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1 Cahier de l'energie Une publication de au Sahel l'institut d'applications et de vulgarisations en Sciences Informations générales Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Politiques et Programmes Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) DOSSIER Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences, http : // iavs.refer.ne

2 Cahier de l Energie Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences (IAVS) 01. BP. 6269, Ouagadougou 01 E- mail : Iavs mail@yahoo.fr iavs@refer.ne Site Web : http : // iavs. refer. ne Volume 1 (numéro 2), Décembre 2006 Sommaire Informations générales 3. Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Politiques et Programmes 4. Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) DOSSIER 7. Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Le Cahier de l Energie est le principal outil d information et de communication en énergie de l Institut d Applications et de Vulgarisation en Sciences (IAVS). Le contenu de ce mensuel couvrira les thèmes suivants : Les politiques énergétiques au Sahel ; Les sources d énergies au Sahel ; L éducation relative à l énergie ; Sciences et technologies de l énergie au Sahel ; L énergie et ses interrelations avec les autres secteurs socio économiques Le cahier est ouvert à tous ceux qui souhaitent participer à la promotion du secteur de l énergie pour un développement durable au Sahel. 2

3 INFORMATIONS GENERALES Renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des états du Sahel à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté Du 02 au 06 octobre 2006, le Centre régional AGRHYMET ( a abrité un atelier régional de renforcement des capacités institutionnelles et scientifiques des pays sahéliens (Burkina Faso, Cap vert, Gambie, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad) à formuler des politiques énergétiques en relation avec les objectifs de réduction de la pauvreté. L atelier visait spécifiquement à renforcer : les capacités des représentants nationaux du Comité Permanent Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) afin qu ils intègrent dans leurs interventions auprès des gouvernements et des partenaires au développement la prise en compte de l énergie dans les programmes et projets de réduction de la pauvreté ; les capacités des scientifiques sahéliens en matière de production de connaissances et de méthodologies pour la prise de décision en matière de formulation de politiques énergétiques susceptibles de contribuer à la réduction de la pauvreté L atelier de Niamey est l un des extrants du projet IE4SAHEL (Intelligent Energy for Sahel) dont les principaux objectifs sont : contribuer à la réduction de la pauvreté pour la plus grande partie des utilisateurs de l énergie, par le développement et la dissémination de politiques énergétiques durables ; contribuer à la création d un Centre d Excellence en matière d énergie au Sahel. renforcer les capacités dans la région sahélienne dans les domaines de l élaboration de politiques énergétiques par la mise en place de réseaux régionaux impliquant les acteurs politiques et les scientifiques.. Le projet ie4sahel est mis en œuvre par l Institut Supérieur Technique du PORTUGAL (IST), le Centre Régional AGRHYMET et d autres partenaires européens. 3

4 POLITIQUES ET PROGRAMMES Développement et gestion rationnelle des ressources énergétiques au Sahel dans le cadre du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO) Mathieu BADOLO Centre Régional AGRHYMET m.badolo@agrhymet.ne Résumé Au Sahel la désertification entretient et amplifie la pauvreté à travers la dégradation des ressources naturelles sur lesquelles reposent l économie essentiellement agro sylvopastorale des populations sahéliennes. L une des principales causes de la désertification au Sahel est le secteur énergétique dont le bois énergie est la composante dominante. Aussi les initiatives de lutte contre la désertification intègre le développement et la gestion rationnelle des ressources énergétiques. C est notamment le cas du programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad. (PASR/AO). 4

