporelle et notamment celle des mains et de l hygiène vestimentaire. Les opérations de nettoyage et désinfection constituent un point déterminant pour la sécurité des repas servis aux convives et la maîtrise effective de la désinfection est jugée indispensable pour : les surfaces et le matériel au contact direct des denrées les mains du personnel les points de contact obligés avec les mains : poignées, robinets, boutons, tirettes, interrupteurs Autres mesures préventives Si les opérations de nettoyage et désinfection représentent la principale mesure dans le cadre de la prévention de la contamination microbienne des aliments par le milieu et le matériel, les mesures préventives suivantes participent au même objectif : Conception des locaux lors de la construction ou de la rénovation, respectueuse des principes de sectorisation du propre et du souillé, du chaud et du froid, du non-entrecroisement des circuits propres et sales et de la marche en avant. Respect des secteurs de travail initialement prévus : un code couleur mis en place dans l établissement permet une surveillance aisée par l encadrement de l utilisation conforme des secteurs de travail. Le code couleur retenu intéresse les revêtements des locaux au fur et à mesure de leur rénovation, les tenues vestimentaires du personnel et les ustensiles de nettoyage, selon les modalités suivantes : P 4
5 magasins : bleu déboîtage, préparation froide, pâtisserie, secteur cuisson : blanc salles à manger : vert clair sanitaires : vert foncé locaux laverie et plonge : rouge Entretien locatif des locaux en veillant tout particulièrement à l état physique des revêtements de surface. Choix du matériel intégrant le critère d aptitude au nettoyage attesté par l apposition du sigle NF hygiène alimentaire. Ce sigle garantit l aptitude au nettoyage de part la nature des matériaux utilisés et la conception des appareils. De plus, lors de l installation, la surface de raccordement du matériel avec le sol, les parois ou d autres appareils doit être soit jointive, soit respecter un espace d au moins 15 cm afin de faciliter les opérations de nettoyage. Remplacement du matériel détérioré qu il soit rouillé, oxydé, cabossé, rayé ou ébréché. Mise en œuvre de matières premières et de méthodes de travail visant à réduire le degré de salissure. Les matières premières élaborées contaminent moins l outil de travail que les matières premières brutes ; de plus l organisation du travail permet de réduire le degré de salissures et donc de faciliter le nettoyage. Maîtrise de l hygrométrie et surveillance de la qualité microbienne de l eau : une hygrométrie excessive favorise le développement d une flore d atelier et l utilisation d une eau de mauvaise qualité microbienne peut contaminer à nouveau le matériel qui vient d être nettoyé et désinfecté. 2-2 DANGER DE CONTAMINATIONS CHIMIQUES Si le danger majeur est de nature microbienne, les opérations de nettoyage et désinfection représentent en elles même un danger chimique. Ce danger chimique résulte de la possibilité de contamination directe ou indirecte des denrées par les produits utilisés. Plusieurs facteurs sont susceptibles d accroître le risque de contamination chimique : - Nettoyage et désinfection opérés en présence de denrées - Mise en œuvre de produits non autorisés pour le nettoyage et la désinfection du matériel au contact des aliments - Utilisation de concentrations excessives en produits actifs - Rinçage insuffisant - Transfert de produits de nettoyage et désinfection hors de leurs récipients d origine - Stockage des produits de nettoyage et de désinfection dans les resserres à aliments Les mesures préventives correspondantes seront énoncées dans le paragraphe 4.1. P 5
6 3- FORMATION DU PERSONNEL La conception du plan de nettoyage et désinfection et son exécution selon des procédures préétablies exigent, au préalable, une formation adaptée du personnel d encadrement et du personnel d exécution. 3.1 OBJECTIF L objectif ultime est de rédiger des procédures de nettoyage et désinfection adaptées pour l ensemble des cibles recensées et ensuite de les appliquer rigoureusement afin de maîtriser le niveau d hygiène requis. 