Cadre de Partenariat Stratégique entre la Banque mondiale et le gouvernement du Maroc. Cadre proposé du CPS
|
|
- Emmanuelle Renaud
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cadre de Partenariat Stratégique entre la Banque mondiale et le gouvernement du Maroc Cadre proposé du CPS Introduction Le Cadre de Partenariat Stratégique (CPS) définit les priorités de développement sur lesquels le Groupe de la Banque mondiale se concentre dans sa coopération avec le Royaume du Maroc ainsi que le niveau et type de soutien qu il mobilise au profit du pays pour une période donnée. La réalisation du CPS suppose la mise en œuvre d un processus participatif impliquant acteurs gouvernementaux, société civile, et tout autre partenaire de développement, tels que le secteur privé et la communauté des bailleurs, pour aider à définir les priorités sur lesquels la coopération entre la Banque et le Maroc devront se concentrer pendant la période de mandat du CPS. Une fois que ce document stratégique a pu être convenu avec nos partenaires gouvernementaux, le CPS est officiellement présenté au Conseil d administration de la Banque mondiale. Le bilan du CPS La mise en œuvre du dernier CPS s est étendue des années fiscales 2010 à 2013 et s est concentrée sur trois piliers stratégiques: (i) la croissance, la compétitivité et l emploi ; (ii) la prestation de services aux citoyens ; et (iii) le développement durable dans un climat en pleine évolution, avec deux axes transversaux que sont la gouvernance et la territorialité. Le rapport à mi-parcours (disponible en ligne), présenté au Conseil d administration en mai 2012, a indiqué que le CPS a été mis en œuvre dans l ensemble comme prévu et que le programme a permis d atteindre la majorité des résultats escomptés. Le caractère flexible du CPS lui a permis d être en parfaite adéquation avec le programme du Gouvernement et a autorisé une marge d adaptation aux événements. Composition du portefeuille Au cours du mandat du CPS qui s achève, l'enveloppe annuelle moyenne des prêts consentis a varié entre 500 et 700 millions $EU. Pour l'exercice budgétaire 2010, l enveloppe des opérations BIRD (Banque Internationale de Reconstruction et de Développement) s est située à 729,5 millions $EU, à 480,3 millions $EU pour l'exercice budgétaire 2011, et 665,8 millions $EU pour l'exercice budgétaire 2012, tandis qu elle a atteint 593,2 millions $EU pour l exercice budgétaire Depuis le lancement du CPS précédent, la Banque a accordé 11 prêts de politique de developpement (PPD), 7 projets d investissement, un prêt-programme centré sur les résultats (Program-For-Results - PforR), et 3 dons (FEM/GEF). Les activités du programme d analyse et de conseil (AAA) de la Banque a, quant à lui, contribué à approfondir la base de connaissance dans des domaines clés (protection sociale, jeunesse, santé, emploi, risques de catastrophes naturelles, etc.), alimentant de ce fait les réformes sectorielles ainsi que la préparation de nouveaux Prêts de politique de développement (PPD) et programmes d investissement dans de nombreux domaines. La forte demande d appui aux réformes fondamentales a entraîné une prédominance des programmes d appui budgétaires dans le portefeuille de la Banque mondiale au Maroc, faisant des prêts 1
2 d investissement le deuxième instrument de prêt le plus utilisé dans le portefeuille de la Banque au Maroc. L introduction du nouvel instrument de prêt de la Banque mondiale, le Prêt Programme centré sur les Résultats, a permis de diversifier le portefeuille, à travers un prêt de 300 millions de dollars E-U mobilisé pour un appui à deuxième phase de l Initiative nationale de développement humain (INDH), une somme qui représente l enveloppe la plus conséquente jamais mobilisée par la Banque au profit du Maroc. L optique de travail de la Banque implique une vision trans-sectorielle, de façon à soutenir les réformesclé permettant un bénéfice transversal et l obtention de résultats sur plusieurs niveaux. C est notamment le cas pour le programme de compétitivité, d emploi, de compétences, de gouvernance, et de soutien aux PME. La Société Financière Internationale (SFI), la branche secteur privé du Groupe Banque mondiale, a considérablement accru son engagement au Maroc durant ce dernier CPS. Ses investissements et appuis financiers dans les secteurs des marchés financiers et bancaires, des infrastructures et des mines, des assurances, et du financement du commerce ou des PME, ont dépassé les 300 millions $ EU pour la période du précédent mandat. Son programme complémentaire de services conseil a, par ailleurs, concentré ses efforts sur des thématiques aussi critiques que le climat des affaires, la micro-finance et les partenariats public-privé (PPP). A noter en particulier sa contribution aux travaux de faisabilité et de structuration d un PPP du projet d énergie solaire de Ouarzazate, au montage et à la mise en œuvre du tout premier PPP au Maroc dans le dessalement et l irrigation intégrée dans la région de Chtouka, et son appui au renforcement des capacités du Ministère de l Economie et des finances dans le montage