Observatoire du BÂTIMENT De votre Centre de Gestion Agréé e trimestre MAÇONNERIE - COUVERTURE - ÉLECTRICITÉ - MENUISERIE - PLOMBERIE - CARRELAGE - PLÂTRERIE - PEINTURE CHIFFRES CLÉS EN AQUITAINE Les indicateurs s améliorent Indicateurs économiques encourageants. > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE Amorce d une amélioration pour les deux secteurs d activité. Évolution du chiffre d affaires (Solde entre les panélistes déclarant une hausse et ceux déclarant une baisse de CA) Gros œuvre Second œuvre Gros œuvre Second œuvre - - - - - 7 - - - - 8 - - - - Trésorerie maîtrisée pour une majorité de panélistes (gros et second œuvre confondus). 7% 71% 7% 7% 7% 7% Gros œuvre Second œuvre 8% 7% > CARNET DE COMMANDES 11 semaines, inchangé par rapport au e trimestre. 1 11 11 Par secteur d activité DONNÉES NATIONALES 8 GROS ŒUVRE SECOND ŒUVRE Nette amélioration de la situation. Solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois - - - -7 - - 1 Gros œuvre Second œuvre L activité dans la construction neuve : - % au e trimestre (- % au 1 er trimestre ). L activité dans l entretien-rénovation : - 1 % au e trimestre (- 1 % au 1 er trimestre ). Évolution de l activité attendue sur l année : - 1 % (neuf : - % ; entretien-rénovation : + 1 %). 1T1 T1-1,% - % - % - % - % - % Source : CAPEB
MAÇONNERIE Indicateurs économiques partagés Amorce d une amélioration de l opinion. - 7 1 > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) La situation est stabilisée. % 7% T1 % 7% 7% % % % 1% % % 11% OPTIMISTES INDÉCIS PESSIMISTES % % 7% % % % 1% 1% 8% % % % % NC % % 17% 8% % % % 1% % 7% 1% > Le solde d opinion des entreprises de ans est positif (+ points) tandis que celui des entreprises de + de ans demeure légèrement négatif (- points). Le moral des entrepreneurs par zone > Le deuxième semestre se caractérise par une stabilisation des performances commerciales des entreprises du secteur (+ points). > Les entreprises rurales affichent de meilleures performances avec % des panélistes bénéficiant d une hausse de leur chiffre d affaires. A contrario, 7 % des entreprises urbaines déclarent un CA en baisse. Carnet de commandes par département % 7% % % % % 11 11 11 11 ZONE RURALE ZONE URBAINE AQUITAINE DORDOGNE GIRONDE LANDES LOT-ET-GAR. PYR.-ATLAN. Une majorité d entreprises conservent une trésorerie positive. Moins d entreprises destructrices d emplois. Évolution des effectifs de la profession Solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois 7% 1/7/1 71% 7% 7% 7% 1//1 1/1/ 1// 1/7/ - > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois reste négatif (- points au e trimestre ). Malgré l amélioration constatée depuis le début de l année, la tendance devrait rester négative sur la fin de l année. -
COUVERTURE Des indicateurs économiques encourageants Retour vers l optimisme. 7 OPTIMISTES INDÉCIS PESSIMISTES 1% 11% % % % > Les entreprises les plus jeunes (- ans) sont plus optimistes quant à l évolution économique de leur secteur (7 % ont une vision positive contre 1 % chez les entreprises de + ans). NC % 81% 7% > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Amélioration des performances commerciales. % % T1 8% % 7% % 1% % 7% % 7% 17% > La situation économique globale s améliore. Cependant, elle évolue différemment pour les entreprises rurales et urbaines. Tandis que les premières (à 78 %) se dirigent vers une stabilisation de leur CA, les entreprises situées en zone urbaine sont % à déclarer une baisse de leurs performances commerciales. % 11% 11% 8% % 11% 7% 1% NC % % 11% 8% 1% Le moral des entrepreneurs par zone Carnet de commandes par département % 7% 11% 11% 7% 17% ZONE RURALE ZONE URBAINE 1 1 1 1 1 AQUITAINE DORDOGNE GIRONDE LANDES LOT-ET-GAR. PYR.-ATLAN. Maîtrisée pour une forte majorité de panélistes. 8% 7% 7% 7% 7% La dynamique reste positive. Évolution des effectifs du secteur Solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois 7 1/7/1 1//1 1/1/ 1// 1/7/ - > Les entreprises situées en zone urbaine sont les plus nombreuses à détruire de l emploi : 1 % envisagent une baisse de leurs effectifs. A contrario, % des entreprises rurales ont vu leurs effectifs augmenter.