3.2 CONTENU ET MODALITES Afin d atteindre l objectif fixé, tout le personnel affecté au nettoyage de l établissement doit être formé aux méthodes d entretien ; seul le personnel dûment formé et autorisé peut procéder aux opérations de nettoyage et désinfection. Le premier volet de la formation vise à sensibiliser le personnel à l importance des opérations de nettoyage et désinfection et leurs impacts dans la salubrité des produits servis. Cette prise de conscience doit permettre une valorisation de tâches souvent considérées comme ingrates et une plus grande responsabilisation du personnel. L adhésion et la motivation de l ensemble du personnel sont des éléments indispensables au succès de l objectif fixé. Le deuxième volet comprend une formation théorique aux principes du nettoyage et de la désinfection, aux moyens mis en œuvre et aux méthodes à appliquer. Parallèlement, les règles de sécurité sont rappelées, à la fois à l égard du manipulateur et à l égard du consommateur. Le troisième volet est une formation pratique avec démonstration in situ des procédures retenues car le nettoyage et la désinfection restent avant tout des opérations essentiellement pratiques. Les 2 premiers volets ont été présentés par le Groupe de Secteurs Vétérinaires de BESANCON tandis que la démonstration pratique est assurée en interne, notamment au cours des séances d I.M.E 1. Les fabricants et les distributeurs de produits de nettoyage peuvent également être utilement sollicités pour compléter leur prestation par une formation pratique aux techniques de nettoyage. Cette formation initiale est complétée en temps que de besoin par des modules complémentaires dans le cadre de la formation continue ; la programmation de séances de formation complémentaire constitue d ailleurs une mesure corrective en cas de dérive constatée dans les résultats des autocontrôles. Par ailleurs cette formation pourra être relayée par une information dispensée par le personnel d encadrement et diffusée sous forme d affichette et d aides pédagogiques illustrées. 1 Instruction Militaire Elémentaire P 6
7 Enfin, tout nouveau personnel affecté en cuisine reçoit obligatoirement une formation initiale préalable à son embauche ; il s agit pour le responsable désigné des opérations de nettoyage et désinfection de commenter le présent document. 3.3 ENREGISTREMENT ET EVALUATION L enregistrement s effectue par archivage des feuilles d émargement 2 attestant la présence aux séances de formation. L évaluation des connaissances acquises par le personnel est réalisée à l occasion des visites périodiques de suivi sanitaire vétérinaire ; la personne en charge de la visite peut à tout moment interroger le personnel, notamment lorsqu un défaut de manipulation est constaté ou lorsque les résultats des autocontrôles s avèrent insuffisants. Une évaluation interne est également réalisée par le responsable au niveau du mess des opérations de nettoyage et désinfection (adjoint au gérant dans l attente d un responsable qualité), elle permet de cibler les besoins de formation continue. 4- DESCRIPTIF DES OPERATIONS DE NETTOYAGE ET DESINFECTION 4.1 PRINCIPES GENERAUX Les principes suivants doivent être connus et compris par l ensemble du personnel ; en raison de leur caractère universel ils ne seront pas systématiquement rappelés dans les fiches d instruction. Les opérations de nettoyage et désinfection s effectuent : - En dehors des phases de préparations des aliments pour éviter les contaminations chimiques et microbiennes. Cependant, afin de réduire le risque de contamination et de pallier la nature glissante du sol, des nettoyages localisés peuvent être réalisés au cours des phases de préparation, notamment en cas de dépôts au sol de substances grasses. - Le plus tôt possible après les phases de préparations pour limiter les adhérences des micro-organismes à leur support et la formation d un biofilm. - Du moins sale vers le plus sale, pour réduire le rôle de vecteur de contamination des ustensiles de nettoyage. - Du haut vers le bas, pour ne pas salir les surfaces déjà nettoyées. - En respectant l intégrité des surfaces et du matériel par l utilisation de produits et de matériel adapté. 2 enregistrement ENR/MET/001 dans le fascicule n 2 P 7
