La restauration de documents archivistiques
|
|
- Jacques Boivin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La restauration de documents archivistiques
2 Toutes nos publications sont disponibles : - En téléchargement, depuis l adresse internet de notre ASBL : - En version papier, vous pouvez les consulter dans notre centre de documentation situé : Rue des Deux Églises, Bruxelles Tél. : 02/ Mail : info@cpcp.be 2
3 La restauration des documents archivistiques Introduction Dans une précédente étude relative à la mission de l archiviste d une association, il a été précisé que la compétence principale de l archiviste est de déterminer ce qui doit être conservé ou détruit! 1 Par ailleurs, un autre aspect de la mission de l archiviste consiste aussi à préserver les documents des détériorations. Cette conservation doit d abord être préventive, car mieux vaut prévenir que guérir, autrement dit préserver les documents des détériorations plutôt que d avoir à les restaurer. 2 L objet de la présente étude est d évoquer l origine des documents par lesquels l humanité a transmis ses connaissances et sa mémoire, ainsi que les différents facteurs de détérioration des archives, ceux qui sont dus à l environnement, aux phénomènes physico-chimiques, biologiques, atmosphériques, aux accidents et à l intervention humaine. Après avoir passé en revue les différents facteurs de détérioration, les objectifs et principes de la restauration des archives seront ensuite relatés. I. Un peu d histoire Dès les premiers temps de l histoire, l homme a éprouvé le besoin de laisser des traces de son activité en disposant sur des surfaces vierges des signes chargés d une signification symbolique. Il y a plus de quinze mille ans que les habitants des cavernes de Lascaux et d Altamira ont découvert le secret des pigments, d origine minérale, animale ou végétale, grâce auxquels une paroi rocheuse ou une omoplate de renne peut devenir le support d un message pictural transmissible de génération en génération. Plus tard, tandis que les Mésopotamiens gravaient leurs signes cunéiformes sur des tablettes d argile, les Égyptiens, les Hindous, les Chinois se mirent à fabriquer des feuilles de papyrus, de fibres de palmier et d écorces diverses, 1 Fernand-Daniel Dustin : «Qui est l archiviste au sein d une association», CPCP, mai Anne-Marie Brueleaux et Andrea Giovannini : «Programmer la restauration des documents», Association Internationale des Archives Francophones (AIAF) Portail International Archivistique Francophone (PIAF), novembre
4 en attendant le parchemin d Asie mineure. Vint enfin le papier des Chinois et des Arabes, où le roseau taillé déposait des traces d un liquide que le noir de la fumée, dilué dans la gomme et les solvants, transformait en graphismes indélébiles. Ainsi commença, dans ces berceaux de la civilisation que furent les vallées de l Indus et du fleuve Jaune, la grande aventure de l écriture, dont l évolution se poursuit sous nos yeux avec une rapidité sans précédent au cours des siècles passés. Mais la membrane végétale ou animale, l encre à la base de carbone ou de substance tannante, bref tous les matériaux auxquels la pensée humaine confie sa survie, sont fragiles. Des multitudes d ennemis les guettent, qui s attaquent à leur structure même ou seulement à leur surface, selon qu il s agit d agents chimiques, physiques, ou biologiques. Les fibres végétales connaissent l hydrolyse de la cellulose, l action corrosive des acides, les modifications photochimiques dues aux rayons solaires. Les insectes et les rongeurs dévorent les matières organiques. Le feu détruit tout ce qui est combustible. Les encres pâlissent et s effacent, les papiers s effritent, les parchemins et les cuirs se recroquevillent et se craquellent. Les agressions du monde moderne multiplient les dangers auxquels sont exposés les documents par suite de l introduction de composants chimiques dangereux pour la conservation, au moment même où les nécessités de la production de masse diminuent, dans bien des cas, la résistance des matériaux. Heureusement, les découvertes de la chimie et de la biologie ont, en contrepartie, amené depuis un siècle des perfectionnements spectaculaires dans les techniques de protection et des traitements des documents Françoise Flieder et Michel Duchein : «Livres et documents d archives : sauvegarde et conservation», UNESCO, 1983
