C O U R S DESTINES AUX FONCTIONNAIRES COMMUNAUX SE PREPARANT AUX EXAMENS D ADMISSION DEFINITIVE ET DE PROMOTION DU SECTEUR ADMINISTRATIF

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "C O U R S DESTINES AUX FONCTIONNAIRES COMMUNAUX SE PREPARANT AUX EXAMENS D ADMISSION DEFINITIVE ET DE PROMOTION DU SECTEUR ADMINISTRATIF"

Transcription

1 C O U R S DESTINES AUX FONCTIONNAIRES COMMUNAUX SE PREPARANT AUX EXAMENS D ADMISSION DEFINITIVE ET DE PROMOTION DU SECTEUR ADMINISTRATIF COMPTABILITE COMMERCIALE DES SYNDICATS COMMUNAUX N.B. Le cours n est à apprendre que par les fonctionnaires occupés par des syndicats intercommunaux dotés d une comptabilité commerciale

2 INDEX DES CHAPITRES INDEX DES CHAPITRES...1 1) INTRODUCTION...2 2) LE BUDGET ET LE BUDGET RECTIFIE...2 3) COMPTES ANNUELS, BILANS, COMPTES DE PROFITS ET PERTES, MUTATION DU RECEVEUR...4 CHAPITRE I: CHAMP D'APPLICATION...4 CHAPITRE II: ETABLISSEMENT DES COMPTES ANNUELS...4 CHAPITRE III: STRUCTURE DU BILAN ET DU COMPTE DE PROFITS ET PERTES...5 CHAPITRE IV: DISPOSITIONS PARTICULIERES A CERTAINS POSTES DU BILAN...5 CHAPITRE V: DISPOSITIONS PARTICULIERES A CERTAINS POSTES DU COMPTE DE PROFITS ET PERTES...6 CHAPITRE VI: REGLES D'EVALUATION....6 CHAPITRE VII: CONTENU DE L'ANNEXE AUX COMPTES ANNUELS...7 CHAPITRE VIII: PIECES JUSTIFICATIVES DE LA COMPTABILITE...8 CHAPITRE IX: MUTATION DU RECEVEUR...8 CHAPITRE X: LA TAXE SUR LA VALEUR AJOUTEE...8 ANNEXES 9 EXEMPLE DE CALCUL 12 CIRCULAIRE BUDGETAIRE 15 1

3 1) Introduction Conformément à l article 172 de la loi communale, le Ministre de l Intérieur désigne les établissements publics placés sous la surveillance des communes et les syndicats intercommunaux qui doivent tenir leur comptabilité suivant les principes de la comptabilité commerciale. Ces établissements et syndicats établissent annuellement un budget répondant aux mêmes règles que les budgets des administrations communales; règles telles qu elles ont été exposées dans le cours sur le budget communal. La règle spécifique suivante (non valable pour les administrations communales) est toutefois à relever: La gestion commerciale des établissements et syndicats soumis à une comptabilité commerciale ne doit pas être gênée par une trop grande rigidité budgétaire. Une certaine souplesse des formalités administratives est également requise. C est pourquoi les crédits pour la gestion ordinaire (le budget d exploitation) sont tous non limitatifs, en raison d une part de l imprévisibilité de certaines dépenses et d autre part parce qu il est indispensable de garantir la continuité du service rendu par certains syndicats (fourniture d eau potable, épuration des eaux, fournitures de soins aux malades, élimination de déchêts, transport de personnes,...); en effet, il est inconcevable qu une telle «entreprise» cesserait de fonctionner pour cause d absence d un crédit budgétaire ordinaire d exploitation courante à la suite de conditions d exploitations nouvelles et impossibles à prévoir en temps utile. Il en découle que les crédits ordinaires peuvent être dépassés sans autres formalités en cas de besoin : le vote d un crédit supplémentaire n est pas requis. Il reste bien entendu que les crédits extraordinaires (investissements) sont par contre limitatifs et restent soumis aux formalités des modifications budgétaires prévues également pour le budget des administrations communales. 2) Le budget et le budget rectifié Point A.- Le budget du syndicat et de l'établissement répond aux mêmes règles que le budget des communes excepté les dispositions particulières faisant l'objet du présent cours. Point B.- Le syndicat et l'établissement sont tenus d'établir annuellement un budget qui est soumis au vote de l organe directeur au plus tard le 15 novembre précédant l'exercice du budget, ensemble avec le budget rectifié de l'exercice en cours. Point C.- La structure du chapitre ordinaire du budget répond au schéma B prévu par le point 6 du présent cours. Pour les syndicats et établissements à vocation multiple le budget est organisé suivant une présentation fonctionnelle par centres de coûts. Point D.- Le point de départ du budget rectifié est calculé de la façon suivante: 1) le report à inscrire au service ordinaire du budget rectifié de l année N par exemple est constitué par le résultat du compte de profits et pertes de l exercice N -1 (qui constitue en fait le résultat du service ordinaire du compte de N - 1), 2