8 - En respectant la concentration en produit : lorsque la concentration est insuffisante l effet recherché n est pas atteint ; une concentration excessive provoque gaspillage, corrosion, pollution et rend difficile le rinçage. - En respectant le temps d action : lorsque le temps d exposition est insuffisant, l effet est limité ; une durée d action excessive entraîne la redéposition des souillures voire le séchage du produit. La désinfection des locaux et du matériel réfrigéré exige des temps de contact prolongés. - En évacuant vers la plonge le petit matériel dès qu il est sale pour ne pas créer de vecteurs de contamination dans les locaux de travail. - En rangeant le matériel nettoyé à l abri de nouvelles contaminations. En outre, les recommandations suivantes doivent être respectées : - Une désinfection optimale ne peut être obtenue qu après un nettoyage préalable car les matières organiques ou minérales protègent les micro-organismes. - Le nettoyage et la désinfection ne peuvent être pleinement efficaces sur des surfaces ou du matériel très usagé. - L utilisation des produits d entretien doit toujours s effectuer dans le strict respect des consignes définies par le fabricant. - Le rinçage à l eau chaude facilite le séchage. - Le rinçage doit être réalisé avec de l eau courante et pas sous forme de bains. - L eau utilisée pour le rinçage doit répondre aux critères de potabilité. - Les flaques d eau résiduelle doivent être éliminées pour maîtriser l hygrométrie ambiante et par suite le microbisme d atelier. - La maintenance des postes muraux de nettoyage et désinfection, de la machine à laver la vaisselle et du lave-batterie doit être effectuée pour prévenir tout dysfonctionnement ; Les dispositifs de dosage des produits lessiviels seront notamment périodiquement vérifiés ainsi que la température de l eau de prélavage, de lavage et de rinçage. Le nettoyage ne doit pas être en soi contaminant, ce qui exclut : - Le balayage à sec et l utilisation d aspirateurs de type domestique. - L utilisation de sciure de bois. - L usage de jet d eau sous des pressions excessives (> 3 bars). - L usage d ustensiles de nettoyage souillés (vecteurs de contamination). - Le séchage par essuyage avec un ustensile en tissu : le séchage s effectue en machine, par simple égouttage ou par essuyage avec du papier de type essuie-tout à usage unique. P 8
9 Le respect des règles de sécurité par rapport au manipulateur exige de : - Revêtir une tenue adaptée : chaussures de sécurité, gants en caoutchouc ou en néoprène, lunettes de protection le cas échéant. Les gants permettent de prévenir l effet irritant voire corrosif des produits utilisés ainsi que d éventuelles réactions allergiques. - Débrancher les appareils électriques. - Ne pas mélanger des produits différents. - Pouvoir facilement consulter les fiches de données sécurité de chaque produit. Le respect des règles de sécurité par rapport aux consommateurs exige de : - Utiliser uniquement des produits autorisés pour le nettoyage du matériel pouvant se trouver au contact des denrées alimentaires. - Respecter les dosages recommandés par le fournisseur ; ces dosages figurent sur les conditionnements des produits, les fiches techniques et les fiches d instruction qui ont été rédigées. - Réaliser un rinçage efficace permettant par des dilutions successives d éliminer toute trace détectable du produit utilisé. - Stocker les produits d entretien dans un local ou des armoires fermant à clé et les conserver dans leur emballage d origine. Il ne faut en aucun cas procéder au transvasement d un produit d entretien dans un récipient ayant contenu une denrée et encore identifiable comme tel. Ces précautions sont destinées à prévenir le risque de pollution des denrées par méprise ou inadvertance. Le respect de l environnement exige de : - Ne pas rejeter de façon massive des produits en nature dans le milieu extérieur ; il s agit de faire appel à un organisme agréé pour le traitement. 4.2 RECENSEMENT DES CIBLES Cas particulier du personnel La propreté corporelle et vestimentaire de l ensemble du personnel doit être assurée afin de maîtriser le risque de contamination des denrées par la main d œuvre Propreté corporelle Si les douches permettent d entretenir une hygiène corporelle globale, les mains constituent le premier outil de travail au contact direct des denrées. P 9
