Documents proposés Les palais minoens de Cnossos et de Malia

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Documents proposés Les palais minoens de Cnossos et de Malia"

Transcription

1 Documents proposés Les palais minoens de Cnossos et de Malia Cnossos Malia Cour centrale Magasins Polythyron et «bain lustral» D après DICKINSON, O., The Aegean Bronze Age, Cambridge University Press, 1994, p Comprendre les documents et leurs centres d intérêt Les palais minoens: leur architecture, leurs fonctions, leur place dans le monde minoen (cf. Le monde grec, Paris, Bréal, 2010, p ); l organisation sociale, économique et politique du monde minoen. Présenter les documents Décrire les plans: dimensions, orientation, organisation fonctionnelle. Faire ressortir les caractéristiques communes et les différences; reconstituer les étages pour se représenter chaque édifice comme un volume; souligner les limites des plans: il s agit d un état historique des édifices. Construire un plan à partir des centres d intérêt suivants Le contexte qui a vu naître, évoluer puis disparaître ces édifices; les palais dans leur environnement (urbain, régional); l intégration des édifices dans la vie quotidienne des hommes (fonctions utilitaire, sociale, administrative, économique, politique); la relation des édifices entre eux: égalité, dépendance? 1

2 Les tombes à fosse du cercle A de Mycènes Plan de l entrée de la citadelle de Mycènes avec le Cercle A 0 30 m Rempart ouest Mycènes, tombe V, masque dit «d Agamemnon», XVI e siècle D après Iakovidis, Late Helladic Citadels on Mainland Greece, plan 6. Cercle A de tombes de Mycènes, tombe V, stèle funéraire en pôros ; la partie inférieure montre une scène de chasse ou de guerre ou une course de char (XVI e siècle) Site du Musée archéologique national d Athènes. Comprendre le document et ses centres d intérêt Une trouvaille spectaculaire de Schliemann en 1876; un témoin d une phase importante de la mise en place de la civilisation mycénienne. Présenter les documents Indiquer la chronologie des tombes à fosse du cercle A; décrire le plan qui présente plusieurs phases de construction; Site du Musée archéologique national d Athènes. préciser la relation entre le cercle A des tombes à fosse et la muraille de la citadelle de Mycènes; décrire le mobilier associé: types d objets, matières premières utilisées, représentations figurées 2

3 Construire un plan à partir des centres d intérêt suivants Les tombes à fosse dans le cadre des pratiques funéraires: - continuités et ruptures; - un type de tombe parmi d autres; les tombes à fosse comme témoins de la mise en place d une «élite», d une aristocratie guerrière, sur le continent; les tombes à fosse comme témoins de contacts extérieurs, notamment avec la Crète, à l époque des seconds palais minoens (à travers le mobilier funéraire). 3

4 La peinture murale minoenne et cycladique Cnossos, palais, fresque du Bois sacré, ca 1500 Akrotiri (Théra), Xestè 3, fresque de la récolte du safran : les Cueilleuses, ca 1500 Poursat, J.-Cl., 2008, pl. XLIX, p Poursat, J.-Cl., 2008, pl. LXI, p Comprendre les documents et leurs centres d intérêt Deux exemples de l art pictural minoen et cycladique au Bronze Récent; une représentation de la réalité? des témoignages des relations entre les Cyclades et la Crète. Présenter les documents Donner des indications sur les conditions de la découverte: qui? quand? à quel endroit du site? préciser la datation; indiquer les dimensions des fresques; évoquer l aspect technique de la réalisation; décrire les thèmes traités. Construire un plan à partir des centres d intérêt suivants Des documents contemporains d inspiration identique: comparaison; la fresque de Théra: un témoin de la présence minoenne à Théra et dans les Cyclades ou seulement un témoin de l influence crétoise? la fresque de Théra comme témoin d un art cycladique original. 4

5 Une série de sceaux mycéniens PERROT, G. et CHIPIEZ, Ch., Histoire de l Art dans l Antiquité. Phénicie, Égypte, Assyrie, Judée, Asie Mineure, Perse, Grèce, t. VI, La Grèce primitive. L art mycénien, Paris, Hachette, Sceaux : n 5, p. 847 ; n 20, planche xvi, face à la p. 772 ; n 421, p. 839 ; n 425, p. 841 ; n 420, p Comprendre les documents et leurs centres d intérêt Des objets fabriqués; des objets décorés; des objets utilitaires. Présenter les documents La chronologie; la typologie des formes (sceaux de forme circulaire, lenticulaire); les matières premières utilisées et les techniques mises en œuvre pour la fabrication; le répertoire iconographique des décors (animaux, scènes de chasse, de bataille ). Construire un plan à partir des centres d intérêt suivants Les sceaux mycéniens dans le cadre de la glyptique égéenne à l Âge du Bronze; les sceaux mycéniens et leurs antécédents proche-orientaux et orientaux: imitations? influences? les différentes fonctions des sceaux mycéniens: parure, administration (contrôle); les sceaux dans le cadre du système palatial mycénien. 5

6 Des tablettes en linéaire B D après CHADWICK, J., Reading the past, Linear B and Related Scripts, Londres, Comprendre les documents et leurs centres d intérêt Des exemples de documents écrits de l époque mycénienne (cf. Le monde grec, Paris, Bréal, 2010, p. 22); des documents d archives comptables ; des témoins du système palatial mycénien ; une des sources de l histoire du monde mycénien. Décrire les documents Indiquer l endroit des trouvailles et leur datation ; décrire les tablettes : forme, matière première, état de conservation des documents ; limites des documents : interprétation incertaine. Construire un plan à partir des centres d intérêt suivants Les lieux de découverte des tablettes en linéaire B ; le déchiffrement du linéaire B : identification de la langue notée par l écriture linéaire B (une forme ancienne de grec) ; la relation entre le linéaire B mycénien et le linéaire A minoen ; les fonctions des tablettes en linéaire B : comptabilité des palais, fiscalité ; l apport des tablettes et leurs limites pour la connaissance du monde mycénien. 6

