Le marché français de la vidéo, le marché européen, les pratiques de consommation, la vidéo dématérialisée

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1 Le marché de la vidéo dossier #313 / mars 2010 Le marché français de la vidéo, le marché européen, les pratiques de consommation, la vidéo dématérialisée

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5 Le marché de la vidéo dossier du CNC #313 mars 2010 Sommaire Le marché de la vidéo en Les pratiques vidéo des Français en La distribution physique de vidéo L équipement audiovisuel des ménages en Les offres de vidéo dématérialisée en France Le marché européen de la vidéo en Le marché du cinéma en vidéo en

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7 01 Le marché de la vidéo en 2009

8 01 Le marché de la vidéo en 2009 A Précisions méthodologiques Les dépenses des ménages en vidéo sont évaluées par l institut GfK à partir des ventes réalisées dans les grandes surfaces alimentaires, les grandes surfaces spécialisées, de la vente par correspondance et des ventes sur internet. Ces chiffres n incluent pas les ventes en kiosques et dans les stations services. Ils excluent également le segment de la location. A chaque support (VHS, DVD, Blu-ray) sont associés un genre (film ou hors film, fiction, animation, documentaire, humour, ) et une nationalité. Ce rapprochement est effectué à partir des données du CNC. Sont considérées comme «films» toutes les œuvres ayant fait l objet d une exploitation en salles préalable à l exploitation sur le marché de la vidéo. Les nationalités et les genres retenus pour les œuvres cinématographiques sont ceux enregistrés par le CNC. Depuis 2007, les données de GfK présentent deux modifications par rapport aux années précédentes : _ Le segment de la VHS est exclu du périmètre d analyse car il ne génère quasiment plus de recettes et les supports haute définition sont inclus. _ Pour ce qui concerne les points de vente, le marché des ventes sur internet est distingué de l ensemble des «autres points de vente». Évolution du marché : +9,7 % en volume, +0,5 % en valeur En 2009, les Français ont dépensé 1,39 Md en achats de DVD et de Blu-ray. Pour la première fois depuis 2005, la dépense des ménages en vidéo physique se stabilise (+0,5 %). B Sur l ensemble vidéo constitué par le DVD et les supports haute définition, le DVD capte 92,2 % du marché en 2009 (96,3 % en 2008) et ses recettes reculent de 3,7 %. En volume, 135 millions de DVD sont vendus en Pour la première fois depuis trois ans, les Français achètent plus de DVD que l année précédente (+7,4 %). La légère reprise du marché constatée en 2009 est due à la commercialisation des supports haute définition : le chiffre d affaires du Blu-ray est multiplié par 2,1 entre 2008 et 2009 pour atteindre 107,8 M et plus de 5,3 millions de disques vendus. En raison de la disparition du support, les ventes de VHS sont désormais exclues du marché de la vidéo. En 2009, la VHS génère 1,1 M de recettes pour un peu plus de unités vendues, contre 1,2 M et unités en Baisse des prix En 2009, le prix moyen de vente d un DVD de catalogue vendu à l unité (tous conditionnements inclus) diminue de 15,2 % à 8,74 (10,31 en 2008). Celui des nouveautés recule de 3,1 % à 18,81. Hors coffrets, le prix moyen des nouveautés présente également une diminution de 3,9 % à 14,27 en Les ventes de DVD entre 17 et 20 représentent 28,2 % du chiffre d affaires, contre 27,8 % en Parallèlement, les DVD vendus à plus de 20 captent 33,1 % du marché en 2009, contre 36,0 % en En 2009, les ventes de DVD à moins de 3 représentent 1,0 % du chiffre d affaires (0,7 % en 2008) et 7,2 % des volumes (5,3 % en 2008). Le prix moyen d un support Blu-ray de nouveauté vendu à l unité est de 25,07. La majorité des Blu-ray sont vendus entre 25 et 30 (29,7 % des volumes et 35,7 % du chiffre d affaires HD en 2009). 