Informations générales
|
|
- Yolande Desroches
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cahier de l'energie Une publication de au Sahel l'institut d'applications et de vulgarisations en Sciences Informations générales Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Politiques et Programmes Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) DOSSIER Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences, http : // iavs.refer.ne
2 Cahier de l Energie Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences (IAVS) 01. BP. 6269, Ouagadougou 01 E- mail : Iavs mail@yahoo.fr iavs@refer.ne Site Web : http : // iavs. refer. ne Volume 1 (numéro 2), Décembre 2006 Sommaire Informations générales 3. Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Politiques et Programmes 4. Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) DOSSIER 7. Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Le Cahier de l Energie est le principal outil d information et de communication en énergie de l Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences (IAVS). Le contenu de ce mensuel couvrira les thèmes suivants : Les politiques énergétiques au Sahel ; Les sources d énergies au Sahel ; L éducation relative à l énergie ; Sciences et technologies de l énergie au Sahel ; L énergie et ses interrelations avec les autres secteurs socio économiques Le cahier est ouvert à tous ceux qui souhaitent participer à la promotion du secteur de l énergie pour un développement durable au Sahel. 2
3 INFORMATIONS GENERALES Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Du 02 au 06 octobre 2006, le Centre régional AGRHYMET ( a abrité un atelier régional de renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des pays sahéliens (Burkina Faso, Cap vert, Gambie, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad) à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté. L atelier visait spécifiquement à renforcer : les capacités des représentants nationaux du Comité Permanent Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) afin qu ils intègrent dans leurs interventions auprès des gouvernements et des partenaires au développement la prise en compte de l énergie dans les programmes et projets de réduction de la pauvreté ; les capacités des scientifiques sahéliens en matière de production de connaissances et de méthodologies pour la prise de décision en matière de formulation de politiques énergétiques susceptibles de contribuer à la réduction de la pauvreté L atelier de Niamey est l un des extrants du projet IE4SAHEL (Intelligent Energy for Sahel) dont les principaux objectifs sont : contribuer à la réduction de la pauvreté pour la plus grande partie des utilisateurs de l énergie, par le développement et la dissémination de politiques énergétiques durables ; contribuer à la création d un Centre d Excellence en matière d énergie au Sahel. renforcer les capacités dans la région sahélienne dans les domaines de l élaboration de politiques énergétiques par la mise en place de réseaux régionaux impliquant les acteurs politiques et les scientifiques.. Le projet ie4sahel est mis en œuvre par l Institut Supérieur Technique du PORTUGAL (IST), le Centre Régional AGRHYMET et d autres partenaires européens. 3
4 POLITIQUES ET PROGRAMMES Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) Mathieu BADOLO Centre Régional AGRHYMET m.badolo@agrhymet.ne Résumé Au Sahel la désertification entretient et amplifie la pauvreté à travers la dégradation des ressources naturelles sur lesquelles reposent l économie essentiellement agro sylvopastorale des populations sahéliennes. L une des principales causes de la désertification au Sahel est le secteur énergétique dont le bois énergie est la composante dominante. Aussi les initiatives de lutte contre la désertification intègre le développement et la gestion rationnelle des ressources énergétiques. C est notamment le cas du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad. (PASR/AO). 4
