Synth e s e du travailco lab oratif

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108 >> Synth e s e du travailco lab oratif au s e in du Re s afad Contrib ute urs > Jacq ue s Guidon > Jacq ue s W a le t > Bénin / Je an- François Te rre t > / H aoua K oné > Gab on / Anas th as ie O b ono M Ba > Guinée Conak ry / D je nab ou Baldé > / M am adou Coum are > Sénégal/ Papa Youga D ie ng - Claude Lis h ou > / Aw ok ou K ok ou Travailco lab oratif2005-2006 > Ph as e 2

Synth ès e du travailco lab oratifau s e in du Re s afad Le Rés e au Africain de Form ation à D is tance (RESAFAD ) RESAFAD a été condu itdu ranth u itans (19 9 6-2003) com m e u n program m e de "re ch e rch e - action " par la coopération français e e t le s au torités édu cative s de plu s ie u rs pays d Afriq u e francoph one parte naire s : le Bénin, le Bu rk ina- Fas o, la Gu inée Conak ry, le, la M au ritanie, le, le Sénégale tm adagas car. Le s ob je ctifs m aje u rs de RESAFAD fu re nt le s s u ivants : déve loppe r l u s age de s Nou ve le s Te ch nologie s d Inform ation e tde Com m u nication (NTIC) e tla Form ation à D is tance (FAD ) dans le s s ys tèm e s édu catifs, e t favoris e r l ém e rge nce d u ne e xpe rtis e africaine dans ce dom aine. Le proje t a pe rm is de te s te r e t de valide r le dis pos itif d appu i logis tiq u e e t m éth odologiq u e m is e n place. Il com pre nd : > U ne " b as e - arrière " s itu ée à Paris cons titu ée du ne éq u ipe de s pécialis te s q u i pilote tou te l opération e t coordonne le s inte rve ntions de s différe nts parte naire s im pliq u és dans le proje t. > D e s ce ntre s de re s s ource s éq u ipés de m atérie l inform atiq u e h au t de gam m e (ave c notam m e nt u n s e rve u r d inform ation, u n s e rve u r d édition, e t 12 pos te s de travail m u ltim édias ) dans ch acu n de s pays parte naire s, pou r la conce ption e t l édition de s s u pports pédagogiq u e s, ains i q u e pou r la form ation de s form ate u rs e ttu te u rs nationau x à la FAD. D ans ch aq u e ce ntre, u n re s pons ab le te ch niq u e e t pédagogiq u e, e n re lation cons tante ave c la b as e - arrière e t le s différe nts ce ntre s Re s afad nationau x, as s u re la m is e e n place e tle s u ivi du program m e. > U n cons ortium unive rs itaire d appui q u i as s is te le program m e e t condu it le s re ch e rch e s s cie ntifiq u e s ains i q u e le s évalu ations néce s s aire s. Tou s le s ce ntre s de re s s ou rce s nationau x s ont re liés à Inte rne t e t fonctionne nt e n rés e au pou r m e ttre e n com m u n e téch ange r le s re s s ou rce s, le s com péte nce s, e tle s produ its réalis és dans ch acu n de s pays, e ttravai le r à dis tance ave c la b as e - arrière e tle cons ortiu m u nive rs itaire. rés e au e t a tou ch é plu s ie u rs m i lie rs de ce s dire cte u rs e n form ation continu e. Ila e ns u ite éte ndu s e s activités e t s on ch am p d application, e n particu lie r pou r form e r de s com péte nce s m u ltiple s e t crée r de s éq u ipe s opérationne le s de s pécialis te s de la FAD au s e in de s étab lis s e m e nts d e ns e igne m e nt s u périe u r africains (notam m e nt pou r le s 1e rs cycle s délocalis és, le s filière s profe s s ionnalis ée s, la form ation profe s s ionne le de s e ns e ignants ) e tde s cadre s de s s ys tèm e s édu catifs. D ans ce tte pe rs pe ctive, u ne form ation s pécifiq u e au x différe nts m étie rs de la FAD a été m is e e n œ u vre par RESAFAD, s ou s la form e d u n D iplôm e d U nive rs ité (D U ) covalidé par l U nive rs ité du M aine e t par ch acu ne de s U nive rs ités africaine s parte naire s. D e s parte nariats ave c l O IF, l AU F, l AD EA e tl U NESCO ontété déve loppés du rantce s année s. D e pu is 2004 le s activités re ch e rch e, étu de s e t ve i le du program m e s e pou rs u ive nt au s e in de l As s ociation Re s afad, alors q u e le s ce ntre s de re s s ou rce s pays e t le s activités de form ation ont été dévolu s au x M inis tère s e t ins titu tions nationale s conce rnés dans le cadre d u n trans fe rt de com péte nce s logiq u e ve rs le s ins titu tions e t re s pons ab le s africains form és. Ce dis pos itiforiginal, ou ve rtà tou tpre s cripte u r de form ation national, a d ab ord été te s té dans le cadre d u ne form ation à dis tance de s D ire cte u rs d école prim aire dans 5 pays du 109