22,7 % sont toutefois vendus entre 20 et 25 et représentent 22,2 % du chiffre d affaires du Blu-ray. unités (millions) VHS DVD Blu-ray 2 chiffre d affaires (M ) VHS DVD Blu-ray 2 A A évol. 09/08 10,38 3,62 1, ,73 139,79 135,36 130,50 126,02 135,35 +7,4%... _ 0,54 2,16 5, ,5% ,11 143,41 136,37 131,04 128,18 140,65 +9,7% évol. 09/08 114,23 26,88 4, , , , , , ,01-3,7% _ 14,27 51,45 107, ,5% , , , , , ,81 +0,5% Consommation de supports vidéo 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK Evolution du chiffre d affaires du marché vidéo de détail (M ) VHS DVD Blu-ray 6 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

9 C Nouvelle diminution des recettes du hors film Pour la troisième année consécutive, le hors film affiche un recul de ses recettes vidéo (-5,2 %). Il représente 39,3 % du marché (546,5 M ), contre 41,7 % en En volume, les ventes de hors film augmentent de 4,1 % et restent supérieures à celles du film avec plus de 66 millions d unités vendues en 2009, soit 47,0 % de l ensemble des supports. En valeur, le cinéma continue de dominer le marché de la vidéo. Les films cinématographiques réalisent 799,99 M de recettes, soit 57,6 % du en Cette part de marché est en progression par rapport à 2008 (55,9 %). Soutenues par le Blu-ray (+101,2 % en valeur entre 2008 et 2009), les recettes des films en vidéo affichent une légère augmentation par rapport à 2008 (+3,6 %). En volume, plus de 65 millions des supports vendus contiennent une œuvre cinématographique en 2009, soit une évolution positive par rapport à l année précédente (+12,6 %) est également marquée par une reprise du chiffre d affaires des opérations promotionnelles (+29,7 %) qui représentent 3,1 % des recettes du secteur (2,4 % en 2008). chiffre d affaires (M ) films hors film opérations promotionnelles 2 parts de marché (%) films hors film opérations promotionnelles 2 C unités (millions) films hors film opérations promotionnelles 2 parts de marché (%) évol. 09/ , ,23 870,44 791,20 772,56 799,99 +3,6% 650,52 685,63 738,39 663,20 576,44 546,45-5,2% ,67 95,32 50,34 39,73 33,44 43,36 +29,7% , , , , , ,81 +0,5% ,2 56,2 52,5 53,0 55,9 57,6 33,2 38,4 44,5 44,4 41,7 39,3 6,6 5,3 3,0 2,7 2,4 3,1 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Chiffre d affaires vidéo selon le contenu 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK évol. 09/08 65,43 63,47 59,62 58,43 58,45 65,80 +12,6%... 43,40 53,25 65,10 65,49 63,47 66,05 +4,1%... 23,28 26,68 11,65 7,11 6,26 8,80 +40,6% ,11 143,41 136,37 131,04 128,18 140,65 +9,7% évol. 09/08 B nouveautés 2 catalogue 22,70 11, ,99 9, ,99 9, ,66 9, ,85 8, ,27 7, ,9% -11,9%... Évolution du prix moyen des DVD ( ) 1 1 Prix moyen calculé hors coffrets. 2 Références vendues depuis moins de 6 mois. films hors film opérations promotionnelles 2 C 49,5 44,3 43,7 44,6 45,6 46,8 32,9 37,1 47,7 50,0 49,5 47,0 17,6 18,6 8,5 5,4 4,9 6,3 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Vidéogrammes vendus selon le contenu 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

10 01 Le marché de la vidéo en 2009 D Films français en léger recul En 2009, la part de marché des films français sur le marché de la vidéo s établit à 21,8 % en valeur, contre 22,8 % en ,17 millions de DVD et de Blu-ray de films français ont été vendus en 2009, contre 13,42 millions en 2008 (+13,0 %). Le cinéma français génère 174,5 M de recettes en 2009, en baisse de 0,9 % par rapport à l année précédente. Un seul film français figure parmi les vingt meilleures ventes en valeur de films en vidéo en 2009 (contre trois en 2008) : L.O.L. laughing out loud occupe la douzième place du classement des films. Progression des ventes