5 La restauration des documents archivistiques II. Facteurs de détérioration d archives Composée de matériaux organiques, toute archive, si elle n est pas conservée dans un air ambiant qui pourrait lui être néfaste, est extrêmement fragile et facilement sujette à la détérioration. En effet, des facteurs physico-chimiques entraînent la détérioration des archives. Ceux-ci peuvent être dus à l environnement, à la mauvaise composition des documents, aux sinistres naturels ou encore aux diverses interventions humaines. 1. Les détériorations dues à l environnement Toute archive, si elle n est pas conservée dans une ambiance inerte est souvent soumise à un air ambiant qui pourrait lui être néfaste tant du point de vue physique, chimique et biologique. Des détériorations physico-chimiques peuvent être de trois types : photochimique, hydrolytique, par oxydation, et se manifeste souvent par un changement de couleur et une fragilité plus ou moins prononcée de la documentation altérée. Les dégâts physiques sont dus au facteur de la lumière, de la chaleur et de l humidité, tandis que les corrosions chimiques sont souvent dues à la pollution atmosphérique. a. La lumière Tous les objets ne sont pas également sensibles à la lumière. Seuls les matériaux organiques subissent les détériorations les plus graves. Par ailleurs, les réactions photochimiques de la lumière peuvent être accentuées par un apport excessif de température et d humidité. Le papier étant principalement constitué de cellulose, il peut, au contact de la chaleur et de l humidité, s oxyder et s hydrolyser. Ce qui a comme incidence que le papier jaunit et devient cassant. b. L humidité et la température Les matériaux qui composent des documents graphiques sont fort sensibles aux variations climatiques. Ainsi en est-il du papier dont les composantes physiques et chimiques dépendent de la teneur en eau de l atmosphère. Du point de vue chimique, la chaleur humide entraîne une hydrolyse des molécules qui, 3
6 de ce fait, se subdivisent en chaînes moléculaires plus petites. Du point de vue physique, le papier gonfle lorsqu il absorbe l humidité et il se rétracte quand il s en libère. Ce qui a comme conséquence l apport de plusieurs altérations aux documents : perte d élasticité, de souplesse et de solidité. Si un excès d humidité doit être évité, il en va de même d une grande sécheresse. En effet, le papier a besoin d un taux d humidité important (environ 50%) pour maintenir sa souplesse et son élasticité : si ce taux diminue et descend endessous de 40%, cela entraîne comme conséquence pour le papier et surtout pour la colle qu ils peuvent se casser et même tomber en poussière, tandis que les reliures se craquellent. c. Les interventions biologiques D un point de vue biologique, un excès d humidité et de chaleur est cause de germination des spores de champignons et de développement de bactéries lesquels sont en suspension dans l atmosphère. Il suffit que les conditions de température et d hygrométrie soient favorables (température supérieure à 22 C, humidité relative supérieure à 65%) pour que les spores des champignons fructifient au contact du papier en absorbant la nourriture dans ce support dont elles affaiblissent vite la résistance. Parmi les facteurs d altération des archives, ce sont principalement les microorganismes et les insectes qui sont à l origine des dégâts les plus fréquents et les plus répandus. Citons, pêle-mêle, les bactéries, les champignons, les insectes et même les rongeurs. d. Les facteurs atmosphériques L air vicié se compose normalement d un mélange de gaz et de particules solides et d acides très finement dispersées. En fonction du lieu et de la saison, cette composition varie énormément. 4 Parmi les gaz qui sont facteurs de détériorations atmosphériques, relevons les composés soufrés, les composés azotés et les chlorures. L ozone, quant à lui, est un oxydant très puissant qui, par son action, est redoutable pour tous les matériaux organiques. Il en va de même des particules solides que l on trouve dans les atmosphères industrielles et dans les agglomérations urbaines. Cellesci chargent l air de très fines particules minérales et organiques qui attaquent les documents archivés.