7 Dissertation expliquée Les royautés mycéniennes à l époque des palais 1 - Élaboration du devoir A - Définir le sujet Ses termes Les royautés Le terme est utilisé au sens propre: c est le pouvoir royal, exercé par un roi, qui gouverne un royaume. Il implique d étudier la nature de la royauté mycénienne, de définir les pouvoirs, les domaines d action de celui que les textes en linéaire B appellent le wa-naka (terme d où est issu le mot grec classique anax, «prince»). Le pluriel indique que le monde mycénien était constitué par un ensemble d entités présentant une organisation sociale, politique et économique semblable. Mycéniennes Le terme désigne ici à la fois une période et un espace. C est la période palatiale mycénienne: on ne traitera donc pas les phases prépalatiales de la civilisation mycénienne, pas plus que les phases postpalatiales. Dans quel espace ces royautés mycéniennes se trouvent-elles? Il s agit de la Grèce continentale et de la Crète et non de l ensemble du monde mycénien. Il ne s agit bien entendu pas seulement de Mycènes. Il faut également tenter de cerner l étendue de chaque royaume. Les palais Le terme de palais est à prendre dans le sens spécifique qu il a pour l époque mycénienne: un centre politique, économique et administratif, probablement une capitale régionale. L époque palatiale mycénienne correspond à la période d apogée de la civilisation mycénienne. Il faut replacer cette période dans le contexte historique des grandes civilisations de Méditerranée orientale. Les écueils à éviter Utiliser pour la reconstruction des royautés mycéniennes les données de l épopée homérique, qui ne décrivent pas les institutions du monde mycénien, disparu depuis longtemps, mais beaucoup plus vraisemblablement des royautés contemporaines ou au moins plus proches de l époque de composition des poèmes épiques. Bibliographie CARLIER, P., La Royauté en Grèce avant Alexandre, AECR, Strasbourg, 1984 (première partie : «Les royautés mycéniennes», p ). CHADWICK, J., The Mycenaean World, Cambridge, 1976, rééd

8 B - Construire le plan Définir une problématique L analyse des termes du sujet permet de dégager une problématique autour d une question centrale: quelle est la nature de la royauté mycénienne? Cette question en appelle d autres: de quels documents dispose-t-on pour essayer de répondre à cette question? les royautés mycéniennes sont-elles bureaucratiques? quelle est l étendue du pouvoir de chaque roi? est-il un monarque absolu? est-il un roi prêtre? un roi dieu? Mettre noir sur blanc les idées essentielles Le problème des sources et leur fiabilité: les sources archéologiques: les «palais», les tombes; les sources épigraphiques: les documents d archives en linéaire B sur tablettes en argile. La notion de royauté: la replacer rapidement dans le contexte historique de la Méditerranée orientale; en repérer les caractéristiques dans le monde mycénien. Les royaumes mycéniens: leur localisation, leur étendue, leur organisation, les relations qu ils entretiennent entre eux et avec les régions extérieures au monde mycénien (cf. Le monde grec, Paris, Bréal, 2010, p et sur le royaume de Pylos). Le roi mycénien: ses pouvoirs, son entourage. Repérer les articulations possibles du plan Les sources écrites (tablettes comptables en linéaire B), notre principale source sur le sujet, ne permettent pas de dégager une évolution des royautés mycéniennes. Elles datent exclusivement de la période qui précéda l incendie des palais (cet incendie ayant cuit les tablettes qui ont pu nous parvenir). Les informations qu elles nous fournissent sont donc très limitées à la fois dans le temps et dans l espace (la plupart des documents proviennent de Pylos et de Cnossos). On ne peut guère envisager un plan chronologique, ce qui ne signifie pas que la chronologie doive être absente de l étude. Il faut donc se tourner vers un plan essentiellement thématique, qui permettra d aborder la question de l étendue des royaumes mycéniens, d essayer de cerner les caractéristiques des royautés mycéniennes et de chercher les raisons de leur échec. 2 - Rédaction du devoir Introduction Partir du fait que l histoire du monde mycénien repose essentiellement sur des découvertes archéologiques; par conséquent les conclusions proposées sont en fait des hypothèses interprétatives que les résultats de fouilles en cours peuvent à tout moment venir confirmer ou infirmer. Préciser que les sources épigraphiques ne sont que des archives comptables et que, même si elles sont une source importante sur l organisation des palais, elles ne décrivent pas cette organisation. Définir les termes du sujet, poser la problématique et annoncer le plan. 8