de films américains Le chiffre d affaires des films américains en vidéo affiche une hausse de 5,4 % à 509,7 M en Leur part de marché est relativement stable à 63,7 % (62,6 % en 2008). En volume, plus de 41 millions de DVD et Blu-ray de films américains ont été achetés en 2009 (+13,1 % par rapport à 2008). En 2009, les films américains réalisent huit des dix meilleures performances des films en vidéo (contre sept en 2008). Twilight Chapitre I - Fascination se place en 2 e position du classement en valeur. L Age de glace 3 le temps des dinosaures (3 e ), The Dark Knight (4 e ), Wall-E (5 e ), Hancock (7 e ), Kung fu panda (8 e ), Madagascar 2 (9 e ) et Transformers 2 la revanche (10 e ) complètent la liste des meilleurs succès américains de l année. En 2009, le chiffre d affaires des films européens en vidéo baisse de 3,1 %, après une année 2008 en forte hausse (+18,9 %). La part de marché des films européens s établit à 11,3 %, contre 12,1 % en Elle est notamment assurée par deux films britanniques : Harry Potter et le prince de sang-mêlé, premier du classement des films en valeur, et Quantum of Solace, qui occupe la 6 e place. La part de marché des films non européens et non américains croît à 3,2 % (2,6 % en 2008). Ce constat s explique essentiellement par le film australien Australia qui se situe à la 47 e place du classement en valeur. E En 2009, les longs métrages d animation réalisent 14,0 % du chiffre d affaires du cinéma en vidéo, contre 14,2 % en Les recettes associées au genre sont stables à 111,8 M (+1,9 %). L Age de glace 3 le temps des dinosaures, Wall-E, Kung fu panda et Madagascar 2, respectivement 3 e, 5 e, 8 e et 9 e au classement des ventes en 2009, contribuent notamment au niveau atteint par l animation cinématographique en vidéo. Le documentaire cinématographique affiche également une stabilité de son chiffre d affaires vidéo (-1,1 %). Il génère plus de 8 M de recettes et réalise 1,0 % de l ensemble des revenus des œuvres cinématographiques en vidéo. Le documentaire français Home occupe le 35 e rang du classement 2009 des films en valeur. chiffre d affaires (M ) évol. 09/08 films français films américains films européens 2 autres films 253,37 228,96 198,69 182,08 176,03 174,53-0,9% ,00 645,32 523,31 497,80 483,52 509,68 +5,4%... 85,59 70,28 106,84 78,67 93,29 90,44-3,1% ,67 58,66 41,60 32,65 19,71 25,35 +28,6% , ,23 870,44 791,20 772,56 799,99 +3,6% chiffre d affaires (M ) fiction animation documentaire évol. 09/ ,39 824,46 736,13 676,46 654,72 680,15 +3,9% 147,35 154,35 125,32 109,42 109,71 111,80 +1,9%... 4,88 24,42 8,99 5,32 8,13 8,04-1,1% , ,23 870,44 791,20 772,56 799,99 +3,6% parts de marché (%) films français films américains films européens 2 autres films D ,5 22,8 22,8 23,0 22,8 21,8 61,0 64,3 60,1 62,9 62,6 63,7 7,3 7,0 12,3 9,9 12,1 11,3 10,3 5,8 4,8 4,1 2,6 3,2 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Chiffre d affaires des films en vidéo selon la nationalité 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. 2 Europe continentale (de l Atlantique à l Oural). Source : CNC GfK. parts de marché (%) fiction animation documentaire E ,1 82,2 84,6 85,5 84,7 85,0 12,5 15,4 14,4 13,8 14,2 14,0 0,4 2,4 1,0 0,7 1,1 1,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Chiffre d affaires des films en vidéo selon le genre 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. 8 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