7 La restauration des documents archivistiques Afin de bien protéger les documents archivés, on recommande de veiller à ce que les matériaux à sauvegarder, les livres et les documents d archives, soient conservés dans des locaux où il y a une ambiance d humidité de 55% et une température de 18 C. 2. Les détériorations dues aux sinistres naturels et accidentels a. Les inondations et cyclones Bien souvent, l eau cause des dégâts considérables pour les documents. L origine des sinistres dus à l eau peut-être naturelle (orage, tempêtes, ) ou accidentelle (murs lézardés, fuite de toiture, eau utilisée par les pompiers en cas d intervention contre un incendie, ). Dans le cas présent, le sauvetage des documents ainsi immergés est une des principales préoccupations de tous les archivistes et autres gestionnaires de collections d ouvrages anciens. Ce sauvetage peut être très difficile à réaliser. En effet, il faut agir relativement vite et sur une quantité importante d archives. Toutefois, il y aurait intérêt de prendre des mesures préventives contre les accidents d origine aquatique. b. Les incendies Le feu est, avec l eau, l ennemi le plus dommageable des archives. Celui-ci détruit de façon irréversible et même rapidement tous les matériaux. c. Les vents de sable Dans certaines régions au climat très sec, le vent transporte des particules minérales provenant de l érosion des roches. Ces particules de roches peuvent malheureusement provoquer une action abrasive qui va jusqu à l effacement de l écriture. 5
8 3. Les détériorations dues aux interventions humaines Bien souvent, la méchanceté ou la négligence humaine sont la cause de la destruction des documents. Si les actes de vandalisme diminuent grâce à la vigilance de l archiviste qui doit toujours être présent dans la salle de lecture lors des consultations de documents par des chercheurs, il arrive encore que l on doive déplorer les cas de manuscrits à peintures qui ont été découpés, de notes manuscrites gommées, de pages de livre et de manuscrits arrachées, de feuilles souillées par des tâches de graisse ou d encre. Des manipulations maladroites d archives peuvent aussi se produire lors de l inventaire, du classement ou de la communication de celles-ci. Parmi les cas relevés de manque de soin vis-à-vis des archives ou de journaux et de livres, il faut attirer l attention sur les plus fréquents : L estampillage des collections réalisé avec des encres inadéquates et à des endroits non appropriés ; Les étiquettes sur lesquelles est inscrite la cote du document peuvent être à l origine des détériorations des reliures ; Les livres et autres documents mal rangés dans les armoires : les grands formats pouvant ainsi écraser les petits ; Les documents trop serrés, qui peuvent être déchirés quand on les retire des étagères ou des boîtes à archives ; Les liasses d archives ficelées sont classées en tas sur les rayonnages, la poussière pénètre à l intérieur de celles-ci ; de plus, des ficelles mal tendues sont la cause de déchirure des papiers ; Les reliures non traitées, qui risquent de se dessécher, ce qui entraîne à la longue le détachement du dos des livres ; Le manque de soin de certains préposés aux services des archives qui endommagent ou perdent des documents soit en les manipulant avec maladresse, soit en les reclassant mal ou encore en ne sachant plus à qui certaines archives ont été prêtées. 6
9 La restauration des documents archivistiques IV. Définition et objectifs de la restauration d archives La restauration est l intervention directe sur un document pour le consolider et rétablir sa fonctionnalité. Cette intervention doit se faire selon des règles éthiques précises. Le but recherché dans le cadre de la restauration d archives n est pas de reconstruire l état d origine du document, mais de rétablir dans la mesure du possible sa fonctionnalité pour son utilisation actuelle, en conservant la matière originelle du document. Ainsi, toute restauration doit être visible et les matériaux utilisés facilement identifiables 4. La restauration d archives consiste dès lors à effectuer un acte technique immédiat sur un document et ce, dans le but de le renforcer et de restaurer son usage. Le technicien chargé de la restauration aura à effectuer avec l archiviste une analyse complète des dommages subis par les documents archivés, afin d y obtenir une claire perception des actes éventuels à effectuer, tout en prenant en compte des éventuelles conséquences provenant de ceux-ci. Les différents actes à effectuer doivent impérativement être réalisés de manière scrupuleuse. 