110 Q ue s tions /Re pons e s C e e n 3 th èm e s is s u s d u ne pre m ière ph as e de s ynth ès e q u u n travailco lab oratifa été m e né févrie r/m ars 2005) s tau tou r de 25 q u e s tions re grou pée s par le s au te u rs de s s ix étu de s pays.vou s trou ve re z ici le ns e m b le de s q u e s tions pos ée s e tle s répons e s de ce s de rnie rs, pointpar point... As pe cts ins titutionne ls e tprogram m atiq ue s Q 1 : A q u e lnive au concre t s e s itu e l e ngage m e nt de s au torités e n m atière de TICE? Q 2 : Q u e le s s ont le s priorités affich ée s? Y- a- t- ilu n plan d e ns e m b le re liant le te ch nologiq u e /infras tru ctu re s, l adm inis tratif/ge s tion e t le pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE? Q 3 : Q u i s ont le s décide u rs au nive au régionale t local, q u e le s tle u r s tatu t, q u e le s dire ctive s ont- ils re çu, q u e le e s t la pére nnité de s offre s, q u e le s s ontle s contre partie s? Le s parte naire s ont- ils u n droit de re gard? Com m e nt décline r ce s parte nariats tantau nive au nationalq u au nive au local? Q 4 : Q u e ls s ont le s ob s tacle s à contou rne r pou r q u u n program m e initié par te le ou te le aide pu is s e être s ou te nu ou pou rs u ivi par u ne au tre aide ou ém arge r au b u dge t national? Q 5 : Exis te - ilu ne form e de parte nariat m e i le u re q u u ne au tre? Q 6 : Q u e le s s olu tions validée s ou s u gge s tions propos ée s pou r u ne pére nnis ation e t u ne intégration du rab le de s proje ts e te xpérim e ntations TICE Q 7 : D e s étu de s financière s ont- e le s été faite s pou r e s tim e r le coûte tla «re ntab ilité» de s TICE? Q 8 : Com m e nt donne r u ne coh ére nce à le ns e m b le de s initiative s TICE dans le s étab lis s e m e nts d e ns e igne m e nt, du prim aire au s u périe u r? Q 9 : Exis te - ildans le dom aine de s TICE de s initiative s trans nationale s im pliq u ant éch ange s, m u tu alis ations ou travailco lab oratifinte r- pays? Q 10 : Y- a- t- ilu ne prom otion e t u n trans fe rt de s dis pos itifs pe rtine nts e n m atière de TICE? Acte u rs e tactions Q 11 : La form ation de s form ate u rs e n ED AL e s t- e le opérationne le? Com m e nt? La form ation de s e ns e ignants intègre - t- e le u ne dim e ns ion TICE? Q 12 : Q u e le s s ont le s cons éq u e nce s de «lim portation» de form ations ou de conte nu s de form ation s u r le s acte u rs de le ns e igne m e nt s u périe u r? Q u e l pou rce ntage re prés e nte nt- ils dans le pays age national? m ajoritaire ou très m inoritaire? Q 13 : Q u e le e s t l acce s s ib ilité de s s a le s de re s s ou rce s m u ltim édia au s e in de s u nive rs ités ou de s organis m e s de form ation profe s s ionne ls? Pou r le s étu diants? Pou r le s e ns e ignants? Q 14 : édu cative? Q u e le s t l im pact de s TICE s u r la com m u nau té Q 15 : La m is e e n ligne de s cou rs e tde s re s s ou rce s e s t- e le e ncou ragée? Com m e nt? (as pe cts incitatifs, régle m e ntaire s, ) Q 16 : D e s initiative s dans le dom aine de la form ation profe s s ionne le s ont- e le s à re le ve r? Form ation à dis tance Q 17 : Le s te ch nologie s au dio- vis u e le s (radio/télévis ion) onte le été ab andonnée s?pou rq u oi? Q 18 : Q u e le e s t l évolu tion de s pratiq u e s liée s à Inte rne t ch e z le s appre nants? Ch e z le s form ate u rs? dans le conte xte économ iq u e national? Q 19 : Au s e in de s étab lis s e m e nts u nive rs itaire s, q u e ls s ont le s pu b lics tou ch és par la form ation e n ligne?q u e le s s ont le s form ations conce rnée s? Q 20 : En de h ors de s étab lis s e m e nts, q u e ls s ont le s étu diants tou ch és par la form ation e n ligne? Q u e le s s ont le s form ations conce rnée s? Q 21 : La form ation de s e ns e ignants e s t- e le conce rnée par la form ation à dis tance Q 22 : Y a- t- ilu ne ém u lation ou u ne concu rre nce e ntre le s étab lis s e m e nts de form ation pu b lics e t privés s u r ce dom aine de la FAD e tde s TICE? Q 23 : Pou r le s étab lis s e m e nts s colaire s : com m e ntdonne r u ne coh ére nce à le ns e m b le de s initiative s e n ED AL? Q 24 : Pou r l e ns e igne m e nt s u périe u r e t le e - le arning : Exis te - ilu ne form e de parte nariat m e i le u re q u u ne au tre? Q u e le s s ont le s cons éq u e nce s de «lim portation» de form ation ou de conte nu s de form ation s u r le s acte u rs de le ns e igne m e nts u périe u r? Q 25 : Pou r la form ation de s e ns e ignants : Pe u t- on cons idére r q u e la form ation de s e ns e ignants ju s tifie la création du n ce ntre de re s s ou rce s m u ltim édia dans ch aq u e étab lis s e m e nt?