11 chiffre d affaires (M ) évol. 09/08 F Hors film : la fiction toujours en recul Les recettes de la fiction en vidéo reculent de 4,0 % à 272,5 M en La fiction représente 49,9 % des recettes du hors film en vidéo et demeure le genre le plus vendu sur ce segment (49,3 % en 2008). Depuis 2004, la part de marché, au sein du hors film, de la fiction a progressé de 19,8 points. Les recettes de la fiction française diminuent de 5,6 % en 2009 (25,5 M ). Les programmes français composent 9,3 % des recettes de la fiction en 2009, contre 9,5 % en Le chiffre d affaires de la fiction étrangère recule de 3,9 % à 247,0 M. Les œuvres étrangères, notamment américaines, sont largement majoritaires et génèrent 90,7 % des recettes de la fiction en vidéo (90,5 % en 2008). La quatrième saison de la série Dr House se classe au 6 e rang du classement en valeur des programmes hors film. Les saisons 3, 4 et 5 de Desperate Housewives et la cinquième saison des Frères Scott contribuent également au succès de la fiction américaine en En 2009, le segment des programmes de fiction et d animation à destination des enfants reste le deuxième du hors film avec 19,9 % des ventes en valeur (18,1 % en 2008). Il affiche une hausse de 4,2 % par rapport à Les titres les plus performants en 2009 sont américains et se composent notamment des prolongements, uniquement sortis en vidéo, d œuvres cinématographiques ayant rencontré un très grand succès en salles (la Fée Clochette et la pierre de lune). La part de marché des programmes français recule légèrement dans l animation et la fiction jeunesse (16,4 % en 2009, contre 18,4 % en 2008). Le chiffre d affaires des programmes français sur ce segment baisse de 7,1 % entre 2008 et 2009 et s établit à 17,84 M. Le segment «Musique», dont les recettes sont relativement stables (-2,9 %), prend la troisième place avec 13,1 % de part de marché hors film en valeur (12,8 % en 2008). Après deux années de recul, la part de marché des programmes français est plus élevée sur ce segment et atteint 51,8 % en 2009, contre 47,0 % en 2008 et 49,4 % en Elle s appuie notamment sur les très bonnes ventes de DVD des Enfoirés 2009 les enfoirés font leur cinéma, premier du classement hors film en valeur. En quatrième position, les spectacles d humour captent 9,2 % des recettes vidéo hors film en 2009 (12,6 % en 2008). A 50,2 M de chiffre d affaires, le segment de l humour perd près d un tiers de ses recettes par rapport à 2008 (-31,0 %). Les humoristes français réalisent la quasi-ité des recettes (98,9 % en 2009, 97,8 % en 2008). Les performances de Gad Elmaleh (5 e du classement hors film 2009), Anne Roumanoff (11 e ) et Florence Foresti (13 e ) en sont les meilleurs exemples. Le documentaire demeure un genre marginal du hors film en vidéo (6,5 % des recettes en 2009). Son chiffre d affaires progresse néanmoins de 17,3 % en Malgré une baisse significative de sa part de marché, le documentaire français demeure nettement majoritaire (85,6 % en 2008, 90,0 % en 2007). documentaire enfants fiction humour musique autres parts de marché (%) documentaire enfants fiction humour musique autres F programmes français documentaire enfants fiction humour musique autres programmes étrangers documentaire enfants fiction humour musique autres 41,91 33,72 42,96 36,28 30,26 35,49 +17,3% ,59 139,03 124,46 108,74 104,16 108,57 +4,2% ,78 247,25 317,44 314,38 283,96 272,46-4,0% ,27 114,28 109,35 83,17 72,80 50,21-31,0% ,19 138,44 130,75 109,71 73,69 71,58-2,9%... 15,78 12,90 13,43 10,92 11,56 8,14-29,6% ,52 685,63 738,39 663,20 576,44 546,45-5,2% ,4 4,9 5,8 5,5 5,3 6,5 21,6 20,3 16,9 16,4 18,1 19,9 30,1 36,1 43,0 47,4 49,3 49,9 19,3 16,7 14,8 12,5 12,6 9,2 20,2 20,2 17,7 16,5 12,8 13,1 2,4 1,9 1,8 1,6 2,0 1,5 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Chiffre d affaires du hors film en vidéo selon le genre 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK ,8 98,1 95,0 92,9 90,0 85,6 9,1 17,0 16,8 20,7 18,4 16,4 15,2 16,9 14,3 9,9 9,5 9,3 99,1 98,8 98,7 98,2 97,8 98,9 48,8 48,3 53,2 49,4 47,0 51,8 44,7 84,3 82,8 81,1 85,0 81,1 41,6 42,2 40,0 35,0 32,8 30, ,2 1,9 5,0 7,1 10,0 14,4 90,9 83,0 83,2 79,3 81,6 83,6 84,8 83,1 85,7 90,1 90,5 90,7 0,9 1,2 1,3 1,8 2,2 1,1 51,2 51,7 46,8 50,6 53,0 48,2 55,3 15,7 17,2 18,9 15,0 18,9 58,4 57,8 60,0 65,0 67,2 69,4 F Part de marché des genres du hors film en vidéo selon la nationalité (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

