Maîtriser la reproduction en élevage ovin biologique : influence de facteurs d élevage sur l efficacité de l effet bélier
|
|
- Pierre Lavigne
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Innovtions Agronomiques (2009) 4, Mîtriser l reproduction en élevge ovin biologique : influence de fcteurs d élevge sur l efficcité de l effet bélier H. Tourndre 1, M. Pellicer 2, F. Bocquier 3 1 : INRA, Unité de Recherche sur les Herbivores, Sint Genès Chmpnelle 2 : INRA, Physiologie de l reproduction et des comportements, Nouzilly 3 : SupAgro, INRA, CIRAD : UMR Elevge des Ruminnts en Régions Chudes, Montpellier cedex 1 Correspondnce : herve.tourndre@clermont.inr.fr L effet mâle qui est une technique de mîtrise nturelle de l reproduction chez les ovins est une lterntive ux tritements hormonux qui sont interdits en élevge biologique. Elle permet d induire de fçon reltivement synchronisée ovultion et œstrus chez les brebis en période d nœstrus sisonnier et d envisger l utilistion de l insémintion rtificielle. Cependnt, l efficcité de l effet mâle vrie selon certins fcteurs d élevge. Nous présentons ici les effets de l dte d introduction des béliers, de l durée de trissement et du niveu limentire des brebis en sitution d élevge biologique. Résumé Une des fçons d méliorer l efficcité de l effet bélier est de se plcer dns de bonnes conditions d élevge. Ainsi, l proportion de brebis dont l ovultion est induite ugmente lorsque l dte d introduction des mâles est plus trdive (55% en vril vs 81% fin mi, p<0,05) et vec l llongement de l intervlle entre le trissement et l mise en lutte : de 29% à 84% (p<0,001) pour des intervlles respectifs de 22 et 86 jours. L fertilité de ces brebis est églement meilleure fin mi qu en vril (86% vs 39%, p<0,01) et lorsque l intervlle écoulé depuis le trissement est ccru : respectivement 55% et 81% (p=0,09). Enfin, le moment d pprition des premières ovultions fertiles est retrdé chez les brebis en étt corporel fible cr elles présentent dvntge de cycles courts (67%) que les brebis en bon étt (41%, p<0,05). Mots clés : Ovins, effet mâle, reproduction, sison sexuelle, niveu limentire, élevge biologique Abstrct: Controlling reproduction in orgnic sheep breeding: the influence of breeding fctors on the effectiveness of the rm effect The rm effect, which is nturl method for the control of reproduction in sheep, is n lterntive to hormone tretments tht re bnned on orgnic frms. The rm effect induces combintion of ovultion nd oestrus in ewes tht is cyclic nd conducive to rtificil insemintion. The proportion of cyclic femles with induced ovultion nd their subsequent fertility t the first oestrus is vrible. The control of some breeding fctors tht hve been studied here my help to reduce this vribility. The proportion of ewes induced to ovulte by rms incresed s the seson dvnced (54% in April vs. 84% t the end of My, p<0.05) nd with longer time period between drying-off nd mting: from 29% to 84% (p<0.001) for 22 nd 86 dys elpsed, respectively. The fertility of these ewes t the first oestrus ws lso higher t the end of My thn in April (86% vs. 39%, p<0.01) nd incresed with the mount of time elpsed since drying-off (55% nd 81% for 22 nd 86 dys, respectively; p=0.09). The time tht the first oestrus occurs is lter for len ewes becuse they hve higher proportion of short cycles (67%) thn ft ewes (41%, p<0.05).