Synth ès e du travailco lab oratifau s e in du Re s afad 1A q ue lnive au concre ts e s itue l e ngage m e ntde s autorités e n m atière de TICE? Be nin La coh ab itation de plu s ie u rs organis m e s e t ins titu tions plu s ou m oins déclarés e n ch arge du déve loppe m e nt de s TIC Au jou rdh u i au Gab on, ce s t claire m e nt letat q u i e s t le principalm ote u r du déve loppe m e nt de s te ch nologie s dans ne cons titu e pas a priori u n indicate u r concre t le pays. D u ne part, ce s t indis pe ns ab le pou r lance r le de ngage m e nt. Pou r s itu e r u n nive au, ils e m b le néce s s aire préalab le m e ntde n fixe r de s critère s ob je ctifs de m e s u re. En ce q u i conce rne le ngage m e nt de s au torités politiq u e s m ou ve m e nt. M ais on s ait b ie n q u e linnovation ne s e décide pas par décre t, au s s i ilre s te e ncore b e au cou p de travailà faire au près de s e ns e ignants e t de s ch e rch e u rs nationale s, le s critère s pou rraie nt être : pou r q u ils s approprie nt ce ge nre de dis pos itif. Le s e ns e ignants s ont m ie u x dés ignés pou r déve loppe r le s 1. le xpre s s ion dans de s te xte s officie ls du ne volonté de déve loppe r le s e cte u r de s TICE e tde la FAD 2. le xis te nce du ne tarification s pécifiq u e de s accès à Inte rne tpou r le s étab lis s e m e nts édu catifs, le s as s ociations u s age s, pas letat. A lh e u re actu e le, ilne xis te pas dins titu tion s pécifiq u e m e nt re s pons ab le du déve loppe m e nt de s TIC au Gab on. Le Prés ide ntm e tce dom aine s ou s s a propre re s pons ab ilité. Le 3. la création de ce ntre s de re s s ou rce s pou r la form ation Cons e i le r inform atiq u e de la Com m is s ion nationale de s cadre s du s ys tèm e édu catif 4. la création de fonctions s pécifiq u e s de cadre s dans le dom aine de s TICE 5. le xis te nce du n s ch ém a dire cte u r de déploie m e nt de s TICE au nive au national(ce ntrale tdéce ntralis é) En ce q u i conce rne le Bénin, le nive au s e s itu e rait alors e ntre le 2 e tle 3.D e s te xte s officie ls e xprim e ntla volonté de déve loppe r le s e cte u r de s TICE dans le s trois m inis tère s du dinform atiq u e rattach ée au Cab ine tprés ide ntie le s tle point focalde RINAF(Rés e au régionalafricain dinform atiq u e ) e tle coordinate u r s ou s régionalpou r lafriq u e ce ntrale. RINAF e s t u n proje tde lu NESCO. LARTEL, au torité adm inis trative placée s ou s la dou b le tu te le du M inis tère de la Com m u nication, de s Pos te s e t de s Te ch nologie s de linform ation, ains i q u e du M inis tère de léconom ie e tde s Finance s, as s u re la régu lation, le contrôle, s e cte u r de lédu cation au Bénin. U ne tarification le s u ivi de s activités de s e xploitants e t opérate u rs du préfére ntie le e xis te pou r la liais on s pécialis ée de s s e cte u r de s télécom s. étab lis s e m e nts s colaire s. D e s ce ntre s de re s s ou rce s e xis te nt à Porto- Novo, Cotonou e t Ab om e y- Calavi m ais tou s s ont le Ave c laide de dive rs e s ins titu tions inte rnationale s (PNU D, U NESCO, Coopération Français e, Age nce Canadie nne de rés u ltat du ne initiative e t du n appu i de proje ts de D éve loppe m e ntinte rnational, e tc.), le Gab on, à m is s u r pie d coopération e t le s re s s ou rce s h u m aine s néce s s aire s à le u r dive rs proje ts e tétu de s q u i de vaie ntpre ndre e n com pte le s anim ation e t le u r rayonne m e nt s ont ins u ffis am m e nt priorités gou ve rne m e ntale s e n m atière de com m u nication nom b re u s e s e tdéfinie s. e t dinform ation. Notam m e nt, le proje t info- com G ab on (h ttp://w w w.infocom.gou v.ga) vis antà aide r