9 1 - Les royaumes mycéniens a) Les sources archéologiques L exploration archéologique a été très inégale selon les régions: très intense en Argolide et en Messénie, où la majorité des sites mycéniens sont repérés et où trois palais ont été fouillés; beaucoup moins systématique, voire quasi inexistante dans les autres régions. Des capitales de royaumes sont identifiées par un ensemble de données archéologiques: la découverte de centres palatiaux: trois palais mis au jour: Mycènes et Tirynthe en Argolide, Pylos en Messénie. À noter la réutilisation du palais minoen de Cnossos en Crète; deux centres palatiaux identifiés: Thèbes en Béotie et La Canée (Kydônia) en Crète; deux centres probables: le Ménélaion, près de Sparte en Laconie, et Iolkos en Thessalie; nombreuses tombes à tholos en Argolide et en Messénie. b) Les sources écrites Les tablettes en linéaire B qui mentionnent le wa-na-ka et qui indiquent clairement qu il est le maître du palais et du royaume. La liste égyptienne de Kom-El-Hetan (époque d Aménophis III, /0), indiquant une énumération de localités égéennes du Péloponnèse. Mais rien ne dit qu il s agit nécessairement de capitales de royaumes mycéniens. Le «Catalogue des vaisseaux» de l Iliade (chant II) repose sans doute en partie sur des données mycéniennes transmises par la tradition épique, en partie sur des vestiges mycéniens encore visibles et en partie sur la réalité du VIII e siècle: ce catalogue est à utiliser avec prudence. c) L étendue des royaumes Les indications les plus précises concernent le royaume de Pylos, dont le territoire semble avoir couvert presque toute la Messénie. À travers les textes en linéaire B, on apprend que le royaume comprenait deux provinces, subdivisées en seize districts. À partir de ces données on a établi la carte probable du royaume de Pylos (cf. Le monde grec, Paris, Bréal, 2010, p. 28). Bien qu aucune source ne permette de l affirmer, on a estimé, par analogie, que les autres royaumes présentaient une organisation comparable. Mais une telle extrapolation comporte des incertitudes nombreuses et importantes: il suffit de penser aux cités grecques de l époque classique, dont la superficie et l organisation interne ne sont pas uniformes. Pourtant, certains auteurs proposent un schéma de la configuration de la Grèce mycénienne illustrant l hypothèse selon laquelle toutes les régions étaient contrôlées par des palais. D autres ont tenté d établir une hiérarchie des sites à l intérieur même d un royaume: capitale, sites secondaires, villages, hameaux. Dans l état actuel de nos connaissances, il n est pas possible d établir une carte de l ensemble des royaumes mycéniens. 9

10 2 - Les traits caractéristiques des royautés mycéniennes a) La bureaucratie De nombreux historiens ont affirmé que le système bureaucratique contrôlait toute l économie du royaume et que chaque détail donnait lieu à la rédaction d une tablette. D autres pensent qu un contrôle étroit existait à Pylos et à Cnossos et qu il était beaucoup moins rigide dans les autres centres palatiaux. Éviter les conclusions hâtives tirées de la documentation disponible, inégale (importants dépôts d archives à Pylos et Cnossos; quelques lots de tablettes ailleurs). La bureaucratie palatiale était certainement limitée (voir J. CHADWICK, The Mycenaean World, p ). Même en tenant compte du fait que certains documents étaient écrits sur papyrus, et ne se sont donc pas conservés, la production «bureaucratique» palatiale était relativement faible. Le palais ne contrôlait probablement pas toute l économie. Le contrôle palatial sur la production s exerçait plus particulièrement dans le domaine de l artisanat textile et du travail du bronze. En outre, le palais prélevait, selon un système fiscal, des produits divers, qu il emmagasinait pour les redistribuer en partie sous forme de rations alimentaires à une maind œuvre dépendante. Certains produits servaient dans les échanges à l intérieur du monde mycénien ou avec d autres régions. On peut souligner que les archives ne mentionnent pas d intervention du palais dans des travaux de grande envergure intéressant l ensemble du royaume: entretien de canaux d irrigation par exemple. b) L étendue et les limites des pouvoirs du roi Le roi est le maître de l administration palatiale: il nomme des fonctionnaires, responsables de provinces (da-mo-ko-ro), ou de districts (ko-re-te-re), et des responsables de magasins palatiaux. Il peut muter ces fonctionnaires d un emploi à l autre; il est difficile de préciser si ces hauts fonctionnaires font partie d un groupe, d une caste. Les archives de Pylos attestent l existence des e-qe-ta, compagnons du roi, appelés à des fonctions diverses de contrôle (de troupes, d un sanctuaire, d un atelier ), mais rien ne permet d affirmer que les fonctionnaires provinciaux sont pris parmi ces e-qe-ta. Le roi contrôle les sanctuaires: les sanctuaires sont riches. Ils disposent d une importante main-d œuvre et de troupeaux. Les membres de la hiérarchie sacerdotale, appelés «esclaves du dieu», reçoivent des terres. Les pouvoirs du roi étaient peut-être limités: présence de dignitaires comme le ra-wa-ke-ta, qui apparaît comme le deuxième personnage du royaume, et n est probablement pas désigné par le roi. On a supposé qu il exerçait l autorité militaire. Mais il est peut-être un «vizir» sur le modèle égyptien, ou un prince héritier. Peut-être ce personnage limitait-il le pouvoir du roi; les qa-si-re-we sont aussi des chefs, peut-être de corporations; en outre, certains notables ont une richesse et une puissance qu ils ne doivent pas au palais et qui est reconnue par celui-ci. Tout le pouvoir n appartenait pas au roi et les rois mycéniens n étaient sans doute pas des rois absolus. 10