4 2) le report à inscrire au service extraordinaire du budget rectifié de l année N se basera sur la situation de trésorerie indiquée par le bilan au N - 1; il en sera déduit le résultat sub (a) au cas où celui-ci est positif. Le calcul afférent est le suivant: + avoirs en banques, en comptes chèques postaux et en caisse + clients et autres créances à court terme + frais payés d avance - comptes courants débiteurs - fournisseurs et autres dettes à court terme - frais restant à payer à la fin de l exercice N boni du compte de profits et pertes reporté au service ordinaire du budget rectifié de N (ou + mali) = report à inscrire au service extraordinaire du budget rectifié N (à titre d exemple, voir l annexe D du présent cours) Point E.- Les dotations aux amortissements sont inscrits aux budgets tant en dépense ordinaire qu en recette extraordinaire. Il en est de même des dotations au fonds de compensation, à des provisions ou à d autres fonds de réserve extraordinaire. Point F.- L éventuel recours fait par le syndicat ou autre établissement au fonds de compensation ou bien à des provisions inscrites au bilan établi au N - 1 comportera l inscription conjointe d une recette ordinaire et d une dépense extraordinaire aux budgets. Point G.- Le recours à un fonds de renouvellement ou à un autre fonds de réserve extraordinaire se présente autrement. Il ne peut pas avoir lieu puisqu il comporterait l inscription conjointe d une recette extraordinaire et d une dépense extraordinaire aux budgets: il aurait donc un effet égal à zéro! Ces fonds ne constituent pas en eux-mêmes des ressources de financement supplémentaires. Ils représentent des capitaux (réserves) à long terme figurant au passif du bilan en contrepartie des montants inscrits à l actif du bilan. Pour autant que ces capitaux n ont pas encore été investis (c est-àdire que leur contrepartie figure dans l actif immobilisé du bilan), ils se retrouvent dans la trésorerie disponible à court terme (qui figure également à l actif du bilan) et ont été inscrits comme report au service extraordinaire du budget rectifié de N (voir point E ci-dessus). Point H.- -> Cas spécial <- Pour ce qui est des syndicats et établissements publics gérant un établissement hospitalier, il y a lieu de soulever qu ils sont soumis par la loi à la convention etablie entre l Entente des hôpitaux et l Union des caisses de maladie (UCM) et doivent présenter leurs budgets dans la forme prévue par ladite convention. Leurs budgets devront être accompagnés lors de l envoi au Ministère de l Intérieur aux fins d approbation ministérielle par le protocole d accord arrêté conformément à l article 4 de la convention entre l UCM et l hôpital en question. Le protocole d accord sert de pièce justificative à l appui du document budgétaire. Le budget devra renseigner également un plan de financement indiquant les voies et moyens de financement des dépenses non admises par l UCM (c est-à-dire au financement desquelles l UCM ne participe pas), mais maintenues par l hôpital. Il va sans dire que le principe de l équilibre du budget devra être garanti impérativement et que les budgets sont à soumettre à l autorité supérieure pour approbation avant le premier janvier. Si le protocole d accord de l UCM fait défaut à cette date, un deuxième budget complémentaire avec en annexe le protocole d accord alors disponible est à présenter ultérieurement ; notamment pour réajuster éventuellement l équilibre budgétaire ou pour prévoir des sources de financement complémentaires en cas de besoins. 3

5 Pour les syndicats ayant pour objet de construire, d exploiter et d entretenir un hôpital, le recours à l emprunt se limite à la somme garantie par l Union des Caisses de Maladie ( art. 23 de la loi du 23 février 2001 concernant les syndicats de communes ). Point I.- ( Taxes sur la valeur ajoutée : voir point 26 du chapitre X ci-après ) 2) Comptes annuels, bilans, comptes de profits et pertes, mutation du receveur Chapitre I: Champ d'application Point 1.- La présente s'applique aux syndicats de communes, et aux établissements publics placés sous la surveillance des communes, qui par décision du ministre de l'intérieur, doivent tenir leur comptabilité selon les principes de la comptabilité commerciale. Il ne s'applique pas aux syndicats et établissements pour autant que ceux-ci sont soumis à la loi du 27 juillet 1992 portant réforme de l'assurance maladie et du secteur de la santé et au règlement grandducal du 28 février 1994 fixant un schéma de présentation uniforme des comptes annuels des hôpitaux. Chapitre II: Etablissement des comptes annuels Point 2.- Les comptes annuels sont établis au 31 décembre de chaque année. Ils comprennent le bilan, le compte de profits et pertes ainsi que l'annexe aux comptes annuels: ces documents forment un tout. Point 3.- Les comptes annuels doivent être établis avec clarté et donner une image fidèle du patrimoine, de la situation financière ainsi que des résultats du syndicat et de l'établissement. Point 4.- La structure du bilan et celle du compte de profits et pertes, spécialement quant à la forme retenue pour leur présentation, ne peuvent pas être modifiées d'un exercice à l'autre, sauf dans des cas exceptionnels dûment mentionnés et motivés. Chacun des postes du bilan et du compte de profits et pertes doit comporter l'indication du chiffre relatif au poste correspondant de l'exercice précédent. L'absence de comparabilité des chiffres d'un exercice à l'autre doit être signalée et dûment commentée. Sauf s'il existe un poste correspondant de l'exercice précédent, un poste du bilan ou du compte de profits et pertes qui ne comporte aucun chiffre n'est pas indiqué. Point 5.- Toute compensation entre des postes d'actif et de passif, ou entre des postes de charges et de produits, est interdite. 4

6 Chapitre III: Structure du bilan et du compte de profits et pertes Point 6.- La présentation du bilan et du compte de profits et pertes s'effectue suivant les schémas A et B joints. Les différents postes du bilan et du compte de profits et pertes peuvent être détaillés suivant les besoins spécifiques du syndicat et de l'établissement. Point 7.- Pour les syndicats et établissements à vocation multiple la présentation du compte de profits et pertes prescrite par le point 6 doit être doublée d'une présentation fonctionnelle par centres de coûts. Chapitre IV: Dispositions particulières à certains postes du bilan Point 8.- L'actif immobilisé comprend les éléments du patrimoine qui sont destinés à servir de façon durable à l'activité du syndicat et de l'établissement. Les mouvements des divers postes de l'actif immobilisé sont à indiquer dans un tableau suivant le schéma C joint. Point 9.- Les acquisitions et travaux en cours d'achèvement sont comptabilisés au poste "Immobilisations en cours" jusqu'à leur mise en service. A ce moment ils sont reportés aux postes concernés des immobilisations. La mise en service déclenche l'amortissement. Le décompte des projets de travaux, faisant suite à la réception définitive des travaux, est soumis à l approbation de l organe directeur. Il est joint au bilan pour servir, lors de son apurement par l autorité supérieure, de document justificatif à l appui des dépenses y inscrites. A défaut de décompte, les immobilisations ne sont admises qu à titre provisoire. Point 10.- Au poste "Comptes de régularisation" doivent figurer à l'actif les charges comptabilisées d'avance pendant l'exercice mais concernant un exercice ultérieur et, au passif, les produits perçus avant la clôture du bilan mais imputables à un exercice ultérieur. Point 11.- Les provisions pour risques et charges ont pour objet de couvrir des pertes, dettes ou charges qui sont nettement circonscrites quant à leur nature mais, à la date de clôture du bilan, sont ou probables ou certaines mais indéterminées quant à leur montant ou quant à la date de leur survenance. Il peut être constitué des provisions pour grosses réparations en cas de charges de réparation importantes et prévisibles ne pouvant être supportées par le seul exercice au cours duquel elles seront engagées. Les provisions pour risques et charges ne peuvent pas avoir pour objet de corriger les valeurs des éléments de l actif. Le montant des provisions pour risques et charges ne peut pas dépasser les besoins. L organe directeur arrête les provisions à inscrire au bilan par une décision motivée et suivant les modalités à prescrire par le ministre de l'intérieur. 5