le pays à définir s a s tratégie dinform ation e t de com m u nication e n inclu ant Le s au torités s ont très e ngagée s e n ce q u i conce rne le s de s facte u rs com m e la dém ocratie e t la re lance TICE. Q u e ce s oit au nive au du M EBA ou du M ESSRS, de s économ iq u e. M ais m algré tou te s le s étu de s e t le s proje ts e fforts s ont déployés pou r favoris e r u ne rée le inte rve ntion q u i avaie nt com m e principal s u je t " le s nou ve le s de s TIC dans l e ns e igne m e nt. Pou r as s u re r u ne coh ére nce, ilfau t q u ily ait u n travailde te ch nologie s dinform ation e t de com m u nication au Gab on ", le dom aine de TICE avance très pe u. Le Gab on com pte rait co lab oration e ntre le s différe nts ordre s d e ns e igne m e nt. Il e nviron 25 000 m icro- ordinate u rs, s oit 1 pou r 50 h ab itants. fau tq u e ch aq u e nive au d e ns e igne m e nts oitinform é de ce q u i e s tfaitdans le s au tre s ordre s d e ns e igne m e nt. D ans ce conte xte particu lie r, nou s pou vons avance r s ans h és ite r q u ilny a pas de rée le volonté de politiq u e de 111

112 led ALau Gab on. Le s décide u rs politiq u e s e t économ iq u e s du Gab on acce pte nt e t accom pagne nt tim ide m e nt m ais ave c b e au cou p de rés e rve s la m is e e n œ u vre dopérations e t de proje ts conce rnant ce dom aine b e au cou p plu s pou r lim age inte rnationale q u e ce la le u r confère q u e pou r le s opportu nités indu ite s par ce s nou ve le s te ch nologie s, e ncore non pe rce ptib le s à le u rs ye u x. ln e xis te pas e ncore e n Gu inée, u ne politiq u e nationale e n m atière de Te ch nologie s de l Inform ation e t de la Com m u nication (TIC). D ans le dom aine de l Edu cation ily a de s initiative s dis pe rs ée s d introdu ction de s te ch nologie s. Q u e lq u e s ins titu tions d e ns e igne m e nt s u périe u r font de s e fforts «tim ide s» pou r u n déve loppe m e ntlocal. Ilfau tau s s i note r l e xis te nce de conne xions Inte rne t dans q u e lq u e s s e rvice s ce ntrau x u rb ains de l e ns e igne m e nt pré u nive rs itaire e t de s s e rvice s Inte rne t privés q u i favoris e nt l accès à de s form ations im portée s, diplôm ante s ou non. Le s te ch nologie s de l inform ation e t de la com m u nication s ont u n pu is s ant ou tilde déve loppe m e nt, grâce à le u r facu lté de rédu ire le s dis tance s e t le te m ps. Le Prés ide nt Am adou Tou m ani TO U RE indiq u e q u e le s TIC cons titu e nt «u ne donnée im portante de tou te politiq u e de m ode rnis ation de l Etat». Le s au torités du s onte n e ffe tconvaincu e s q u e le s TIC s ont u n pu is s ant ou til pou r atte indre rapide m e nt le s ob je ctifs de déve loppe m e nt du M i lénaire, l intégration régionale e t s ou s - régionale. Ce tte conviction s e s t tradu ite dans le s faits par la création d u n M inis tère ch argé de s nou ve le s te ch nologie s de l inform ation, s u ivant le s dis pos itions du D écre tn 02-49 8/P- RM du 16 octob re 2002, dénom m é M inis tère de la Com m u nication e tde s nou ve le s te ch nologie s de l inform ation (M CNTI). Le M CNTI ab rite la M is s ion de l Inform atiq u e e t de s nou ve le s te ch nologie s, créée par le D écre tn 006-615/P- RM du 13-12- 2000, s tru ctu re ch argée de l élab oration e t de la m is e e n oe u vre de la politiq u e nationale dans le cadre de l Initiative «Société de l inform ation e n Afriq u e» (AISI). La M is s ion de l inform atiq u e e t de s nou ve le s te ch nologie s s e ra plu s tard érigée e n Age nce de s te ch nologie s de l inform ation e tde la com m u nication par le s dis pos itions de la Loi n 05-002 du 10 janvie r 2005 e tdu D écre tn 