11 c) Le pouvoir religieux du roi Le roi exerce des fonctions sacerdotales et il est peut-être (cf. Carlier) le prêtre suprême du royaume. Il est probablement en partie responsable du culte, et doit veiller au respect des rites. Certains pensent que la grande pièce de l unité centrale des palais, le mégaron, était le lieu où les rois mycéniens accomplissaient des rites solennels. Le roi était-il un roi divin? Cette appellation a un double sens: elle signifie soit que le roi est un dieu, soit qu il a des pouvoirs divins. Faut-il aller jusqu à lui attribuer des pouvoirs surnaturels ou magiques et un rôle cosmique? Les analogies avec l Orient qui fondent cette proposition sont probablement abusives. Le roi était un favori des dieux: les rois mycéniens ne sont pas des dieux, mais ils jouissent probablement de la faveur divine; mais les sources sont peu bavardes sur le sujet et on n a pas d informations précises sur le type d investiture divine dont bénéficiait le roi. 3 - La fin des royautés mycéniennes À la fin du XIII e siècle le système palatial disparaît brutalement. On ignore pourquoi et plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer cette disparition. Elles traduisent toutes une incapacité des royaumes à surmonter les problèmes qu ils rencontrent. Si on élimine l hypothèse des invasions doriennes, difficiles à établir archéologiquement, d autres raisons à l échec des royautés mycéniennes peuvent être envisagées. a) L incapacité des royaumes à surmonter des problèmes économiques extérieurs La richesse et la prospérité des royaumes mycéniens étaient fondées sur le système palatial. Les surplus des magasins des palais étaient échangés en partie en dehors du monde mycénien contre des denrées que ne produisaient pas les royaumes mycéniens. Les destructions de la fin du XIII e siècle dans toute la partie orientale du bassin méditerranéen ont rompu les contacts économiques établis, qui contribuaient largement au bon fonctionnement des palais. Les rois mycéniens n ont pas su s adapter à une situation nouvelle et tirer parti d un système qui avait fait ses preuves pendant environ deux siècles. b) La fragilité du système palatial à l intérieur des royaumes On a évoqué des révoltes contre un système palatial trop centralisé et trop rigide. Si on tient compte de l importance des contrôles exercés par les palais sur les productions économiques, l argument est excessif, car il apparaît que le contrôle palatial était loin de concerner l ensemble de l activité économique des royaumes. c) Des rivalités entre royaumes mycéniens? On a peu de renseignements sur les relations qu entretenaient entre eux les rois mycéniens. Étaient-ils totalement indépendants ou l un d entre eux exerçait-il son hégémonie sur les autres? Le caractère exceptionnel de Mycènes pendant toute la période du Bronze Récent (richesses des tombes à fosse des deux cercles A et B, grandes tombes à tholos qui se 11

12 succèdent ) suggère que les rois de Mycènes avaient une richesse et une puissance supérieure aux autres rois mycéniens. On peut supposer que la coexistence de plusieurs entités politiques comparables est fragile et que celle qui est à un moment plus puissante et plus riche que les autres va chercher à les dominer. Mais c est pure supposition, même si elle est logiquement fondée, et rien ne permet d affirmer que la chute des royautés mycéniennes soit due à des conflits entre royaumes. Conclusion Si les sources archéologiques et épigraphiques permettent d établir l existence de royautés protohistoriques en Grèce au Bronze Récent, elles ne permettent pas de nous préciser la nature exacte de ces royautés. Il apparaît néanmoins que ces royautés présentaient des caractéristiques communes, qui traduisent l unité du monde mycénien à l époque des palais. 12

13 Dissertation proposée La thalassocratie minoenne Réfléchir aux termes et intentions du sujet Thalassocratie = thalassa (la mer) + kratos (le pouvoir); minoenne = de Minos (roi légendaire de Cnossos et de Crète); la chronologie: l époque des seconds palais: période de prospérité en Crète; s agit-il d un mythe ou d une réalité? Recenser les aspects à étudier Les premières mentions de la thalassocratie minoenne chez Hérodote (I, 171; III, 122; VII, ) et Thucydide (I, 4): replacer ces textes dans leur contexte historique (ligue de Délos, empire d Athènes). Examiner le point de vue d Evans, le fouilleur de Cnossos, sur la question. Recenser les données archéologiques dans les régions égéennes. Définir les articulations possibles du plan Les facteurs de l expansion minoenne en Égée. La nature de la présence minoenne en Égée et ses limites. La valeur des témoignages d Hérodote et de Thucydide: les problèmes de mise en perspective des textes et de l archéologie. La Crète mycénienne Réfléchir aux termes et intentions du sujet Expressions qui peuvent prêter à confusion: la Crète à l époque des palais mycéniens continentaux; la Crète dans le monde mycénien. Elle fait alors partie du monde mycénien sans pour autant perdre son originalité. Recenser les aspects à étudier Consulter DRIESSEN, J. et FARNOUX, A. (éd.), La Crète mycénienne, BCH, supplément 30, 1997 (un ensemble d articles spécialisés). Examiner la nature du pouvoir mycénien en Crète, l organisation administrative; les changements dans la culture matérielle. Définir les articulations possibles du plan Le problème de l arrivée des Mycéniens en Crète (la notion d invasion et les problèmes chronologiques). La Crète, une province du monde mycénien: les manifestations de son intégration. L originalité de la culture crétoise à l époque mycénienne. 13

Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme

Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme Introduction : Chapitre XII Les débuts du judaïsme Chapitre XII Les débuts du judaïsme Introduction : Cette Bible a été trouvée près de la Mer Morte, non loin de Jérusalem. Chapitre XII Les débuts du judaïsme

Plus en détail

QA-SI-RE-U ET QA-SI-RE- WI- JA

QA-SI-RE-U ET QA-SI-RE- WI- JA QA-SI-RE-U ET QA-SI-RE- WI- JA Chacun sait que dans les archives en linéaire B, le mot qa-si-re-u (paoihe6~) ne désigne point le souverain du royaume (qui porte le titre de wu-na- ka), mais un personnage

Plus en détail

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs

Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Le château de Versailles Architecture et décors extérieurs Les rois de France viennent régulièrement chasser à Versailles à partir du XVI ème siècle. Henri IV y amène son fils, le futur Louis XIII. Devenu

Plus en détail

Méthode du commentaire de document en Histoire

Méthode du commentaire de document en Histoire Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.