7 Point 12.- Les syndicats et établissements peuvent se doter de fonds de réserves et notamment d'un fonds de compensation et d'un fonds de renouvellement suivant les modalités à prescrire par le ministre de l'intérieur. Le fonds de compensation a pour but de garantir l'équilibre pluriannuel du compte de profits et pertes. Le fonds de renouvellement a pour but de procurer au syndicat et à l'établissement les moyens de financement supplémentaires nécessaires lors du remplacement des immobilisations. Point 13.- Lors de l'arrêté provisoire des comptes annuels, l'organe directeur décide l'affectation du bénéfice à des fonds de réserve et au capital. Chapitre V: Dispositions particulières à certains postes du compte de profits et pertes. Point 14.- L'organe directeur décide de la décharge totale ou partielle à accorder à un débiteur. Elle est comptabilisée à titre de charge de gestion courante sous la rubrique "Autres charges d'exploitation". Point 15.- Aux postes "Produits exceptionnels" ou "Charges exceptionnelles" doivent figurer les produits ou charges ne provenant pas des activités ordinaires du syndicat et de l'établissement. Chapitre VI: Règles d'évaluation. Point 16.- Pour l'évaluation des postes figurant dans les comptes annuels il est fait application des principes généraux suivants: 1. le syndicat et l'établissement sont présumés continuer leurs activités ; 2. les modes d'évaluation ne peuvent pas être modifiés d'un exercice à l'autre ; 3. le principe de prudence doit en tout cas être observé: a) seuls les bénéfices réalisés à la date de clôture du bilan peuvent y être inscrits; b) il doit être tenu compte de tous les risques prévisibles et pertes éventuelles qui ont pris naissance au cours de l'exercice ou d'un exercice antérieur, même si ces risques ou pertes ne sont connus qu'entre la date de clôture du bilan et la date à laquelle il est établi; c) il doit être tenu compte des dépréciations, que l'exercice se solde par une perte ou par un bénéfice; 4. il doit être tenu compte des charges et produits afférents à l'exercice auquel les comptes se rapportent, sans considération de la date de paiement ou d'encaissement de ces charges ou produits; 5. les éléments des postes de l'actif et du passif doivent être évalués séparément; 6. le bilan d'ouverture d'un exercice doit correspondre au bilan de clôture de l'exercice précédent. Point 17.- Les éléments de l'actif immobilisé doivent être évalués au prix d'acquisition ou au coût de revient. Le prix d'acquisition s'obtient en ajoutant les frais accessoires au prix d'achat. 6

8 Le coût de revient s'obtient en ajoutant au prix d'acquisition des matières premières et consommables les coûts directement imputables au produit considéré. Le prix d'acquisition ou le coût de revient des éléments de l'actif immobilisé dont l'utilisation est limitée dans le temps doit être diminué des corrections de valeur calculées de manière à amortir systématiquement la valeur de ces éléments pendant leur durée d'utilisation. Que leur utilisation soit ou non limitée dans le temps, les éléments de l'actif immobilisé doivent faire l'objet de corrections de valeur afin de donner à ces éléments la valeur inférieure qui est à leur attribuer à la date de clôture du bilan, si l'on prévoit que la dépréciation sera durable. Les corrections de valeur doivent être portées au compte de profits et pertes. Point 18.- L'amortissement de l'actif immobilisé est annuel et linéaire. La première annuité d'amortissement est à calculer en mois entiers à partir de la mise en service de l'immobilisé. Les taux d'amortissement sont fixés par le ministre de l'intérieur sur la base de la durée normale d'utilisation des éléments à amortir. Point 19.- Peuvent être portés à l'actif en tant que frais d'établissement les frais qui sont en relation avec la création ou l'extension du syndicat et de l'établissement, par opposition aux frais résultant de la gestion courante. Les frais d'établissement doivent être amortis dans un délai maximum de cinq ans. Point 20.- Les stocks et en cours doivent être évalués au prix d'acquisition ou au coût de revient à moins que ces éléments ne fassent l'objet de corrections de valeur pour leur donner la valeur inférieure du marché, ou dans des circonstances particulières une autre valeur inférieure. Point 21.- Les subsides d'investissement doivent être réduits au rythme de l'amortissement du bien pour lequel le subside a été alloué, sauf décision contraire du ministre de l'intérieur. Chapitre VII: Contenu de l'annexe aux comptes annuels Point 22.- L'annexe aux comptes annuels dont question au point 2 comprend 1. le rapport de gestion: Le rapport de gestion doit contenir un exposé fidèle sur l'évolution des affaires et la situation du syndicat et de l'établissement avec des indications sur les événements importants survenus après la clôture de l'exercice et sur l'évolution prévisible du syndicat et de l'établissement 2. le tableau sur l'évolution de l'immobilisé suivant le schéma C en annexe 3. le tableau sur l évolution des subsides d investissement reçus 4. le tableau sur l exécution du budget extraordinaire 5. le relevé détaillé a) des créances b) des dettes c) des comptes de régularisation 6. la balance des comptes 7. toute autre information jugée utile par le ministre de l'intérieur. 7