ÉLECTRICITÉ Une situation globale en progrès Retour à l optimisme. - 1-1 > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Stabilisation des performances commerciales. % % T1 7% % % % 7% % 1% % 11% 1% % OPTIMISTES INDÉCIS PESSIMISTES 8% 18% % 7% % % % 1% % 1% NC % % 11% 7% 1% 1% 7% 11% 1% % 1% % 8% % > Entreprises de ans : les jeunes entreprises sont plus nom breuses (%) à avoir une vision positive de l avenir économique de leur secteur que les entreprises de + ans (). > L optimisme est de mise pour les entreprises en zone urbaines (solde de + points). A contrario, les panélistes ruraux demeurent pessimistes (solde de 8 points). Le moral des entrepreneurs par zone > Les entreprises récemment créées (- de ans) sont les plus nombreuses à enregistrer des performances commerciales en hausse (7% du panel ; % pour les + ans). > Les entreprises rurales restent plus affectées par la conjoncture : % déclarent une baisse de chiffre d affaires (17 % en zone urbaine). Carnet de commandes par département % % % % ZONE RURALE ZONE URBAINE 11 AQUITAINE DORDOGNE GIRONDE LANDES LOT-ET-GAR. PYR.-ATLAN. 11 8 Bonne santé financière chez une forte majorité de panélistes. Amélioration provisoire? Évolution des effectifs du secteur Solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois 7% % 7% 71% 8% - - - 1/7/1 1//1 1/1/ 1// 1/7/ > Les baisses d effectifs touchent davantage les entreprises de + ans ; % déclarant une baisse de leurs effectifs sur le semestre passé contre % chez les entreprises les plus jeunes (- ans).
MENUISERIE Amélioration des indicateurs Forte amélioration des perspectives. - > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Performances commerciales à la hausse. % % % % % 7% % 7% % % % 11% 1% T1 OPTIMISTES INDÉCIS PESSIMISTES % 7% % % % % % 7% % % 7% 17% % % % 7% % % % % % % % 7% % 7% % % > Les jeunes entreprises (- ans) restent les plus confiantes. Elles sont % à avoir une vision positive de l évolution économique de leur secteur. Les entreprises de + ans sont plus pessimistes : 1 % ont une vision positive de l avenir. > Les performances commerciales sont relativement stables pour les entreprises, tous secteurs d implantation confondus. Cependant, les entreprises rurales pâtissent un peu plus de la conjoncture : % d entre elles affichent une baisse de leur CA contre 18 % des entreprises urbaines. Le moral des entrepreneurs par zone Carnet de commandes par département % % 1% 1% % % 8 7 7 ZONE RURALE ZONE URBAINE AQUITAINE DORDOGNE GIRONDE LANDES LOT-ET-GAR. PYR.-ATLAN. Trésoreries globalement saines. 7% 71% 7% 7% 71% Le marché de l emploi progresse. Évolution des effectifs du secteur Solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois 1 1/7/1 1//1 1/1/ 1// 1/7/ 1 - > Forte amélioration du marché de l emploi avec un solde positif entre entreprises créatrices et destructrices d emplois (+ points). % des entreprises du secteur (lieu d implantation et ancienneté confondus) envisagent une hausse de leurs effectifs au e trimestre.
PLOMBERIE Des indicateurs économiques confortants Recul du pessimisme. > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Stabilisation des performances commerciales. % % 1% % % - - - % 7% % % % % T1 > La vision économique progresse : 7 % des panélistes sont optimistes quant à l évolution économique (contre 1 % du panel le trimestre précédent). Les jeunes entreprises (- ans) sont les plus confiantes, 1 % ayant une vision positive de l avenir, contre % des entreprises de + ans. > Ce trimestre, le nombre d entreprises affichant une baisse de leur CA diminue (- points par rapport au trimestre précédent). Les entreprises urbaines sont plus impactées par la conjoncture : % du panel déclarent une baisse de CA (1% en zone rurale). > La trésorerie est positive pour 81 % du panel (soit une hausse de points par rapport au semestre précédent). : UN MARCHÉ DE L EMPLOI MOROSE Légère amélioration du marché de l emploi. Cependant, le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emploi demeure négatif (- 7 points ; - 11 points au 1 er trimestre). Cette tendance positive devrait perdurer au e trimestre, tout en gardant un solde négatif. CARRELAGE Évolution positive de la situation économique Stabilisation des indicateurs. > Les entreprises urbaines demeurent les plus optimistes : % ont une vision positive de l avenir du secteur contre 1 % pour les entreprises rurales. - > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Des performances commerciales stables. % 1% T1 8% % % % % 7% 1% > Les entreprises urbaines déclarent une reprise d activité, % d entre elles affichant une hausse de leur chiffre d affaires. Les entreprises rurales sont les plus nombreuses à témoigner d une baisse de leur CA (1 %). > Les trésoreries sont maîtrisées pour une majorité de panélistes : 81 % des entreprises interrogées affichent une trésorerie positive. : AMÉLIORATION DU MARCHÉ DE L EMPLOI > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois demeure positif (+ point ; + 1 point le trimestre précédent).
