CONCOURS COMMUN POLYTECHNIQUE (ENSI) FILIERE MP MATHEMATIQUES 2 EXERCICE I
|
|
- Marie-Madeleine Cardinal
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SESSION 2014 CONCOURS COMMUN POLYTECHNIQUE (ENSI) FILIERE MP MATHEMATIQUES 2 EXERCICE I I.1 I.1.a La matrice A est symétrique réelle et donc orthogonalement semblable à une matrice diagonales d après le théorème spectral. En particulier est diagonalisable dans R. I.1.b En développant suivant la première colonne, on obtient χ A = 1 X X X = (1 X)(X2 2X 15) 9(1 X) = (1 X)(X 2 2X 24) = (X 1)(X+4)(X 6). { y = 0 Un système d équations de E 1 (A) est 3x+4z = 0. Donc E 1(A) = Vect(e 1 ) où e 1 = 1 5 ( 4,0,3). { 5x+3y = 0 Un système d équations de E 4 (A) est 4y+5z = 0. Donc E 4(A) = Vect(e 2 ) où e 2 = (3, 5,4). Mais alors E 6 (A) = Vect(e 3 ) où e 3 = e 1 e 2 = (15,25,20) = (3,5,4) Donc, A = PD t P où D = diag(1, 4,6) et P = I.1.c Soit n N A n = PD nt P = ( 4) n n ( 4) n 3 6 n = ( 4) n 5 6 n ( 4) n 4 6 n = ( 4) n +9 6 n 15 ( 4) n n ( 4) n n 15 ( 4) n n 25 ( 4) n n 20 ( 4) n n ( 4) n n 20 ( 4) n n ( 4) n n. http :// 1 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
2 I.2 Pour tout entier naturel n, posons X n = X n = A n X 0 = 1 II.1. = ( 4) n +9 6 n 35 ( 4) n n 6+28 ( 4) n n u n v n w n.. Pour tout entier naturel n, on a X n+1 = AX n puis 15 ( 4) n n ( 4) n n 15 ( 4) n n 25 ( 4) n n 20 ( 4) n n ( 4) n n 20 ( 4) n n ( 4) n n 8+21 ( 4) n n. n N, u n = 8+21 ( 4)n n, v n = 35 ( 4)n n EXERCICE II II.1.a Soit x Ker(p) Im(p). Alors, p(x) = 0 et il existe y E tel que x = p(y). Mais alors x = p(y) = p 2 (y) = p(x) = et w n = 6+28 ( 4)n n. Ceci montre que Ker(p) Im(p) = {0}. D après le théorème du rang, on a dim(im p)+dim(ker p) = dim(e). On sait alors que E = Im p Ker p. II.1.b Soit r le rang de p (donc Im(p) est de dimension r). Si r = 0, alors p = 0 puis Tr(p) = 0. Dans ce cas, on a rg(p) = Tr(p). Supposons maintenant r > 0. On sait que les vecteurs de Im(p) sont les vecteurs invariants par p (si x = p(x), alors x est dans Im(p) et si x est dans Im(p), il existe y tel que x = p(y) puis p(x) = ( p(p(y)) = p(y) = ) x). Dans une Ir 0 base adaptée à la décomposition E = Im p Ker p, la matrice de p s écrit A = r,n r. Mais alors, 0 n r,r 0 n r,n r Tr(p) = Tr(A) = r = rg(p). II.1.c Soit u l endomorphisme de R 2 canoniquement associé à la matrice A = diag( 1,3). On a Tr(u) = 2 = rg(u) (car 0 n est pas valeur propre de u. Mais A 2 = diag(1,9) A et donc u n est pas un projecteur. Ainsi, si Tr(u) = rg(u), u n est pas nécessairement un projecteur. II.2. Soit A = = E 1,1. A est diagonalisable car diagonale. De plus, rg(a) = Soit B = = E 1,2. rg(b) = 1. D autre part, B 2 = 0 ou encore B est nilpotente. Mais alors Sp(B) = (0,0,0) (car les valeurs propres d une matrice sont à choisir parmi les racines d un polynôme annulateur). Si B est diagonalisable, alors B est semblable à la matrice nulle et donc égale à la matrice nulle ce qui n est pas. Donc B n est pas diagonalisable. II.3. II.3.a Puisque rg(u) = 1, Ker(u) est de dimension n 1 d après le théorème du rang. Soit (e 1,...,e n 1 ) une base de Ker(u). (e 1,...,e n 1 ) est une famille libre de E que l on peut donc compléter en β = (e 1,...,e n 1,e n ) base de E. Dans la base β, la matrice de u a la forme désirée. http :// 2 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