9 Chapitre VIII: Pièces justificatives de la comptabilité Point 23.- Tout enregistrement comptable doit être étayé d'une pièce justificative - facture, déclaration, contrat ou autre - accompagnée d'un mandat de paiement ou d'un titre de recette individuels ou collectifs. Les enregistrements comptables n'ayant pas pour objet un encaissement ou un décaissement sont à étayer d'une ordonnance d'écriture signée par le bureau. Les pièces justificatives sont classées chronologiquement par articles du budget. Chapitre IX: Mutation du receveur Point 24.- Le receveur qui quitte ses fonctions est tenu d'établir un bilan et un compte de profits et pertes intermédiaires à la date de la cessation de ses fonctions. Les bilan et compte de profits et pertes intermédiaires ne comprennent pas les dotations aux amortissements et aux provisions de l exercice en cours. L annexe aux comptes est constituée par les seuls documents numéros 4, 5 et 6 du point 22 ci-avant. Point 25.- Le nouveau receveur établit au 31 décembre un bilan et un compte de profits et pertes portant sur la totalité de l'exercice. Chapitre X: La taxe sur la valeur ajoutée ( TVA ) Point 26.- Le syndicat et l établissement qui sont assujettis à la taxe sur la valeur ajoutée établissent leurs budgets et leurs comptes hors taxe sur la valeur ajoutée. A.- Sont assujettis à la TVA les syndicats et les établissements publics qui s occupent : - de la fourniture d eau potable ( loi du ) - de gaz - d électricité - du transport de personnes ou de biens - de la construction et de la gestion d une piscine La TVA est alors comptabilisée sur des comptes intermédiaires de la classe 4 «TVA en aval» ( Dépenses ) et «TVA en amont» ( Recettes ), puis elle est transférée à un compte «Décompte TVA» pour figurer finalement au bilan de fin d exercice ( Actif s il s agit d une recette à recevoir ou Passif s il s agit d une dette envers l Etat ). La TVA ne passe pas par le compte de profits et pertes. B.- Ne sont pas assujettis à la TVA les activités suivantes : - enseignement - crèches - abattoirs - ordures - épuration des eaux Pour ces activités le budget et le compte de fin d exercice sont établis de la même façon qu auprès d une administration communale avec la TVA incluse : la TVA est comptabilisée à l article budgétaire avec la recette ou la dépense afférente. Elle figure donc aussi dans l actif immobilisé respectivement au compte de pertes et profits suivant qu il s agit d une dépense / recette extraordinaire ou ordinaire. 8

Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants

Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants Loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants Dahir n 1-92-138 (30 joumada II 1413) portant promulgation de la loi n 9-88 relative aux obligations comptables des commerçants (B.O. 30 décembre

Plus en détail

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE

Parc des Bois de Grasse - 1 rue Louison Bobet - 06130 GRASSE OPERATIONS DE FIN D EXERCICE COMPTABLE Sommaire L INVENTAIRE... 2 LA DETERMINATION DES CHARGES ET DES PROVISIONS... 3 LES IMMOBILISATIONS... 3 LES AMORTISSEMENTS... 4 LES PROVISIONS POUR DEPRECIATION...

Plus en détail

Loi du 8 décembre 1994 relative: aux comptes annuels et comptes consolidés des entreprises d'assurances et de réassurances de droit luxembourgeois

Loi du 8 décembre 1994 relative: aux comptes annuels et comptes consolidés des entreprises d'assurances et de réassurances de droit luxembourgeois Loi du 8 décembre 1994 relative: aux comptes annuels et comptes consolidés des entreprises d'assurances et de réassurances de droit luxembourgeois aux obligations en matière d'établissement et de publicité

Plus en détail

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31

Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Norme comptable relative aux placements dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC31 Objectif de la norme 01 L entreprise d assurance et/ou de réassurance doit disposer à son actif, en couverture

Plus en détail

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des

Plus en détail

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23

NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 NORME COMPTABLE RELATIVE AUX OPERATIONS EN DEVISES DANS LES ETABLISSEMENTS BANCAIRES NC 23 OBJECTIF 01 - La Norme Comptable Tunisienne NC 15 relative aux opérations en monnaies étrangères définit les règles

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail

PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013

PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 PLAN DE FORMATION COMPTABLE NOVEMBRE 2013 I L ENTREPRISE ET LA FAMILLE La famille est une entreprise La famille dépend de l entreprise La famille et l entreprise se gèrent de la même manière mais indépendamment

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES

LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER. Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. TABLE DES MATIERES LE CREDIT-BAIL MOBILIER & IMMOBILIER Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o Traitements comptables des opérations dans le cadre du crédit-bail mobilier et immobilier. Connaissances juridiques.

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012 COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles Introduction Avis du 10 octobre 2012 1. Tant le schéma complet que le schéma abrégé des comptes

Plus en détail

Du budget à la comptabilité

Du budget à la comptabilité Du budget à la comptabilité 1 Plan de la présentation I-L élaboration du budget II-L exécution du budget III-La reddition des comptes 2 LE BUDGET -I- L ELABORATION DU BUDGET 3 QU EST-CE QUE LE BUDGET?

Plus en détail

CHAPITRE 9 : SYSTEME MINIMAL DE TRESORERIE

CHAPITRE 9 : SYSTEME MINIMAL DE TRESORERIE 423 CHAPITRE 9 : SECTION 1 : PRINCIPE DU SYSTEME MINIMAL DE TRESORERIE Les très petites entreprises (T.P.E.), dont le chiffre d'affaires ne dépasse pas les seuils fixés par le présent Acte uniforme, distincts

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

Les engagements et revenus y afférents dans les établissements bancaires

Les engagements et revenus y afférents dans les établissements bancaires NC 24 Les engagements et revenus y afférents dans les établissements bancaires Objectif 01. Les prêts et avances et les engagements de financement ou de garantie constituent généralement un segment important

Plus en détail

NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires

NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires NC 21 Présentation des états financiers des établissements bancaires Objectif 01. La Norme Comptable NC 01 -"Norme Comptable Générale" définit les règles relatives à la présentation des états financiers

Plus en détail

GdsCompta. Logiciel de comptabilité générale

GdsCompta. Logiciel de comptabilité générale GdsCompta Logiciel de comptabilité générale CARACTERISTIQUES Logiciel sous Windows Fonctionne sous Windows XP, Vista, 7 et 8 Multi-dossier De la saisie des écritures au bilan, une comptabilité complète.

