Enseignement secondaire technique. Enseignement technique professionnel

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1 Enseignement secondaire technique Régime technique Division des professions de santé et des professions sociales Cycle supérieur Section de l'assistant technique médical - laboratoire Enseignement technique professionnel Classe de 13SL Nombre de leçons: 16.0 Nombre minimal de devoirs: 1 rapport/période de stage Langue véhiculaire: / Remarque: les objectifs des stages donnés à titre indicatif dans la mesure des possibilités des différents terrains de stage I. Stages en Sérologie: A. Objectif général de stage L objectif général est de familiariser l élève avec les principes de base des systèmes analytiques en sérologie. Outre la compréhension de ces principes, il est important que l élève soit initié à la recherche d anticorps et d antigènes spécifiques de certaines maladies. Bien que le domaine de sérologie soit dominé par l utilisation d autoanalysers, qui travaillent en boîte fermée, nous pensons que l élève devrait connaître les principes de base et exécuter des méthodes manuelles, dans la mesure des possibilités de chaque laboratoire. B. Les principes de base des systèmes analytiques: 1. Recherche directe d Ag et d Ac: agglutination immunodiffusion immuno-néphélométrie + turbidimétrie 2. Recherche indirecte d Ag et d Ac: agglutination avec des particules de latex hémagglutination passive inhibition de l hémagglutination 3. Recherche des Ag et Ac par marquage: tests d immunofluorescence (IFT ; IIFT) immunoassays: sandwich compétition RIA/ ELISA/ FIA/ chimiluminescence 4. les méthodes «blotting» et «PCR» 1/5

2 5. Recherche d Ac et d Ag spécifiques: L élève comprendra et exécutera, dans les limites du possible, les tests en relation avec les maladies suivantes: sérologie de l hépatite B sérologie du HIV sérologie de la toxoplasmose sérologie de la mononucléose sérologie de la rubéole sérologie du CMV sérologie de la syphillis TPHA-VDRL sérologie des chlamydias les Ac anti-nucléaires Il est évident que le stagiaire ne pourra pas voir toutes ces techniques et les profils pathologiques. Cette liste servira de repères pour les tâches à accomplir par l élève et d aide aux personnes encadrant les stagiaires. C. Le rapport de stage: En 13 il comportera surtout un rapport d activité sur les techniques vues et/ou exécutées par l élève. En 14 il peut être intéressant de donner un sujet spécifique au stagiaire. Cette production écrite servira de base à l interrogation orale à la fin de la période de stage. II. Bactériologie: ENSTP Les élèves sont tenus d apprendre les techniques de bases en routine de laboratoire bactériologique: faire un examen direct entre lame et lamelle (mobilité, aspect des germes, cellules présentes ) faire un gram et l interpréter connaître les milieux usuels faire une uroculture: examen direct ensemencement des milieux prévus au laboratoire faire la numération des germes/m l d urine: midstream/urine sondée identification des germes faire une coproculture: connaître les germes pathogènes recherchés dans les selles ensemencer les milieux sélectifs identifier les germes pathogènes voir la technique usuelle du laboratoire pour faire les tests de résistance. Ces deux types d échantillons avec leur mise en culture, identification des germes, et tests de résistance pourront servir de sujet de rapport de stage. III. Stages en hématologie pour les stagiaires ATM. A. Notion de responsabilité. La notion la plus importante à nos yeux est la RESPONSABILITE du stagiaire, qui deviendra un futur acteur RESPONSABLE dans le domaine de la santé publique luxembourgeoise. Tout l enseignement devrait être basé sur ce principe. Ceci entraîne un corollaire immédiat: la responsabilité des enseignants (au sens large du terme, principalement les professeurs et les maîtres de stage) qui doivent se mobiliser pour encadrer le stagiaire dans les meilleures conditions possibles. Tout le reste (organisation pratique) découle de cette notion de responsabilité. L écueil majeur serait de considérer que les stagiaires doivent faire acte de présence (tels des pots de fleurs ) dans un laboratoire avec signature d un certificat d assiduité par le maître de stage, ayant valeur de diplôme. 2/5

3 B. Distinction 13 ème année-14 ème année ATM. Le cours d hématologie est réparti sur 3 ans. Cependant, le concept de stage d hématologie ne nous semble pas différent pour un stagiaire 13 ème année par rapport à un stagiaire 14 ème année. Simplement, les notions théoriques de pathologie des leucocytes et des thrombocytes, la coagulation, ainsi qu une partie de l immuno-hématologie qui sont vues au cours de la 14 ème année ATM, devraient aussi être abordées au cours du stage d hématologie de 14 ème année (logique). C. Organisation des stages - Programme du stage Il faut partir du principe «c est en forgeant qu on devient forgeron»: l ATM apprendra son métier en travaillant, sous encadrement, dans un laboratoire d analyses médicales. 1. Aspect préanalytique. Il s agit d un domaine capital en biologie clinique qu il convient d aborder dès la formation de l ATM. Il comprend plusieurs points: l identification correcte du patient et de la demande d analyse ; le patient lui-même (à jeun ou pas, âge du patient, grossesse ) ; les analyses demandées et donc le tube utilisé pour la prise de sang (importance de l anticoagulant!) ; la prise de sang en elle-même (dextérité, bon contact humain, bon remplissage et mélange des tubes ) ; l acheminement correct jusqu au service analytique compétent dans des délais corrects (urgences!), principalement. L ATM DOIT être conscient de l importance de ces étapes afin de pouvoir s y intégrer, avec un encadrement adéquat, dès les premiers stages. 2. La phase analytique. Il est capital que l ATM COMPRENNE les principes analytiques afin d exercer un esprit CRITIQUE vis-à-vis de son propre travail. Il ne doit pas être un robot presse-bouton! 3. La cytologie hématologique. Les automates de numération/formule. Tous les laboratoires du Luxembourg en sont équipés. Les points suivants doivent être abordés lors du stage: principe de fonctionnement de l automate ; maintenance de l appareil ; calibration de l appareil ; compréhension des alarmes en cas de résultat pathologique ; introduction au contrôle de qualité interne et externe. La morphologie hématologique. Les points suivants doivent être abordés: exécution du frottis (manuel ou via un automate) ; coloration panoptique (May-Grünwald-Giemsa, pex) ; observation microscopique avec l aide d un cytologiste confirmé. Ce dernier point doit lui-même envisager: les anomalies morphologiques des globules rouges (ovalocytes, schizocytes, et c ) ; les anomalies morphologiques des leucocytes (précurseurs des granuleux, lymphocytes stimulés, lymphocytes atypiques, blastes ) ; les anomalies morphologiques des plaquettes. 3/5