Plus en détail

École doctorale 124. «Histoire de l art et Archéologie» (ED VI) Formation doctorale obligatoire

École doctorale 124. «Histoire de l art et Archéologie» (ED VI) Formation doctorale obligatoire École doctorale 124 «Histoire de l art et Archéologie» (ED VI) Formation doctorale obligatoire 2014/2015 Présentation de la formation doctorale obligatoire L originalité de l École doctorale réside dans

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

Préfixe "MA" ALVEOLE VI

Préfixe MA ALVEOLE VI Préfixe "MA" ALVEOLE VI VI-A-00 : Tirés-à-part VI-A-8 : Atlas des villes VI-E-7/8 : Atlas VI-T-0/1 : Bibliographie de l'histoire de France 100 : Histoire urbaine 101 : Généralités, urbanisation 102 : Atlas

Plus en détail

THEME 2 : MONDE ANTIQUE

THEME 2 : MONDE ANTIQUE 16 CHAPITRE DEUX: CITOYENNETÉ ET EMPIRE A ROME (I-III SIÈCLE AP JC). CHAPITRE DEUX : CITOYENNETÉ ET EMPIRE À ROME AU Ie - IIIe SIECLES AP J.C. INTRODUCTION CARTE DE L EMPIRE AU II AP JC. 1 / Quelle est

Plus en détail

Une religion, deux Eglises

Une religion, deux Eglises Une religion, deux Eglises template : www.indezine.com Belin 2009 L empire byzantin et l empire carolingien sont tous les deux chrétiens. Mais leurs pratiques religieuses sont différentes : quelles sont-elles?

Plus en détail

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON

REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 1952. par EMILIA MAS SON REMARQUES SUR LE PETIT FRAGMENT DE TABLETTE CHYPRO MINOENNE TROUVÉ A ENKOMI EN 952 par EMILIA MAS SON. C'est pendant sa campagne de 952 à Enkomi que M. Porphyrios Dikaios a trouvé un petit fragment de

Plus en détail

METHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS

METHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS

Plus en détail

Le jugement de Pâris et la pomme Par A. Labarrière 2 2

Le jugement de Pâris et la pomme Par A. Labarrière 2 2 Le jugement de Pâris et la pomme Par A. Labarrière 2 2 I. Origine et Protagonistes Cette légende fut narrée pour la première fois par Homère, un poète grec du 9 e siècle avant J.-C. ayant écrit l Iliade

Plus en détail

Méthodologie du dossier. Epreuve d histoire de l art

Méthodologie du dossier. Epreuve d histoire de l art Méthodologie du dossier Epreuve d histoire de l art Fiche d identité de l oeuvre Nature de l oeuvre : Huile sur toile Auteur Eugène Delacroix (1798-1863) Titre : La liberté guidant le peuple : le 28 juillet

Plus en détail

Une religion, deux Eglises

Une religion, deux Eglises Une religion, deux Eglises template : www.indezine.com Quelles sont les principales différences entre les pratiques religieuses des chrétiens d Occident et des chrétiens d Orient? Eglises Eglise d Occident

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

Paris a-t-elle la grosse tête?

Paris a-t-elle la grosse tête? Paris a-t-elle la grosse tête? Magazine français traduit en anglais pour les touristes Paris Capitale Hors-Série. N 1008 du 12 juillet 2010. La France vue par les parisiens http://www.dailymotion.com/video/x6pg5r_pub-le-parisien-et-les-japonais_fun

Plus en détail

Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires»

Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» é Les Éditions du patrimoine présentent La tenture de l Apocalypse d Angers Collection «Sensitinéraires» >Un ouvrage conçu en collaboration avec l IRAG (Institut pour la recherche d applications gravées),

Plus en détail

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE

LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.

Plus en détail

Qu est-ce que l Inventaire?

Qu est-ce que l Inventaire? Qu est-ce que l Inventaire? L I.P.I.C. (ou Inventaire du Patrimoine Immobilier Culturel) est la dénomination désignant l Inventaire du patrimoine architectural de Wallonie. Depuis 2011, il fait suite à

Plus en détail

«La famille, c est la première des sociétés humaines.»

«La famille, c est la première des sociétés humaines.» «La famille, c est la première des sociétés humaines.» La famille sera toujours la base des sociétés. Honoré de Balzac La famille est-elle la première des sociétés humaines? C est l hypothèse la plus souvent

Plus en détail

La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789)

La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789) La vie de cour au château de Versailles avant la Révolution Française (1789) Avant la Révolution*, la France est une monarchie avec à sa tête un monarque, le Roi de France. Lorsque Louis XIII décède en

Plus en détail

L EMPIRE ROMAIN. étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle. Fabienne Rouffia - collège V.

L EMPIRE ROMAIN. étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle. Fabienne Rouffia - collège V. L EMPIRE ROMAIN étude de cas : Lucius Aponius Cherea habitant de Narbo Martius au II siècle Détail du piédestal de la statue d Aponius Cherea (II siècle) musée archéologique de Narbonne Source : Service

Plus en détail

Histoire Le Moyen-âge La société féodale

Histoire Le Moyen-âge La société féodale Histoire Le Moyen-âge Objectif(s) : - Connaître les 3 ordres de la société médiévale - Découvrir le cadre et le mode de vie des seigneurs au Moyen Age : Seigneurs / vassaux / chevaliers Histoire racontée

Plus en détail

L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE

L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE Compétence Comprendre l importance de l Église dans la vie des hommes au Moyen Âge. Quelle impression te donne l église dans cette photographie, par rapport aux autres constructions?

Plus en détail

Livret du jeune spectateur

Livret du jeune spectateur Page1 Livret du jeune spectateur NOM : PRENOM : CLASSE : ETABLISSEMENT : PROFESSEUR DATE DE L'OPERA / DU CONCERT : LIEU DE L'OPERA / DU CONCERT : Page2 AVANT D'ALLER AU CONCERT / A L'OPERA : SE PREPARER

Plus en détail

Fortunes urbaines et stratégies sociales

Fortunes urbaines et stratégies sociales Pascale Ghazaleh Fortunes urbaines et stratégies sociales Généalogies patrimoniales au Caire, 1780-1830 INSTITUT FRANÇAIS D ARCHÉOLOGIE ORIENTALE RAPH 32/1 2010 Table des matières reconnaissance de dettes...vii

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

GESTION DES ARCHIVES

GESTION DES ARCHIVES GESTION DES ARCHIVES Principes et législation NOTIONS FONDAMENTALES D ARCHIVISTIQUE Définition de l archive Définition du producteur d archives Les outils de gestion des archives Principes Outils fondés

Plus en détail

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

LE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans...

