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Transcription:

SAINT JEAN-LE BLANC 03 mai 2016 Révision du PLU L assemblée comptait une centaine de personnes La présentation est annexée au présent compte-rendu. COMPTE RENDU REUNION PUBLIQUE n 2 1. Introduction : M. BOIS, Maire, introduit la réunion en rappelant à quel stade de la procédure se situe la révision du Plan Local d urbanisme. M. CORJON, adjoint à l Urbanisme, rappelle que la révision du PLU a été engagée principalement pour prendre en compte le nouveau Plan de Prévention du Risque Inondation de la Loire «Val d Orléans». Question n 1 : qu est ce qu une dent creuse? 2. Présentation des grandes lignes du zonage Selon le bureau d études, une dent creuse ou «espace vacant» est une parcelle non bâtie entre deux terrains construits et de taille plutôt réduite (pouvant accueillir entre 1 à 3 maisons environ). Elle se différencie des cœurs d îlots, de taille plus importante, insérés dans un tissu urbain et généralement à l arrière d un front bâti existant. Question n 2 : dans quel secteur se situe la future piscine intercommunale? Cette dernière est classée en zone UH vers la zone d activités de la Cornaillère, à savoir une zone spécifiquement dédiée à l accueil d équipements d intérêt général. Question n 3 : pour quelles raisons la ferme des Cassines ne bénéficie pas d un classement en Ah? * Les anciennes fermes disposent d un classement en Ah lorsque leur destination n est plus agricole et qu un projet particulier est envisagé notamment pour de nouvelles constructions. Si l exploitant fait valoir auprès de la commune la nécessité de permettre le changement de destination de certains bâtiments, une identification spécifique pourra bien évidemment être faite dans le cadre du PLU. Si cela n est pas fait lors de la révision, l exploitant ne pourra plus assurer un changement de destination. L exploitant en question n a pas fait connaître, lors de l atelier agricole, son projet de modifier la destination d un de ses bâtiments. L exploitant a jusqu à l enquête publique pour faire sa demande. 1

Question n 4 : comment attirer de nouveaux exploitants sur la commune avec des contraintes aussi fortes? Le bureau d études rappelle que le PPRI encadre de manière importante l implantation des bâtiments en zone agricole. Le PLU ne fait qu appliquer ces restrictions. Question n 5 : comment sont sélectionnés les Eléments du Paysage à Conserver? Le bureau d études s est basé sur les éléments déjà identifiés dans le PLU actuel et son paysagiste est venu apporter son avis sur l opportunité d un tel classement. L objectif de cet outil est de conserver sur la commune le patrimoine naturel et bâti qui la caractérise. Certains propriétaires ont également demandé que leur patrimoine naturel soit préservé et la commune a répondu favorablement à leur demande. Question n 6 : le devenir du site de l ancien collège Etienne Dolet? Ce site appartient à la Ville d Orléans. En inscrivant la servitude d attente qui gèle la constructibilité pendant 5 ans maximum, la commune prend en compte les enjeux de réhabilitation de ce site qui constitue une véritable «verrue» dans le paysage de la commune. Question n 7 : que serat-il admis en secteur Ns? Le secteur Ns a été défini afin d autoriser uniquement les stationnements des entreprises implantées dans la zone de la Cornaillère mais aussi pour réaliser une frange paysagée filtrante entre cette zone d activités et l espace agricole. Question n 8 : qu est ce que la mixité des fonctions? Cela signifie que le PLU ne doit pas nécessairement définir des zones dédiées uniquement à l habitat. Il doit également permettre l implantation d activités non nuisantes constituant le complément normal du tissu urbain comme cela est le cas dans les pôles de proximité (rue Général de Gaulle). Question n 9 : quelle forme revêt le logement social? Une maison de retraite peut-elle être assimilée à du logement social? Le logement social peut prendre la forme d immeubles collectifs comme la forme de pavillons accolés. Dans tous les cas, les opérations de logements sociaux devront respecter les aspects définis dans le PLU en termes de hauteur ou d emprise au sol Une maison de retraite n est pas considérée comme du logement social. 2