2 H Tourndre et l. Keywords: sheep; rm effect; reproduction; sesonl noestrus; feeding level; orgnic frming. Introduction L sisonnlité de l reproduction est une contrinte mjeure pour les productions ovines. Les tritements hormonux d induction et de synchronistion des ovultions insi que des tritements photopériodiques sont utilisés en élevge conventionnel pour rendre possible l reproduction à contresison. De plus, le hut degré de synchronistion des ovultions obtenu près tritement hormonl permis le développement de l insémintion rtificielle et l ccélértion des schéms d méliortion génétique. Seuls deux moyens sont utilisbles ujourd hui en Agriculture Biologique (AB) pour produire en contre sison : l voie génétique pr l utilistion de rces dont l durée de l sison sexuelle est longue (Wlrve et l., 1975 ; Perret, 1986) et «l effet mâle». L effet mâle est une technique de mîtrise nturelle de l reproduction chez les ovins connue pour induire de fçon reltivement synchronisée ovultion puis œstrus chez des brebis en période d nœstrus sisonnier. Elle constitue ctuellement l seule technique disponible sns recours ux hormones permettnt d envisger l utilistion de l insémintion rtificielle (Mrtin et l.., 2004) pour pouvoir bénéficier du progrès génétique des schéms de sélection. Mis son ppliction en élevge n est prtiquement possible que si les ovultions u sein d un lot de brebis sont suffismment regroupées. Or, les brebis qui sont en nœstrus sisonnier répondent de fçon ssez vrible à l effet mâle. Ainsi, deux éléments sont à considérer dns l mîtrise de l reproduction : l ptitude des femelles à se reproduire en contre-sison et les possibilités de synchroniser les ovultions. Si les mécnismes physiologiques qui entrent en jeu dns l effet mâle sont reltivement bien décrits dns l bibliogrphie (Thimonier et l., 2000), ssez peu d études se sont intéressées ux fcteurs de vrition de l réussite de cette technique. En prticulier, comme l proportion de brebis en nœstrus vrie vec l sison, pour une rce donnée, le moment où le bélier est introduit ur donc une importnce sur les performnces de reproduction obtenues (Mrtin et l., 1986). De plus, il existe près l mise bs une période d inctivité ovrienne (noestrus post-prtum) et on observe que l reprise d ctivité ovultoire est plus trdive en contre sison qu en sison sexuelle (Cognié, 1984). Ces deux prmètres sont donc susceptibles d ffecter l réponse des brebis à l effet mâle, en prticulier lors d une conduite ccélérée de l reproduction. Enfin, certins trvux (Thimonier et l., 2000) suggèrent qu un étt nutritionnel insuffisnt réduit l proportion de brebis ynt une ovultion induite suite à l effet mâle. Pr illeurs, il été montré qu une sous limenttion chronique réduit l durée de l oestrus chez l brebis (Debus et l., 2003). Après un rppel des principes de l effet mâle, nous présenterons les résultts d une série d expériences (Tourndre et l., 2002) rélisées sur l Plteforme de Recherche en AB de l INRA de Clermont-Theix (Benoit et l., 2002). Au cours de ces essis, nous vons testé l importnce de l dte d introduction des béliers (Essi 1, E1), de l durée de l intervlle entre le trissement et l lutte (Essi 2, E2), et du niveu limentire (Essi 3, E3) sur le tux de brebis dont l ctivité ovultoire est induite suite à l effet mâle, l fertilité de ces brebis et le type de réponse ovultoire. 1. Effet mâle et réponse des femelles Lorsque des béliers, prélblement séprés des femelles depuis u moins 1 mois, sont introduits dns un lot de brebis en noestrus sisonnier, l pluprt des femelles ovulent u cours des 2 à 4 jours qui suivent (ovultion induite). Cependnt, cette ovultion n est ps ccompgnée d oestrus (ovultion dite «silencieuse»). Cette première ovultion peut être suivie 17 jours plus trd (durée d un cycle ovrien 86 Innovtions Agronomiques (2009) 4, 85-90