5 Introduction Les systèmes énergétiques au Sahel se caractérisent par une très grande dépendance vis-à-vis des énergies traditionnelles, principalement le bois et le charbon de bois. Ils sont de ce fait l une des causes du phénomène de désertification. Il est indispensable de renverser cette tendance car la désertification est l une des causes de la pauvreté extrême au Sahel, notamment de la pauvreté rurale. C est ainsi que l énergie apparaît de manière explicite dans le programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad. Les objectifs et les axes prioritaires d intervention de ce programme dans le domaine de l énergie sont décrits dans ce Cahier. Objectifs du PASR/AO dans le domaine de l énergie Les objectifs du PASR/AO dans le domaine de l énergie sont : accroître la disponibilité des Énergies nouvelles et renouvelables et leur accessibilité aux populations dans une perspective de développement durable ; assurer, à long terme, la substitution du bois de feu et du charbon de bois par d autres sources d Énergies. Axes prioritaires d intervention Les axes prioritaires d intervention du PASR/AO dans le domaine de l énergie sont : la promotion des Énergies nouvelles et renouvelables ; l approvisionnement énergétique des zones rurales et des centres urbains Actions prioritaires communes Des actions prioritaires communes dans le domaine de l énergie sont inscrites dans le PASR/AO. Il s agit notamment : d entreprendre une étude sous régionale sur l impact des différentes politiques énergétiques sur : le couvert végétal ; la fourniture d énergie rurale ; la désertification ; de définir et mettre en œuvre une stratégie cohérente de communication destinée à faire connaître aux utilisateurs les potentialités existantes et les modes d accès ; de rendre les technologies alternatives en matière d énergie plus accessibles aux ménages par la mise en place d un mécanisme financier adéquat ; de la création d un environnement juridique et institutionnel incitatif à l utilisation de masse des technologies de valorisation des Énergies renouvelables ; 5
6 de l amélioration de la maîtrise des équipements ; d assurer la maîtrise des effets de la construction de barrages hydroélectriques et de leurs installations connexes sur l environnement par la mise en place d un mécanisme d évaluation et de suivi des effets environnementaux ; d harmoniser les politiques et programmes nationaux et sous régionaux par : l élaboration et l application de protocoles portant sur la défiscalisation des produits «Énergies nouvelles et renouvelables» ; l intégration du volet énergie dans les programmes de développement rural ; la prise en compte des aspects Énergies et environnements dans les programmes scolaires et universitaires (Source : CILSS, programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO), Juin 200). 6
7 DOSSIER Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Bafoutché Mahamadou Abdoul - kader khader_bafoutche@yahoo.fr Résumé Au Niger, le contexte économique et social est marqué par la pauvreté dont le niveau élevé se situe en milieu rural et périurbain où se trouve la majorité de la population. Ceci constitue un obstacle majeur à l atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) fixés à l horizon Ce contexte, caractérisé principalement par la pauvreté énergétique, ne pourrait être amélioré sans que les services des énergies modernes ne soient accessibles aux plus démunis. D où la déduction faite selon laquelle : pour atteindre les OMD, il faudra qu au moins la moitié de la population en milieu rural et périurbain accède aux services énergétiques modernes. Les programmes et initiatives actuels au Niger dans le secteur de l énergie présentent des écarts considérables par rapport aux actions nécessaires pour atteindre les OMD. L élaboration d une stratégie nationale d énergies domestiques au Niger d inscrit dans le prolongement d une dynamique initiée dans les années 80 pour faire face aux problèmes de dégradation de l environnement engendrés par une demande de plus en plus croissante de combustibles ligneux en tant que principale source d énergie des ménages. 7
8 Introduction Le Niger, un des pays les plus pauvres du monde, a une superficie de Km² dont les 4/5 sont désertiques, entraînant des contraintes climatiques qui pèsent lourdement sur l'environnement, la vie humaine et le développement socio-économique du pays. Pays non producteur de pétrole, il dépend de l'extérieur pour la satisfaction de ses besoins en hydrocarbures, ce qui rend ces derniers inaccessibles à la plus grande majorité des populations. Les énergies traditionnelles, le bois en l'occurrence, constituent par conséquent la principale source d'énergie pour plus de 90% des ménages et cela malgré les efforts déployés pour encourager la consommation d'autres types de combustibles. Malheureusement, face à une demande croissante, l'offre en bois reste mal connue, ce qui limite l'impact des