Question n 10 : pour quelles raisons la commune a fait disparaître certaines venelles? Cette problématique a été soulevée lors du diagnostic puisque ces dernières, qui constituent un atout pour le déplacement piéton, permettent aux habitants de se déplacer sans user de la voiture. Monsieur le Maire précise que les venelles qui ont fermées c est pour des raisons de sécurité. 3. Présentation des orientations d aménagement et de programmation Globalement, l ensemble des questions posées concernent le secteur de la Cossonnière. En effet, la levée de l emplacement réservé qui, de fait, avait figé l évolution des espaces, apporte de nouvelles perspectives de développement pour la commune sur ces quartiers. Les principales interrogations soulevées : - La prise en compte du risque inondation sur ces secteurs : le PPRI est une servitude d Etat qui a fait l objet d une étude spécifique beaucoup plus précise que l ancien PPRI. Sur ce secteur, aucune interdiction de construire n est inscrite. Toutefois, la constructibilité est encadrée par l emprise au sol.. Le PLU ne fait qu appliquer une servitude d Etat. Il est dommage que les habitants qui ne sont pas en accord avec le PPRI ne se soient pas manifestés lors de sa révision. Le bureau d études rappelle que le PPRI a évolué dans la mesure où les techniques de modélisation sont plus précises et permettent de définir le risque de manière plus fine. Le nouveau PPRI définit le risque selon la hauteur mais également selon la vitesse. Sur la question de la connaissance du risque, le propriétaire lors de l achat de son terrain est informé des risques existants sur la commune. - Les objectifs de la commune sur ces espaces? Qui va construire? : la commune n envisage pas de porter de projets sur ces espaces. Une partie des parcelles appartiennent à l agglomération d Orléans puisque l emplacement réservé actuellement en place était au bénéfice de cette collectivité. L agglomération pourra effectivement se séparer des terrains au bénéfice d un aménageur qui devra respecter les OAP en terme de compatibilité et non de conformité. Un plan avait été réalisé dans le cadre de l étude réalisée par l agence d urbanisme d Orléans sur ce secteur. La commune n envisage pas de porter des projets par le 3

biais de l expropriation ou du droit de préemption. - L inquiétude sur la multiplication de la circulation rues des Balles et rue Chèvre : concernant la rue des Balles, une disposition est inscrite dans les OAP afin d interdire les sorties de logements collectifs. Pour la rue Chèvre, c est pour le bureau d études, une réflexion globale sur la circulation qui doit être menée. La rue Chèvre doit-elle rester en double sens? - L opportunité de liaison entre la rue de Anguignis et l allée du Clos des Alisiers : un habitant s interroge sur le double sens proposé. Le bureau d études explique que les schémas proposés ne sont pas figés. La commune étudiera l opportunité de préserver ce double sens. - Le respect des orientations d aménagement : les orientations d aménagement et de programmation constituent une idée directrice de ce qui est attendu par la commune en termes de desserte (viaire, piétonne ou cycles), d espaces verts, de patrimoine etc Elle s oppose aux demandes d autorisation d urbanisme en termes de compatibilité ce qui laisse une marge d adaptation dans le projet. Le bureau d études avant de réaliser ces OAP, à réaliser des plans d aménagement plus précis pour s assurer de la faisabilité de l aménagement de ces secteurs. - L opportunité de créer une liaison entre la rue des Varennes et l avenue Gaston Galloux : ce carrefour supporte déjà un trafic important. Le fait d ajouter une desserte supplémentaire ne ferait qu aggraver la sécurité des usagers de l avenue. De plus, quel intérêt de créer une voie supplémentaire qui ne dessert aucune constructions? Le maintien d un espace vert et de la voie cycle actuelle est préconisé par la commune. - Quels sont les projets concrets sur la Cossonnière? La commune précise qu aucun projet n est pour le moment en attente sur ce secteur puisque l emplacement réservé ne pourra être levé qu à l approbation du PLU. Question n 11 : comment les 3 zones d aménagement présentées peuventelles absorber la nouvelle population pour atteindre les 10 000 habitants? 4. Questions diverses Le bureau d études présentent les secteurs /îlots dans lesquels le contrôle des modalités d aménagement doit être anticipé par le PLU. Toutefois, la commune dispose encore de nombreux terrains non bâtis dans son tissu urbain pouvant accueillir de nouvelles constructions. Ce potentiel s ajoute à celui identifié dans les secteurs de la Rosette, de la Cossonnière et de la Cerisaille. 4

Question n 12 : les documents présentés seront-t-ils disponibles en mairie ou sur le site Internet de la commune? Dans tous les cas, le bureau d études sera vigilant à ce que l objectif démographique soit cohérent avec le potentiel urbanisable. Effectivement, ces documents provisoires doivent être mis à la disposition de la population afin que chacun puisse prendre connaissance du projet de manière plus précise et faire des demandes auprès de la commune au besoin. Question n 13 : pourquoi ne pas préserver des zones maraîchères dans le tissu urbain? Cela est une très bonne question. Toutefois, il faut aussi trouver les exploitants qui souhaitent s installer ou maintenir leurs activités dans le tissu urbain avec les contraintes que cela peut apporter en termes d accessibilité pour les engins agricoles. Dans le cadre de la révision du PLU, seuls les jardins familiaux sont maintenus en secteurs de jardins alors que les parcs d intérêt patrimonial sont identifiés en tant qu éléments du paysage à conserver. Question n 14 : pourquoi des maisons se sont construites dans les zones d expansion des crues? Ces maisons se sont construites avec l ancien PPRI qui ne devait pas interdire la constructibilité à l époque. Le nouveau PPRI approuvé en janvier 2015, qui s appuie sur un procédé de modélisation plus précis, a donc évolué et ce qui est plutôt positif. Question n 15 : pour quelles raisons aucun terrain n est réservé pour les gens du voyage? Monsieur le Maire précise que l agglomération d Orléans gère la répartition des aires d accueil des gens du voyage. Plusieurs terrains ont été proposés à l AgglO mais aucun n a été retenu notamment vis-à-vis du risque inondation. 5