3 Mîtrise de l reproduction en élevge ovin norml) d une seconde ovultion ssociée à l oestrus. Un premier pic de sillies donc lieu utour du 19 ème jour près l introduction des mâles. Mis, l première ovultion est prfois suivie d un cycle ovrien de courte durée («cycle court» de 6 jours) vec une seconde ovultion silencieuse. Celle-ci est lors suivie 17 jours plus trd d une ovultion et de l oestrus : un second pic de sillies lieu lors utour du 25 ème jour près l introduction des mâles. On peut retenir que les femelles qui ont une ctivité ovrienne induite pr l effet mâle seront sillies u cours de l seconde quinzine qui suit l introduction des béliers. Au pln prtique, l efficcité de l effet mâle peut s pprécier selon deux critères principux : l fertilité des brebis et le regroupement des sillies. Au pln expérimentl, il est utile de connître l proportion de brebis dont l ctivité ovultoire été induite pr effet mâle (rpport entre le nombre de brebis induites et le nombre de brebis en inctivité ovultoire vnt l introduction des béliers). De plus, pour pprécier l effet de synchronistion, il est utile de déterminer, chez les brebis exprimnt une réponse ovultoire, l fertilité observée entre le 14 ème et le 30 ème jour près l entrée de mâles dns le lot de femelles. Il fut noter que les brebis qui sont spontnément cycliques à cette période restent sur leurs rythmes de cyclicité et peuvent être sillies dès l introduction du mâle et, théoriquement, pendnt les 17 jours qui suivent. L étt ovrien des brebis été déterminé pr le dosge snguin de progestérone (Thimonier, 2000). 2. Conduite générle des essis Les femelles utilisées sont de rce Limousine, dont l durée de sison sexuelle est intermédiire (200 jours d ctivité entre juillet et jnvier), qui sont conduites selon le mode de production AB depuis Dns les différents essis, les brebis sont restées sns ucun contct vec les béliers pendnt les 4 mois précédents leur introduction et les luttes se sont déroulées u pâturge. Des béliers fertiles de rce Limousine et Ile de Frnce ont été utilisés dns tous les cs à rison de 1 bélier pour 20 brebis environ et sont restés en présence des femelles 66 jours (E1 et E2) ou 45 jours (E3). Pour l essi E1, 4 dtes d introductions des béliers ont été testées. Pour E2, 2 durées de l intervlle trissement-lutte ont été choisies correspondnt à des conduites d un gnelge pr n ou de 3 gnelges en 2 ns. Dns cet essi, l dte d introduction des béliers été choisie comme étnt l plus fvorble à l efficcité de l effet bélier observé lors de l essi 1. Tbleu 1 : Crctéristiques des différents lots expérimentux (Essis 1 à 3) et résultts principux selon les fcteurs d élevge étudiés. Fcteurs étudiés : E1 Dte introduction des béliers E2 Intervlle (j) trissementlutte E3 Ett corporel et Flushing (Migre vs Grsse) (Témoin vs Flushing) Lots (codes) D1 D2 D3 D4 I 1 I 2 MT MF GT GF Nombre de brebis Dte entrée des mâles Durée trissementlutte (j) Ett corporel vnt lutte cycliques vnt lutte (%) Vrition d étt corporel Début fin de lutte 13/04 28/04 12/05 26/05 25/05 25/05 30/05 30/05 30/05 30/ ,8 2,8 3,0 3,0 3,1 3,3 3,0* 3,0* 3,9* 3,9* * : Différence significtive à P< entre tritements pour E3-0,1-02 0,3 0,1 Innovtions Agronomiques (2009) 4,
4 H Tourndre et l. Pour exminer l importnce de l limenttion dns les conditions d élevge (E3), nous vons ppliqué, u moment de l introduction des béliers, une surlimenttion temporire (flushing) à des brebis d étts corporels différents (effet de l limenttion à long terme). Les crctéristiques des lots constitués u cours des essis sont rssemblées dns le Tbleu Résultts 3.1. Tux de brebis dont l ctivité ovultoire est induite Prmi les femelles sns ctivité ovultoire vnt l introduction des mâles, l proportion de brebis dont l ovultion été induite pr l effet mâle vrié de 55% à 81% en E1 vec des différences significtives entre vleurs extrêmes (Figure 1). Dns E2, prmi les brebis sns ctivité ovrienne vnt l entrée des mâles, l proportion de femelles induites pr l effet mâle est significtivement plus fible lorsque l intervlle de temps (I) entre le trissement et l mise à l reproduction est court : I1=29% vs. I2=84%. En revnche, ucune différence entre tritements n été observée en E3 et 100% des brebis non cycliques des 4 lots ont exprimé une réponse ovultoire suite à l effet bélier b b b Figure 1 : Proportion de brebis (en % des non cycliques) dont l ovultion est induite selon les fcteurs (dns un même essi, des lettres différentes indiquent des différences significtives u seuil 0,05%) 20 0 D1 D2 D3 D4 E1 Dte intro. béliers I 1 I 2 E2 Trissement MT MF GT GF E3 Ett corp x Flushing 3.2. Fertilité des brebis dont l ctivité ovultoire est induite Pour les brebis dont l ovultion été induite, l fertilité entre J14 et J30 ugmenté significtivement vec l vncement en sison (E1) : respectivement 50%, 39%, 72% et 86% pour D1 à D4 (Figure 2). Sur cette période, l fertilité des brebis induites de E2 est de 55% et 81% respectivement pour I1 et I2 (p=0,09). En E3, le flushing eu tendnce à méliorer l fertilité des brebis induites (100% vs. 89%, p=0,11) mis ucun effet de l étt corporel n pu être observé Précocité de l première ovultion et type de réponse ovultoire Les mesures permettnt l nlyse de ces prmètres n ont été rélisées que pour l essi 3. L précocité de l ovultion (en moyenne 2,4 + 0,8 jours) n est modifiée ni pr l étt corporel ni pr le flushing. Le type de réponse ovultoire est en revnche différent selon l étt corporel des brebis : comprées ux brebis grsses, les brebis migres ont présenté une proportion plus importnte de cycles courts (67% contre 41%). Le flushing n ps eu d effet sur ce prmètre et nous n vons ps observé d interction entre ces deux fcteurs. 88 Innovtions Agronomiques (2009) 4, 85-90