10 Procédure de lavage des mains Fréquence : avant la reprise du travail, après un passage aux toilettes, après chaque pause, après toute opération contaminante (décartonnage, cassage des œufs, traitement des légumes bruts, découpe de volailles, de poissons, évacuation de déchets ) et au moins toutes les heures. Mesures associées : les bagues, bracelets et bracelets montres sont retirés et laissés au vestiaire (le port de l alliance reste toléré) ; les ongles sont tenus courts. Moyens : le nettoyage des mains s effectue à l aide d un poste actionné par une commande non manuelle, doté d une brosse à ongles, approvisionné en savon liquide bactéricide et en essuie-mains à usage unique. Un réceptacle disposé à proximité immédiate du poste de lavage des mains permet le recueil des essuie-mains usagés. Modalités : le personnel se savonne entièrement les mains et les avant-bras, pendant 1 à 2 minutes, à l aide du savon liquide bactéricide puis se brosse les ongles et se rince les mains et les avant-bras jusqu à complète élimination du savon. Le séchage s effectue par tamponnage d essuiemains retirés du distributeur ; le tamponnage commence par les mains en insistant sur les espaces interdigitaux et se termine par les avant-bras. En fin d utilisation les essuie-mains à usage unique sont éliminés dans la poubelle prévue à cet effet Propreté vestimentaire La tenue de travail de base comprend une paire de chaussures de sécurité, un pantalon, une blouse, une coiffe englobant la totalité de la chevelure. Selon le cas cette tenue peut être complétée par un tablier, des gants à usage unique ou encore un masque bucconasal. Les gants à usage unique sont portés dans le local préparations froides, lors de la manipulation de denrées nues en pâtisserie à condition que le personnel n utilise pas le four, dans le secteur distribution et lors de la manipulation de la vaisselle propre. Les composants lavables de la tenue de travail sont maintenus propres en permanence et changés au minimum une fois par jour. Dans les vestiaires, les vêtements de ville sont séparés des vêtements de travail et le linge propre est séparé du linge sale Surfaces et matériels cibles du plan de nettoyage désinfection Plan d ensemble des locaux de l organisme Sur le plan d ensemble du mess mixte 3 de la Base aérienne 102 de DIJOJN-LONGVIC ; Les différents locaux sont identifiés par un numéro croissant suivant la progression de la marche en avant. P 10
11 Fiches récapitulatives Pour chaque local identifié, une fiche récapitulative 4 a été établie. Le numéro de chaque fiche récapitulative correspond au numéro du local précédemment défini. Chaque fiche énumère les éléments relatifs à l infrastructure, au gros matériel fixe et aux petits ustensiles mobiles. L ordre retenu correspond à l ordre de réalisation des opérations de nettoyage et désinfection, c est à dire du plus propre vers le plus sale et du haut vers le bas. Les fiches récapitulatives indiquent également la fréquence des opérations déterminée à partir de l analyse des risques résumée au premier paragraphe. La nomination d une personne responsable et d un suppléant permet de désigner des interlocuteurs privilégiés de l encadrement et des services de contrôle. 4.3 OPERATIONS DE NETTOYAGE ET DESINFECTION Fiches d exécution Afin de responsabiliser davantage le personnel, les opérations de nettoyage et désinfection sont confiées aux personnes en charge du poste de travail concerné ; ces actions sont coordonnées par le chef de secteur. Des fiches d exécution sont établies pour un secteur donné et une semaine donnée. Pour chaque jour de la semaine, la fiche d exécution indique les protocoles de nettoyage et désinfection à appliquer à chaque cible. Le recto de la fiche concerne les opérations effectuées après le service de la mi-journée tandis que le verso concerne les opérations effectuées après le service du soir. L intérêt de ce document est donc de programmer les opérations qui ne sont pas réalisées systématiquement ou dont le protocole varie périodiquement. Des enregistrements 5 permettent la vérification de la réalisation effective des tâches programmées par apposition de la signature du personnel d exécution. Elles permettent également de consigner les résultats des autocontrôles visuels par apposition de la signature du responsable de secteur, chargé de la réalisation de ces vérifications. Au bilan, les fiches d exécution constituent un outil de maîtrise permettant d accéder à l assurance qualité Fiches d instruction Pour chacune des cibles recensées, la fiche récapitulative oriente le lecteur vers une fiche d instruction. Ces fiches d instruction 5 ou fiches de procédure décrivent le mode opératoire précis, c est à dire l ensemble des opérations élémentaires à réaliser. Ces fiches ont été volontairement détaillées afin de permettre à toute personne et notamment au personnel intérimaire, d effectuer les opérations d entretien telles qu elles ont été définies. Les fiches d instruction sont complétées par des aides pédagogiques illustrées remises par les fournisseurs de produits et affichées aux postes clés. Ces fiches illustrées sont insérées dans des pochettes plastifiées et étanches qui sont apposées au mur à l aide de crochets amovibles munis de ventouses. P 11
