Centenaire du Prix Nobel de la paix au CICR : Mémorandum état 4
|
|
- Liliane Baril
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FONDATION GUSTAVE ADOR chez M. Roger Durand Route du Grand-Lancy Grand-Lancy Centenaire du Prix Nobel de la paix au CICR : Mémorandum état 4 1. Importance de l Agence et de Gustave Ador Pendant la Première guerre mondiale, le prix Nobel de la paix a été décerné une seule fois, en C est le CICR (notamment grâce à l Agence internationale des prisonniers de guerre) qui en a été honoré, pour son action humanitaire. Bien au-delà du retentissement de ce prix, l Agence a complètement modifié la place du CICR et de Genève dans le monde entier. En apportant à l institution humanitaire et à la ville-siège de celle-ci une image extrêmement positive, voire providentielle. En deux mots, l Agence a propulsé le CICR et Genève au panthéon du monde humanitaire. Autre conséquence indubitable, elle a créé, aux yeux des grands de ce monde, un capital de bienveillance qui a poussé le président Wilson, par exemple, à imposer Genève comme siège de la SDN. On ne sait pas assez que le rôle de Gustave Ador a été décisif dans l histoire de l Agence. Sans vouloir négliger les contributions de ses collègues, on peut avancer plusieurs hypothèses : - Dans la conception d une telle Agence : A la fin du XIX e siècle déjà, Gustave Ador a été un des principaux meneurs du CICR à promouvoir la problématique de l aide aux prisonniers de guerre. Aux 8 e et 9 e Conférences internationales de la Croix-Rouge (Londres en 1907, puis Washington en 1912), il se fait le porte-parole du CICR pour que celui-ci reçoive un mandat ad hoc. - Dans le lancement fulgurant de cette institution tellement urgente : Dès les premiers jours de la Première guerre mondiale, Ador lance l Agence avec une rapidité remarquable et un impact déterminé. Comme le prouvent les 158 e et 159 e circulaires qu il signe le 15 août 1914 déjà. - Dans son «innovation», puis son organisation : Apparemment, tout est à créer, à imaginer, à adapter dans des problématiques totalement nouvelles et dans une immédiateté à vous couper le souffle. Sans oublier la gravité des détresses humaines et les quantités bientôt exponentielles de cas à traiter. Gustave Ador semble présent dans les questions techniques comme les franchises postales ou la pénurie de locaux : en septembre déjà, ne met-il pas à la disposition de l Agence un étage de sa maison du 8 rue de l Athénée?
2 - Dans son fonctionnement, jusqu en juin 1917 au moins : D une part, il assume des tâches humbles comme l accueil d infirmières françaises dans son domaine de Hauterive en août 1916 ou comme une demande de renseignement individuelle dont il assure lui-même la rédaction. D autre part, il s engage et innove au plus haut niveau. Inaugurant une pratique tout à fait nouvelle pour un président du CICR, il se déplace en personne à l étranger. Non seulement, il va visiter des camps de prisonniers, en France et en Allemagne. Mais surtout, il négocie au plus haut niveau avec les belligérants qu il va voir personnellement. Enfin, il rédige lui-même les lettres de grande importance comme celle que le CICR envoie au pape Benoît XV. - Dans sa «présence» même lorsqu il réside à Berne Dès sa nomination au Conseil fédéral, Gustave Ador n a pas le choix. D un côté, il doit passer l essentiel de son temps dans la ville fédérale. D un autre, il doit laisser la direction du CICR et de l Agence à l un de ses pairs, en l occurrence le distingué égyptologue Edouard Naville qui est son quasi contemporain (ils accusent chacun 72 et 73 ans au compteur). L examen des PV de l Agence, fin 1918 et début 1919, révèle que les membres du CICR qui sont en fait à la tête de l Agence ne prennent pas de décision hautement importante sans en référer à Gustave Ador. Même absent, celui-ci continue donc d être présent dans leurs travaux. En conclusion, nous constatons que l Agence internationale des prisonniers de guerre a été pour le CICR, pour Genève et pour la Suisse une institution capitale. Sans oublier qu elle apporta tant de réconfort ou de consolation à des milliers et des milliers de personnes dans le monde entier. Nous pouvons confirmer notre hypothèse : Gustave Ador en fut l âme. Et nous croyons pouvoir avancer une nouvelle hypothèse : de nombreux aspects de l Agence sont sous-estimés, voire méconnus. 2. Mieux connaître l Agence et les conséquences de son activité 2.1. Survol de la bibliographie En janvier 1919 déjà, une première et magistrale publication est sortie de presse ; Etienne Clouzot y met en exergue les présidences de Gustave Ador à la tête du CICR et de la Confédération, mais elle escamote son rôle comme patron de l Agence. L étude de référence sur le CICR et les prisonniers de guerre paraît en 1981; consacrant une cinquantaine de pages sur le fonctionnement de l Agence de , Gradimir Djurovic ne nomme même pas Gustave Ador! D une manière générale, de telles études laissent dans l ombre de nombreux aspects ; par exemple, l écho de l Agence dans les pays en guerre ou les retombées en image de marque pour le CICR, la Suisse et Genève. Par rapport à notre perspective, elles donnent l impression d escamoter quasi systématiquement le rôle des individus, en premier lieu, celui de Gustave Ador.