5 Mîtrise de l reproduction en élevge ovin b bc c Figure 2 : Fertilité (%) des brebis induites lors du premier cycle fertile (dns un même essi, des lettres différentes indiquent des différences significtives u seuil 0,05%) D1 D2 D3 D4 E1 Dte intro. béliers I 1 I 2 E2 Trissement MT MF GT GF E3 Ett corp x Flushing Discussion Conclusion L effet bélier été d utnt plus efficce que l fin de l sison sexuelle est proche et que l durée de l intervlle trissement - mise à l reproduction est plus longue. Cette meilleure efficcité repose à l fois sur une proportion plus importnte de brebis dont l ctivité ovrienne été induite pr l effet mâle et pr une meilleure fertilité de ces brebis lors du premier cycle. Nous montrons églement que l étt corporel un effet sur l qulité du premier cycle induit : dvntge de cycles normux chez les brebis grsses. Ces résultts sont en ccord vec les observtions de Kldhi montrnt que l proportion de cycles courts est corrélée négtivement vec le poids vif des brebis u trissement (Thimonier et l., 2000). En revnche, l étt corporel ou le flushing n ont ps eu d effet sur l proportion de brebis non cycliques vnt l lutte dont l ctivité ovultoire est induite pr l effet mâle. Cependnt, l réponse pourrit être différente en débutnt le flushing vnt l introduction des mâles et ceci sur des brebis plus migres. Bien que l efficcité puisse être méliorée pr l bonne mîtrise des fcteurs d élevge étudiés, l étt ctuel des connissnces ne permet ps de proposer des solutions prtiques pour obtenir une synchronistion suffisnte des ovultions fertiles qui utoriserit l prtique systémtique de l insémintion rtificielle en élevge. Au pln des connissnces, il fudrit modéliser ces réponses pour tenter de mieux cerner les «effets élevges» qui sont ml connus. Au pln prtique, le développement de technologies permettnt l détection utomtisée des chleurs (Bocquier et l., 2006 ; Mton et l., 2008) devrient permettre de réliser des insémintions rtificielles fécondntes en élevge biologique. Remerciements : Nous remercions tous ceux qui ont prticipé ux différentes expérimenttions, en prticulier Y. Thoms, A. Guittrd, M. Verdier et I. Constnt, techniciens de l Unité de Recherche sur les Herbivores INRA-Theix, pour l orgnistion des mesures, l rélistion et le conditionnement des prélèvements ; S. Cnep, C. Fgu, C. Flon et A.L. Liné du lbortoire de dosges hormonux, Unité de Physiologie de l Reproduction et des Comportements, INRA-Tours, pour l rélistion des dosges de progestérone. Ces projets ont été en prtie finncés pr le FEOGA obj. 5b Mssif Centrl et le Comité Interne Agriculture Biologique Inr. Ils ont églement été soutenus pr deux ctions incittives du Déprtement INRA PHASE. Références bibliogrphiques Benoit M., Tourndre H., Conception et objectifs d une plteforme de recherche multidisciplinire sur l élevge biologique en production ovine llitnte. Rencontres Recherches Ruminnts 9, Innovtions Agronomiques (2009) 4,
6 H Tourndre et l. Bocquier F., Gubert J.L., Blnc F., Viudes G., Mton C., Debus N., Teyssier J., Utilistion de l identifiction électronique pour l détection utomtisée du comportement sexuel chez les ovins : perspectives pour l détection des chleurs chez l brebis. Rencontres Recherches Ruminnts 13, Cognié Y., Schirr A., Mrtinet J., Poulin N., Mirmn B., Activité reproductrice et mîtrise de l ovultion chez l brebis. Journées Rech. Ovine et Cprine 9, Debus N., Blnc F., Bocquier F., Effect of under-feeding on reproduction nd plsm metbolites in the ewe: impct of FGA tretment. Proc. EAAP-Rom 31 August-5 sept. Mrtin G.B., Milton J.T.B., Dvidson R.H., Bnchero Hunzicker G.E., Lindsy D.R., Blche D., Nturl methods for incresing reproductive efficiency in smll ruminnts. Anim. Reprod. Sci , Mrtin G.B., Oldhm C.M., Cognié Y., Perce D.T., The physiologicl responses of novultory ewes to the introduction of rms - A review. Livest. Prod. Sci. 15, Mton C., Montgnc D., Viudes