3 II.3.b 1ère solution. On rappelle qu un endomorphisme de E est diagonalisable si et seulement si son polynôme caractéristique est scindé sur R et l ordre de multiplicité de chaque valeur propre est égale à la dimension du sous-espace propre correspondant. Puisque n 2 > 1 = rg(u), u / GL(E). On sait alors que 0 est valeur propre de u et que l ordre de multiplicité de 0 est supérieur ou égal à la dimension de Ker(u) à savoir n 1. 0 est donc valeur propre de u au moins n 1 fois. La dernière valeur propre λ est fournie par la trace de u : Tr(u) = λ = λ, et donc Sp(u) = (0,...,0 }{{}, Tr(u)). En particulier, puisque Tr(u) est un réel, le polynôme caractéristique de u est scindé n 1 sur R. Si Tr(u) = 0, u admet une valeur propre d ordre n à savoir 0. Le sous-espace propre associé est de dimension n 1 n. On sait dans ce cas que u n est pas diagonalisable. Si Tr(u) 0, u admet une valeur propre d ordre n 1 à savoir 0 et une valeur propre simple Tr(u). La dimension du sous-espace propre associé à la valeur propre 0 est l ordre de multiplicité de 0 à savoir n 1 et d autre part la dimension du sous-espace propre associé à la valeur propre simple Tr(u) est automatiquement 1. Dans ce cas, u est diagonalisable. En résumé, u est diagonalisable si et seulement Tr(u) 0. 2ème solution. Avec les notations de la question précédente, Tr(u) = a n puis a n a a A(A Tr(u)I n ) = a n a n a n Le polynôme P = X(X Tr(u)) est donc annulateur de u. = 0. Si Tr(u) 0, P est scindé sur R à racines simples et annulateur de u. Dans ce cas, u est diagonalisable. Si Tr(u) = 0, alors A 2 = 0. A est donc nilpotente et non nulle (car rg(u) 0). Comme à la question II.2, u n est pas diagonalisable a 1 II.3.c D après la question II.3.a, il existe une base β dans laquelle la matrice de u s écrit A = (car Tr(u) = 1) a a a 1 A 2 = a n 1 =... = A, et donc u est projecteur. II.3.d Soit u l endomorphisme de R 3 canoniquement associé à A (on note (e 1,e 2,e 3 ) la base canonique de R 3 ). A 2 = = = A et doncuest un projecteur, de rang1(carc 1 0, C 2 = C et C 3 = C 1 ). L image de A est donc engendrée par la première colonne de A ou encore Im(u) = Vect(e 1 +e 2 +e 3 ). Le noyau de u est le plan d équation x+y z = 0 et donc Ker(u) = Vect(e 1 +e 3,e 2 +e 3 ). III.1. Partie III : problème Questions préliminaires http :// 3 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
4 III.1.a Théorème spectral. Soit s un endomorphisme symétrique d un espace euclidien E. s est diagonalisable dans une base orthonormée de E. Soit A S n (R). A est orthogonalement semblable à une matrice diagonale (réelle). III.1.b La matrice S est symétrique et χ S = X 2. Si S est diagonalisable, alors S est semblable à diag(0,0) = 0 et donc égale à 0 ce qui n est pas. Donc S n est pas diagonalisable. III.2. III.2.a Soit x E. Posons x = x i ε i. Puisque β est orthonormée, III.2.b Puisque β est orthonormée, x S(0,1) R s (x) = III.3. R s (x) = s(x) x = λ i x i ε i x j ε j = j=1 λ i x 2 i. x 2 i = 1. Pour x S, on a R s(x) = λ i x 2 i λ n x 2 i = λ n et λ i x 2 i λ 1 x 2 i = λ 1. Donc, pour tout x de S(0,1), R s (x) [λ 1,λ n ] ou encore R s ([0,1]) [λ 1,λ n ]. III.3.a Soient λ une