3 Parmi les publications les plus récentes, la thèse de François Bugnion restitue en partie l importance du rôle de Gustave Ador, mais le propos de cette publication magistrale de quelque 1500 pages n est centré ni sur l Agence ni son président. Enfin, les quelques travaux académiques dont nous avons connaissance se spécialisent sur des aspects pointus, ce qui se comprend aisément ; voir par exemple, Cynthia Schneider sur Romain Rolland et l Agence internationale des prisonniers de guerre en 2006 ou Jessica Pillonel sur La Grande Guerre [ ] L Agence [ ] et son action en faveur des civils, en Tous s inscrivent dans la perspective qui nous frappe : l Agence n a pas eu un concepteur et un patron, elle est une œuvre joyeusement collective Le centenaire de l Agence Même dans un pays épargné par la Grande Guerre, la commémoration de l année 2014 a vu se dérouler plusieurs manifestations à la fois historiques et scientifiques. Pourtant, le sujet de l Agence elle-même ne semble avoir été qu effleuré. Du 29 avril au 20 juillet, la magistrale exposition au musée Rath sur Humaniser la guerre? a présenté, pour l essentiel, les diverses activités du CICR, hier et surtout aujourd hui. Mais l action en faveur des prisonniers de guerre n a pas fait l objet d une mise en évidence particulière. Les juin, les troisièmes Journées d études internationales» ont été organisées par l association «Genève humanitaire, centre de recherches historiques» avec l «Institut de santé globale de la Faculté de médecine». Sur le thème Humanitaire & Médecine, elles ont porté sur La Croix-Rouge et la médecine face à la Première guerre mondiale et à ses suites immédiates. Parmi les quelque trente communications, aucune n a parlé du patron de l Agence, même si la communication de François Bugnion a présenté le rôle des médecins au sein de l Agence comme Frédéric Ferrière, fondateur de la section des civils. Les septembre, le colloque sur La Suisse au milieu de la guerre : était organisé par la Société d histoire de la Suisse romande au château de Penthes. Il a aussi réuni une trentaine de spécialistes. Notre Fondation avait accepté de soutenir financièrement la publication des actes de ce colloque, parce son thème pouvait concerner directement Gustave Ador. D une part, Corinne de Tscharner a magistralement rappelé la place de la Nouvelle Société Helvétique, au sein de laquelle notre grand homme éponyme ne semble s être guère investi. D autre part, si la place de Gustave Ador a été brillamment illustrée par François Bugnion, elle le fut dans la perspective de l accession au Conseil fédéral. Enfin, une seule communication, celle du soussigné, a traité de Gustave Ador, fondateur et patron de l Agence des prisonniers de guerre, Genève, 19 février 2015, Cahiers de Genève humanitaire, n 7, (juillet-décembre 2014), pages ; mais en une demi-heure, on peut s imaginer l exercice de survol que ce fut
4 Les septembre, le CICR en collaboration avec les Universités de Genève, de Berne et de Londres - a organisé un colloque sur l actualité du Droit international humanitaire, à l Humanitarium puis à la Faculté des lettres. Quelles sont les limites de son action? Quelle applicabilité est la sienne, dans un monde où l institution Croix-Rouge est trop souvent bafouée, pour ne pas dire traitée comme une cible de choix! A l évidence juridique et penchée sur les problèmes actuels, cette manifestation n a eu relation éloignée avec l Agence de En résumé, les manifestations scientifiques de cette année commémorative n ont pas épuisé le sujet de l Agence des prisonniers de guerre. Nous aurions envie de dire qu elles l ont à peine effleuré. Et pourtant, la matière est belle, prometteuse! 3. Une commémoration en plusieurs volets Comme cette institution, ces hommes et ces femmes, ont ouvert une nouvelle page dans l histoire de l humanitaire, nous pouvons imaginer une symphonie orchestrée en plusieurs registres : - Un colloque scientifique - Une visite des lieux historiques - Une exposition qui serait gérée par une autre institution que notre Fondation - Des actions grand public : sensibilisation dans les écoles, timbre-poste fédéral, plaque commémorative au 3 rue de l Athénée (première adresse «officielle» du CICR), etc. La Fondation Gustave Ador s occupera du Colloque scientifique, lui-même articulé en deux volets Premier volet : l Agence internationale des prisonniers de guerre A elle seule, l Agence pourrait donner lieu à des communications nouvelles et attrayantes, en vrac : - Son lancement, dans le contexte du statut d alors des prisonniers de guerre - Son organisation, notamment le système numérique alphabétique - Les volontaires de l Agence - Quelques personnalités : Romain Rolland, Stéphane Zweig, Frans Masereel - Marguerite Frick-Cramer ou l accession des femmes aux niveaux supérieurs de l humanitaire - Frédéric Ferrière et l ouverture vers la protection des populations civiles - Les visites de camps chez les belligérants - La perception de l Agence chez les belligérants - Impact de l Agence sur la vocation internationale de Genève - etc Second volet : le prix Nobel de la paix décerné au CICR Cette haute distinction n a, semble-t-il, été que peu étudiée, alors qu elle a puissamment consolidé l aura planétaire de l institution humanitaire. Voici plusieurs thèmes qui pourraient combler cette lacune : - La perception par les membres du CICR des prix Nobel de la paix, après les événements de 1901 et 1902.
5 - Les motivations du Comité Nobel du Storting norvégien - La réception du Prix par le CICR : pourquoi ne pas être allé à Oslo pour le recevoir, en tant qu institution? - Les deux autres prix Nobel de la paix reçus par le CICR en 1944 et en etc. NB : quelques contacts exploratoires montrent que des spécialistes comme la professeure Irène Herrmann (pour Marguerite Frick-Cramer), le professeur Peter van den Dungen de Bradford UK (pour les archives de la Fondation Nobel à Oslo), le professeur émérite Antoine Fleury, l archiviste émérite de la Croix-Rouge de Belgique, M. Luc De Munck, ont immédiatement manifesté leur intérêt pour cette problématique. 4. Collaborations Ayant décidé à investir énergie et moyens dans une telle opération, la Fondation Gustave Ador propose des collaborations avec des institutions : - Comité international de la Croix-Rouge - Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge - Musée international de la Croix-Rouge - Sociétés nationales de la Croix-Rouge ou des sociétés actives dans les démarches historiennes : - Genève humanitaire, centre de recherches historiques - Société d histoire et d archéologie de Genève - Institut national genevois sans oublier des Autorités nationales, cantonales et municipales. PS : le CICR, le Musée international, Genève humanitaire, ont déjà donné leur accord pour une participation à définir. Nous comptons établir des contacts concrets avec plusieurs des pays qui furent directement partenaires de l Agence en : la France, l Allemagne, la Grande-Bretagne et Belgique notamment. Et nous souhaitons aussi bénéficier de la collaboration de pays neutres qui ont joué un rôle considérable en faveur des prisonniers de guerre comme le Danemark. * * * * RD / 9 septembre 2015
Les Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailLes 7 Principes fondamentaux
Les 7 Principes fondamentaux Les 7 Principes fondamentaux de la Croix-Rouge Humanité Impartialité Neutralité Indépendance Volontariat Unité Universalité La Croix-Rouge trouve son origine dans la solidarité
Plus en détailAssemblée Générale 2015: une année charnière pour Sustainable Finance Geneva
PV - ASSEMBLEE GENERALE MAI 2015 Assemblée Générale 2015: une année charnière pour Sustainable Finance Geneva Repositionnement stratégique Le PV de l'ag 2014 ayant été approuvé, le Bureau Exécutif a présenté
Plus en détailRD 852-B M 2138. Secrétariat du Grand Conseil. Date de dépôt : 9 avril 2013
Secrétariat du Grand Conseil Date de dépôt : 9 avril 2013 RD 852-B M 2138 a) RD 852-B Rapport de la Commission de contrôle de gestion chargée d étudier le rapport du Conseil d Etat au Grand Conseil sur
Plus en détailAVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *
CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le
Plus en détailRévélatrice de talents. Développement personnel
Révélatrice de talents Développement personnel Révélatrice de talents Une entreprise à votre écoute pour vous accompagner de manière professionnelle dans tous vos projets Le développement personnel Notre
Plus en détailLa place bancaire de Zurich. Faits et chiffres Edition 2015/2016
La place bancaire de Zurich Faits et chiffres Edition 2015/2016 Avant-propos Pour la région zurichoise, la place bancaire de Zurich revêt une importance décisive. Elle apporte une contribution significative
Plus en détailUNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE
UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE ÉCOLE DOCTORALE 2 HISTOIRE MODERNE ET CONTEMPORAINE UMR 8138 Identités, Relations internationales et civilisation de l Europe T H È S E pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ
Plus en détailStatuts Association Pro Senectute Genève
. Statuts Association Pro Senectute Genève Préambule Le présent document, les termes employés pour désigner des personnes sont pris au sens générique ; ils ont à la fois valeur d un féminin et d un masculin.