G., Bouquet P., Bocquier F., Les pplictions de l identifiction électronique des petits ruminnts u service de l élevge biologique. Innovtions gronomiques 4, (sous presse). Perret G., Les rces ovines. Itovic ED., Pris, 441 p. Thimonier J., Détermintion de l'étt physiologique des femelles pr nlyse des niveux de progestérone. INRA Productions Animles 13, Thimonier J., Cognié Y., Lssoued N., Khldi G., 2000, L'effet mâle chez les ovins : une technique ctuelle de mîtrise de l reproduction. INRA Productions Animles 13, Tourndre H., Bocquier F., Petit M., Thimonier J., Benoit M., Efficcité de l'effet bélier chez l brebis limousine à différents moments de l'noestrus sisonnier et selon l durée de l'intervlle trissement-mise en lutte. Rencontres Recherches Ruminnts 9, Wlrve Y., Cntin P., Desvignes A., Thimonier J., Vritions sisonnières de l ctivité sexuelle des rces ovines du Mssif Centrl. Journées Rech. Ovine et Cprine 1, Innovtions Agronomiques (2009) 4, 85-90
STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE
L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.
Plus en détailInfluence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation
Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu
Plus en détailLe canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques
Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux
Plus en détailCorrection de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (
Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est
Plus en détailStatuts ASF Association Suisse Feldenkrais
Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion
Plus en détailSommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2
Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques
Plus en détailSynthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailGuide des bonnes pratiques
Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.
Plus en détailThéorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann
Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler
Plus en détailFIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.
Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000
Plus en détailsemestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005
MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................
Plus en détail3- Les taux d'intérêt
3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO
Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................
Plus en détailTurbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances
Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits
Plus en détailLOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX
LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils
Plus en détailManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch
MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte
Plus en détailINSTALLATION DE DETECTION INCENDIE
reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,
Plus en détailTout ce qu il faut savoir en math
Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion
Plus en détailPartie 4 : La monnaie et l'inflation
Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que
Plus en détailLANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES
LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront
Plus en détailToyota Assurances Toujours la meilleure solution
Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou
Plus en détailAUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)
Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,
Plus en détailChapitre 11 : L inductance
Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4
Plus en détailSéquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire
Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit
Plus en détailConseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30
Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences
Plus en détail/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV
/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x
Plus en détailChapitre VI Contraintes holonomiques
55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce
Plus en détailCARDIOLOGIE. Conférences scientifiques
www.crdiologieconferences.c 0 4 v o l u m e X V, n u m é r o CARDIOLOGIE MD Conférences scientifiques Guide prtique sur l usge des nouveux nticogulnts pour prévenir l ccident vsculire cérébrl dns l fibrilltion
Plus en détailDirectives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...
Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70
Plus en détail- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )
ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence
Plus en détailSanté et sécurité psychologiques en milieu de travail
CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English
Plus en détailRéalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.
Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition
Plus en détailMeg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002
EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement
Plus en détailPour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles
Plus en détailLITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique
LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion
Plus en détailGuide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2
Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive
Plus en détailL'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.
ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie
Plus en détailInterview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013
Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion
Plus en détailModification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages
Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions
Plus en détailNEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.
Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic
Plus en détailBilan pédagogique / Projet ipad Contexte
t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique
Plus en détailPour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,
Plus en détailElectrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11
Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d
Plus en détailEnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015
Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque
Plus en détailCours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions
Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d
Plus en détailLICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER
LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries
Plus en détailL EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.
L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement
Plus en détailClasseur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle
Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com
Plus en détailTRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area
TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende
Plus en détailSOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2
39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE
Plus en détailRégression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006
Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent
Plus en détailCompte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn
Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche
Plus en détailTransfert. Logistique. Stockage. Archivage
Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.
Plus en détail1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.
T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,
Plus en détailLicence M.A.S.S. Cours d Analyse S4
Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,
Plus en détailIntroduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8
Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction
Plus en détailAvant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.
Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1
Plus en détailWeekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire
2014, 89, 389-400 No. 36 Weekly epidemiologicl record Relevé épidémiologique hebdomdire 5 SEPTEMBER 2014, 89th yer / 5 SEPTEMBRE 2014, 89 e nnée No. 36, 2014, 89, 389-400 http://www.who.int/wer Contents
Plus en détailLa pratique institutionnelle «à plusieurs»
L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,
Plus en détailINFORMATIONS TECHNIQUES
0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs
Plus en détailLe vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE
Le vdemecum de l pprentissge dns l fonction publique territorile SERVICES À LA PERSONNE 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier pour leur disponibilité et l richesse de nos échnges toutes les personnes
Plus en détailChapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction
2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux
Plus en détailLa plateforme Next Generation Mini guide
L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver
Plus en détailSYSTEME DE TELEPHONIE
YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE
Plus en détailBaccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé
Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps
Plus en détailANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE
Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre
Plus en détailSystèmes de plafonds
Systèmes de plfonds Sommire Une connissnce ultime des systèmes 4 2 Présenttion 5 Types de plfonds Gyproc 5 Applictions et vntes 6 Choix de l structure du plfond 7 Choix de l plque de revêtement 8 Pose
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailThèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure
République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement
Plus en détailNotes de révision : Automates et langages
Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s
Plus en détailCOURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel
COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................
Plus en détailPlan de formation Employée/Employé de commerce CFC du 26 septembre 2011 pour la formation initiale en entreprise. Tables des matières
Plan de formation Employée/ du 26 septembre 2011 pour la formation Tables des matières LISTE DES BRÉVITIONS... 3 INTRODUCTION... 4 1. IMPORTNCE DE L FORMTION COMMERCILE POUR L ÉCONOMIE ET L SOCIÉTÉ...
Plus en détailBloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte
Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,
Plus en détailDéveloppement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale
Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction à un modèle rongeur de tumeur cérérle Julien Flment To cite this version: Julien Flment. Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction
Plus en détailCollaborations avec la Thaïlande Enseignement, Recherche
Collaborations avec la Thaïlande Enseignement, Recherche (non exhaustif ) Un pays économiquement avancé Un réseau d'universités, des centres de recherche Des structures de coopération en place (CIRAD,
Plus en détailCommunication Master AgroFood Chain
Département Formation et Vie Etudiante Service inter-universitaire de Pédagogie BONUS QUALITE FORMATION 2010 Communication Master AgroFood Chain N DFVE-BD6-2010-10-1 Auteur du document Christian CHERVIN
Plus en détailessais dossier Oser s équi Prothèses auditives
essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe
Plus en détailANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE
Jen-Pierre Dedieu, Jen-Pierre Rymond ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Institut de Mthémtiques Université Pul Sbtier 31062 Toulouse cedex 09 jen-pierre.dedieu@mth.univ-toulouse.fr jen-pierre.rymond@mth.univ-toulouse.fr
Plus en détailMINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS
MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET
Plus en détailVIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT
VIBRATIONS OPLEES AVE LE VENT Pscl Hémon Lbortoire d Hydrodynmique, LdHyX Ecole Polytechnique, Pliseu Octobre 00 Vibrtions couplées vec le vent Si vous pense que j i révélé des secrets, je m en ecuse.