Plus en détail

11 e édition. 2011-2012 À jour des nouveautés du Plan comptable et des textes fiscaux. Béatrice et Francis GRANDGUILLOT.

11 e édition. 2011-2012 À jour des nouveautés du Plan comptable et des textes fiscaux. Béatrice et Francis GRANDGUILLOT. Principes de la modélisation comptable Analyse comptable des opérations courantes Analyse comptable des opérations de fin d'exercice Analyse financière des tableaux de synthèse 11 e édition 2011-2012 À

Plus en détail

NORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32

NORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32 NORME COMPTABLE RELATIVE A LA PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DES ASSOCIATIONS AUTORISEES A ACCORDER DES MICRO-CREDITS NC 32 OBJECTIF 01. La norme comptable NC 01 - "Norme comptable générale" définit

Plus en détail

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14

Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle

Plus en détail

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» Alerte «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés» La loi du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps

Plus en détail

A la suite de ce sinistre, l activité n a pas été interrompue, la SAS ayant pu poursuivre son activité sur un autre site.

A la suite de ce sinistre, l activité n a pas été interrompue, la SAS ayant pu poursuivre son activité sur un autre site. COMPTES ANNUELS - Date de comptabilisation des indemnités d'assurance suite à un incendie - Provision pour charges liées à la reconstruction du bâtiment appartenant à une SCI - EC 2010-28 Mots clés Comptes

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2010/15 Méthodes d amortissement. Avis du 6 octobre 2010

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2010/15 Méthodes d amortissement. Avis du 6 octobre 2010 COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2010/15 Méthodes d amortissement Avis du 6 octobre 2010 Introduction Sous les actifs immobilisés sont portés les éléments du patrimoine destinés à servir de façon

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4

ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 409 ANNEXE N 13 : Bilan et compte de résultat M4 Les tableaux suivants présentent les éléments nécessaires à la confection des documents de synthèse figurant au compte de gestion. Ils permettent d associer

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base

COMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.

Plus en détail

OPERATIONS NON BUDGETAIRES

OPERATIONS NON BUDGETAIRES OPERATIONS NON BUDGETAIRES 1 Dotation ou apport 2 Affectation services non dotés de la personnalité morale 3 Affectation services dotés de la personnalité morale 4 Désaffectation ou retour d un bien affecté

Plus en détail

LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE

LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?

Plus en détail

Nous Henri, Grand-Duc de Luxembourg, Duc de Nassau; Arrêtons: Chapitre 1er - De l'agrément et du plan d'activités

Nous Henri, Grand-Duc de Luxembourg, Duc de Nassau; Arrêtons: Chapitre 1er - De l'agrément et du plan d'activités Règlement grand-ducal pris en exécution de la loi modifiée du 6 décembre 1991 sur le secteur des assurances précisant les modalités d'agrément et d'exercice des entreprises de réassurances Nous Henri,

Plus en détail

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES

FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES FICHE TECHNIQUE N 12 INSTRUMENTS FINANCIERS A TERME ET EMPRUNTS EN MONNAIES ETRANGERES V2.0 Page 1 sur 117 DESTINATAIRES Nom Direction M. Litvan FCE 6 ème Sous-direction M. Soulié FCE 7 ème Sous-direction

Plus en détail

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par l'inversion du cycle de la production et

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

Compte général de l État pour 2008

Compte général de l État pour 2008 Compte général de l État pour 2008 166e Cahier de la Cour des comptes Complément 3 Compte de la Trésorerie Compte des variations du patrimoine Compte synthétique des opérations de l État COMPTE GÉNÉRAL

Plus en détail

LES CRÉANCES ET LES DETTES

LES CRÉANCES ET LES DETTES LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un

Plus en détail

LA RÉGULARISATION DES CHARGES EN FIN D EXERCICE

LA RÉGULARISATION DES CHARGES EN FIN D EXERCICE LA RÉGULARISATION DES CHARGES EN FIN D EXERCICE À la fin de l'exercice financier, il faut examiner tous les comptes de la balance de vérification afin de déterminer lesquels nécessitent un ajustement.

Plus en détail

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière

REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des

Plus en détail

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe

Plus en détail

PREPARATION DES COMPTES ANNUELS. Contrôler et justifier le solde des comptes suivants :

PREPARATION DES COMPTES ANNUELS. Contrôler et justifier le solde des comptes suivants : 1 http://www.boutique.afnor.org/livre/la-comptabilite-en-pratique-des-ecritures-comptables-a-l-interpretation-des-comptes-annuels/article/674901/fa092236 PREPARATION DES COMPTES ANNUELS Contrôler et justifier

Plus en détail

Employeurs et autres débiteurs de cotisations

Employeurs et autres débiteurs de cotisations CLASSE 4 COMPTES DE TIERS La classe 4 comprend les comptes de tiers et reprend toutes les opérations du bilan autres que financières (classe 3) avec les tiers et qui se représentent dans le cadre des relations

Plus en détail

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une inversion du cycle de la production:

Plus en détail

Section II : Provisions techniques des opérations d'assurance sur la vie, d'assurance nuptialité-natalité et de capitalisation.

Section II : Provisions techniques des opérations d'assurance sur la vie, d'assurance nuptialité-natalité et de capitalisation. Page 1 sur 7 Chemin : Code des assurances Version consolidée au 7 juillet 2012 Partie réglementaire - Arrêtés Livre III : Les entreprises. Titre III : Régime financier. Chapitre Ier : Les engagements réglementés.