12 Une fois les tâches exécutées, la personne en charge des opérations de nettoyage et désinfection engage sa responsabilité en apposant sa signature sur la fiche d exécution correspondante. La rédaction des fiches d instruction résulte d un travail collégial intégrant l expérience des membres du groupe de travail et les données des fiches techniques des produits utilisés. Par ailleurs, 2 ouvrages de base ont été consultés : Guide HYGINOV Bonnes pratiques d hygiène et plans de nettoyage (Editions BPI) Au préalable, les débats du groupe de travail ont porté sur le choix des produits et des modes d application Choix des produits Eléments de choix des produits Les détergents doivent être autorisés pour le nettoyage du matériel pouvant se trouver au contact des denrées alimentaires, conformément à la liste positive définie par l AM du 27 octobre 1975 modifié. Ce critère doit également être respecté pour les produits destinés à l entretien des surfaces en «inox». Les désinfectants doivent être homologués par le ministère de l agriculture pour leur activité bactéricide dans les industries agro-alimentaires ; cette homologation est attestée par un numéro et sa date d attribution. L homologation est subordonnée à la conformité aux normes AFNOR de la série NF V Le nombre de produits doit être ramené au minimum nécessaire dans un souci de rationalisation, pour limiter le risque de confusion et pour faciliter la gestion des stocks. Le choix doit privilégier un produit mixte, nettoyant et désinfectant, pour rendre les protocoles applicables au quotidien et maîtriser le coût de la main d œuvre ; néanmoins, une application séparée d un produit nettoyant et d un produit désinfectant est pratiquée systématiquement pour les matériels présentant un risque de contamination majoré et périodiquement pour l ensemble des cibles. L utilisation du produit nettoyant et désinfectant est appliquée à des surfaces peu sales ; dans le cas inverse il est procédé à un prélavage préalable. Le choix du détergent doit se baser essentiellement sur son action dégraissante et dans certains cas sur son pouvoir détartrant. Le degré hydrotimétrique de l eau étant élevé (voisin de 30 TH), le produit détergent doit incorporer dans sa composition un agent séquestrant. Cette précaution permet de réduire la fréquence d utilisation d un produit détartrant et désincrustant. Pour des raisons de sécurité, les produits présentés en aérosols inflammables sont écartés. Le nettoyage des fours et des friteuses doit être réalisé à l aide d un produit présenté sous forme de gel, de poudre ou de solution. En fonction de ces critères de base, le choix définitif des produits a été réalisé à partir de l étude des fiches techniques 6 et d une étude économique. Catégories de produits retenus - Nettoyant-désinfectant général utilisable avec les postes muraux 6 regroupées dans le fascicule n 2 P 12
13 - désinfectant spécifique utilisable avec les postes muraux - désinfectant à base d alcool, présenté sous forme de spray - eau de javel à 12 chlorométriques - détergent puissant pour les fours, friteuses, filtres de hotte - nettoyant-désinfectant pour plonge manuelle - nettoyant-désinfectant en spray pour les salles - produit d entretien de l inox - produit lave-vitres - produits spécifiques pour le nettoyage et le rinçage en machine - savon liquide bactéricide pour les mains Choix des modes d application Eléments de choix des modes d application Les principaux critères pris en considération sont l efficacité, la fiabilité et la facilité de mise en œuvre. Ainsi, l utilisation de postes muraux est privilégiée car le dosage des produits est ainsi automatisé et l application aisée. De même le lave-batterie est privilégié par rapport à la plonge manuelle puisqu il permet une économie de main d œuvre et une plus grande fiabilité du résultat. Lorsque les solutions de produits sont puisées à partir de seaux, l utilisation d un chariot support roulant permet de limiter la fatigue du personnel et de