Plus en détailLa réforme des soins de santé mentale en Belgique
1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de
Plus en détailLa solution idéale de personnalisation interactive sur internet
FACTORY121 Product Configurator (summary) La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 cité comme référence en «Mass Customization» au MIT et sur «mass-customization.de» Specifications
Plus en détailCommencer DCP-7055W / DCP-7057W /
Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide
Plus en détailINSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE
INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE
Plus en détaildans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions
dvntge informtique Suppl commct Suppl tit sortir s i Ces N dte prution : 27-01/09/2008 Périodicité : Msuel Pge : 56 SupplCh3_27_57_337pdf T : 95 % Site Web : wwwsupplchinmgzinefr Le dns invite Suppl Chin
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailCalculation of Interest Regulations. Règlement sur le calcul des intérêts CONSOLIDATION CODIFICATION. Current to August 4, 2015 À jour au 4 août 2015
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Calculation of Interest Regulations Règlement sur le calcul des intérêts SOR/87-631 DORS/87-631 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août 2015 Published by the Minister
Plus en détailFOURTH SESSION : "MRP & CRP"
FOURTH SESSION : "MRP & CRP" Objectifs : Etre capable d analyser un plan directeur de fabrication (MPS). Pour cela il faut pouvoir : - exploser le plan en termes des différents composants, - Comprendre
Plus en détailbienvenue dans un environnement naturellement plus frais contact climespace OPÉRA PALAIS DE TOKYO LES HALLES 42 MW LA TOUR MAUBOURG 17 MW CANADA
16 contct 02 - centrle cnd p r i s 02 - iceberg n t r c t i q u e contct climespce CLIMESPACE &- b 185, rue de Bercy - 752 Pris Tél. : 44 74 89 40 - Fx : 44 73 92 93 www.climespce.fr &, b Y #GVee dj kv
Plus en détailFONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE
FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition
Plus en détailTheorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement
Plus en détailAerodrome chart ALT AD : 309 (11 hpa)
erodrome chart LT D : 309 (11 hpa) Public air traffic see MON-FRIbeforeHOLthe last working day before 1400. see utthesemon-fribeforest, SUN and HOL the last working day before. Wildlife strike hazardrandom
Plus en détailInterest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Interest Rate for Customs Purposes Regulations Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes SOR/86-1121 DORS/86-1121 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août
Plus en détailThe assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles
The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles 03/06/13 WHAT? QUOI? Subject Sujet The assessment of professional/vocational skills (3 hours) Bilan de compétences
Plus en détail3 -Les traumatismes du membre inféri e u r
3 -Les trumtismes du memre inféri e u r C. Cytevl*, A. Cotten*, M-P.Srrère*, N. Tixedor* Le memre inférieur pour mission de supporter le poids du corps et de permettre de se m o i l i s e r; toute irrégulrité
Plus en détailRenc. Rech. Ruminants, 2006, 13
Conséquences d une maximisation de la part du pâturage sur les performances techniques d un troupeau ovin allaitant E. POTTIER (1), L. SAGOT (1), L.M. CAILLEAU (2) (1) Institut de l Élevage, Ferme Expérimentale
Plus en détailRéglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions
Merci d'voir choisi l'un des meilleurs moteurs hors-bord disponibles sur le mrché. C'est un investissement judicieux dns l nvigtion de plisnce. Votre moteur hors-bord été fbriqué pr Mercury Mrine, l'un
Plus en détailSciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot
Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une
Plus en détail