12 01 Le marché de la vidéo en 2009 G H Les grandes surfaces spécialisées deviennent le premier circuit de vente En 2009, les hypermarchés et supermarchés captent 40,7 % du chiffre d affaires de la vente de vidéo (hors kiosques et stations services), contre 44,0 % en Les grandes surfaces spécialisées (FNAC, Virgin, etc.) deviennent ainsi les premières sur le marché vidéo : elles passent de 42,8 % de part de marché en 2008 à 46,0 % en Depuis 2004 (34,5 %), la part du marché vidéo captée par les grandes surfaces spécialisées ne cesse de progresser (+11,5 points). Observé séparément depuis 2007, le segment de la vente de vidéo physique par internet affiche une part de marché en valeur de 11,4 % en 2009, contre 10,4 % en Les autres circuits de distribution (notamment la vente par correspondance) perdent 0,9 point de part de marché et représentent 1,9 % des achats en valeur en Une offre toujours plus large Au, environ références de DVD et références de Blu-ray sont proposées en 2009 dans les grandes surfaces spécialisées. Gage d une plus grande diversité de l offre, ces dernières mettent en vente 1,39 fois plus de références vidéo que les hypermarchés et supermarchés (1,72 en 2008). Contrairement aux deux années précédentes, le nombre de références disponibles sur internet (près de ) est légèrement inférieur à celui des grandes surfaces spécialisées en Internet propose notamment près de références Blu-ray, soit 5,1 % de plus que dans les grandes surfaces spécialisées et 27,2 % de plus que dans les hypermarchés et supermarchés. À noter qu en complément, près de 800 références de cassettes VHS ont été proposées dans les grandes surfaces spécialisées en 2009, contre 500 dans les grandes surfaces alimentaires et 600 sur internet. unités GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente chiffre d affaires GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente G ,2 55,0 49,3 49,2 43,0 38,6 30,1 31,0 35,4 38,7 38,4 42,4 _ 9,9 16,0 17,5 12,7 14,0 15,3 2,2 2,6 1,5 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, ,2 49,7 48,0 46,8 44,0 40,7 34,5 37,3 39,3 41,0 42,8 46,0 _ 9,3 10,4 11,4 11,3 13,0 12,7 2,9 2,8 1,9 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Répartition des achats selon les lieux de vente (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK. DVD GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente Blu-ray 3 GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente VHS GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente GSA 2 GSS 2 internet autres points de vente H Offre vidéo selon les lieux de vente (nombre de références) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces spécialisées. _ _ _ _ _ _ _ _ _ Ce support, développé par Sony, s est imposé en 2008 comme le support de référence pour la haute définition. Source : CNC GfK. 10 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