5 Introduction Les systèmes énergétiques au Sahel se caractérisent par une très grande dépendance vis-à-vis des énergies traditionnelles, principalement le bois et le charbon de bois. Ils sont de ce fait l une des causes du phénomène de désertification. Il est indispensable de renverser cette tendance car la désertification est l une des causes de la pauvreté extrême au Sahel, notamment de la pauvreté rurale. C est ainsi que l énergie apparaît de manière explicite dans le programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad. Les objectifs et les axes prioritaires d intervention de ce programme dans le domaine de l énergie sont décrits dans ce Cahier. Objectifs du PASR/AO dans le domaine de l énergie Les objectifs du PASR/AO dans le domaine de l énergie sont : accroître la disponibilité des Énergies nouvelles et renouvelables et leur accessibilité aux populations dans une perspective de développement durable ; assurer, à long terme, la substitution du bois de feu et du charbon de bois par d autres sources d Énergies. Axes prioritaires d intervention Les axes prioritaires d intervention du PASR/AO dans le domaine de l énergie sont : la promotion des Énergies nouvelles et renouvelables ; l approvisionnement énergétique des zones rurales et des centres urbains Actions prioritaires communes Des actions prioritaires communes dans le domaine de l énergie sont inscrites dans le PASR/AO. Il s agit notamment : d entreprendre une étude sous régionale sur l impact des différentes politiques énergétiques sur : le couvert végétal ; la fourniture d énergie rurale ; la désertification ; de définir et mettre en œuvre une stratégie cohérente de communication destinée à faire connaître aux utilisateurs les potentialités existantes et les modes d accès ; de rendre les technologies alternatives en matière d énergie plus accessibles aux ménages par la mise en place d un mécanisme financier adéquat ; de la création d un environnement juridique et institutionnel incitatif à l utilisation de masse des technologies de valorisation des Énergies renouvelables ; 5

6 de l amélioration de la maîtrise des équipements ; d assurer la maîtrise des effets de la construction de barrages hydroélectriques et de leurs installations connexes sur l environnement par la mise en place d un mécanisme d évaluation et de suivi des effets environnementaux ; d harmoniser les politiques et programmes nationaux et sous régionaux par : l élaboration et l application de protocoles portant sur la défiscalisation des produits «Énergies nouvelles et renouvelables» ; l intégration du volet énergie dans les programmes de développement rural ; la prise en compte des aspects Énergies et environnements dans les programmes scolaires et universitaires (Source : CILSS, programme d Action Sous régional de lutte contre la désertification en Afrique de l Ouest et au Tchad (PASR/AO), Juin 200). 6

7 DOSSIER Stratégie nationale des énergies domestiques au Niger Bafoutché Mahamadou Abdoul - kader khader_bafoutche@yahoo.fr Résumé Au Niger, le contexte économique et social est marqué par la pauvreté dont le niveau élevé se situe en milieu rural et périurbain où se trouve la majorité de la population. Ceci constitue un obstacle majeur à l atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD) fixés à l horizon Ce contexte, caractérisé principalement par la pauvreté énergétique, ne pourrait être amélioré sans que les services des énergies modernes ne soient accessibles aux plus démunis. D où la déduction faite selon laquelle : pour atteindre les OMD, il faudra qu au moins la moitié de la population en milieu rural et périurbain accède aux services énergétiques modernes. Les programmes et initiatives actuels au Niger dans le secteur de l énergie présentent des écarts considérables par rapport aux actions nécessaires pour atteindre les OMD. L élaboration d une stratégie nationale d énergies domestiques au Niger d inscrit dans le prolongement d une dynamique initiée dans les années 80 pour faire face aux problèmes de dégradation de l environnement engendrés par une demande de plus en plus croissante de combustibles ligneux en tant que principale source d énergie des ménages. 7