LE BATON D ISHANGO. Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... LE BATON D ISHANGO Une machine à calculer vieille de 20 000 ans... Les collections du Muséum des Sciences naturelles à Bruxelles abritent un artefact aussi unique que remarquable : le bâton d Ishango.

Plus en détail

GEORGES-HENRI LUQUET ET LA FRANC-MAÇONNERIE.

GEORGES-HENRI LUQUET ET LA FRANC-MAÇONNERIE. GEORGES-HENRI LUQUET ET LA FRANC-MAÇONNERIE. Nous tenons à exprimer nos plus vifs remerciements à Irène Mainguy, Pierre Mollier et Georges Odo pour leur aide précieuse, et pour nous avoir autorisé à publier

Plus en détail

Les principales méthodes d évaluation

Les principales méthodes d évaluation Attention : Cette fiche n a pas pour objet de fixer administrativement la valeur des biens. Elle ne doit pas être assimilée à une instruction administrative. Elle propose les principales méthodes d évaluation

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle De nombreux archivistes se sont déjà interrogés sur la manière d organiser un stage en archives pour des

Plus en détail

Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.

Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37. Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.fr La forteresse royale de Chinon, propriété du Conseil général d

Plus en détail

LICENCE ARCHEOLOGIE. skin.:program_main_bloc_presentation_label. skin.:program_main_bloc_objectifs_label. Mention : Histoire de l'art et archéologie

LICENCE ARCHEOLOGIE. skin.:program_main_bloc_presentation_label. skin.:program_main_bloc_objectifs_label. Mention : Histoire de l'art et archéologie LICENCE ARCHEOLOGIE Mention : Histoire de l'art et archéologie skin.:program_main_bloc_presentation_label L enseignement de la licence est fondé sur une spécialisation progressive au cours des trois années

Plus en détail

PROGRAMME DES COURS DE LICENCE

PROGRAMME DES COURS DE LICENCE PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide

Plus en détail

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction

Camus l a joliment formulé : le seul. introduction introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Des cartes pour comprendre un monde complexe

Des cartes pour comprendre un monde complexe Des cartes pour comprendre un monde complexe Propositions de séquences en TES/L et en TS sur le cours introductif de géographie par Damien LOQUAY, EEMCP2 en Tunisie Ce que disent les programmes Terminale

Plus en détail

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne

Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Etude réalisée en partenariat avec le réseau de CMA et la CRMA de Bretagne, le syndicat Mixte MEGALIS et la Région Bretagne Cet article présente les principaux résultats de l enquête OPSIS de Marsouin

Plus en détail

Pourquoi archiver les emails

Pourquoi archiver les emails Pourquoi archiver les emails Objectif du document Ce document a pour objectif d'expliquer la nécessité et le bien-fondé de l'archivage des emails. Il a été écrit par Alain Heurtebise, Directeur Général

Plus en détail

Aperçu des 37 principes directeurs

Aperçu des 37 principes directeurs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d

Plus en détail

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT

Plus en détail

L Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle

L Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle L Eglise dans ses dimensions religieuse, économique, sociale et intellectuelle Iconographie du template Le jugement dernier, cathédrale de Bourges Ange au sourire, cathédrale de Reims Identifie l enfer

Plus en détail

Gouverner en Islam entre le xe siècle et le xve siècle (Iraq jusqu'en 1258, Syrie, Hijaz, Yémen, Égypte, Maghreb et al-andalus).

Gouverner en Islam entre le xe siècle et le xve siècle (Iraq jusqu'en 1258, Syrie, Hijaz, Yémen, Égypte, Maghreb et al-andalus). Histoire Histoire ancienne (Nouvelle question) Le monde romain de 70 av. J.-C. à 73 ap. J.-C. Cette question se propose de couvrir l histoire de l Empire romain entre la fin de la République et le début

Plus en détail

Préparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família

Préparation de la visite. Visite symbolique et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e (collège) Visites éducatives de la Sagrada Família Visites éducatives de la Sagrada Família Préparation de la visite. Visite et spirituelle Groupes: 6 e, 5 e, 4 e et 3 e () 1 0. À la découverte de l église La Sagrada Família ouvre ses portes au regard

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Note sur les procédures et moyens mis en œuvre par Bibliothèque et Archives nationales du Québec pour garantir la conservation, la restitution et l

Note sur les procédures et moyens mis en œuvre par Bibliothèque et Archives nationales du Québec pour garantir la conservation, la restitution et l Note sur les procédures et moyens mis en œuvre par Bibliothèque et Archives nationales du Québec pour garantir la conservation, la restitution et l accessibilité des archives décembre 2010 - 1-1. Mise

Plus en détail

Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane

Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane ATLAS ARCHÉOLOGIQUE DE TOURAINE IV LES LIEUX Rochecorbon : l église Saint-Georges et sa charpente romane Frédéric Epaud 2013 L ancienne église paroissiale Saint-Georges de Rochecorbon est située à 3 km

Plus en détail

L Iliade et Troie entre mythe et histoire

L Iliade et Troie entre mythe et histoire L Iliade et Troie entre mythe et histoire Chante, déesse, la colère d Achille, le fils de Pélée ; détestable colère, qui aux Achéens valut des souffrances sans nombre et jeta en pâture à Hadès tant d âmes