1. Principes de la restauration Il faut dans le cas de la restauration d archives respecter des principes majeurs. En effet : «Restaurer, c est permettre la conservation et la consultation d un ouvrage dans des conditions normales, par un apport minimal d éléments neufs et un respect quasi absolu des éléments anciens, l ensemble redevenant solide et restant esthétique». (Jean Moor, 1956.) Il revient à l archiviste d envisager s il est indispensable de restaurer un document ou s il peut le conserver dans son état «dégradé» connu par lui, en le retirant de la consultation et en l entreposant dans un magasin aux conditions climatiques convenables. 4 Anne-Marie Bruleaux et Andrea Giovannini : «Programmer la restauration des documents», Association Internationale des Archives Francophones (AIAF) Portail International Archivistique Francophone (PIAF), novembre
10 En effet, si les traitements de sauvegarde (assèchement, désinfection, etc.,) sont indispensables et doivent être appliqués très rapidement, il n en va pas de même pour les traitements de restauration. S il est nécessaire de restaurer un ouvrage qui doit être communiqué ou exposé, cela ne l est pas lorsque cet ouvrage peut être remplacé par un microfilm ou par un autre exemplaire identique mais en bon état 5. La restauration d un document archivistique n est pas un acte banal. Pour sauver un document détérioré, le technicien chargé de sa restauration peut le modifier, lui soustraire ou encore remplacer des éléments dangereux pour sa conservation. Il faut bien comprendre que des modifications peuvent entraîner une perte d informations sur le document, sa datation, les modifications qu il a déjà pu subir par le passé, reliures, réparations, falsifications, ajouts, ou mutilations, etc. C est pourquoi une description matérielle n en est pas faite dans le plus grand détail par le restaurateur avant toute intervention. Ce respect et cette connaissance du document sont aussi importants pour l histoire de l institution qui l a produit et pour l historique de sa conservation que le respect des fonds. En conséquence, le restaurateur doit se livrer à une véritable étude archéologique du document qu il consigne par écrit. Il doit aussi conserver précieusement tous les éléments qu il peut être amené à enlever lors de la restauration, afin que son analyse puisse être vérifiée ou infirmée par la suite. Ces opérations doivent être prises en compte dès la rédaction du cahier des charges dans le temps de travail et la multiplicité des tâches à accomplir 6. Concrètement, il revient donc à l archiviste de veiller à ce que le technicien chargé des actes de restauration d un document archivistique soit soucieux de : Respecter le document d origine : ce qui signifie que le souci majeur du technicien chargé de la restauration est de maintenir l originalité de ce document ; Ne pas altérer ni détériorer le texte : le document ne sera ni embelli, ni modifié, mais simplement maintenu en l état, en arrêtant ou en éli- 8 5 Françoise Flieder et Michel Duchein : «Livres et documents d archives : sauvegarde et conservation»,unesco, Anne-Marie Bruleaux et Andréa Giovannini : «Programmer la restauration des documents», Association Internationale des Archives Francophones (AIAF) Portail International Archivistique Francophone (PIAF), novembre 2011
11 La restauration des documents archivistiques minant les processus de détérioration et le consolidant d une manière efficace et peu visible ; Veiller à la réversibilité du traitement de restauration : afin d éviter les falsifications, les parties manquantes seront remplacées par des matériaux de même nature, d une façon discrète, mais apparente ; aucune partie abîmée ne peut être retirée pour des raisons esthétiques, car l intégralité du document s en trouverait compromise ; Assurer le renforcement et le comblement des lacunes de chaque feuillet ; Utiliser des matériaux neutres qui doivent être durables et permanents : il est indispensable de choisir des matériaux fins, souples et extrêmement transparents pour renforcer les manuscrits. Par ailleurs, en cas de nécessité de restauration d un document archivistique, il est impératif de proscrire de : Réparer soi-même avec un ruban adhésif, au risque de provoquer des dégâts plus graves du document en papier, ce qui pourrait, par la suite, entraîner un surcoût de la restauration ; Accepter le transport des documents par la voie postale ; Ne retenir que l aspect extérieur, dans le cas d un livre, de la reliure car celle-ci peut éventuellement cacher des feuillets très mal restaurés. 