8 Introduction Le Niger, un des pays les plus pauvres du monde, a une superficie de Km² dont les 4/5 sont désertiques, entraînant des contraintes climatiques qui pèsent lourdement sur l'environnement, la vie humaine et le développement socio-économique du pays. Pays non producteur de pétrole, il dépend de l'extérieur pour la satisfaction de ses besoins en hydrocarbures, ce qui rend ces derniers inaccessibles à la plus grande majorité des populations. Les énergies traditionnelles, le bois en l'occurrence, constituent par conséquent la principale source d'énergie pour plus de 90% des ménages et cela malgré les efforts déployés pour encourager la consommation d'autres types de combustibles. Malheureusement, face à une demande croissante, l'offre en bois reste mal connue, ce qui limite l'impact des stratégies développées par les autorités pour inverser la tendance à la dégradation des formations forestières du pays. La situation des ressources forestières du Niger reste donc marquée par le phénomène de désertification résultant des différentes pressions auxquelles sont soumises ces ressources: coupes désordonnées de bois, agriculture itinérante, pâturage excessif et feux de brousse. Au Niger, tout comme dans la plupart des pays en développement, l accès aux services énergétiques modernes est fortement déséquilibré suivant qu il s agisse du milieu urbain ou rural. Cette politique d approvisionnement inéquitable en énergie observée depuis une cinquantaine d années se traduit par une forte disparité du taux d accès aux services énergétiques modernes entre les différentes zones. Cette disparité en zones explique pour l essentiel l échec de certains programmes financés à grands frais. Ainsi la population rurale bien que majoritaire se trouve structurellement maintenue dans une situation d extrême pauvreté. Face à cette situation, qui perdure depuis plusieurs décennies, les pouvoirs publics, malgré l absence d un système de planification énergétique intégrée, ont déployé de gros efforts avec la réalisation de programmes et de projets. Cependant, les résultats restent mitigés et l accès aux services énergétiques modernes n étant pas promu, les besoins énergétiques nationaux sont couverts exclusivement par des énergies traditionnelles. Problématique L état des lieux effectué dans le cadre de cette étude a opportunément donné l occasion de constater l ampleur des actions entreprises au Niger en matière d énergies domestiques car d importants projets ont été réalisés, dont entre autres : projet énergie II, projet énergie domestique, Projet d Amélioration des Forêts Naturelles (PAFN), Projet de Gestion des Ressources Naturelles (PGRN), pour ne citer que ceux là. Le bois énergie constitue pour l écrasante majorité des populations, le principal combustible en énergie domestique au Niger. Le lien entre l approvisionnement des populations en énergies domestiques et les ressources forestières reste toujours au centre des préoccupations énergétiques. Comment concilier la satisfaction des besoins énergétiques des populations sans compromettre l équilibre écologique déjà soumis aux contraintes climatiques? 8

9 Objectifs de la stratégie L objectif de la stratégie est de définir et proposer un cadre cohérent de politiques à moyen et long termes pour : améliorer la gestion des ressources énergétiques nationales et importées ; offrir des meilleurs services énergétiques à la population L amélioration de la gestion des ressources énergétiques Cela implique une réduction de la part bois énergie dans le bilan énergétique, étant donné la rareté des ressources forestières. Cette réduction de la demande en bois énergie doit se faire au profit des énergies alternatives et d économie d énergie. Parmi les sources d énergies alternatives au bois, le charbon minéral devrait constituer l axe principal de la stratégie selon les analyses effectuées sur le sujet à la phase diagnostique. Dans la perspective de proposer aux ménages nigériens de nouvelles sources d énergies pour la cuisson des aliments, il faut s assurer que les choix qui seront effectués garantissent un approvisionnement énergétique sécuritaire et durable et abordable pour les ménages. L amélioration de l accès à l énergie L accès à l énergie est une composante essentielle du développement économique, social et politique. L amélioration de l accès à l énergie signifie qu il faut assurer un approvisionnement énergétique sécuritaire, durable et abordable pour les populations. Un des facteurs ayant limité l impact des stratégies de substitution du bois est la précarité des circuits d approvisionnement et de distribution des combustibles proposés. L utilisation rationnelle des ressources en bois demeure donc une composante importante de l amélioration de l accès à l énergie, ce qui assure la durabilité de ces ressources. Principales orientations de la stratégie Principes stratégiques Dans le cadre de l élaboration de la stratégie, les principes suivants sont considérés essentiels : offrir aux ménages un choix aussi ouvert que possible de combustibles alternatifs au bois et foyers. Les efforts de promotion pour chacun de ces combustibles doivent être orientés vers son créneau spécifique, selon la ville, le niveau de revenu et les préférences culturelles ; mettre l accent sur le court terme : les problèmes énergétiques sont urgents, les solutions doivent donc également l être. La priorité devrait être accordée aux mesures que l on peut mettre en œuvre immédiatement, tout en étant conscient que la modification des habitudes des consommateurs prend du temps et que certains mesures (par exemple, les changements de prix, l adoption de nouveaux foyers et combustibles) doivent être étalés sur une période assez longue ; 9