Plus en détail

Anne Golaz - Portfolio - NEAR Intentions: Chasses

Anne Golaz - Portfolio - NEAR Intentions: Chasses Anne Golaz - Portfolio - NEAR Intentions: Chasses J'ai commencé à m'intéresser à l'univers de la chasse par un travail esthétique et plastique. Et puis, n'appartenant pas au groupe d initiés, je me demandais

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social NATIONS UNIES E Conseil économique et social Distr. GÉNÉRALE ECE/CES/GE.20/2008/3 12 février 2008 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L EUROPE CONFÉRENCE DES STATISTICIENS EUROPÉENS Réunion

Plus en détail

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA)

Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Programme financé par l Union Européenne EuropeAid/127025/C/SER/MA) Mixité des sources de financement, diversité des régimes de couverture maladie : l impératif de cohérence 2 ème Conférence nationale

Plus en détail

La bibliothèque. Département des restaurateurs

La bibliothèque. Département des restaurateurs La bibliothèque Département des restaurateurs La bibliothèque, créée en 1978, est un espace de consultation et de recherche qui assure, en France et en Europe, le rôle de bibliothèque de référence dans

Plus en détail

3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032)

3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032) 3.1 Politique de gestion et de conservation des documents (Résolution : C.C. 1985-032) Page 1 sur 8 1.0 OBJECTIF GÉNÉRAL Constituer la banque ou «mémoire» des données importantes nécessaires à la Commission

Plus en détail

Sommaire DOSSIER DE PRESSE. Communiqué de presse 3. Renseignements pratiques 4. Présentation 5. Parcours 7. Publication 12

Sommaire DOSSIER DE PRESSE. Communiqué de presse 3. Renseignements pratiques 4. Présentation 5. Parcours 7. Publication 12 DOSSIER DE PRESSE Sommaire Communiqué de presse 3 Renseignements pratiques 4 Présentation 5 Parcours 7 Publication 12 Autour de la présentation 13 Richelieu 28 octobre 2013 I 31 octobre 2015 COMMUNIQUÉ

Plus en détail

Siréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale

Siréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale Siréas asbl Service International de Recherche, d Education et d Action Sociale Année 2005 DOCUMENT n 1 Analyses et études LE DIVORCE INTERNATIONAL EN BELGIQUE Rue de la croix, 22 1050 Bruxelles Téléphone

Plus en détail

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel. L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE

Plus en détail

Les bases de données Les systèmes d informations

Les bases de données Les systèmes d informations 2 Les bases de données Les systèmes d informations Surface annuelle moyenne brûlée (en ha) 250 000 200 000 150 000 100 000 50 000 0 Part de la surface forestière brûlée (en %) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5

Plus en détail

Charlemagne Roi des Francs et empereur d'occident (768-814).

Charlemagne Roi des Francs et empereur d'occident (768-814). Charlemagne Roi des Francs et empereur d'occident (768-814). Carolus Magnus (dit Charles «le grand») plus connu sous le nom de Charlemagne. 1. En 768, Charlemagne devient roi des Francs et remplace son

Plus en détail

Le Québec, terre de traduction

Le Québec, terre de traduction Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.

Plus en détail

Matériel. . 9 cartes Personnage

Matériel. . 9 cartes Personnage Avec cette extension, les règles de base peuvent être modifiées de cinq façons différentes et combinables comme bon vous semble Les dames de Troyes font leur apparition sous la forme de trois nouvelles

Plus en détail

Fiche de préparation. Intitulé de séquence : le portrait

Fiche de préparation. Intitulé de séquence : le portrait Fiche de préparation Cycle III Niveau de classe : CM Intitulé de séquence : le portrait Domaines étudiés : arts du langage, arts visuels Champs disciplinaires : français/ langage oral, lecture, écriture

Plus en détail

Dossier de presse Venez vivre une expérience historique au Château Guillaume-le-Conquérant de Falaise. Avril 2013. Contacts Presse A Paris Au château

Dossier de presse Venez vivre une expérience historique au Château Guillaume-le-Conquérant de Falaise. Avril 2013. Contacts Presse A Paris Au château Avril 2013 Dossier de presse Venez vivre une expérience historique au Château Guillaume-le-Conquérant de Falaise Contacts Presse A Paris Au château Sylvie Blin Samuel Barth T : 01 40 53 97 03 T : 02 31

Plus en détail

RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE

RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE RÈGLEMENT CO-2013-803 CONSTITUANT LE CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE LE CONSEIL DÉCRÈTE CE QUI SUIT : CHAPITRE I CONSTITUTION DU CONSEIL LOCAL DU PATRIMOINE 1. Le conseil local du patrimoine est constitué.

Plus en détail

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous? Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses

Plus en détail

La pratique de la gestion des services. Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB

La pratique de la gestion des services. Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB La pratique de la gestion des services Lier les composants techniques avec les services d opérations dans la CMDB Création : octobre 2013 Mise à jour : octobre 2013 A propos A propos du document Ce document

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

CLASSE : : : ; : : : : LA LIBERTE GUIDANT LE PEUPLE EUGENE DELACROIX

CLASSE : : : ; : : : : LA LIBERTE GUIDANT LE PEUPLE EUGENE DELACROIX HISTOIRE DES ARTS CLASSE : 4 ème Période historique : XIXème siècle Moment choisi : le retour à la monarchie ; les Trois Glorieuses Thématique : Arts, Etats et pouvoir (œuvre engagée) Sujet : Comment un

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

PRÉFACE. représenter le roi ou la nation? Préface

PRÉFACE. représenter le roi ou la nation? Préface PRÉFACE Avaient-ils le don d ubiquité? Aux origines de ce livre, il y a une constatation qui a suscité la curiosité du chercheur : parmi les représentants de l Angleterre à l étranger, certains appartiennent

Plus en détail

MOBILITY HELP DESK FOR APPRENTICES AND TEACHERS. Les apprentis peuvent effectuer des périodes de formation dans des entreprises européennes.