05-052/P- RM du 8 févrie r 2005 fixant s on organis ation e t le s m odalités de s on fonctionne m e nt. Ce s s tru ctu re s au ront pe rm is au M inis tère de la Com m u nication e tde s nou ve le s te ch nologie s la réalis ation d u ne étu de s u r le s te ch nologie s de l inform ation e t de la com m u nication au, grâce à l appu i te ch niq u e e t financie r du Program m e de s Nations U nie s pou r le D éve loppe m e nt (PNU D ) e t la Com m is s ion Econom iq u e de s Nations U nie s pou r l Afriq u e (CEA). Ce tte étu de a pe rm is détab lir : > l état de s lie u x e n m atière de te ch nologie s de l inform ation e tde la com m u nication ; > l ide ntification de s b e s oins e t de s atte nte s de s différe nts acte u rs (Etat, s ociété civile e ts e cte u r privé) dans le dom aine de s te ch nologie s de l inform ation e tde la com m u nication ; > e tle s pe rs pe ctive s de déve loppe m e ntdu s e cte u r. Para lèle m e nt à ce tte étu de, le M inis tère de la Com m u nication e t de s nou ve le s te ch nologie s de l inform ation a organis é u ne s érie de réu nions e t de conce rtations ave c le s re prés e ntants de s différe nts départe m e nts m inis térie ls, le s parte naire s te ch niq u e s e t financie rs, le s opérate u rs de s e rvice s de télécom m u nication, la s ociété civile e tle s e cte u r privé opérantdans le dom aine de s te ch nologie s de l inform ation e t de la com m u nication. L ob je ctifde ce s conce rtations étaitde dégage r de m anière plu s cons e ns u e le d u ne part, le s priorités de déve loppe m e nt national, le s ob je ctifs s tratégiq u e s de la politiq u e nationale e t d au tre part, le s s e cte u rs prioritaire s d application du dom aine de s TIC. Su r la b as e de ce tte m éth odologie, de u x docu m e nts ont été élab orés : 1. u n docu m e nt de politiq u e nationale q u i donne le s grande s orie ntations, 2. u n docu m e nt de Plan s tratégiq u e nationalde m is e e n oe u vre q u i m e t l acce nt s u r le s actions concrète s, le s rôle s e t le s re s pons ab ilités de s acte u rs conce rnés, le cadre de conce rtation, le s parte nariats à prom ou voir, le s fich e s de s criptive s pou r le s principau x proje ts re te nu s e tle s délais d e xécu tion. Le docu m e nt de politiq u e nationale e t le Plan s tratégiq u e national de s te ch nologie s de l inform ation e t de la com m u nication porte nts u r s ix axe s prioritaire s :

Synth ès e du travailco lab oratifau s e in du Re s afad > le cadre ju ridiq u e e trégle m e ntaire, > le s infras tru ctu re s, > le s conte nu s e tle s applications, > le s m édias, > la coopération s ou s - régionale africaine e tinte rnationale, > e tle finance m e nt. L axe «conte nu s e tapplications» re latifau déve loppe m e nt de conte nu s s pécifiq u e s e t d applications s e ctorie le s dans le s dom aine s prioritaire s du déve loppe m e ntdu pays re tie nt «l édu cation e t le re nforce m e nt de s capacités» com m e étantla priorité de s priorités. L e ngage m e ntde s au torités du e n m atière de TICE s e tradu it par l adoption d u ne politiq u e d introdu ction de s TIC à tou s le s nive au x du s ys tèm e édu catif e n tant q u ou tils d appre ntis s age e tde form ation pédagogiq u e. Le s au torités e s tim e nt e n e ffe t q u e ce le - ci pe rm e ttra non s e u le m e nt d am éliore r la q u alité de s e ns e igne m e nts, m ais égale m e nt de rédu ire la fractu re édu cative grâce à l e ns e igne m e nt à dis tance. Ce tte politiq u e d introdu ction de s TIC dans l édu cation porte ra égale m e nt s u r la cons titu tion d éq u ipe s de re ch e rch e q u i travai le ronts u r tou s le s as pe cts de s TICE, la re