4 Bien entendu, les anomalies morphologiques doivent être corrélées aux anomalies quantitatives des cellules sanguines (anémies, neutropénies, thrombopénies, et c ) ET aux données fournies par l automate(alarmes, graphique de distribution des leucocytes ). 4. L hémostase. Les points suivants doivent être considérés: physiologie de l hémostase ; aspect analytique: principe de fonctionnement de l automate ; calibration du temps de Quick (avec notion de temps témoin, de l ISI, de l INR), du temps de céphaline et du dosage du fibrinogène ; fibrinolyse (D-dimères ) ; dépistage de pathologies héréditaires de l hémostase (facteur V Leiden ) ; aspect d interprétation, notamment le suivi des patients sous antivitamine K. 5. L immuno-hématologie. Les points suivants doivent être abordés: Les groupes sanguins. Importance cruciale de la maîtrise analytique: deux techniciens, deux techniques (gels et tube, pex), deux réactifs, double système d encodage des résultats. COMPREHENSION des résultats! Il faut que l ATM puisse travailler LUI-MEME afin de pouvoir comprendre ce qu il fait. La recherche d anticorps irréguliers (grossesses, transfusions). Les cross-matchs transfusionnels. Les autres domaines de l hématologie. Il est clair que le développement de la cytométrie en flux (antigènes membranaires des cellules lymphoïdes ) et de la cytogénétique (CML, AML, ALL ) est capital pour l hématologie. Un stage dans ces domaines serait donc utile, mais seulement si les données de base en cytologie, hémostase et immuno-hématologie ont pu être acquises. D. Le mémoire de stage. Il devrait d une part constituer un résumé clair, concis et complet de l activité de l ATM en stage, qui pourrait d ailleurs lui être utile dans sa vie professionnelle future. Mieux encore, mais cela nous paraît difficile vu le temps limité de stage, une observation de l ATM à la mise au point d une technique ou le suivi sur une pathologie hématologique, lui permettrait de l initier au volet «scientifique» du travail de laboratoire. E. Conclusion. L organisation d un stage d hématologie nécessite un travail considérable, aussi bien de la part du maître de stage que des stagiaires, seuls des individus motivés doivent être pris en considération. Les notions apprises lors du stage doivent être intégrées le mieux possibles avec celles acquises lors du cours théorique ET avec celles acquises dans les AUTRES domaines du laboratoire: par exemple rapport entre un syndrome mononucléosique observé au microscope et la sérologie du virus Epstein- Barr. IV. Chimie médicale: ENSTP 4/5

5 A. Objectif général de ce stage L objectif général est de familiariser l élève avec la routine en laboratoire de biochimie. Ce département est dominé en grande partie par les auto-analysers, ce qui rend difficile la participation des élèves à l exécution des analyses médicales. Toutefois, il s avère utile que l élève prenne conscience de l importance des différentes étapes du travail en laboratoire, aboutissant au résultat des demandes d analyses. Nous préconisons, dans ce sens, de cerner les objectifs de ce stage pour les élèves en 13. L élève est capable de: Comprendre tous points cruciaux en préanalytique: Identification correcte du patient et de la demande d analyse, Etat du patient: à jeun ou pas, âge, grossesse Les analyses demandées et de choisir les tubes correspondants La prise de sang L acheminement correct au laboratoire faire les techniques de base d un laboratoire de chimie: préparer un réactif faire une solution tampon ajuster un ph reconstituer des produits lyophilisés les principes de base et l exécution de certaines analyses médicales: se servir d un photomètre et connaître les bases théoriques (loi de Lambert-Beer ) comprendre les principes de toutes les méthodes des paramètres de routine dosés en biochimie faire au moins le dosage de 2 paramètres différents en technique manuelle comprendre les principes analytiques et le fonctionnement des automates courants en biochimie faire une électrophorèse et voir au moins une immunofixation examen d urine: bandelette: lecture, interprétation, causes d erreurs, limites d interprétation sédiment quantification des protéines urinaires Prise de sang: il est utile que l élève puisse s exercer, durant cette période de stage, à faire des prises de sang sous la surveillance d un technicien de laboratoire expérimenté. Phase post-analytique: Comprendre le contrôle de qualité interne quotidien. Comprendre le contrôle de plausibilité Devenir initié au traitement des résultats en phase post-analytique B. Le rapport de stage: En 13 il comportera surtout un rapport d activité, c est-à-dire que l élève est tenu de noter les analyses qu il a exécutées lui-même, ou pour lesquelles il a été initié. Il nous semble important que l élève fasse un carnet de bord, où il notera quotidiennement les instructions obtenues de la part du personnel encadrant. Ceci facilitera la rédaction de son rapport de stage, qui servira de base pour l interrogation à la fin de la fin de stage Le programme est valable pour les classes suivantes: 13SL 5/5

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