MOBILITY HELP DESK FOR APPRENTICES AND TEACHERS. Les apprentis peuvent effectuer des périodes de formation dans des entreprises européennes. MOBILITY HELP DESK FOR APPRENTICES AND TEACHERS Qui peut participer? Les apprentis peuvent effectuer des périodes de formation dans des entreprises européennes. Ce dispositif est réservé aux jeunes des

Plus en détail

LE ROLE DE L ARTISANAT DANS LA GENESE ET LA STRUCTURATION DES AGGLOMERATIONS

LE ROLE DE L ARTISANAT DANS LA GENESE ET LA STRUCTURATION DES AGGLOMERATIONS LE ROLE DE L ARTISANAT DANS LA GENESE ET LA STRUCTURATION DES AGGLOMERATIONS Table ronde dans le cadre du PROJET COLLECTIF 3 Construire l espace «Analyse chrono- spatiale des logiques territoriales» Le

Plus en détail

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon

Dossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique

Plus en détail

2-1 ére partie : Les Deux Vallées : leur histoire et environnement proche et lointain

2-1 ére partie : Les Deux Vallées : leur histoire et environnement proche et lointain un 2-1 ére partie : Les Deux Vallées : leur histoire et proche et lointain 2.1 Les Deux Vallées : une histoire 2.2 Les Deux Vallées : un Schéma de Cohérence Territoriale des Deux Vallées Rapport de présentation

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

SERVICES DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POLITIQUE RELATIVE À LA GESTION DE DOCUMENTS

SERVICES DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POLITIQUE RELATIVE À LA GESTION DE DOCUMENTS SERVICES DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POLITIQUE RELATIVE À LA GESTION DE DOCUMENTS Numéro du document : 0601-08 Adoptée par la résolution : _484 0601 En date du : 5 juin 2001 Signature du directeur général Signature

Plus en détail

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.» Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans

Plus en détail

Conseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël

Conseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d

Plus en détail

Fahrenheit 2451 * Votre message vers le futur

Fahrenheit 2451 * Votre message vers le futur Fahrenheit 2451 * Votre message vers le futur www.fahrenheit2451.fr AvecleprojetFahrenheit2451,lessociétésArnanoetXYALIS,encollaborationavecla société Kolor, veulent sensibiliser le grand public sur le

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE

master Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition SOMMAIRE Chapitre 1 Introduction 9 Chapitre 2 L organisation de l activité bancaire

Plus en détail

Centre d archives historiques de la SNCF

Centre d archives historiques de la SNCF Centre d archives historiques de la SNCF ARCHIVES DU BUREAU DU CLASSEMENT DU SERVICE CENTRAL DU PERSONNEL (202LM) 1937-1943 (0,2m.l.) RÉPERTOIRE NUMÉRIQUE DETAILLE dressé par Olivier GAUDRE Sous la direction

Plus en détail

PLAN DE CLASSIFICATION UNIFORME DES DOCUMENTS DU MSSS

PLAN DE CLASSIFICATION UNIFORME DES DOCUMENTS DU MSSS PLAN DE CLASSIFICATION UNIFORME DES DOCUMENTS DU MSSS Février 2011 Édition produite par : Le Service de l accès à l information et des ressources documentaires du ministère de la Santé et des Services

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant

Plus en détail

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11

L Enseignement religieux au Luxembourg. Sondage TNS-ILRES Juillet 08 N 11 L Enseignement religieux au Luxembourg Sondage TNS-ILRES Juillet 08 11 5 av. Marie Thérèse L-2132 Luxembourg tél.: 44743-501 sesopi-ci@sesopi-ci.lu www.sesopi-ci.lu 978-2-9599806-3-3 Documentation Etude

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Maisons de Victor Hugo. Paris / Guernesey

Maisons de Victor Hugo. Paris / Guernesey Dans l intimité d un écrivain, place des Vosges Ouvrant sur l un des plus beaux sites parisiens, la Place des Vosges, le Maison de Victor Hugo a pour mission de maintenir vivante la mémoire de ce génie,

Plus en détail

Marseille et la nuit européenne des musées Exploitation pédagogique et corrigés

Marseille et la nuit européenne des musées Exploitation pédagogique et corrigés Culture et festivités Marseille et la nuit européenne des musées Exploitation pédagogique et corrigés Introduction Nous proposons de faire découvrir Marseille à l occasion de la nuit des musées (16 mai

Plus en détail

21/09/2012. La vente par Internet. Pourquoi vendre par Internet?

21/09/2012. La vente par Internet. Pourquoi vendre par Internet? VENDRE GRÂCE A INTERNET - POURQUOI ET COMMENT? ALES 20 septembre 2012 La vente par Internet Pourquoi vendre par Internet? - c est un nouveau canal de commercialisation. - pour mettre son catalogue produits

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

STRATEGIES INTERNET INTRODUCTION AUX. Vers une approche globale de la présence sur Internet

STRATEGIES INTERNET INTRODUCTION AUX. Vers une approche globale de la présence sur Internet INTRODUCTION AUX STRATEGIES INTERNET Vers une approche globale de la présence sur Internet 2008 Philippe FLOC H Strategic Consulting Tous droits réservés Introduction aux Strategies Internet 22/02/2008

Plus en détail

Découvrir les vulnérabilités au sein des applications Web

Découvrir les vulnérabilités au sein des applications Web Applications Web Découvrir les vulnérabilités au sein des applications Web Les vulnérabilités au sein des applications Web sont un vecteur majeur du cybercrime. En effet, selon le rapport d enquête 2012

Plus en détail

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires

3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères

Plus en détail