valeur propre de s et x un vecteur propre associé. et donc, puis que x 0, s(x) x = λx x = λ x x = λ x 2, λ = s(x) x x 2. Si s est symétrique positif (resp. symétrique défini positif), alors, s(x) x 0 (resp. s(x) x > 0 car x 0). Comme x 2 > 0, on en déduit que λ 0 (resp. λ > 0). On a montré que si s est symétrique positif (resp. symétrique défini positif), ses valeurs propres sont positives (resp. strictement positives). III.3.b Pour (i,j) 1,n 2, s i,j est la i-ème coordonnée de s(e j ) dans la base B. Puisque B est orthonormée, s i,j = s(e i ) e j. En particulier, pour i 1,n, s i,i = s(e i ),e i = R s (e i ). Puisque e i S(0,1), s i,i [λ 1,λ n ] d après la question III.2.b. Un maximum sur O n (R) III.4. Soient f : M n (R) M n (R), g : M n (R) (M n (R)) 2 M t MM I n M ( t M,M) et k : M n (R) M n (R). M M I n, h : (M n (R)) 2 M n (R) (M, N) MN g est linéaire de M n (R) dans (M n (R)) 2 et M n (R) est de dimension finie. Donc g est continue sur M n (R). h est bilinéaire de (M n (R)) 2 dans M n (R) et (M n (R)) 2 est de dimension finie. Donc h est continue sur (M n (R)) 2. k est affine de M n (R) dans M n (R) et M n (R) est de dimension finie. Donc k est continue sur M n (R). Mais alors f = k h g est continue sur M n (R). III.5. Soit (i,j) 1,n 2. On en déduit que A O n (R), A 1. a i,j = a 2 i,j n a 2 k,j = C j = 1. k=1 http :// 4 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
5 III.6. Le singleton {0} est un fermé de M n (R) (boule fermée de centre 0 et de rayon0. Comme O n (R) = f 1 ({0}), O n (R) est un fermé de M n (R) en tant qu image réciproque d un fermé par une application continue. D autre part, O n (R) est bornée dans M n (R) d après la question précédente. Puisque M n (R) est de dimension finie et que O n (R) est un fermé borné de M n (R), O n (R) est un compact de M n (R) d après le théorème de Borel-Lebesgue. III.7. III.7.a La matrice S est symétrique réelle. Donc, il existe P O n (R telle que S = P P 1. Mais alors T(A) = Tr(AS) = Tr ( AP P 1) = Tr ( P 1 AP ) = Tr(B ), où B = P 1 AP. Puisque A et P sont des matrices orthogonales, B est une matrice orthogonale car (O n (R) est un groupe. On a montré que pour toute matrice orthogonale A, il existe une matrice orthogonale B (dépendant de A telle que T(A) = Tr(B ). III.7.b L application f : A AS est continue sur M n (R) car linéaire sur l espace M n (R) de dimension finie et l application g : A Tr(A) est continue sur M n (R) car linéaire sur l espace M n (R). Donc, T = g f est continue sur M n (R). Ainsi, l applicationt est continue sur M n (R) à valeurs dans R. D après la question III.6, O n (R) est un compact de M n (R). Puisque T est continue sur le compact O n (R) à valeurs dans R, T admet un maximum t sur O n (R). III.7.c Avec les notations de la question III.7.a, T(A) = Tr(B ) = b i,i λ i b i,i λ i = λ i b i,i λ i (d après la question III.5 et puisque les λ i sont positifs) = Tr(S). Ainsi, pour toute matrice orthogonale A, T(A) Tr(S) = T(I n ). Puisque I n est une matrice orthogonale, on a montré que t = T(I n ) = Tr(S) = λ i. Inégalité d Hadamard III.8. D après l inégalité entre moyenne arithmétique et moyenne géométrique rappelée par l énoncé et puisque les λ i sont positifs, on a n λ1...λ n 1 n (λ λ n ). Par croissance de la fonction x x n sur [0,+ [, on en déduit que ( ) n ( ) n 1 1 det(s) = λ 1...λ n n (λ λ n ) = n Tr(S). III.9. t S α = t ( t DSD) = t D t S t ( t D) = t DSD = S α et donc S α S n (R). Soit X M n,1 (R). En posant Y = DX, Donc S α S n + (R). Enfin, t XS α X = t X t DSDX = t (DX)S(DX) = t YSY 0. Tr(S α ) = Tr( t DSD) = Tr(SD t D) = Tr(SD 2 ) = α 2 i s i,i. http :// 5 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