ch e rch e s cie ntifiq u e e t la création de filière s s pécialis ée s à l U nive rs ité e t dans le s grande s école s, la form ation de form ate u rs e t la form ation continu e dans le dom aine de s TICE. Ains i, la politiq u e d intégration de s TICE définie dans le Plan s tratégiq u e nationalde s te ch nologie s de l inform ation e tde la com m u nication a re te nu q u atre ob je ctifs pou r le déve loppe m e nt du s e cte u r de l édu cation. Ch aq u e ob je ctif a été décliné e n actions prioritaire s à m e ne r à cou rt, m oye n ou long te rm e s. Le s au torités ontcons cie nce de l apportde s TICE dans notre s ys tèm e édu catif. Plu s ie u rs s ignau x s ont e nvoyés s u r la b as e de pre s s ion de s b ai le u rs dans le cadre de la m ode rnis ation de s e ns e igne m e nts voire de l organis ation du s ys tèm e glob al. Ce pe ndant, le s m e s u re s d accom pagne m e nt (m oye ns organis ationne ls e tfinancie rs ) e s s e ntie le s à la réu s s ite de s réform e s e ngagée s n ontpas s u ivi. D ans u ne ge s tion à flu x te ndu, le s b e s oins de b as e étant difficile m e nt réglés, la priorité n a jam ais été accordée au x TICE. Priorité pou r le déve loppe m e nt de s TIC au nive au gou ve rne m e ntal: Le s docu m e nts gou ve rne m e ntau x s u ivants place nt le déve loppe m e nt de lu tilis ation de s TIC au rang de priorité nationale : > IX èm e Plan de D éve loppe m e nt Econom iq u e e t Social (19 9 6-2002), > le D ocu m e nt Stratégiq u e de Rédu ction de la Pau vre té (2002), > Politiq u e Nationale de Bonne Gou ve rnance (2002), > D is cou rs de Politiq u e générale du Pre m ie r M inis tre e n 2004. M is e e n place de s tru ctu re s nationale s : > Age nce de Régu lation de s Télécom m u nications e t de la Pos te, rédaction du Code de s télécom m u nications e n 2001 > Age nce D e linform atiq u e de letat, Intrane t Gou ve rne m e ntale n 2004 Pou r lédu cation, le s élém e nts q u i indiq u e nt le nive au de ngage m e ntde s au torités s ont: > le s déclarations du Prés ide ntde la Répu b liq u e, q u i e s tu n partis an de linte ns ification de lu tilis ation de s TIC, ave c de s prom e s s e s déq u ipe m e ntm as s ifde s étab lis s e m e nts > Le déve loppe m e nt du Sch ém a D ire cte u r Inform atiq u e dans la pre m ière ph as e du PD EF, m ais ils agis s ait de travai le r s u r linform atis ation de s s tru ctu re s adm inis trative s. Le SD I 2 intègre la dim e ns ion pédagogiq u e. > le s parte nariats e ntre le M inis tère de ledu cation e t le s e cte u r privé (SO NATEL, CISCO, M icros oft, e tc.), > le Sém inaire Nationals u r le s TICE (2005). L e ngage m e nt de s au torités togolais e s s e s itu e au nive au m inis térie l. Le M inis tère de l Edu cation nationale e tce lu i de l Ens e igne m e nt Te ch niq u e e t de la Form ation Profe s s ionne le te nte nt de tradu ire dans le s faits le s orie ntations définie s par le gou ve rne m e nt e n m atière d u tilis ation de s TIC dans l e ns e igne m e nt. S iln e xis te pas actu e le m e nt u ne dire ction q u i a e n ch arge la m is e e n œ u vre de s orie ntations pris e s par le gou ve rne m e nt, ce rtaine s dire ctions initie ntde s program m e s de form ation à 113

114 l u tilis ation de s TICE dans l adm inis tration e t dans l e ns e igne m e nt. O n pe u t s ignale r l e ngage m e nt de l U nive rs ité de Lom é à trave rs le Ce ntre Inform atiq u e e tde Calcu l(cic) e tle Ce ntre de Form ation à D is tance, q u i font de l u tilis ation de s TIC dans l e ns e igne m e nt le u rs priorités. O n pe u t au s s i s ignale r le s initiative s de form ation de s cadre s de l e ns e igne m e nt opérée s par le RESAFAD -.