PLÂTRERIE 7 Indicateurs économiques encourageants > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Amélioration de l opinion. Évolution économique prometteuse. % % 7% % % 8% % % % % T1 % 1% 18% > Le panel des optimistes augmente depuis le 1 er trimestre : à cette date, 1 % des entrepreneurs interrogés déclaraient leur optimisme. Cette proportion s établit à % pour le e trimestre. > Cependant, une majorité d entrepreneurs reste indécise quant à l évolution économique de leur secteur d activité. > Les entreprises les plus jeunes (- ans) affichent de meilleurs résultats économiques ce semestre que leurs homologues plus âgés (+ ans). Réciproquement, % et 1 % déclarent un CA en hausse. > Légère baisse du nombre de panélistes bénéficiant d une trésorerie positive par rapport au trimestre précédent (7 % en avril, 7 % ce trimestre). : SITUATION CRITIQUE POUR L EMPLOI Les entreprises du secteur continuent de détruire de l emploi avec un solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois de - 8 points. Les perspectives restent négatives pour le trimestre à venir. PEINTURE Indicateurs économique favorables Amélioration de l opinion. > ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ( / T1) Situation stabilisée pour une majorité de panélistes. 1 1% % % % 7% - - 7 1% % % T1 % % % % % > Les entrepreneurs situés en zone rurale sont plus optimistes ( %) que leurs collègues localisés en zone urbaine ( %). Cependant les entreprises urbaines affichent une plus forte amélioration de l opinion entre le e trimestre et le e trimestre (+ points contre - points pour les entreprises rurales). > Les entreprises urbaines sont les plus nombreuses à bénéficier de performances commerciales en hausse : % affichent un CA en progression face à % des entreprises rurales. > La part d entreprises bénéficiant d une trésorerie positive persiste dans sa progression ce semestre (81 %). : REBOND DU MARCHÉ DE L EMPLOI > Le solde entre entreprises créatrices et destructrices d emplois reste positif au e trimestre (+ points ; + 7 points au 1 er trimestre ).
TPE : NOUVELLES MESURES Des mesures pour relancer l activité et l embauche des TPE-PME Aides à l embauche et à l apprentissage, prêts inter-entreprises, réforme de la procédure prud homale, incitation à l épargne salariale Engagé dans la bataille contre le chômage, le gouvernement a actionné ces derniers mois plusieurs leviers et instauré un panel de mesures afin d encourager l activité des entreprises et de lever les freins à l emploi. > Des aides pour recruter Pour aller chercher cette croissance tant attendue et améliorer la situation de l emploi, Manuel Valls a présenté au printemps dernier un grand plan pour relancer l activité économique des petites entreprises, et notamment celles du bâtiment. Ainsi, pour développer l emploi dans les TPE, une nouvelle mesure vient de faire son apparition. Parce que bien souvent, l entreprise ne dispose pas de toutes les ressources nécessaires pour embaucher, le gouvernement a consenti à un coup de pouce. Présentée le juin dernier, l aide à l embauche du premier salarié est une des mesures phares du plan gouvernemental pour les TPE. Ce dispositif est d ores et déjà entré en vigueur. Il entend inciter les dirigeants à recruter en leur versant une prime de euros, par tranches de euros tous les trois mois. Il s applique dès à présent à toute entreprise sans aucun salarié, qui effectue sa première embauche en CDI ou CDD de plus d un an, signée entre le juin et le 8 juin 1. Cette aide temporaire cible en particulier les 1, million de TPE qui n emploient aucun salarié et entend encourager les entrepreneurs ou artisans à sauter le pas et franchir le cap difficile du premier recrutement. Le gouvernement table sur la création de à 8 emplois. À noter que cette prime s ajoute aux allègements de cotisations sociales, au CICE et au Pacte de responsabilité. Mais en dehors de ces nouveaux dispositifs, il existe déjà des aides régionales à l embauche. Afin d accompagner la création du premier emploi en CDI dans les très petites entreprises qui affichent plus d un an d activité, la Région Aquitaine propose ainsi une aide de euros pour un emploi à temps complet. Si la durée du travail est inférieure, l aide est calculée au prorata. > Embaucher un apprenti pour zéro euro Relancer l emploi, c est aussi relancer l apprentissage. Aussi, un certain nombre de mesures ont également été prises pour renforcer l