6 ( ) n 1 III.10. Puisque S α est dans S n + (R), l inégalité ( ) fournit det(s α ) n Tr(S α). Or, 1 n Tr(S α) = 1 ( ) 2 1 s i,i = 1 1 = 1, n si,i n et d autre part, Par suite, det(s) 1 et donc det(s) s i,i det(s α ) = det( t DSD) = det(s)(det(d)) 2 = det(s). s i,i s i,i (car s i,i > 0)). III.11. Les coefficients diagonaux de S ε sont les s i,i + ε. Puisque les s i,i sont positifs d après la question III.3.b, les s i,i +ε sont strictement positifs. La question précédente permet d affirmer que det(s ε ) (s i,i +ε) ( ). L inégalité précédente est vraie pour tout ε > 0. Quand ε tend vers 0, S ε tend vers S. Mais alors, det(s ε ) tend vers det(s) par continuité du déterminant sur M ( R). En faisant tendre ε vers 0 dans ( ), on obtient det(s) s i,i. Application de l inégalité d Hadamard : détermination d un minimum III.12. Comme à la question II.7.a, T(A) = Tr(AS) = Tr(AΩ t Ω) = Tr(B ) où B = t ΩAΩ. La matrice B est orthogonalement semblable à la matrice A qui est orthogonalement à une matrice diagonale à coefficients strictement positifs. Donc, la matrice B est orthogonalement semblable à une matrice diagonale à coefficients strictement positifs. On en déduit que B S n ++ (R). D autre part, puisque A et B sont semblables, A et B ont même déterminant à savoir 1. On a montré que B U. III.13. On a montré à la question précédente que {Tr(AS), A U } {Tr(B ), B U }. Inversement, soit B U. Comme à la question précédente, la matrice A = ΩB t Ω est dans U et vérifie Tr(AS) = Tr(B ). Donc, {Tr(B ), B U } {Tr(AS), A U } et finalement {Tr(AS), A U } = {Tr(B ), B U }. Tr(B ) = b i,i λ i. Les λ i sont strictement positifs et les b i,i sont strictement positifs d après la question III.3.b et puisque B S ++ n (R). Donc Tr(B ) > 0. Ainsi, {Tr(B ), B U } est une partie non vide et minorée (par 0) de R. On sait que {Tr(B ), B U } admet une borne inférieure que l on note m. III.14. Puisque les λ i b i,i sont positifs, Tr(B ) = n 1 n ( n ) 1/n λ i b i,i n λ i b i,i = n(λ 1...λ n ) 1/n (b 1,1...b n,n ) 1/n. III.15. Notons λ 1,..., λ n les valeurs propres de B. Puisque B est dans S n + (R), l inégalité de Hadamard fournit Comme d autre part, λ 1...λ n = det(s) > 0, on a b 1,1...b n,n λ 1...λ n = det(b) = 1. Tr(B ) n(λ 1...λ n ) 1/n (b 1,1...b n,n ) 1/n n(det(s)) 1/n. http :// 6 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
7 III.16. La question précédente montre que n(det(s)) 1/n est un minorant de {Tr(B ), B U }. Puisque m est le plus grand de ces minorants, on a donc m n(det(s)) 1/n. La matrice D est dans S n ++ (R) et son déterminant est égal à 1 et finalement λ i ( (det(s)) 1/n ) n = 1. Donc D U. Par suite ( m Tr(D ) = Tr(diag (det(s)) 1/n,...,(det(S)) 1/n) ) = Tr ((det(s)) 1/n I n = n(det(s)) 1/n, m = n(det(s)) 1/n. http :// 7 c Jean-Louis Rouget, Tous droits réservés.
Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détail[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 30 avril 2015 Enoncés 1
[http://mpcpgedupuydelomefr] édité le 3 avril 215 Enoncés 1 Exercice 1 [ 265 ] [correction] On note V l ensemble des matrices à coefficients entiers du type a b c d d a b c c d a b b c d a et G l ensemble
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailCorrigé Problème. Partie I. I-A : Le sens direct et le cas n= 2
33 Corrigé Corrigé Problème Théorème de Motzkin-Taussky Partie I I-A : Le sens direct et le cas n= 2 1-a Stabilité des sous-espaces propres Soit λ une valeur propre de v et E λ (v) le sous-espace propre
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailCours 02 : Problème général de la programmation linéaire
Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailCours d analyse numérique SMI-S4
ours d analyse numérique SMI-S4 Introduction L objet de l analyse numérique est de concevoir et d étudier des méthodes de résolution de certains problèmes mathématiques, en général issus de problèmes réels,
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST) Discipline : Mathématiques Seconde année Préambule Programme
Plus en détailChapitre 2. Matrices
Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailPour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.
Plus en détailDérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema.
Chapitre 5 Dérivées d ordres supérieurs. Application à l étude d extrema. On s intéresse dans ce chapitre aux dérivées d ordre ou plus d une fonction de plusieurs variables. Comme pour une fonction d une
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailNOTATIONS PRÉLIMINAIRES
Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailrf( 1 f(x)x dx = O. ) U concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse
page 8 AGREGATIN de MATHEMATIQUES: 1991 1/5 externeanalyse concours externe de recrutement de professeurs agreg6s composition d analyse NTATINS ET DGFINITINS Dans tout le problème, R+ désigne l intervalle
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détail3. Conditionnement P (B)
Conditionnement 16 3. Conditionnement Dans cette section, nous allons rappeler un certain nombre de définitions et de propriétés liées au problème du conditionnement, c est à dire à la prise en compte
Plus en détailQuelques contrôle de Première S
Quelques contrôle de Première S Gilles Auriol auriolg@free.fr http ://auriolg.free.fr Voici l énoncé de 7 devoirs de Première S, intégralement corrigés. Malgré tout les devoirs et 5 nécessitent l usage
Plus en détailRésolution de systèmes linéaires par des méthodes directes
Résolution de systèmes linéaires par des méthodes directes J. Erhel Janvier 2014 1 Inverse d une matrice carrée et systèmes linéaires Ce paragraphe a pour objet les matrices carrées et les systèmes linéaires.