2. Critères de la restauration d archives L archiviste ou le technicien chargé de la restauration de documents archivistiques doivent respecter quatre critères lors de l exécution de ce travail : L efficacité et la permanence du traitement : il faut se demander si la technique et le produit utilisé donneront des résultats positifs et permanents, car des travaux menés avec des produits mal adaptés aux problèmes entraînent des résultats qui, à première vue, paraissent excellents mais s avèrent à la longue inefficaces, voire désastreux ; L innocuité et la stabilité des produits : il faut ici éviter l utilisation de produits particulièrement agressifs. Si leur utilisation est indispensable, 9
12 il faudra s assurer de leur élimination après le traitement par un lavage à l eau courante. Le seul cas où les produits chimiques doivent rester en contact permanent est celui de la désacidification. Il faut de plus s assurer que les produits ne sont pas auto-inflammables (c est le cas des nitrates de cellulose) et qu ils ne dégagent pas de substances toxiques pour les êtres vivants ; L innocuité des procédés d application : en effet, si un corps chimique appliqué dans certaines conditions donne de bons résultats, appliqué différemment, il peut avoir des effets défavorables ; La réversibilité des opérations : il faut pouvoir, à tout moment, récupérer tout document traité dans son état primitif si la restauration ne donne les résultats escomptés ou si des techniques plus modernes peuvent remplacer les premières. Il faudra aussi s assurer que les produits utilisés soient facilement éliminables. 10
13 La restauration des documents archivistiques Conclusion Après avoir rapidement évoqué l origine des documents par lesquels l humanité a transmis ses connaissances et sa mémoire collective de génération en génération, l objet de la présente étude a eu l ambition de mettre en garde les détenteurs d archives contre les différents facteurs de détérioration de cellesci. Il a été rappelé que toute archive est, en général, composée de matériaux organiques qui, si elle était conservée dans un environnement atmosphérique néfaste, pourrait être gravement abîmée et même, dans les cas les plus graves, définitivement perdue. En plus des facteurs de détérioration des archives dues à certaines conditions d environnement atmosphérique, l attention du lecteur a été attirée par d autres causes d origines diverses dont : les sinistres naturels ou accidentels et, aussi, ceux qui son dus à la méchanceté ou à la négligence humaine. Furent ensuite définis les objectifs de la restauration des archives : à savoir les consolider et les rétablir dans leurs fonctionnalités. L accent a, ainsi, été mis sur les différents principes de l art de la restauration de documents à sauver qui doivent être pris en compte par les archivistes et autres techniciens chargés d effectuer cette délicate mission. Ceux-ci doivent être conscients que leurs actes ne sont pas à être exécutés de manière légère et insouciante. Et ce, au risque de perdre définitivement le document à restaurer. De toute façon, avant d envisager la restauration d un document, l archiviste devra se poser la question de la nécessité d entreprendre cette opération. Il conviendra avec les techniciens chargés de la restauration des actes qui sera à effectuer et veillera qu ils n utilisent pas de produits pouvant être nocifs pour les êtres vivants ou pouvant, à la longue, provoquer des phénomènes de combustions. Dans tous les cas d opération de restauration, il reviendra à l archiviste de veiller au respect de l aspect original du document à réparer et, surtout, aussi à la réversibilité du traitement et à l utilisation de matériaux neutres, cela, afin de ne pas changer l aspect de l archive. Il est indispensable que l archiviste et les techniciens chargés du travail de restauration d un document soient conscients que le non-respect des différentes modalités des actes techniques pourrait entraîner la perte irrémédiable de l archive : ce qui porterait préjudice à la mémoire collective de l humanité. 11
14 Auteur : Fernand-Daniel Dustin Avril 2013 Désireux d en savoir plus! Animation, conférence, table ronde n hésitez pas à nous contacter, Nous sommes à votre service pour organiser des activités sur cette thématique. Avec le soutien du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles
15
16 E.R. : Eric Poncin - Rue des Deux Eglises Bruxelles Centre Permanent pour la Citoyenneté et la Participation Rue des Deux Eglises Bruxelles Tél. : 02/ info@cpcp.be CPCP asbl
FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailARCHIVES DIPLOMATIQUES PRESERVATION ET CONSERVATION
PRESERVATION ET CONSERVATION 1. Anticiper les dégradations Prévenir : tel est le maître-mot qui doit dicter nos actions lorsqu il faut préserver l état matériel d un document et allonger ainsi sa durée
Plus en détailGUIDE DE LA PRÉSERVATION DES DOCUMENTS ESSENTIELS LORS D UNE URGENCE OU D UN SINISTRE
GUIDE DE LA PRÉSERVATION DES DOCUMENTS ESSENTIELS LORS D UNE URGENCE OU D UN SINISTRE LE PRÉSENT GUIDE CONTIENT CE QUI SUIT : 1. PLAN DE PRÉVENTION Étapes à suivre pour amoindrir les possibilités de pertes
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailConditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
>> Agathe MULOT Gaëlle HAROUARD Régisseurs des collections 03 90 58 55 76 agathe.mulot@pair-archeologie.fr gaelle.harouard@pair-archeologie.fr Conditions de prêt pour l exposition d objets archéologiques
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailLignes de conduite pour la preservation d archives*
Lignes de conduite pour la preservation d archives* BSG, Box 459, Grand Central Station, New York, NY 10163 «Il a été dit que la préservation engage le passé dans une conversation avec le présent sur une
Plus en détailCollection Au Quotidien
Collection Au Quotidien Dans le cadre de ce présent travail, nous désirons nous interroger sur l intérêt d une gestion rigoureuse des archives d une entreprise ou de toute organisation humaine. Dans quel
Plus en détailPlan d accès. 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères
Plan d accès 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères Archives : Le terme s emploie toujours au pluriel pour désigner un ensemble de documents, produits ou reçus par toute personne physique ou
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailEt après mes travaux?
10 Et après mes travaux? Voilà, les travaux sont terminés! Vous vous (ré)installez confortablement dans votre logement. Comment profiter le plus longtemps possible des améliorations que vous venez d apporter
Plus en détailPROJET POUR UN LOCAL ARCHIVES
PROJET POUR UN LOCAL ARCHIVES Références : La pratique archivistique française (édition 1993) Norme ISO 11799 de janvier 2004 Note Direction des Archives de France DITN/RES/2004/001 relative à la surcharge
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailHerrebout-Vermander N.V. S.A.
Pag. 1/5 Herrebout-Vermander N.V. S.A. Kuurne, mai 2002 rev. Janvier 2005 Le parquetteur est parti, et qu'est-ce qu'on fait maintenant Félicitations avec votre nouveau Le parquet est un revêtement de sol
Plus en détailSolvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.
Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailGroupe de travail : gestion, conservation et communication des archives
DE L'ARIEGE Groupe de travail : gestion, conservation et communication des archives Mercredi 26 octobre 2011 9h - 12h 4 Rue Raoul Lafagette 09000 FOIX Tél : 05.34.09.32.40 Fax : 05.34.09.30.88 www.cdg09.fr
Plus en détailREPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana
REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailArchivage électronique et valeur probatoire
Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc Archivage électronique et valeur probatoire Livre blanc 2 Sommaire 1 Introduction 3 2 Archive et archivage 5 2.1 Qu est-ce qu une archive? 5 2.2
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailQu'est ce qu'une archive?
Qu'est ce qu'une archive? Par Frédérique Bazzoni, directrice des Archives et du patrimoine mobilier de l Essonne Avant-propos Qu est-ce que l information? Qu est-ce qu une archive? L approche donnée ci-après
Plus en détailgarantie et entretien des meubles rembourrés
garantie et entretien des meubles rembourrés entretien des meubles rembourrés préserver l apparence des meubles rembourrés En raison de la chaleur, de l humidité du corps et de l usure physique que subissent
Plus en détailQu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détailCopropriété et assurances. Fédération française des sociétés d assurances DEP 302 - JUIN 2003
DEP 302 - JUIN 2003 Copropriété et assurances Fédération française des sociétés d assurances Centre de documentation et d information de l assurance 26, bd Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Fax DEP : 01 465
Plus en détailManuel d utilisation MA TABLETTE MAGIQUE 3-6. ans. 2014 VTech Imprimé en Chine 91-009669-006 FR. Disney Visitez le site DisneyJunior.