Plus en détailGRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.
GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix
Plus en détailPièces et timbres spéciaux pour le 100 e anniversaire de la Banque nationale suisse
Communiqué de presse Börsenstrasse 15 Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 Berne, le 22 février 2007 Pièces et timbres spéciaux pour le 100 e anniversaire de la Banque nationale suisse
Plus en détailBilan du volet communication «5. Dissémination des résultats»
Bilan du volet communication «5. Dissémination des résultats» Evian, le 23 mai 2013 «5. Dissémination des résultats» 5.1 Développement des outils d information Création des identifiants visuels Site internet
Plus en détailLes sociétés de gestion sur les réseaux sociaux
Avril 2015 I V.4 Agence SAND - Les sociétés de gestion sur les réseaux sociaux - V.4 - Avril 2015 1 Cette étude est le quatrième volet d un audit que nous réalisons régulièrement depuis mars 2013. Deux
Plus en détail4. L assurance maladie
L ASSURANCE MALADIE 73 4. L assurance maladie Comme l assurance maladie est obligatoire, toute personne domiciliée en Suisse doit être convenablement couverte. C est actuellement le cas, avec un très large
Plus en détailÉvaluation des collaborations dans le champ des études internationales entre l'institut
Évaluation des collaborations dans le champ des études internationales entre l'institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) et l'université de Genève (UNIGE) Rapport d expertise
Plus en détailL ÉVALUATION DES DÉCISIONS COMMUNALES Formation pour les responsables politiques et administratifs communaux romands
Formation pour les responsables politiques et administratifs communaux romands Responsable de la chaire de politique locale en collaboration avec les associations faîtières des communes romandes, au Grand
Plus en détailLe mécénat d entreprise
Le mécénat d entreprise Ubiqus Paris, le 1 er octobre ] Sommaire Ouverture... 3 Georges CHABIN, Directeur de la communication... Qu est-ce que le mécénat?... 3 Maxine HEBERT, Responsable du Mécénat, société
Plus en détailLe Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG)
Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (INSARAG) Qu est INSARAG? Le Groupe consultatif international de la recherche et du sauvetage (connu sous son sigle en anglais, INSARAG)
Plus en détailGuide manager pour l entretien professionnel
- 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités
Plus en détailDroits et obligations des entreprises et organisations suisses vis-à-vis de leurs voyageurs et expatriés
POLICY PAPER Pouvez-vous être poursuivi en justice en Suisse? Droits et obligations des entreprises et organisations suisses vis-à-vis de leurs voyageurs et expatriés Michel Chavanne av. Étude r & associés
Plus en détailcompl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis
Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment
Plus en détailMarathon des lettres, du 1 er au 18 décembre 2011 Semaines de sensibilisation et d action autour des droits humains
Aux enseignant e s intéressé e s par les activités d'amnesty International Berne, le 24 octobre 2011 10 DÉCEMBRE: JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS HUMAINS Madame, Monsieur, A l occasion de l anniversaire
Plus en détailProfession Culture Langue. Invitation Conférence ASCI 2015. Genève, 22.09.15, 14h00 17h45
Invitation Conférence ASCI 2015 Genève, 22.09.15, 14h00 17h45 Profession Culture Langue La communication interne et intégrée : comment maîtriser les langues pour surmonter les barrières culturelles et
Plus en détailP RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance
P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des
Plus en détailRapport du comité d'experts
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre du droit de l entreprise, EA 3397 de l'université Strasbourg 3 avril 2008 Section des Unités de recherche Rapport
Plus en détailL organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport
L organisation du programme «Jeunes pousses» Rapport Présenté par M. Pascal Terrasse Député de la République française Secrétaire général parlementaire Berne (Suisse) ( 6 juillet 2015 I/ Le programme,
Plus en détailMonsieur l Adjoint délégué à la Culture et à la Tauromachie,
Prise de Parole de Monsieur Jean-Paul FOURNIER Sénateur du Gard - Maire de Nîmes - Président de Nîmes Métropole Inauguration d une plaque dans le cadre du 450 ème anniversaire de la création de l Eglise
Plus en détaildevenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR fondation pour le rayonnement du
devenez mécène Soutenez la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre MUSÉE fondation pour le rayonnement du DE MONTMARTRE JARDINS RENOIR Le Musée de Montmartre Le Musée de Montmartre en quelques
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION LE ROMAN DES ROMANDS, RENOUVELES EN ASSEMBLEE GENERALE LE 5 JUIN 2013.
L ARDR- ATATUTS ARDR STATUTS DE L ASSOCIATION LE ROMAN DES ROMANDS, RENOUVELES EN ASSEMBLEE GENERALE LE 5 JUIN 2013. CHAPITRE I DENOMINATION SIEGE DUREE BUTS Article 1 er Sous la dénomination A SSOCIATION
Plus en détailLes Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»
é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.
Plus en détailVisible ou invisible : le design des organisations internationales
Visible ou invisible : le design des organisations internationales Histoire des organisations internationales et évolution de leurs modes de représentation. civic city Visible ou invisible : le design
Plus en détailsymposium bavaud programme WWW.MAURICE-BAvAUD.CH MAURICE BAvAUD 13 MAI 2011 NEUCHâtEL
C O M I t É M AU R IC E bavaud symposium MAURICE BAvAUD 13 MAI 2011 NEUCHâtEL programme WWW.MAURICE-BAvAUD.CH avant-programme «il FaiT FroiD en BranDeBourg» 5 MAI 2011 CLUB 44 LA CHAUX-DE-FONDS symposium
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailL économie sociale et solidaire 1? occupe aujourd hui une
Introduction Michel Dreyfus L économie sociale et solidaire 1? occupe aujourd hui une place importante dans la société française, comme le montre la place qui lui est accordée par la presse, les médias,
Plus en détail30 mai 2006 06.136. Interpellation du groupe socialiste
DECS 30 mai 2006 06.136 Interpellation du groupe socialiste Enseignement de la biologie Enseignement de la biologie: le rectorat de l Université de Neuchâtel fait d une pierre plusieurs coups: début de
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailmodifiant la loi générale sur le logement et la protection des locataires (LGL) (I 4 05) (Pour favoriser la réalisation de logements)
Secrétariat du Grand Conseil PL 11400 Projet présenté par les députés : M mes et MM. Cyril Aellen, Bénédicte Montant, Benoît Genecand, Lionel Halpérin, Pierre Weiss, Jacques Béné, Antoine Barde, Ivan Slatkine,
Plus en détailCréation d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels
Création d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels Paroisse Saint-François-Xavier des missions étrangères Ce dossier présente les motivations
Plus en détailCLIPSAS. COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015. Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015
CLIPSAS COLLOQUE et ASSEMBLEE GENERALE 2015 Hasbrouk Heights (New Jersey) 28-31 mai 2015 Henri SYLVESTRE Grand Secrétaire aux Affaires Extérieures Adjoint 00 33 6 86 36 66 18 hd.sylvestre@wanadoo.fr Association
Plus en détailPlan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares
Plus en détailUNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS
UNE FENÊTRE OUVERTE SUR LES MÉDIAS DE SERVICE PUBLIC EUROPÉENS LA COMMUNAUTÉ DE MÉDIAS LA PLUS INFLUENTE DU MONDE L UER, qui compte des Membres dans 56 pays d Europe et d alentour, est la plus grande alliance
Plus en détailSuite aux travaux d une sous-commission de la CER-N, un avant-projet a été élaboré en deux volets :
Office fédéral de la justice Mme Emanuella Gramegna Bundesrain 20 3003 Berne Lausanne, le 27 septembre 2013 Prise de position concernant la consultation relative à l initiative parlementaire 10.467 Prévention