Synth ès e du travailco lab oratifau s e in du Re s afad 2 Stratégie s : q ue le s s ontle s priorités affich ée s?y- a- t- ilun plan d e ns e m b le re liantl adm inis tratif e tle pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE? Le s priorités affich ée s s ont différe nte s s e lon le s trois m inis tère s au Bénin. Le m inis tère de s e ns e igne m e nts prim aire e t s e condaire m e t lacce nt s u r le déve loppe m e nt de lu s age de s TICE, notam m e nt dans le s étab lis s e m e nts. Le m inis tère de le ns e igne m e nt te ch niq u e e t de la form ation profe s s ionne le a ins crit dans s e s axe s s tratégiq u e s le déve loppe m e nt de la form ation à dis tance. Ce la ne s ignifie pas q u e ce tte volonté s oit appropriée e t re layée par le s dire ctions conce rnée s. Le m inis tère de le ns e igne m e nt s u périe u r e t de la re ch e rch e s cie ntifiq u e e xprim e s a volonté de déve loppe r la form ation à dis tance e ntre le s pôle s u nive rs itaire s dab om e y- Calavi e t Parak ou, notam m e nt par la vis ioconfére nce. D ans au cu n de s trois m inis tère s, la re s pons ab ilité claire e t s pécifiq u e par u ne s tru ctu re ide ntifiée de la pris e e n ch arge du ne politiq u e TICE ne s t évide nte, tant au nive au de s dire ctions ce ntrale s de s m inis tère s q u au nive au de s u nive rs ités. Le s priorités affich ée s s ont ;la cons tru ction e t l éq u ipe m e nt de ce ntre s inform atiq u e s à de s tination de s e ns e ignants, de s élève s e tétu diants. Le s actions dans le dom aine pédagogiq u e s ont e ncore e m b ryonnaire s du fait de la rare té de s s pécialis te s e n la m atière. Be nin G ab on Au Gab on, ilne xis te pas actu e le m e ntde plan de ns e m b le re liant ladm inis tratif e t le pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE. En de h ors du plan déq u ipe m e nt de s lycée s de 2001 au cu ne au tre initiative vis ant à prom ou voir le s TIC dans lédu cation na été e nre gis trée ju s q u e là. Tou te fois létu de de fais ab ilité réalis ée dans le cadre du proje t Rés e au de D éve loppe m e ntd u rab le Inte rne t(rd D - INTERNET) confirm e le xis te nce du n parc im portant dordinate u rs. U n s ch ém a dire cte u r de linform atiq u e (plan inform atiq u e ) du m inis tère de ledu cation nationale e s t prévu pou r ju i le t 2006. En prélu de à ce plan inform atiq u e, de s form ations (initiation à linform atiq u e, initiation à la ge s tion de la carte s colaire ) ont été donnée s au x age nts du dit m inis tère. Ce s ch ém a dire cte u r de vrait favoris e r la réorganis ation de s s tru ctu re s e t la s im plification adm inis trative, notam m e nt e n ce q u i conce rne la ge s tion du pe rs onne l e t de s avance m e nts. La produ ction, la diffu s ion e tla circu lation de linform ation, e s te nvis agée dans le cadre de lanim ation de ce ntre s de docu m e ntation e t dinform ation (CD I) placés dans ladm inis tration ce ntrale e tle s étab lis s e m e nts. Il n e xis te pas de plan d e ns e m b le re liant le te ch nologiq u e /infras tru ctu re, l adm inis tratif/ge s tion e t le pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE. O n note ce pe ndant, dans le cadre de la coopération, l e xis te nce de Proje ts d introdu ction de ce s te ch nologie s, com m e par e xe m ple le PEPTe tle PAD ES. D ans le s Ins titu tions d Ens e igne m e nt Su périe u r e t le s s a le s de re s s ou rce s de s s e rvice s ce ntrau x à infras tru ctu re pe u adaptée, de s s tru ctu re s de ge s tion adm inis trative inform atis ée e t de s conne xions Inte rne t e xis te nt. M ais la ge s tion pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE n e xis te q u e pou r l initiation à l u tilis ation de l ordinate u r, notam m e nt pou r le traite m e ntde te xte e tle s tab le u rs. D e ce q u i s e pratiq u e actu e le m e ntdans le pays, l e xis tant e s taxé s u r le s form ations à dis tance à trave rs la radio (EIR du NFQ E, le s cou rs à dis tance du SNED ), l initiation à la re ch e rch e d inform ations édu cative s s u r le ne t (s a le de re s s ou rce s inform atiq u e s de l ISSEG, de l U nive rs ité de Conak ry,.). Sinon, le s u tilis ate u rs d Inte rne t s ont s u rtou t focalis és s u r la m e s s age rie éle ctroniq u e. Le Plan s tratégiq u e nationald intégration de s TICE au a égale m e ntide ntifié de s ob je ctifs e tde s actions prioritaire s à cou rt te rm e pou r la période 2005-2007. Ce s ob je ctifs e t ce s actions s ont: 115