Manuel d utilisation MA TABLETTE MAGIQUE 3-6 ans Disney Visitez le site DisneyJunior.com 2014 VTech Imprimé en Chine 91-009669-006 FR INTRODUCTION Vous venez d acquérir Ma tablette magique de VTech. Félicitations!
Plus en détailPROCESSUS VALMONT CONCERNANT L APPLICATION DE LA TEINTE
En ce qui concerne le calcul, les mâts bois sont comparables à tous les autres mâts acier ou aluminium. Conformément à la directive européenne de 1985 ils sont calculés et dimensionnés avec le même référentiel
Plus en détailNotice d emploi. Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI
Notice d emploi Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI Table des matières LIRE ATTENTIVEMENT AVANT UTILISATION 1 Lisez-moi... 2 1.1 Bienvenue... 2 1.2 Enregistrement de votre garantie... 2
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailPrévention habitation. 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité
Prévention habitation 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité 20 trucs et astuces pour encore plus de sécurité! Votre habitation fait évidemment partie des biens que vous souhaitez protéger le
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailAUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE
AUGMENTER L EFFICACITÉ OPÉRATIONNELLE ET FIDELISER LA CLIENTÈLE Ne laissez pas vos tickets reçus vous coûter du temps et de l argent Un livre blanc NCR Vos applications d impression thermique direct ne
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailCONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX
CONTRAT DE TELESURVEILLANCE DES INSTALLATIONS DE SECURITE ANTI-INTRUSION DES BATIMENTS MUNICIPAUX Entre : Adresse : COMMUNE DE CLOUANGE 1, rue Mal Joffre 57185 CLOUANGE ci-après qualifiés le Client, d
Plus en détailElectrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document
Electrification statique - Problèmes et solutions L application des sources ionisantes. Auteur: Dr Mark G Shilton, CChem, MRSC. (Copie du document présenté à la Conférence sur la sécurité et la fiabilité
Plus en détailPortier Vidéo Surveillance
Portier Vidéo Surveillance 1 Réf. 102212 Notice d installation et d utilisation INTRODUCTION : Ce vidéophone est un appareil qui associe un interphone et un système vidéo d une grande facilité d installation
Plus en détailPOLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES
Cégep de Saint-Jérôme Politique M A 1 3 2002 POLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES Responsable : Coordonnateur des ressources matérielles Approbation : Comité exécutif
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailComment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»
Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé
Plus en détailLe b.a.-ba de la gestion des archives pour les organismes publics décentralisés et pour les sociétés à but non lucratif
Le b.a.-ba de la gestion des archives pour les organismes publics décentralisés et pour les sociétés à but non lucratif Janvier 2010 Caroline Sauvageau Direction du Conseil et de l action régionale Table
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailAssurance combinée ménage
Clients privés Assurance combinée ménage Plus de choix, de simplicité et d adaptabilité. Les modules assurance ménage, RC privée, bâtiment et objets de valeur, très appréciés, peuvent désormais être assortis
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailOUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE
OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE À quoi sert cet outil? Les musées obtiennent une image instantanée de la situation actuelle de leur réserve et bénéficient d un diagnostic préliminaire.
Plus en détailPrévention du risque d incendie dans les entreprises. Conseils pratiques
Prévention du risque d incendie dans les entreprises Conseils pratiques Les dégâts causés par les incendies se chiffrent chaque année à plusieurs dizaines de millions d euro. Plus de 50 entreprises sont
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailEntretenez votre bonheur
GUIDE D ENTRETIEN Entretenez votre bonheur Commencez avec vos meubles en bois et terrasse Rectavit PROTECTION TOTALE contre le vieillissement, la décoloration et les saletés Légende Vos meubles en bois
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailManuel d utilisation. Mini Market éducatif. 2011 VTech Imprimé en Chine 91-002606-001
Manuel d utilisation Mini Market éducatif 2011 VTech Imprimé en Chine 91-002606-001 Chers parents, Chez VTech, nous sommes conscients que les enfants sont notre avenir. C est pourquoi tous nos jeux sont
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailZéro papier dès le premier jour
Zéro papier dès le premier jour Économies de coûts et augmentation de productivité grâce à la numérisation www.i-fourc.fr A digital archive Véritable référence dans le domaine de la numérisation, I-FourC
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailREGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE. Journal d Anne Frank
REGISTRE DE LA MÉMOIRE DU MONDE Journal d Anne Frank Réf. N 2008-42 PARTIE A - INFORMATIONS ESSENTIELLES 1. RÉSUMÉ Le Journal d Anne Frank porte l attention du monde entier l histoire de cette jeune fille.