Plus en détail

Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le. 31.08.2013 Montants exprimés en Euros. Ce rapport contient 12 pages

Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le. 31.08.2013 Montants exprimés en Euros. Ce rapport contient 12 pages ABCD Avenir Agricole et Rural Annexe aux comptes annuels de l exercice clos le 31.08.2013 Montants exprimés en Euros Avenir Agricole et Rural Ce rapport contient 12 pages 2014 KPMG S.A., société anonyme

Plus en détail

Les bases de la comptabilité (2)

Les bases de la comptabilité (2) 28 octobre 2009 Les bases de la comptabilité (2) Notions de débit et de crédit Les écritures comptables sont passées selon le système dit "en partie double". Dans ce système, tout mouvement ou variation

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS

CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS CLASSE 1. COMPTES DES FONDS DE LA SECURITE SOCIALE ET DE PROVISIONS La classe 1 comprend les comptes du capital propre, des réserves et provisions, et ceux des avances et emprunts à plus d un an, dont

Plus en détail

LES AMORTISSEMENTS : CALCULS ENREGISTREMENTS

LES AMORTISSEMENTS : CALCULS ENREGISTREMENTS LES AMORTISSEMENTS : CALCULS ENREGISTREMENTS PRESENTATION DES MODES D AMORTISSEMENT Exemple 1 : CAS D UN AMORTISSEMENT VARIABLE On acquiert le 04/08/N une machine-outil pour une valeur HT de. Cette machine,

Plus en détail

Comptes de tiers (Classe 4)

Comptes de tiers (Classe 4) Comptes de tiers (Classe 4) Les comptes de tiers, notamment le compte 40 «Fournisseurs et comptes rattachés» et le compte 41 «Clients et comptes rattachés», peuvent être subdivisés pour identifier : les

Plus en détail

CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES

CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES CESSIONS D'ELEMENTS D ACTIF - IMMOBILISATIONS AMORTISSABLES Objectif(s) : o Conséquences comptables des opérations de cessions, o Aspects fiscaux. Pré-requis : o Maîtrise des amortissements et provisions,

Plus en détail

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Objectif de la norme 01 L activité d assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une

Plus en détail

11 170.511. 10038 Placements à court terme sur le marché monétaire. en monnaies étrangères

11 170.511. 10038 Placements à court terme sur le marché monétaire. en monnaies étrangères 11 170.511 Annexe 1: Plan comptable: bilan Les groupes de matières de 1 à 4 chiffres ont une portée obligatoire générale. Les groupes de matières de 5 chiffres indiqués ci-dessous sont obligatoires. 5

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

COMPTES ANNUELS: modèle abrégé. pour. associations et fondations. en euros (EUR)

COMPTES ANNUELS: modèle abrégé. pour. associations et fondations. en euros (EUR) BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE Centrale des bilans COMPTES ANNUELS: modèle abrégé pour associations et fondations en euros (EUR) Des informations supplémentaires concernant le dépôt des comptes annuels sont

Plus en détail

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT

- 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT - 03 - TABLEAU DE FINANCEMENT - APPROFONDISSEMENT Objectif(s) : o Approfondissement du tableau de financement : Pré-requis : variation du Fonds de Roulement Net Global (F.R.N.G.) ; variation du Besoin

Plus en détail

Chap. 9 : L affectation du résultat

Chap. 9 : L affectation du résultat 1 / 9 Chap. 9 : L affectation du résultat L affectation du résultat de l exercice N est une opération de l exercice suivant N+1. Les bénéfices peuvent être maintenus dans l entreprise (mis en réserves)

Plus en détail

COMPTABILISATION DES OPÉRATIONS EN DEVISES

COMPTABILISATION DES OPÉRATIONS EN DEVISES ENCYCLOPEDIE DE COMPTABILITE, CONTROLE DE GESTION ET AUDIT (SOUS LA DIRECTION DE BERNARD COLASSE), EDITIONS ECONOMICA, MARS 2009, P. 331 A 341. COMPTABILISATION DES OPÉRATIONS EN DEVISES Robert OBERT Doit-on

Plus en détail

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des

Plus en détail

Samedi 24 octobre 2009

Samedi 24 octobre 2009 Samedi 24 octobre 2009 Plan : Qu est-ce que la comptabilité? Pourquoi une comptabilité? Obligations comptables? Le Plan Comptable Associatif Le budget prévisionnel Utilisation du budget prévisionnel Comment

Plus en détail

Arrêté royal du 30 janvier 2001 portant exécution du code des sociétés

Arrêté royal du 30 janvier 2001 portant exécution du code des sociétés Arrêté royal du 30 janvier 2001 portant exécution du code des sociétés Coordination officieuse au 3 octobre 2012 Cette coordination officieuse tient compte des modifications apportées par : - la loi du

Plus en détail

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires

Le décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction Guide d information pour les copropriétaires Le décret comptable Quelques repères......pour mieux comprendre Juin 2007 Plan du guide

Plus en détail

Le tableau de financement

Le tableau de financement 1 ORGANISATION COMPTABLE Le tableau de financement Par Abderraouf YAICH Très souvent, le chef d entreprise s étonne des évolutions disconcordantes de ses résultats qui enregistrent une augmentation de

Plus en détail

Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07

Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07 REGLEMENT N 00-03 DU 4 JUILLET 2000 RELATIF AUX DOCUMENTS DE SYNTHESE INDIVIDUELS DES ENTREPRISES RELEVANT DU COMITE DE LA REGLEMENTATION BANCAIRE ET FINANCIERE Abrogé et repris par règlement ANC n 2014-07

Plus en détail

CLUB SOCIAL DE LA SOCIÉTÉ DE L'ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (C.S.S.A.A.Q.) INC. RAPPORT DE MISSION D'EXAMEN ET ÉTATS FINANCIERS 31 AOÛT 2012