et la mise en œuvre de projets PPP dans la santé et l éducation. Préparation du CPS La préparation du nouveau CPS a pour principale mission de redéfinir les priorités de développement du pays aux vues du nouveau contexte politique et économique tout en se conformant à la nouvelle stratégie de la Banque mondiale dans la région MENA. Tout en continuant à offrir son appui financier et technique, la Banque mondiale tentera de diversifier et de rééquilibrer la composition de son portefeuille pour ce prochain mandat. Objectifs et axes retenus Globalement, les axes stratégiques de coopération, tels que définis dans le rapport à mi-parcours du CPS précédent restent d actualité. Tout en s inscrivant dans la continuité, le nouveau CPS prendra en considération les dernières évolutions, notamment de la situation macro-économique, et saisira l occasion offerte par de nouveaux points d entrée pour appuyer des réformes-clé qui peuvent jouer le rôle de levier pour plusieurs secteurs-clé de l économie. Deux principales orientations soutiendront l appui de la Banque mondiale au gouvernement marocain: - Appuyer des réformes plus ambitieuses ayant une dimension trans-sectorielle, en mettant l accent sur la fourniture de services, une coordination renforcée pour obtenir des résultats plus concrets et la participation citoyenne; - D autre part, introduire des approches multi-sectorielles qui appuieront l action du gouvernement et renforceront les axes stratégiques d appui du CPS. 2
3 A la lumière des récentes évolutions du contexte socio-économique au Maroc et après l examen des réalisations du CPS précédent, un consensus a désigné les objectifs et axes stratégiques suivants, autour desquelles les discussions et consultations vont s articuler: Objectif: le nouveau cadre de partenariat vise à assurer au Gouvernement du Maroc l appui du Groupe Banque mondiale dans sa poursuite d une société plus ouverte au travers d une promotion de davantage d opportunités économiques et sociales pour tous les Marocains. Axe 1: Croissance solidaire et compétitive Promotion de la compétitivité et des opportunités économiques au profit d une croissance économique dynamique et durable : Promouvoir un meilleur climat des affaires et des investissements (développement du secteur privé, marchés de capitaux, innovation) Réduire les goulots d étranglement de l économie tout en re-définissant l assignation et la gestion des fonds publics (compensations, ciblage, fiscalité, recours au Partenariat Public-Privé) Renforcer la compétitivité des secteurs porteurs (ex. économie de la connaissance) Dynamiser certains acteurs économiques tels que les TPE, le micro entreprenariat et les PME (financement, assistance technique) Tout en assurant que la croissance offre des opportunités pour tous : En mettant en place une politique de protection sociale efficace En appuyant les jeunes défavorisés En renforçant la qualité de l éducation et l accès à l acquisition de compétences, En améliorant l accès à l emploi En favorisant les plus pauvres En assurant un secteur de la justice performant Axe 2: Construction d un avenir vert et résilient Continuer à avancer sur la voie du développement tout en veillant à préserver l environnement: En favorisant une croissance verte moins coûteuse pour l environnement, voir même créatrice de revenu En rationalisant l utilisation des ressources naturelles (ex. eau et nature) et en développant les énergies renouvelables Tout en assurant un développement durable qui ne mette pas en péril les générations futures : En mettant en place une politique de prévention et de gestion intégrée des risques de catastrophes naturelles En renforçant l adaptation au changement climatique Axe 3: Fourniture de services aux et avec les citoyens Assurer une fourniture efficace et appropriée des services de base aux citoyens 3
4 Fourniture des services de santé Gestion du secteur des déchets solides Renforcement du réseau d eau, d assainissement et d électricité Mise à niveau du secteur des transports urbains Modernisation du système judiciaire E-government En donnant plus de prérogatives aux citoyens et à leurs représentants pour prendre part à l organisation, à la gestion et au contrôle de la fourniture de services, le processus de prise de décision sera plus transparent et les citoyens auront une marge de participation accrue. Conjugués au processus de décentralisation en cours, le citoyen devient acteur des politiques publiques. Plusieurs points d entrée permettent le renforcement du rôle du citoyen, notamment: L Initiative Nationale de Développement Humain Le renforcement des capacités des autorités locales Le renforcement du cadre de gouvernance (ex. Hakama), tant au niveau national que local La réforme des procédures de passation de marché Axes transversaux: Genre, jeunesse et voix et responsabilité Le nouveau cadre stratégique identifie trois axes transversaux pour guider la définition du programme d appui. Genre: L approche genre est essentielle pour faire des femmes de véritables acteurs de développement. Au Maroc, l importance de la question du genre a été validée