13 I Grandes surfaces alimentaires : davantage de films américains et de DVD pour enfants En 2009, 58,3 % du chiffre d affaires vidéo des hyper marchés et supermarchés est généré par les ventes de films cinématographiques. La part des films américains (68,2 %) y est toujours sensiblement supérieure à celle constatée dans les grandes surfaces spécialisées (60,1 %) malgré un nombre de références plus réduit. Les films français représentent 19,8 % des recettes du cinéma en vidéo des grandes surfaces alimentaires, contre 22,5 % en Les films d animation sont surreprésentés dans le chiffre d affaires des hypermarchés et supermarchés : ils concentrent 17,4 % des recettes des films en vidéo, contre 11,0 % dans les grandes surfaces spécialisées. L achat d œuvres d animation dans les grandes surfaces alimentaires est souvent spontané et répond à une demande des enfants présents lors de l achat. Sur le segment du hors film (35,4 % du chiffre d affaires des grandes surfaces alimentaires en 2008), les productions françaises constituent 31,6 % des ventes en valeur des hypermarchés et supermarchés, soit une part en recul par rapport à 2008 (34,6 %) et 2007 (38,0 %). Le genre le plus rémunérateur du hors film est la fiction qui capte 44,6 % des recettes hors film des grandes surfaces alimentaires en Pour les raisons précédemment mentionnées, les œuvres pour enfants (hors films cinématographiques) recueillent également une part conséquente du chiffre d affaires des hypermarchés et supermarchés (26,1 % en 2009). Plus que les autres circuits de vente de vidéo, les hypermarchés et supermarchés misent sur les opérations promotionnelles qui représentent 6,3 % des ventes en valeur en 2009, contre 0,8 % pour les grandes surfaces spécialisées et 1,7 % pour internet. Part de marché plus élevée pour le hors film dans les grandes surfaces spécialisées En 2009, le hors film génère 39,8 % du chiffre d affaires vidéo des grandes surfaces spécialisées, contre 35,4 % de celui des hypermarchés et supermarchés. Le public plus ciblé des grandes surfaces spécialisées est un atout majeur pour le hors film. Les productions françaises y obtiennent une part de marché (31,3 % en 2009) identique à celle constatée dans les grandes surfaces alimentaires (31,6 %). La fiction (49,4 % en 2009) ainsi que l animation et la fiction jeunesse (16,7 %) captent l essentiel du chiffre d affaires hors film. 59,4 % du chiffre d affaires vidéo des grandes surfaces spécialisées résultent de la vente de films cinématographiques en ,1 % de ces recettes sur les films cinématographiques sont captés par les films américains. La part de marché des films français est plus élevée dans les grandes surfaces spécialisées (23,8 % en 2009) que dans les grandes surfaces alimentaires (19,8 %). En ce qui concerne les genres, les films de fiction représente 87,3 % des recettes vidéo des films dans les grandes surfaces spécialisées. Le documentaire, genre cinématographique très ciblé, y recueille une part de marché (1,6 % en 2009) nettement supérieure à celle constatée dans les grandes surfaces alimentaires (0,3 %). GSA 2 films hors film opérations promotionnelles 3 GSS 2 films hors film opérations promotionnelles 3 internet films hors film opérations promotionnelles 3 I ,6 57,6 54,1 54,6 57,7 58,3 28,1 32,6 40,5 40,5 37,5 35,4 10,3 9,8 5,4 4,9 4,8 6,3 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, ,1 53,8 50,4 52,2 55,9 59,4 40,5 45,0 48,6 47,0 43,4 39,8 2,4 1,2 1,0 0,8 0,6 0,8 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, _ 47,7 46,9 47,0 _ 52,0 52,8 51,3 _ 0,3 0,3 1,7 _ 100,0 100,0 100,0 Répartition du chiffre d affaires selon le contenu des vidéogrammes (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces spécialisées. 3 Opérations promotionnelles sans indication de titre. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