stratégies développées par les autorités pour inverser la tendance à la dégradation des formations forestières du pays. La situation des ressources forestières du Niger reste donc marquée par le phénomène de désertification résultant des différentes pressions auxquelles sont soumises ces ressources: coupes désordonnées de bois, agriculture itinérante, pâturage excessif et feux de brousse. Au Niger, tout comme dans la plupart des pays en développement, l accès aux services énergétiques modernes est fortement déséquilibré suivant qu il s agisse du milieu urbain ou rural. Cette politique d approvisionnement inéquitable en énergie observée depuis une cinquantaine d années se traduit par une forte disparité du taux d accès aux services énergétiques modernes entre les différentes zones. Cette disparité en zones explique pour l essentiel l échec de certains programmes financés à grands frais. Ainsi la population rurale bien que majoritaire se trouve structurellement maintenue dans une situation d extrême pauvreté. Face à cette situation, qui perdure depuis plusieurs décennies, les pouvoirs publics, malgré l absence d un système de planification énergétique intégrée, ont déployé de gros efforts avec la réalisation de programmes et de projets. Cependant, les résultats restent mitigés et l accès aux services énergétiques modernes n étant pas promu, les besoins énergétiques nationaux sont couverts exclusivement par des énergies traditionnelles. Problématique L état des lieux effectué dans le cadre de cette étude a opportunément donné l occasion de constater l ampleur des actions entreprises au Niger en matière d énergies domestiques car d importants projets ont été réalisés, dont entre autres : projet énergie II, projet énergie domestique, Projet d Amélioration des Forêts Naturelles (PAFN), Projet de Gestion des Ressources Naturelles (PGRN), pour ne citer que ceux là. Le bois énergie constitue pour l écrasante majorité des populations, le principal combustible en énergie domestique au Niger. Le lien entre l approvisionnement des populations en énergies domestiques et les ressources forestières reste toujours au centre des préoccupations énergétiques. Comment concilier la satisfaction des besoins énergétiques des populations sans compromettre l équilibre écologique déjà soumis aux contraintes climatiques? 8
9 Objectifs de la stratégie L objectif de la stratégie est de définir et proposer un cadre cohérent de politiques à moyen et long termes pour : améliorer la gestion des ressources énergétiques nationales et importées ; offrir des meilleurs services énergétiques à la population L amélioration de la gestion des ressources énergétiques Cela implique une réduction de la part bois énergie dans le bilan énergétique, étant donné la rareté des ressources forestières. Cette réduction de la demande en bois énergie doit se faire au profit des énergies alternatives et d économie d énergie. Parmi les sources d énergies alternatives au bois, le charbon minéral devrait constituer l axe principal de la stratégie selon les analyses effectuées sur le sujet à la phase diagnostique. Dans la perspective de proposer aux ménages nigériens de nouvelles sources d énergies pour la cuisson des aliments, il faut s assurer que les choix qui seront effectués garantissent un approvisionnement énergétique sécuritaire et durable et abordable pour les ménages. L amélioration de l accès à l énergie L accès à l énergie est une composante essentielle du développement économique, social et politique. L amélioration de l accès à l énergie signifie qu il faut assurer un approvisionnement énergétique sécuritaire, durable et abordable pour les populations. Un des facteurs ayant limité l impact des stratégies de substitution du bois est la précarité des circuits d approvisionnement et de distribution des combustibles proposés. L utilisation rationnelle des ressources en bois demeure donc une composante importante de l amélioration de l accès à l énergie, ce qui assure la durabilité de ces ressources. Principales orientations de la stratégie Principes stratégiques Dans le cadre de l élaboration de la stratégie, les principes suivants sont considérés essentiels : offrir aux ménages un choix aussi ouvert que possible de combustibles alternatifs au bois et foyers. Les efforts de promotion pour chacun de ces combustibles doivent être orientés vers son créneau spécifique, selon la ville, le niveau de revenu et les préférences culturelles ; mettre l accent sur le court terme : les problèmes énergétiques sont urgents, les solutions doivent donc également l être. La priorité devrait être accordée aux mesures que l on peut mettre en œuvre immédiatement, tout en étant conscient que la modification des habitudes des consommateurs prend du temps et que certains mesures (par exemple, les changements de prix, l adoption de nouveaux foyers et combustibles) doivent être étalés sur une période assez longue ; 9