CLUB SOCIAL DE LA SOCIÉTÉ DE L'ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (C.S.S.A.A.Q.) INC. RAPPORT DE MISSION D'EXAMEN ET ÉTATS FINANCIERS 31 AOÛT 2012 AUTOMOBILE DU QUÉBEC (C.S.S.A.A.Q.) INC. RAPPORT DE MISSION D'EXAMEN ET ÉTATS FINANCIERS AUTOMOBILE DU QUÉBEC (C.S.S.A.A.Q.) INC. ÉTATS FINANCIERS TABLE DES MATIÈRES Rapport de mission d'examen 3 Résultats

Plus en détail

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) 1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions

Plus en détail

PLAN COMPTABLE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT

PLAN COMPTABLE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT PLAN COMPTABLE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT 1 PLAN COMPTABLE DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT 2 PRESENTATION GENERALE Sont soumises aux dispositions du plan comptable des établissements de crédit, les banques

Plus en détail

PLAN COMPTABLE DES SOCIETES DE BOURSE

PLAN COMPTABLE DES SOCIETES DE BOURSE PLAN COMPTABLE DES SOCIETES DE BOURSE Juin 2007 1 SOMMAIRE CHAPITRE I DISPOSITIONS GENERALES. 3 TITRE I Principes comptables.. 4 TITRE II Organisation de la comptabilité.. 7 TITRE III Caractéristiques

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Note technique accompagnant l

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Note technique accompagnant l COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Note technique accompagnant l Avis CNC 2013/14 - Traitement comptable des impôts différés sur des plus-values réalisées bénéficiant du régime de la taxation différée et

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 138/5 Logiciels Introduction La Commission a consacré une étude approfondie au traitement comptable de la création ou de l acquisition d un logiciel par une entreprise,

Plus en détail

Gestion des fonds dans le bilan et hors du bilan de letat

Gestion des fonds dans le bilan et hors du bilan de letat SAGEFI Directive dexøcution No 18 07.018.01 Gestion des fonds dans le bilan et hors du bilan de letat Emetteur : Destinataires : Service d analyse et de gestion financières (SAGEFI) Secrétaires généraux

Plus en détail

Département des institutions et de la sécurité. Service des communes et du logement

Département des institutions et de la sécurité. Service des communes et du logement Département des institutions et de la sécurité Service des communes et du logement Division finances communales Commune de FERREYRES Résumé des comptes Année 2014 Cette formule doit parvenir au Département,

Plus en détail

Le Plan Comptable uniforme Comptabilité générale. Vademecum. Page 1

Le Plan Comptable uniforme Comptabilité générale. Vademecum. Page 1 Le Plan Comptable uniforme Comptabilité générale Vademecum Page 1 Sommaire SOMMAIRE... 2 CHAPITRE I MANUEL COMPTABLE... 7 1. INTRODUCTION... 8 1.1 Les 7 classes du PCN... 9 1.2 Représentation des classes

Plus en détail

Comptabilité financière SAP ERP version ECC 6

Comptabilité financière SAP ERP version ECC 6 Démarrer avec le progiciel SAP ECC Introduction 5 Présentation générale 5 Exécuter le progiciel SAP 6 Définir la structure organisationnelle Introduction 53 Entités organisationnelles de la comptabilité

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014

COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 COMPTES CONSOLIDÉS AU 31 DÉCEMBRE 2014 ca-des-savoie.fr Arrêtés par le Conseil d administration du Crédit Agricole des Savoie en date du 23 janvier 2015 soumis à l approbation de l Assemblée Générale Ordinaire

Plus en détail

LES AMORTISSEMENTS DEROGATOIRES

LES AMORTISSEMENTS DEROGATOIRES LES AMORTISSEMENTS DEROGATOIRES Objectif(s) : o Pré-requis : o Modalités : o o o o o o Principes des provisions règlementées. Maîtrise des méthodes d'évaluation des amortissements en mode linéaire et en

Plus en détail

Plan comptable marocain www.lacompta.org

Plan comptable marocain www.lacompta.org Plan comptable marocain www.lacompta.org Comptabilité pour étudiants et professionnels Raccourcies : cliquez sur un compte pour afficher ses sous comptes CLASSE 1 : COMPTES DE FINANCEMENT PERMANENT 11

Plus en détail

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA

Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Comptes statutaires résumés Groupe Delhaize SA Le résumé des comptes annuels de la société Groupe Delhaize SA est présenté ci-dessous. Conformément au Code des Sociétés, les comptes annuels complets, le

Plus en détail

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007

COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 COMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION COMPTABLE RÈGLEMENT N 2007-07 DU 14 DÉCEMBRE 2007 relatif au traitement comptable des opérations en devises des entreprises régies par le code des assurances, des mutuelles

Plus en détail

TOME I LE CADRE COMPTABLE SOMMAIRE

TOME I LE CADRE COMPTABLE SOMMAIRE 1 TOME I LE CADRE COMPTABLE SOMMAIRE CHAPITRE 1 LA COMPTABILITE HOSPITALIERE... 3 1. OBJET DE LA COMPTABILITE HOSPITALIERE... 3 2. QUALITE COMPTABLE ET PRINCIPES DE LA COMPTABILITE HOSPITALIERE... 3 2.1.