attractivité de l apprentissage pour les employeurs et améliorer le statut de l apprenti. L objectif du gouvernement étant de former apprentis d ici à 17 alors qu un repli a été enregistré en 1 (- %). S appliquant aux contrats signés depuis le 1 er juin, le dispositif «zéro charge» instaure pour les apprentis mineurs, travaillant dans une très petite entreprise (TPE), une prime trimestrielle de 1 la première année. Elle est cumulable avec la prime de euros pour le recrutement d un apprenti ainsi qu avec le dispositif «zéro charges sociales» déjà en place pour les apprentis dans les TPE, permettant ainsi de couvrir l intégralité du coût d un apprenti mineur ( mensuels). De son côté, la Région Aquitaine verse une aide financière de par an pour les entreprises de moins de 11 salariés ainsi qu une aide au recrutement de euros pour l embauche d un nouvel apprenti supplémentaire. > Des prêts inter entreprises Parallèlement au plan du gouvernement pour les TPE-PME, la loi pour la croissance, l activité et l égalité des chances économiques, dite loi Macron a été promulguée en août dernier. Elle vise pour sa part, à agir sur tous les leviers pour favoriser la relance de la croissance, de l investissement et de l emploi. Parmi les nombreuses dispositions de nature à faciliter certains aspects de la vie des entreprises, la loi Macron a notamment souhaité mettre en place une nouvelle facilité de financement pour les PME et ETI en mal de trésorerie et qui font trop souvent faillite à cause d un refus des banques de leur prêter de l argent. Ce dispositif innovant va permettre, notamment aux petites entreprises, de financer des projets sans recourir aux banques, selon certaines conditions. Ainsi, une entreprise excédentaire pourra prêter par simple contrat de l argent à un fournisseur ou à un sous-traitant en mal de trésorerie pour une durée de deux ans maximum. Il est en revanche impératif que les deux entités entretiennent des liens économiques. Attendus très prochainement, les décrets d application de la loi devront encadrer plus précisément le contrat de prêt pour éviter les éventuels abus et clarifier les différents types de relation (client-fournisseur et prêteur-emprunteur) entre les deux parties. > Mais aussi La loi Macron entend aussi profondément réformer les prud hommes ainsi que leur mode de fonctionnement. Afin d assurer une plus grande sécurité juridique et favoriser l emploi, cette mesure prévoyait initialement de réduire la durée des procédures et de plafonner les indemnités prud homales accordées aux salariés licenciés sans cause sérieuse, en fonction notamment de l effectif de l entreprise. Mais en août dernier le conseil constitutionnel a retoqué le choix d un critère de taille de l entreprise, sans pour autant contester le principe d un tel plafonnement. Les autres dispositions sur la justice prud homale inscrites dans la loi ont été validées et un décret relatif à la nouvelle procédure est attendu en octobre. Enfin, la loi Macron instaure un régime social plus avantageux pour les primes d épargne salariale. Ainsi, afin d inciter les PME de moins de salariés à opter pour l épargne salariale, la loi Macron abaisse à partir du 1 er janvier 1, le taux du forfait social à 8 % pendant ans, contre % normalement. Centres de gestion ayant participé ce trimestre à la collecte des informations CGA (Dordogne) CREA@VALLEE SUD Route de Vergt Notre Dame de Sanilhac Tél. 7 Mail : info@cga.org Site : www.cga.org CGA des Landes de Gascogne Centre commercial de Christus chemin de Talence - BP 7 1 Saint Paul lès Dax Cedex Tél. 8 1 Mail : contact@cga.fr Site : www.cga.fr CEGAL (Gironde) rue Jules FABRE Libourne Tél. 7 1 1 Mail : cegal@wanadoo.fr Site : www.cegal.info CECOGEB (Gironde) 17 Place de la Bourse - CS 1 Bordeaux cedex Tél. 7 1 7 Mail : infos@cecogeb.fr Site : www.cecogeb.fr CGA (Lot-et-Garonne) place du Maréchal FOCH BP 8-7 Agen cedex Tél. 8 Mail : info@cga.fr Site : www.cga.fr CEGAPA (Pyrénées-Atlantiques) avenue Trespoey Pau Tél. 8 Mail : cegapa@wanadoo.fr Site : www.cegapa.fr CEGECOBA (Pyrénées-Atlantiques) allée des Bois de Florence CS - Anglet Cedex Tél: Mail: c.pecastaings@cegecoba.com Site : www.cegecoba.com Sous réserve d erreurs typographiques - L Observatoire du Bâtiment est une publication du CECOGEB - 17 Place de la Bourse CS 1 - Bordeaux Cedex SIRET n 1 1 - Directeur de la publication : Éric STEPHANT - Réalisation : agence eden - Dépôt légal à parution.