Plus en détailDurée de L épreuve : 2 heures. Barème : Exercice n 4 : 1 ) 1 point 2 ) 2 points 3 ) 1 point
03 Mai 2013 Collège Oasis Durée de L épreuve : 2 heures. apple Le sujet comporte 4 pages et est présenté en livret ; apple La calculatrice est autorisée ; apple 4 points sont attribués à la qualité de
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailINTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailI. Ensemble de définition d'une fonction
Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détail1 Complément sur la projection du nuage des individus
TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailPlanche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé
Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détailDéterminants. Marc SAGE 9 août 2008. 2 Inverses et polynômes 3
Déterminants Marc SAGE 9 août 28 Table des matières Quid des formes n-linéaires alternées? 2 2 Inverses et polynômes 3 3 Formule de Miller pour calculer un déterminant (ou comment illustrer une idée géniale)
Plus en détailExercice 3 (5 points) A(x) = 1-e -0039' -0 156e- 0,039x A '() -'-,..--,-,--,------:-- X = (l_e-0,039x)2
Les parties A et B sont indépendantes. Partie A Exercice 3 (5 points) Commun à tous les candidats On considère la fonction A définie sur l'intervalle [1 ; + 00 [ par A(x) = 1-e -0039' ' x 1. Calculer la
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailRaisonnement par récurrence Suites numériques
Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.
Plus en détailPartie 1 - Séquence 3 Original d une fonction
Partie - Séquence 3 Original d une fonction Lycée Victor Hugo - Besançon - STS 2 I. Généralités I. Généralités Définition Si F(p) = L [f(t)u (t)](p), alors on dit que f est l original de F. On note f(t)
Plus en détailChapitre 1 : Évolution COURS
Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir
Plus en détailProgrammation linéaire
1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit
Plus en détailOptimisation Discrète
Prof F Eisenbrand EPFL - DISOPT Optimisation Discrète Adrian Bock Semestre de printemps 2011 Série 7 7 avril 2011 Exercice 1 i Considérer le programme linéaire max{c T x : Ax b} avec c R n, A R m n et
Plus en détailMoments des variables aléatoires réelles
Chapter 6 Moments des variables aléatoires réelles Sommaire 6.1 Espérance des variables aléatoires réelles................................ 46 6.1.1 Définition et calcul........................................
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailConstruction d un cercle tangent à deux cercles donnés.
Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailPROBABILITES ET STATISTIQUE I&II
PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits
Plus en détailCorrection du baccalauréat S Liban juin 2007
Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailApproximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2
Approximations variationelles des EDP Notes du Cours de M2 Albert Cohen Dans ce cours, on s intéresse à l approximation numérique d équations aux dérivées partielles linéaires qui admettent une formulation
Plus en détailChp. 4. Minimisation d une fonction d une variable
Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie
Plus en détailCours3. Applications continues et homéomorphismes. 1 Rappel sur les images réciproques
Université de Provence Topologie 2 Cours3. Applications continues et homéomorphismes 1 Rappel sur les images réciproques Soit une application f d un ensemble X vers un ensemble Y et soit une partie P de
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détail4. Martingales à temps discret
Martingales à temps discret 25 4. Martingales à temps discret 4.1. Généralités. On fixe un espace de probabilités filtré (Ω, (F n ) n, F, IP ). On pose que F contient ses ensembles négligeables mais les
Plus en détailFeuille d exercices 2 : Espaces probabilisés
Feuille d exercices 2 : Espaces probabilisés Cours de Licence 2 Année 07/08 1 Espaces de probabilité Exercice 1.1 (Une inégalité). Montrer que P (A B) min(p (A), P (B)) Exercice 1.2 (Alphabet). On a un
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailLa programmation linéaire : une introduction. Qu est-ce qu un programme linéaire? Terminologie. Écriture mathématique
La programmation linéaire : une introduction Qu est-ce qu un programme linéaire? Qu est-ce qu un programme linéaire? Exemples : allocation de ressources problème de recouvrement Hypothèses de la programmation
Plus en détailExercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument
Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailMathématiques Algèbre et géométrie
Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailChapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens
Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques
Plus en détailCHAPITRE IV. L axiome du choix
CHAPITRE IV L axiome du choix Résumé. L axiome du choix AC affirme qu il est légitime de construire des objets mathématiques en répétant un nombre infini de fois l opération de choisir un élément dans
Plus en détail