10 l implication du gouvernement doit dans la mesure du possible se limiter à la formulation des politiques, à la régulation et au contrôle ; la stimulation de la concurrence et la diversification des filières de production et de distribution des combustibles domestiques, ainsi que l introduction des prix de l énergie et des foyers aussi proches que possible de leur coût réel. Quantification des objectifs La stratégie se base sur les cibles suivantes qui ont été définies sur la base des investigations menées lors de la première phase de l étude consacrée à l état des lieux du secteur des énergies domestiques au Niger : diminuer la consommation du bois de feu par les ménages urbains ; pour ramener à 60% du nombre total des ménages urbains ceux qui utilisent le bois, au lieu du quasi 100% actuellement ; promouvoir l utilisation du charbon minéral et des fourneaux adaptés (une moyenne de fourneaux par an sur cinq (5) ans) pour atteindre 35% des ménages urbains d ici 2011 ; tripler les ventes de gaz en cinq ans passant d environs 1000 t/an en 2005 à environ 3000 t/an en 2016, ce qui représente l équipement de 2192 ménages en moyenne par an soit une économie de t/an de bois ; équiper prés de 75% des ménages urbains qui utilisent le bois avec des foyers améliorés au cours de la décennie , ce qui représente un niveau d effort en moyenne de foyers en banco ; réussir à contrôler 80% du volume de bois commercialisé dans les principaux chefs lieux de région d ici 2016 ; appuyer la recherche pour promouvoir l utilisation du pétrole, du biogaz et des énergies renouvelables ; promouvoir l utilisation rationnelle du bois en milieu rural à travers l introduction des foyers améliorés. Les grands axes de la stratégie Pour atteindre l objectif général de la stratégie quatre grands axes d intervention sont retenus. Ces axes ont été identifiés dés la phase diagnostique, dont les résultats ont été discutés et validés à travers un séminaire national organisé à cet effet à Niamey (Niger) en octobre Les axes identifiés et validés sont : la gestion des ressources ; la promotion des combustibles alternatifs au bois et l économie des énergies domestiques ; l amélioration du cadre institutionnel, organisationnel et réglementaire ; les aspects socioculturels et communication pour un changement de comportement. Pour atteindre les différents objectifs de la stratégie pour les énergies domestiques, il y a lieu de considérer les éléments suivants : 10

11 le contrôle de la filière d approvisionnement en biomasse ; l établissement de schémas directeurs d exploitation de la forêt ; la modernisation de systèmes de suivi et de contrôle ; la participation des communautés rurales ; la substitution entre les combustibles ; la gestion de la demande ; la promotion des foyers améliorés ; l appui aux producteurs d équipements ; la bonne politique des prix. Conclusion La première phase de l étude portant sur la définition d une stratégie des énergies domestiques au Niger consacrée à l état des lieux a opportunément donné l occasion de constater l ampleur des actions suscitées par la problématique des énergies domestiques au Niger : projet énergie II, projet énergie domestique, Projet d Amélioration des Forêts Naturelles (PAFN), projet de Gestion des Ressources Naturelles (PGRN), pour ne citer que les plus importants. De ce qui précède, il est important d insister dans la perspective de la stratégie nationale des énergies domestiques sur les approches de mise en œuvre des programmes développés pour assurer l approvisionnement des populations en énergies domestiques de manière durable. Il faut passer d une approche ou l essentiel de l action est «centralisée» autour de l Etat et de ses démembrements vers une approche qui favorise une plus grande implication des Associations, des ONG, du secteur privé et des populations ainsi qu une synergie véritable entre les diverses institutions en charge de l organisation et de la gestion des énergies domestiques. (Source : Ministère des Mines et de l énergie du Niger, Actes de l atelier de validation de la stratégie nationale et plan d actions pour les énergies domestiques du Niger, Niamey, 2006) 11

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