14 01 Le marché de la vidéo en 2009 Internet : un moyen privilégié pour l achat de DVD de fiction hors film et de programmes étrangers Les ventes de vidéo physique par internet concernent majoritairement les programmes hors film qui captent 51,3 % des recettes en Au sein de cet ensemble, la fiction apparait comme le segment privilégié par les internautes. Elle concentre 65,3 % des ventes par internet en valeur. Le deuxième segment favorisé par les acheteurs de vidéo physique hors film en ligne est celui des programmes de fiction et d animation pour les enfants avec 14,1 % du marché en Les programmes hors film vendus sur internet sont essentiellement étrangers (76,8 % en valeur en 2009). Parallèlement, les films cinématographiques constituent 47,0 % des ventes en valeur de vidéo physique par internet. Les œuvres américaines y réalisent 62,3 % des recettes des films. Les films européens (12,1 % en 2009) et ceux d autres nationalités (4,0 %) enregistrent de meilleures performances sur internet qu en grandes surfaces alimentaires (respectivement 9,7 % et 2,3 % en 2009). GSA 2 films français films américains films européens 3 autres films GSS 2 films français films américains films européens 3 autres films internet films français films américains films européens 3 autres films I ,5 22,4 22,6 22,9 22,5 19,8 61,6 67,4 62,3 66,1 65,2 68,2 6,9 6,0 11,6 8,0 10,8 9,7 10,0 4,2 3,5 3,0 1,6 2,3 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, ,4 23,1 23,1 23,1 22,4 23,8 61,4 60,8 57,6 59,5 61,2 60,1 8,3 8,2 13,0 12,1 13,0 12,4 4,9 7,9 6,3 5,3 3,4 3,8 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, _ 21,7 22,1 21,6 _ 61,1 60,9 62,3 _ 11,8 13,0 12,1 _ 5,4 4,1 4,0 _ 100,0 100,0 100,0 Répartition du chiffre d affaires des films selon la nationalité (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces GSA 2 fiction animation documentaire GSS 2 fiction animation documentaire internet fiction animation documentaire I ,6 78,5 82,1 83,2 82,0 82,4 15,1 19,4 17,1 16,4 17,3 17,4 0,3 2,1 0,8 0,4 0,7 0,3 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, ,5 86,3 87,2 88,2 87,1 87,3 8,9 10,9 11,5 10,9 11,6 11,0 0,6 2,8 1,3 0,9 1,4 1,6 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, _ 86,6 88,1 87,7 _ 12,4 10,7 11,0 _ 1,0 1,2 1,2 _ 100,0 100,0 100,0 Répartition du chiffre d affaires des films selon le genre (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées de la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces spécialisées. 3 Europe continentale (de l Atlantique à l Oural). Source : CNC GfK. spécialisées. Source : CNC GfK. 12 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

15 GSA documentaire enfants fiction humour musique autres 4,3 2,7 4,3 3,5 2,7 3,9 30,0 27,2 20,0 19,4 22,3 26,1 22,2 27,5 37,4 43,3 45,4 44,6 25,3 22,6 19,3 16,1 16,1 11,6 16,6 18,9 17,8 16,7 12,1 13,2 1,6 1,1 1,2 1,0 1,3 0,7 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 GSS documentaire enfants fiction humour musique autres 8,6 6,8 7,5 7,4 7,3 8,2 13,6 14,8 14,1 13,5 15,1 16,7 33,8 39,6 44,1 47,0 48,1 49,4 15,6 13,8 12,8 11,5 12,3 9,1 25,6 23,0 19,5 18,6 14,9 14,8 2,8 2,0 2,0 2,0 2,4 1,8 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 GSA 2 programmes français programmes étrangers GSS ,7 46,5 44,8 38,0 34,6 31,6 52,3 53,5 55,2 62,0 65,4 68,4 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, internet documentaire enfants fiction humour musique autres I _ 5,5 6,3 7,2 _ 14,7 14,4 14,1 _ 63,6 64,6 65,3 _ 4,2 4,3 3,2 _ 10,2 8,4 8,4 _ 1,8 2,0 1,9 _ 100,0 100,0 100,0 Répartition du chiffre d affaires du hors film selon le genre (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées dans la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces programmes français programmes étrangers internet programmes français programmes étrangers I 39,1 39,6 37,5 34,0 32,9 31,3 60,9 60,4 62,5 66,0 67,1 68,7 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, _ 24,4 23,8 23,2 _ 75,6 76,2 76,8 _ 10,2 8,4 8,4 Répartition du chiffre d affaires du hors film selon la nationalité (%) 1 1 Le périmètre d analyse est modifié à partir de 2007 : la VHS est exclue et les supports haute définition sont inclus. Par ailleurs, à partir de 2007, les ventes par internet sont distinguées dans la catégorie «autres points de ventes». 2 GSA : grandes surfaces alimentaires ; GSS : grandes surfaces spécialisées. Source : CNC GfK. spécialisées. Source : CNC GfK. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