Plus en détail

INSTRUCTION BUDGETAIRE ET COMPTABLE APPLICABLE AUX ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE

INSTRUCTION BUDGETAIRE ET COMPTABLE APPLICABLE AUX ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE DIRECTION GENERALE DES FINANCESPUBLIQUES SOUS-DIRECTION DE LA GESTION COMPTABLE ET FINANCIERE DES COLLECTIVITES LOCALES (BUREAU CL1B

Plus en détail

A. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut

A. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut Comptes sociaux au 31 décembre 2013 A. Bilan ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut 2013 Amort. et dépréc. Immobilisations incorporelles 3-4 21 280 1 926 19 354 19 071 Immobilisations corporelles 3-4 7

Plus en détail

COPROPRIETE : LES COMPTES DU SYNDICAT

COPROPRIETE : LES COMPTES DU SYNDICAT INC document FICHE PRATIQUE J255/ 03-09 COPROPRIETE : LES COMPTES DU SYNDICAT Chaque année, les copropriétaires votent un budget de fonctionnement pour les dépenses courantes et éventuellement des travaux

Plus en détail

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS

LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS LES AJUSTEMENTS OU REGULARISATIONS DES COMPTES DE CHARGES ET DE PRODUITS Objectif(s) : o Traitement comptable des régularisations des charges et des produits. Pré-requis : o Principes généraux de la comptabilité,

Plus en détail

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010 F D C N FDC COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010. ACTIF. PASSIF. RESULTAT 2 BILAN ACTIF CONSOLIDATION durée de l'exercice 12 mois Brut Am.& Prov. ACTIF IMMOBILISE Immobilisations

Plus en détail

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ;

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ; BULLETIN OFFICIEL DU MINISTERE DE L'INTERIEUR Circulaire du 22 FEVRIER 1989. --------------------------------------------------------------------------------- Concours financiers à court terme offerts

Plus en détail

Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec)

Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec) Fondation Québec Philanthrope (antérieurement Fondation communautaire du grand Québec) États financiers Au 31 décembre 2014 Accompagnés du rapport de l'auditeur indépendant Certification Fiscalité Services-conseils

Plus en détail

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES

SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES SECTION 4 : OPERATIONS EN DEVISES 1 - DISPOSITIONS GENERALES 2 - COMPTABILISATION DE L ENGAGEMENT 3 - COMPTABILISATION AU BILAN 4 - CONVERSION DES OPERATIONS EN DEVISES 5 - COMPTABILISATION DES RESULTATS

Plus en détail

LE TRAITEMENT DES DONNEES COMPTABLES. Objectif(s) : Présenter une synthèse sur les différentes solutions comptables. TABLE DES MATIERES

LE TRAITEMENT DES DONNEES COMPTABLES. Objectif(s) : Présenter une synthèse sur les différentes solutions comptables. TABLE DES MATIERES LE TRAITEMENT DES DONNEES COMPTABLES Objectif(s) : Présenter une synthèse sur les différentes solutions comptables. Pré-requis : Principes comptables. Modalités : Schéma d'organisation comptable. TABLE

Plus en détail

LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES

LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES LE GROUPE COLRUYT : PASSAGE AUX NORMES COMPTABLES IFRS - INFORMATIONS FINANCIERES PRELIMINAIRES Informations relatives au passage aux normes IFRS pour l'établissement des états financiers Introduction

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13

CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 Tunis, le 6 Mai 19861 CIRCULAIRE AUX BANQUES NON RESIDENTES N 86-13 OBJET : Activité des banques non-résidentes. La loi n 85-108 du 6 Décembre 1985, portant encouragement d'organismes financiers et bancaires

Plus en détail

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT

CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS 1.1. COMPTE 50 VALEURS MOBILIERES DE PLACEMENT 5 CLASSE 5 COMPTES FINANCIERS Les comptes financiers enregistrent les mouvements de valeurs en espèces, chèques, ainsi que les opérations faites avec le Trésor, les banques et les établissements financiers.

Plus en détail

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable.

La dépréciation d'un élément d'actif représente la différence entre sa valeur brute et sa valeur nette comptable. I - DÉFINITION ET RÔLE DE L'AMORTISSEMENT 1 - Définition de l'amortissement et du plan d'amortissement : L'amortissement est défini comme étant la constatation comptable de la perte subie par la valeur

Plus en détail

Fonds de revenu Colabor

Fonds de revenu Colabor États financiers consolidés intermédiaires au et 24 mars 2007 (non vérifiés) États financiers Résultats consolidés 2 Déficit consolidé 3 Surplus d'apport consolidés 3 Flux de trésorerie consolidés 4 Bilans

Plus en détail

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits

Section 1 La Spécialité. Section 4 L unité. Section 2 L Annualité. Section 5 L Universalité. Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 1 La Spécialité Section 4 L unité Section 2 L Annualité Section 5 L Universalité Section 3 Le caractère limitatif des crédits Section 6 La Sincérité Raymond FERRETTI 2 Raymond FERRETTI 3 art. 7.I

Plus en détail

BILAN ET COMPTE DE RESULTAT

BILAN ET COMPTE DE RESULTAT 3 PLACE ARNOLD BILAN ET COMPTE DE RESULTAT - Bilan actif-passif - Compte de résultat - Détail des comptes bilan actif passif - Détail compte de résultat C.D. 63 B.P. 4 67116 STRASBOURG-REICHSTETT 03 88

Plus en détail

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme

Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Commission Consultative Spéciale Alimentation CCE 2005-822 JPT/NB 12 septembre 2005 Les ratios financiers de l industrie alimentaire : définitions et évolution comparative à long terme Le présent document

Plus en détail

Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit

Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit BANK AL-MAGHRIB Le Gouverneur CN 24/G/2006 04 décembre 2006 Circulaire relative aux fonds propres des établissements de crédit Le gouverneur de Bank Al-Maghrib ; vu la loi n 34-03 relative aux établissements

Plus en détail

Les moyens de règlement des dépenses publiques et les moyens d'encaissement des recettes publiques

Les moyens de règlement des dépenses publiques et les moyens d'encaissement des recettes publiques Les moyens de règlement des dépenses publiques et les moyens d'encaissement des recettes publiques L arrêté du 24 décembre 2012, publié au JORF n 0301 du 27 décembre 2012 texte 13, portant application

Plus en détail

LE CONTROLE DES COMPTES. Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie. Modalités : TABLE DES MATIERES

LE CONTROLE DES COMPTES. Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie. Modalités : TABLE DES MATIERES LE CONTROLE DES COMPTES Objectif(s) : o o o Lettrage, Apurement des comptes d'attente, Contrôle du compte banque. Pré-requis : o Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie.

Plus en détail