Plus en détailSerrurier-Bovy Masterworks, d une collection
mercredi 3 juin 2015 à 19h Serrurier-Bovy Masterworks, d une collection exposition Vendredi 29 mai de 10 à 19 heures Samedi 30 mai de 11 à 19 heures Lundi 1er juin de 10 à 19 heures Mardi 2 juin de 10
Plus en détailLa volonté d un seul peut faire beaucoup
La volonté d un seul peut faire beaucoup 155 ans après la naissance d un idéal humanitaire à Solférino, le bénévolat est toujours le moteur de l engagement quotidien de la Croix-Rouge vaudoise Lausanne,
Plus en détailDe la recherche universitaire le règlement
Notre ambition commune est triple 1. Décloisonner le savoir et encourager la recherche universitaire en lui offrant une audience élargie. 2. Créer une dynamique d échange entre le monde de l édition et
Plus en détailExposition Camps d internement du Limousin (1940-1944)
COMMUNIQUE DE PRESSE Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) Du 11 mars au 20 avril 2013 au musée Edmond-Michelet Destinés à l origine à regrouper les étrangers «indésirables», les camps
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailStatuts du PS suisse. . A cet effet, il dégage les moyens et les ressources nécessaires.
Statuts du PS suisse Décidés par le Congrès ordinaire de Lugano les 14 et 15 octobre 2000 avec les compléments apportés par le Congrès ordinaire de Zurich les 19 et 20 octobre 2002 avec les compléments
Plus en détailLE CICR SA MISSION ET SON ACTION
DOCTRINE LE CICR SA MISSION ET SON ACTION RÉFÉRENCE Comité international de la Croix-Rouge 19, avenue de la Paix 1202 Genève, Suisse T + 41 22 734 60 01 F + 41 22 733 20 57 E-mail: shop.gva@icrc.org www.cicr.org
Plus en détailAmélioration des structures de recherche par les Pôles de recherche nationaux PRN
www.snf.ch Wildhainweg 3, case postale 8232, CH-3001 Berne Division Programmes Pôles de recherche nationaux Amélioration des structures de recherche par les Pôles de recherche nationaux PRN L objectif
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailPROPRIÉTÉ FONCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL DURABLE
PROPRIÉTÉ FONCIÈRE ET DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL DURABLE Responsables: S. Nahrath, professeur à l IUKB P. Knoepfel, professeur à l IDHEAP THÉMATIQUE ET OBJECTIFS Depuis la mise en place de la politique
Plus en détailBulletin d infos et de liaison destiné aux plongeurs-archéologues de l EST
n 1 - juin 2009 Bulletin d infos et de liaison destiné aux plongeurs-archéologues de l EST PAGE 2 Mandat 2009-2012 Le mot de la nouvelle équipe Actions Com en région PAGE 3 Des outils de communication
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITÉ 2013. Fondation Muse pour la créativité entrepreneuriale
RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 Fondation Muse pour la créativité entrepreneuriale Table des matières Au service de la créativité entrepreneuriale Documenter les pratiques de la Génération Co Objectifs 2013 Raconter
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailCoffre-fort de données : comment la Suisse peut rester un site d excellence pour les datacenter dossierpolitique
Schweizerischer Verband der Telekommunikation Association Suisse des Télécommunications Swiss Telecommunications Association Coffre-fort de données : comment la Suisse peut rester un site d excellence
Plus en détailRetrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France
Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Origine, composition des fonds d archives C est la loi Jourdan du 15 septembre 1798 qui substitue
Plus en détail1- Présentation de la structure
1- Présentation de la structure Cadre L école Paul Langevin se situe sur la commune de Pontivy, les locaux des classes de maternelle et d élémentaire se rejoignent par la cantine. L école maternelle compte
Plus en détailEvaluation du Réseau Santé Psychique Suisse
Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas
Plus en détailProgramme régional de soutien au développement et à la consolidation des organismes de formation spécialisée (préparatoire ou de loisir) en arts de
Programme régional de soutien au développement et à la consolidation des organismes de formation spécialisée (préparatoire ou de loisir) en arts de la Côte-Nord Table des matières Introduction... 3 Origine
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailMéthodes de recherches et rédaction des mémoires
1 Méthodes de recherches et rédaction des mémoires Matériel de cours Institut des hautes études en administration publique (IDHEAP) Février 1999 Daniel Schneider TECFA, Faculté de Psychologie et des Sciences
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailCompte Rendu subjectif Mind Lab
Compte Rendu subjectif Mind Lab Intro factuelle : Une trentaine de personnes réunies du dimanche soir au lundi après-midi dont : - beaucoup de gens de Champagne-Ardenne (6 personnes allant du Chef de cab
Plus en détailexercices pour les amputés des membres inférieurs Entraînement à la marche
exercices pour les amputés des membres inférieurs Entraînement à la marche Comité international de la Croix-Rouge 19, avenue de la Paix 1202 Genève, Suisse T + 41 22 734 60 01 F + 41 22 733 20 57 E-mail:
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION FAÎTIÈRE
STATUTS DE L ASSOCIATION FAÎTIÈRE Valables à partir du 1 er janvier 2008 Légende des abréviations ASMP ASD AGC ARD CC CCA CR FFMP WS NOS NWS RFJM ZS Association Suisse de la musique populaire (Association
Plus en détailFONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904)
ARCHIVES MUNICIPALES DE NANCY 3 Z FONDS CHARLES COURNAULT (1815-1904) REPERTOIRE NUMERIQUE DETAILLE THIBAUD PETER SOUS LA DIRECTION DE DANIEL PETER, CONSERVATEUR, NANCY 2008 2 FICHE DESCRIPTIVE CHAMP DESCRIPTION
Plus en détailEngagement en faveur des personnes en situation de dépendance
CURAVIVA SUISSE Engagement en faveur des personnes en situation de dépendance Promotion de la qualité de vie individuelle Les 2500 institutions membres de l association nationale faîtière CURAVIVA Suisse
Plus en détailDEPOSER SES STATUTS ARTIST PROJECT
DEPOSER SES STATUTS ARTIST PROJECT iles asbl 1- La rédaction des statuts La première étape de la constitution de votre future asbl est la rédaction des statuts. Pour ce faire, les fondateurs se réunissent
Plus en détail" La tête dans la musique! "
20ème Fête cantonale des Jeunes musiciens du canton de Fribourg " La tête dans la musique! " Dossier de sponsoring 2-3-4-5 juin 2016 Organisation: Ensemble Jeunes Musiciens de Broc (Société de musique
Plus en détailLe hautbois sera dans tous ses états et donnera cette année une couleur spéciale au congrès.
DOSSIER EXPOSANTS «Rien de grand n est possible sans la participation de tous!» Winston Churchill La ville de Pau est à l honneur en accueillant le 16ème Congrès de l Association Française du Hautbois.
Plus en détailPROJETS ARTISTIQUES COMMUNAUTAIRES
PROJETS ARTISTIQUES COMMUNAUTAIRES ART COMMUNAUTAIRE CONTEXTE Les arts communautaires ne sont pas nouveaux. Ils se différencient des autres formes artistiques par leur engagement social. C est une méthode
Plus en détailStatuts. de la Chambre de commerce, d industrie et des services de Genève
Statuts de la Chambre de commerce, d industrie et des services de Genève Avril 2010 1 I. DÉNOMINATION, SIÈGE, BUT Article 1 er : Dénomination Il est constitué, sous la dénomination «Chambre de commerce,
Plus en détail72 J. Fonds de la société scolaire de secours mutuels et de retraite de la circonscription d Aydoilles (1833-1933)
ARCHIVES DÉPARTEMENTALES DES VOSGES 72 J Fonds de la société scolaire de secours mutuels et de retraite de la circonscription d Aydoilles (1833-1933) Répertoire numérique détaillé établi par Mireille-Bénédicte
Plus en détailRetraite. Date de la retraite
Retraite A quelle date vais-je prendre ma retraite? Vaut-il mieux percevoir une rente ou un capital? Dois-je annoncer mon départ à la retraite? A la fin de la vie professionnelle, tout le monde est confronté
Plus en détailEn bref : que fait Amnesty International?