transporter simultanément l ensemble de l équipement nécessaire. Le choix des postes de nettoyage s est porté sur du matériel fixe plutôt que mobile pour des raisons de fiabilité. Les postes muraux équipés d une pompe double permettent d utiliser 2 produits différents autorisant 3 fonctions : nettoyage, rinçage et désinfection ; leur emplacement et la longueur des tuyaux permettent d accéder à tous les locaux. Parmi les ustensiles de nettoyage ont été retenus : seaux en plastiques, balais télescopiques avec gaze amovible, balai brosse, brosse manuelle, brosse à ongles, lavettes, tampons à récurer, serpillières, raclettes pour plans de travail et raclettes pour sol. Lors du renouvellement des ustensiles, le choix s oriente sur du matériel doté de manches en matériau inaltérable (plastique ou métal) ; par ailleurs, les éponges métalliques sont proscrites. P 13
14 4.4 PLAN DE VALIDATION L efficacité des procédures définies dans les fiches d instruction est évaluée à l aide d un plan de contrôle renforcé. Le Groupe de Secteurs Vétérinaires de BESANCON est chargé de la réalisation des analyses microbiologiques définies dans le cadre du protocole de validation. Les prélèvements de surface sont réalisés plus de 6 heures après la désinfection, à l aide de boîtes COUNT-TACT des laboratoires BIOMERIEUX. La flore aérobie mésophile totale est dénombrée après une incubation de 72 heures à 30 C. L examen des fiches d instruction montre que 5 méthodes de base sous-tendent l ensemble des procédures : mise en œuvre du poste mural de nettoyage et désinfection, méthode «des 2 seaux», plonge manuelle, lave-batterie et machine à laver la vaisselle. Chaque protocole sera évalué par un nombre minimum de 10 analyses effectuées sur des cibles choisies au hasard sur une liste définie à l avance. Un résultat est jugé satisfaisant lorsque le nombre de colonies par boîte, soit pour une surface de 25 CM 2, est inférieur ou égal à 5. Les protocoles de base sont validés si le taux global de résultats satisfaisants excède pour chacun d entre eux 80%, soit au moins 8 résultats satisfaisants pour 10 prélèvements. Dans le cas inverse, les protocoles jugés insuffisamment efficaces sont corrigés et testés à nouveau ; la validation est alors subordonnée à l obtention de 2 séries consécutives satisfaisantes ; chaque série comprenant au minimum 10 prélèvements. 5- PLAN D AUTOCONTROLE La garantie de la maîtrise effective et permanente des opérations de nettoyage et désinfection est apportée par des autocontrôles visuels et microbiologiques réalisés selon un programme déterminé à l avance. 5.1 AUTOCONTROLES VISUELS Chaque jour, avant la reprise du travail, le responsable de secteur ou à défaut son suppléant inspecte visuellement, dans de bonnes conditions d éclairage, la propreté de l ensemble des surfaces et équipements. Sont particulièrement observés les recoins et endroits difficiles d accès, les éléments démontables des appareils, le dessus des étagères, la jonction entre le manche et la lame des instruments de coutellerie. A l issue de ses observations, le contrôleur vise les fiches d exécution, à l emplacement prévu à cet effet. Si les contrôles visuels s avèrent simples et rapides à mettre en œuvre, ils restent peu sensibles et s appuient sur des critères peu quantifiables ; de plus ils ne permettent pas d évaluer la qualité de la désinfection. Pour ces raisons, il est nécessaire de compléter les examens visuels par des contrôles microbiologiques de surface. P 14
15 5.2 AUTOCONTROLES MICROBIOLOGIQUES Chaque mois, le laboratoire choisi pour la réalisation des autocontrôles microbiologiques de l organisme procède, au hasard, à 2 prélèvements de surface selon la méthode des empreintes gélosées. Pour chaque prélèvement, 2 paramètres sont recherchés : la flore aérobie mésophile et les coliformes totaux. Alors que la flore aérobie mésophile constitue un indice de contamination globale, les coliformes permettent d évaluer l efficacité de la désinfection puisqu ils résistent généralement mieux que les germes pathogènes. Concernant la flore aérobie mésophile, les résultats chiffrés sont répartis en 5 cotations : 0, 1, 2, 3 et 4 ; l interprétation est réalisée selon le barème suivant : - cotation 0 ou 1 : résultat conforme - cotation 2, 3 ou 4 : résultat non conforme Concernant le dénombrement des coliformes, le résultat est considéré comme non conforme lorsque au moins 1 coliforme est mis en évidence ; seule l absence de coliforme sur l échantillon analysé aboutit à un résultat conforme. 