par la nouvelle Constitution qui introduit le principe d égalité entre les sexes et souligne la nécessité d impliquer la femme dans le processus de développement en tant qu acteur incontournable. Cependant, les indicateurs sociaux indiquent que des progrès sont encore nécessaires pour renforcer ce rôle et obtenir l égalité d accès aux opportunités. Dans ce cadre, la nouvelle stratégie de partenariat devra s appuyer sur ce pilier essentiel dans la mise en œuvre des programmes prévus. Jeunesse : Nul ne peut nier les défis auxquels doit faire face aujourd hui l un des segments les plus larges et les plus vulnérables de la société. Tandis que le potentiel de la jeunesse est reconnu comme étant un puissant levier de développement, les jeunes restent souvent à l écart des opportunités économiques et du processus de prise de décision pour des chantiers qui les concernent directement. Le nouveau CPS s attachera à élaborer des programmes qui aideront à fournir aux jeunes des opportunités d insertion sociale et économique qui les aideront à contribuer de manière effective à la construction d un avenir prospère pour le Maroc. Voix et responsabilité: La bonne gouvernance représente la condition nécessaire pour une fourniture de services adéquate, pour une gestion efficace des fonds publics et la promotion d un environnement des affaires favorable. La nouvelle Constitution a établi un lien entre gouvernance et participation citoyenne, responsabilité et reddition de comptes. Tandis que des chantiers ont déjà été lancés dans ce domaine, notamment autour de la loi sur l accès à l information ou les mécanismes de consultation publique, il reste des efforts à fournir en matière de renforcement des mécanismes de reddition de comptes et de mise en place d un espace adapté pour la participation citoyenne. 4
5 Processus de consultation Pour la préparation du nouveau CPS, le Groupe Banque Mondiale a lancé une série de consultations avec le gouvernement central, les autorités locales, les unités de gestion des projets, les organismes de la société civile, le secteur privé et les partenaires de développement au niveau de Rabat-Casablanca, mais aussi en province et en milieu rural, sur un certain nombre de thématiques retenues telles que : - Promotion du climat des affaires - Accès à l éducation et qualité de l enseignement comme levier d acquisition des compétences et de débouchés professionnels - Promotion du rôle économique et social du secteur de l agriculture - Participation citoyenne, gouvernance et fourniture de services - Jeunesse et développement - Protection sociale, compensation et ciblage - Infrastructures, désenclavement et accès aux opportunités - Croissance verte, protection de l environnement et promotion des énergies renouvelables - Genre et développement - Accès aux services de santé Dépendant de la thématique choisie, du public ciblé et du contexte, les consultations seront soit bilatérales ou multipartites, sous forme de table ronde ou de débats. A la suite de chaque consultation, les participants seront invités à émarger et un compte-rendu sera effectué et rendu public en ligne. Calendrier Il est prévu que le processus de consultations puisse se conclure d ici le mois de novembre 2013 et que le nouveau CPS soit présenté au Conseil d administration de la Banque mondiale en février
S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailPrésentation de la réforme de la PAC 2014-2020
Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA
Plus en détailVision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement
Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,
Plus en détailLa PME Marocaine. Levier de développement économique et d innovation. Saad Hamoumi Président de la commission PME
La PME Marocaine Levier de développement économique et d innovation Saad Hamoumi Président de la commission PME Rencontre des PME Ibéro Américaines et d Afrique du Nord Madrid 22 octobre 2012 I: L économie
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET
ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation
Plus en détailNouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien
Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système
Plus en détailLES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ
LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES
Plus en détailAvant de commencer, merci de renseigner les données suivantes :
Le questionnaire ci dessous a pour objectif de faire le point sur le RESSOL, sur notre dernière action à savoir le mois de l Economie Sociale et Solidaire et sur nos pistes d évolution. Ce questionnaire
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailCOOPERATION DECENTRALISEE. CESR 5 octobre 2007
COOPERATION DECENTRALISEE CESR 5 octobre 2007 La coopération internationale et décentralisée S insère dans le cadre plus large de l action extérieure des collectivités Regroupe les actions de coopération
Plus en détailAvenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»
Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailGhana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.
Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailSoutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale
Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne
Plus en détailMEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
MEMORANDUM MEMORANDUM POSITIONNEMENT DES ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE SENEGALAISE SUR LA COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE Novembre 2013 1. CONTEXTE DU MEMORANDUM Le Sénégal, à l image des pays de la
Plus en détailLICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année
LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année CONTENU DES ENSEIGNEMENTS ET MODALITES D EVALUATION Semestre 1 : 30 crédits 9 EC obligatoires 1 EC optionnelle à choisir parmi 2
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailEVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle
EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailAllocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailSYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA
SYNTHESE DE PRESENTATION DU PPILDA INTITULE DU PROJET : PROJET DE PROMOTION DE L INITIATIVE LOCALE POUR LE DEVELOPPEMENT D AGUIE 1 Intitulé du Projet : Projet de Promotion de l Initiative Locale pour le
Plus en détail17DEPARTEMENT DES VOSGES
Pôle Développement du Territoire Service moyens techniques et gestion administrative du Territoire 17DEPARTEMENT DES VOSGES Extrait des délibérations du Conseil général Réunion du 19 janvier 2015 BUDGET
Plus en détailPOLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020
DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période
Plus en détailRAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE
RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes
Plus en détailPRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE
PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise
Plus en détailEncouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde
Encouragement de l Investissement et mobilisation des compétences marocaines du Monde Marwan Berrada Chef du Service des études et de l action économique Ministère Chargé des Marocains Résidant à l Etranger
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailPRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études
PRESENTATION GENERALE DU MASTER MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise
Plus en détailFiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT?
Fiche d information 3 OÙ IRA L ARGENT? Le plan d investissement pour l Europe sera constitué d un ensemble de mesures visant à libérer au moins 315 milliards d euros d investissements publics et privés
Plus en détailEnsemble mobilisons nos énergies
Ensemble mobilisons nos énergies «Lancé en Juin 2005, SIRIUS est désormais un projet au cœur de notre entreprise, au service des ambitions et des objectifs qui s inscrivent dans le cadre de notre stratégie
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS
LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT 2014-2020 EN FRANCE CONNAÎTRE les programmes européens LES FONDS EUROPÉENS STRUCTURELS ET D INVESTISSEMENT AU SERVICE DE LA STRATÉGIE EUROPE 2020 Stratégie
Plus en détailAppel à Manifestation d'intérêt
AfricaInteract : Renforcement des liens entre la recherche et les décideurs politiques pour l'adaptation au changement climatique en Afrique Appel à Manifestation d'intérêt Recrutement d'un expert pour
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détailLa coopération décentralisée est inscrite dans la transversalité et se nourrit des échanges et pratiques confiés aux missions de l Agence.
1 Une mission «coopération décentralisée» existe depuis 8 ans à l ARENE Île-de-France. Résultat d une délibération sur l action internationale votée par la Région Île-de-France souhaitant que celle ci
Plus en détailPromulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I
Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain»
CAMPAGNE NATIONALE DE SENSIBILISATION «Pour un meilleur partenariat Banques/Petites et moyennes entreprises au service du Développement Humain» ALLOCUTION INAUGURALE DE MONSIEUR ABDELLATIF JOUAHRI GOUVERNEUR
Plus en détailDéveloppement durable et PME. Introduction à la démarche
Développement durable et PME Introduction à la démarche 1. INTRODUCTION Les TPE, PME et PMI le savent aujourd hui : elles doivent s employer à limiter leur impact sur l environnement, mais également intégrer
Plus en détailBanque Européenne. pour la Reconstruction et le Développement. Tunisie
Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement Tunisie Marie-Alexandra Veilleux Chef du Bureau de la BERD en Tunisie Sommaire 1. à la BERD 2. Les opérations de la BERD 3. 25 avril 2014 Banque
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détail2012-2016 4+4 4+4 2012-2016. Stratégie du Pôle Social. Stratégie du Pôle Social
2012-2016 Stratégie du Pôle Social 4+4 4+4 Stratégie du Pôle Social 2012-2016 »YɪàL G Ö dg á«é«jgî SG 4+4 2012-2016 Introduction Notre pays entre dans une nouvelle phase de construction d un projet national
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailHarmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action
Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,
Plus en détailPersonne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.
Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailDexia, le partenaire du développement
Dexia, le partenaire du développement ensemble, à essentiel Dexia joue un rôle majeur dans le financement des équipements collectifs et des infrastructures, Dexia des secteurs de la santé et logement social,
Plus en détailCréateur d opportunités
Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale
Plus en détailConclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE
Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailRéunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010
CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon
Plus en détailPRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE»
PRESENTATION GENERALE DU MASTER «MAITRISE D OUVRAGE PUBLIQUE ET PRIVEE» 1. Règlement des études Habilité par arrêté du Ministère français de l Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Master «Maîtrise
Plus en détailLa gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!
La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de
Plus en détail«ÉCO-SOLIDAIRE» LE DISPOSITIF LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION La Réunion île solaire, terre d'innovation Reunion island, innovation land LE DISPOSITIF «ÉCO-SOLIDAIRE» PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : JUSC1406675D Intitulé des textes : Décret pris pour l application de l ordonnance n 2014-326 du 12 mars 2014 portant réforme de la prévention des entreprises
Plus en détailMembre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services
SPEECH/13/XXX Michel BARNIER Membre de la Commission européenne, chargé du Marché intérieur et des Services Dématérialisation de la commande publique : un levier de modernisation de l administration publique
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailMINISTÈRE DE L'ENTREPRISE, DES DÉBOUCHÉS ET DE L'INNOVATION
BUDGET DES DÉPENSES 2002-2003 1 SOMMAIRE Le ministère de l'entreprise, des Débouchés et de l'innovation a pour mandat d'encourager la compétitivité des entreprises et la prospérité économique. Dans le
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailAgences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailVeille sociale au 12 septembre 2014
( Veille sociale au 12 septembre 2014 La veille sociale présentée dans cette revue actualise la veille présentée le mois dernier. Les sujets qui n ont pas évolué ne sont pas repris. ( I ) Projets sociaux
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailÀla Banque africaine de développement, nous n avons de cesse d améliorer la performance de
Niveau 3 : La bonne gestion des opérations de la BAD Àla Banque africaine de développement, nous n avons de cesse d améliorer la performance de nos stratégies et de la gestion de nos projets. Ces dernières
Plus en détailProgramme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)
Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailLa création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:
RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les
Plus en détailDOCUMENT OFFICIEUX DES COPRÉSIDENTS. Chapitre Paragraphes Page. Comprendre les risques de catastrophe...14 8
Note explicative 1. Ce document est l avant-projet préliminaire du cadre de réduction des risques de catastrophe pour l après-2015. Il servira de base aux consultations informelles ouvertes à mener en
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT1412044R Intitulé des textes : projet d ordonnance relative à la réforme du taux d intérêt légal et projet d arrêté fixant les catégories de prêts
Plus en détailMobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion
Mobiliser les entreprises : un nouveau défi pour les acteurs de l insertion Léopold GILLES Directeur du Département «Evaluation des politiques sociales» - CREDOC SOMMAIRE RAPPEL : entreprises solidaires
Plus en détailGroupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services»
Groupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services» PROGRAMME LEADER 2007-2013 2013 LEADER 2007-2013 : une terre d accueil, des montagnes de services 1 Présentation
Plus en détailCoup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL
Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailDéfis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays
Office National de l Electricité et de l Eau Potable (ONEE) Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays Novembre 2014 PARC DE PRODUCTION DIVERSIFIE Tiers nationaux
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailOFFICE NATIONAL DE L'EAU POTABLE
OFFICE NATIONAL DE L'EAU POTABLE Communication sociale et Approche participative au service de la gestion durable des ressources hydriques et des projets d alimentation en eau potable Présenté par: Mr
Plus en détailRéunion Information Investissements d Avenir
Réunion Information Investissements d Avenir Logiciel Embarqué et Objets Connectés Sophia, 16 Juillet 2013 Investissements Avenir : Réorientation Réorientation de 2,2 Mds$ du budget non engagé des IA Soutien
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailFonds Igrane, un levier d investissement pour la Région Souss Massa Drâa
Fonds Igrane, un levier d investissement pour la Région Souss Massa Drâa Édito Plan de la Région Souss Massa Drâa Pourquoi le Fonds Igrane? Qui sont les promoteurs du Fonds Igrane? Fiche signalétique du
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailPrésentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014
Présentation au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Mémoire prébudgétaire 2015 31 juillet 2014 Ingénieurs Canada 1100-180, rue Elgin Ottawa (Ontario) K2P 2K3 Au sujet d Ingénieurs
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détail