En bref : que fait Amnesty International? Amnesty International est l une des plus importantes organisations internationales de défense des droits humains. Des individus ordinaires, bénévoles et professionnels,
Plus en détailStatuts de «pr suisse»
Statuts de «pr suisse» Art. 1 L'Association Sous le nom «Association Suisse de Relations Publiques», «Schweizerischer Public Relations Verband», «Associazione Svizzera di Relazioni Pubbliche», «Swiss Public
Plus en détailBilan d activité 2012
Bilan d activité 2012 UNE SOCIÉTÉ MAJEURE ET BIENTÔT VACCINÉE Bulletin N o 7 Mars 2013 Bulletin N o 7 Mars 2013 BILAN D ACTIVITÉ 2012 SYNOPSIS : UNE SOCIÉTÉ MAJEURE ET BIENTÔT VACCINÉE Moins de trois ans
Plus en détailDevenir partenaire de la Croix-Rouge vaudoise
Devenir partenaire de la Croix-Rouge vaudoise Un lien réel de solidarité et une véritable opportunité d améliorer la vie collective Premier de cordée Mesdames, Messieurs les Dirigeants d Entreprises,
Plus en détailAnimer une association
FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA
STATUTS DE L ASSOCIATION CARITAS JURA Remarque : Les termes désignant des personnes s appliquent indistinctement aux femmes et aux hommes. Art. 1 DENOMINATION ET SIEGE Sous la dénomination CARITAS JURA(ci-après
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailRÉUNION DU CONSEIL EXÉCUTIF LE MERCREDI 15 SEPTEMBRE 2010 LOCAL D-143 PROCÈS-VERBAL
RÉUNION DU CONSEIL EXÉCUTIF LE MERCREDI 15 SEPTEMBRE 2010 LOCAL D-143 PROCÈS-VERBAL 0.0 Procédures 0.1 Ouverture de l assemblée et prise officielle des présences 0.2 Nomination d un(e) président (e) d
Plus en détailÉvaluation de l AERES sur l unité :
Section des Unités de recherche Évaluation de l AERES sur l unité : Centre d'études et de Recherches Juridiques en Droit des Affaires CERJDA sous tutelle des établissements et organismes : Université des
Plus en détailautonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.
INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS
STATUTS DE L ASSOCIATION DE L ESPACE DE VIE ENFANTINE LES MOUSSAILLONS Chapitre 1 : DISPOSITIONS GENERALES Article I. CONSTITUTION Sous la dénomination Les Moussaillons, il est constitué, conformément
Plus en détailNews. Hiver 2014/2015. Table des matières. Examen de certificat d assistant/e en gestion du personnel Nouveau système d inscription
Hiver 2014/2015 News Chères lectrices, chers lecteurs, Celui qui décide d entamer une formation professionnelle supérieure, et de passer des examens conséquents dans le domaine professionnel dans lequel
Plus en détailLes lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés
COMMUNIQUE DE PRESSE Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés Sondage Harris Interactive pour Gecina Enquête réalisée en ligne du 5 au 11 mai 2011. Echantillon représentatif
Plus en détailDjembé Faré, musiques et danses d Afrique 16, rue des Vernes, CH 1217 Meyrin. Canton et République de Genève. Statuts et règlement intérieur
Canton et République de Genève Statuts et règlement intérieur 1 Statuts de 1) Nom et siège de l association. Djembé Faré, musiques et danses d Afrique. Sous le nom de «Djembé Faré, musiques et danses d
Plus en détailNormes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies
Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies Introduction et raison d être 1. La Police des Nations Unies fut déployée pour la première fois dans les années 1960 au sein d une
Plus en détailRecherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux
Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les
Plus en détailGROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS
GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions
Plus en détailFACT SHEET LLOYD S ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES AVOCATS
FACT SHEET INFORMATION PRODUIT selon art. 3 paragraphe 1 loi sur le contrat d assurance (LCA) LLOYD S ASSURANCE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE POUR LES AVOCATS Que propose SwissLawyersRisk?
Plus en détailPolitique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01
Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance Direction Générale Fédérale 2007 PI 01 Politique Institutionnelle Politique de protection de l enfance 2 1. PRINCIPES : PRÉVENTION DES ABUS
Plus en détailHOTELA : votre partenaire pour toutes les assurances sociales. Simplify your business.
1 HOTELA : votre partenaire pour toutes les assurances sociales. Simplify your business. Table des matières 3 HOTELA : le portrait Par des entrepreneurs pour des entrepreneurs 4 HOTELA : les assurances
Plus en détail