116 O b je ctif1 : Intégre r le s TIC dans le s program m e s de l édu cation form e le e tnon form e le, dans l adm inis tration s colaire e tla re ch e rch e s cie ntifiq u e. > Action 1 : Eq u ipe m e nt e n m atérie ltic e t conne xion de tou s le s étab lis s e m e nts s colaire s e t u nive rs itaire s du pays, accom pagné de program m e s de form ation de s age nts à l e ntre tie n e tà l u tilis ation de ce m atérie l. > Action 1.1 : Eq u ipe m e nt par année e n ordinate u rs e t acce s s oire s TIC d au m oins 10 étab lis s e m e nts du fondam e ntal, 10 étab lis s e m e nts du s e condaire e t 3 du s u périe u r le s conne cte r à Inte rne te tle s conne cte r e ntre e u x. > Action 1. 2 : Elab oration d ou tils pédagogiq u e s e n TIC ains i q u e de cu rricu la appropriés pou r l e ns e igne m e nt e t l appre ntis s age de s TIC. O b je ctif2 : Elab ore r e t m e ttre e n place u n plan de form ation initiale de s re s s ou rce s h u m aine s dans le dom aine de s TIC. > Action 1 : Création d ins titu ts de form ation te ch niq u e e t profe s s ionne le s pécialis és dans le dom aine de s TIC. > Action 1.1 : Création au nive au de trois régions e t du D is trict de Bam ak o d u n ins titu t de form ation te ch niq u e e t profe s s ionne le s pécialis é dans le dom aine de s TIC. > Action 2 : Introdu ction de s te ch nologie s de l inform ation e t de la com m u nication (TIC) dans le cu rs u s u nive rs itaire au nive au de tou te s le s facu ltés. O b je ctifs 3 : Elab ore r e tm e ttre e n oe u vre u n plan de form ation continu e de s re s s ou rce s h u m aine s dans le dom aine de s TIC. > Action 1 : O rganis ation de la form ation continu e de s age nts de l Etat, de s élém e nts de la s ociété civile e tdu s e cte u r privé dans le dom aine de s TIC. e t de s Co le ctivités Te rritoriale s, de s élém e nts de la s ociété civile e tdu s e cte u r privé dans le dom aine de s TIC, à rais on de trois ate lie rs par an (pou r le s age nts de l Etat e t de s Co le ctivités Te rritoriale s ). > Action 2 : Form ation de s form ate u rs dans le dom aine de s TIC. > Action 2.1 : Form ation de s form ate u rs dans le dom aine de s TIC (trois ate lie rs par an). > Action 3 : O rganis ation d ate lie rs, de s ém inaire s, de s ym pos iu m s de s e ns ib ilis ation, d inform ation e t de form ation s u r la Société de l inform ation e t du s avoir partagé e t e n particu lie r dans le dom aine de s TIC. > Action 3.1 : O rganis ation d u ne re ncontre par an de s e ns ib ilis ation d inform ation e tde form ation s u r la Société de l inform ation e tdu s avoir partagé e te n particu lie r dans le dom aine de s TIC. > Action 4 : O rganis ation d u n ate lie r national s u r le s b e s oins e n re s s ou rce s h u m aine s à cou rt, m oye n e t long te rm e s cou vranttou s le s s e cte u rs de l économ ie nationale dans le dom aine de s TIC. O b je ctif4 : As s u re r l e m ploi e t la com pétitivité de s re s s ou rce s h u m aine s dans le dom aine de s TIC. 1 : Adjonction à tou s le s proje ts TIC de grande e nve rgu re de vole ts de form ation e tde trans fe rtde form ation. 2 : Plan d e ns e m b le re liant le te ch nologiq u e /infras tru ctu re s, l adm inis tratif/ge s tion e t le pédagogiq u e dans le dom aine de s TICE: Lors q u on ob s e rve la politiq u e d intégration de s TICE e t s a s tratégie de m is e e n oe u vre, on s e re nd com pte q u e le intègre de s actions tou ch antau x dom aine s te ch nologiq u e s e t infras tru ctu re s, adm inis tratif/ge s tion e t pédagogiq u e com m e l indiq u e le tab le au prés e nté e n page s u ivante : > Action 1.1 : O rganis ation de la form ation continu e de s age nts de l Etat,