10 l implication du gouvernement doit dans la mesure du possible se limiter à la formulation des politiques, à la régulation et au contrôle ; la stimulation de la concurrence et la diversification des filières de production et de distribution des combustibles domestiques, ainsi que l introduction des prix de l énergie et des foyers aussi proches que possible de leur coût réel. Quantification des objectifs La stratégie se base sur les cibles suivantes qui ont été définies sur la base des investigations menées lors de la première phase de l étude consacrée à l état des lieux du secteur des énergies domestiques au Niger : diminuer la consommation du bois de feu par les ménages urbains ; pour ramener à 60% du nombre total des ménages urbains ceux qui utilisent le bois, au lieu du quasi 100% actuellement ; promouvoir l utilisation du charbon minéral et des fourneaux adaptés (une moyenne de fourneaux par an sur cinq (5) ans) pour atteindre 35% des ménages urbains d ici 2011 ; tripler les ventes de gaz en cinq ans passant d environs 1000 t/an en 2005 à environ 3000 t/an en 2016, ce qui représente l équipement de 2192 ménages en moyenne par an soit une économie de t/an de bois ; équiper prés de 75% des ménages urbains qui utilisent le bois avec des foyers améliorés au cours de la décennie , ce qui représente un niveau d effort en moyenne de foyers en banco ; réussir à contrôler 80% du volume de bois commercialisé dans les principaux chefs lieux de région d ici 2016 ; appuyer la recherche pour promouvoir l utilisation du pétrole, du biogaz et des énergies renouvelables ; promouvoir l utilisation rationnelle du bois en milieu rural à travers l introduction des foyers améliorés. Les grands axes de la stratégie Pour atteindre l objectif général de la stratégie quatre grands axes d intervention sont retenus. Ces axes ont été identifiés dés la phase diagnostique, dont les résultats ont été discutés et validés à travers un séminaire national organisé à cet effet à Niamey (Niger) en octobre Les axes identifiés et validés sont : la gestion des ressources ; la promotion des combustibles alternatifs au bois et l économie des énergies domestiques ; l amélioration du cadre institutionnel, organisationnel et réglementaire ; les aspects socioculturels et communication pour un changement de comportement. Pour atteindre les différents objectifs de la stratégie pour les énergies domestiques, il y a lieu de considérer les éléments suivants : 10
11 le contrôle de la filière d approvisionnement en biomasse ; l établissement de schémas directeurs d exploitation de la forêt ; la modernisation de systèmes de suivi et de contrôle ; la participation des communautés rurales ; la substitution entre les combustibles ; la gestion de la demande ; la promotion des foyers améliorés ; l appui aux producteurs d équipements ; la bonne politique des prix. Conclusion La première phase de l étude portant sur la définition d une stratégie des énergies domestiques au Niger consacrée à l état des lieux a opportunément donné l occasion de constater l ampleur des actions suscitées par la problématique des énergies domestiques au Niger : projet énergie II, projet énergie domestique, Projet d Amélioration des Forêts Naturelles (PAFN), projet de Gestion des Ressources Naturelles (PGRN), pour ne citer que les plus importants. De ce qui précède, il est important d insister dans la perspective de la stratégie nationale des énergies domestiques sur les approches de mise en œuvre des programmes développés pour assurer l approvisionnement des populations en énergies domestiques de manière durable. Il faut passer d une approche ou l essentiel de l action est «centralisée» autour de l Etat et de ses démembrements vers une approche qui favorise une plus grande implication des Associations, des ONG, du secteur privé et des populations ainsi qu une synergie véritable entre les diverses institutions en charge de l organisation et de la gestion des énergies domestiques. (Source : Ministère des Mines et de l énergie du Niger, Actes de l atelier de validation de la stratégie nationale et plan d actions pour les énergies domestiques du Niger, Niamey, 2006) 11
Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailCOMPTE RENDU DES TRAVAUX DE LA QUATRIEME REUNION DU COMITE DIRECTEUR REGIONAL DU PROGRAMME PREDAS
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL PERMANENT INTERSTATE COMMITTEE FOR DROUGHT CONTROL IN THE SAHEL SECRETARIAT EXECUTIF PRA-SA/LCD/POP/DEV PROGRAMME REGIONAL DE PROMOTION
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailwww.iavs-energie.org
Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailPOLITIQUE SECTORIELLE DE L ENERGIE 2014-2025
Burkina Faso ------------ Unité Progrès Justice Ministère des Mines et de l Energie POLITIQUE SECTORIELLE DE L ENERGIE 2014-2025 Mai 2013 AVANT PROPOS La politique sectorielle de l énergie est un instrument
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITES DE MISE EN ŒUVRE DU DEVIS-PROGRAMME N 1 (DP1) ( Période du 1 er Octobre 2003 au 31 Décembre 2005)
Comité Inter- Etats de Lutte Contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) Programme Régional de Promotion des Energies Domestiques et Alternatives au Sahel (PREDAS) EQUIPE TECHNIQUE NATIONALE (ETN) DU PREDAS
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailFoire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ
Plus en détail2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)
DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE
MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailDISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX
DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailÉNERGIE DURABLE POUR TOUS (SE4ALL): MODÈLE DE PROGRAMME D ACTION NATIONAL. Mars 2014
ÉNERGIE DURABLE POUR TOUS (SE4ALL): MODÈLE DE PROGRAMME D ACTION NATIONAL Mars 2014 Le présent modèle est destiné à orienter les Gouvernements et les partenaires de l initiative énergie durable pour tous
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailStratégie Régionale harmonisée de mise en œuvre de l initiative «Grande muraille verte pour le Sahara et le Sahel»
Stratégie Régionale harmonisée de mise en œuvre de l initiative «Grande muraille verte pour le Sahara et le Sahel» Document produit avec le concours financier et technique de : Remerciements La Commission
Plus en détailEVALUATION FINALE BKF/012
EVALUATION FINALE BKF/012 Projet d Appui à la Gestion participative des Ressources naturelles dans la Région des Hauts-Bassins FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre du projet Code LuxDev Burkina Faso Projet d Appui
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE
CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE 1,._.1... _._~--~------ / Les Etats Africains Sahélo- sahariens soussignés, Burkina Faso; La République de Djibouti; L'Etat
Plus en détailLa transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012
7 Conclusions clés La transition énergétique L Energiewende allemande Par Craig Morris et Martin Pehnt Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 www. 7 Conclusions clés La
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détail2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives
5 2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives La demande d énergie devrait s accroître considérablement dans les années à venir à cause de l augmentation de la population et du développement
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailVERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional
VERS UNE COMMUNAUTÉ EURO- MÉDITERRANÉENNE DE L ÉNERGIE : Passer de l'import-export à un nouveau modèle énergétique régional Avril 2013 En 2011, pour la première fois, la Commission européenne parle d une
Plus en détailContribution au débat sur le Livre Vert «Vers une stratégie européenne de sécurité d approvisionnement énergétique»
Contribution au débat sur le Livre Vert «Vers une stratégie européenne de sécurité d approvisionnement énergétique» Nom Gérard MESTRALLET, Président Directeur Général Jean -Pierre HANSEN, Directeur Général
Plus en détailCharte du tourisme durable
Annexes Charte du tourisme durable Annexe 1 Les participants de la Conférence mondiale du Tourisme durable, réunis à Lanzarote, îles Canaries, Espagne, les 27 et 28 avril 1995, Conscients que le tourisme
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailSOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...
Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du
Plus en détailMécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche Agricole Appel à Propositions de Projets (PP)
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development Mécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailLE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN
LE MÉCANISME DE DÉVELOPPEMENT PROPRE LE MDP EN AFRIQUE FINANCEMENT ET SOUTIEN INTRODUCTION Dès 2006, les parties au protocole de Kyoto ont reconnu l'importance d'une répartition équilibrée des projets
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détailOffice National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI
Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailMANUEL DE SUIVI-EVALUATION
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development MANUEL DE SUIVI-EVALUATION Unité de Panification
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailUnion Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% &
Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% & '( L enquête 1-2-3 dans les Etats membres de l UEMOA Le Programme régional d'appui statistique à la surveillance multilatérale des pays de l'uemoa
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailETUDE SUR L AGENCE REGIONALE
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS D AFRIQUE DE L OUEST UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ETUDE SUR L AGENCE REGIONALE POUR L ACCES A L'ÉNERGIE VERSION PROVISOIRE FINALE JUIN 2007 ----------------
Plus en détailPanorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies
Panorama des bioénergies en Europe Panorama des bioénergies en Europe Synthèse des informations existantes sur le sujet des bioénergies en Europe Sources : législation : Europa, portail de l Union européenne
Plus en détailFONDATION POWEO - JOURNÉE ENERGIE POUR LA CUISSON Foyers améliorés : Quelles pratiques d utilisation et quels modèles de diffusion?
FONDATION POWEO - JOURNÉE ENERGIE POUR LA CUISSON Foyers améliorés : Quelles pratiques d utilisation et quels modèles de diffusion? Mercredi 27 mars 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur,
Plus en détailBesoin d approfondissement des méthodologies d évaluation Le cas de la voiture électrique
Besoin d approfondissement des méthodologies d évaluation Le cas de la voiture électrique Fabien Leurent, Elisabeth Windisch Laboratoire Ville Mobilité Transport (LVMT) Ecole des Ponts, ParisTech Journée
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailAvis d Energie-Cités. Cette proposition est disponible sur : http://europa.eu.int/eur-lex/fr/com/dat/2001/fr_501pc0226.html
Avis d Energie-Cités Projet de Directive Performance énergétique des bâtiments Octobre 2001 Proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil présentée par la Commission [COM(2001) 226 final
Plus en détailMANUEL DES PROCEDURES DE GESTION DES PROGRAMMES
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles/ West and Central African Council for Agricultural Research and Development CORAF/WECARD MANUEL DES PROCEDURES DE GESTION
Plus en détailStratégies énergétiques: le modèle allemand en débat
Stratégies énergétiques: le modèle allemand en débat Dr. Christian Hey Conseil d Experts sur l`environnement, Allemagne (SRU) 1 Introduction Mesdames et messieurs, Je vous remercie de m avoir invité à
Plus en détailUn projet Bois Energie Citoyen?
Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique
Plus en détailRésumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues
Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailProposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015
Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailBANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS
Plus en détailMémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario
Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailPrésentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailTitre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de
Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailL Allemagne championne des énergies propres?
L Allemagne championne des énergies propres? La chancelière allemande a tranché, l Allemagne sera la première grande puissance industrielle européenne à sortir du nucléaire. Et ceci rapidement puisque
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailREPULIQUE DU SENEGAL PNUD / PREP ENERGIE DURABLE POUR TOUS SE4ALL
ASE évaluation et analyse des écarts draft juin 12 PTSOW REPULIQUE DU SENEGAL PNUD / PREP ENERGIE DURABLE POUR TOUS SE4ALL EVALUATION RAPIDE ET ANALYSE SOMMAIRE DES ECARTS EN MATIERE D ACCES AUX SERVICES
Plus en détailSystème de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés
Système de suivi et de monitoring pour un projet foyers améliorés Nathalie WEISMAN Conférence WACA - Ouagadougou, 24 Avril 2013 Quelques chiffres sur EcoAct Historique : 2005 Création d EcoAct 2006 Création
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détail