5.3 ACTIONS CORRECTIVES En cas de nettoyage insuffisant Lorsque le nettoyage est visuellement jugé insuffisant, le responsable de secteur demande au personnel en charge de l opération de la répéter, sous son contrôle. Les phases de travail ne peuvent débuter que sur du matériel visuellement propre. Le résultat du contrôle visuel défavorable est consigné sur la fiche d exécution, à l emplacement prévu à cet effet. Lorsqu une dérive apparaît à l examen des résultats d autocontrôles visuels, le responsable des opérations de nettoyage et désinfection organise de nouvelles séances de sensibilisation et de formation du personnel En cas de désinfection insuffisante Niveau 1 Lorsqu un contrôle microbiologique de surface s avère non satisfaisant, les mesures suivantes sont appliquées : * Vérification de la fiche d exécution pour la cible et la journée correspondante * Convocation du personnel ayant procédé à son exécution par le responsable des opérations de nettoyage et désinfection et en présence du responsable de secteur : les causes potentielles de la perte de maîtrise de la désinfection sont recherchées afin de pouvoir y remédier. P 15
16 Niveau 2 Lorsque au moins 1 résultat non satisfaisant est constaté sur 2 mois consécutifs, un audit des procédures appliquées est effectué par le responsable des opérations de nettoyage et désinfection. A l issue, les mesures jugées nécessaires sont mises en œuvre et le compte-rendu de l audit est archivé avec les résultats d analyse correspondants. De plus le personnel est à nouveau sensibilisé par des séances de formation dont le contenu est adapté au besoin constaté. P 16
17 CONCLUSION Le plan de nettoyage et désinfection présenté a pour but de maîtriser des opérations que l analyse des risques permet de considérer comme déterminantes pour la salubrité et la qualité sanitaire et hygiénique des repas servis aux consommateurs. Des mises à jour périodiques concerneront les fiches récapitulatives lors de changements touchant les locaux ou le matériel ; les fiches d instruction seront revues en fonction des résultats des autocontrôles et lors de changements touchant les produits utilisés ou les procédés appliqués. P 17
FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détaildémarche qualité Hygiène
démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailAgent d entretien des locaux
Agent d entretien des locaux L entretien des locaux (bureaux, écoles, salles polyvalentes, structures sanitaires, gymnases ) nécessite l emploi de techniques, de produits et de matériels spécifiques qui
Plus en détailH A C C P. DEFINITION Hazard analysis control critical points. Analyse des dangers et maîtrise des points critiques
H A C C P DEFINITION Hazard analysis control critical points Analyse des dangers et maîtrise des points critiques Pourquoi HACCP? Satisfaire à la réglementation Garantir la qualité hygiénique des aliments
Plus en détailGUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale
GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement
Plus en détailService Hygiène & Sécurité
Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailHYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES
HYGIENE DES ALIMENTS FICHES TECHNIQUES Dernière mise à jour : 26 mars 2013 1 SOMMAIRE LA MARCHE EN AVANT. 2 FICHE : LE PERSONNEL.. 8 FICHE : AMENAGEMENT DES LOCAUX ET EQUIPEMENTS... 9 FICHES : FONCTIONNEMENT....
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailLA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION
LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION
Plus en détailCENTRE SPATIAL JOHN H. CHAPMAN ST-HUBERT
Programme d hygiène et salubrité des locaux à usage alimentaire CENTRE PATIAL OHN H. CHAPAN T-HUBERT AVRIL 2012 TABLE DE ATIÈRE PARTIE 1. RAPPEL DE BONNE PRATIQUE DE BAE PARTIE 2. PROFIL DE ALUBRITÉ PAR
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailC.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX
2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 23 C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2.1 Classification des locaux par zone 2.2 Fréquence du nettoyage par local
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailDossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.
Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...