Plus en détailSécurité incendie dans les garages
Sécurité incendie dans les garages Assuré et rassuré. Risques d incendie dans les garages Lorsque le feu prend dans des garages, il provoque souvent des dégâts importants, et dans les cas les plus graves,
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailStages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle
Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle De nombreux archivistes se sont déjà interrogés sur la manière d organiser un stage en archives pour des
Plus en détailCHAUFFAGE. choisissez intelligemment votre confort POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale
POURQUOI PAS DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE? CHAUFFAGE choisissez intelligemment votre confort Avec le soutien de la Région de Bruxelles-Capitale AGENCE BRUXELLOISE DE L ÉNERGIE Le Centre Urbain asbl Chauffage
Plus en détailL'AMIANTE : RÉGLEMENTATION
L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance
Plus en détailService Intercommunal d Aide au Classement et à la Valorisation des Archives FICHE INFORMATIVE N 2 L A COMMU N IC AT I O N DES AR C HIVES
Département des Alpes -de-haute-provence CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Rue de Font de Lagier - BP 9-04130 VOLX - Tél. 04 92 70 13 00 - Fax. 04 92 70 13 01 E-Mail : courrier@cdg04.fr
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailProtection-cellulaire
Protection-cellulaire Comment activer votre protection? 1- Préautorisez le paiement de votre facture de téléphonie cellulaire auprès de votre fournisseur, sur votre carte Visa Étudiant Desjardins. Lors
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailSauvegarde et archivage
Les Fiches thématiques Jur@tic Sauvegarde et archivage de vos données informatiques Les Fiches thématiques Jur@TIC? 1. Pourquoi SAUVEGARDER SES DONNÉES? Quels que soient vos usages des outils informatiques,
Plus en détailDiagnostiquer les défauts de peinture et les éliminer.
Diagnostiquer les défauts de peinture et les éliminer. Avant-propos Les défauts de peinture Inévitables, mais gérables. Les causes des défauts de peinture sont diverses. Il est possible que votre client
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailSecurity Service de Services sécurité. Protocole de surveillance des alarmes de sécurité
Security Service de Services sécurité Protocole de surveillance des alarmes de sécurité TABLE DES MATIÈRES 1.0 BUT... Page 1 2.0 PORTÉE.. Page 1 3.0 DÉFINITIONS Page 1 4.0 PROTOCOLE 4.1 Généralités.. Page
Plus en détailIngrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE NOM COMMERCIAL : PROPANE SYNONYMES : Diméthylméthane UTILISATION DU PRODUIT : Carburant NUMÉRO DE LA FS : 251-300 NOM DU FOURNISSEUR NUMÉROS
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailLes petits pas. Pour favoriser mon écoute. Où le placer dans la classe? Procédurier. Adapter les directives. Référentiel Présentation des travaux
Tombe facilement dans la lune (distraction interne) Compenser les déficits d attention des élèves ayant un TDAH : des moyens simples à proposer aux enseignants Line Massé Département de psychoéducation,
Plus en détailContact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.
FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant
Plus en détailFICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 SOMMAIRE
FICHE DE POSE FILMS AUTOMOBILES FPP.7.3.2.Auto A 07.07 METHODE DE POSE ET DE DEPOSE Film de Protection Solaire FILM AUTOMOBILE MATERIEL NECESSAIRE Un PULVITRE (pulvérisateur (11 litres) Une raclette MARJO
Plus en détailELECTRICITE. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Introduction ELECTRICITE L'utilisation de l'énergie électrique est devenue tellement courante que nul ne saurait
Plus en détail