Plus en détailFICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION
FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailLES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE
LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailRestauration d entreprise
A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailObligation de sécurité alimentaire che
Obligation de sécurité alimentaire en crèche che Programme de l intervention l : 1. Contexte réglementaire r 2. Hygiène des opérations 3. Hygiène du personnel 4. PMS 5. Cas de la cuisine satellite sans
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailOBJECTIFS : - LIMITER L APPORT DE MICRO-ORGANISMES PAR LE PERSONNEL ET LE MATERIEL - LIMITER L APPORT DE CORPS ETRANGERS (cheveux, bijoux, etc.
Dans les établissements d abattage, un ensemble de mesures générales d hygiène doit être appliqué afin de prévenir l apparition de tout risque sanitaire. Ces mesures préventives qui constituent le socle
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailProgramme d amélioration de la salubrité des aliments (PASA)
Le système HACCP Ce cours se base sur la présentation de Stéphane Vanoirbeck sur le Guide des Bonnes Pratiques d Hygiène (GBPH) et le Manuel de l Agence Canadienne d Inspection des Aliments sur le Programme
Plus en détailBIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009
PS ENS-ENT 010 V1 BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 n page 1/14 OBJET Améliorer la qualité de l'environnement du patient, contribuant ainsi à diminuer le risque d'infection. En cohérence avec le manuel
Plus en détailRevêtements composites pour murs et plafonds
pour plus de résistances et d hygiène Revêtements composites pour murs et plafonds F A B R I C A N T Cuisines professionnelles Agroalimentaire Grande distribution Producteurs Métiers de bouche Métiers
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailFOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR LA VILLE DE CYSOING
Ville de Cysoing Hôtel de Ville 2, place de la République BP 67 59830 CYSOING Tél : 03.20.79.44.70. Fax : 03.20.79.57.59. N Cys FOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailDirection de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE
Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,
Plus en détailNOTICE D UTILISATION
CAFETIERE ELECTRIQUE 1.25L REF CM4229 230V - 800W - 50Hz NOTICE D UTILISATION LIRE ATTENTIVEMENT LES INSTRUCTIONS SUIVANTES AVANT TOUTE PREMIERE UTILISATION Appareil garanti 1 an sur présentation du ticket
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailBacs de lavage et équipements de buanderie
Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre
Plus en détailAgent de restauration
Agent de restauration Activité importante des collectivités, la restauration collective est soumise à de nombreux textes ayant pour principaux objectifs : d assurer la santé et la sécurité des agents (décret
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION
NOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION Plafond filtrant Lumispace Il est important de lire attentivement cette notice avant la maintenance du plafond Lumispace Ce document doit être remis au client
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailPrévention. Infos. restauration des collectivités. Comment prévenir les risques et éviter les accidents du travail? SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 7 Mai 2007 Infos Prévention SOMMAIRE : Les risques professionnels des services de restauration des collectivités,
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailAMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus
AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus with people in mind UN APPAREIL PERFORMANT À DOUBLE FONCTION Amigo est un désinfecteur à chargement par le dessus, extrêmement facile à utiliser avec un évier
Plus en détailRÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014
Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas
Plus en détailREPRESENTACION PERMANANTE DE ESPAÑA ANTE LA UNION EUROPEA
CAHIER DES PRESCRIPTIONS TECHNIQUES SERVICE D ENTRETIEN DES LOCAUX DE LA REPRESENTATION (BRUXELLES) 1. LOCAUX À ENTRETENIR Les bâtiments à nettoyer sont ceux situés : Bd. du Régent 50 à 1000 Bruxelles:
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailla Région Date de Réalisation : 03/11/2008 Unité Lycées
la Région Date de Réalisation : 03/11/2008 Ce document a été élaboré afin de vous aider dans votre travail quotidien à mieux respecter les règles d hygiène en restauration scolaire. Il a été réalisé par
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS
ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des
Plus en détailLa démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation
La démarche HACCP en cuisine de collectivité Manuel de formation Un expert à votre service pour votre réussite 1 La démarche HACCP en cuisine de collectivité Sommaire I. Hygiène en cuisine... 4 A. L hygiène...
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détail