16 02 Les pratiques vidéo des Français en 2009

17 A Remarques méthodologiques Le CNC et Médiavision se sont associés pour mettre en place une enquête sur le public du cinéma : Publixiné. Mise en œuvre par l institut Harris Interactive, l enquête est administrée par internet et compte près de interviews en Elle permet de recueillir des données sur les spectateurs de cinéma âgés de 3 ans et plus. Les questions administrées pour la rédaction de cet article concernent les individus âgés de 15 ans et plus. Les spectateurs assidus vont au cinéma au moins une fois par semaine, les spectateurs réguliers y vont au moins une fois par mois (et moins d une fois par semaine) et les occasionnels au moins une fois par an (et moins d une fois par mois). Les habitués du cinéma regroupent les assidus et les réguliers. Les acheteurs et les loueurs de DVD disposent de la même définition de leurs habitudes que celle des spectateurs de cinéma. En 2009, 80,5 % des Français possèdent un lecteur de DVD. Ils sont 30,1 % à être tout à fait satisfaits de la qualité de l image et du son restitués par leur lecteur et 57,9 % à être satisfaits. Seulement 1,56 % des foyers français sont équipés d un lecteur Blu-ray. Néanmoins, une très large majorité des possesseurs de ce type de lecteurs sont satisfaits de l image et du son : 67,9 % se déclarent tout à fait satisfaits, 26,8 % sont satisfaits et 5,4 % sont moyennement satisfaits. Moins de 4 DVD visionnés chaque mois En 2009, les Français déclarent regarder 3,8 DVD par mois en moyenne. Ce nombre est en baisse par rapport à 2007 et 2008 (4,3 DVD par mois en moyenne). Cette fréquence de visionnage varie selon l âge. Les ans présentent la plus forte consommation de vidéo en 2009 devant les ans. Ils visionnent, en moyenne, 4,8 DVD par mois, contre 4,4 pour les ans. À noter que les moins de 25 ans regardent des DVD principalement en groupe, avec des amis ou des proches autres que les membres de leur foyer (plus de 90 % d entre eux). B Les plus de 50 ans et les CSP+ présentent une pratique vidéo plus faible, puisqu ils regardent moins de 4 DVD par mois (respectivement 3,1 DVD et 3,5 DVD). Les habitants de la région parisienne visionnent légèrement plus de DVD que ceux de la province (4,1 DVD, contre 3,8 DVD). Contrairement à 2008 où la fréquence de visionnage augmentait à mesure que la consommation de films en salles était importante, toutes les catégories de spectateurs de cinéma regardent moins de 4,0 DVD par mois en 2009 (3,6 pour un assidu, 3,9 pour un régulier et 3,9 pour un occasionnel). Les assidus de l achat et de la location vidéo visionnent plus de 8 DVD par mois (respectivement 13,2 DVD et 8,9 DVD) et le font très majoritairement en groupe (respectivement 100,0 % et 68,0 %). 9,0 % des Français visionnent systématiquement les bonus des DVD S ils sont 20,0 % à ne jamais regarder les bonus des DVD qu ils visionnent, seuls 31,6 % des Français interrogés le font systématiquement ou souvent. Ils sont par conséquent 48,4 % à ne regarder que rarement les bonus des DVD. 95,0 % des Français regardent les bonus après le visionnage du contenu principal. La hiérarchie des bonus considérés comme importants dans un DVD montre qu en premier lieu, viennent les bonus issus du contenu lui-même : bêtisier (75,5 %) et scènes coupées et fins alternatives (75,1 %). 69,3 % des Français déclarent également que le making of est un bonus important dans un DVD. Les bonus autour du tournage (bonus musicaux, documentaires, etc.) sont importants pour moins de 60 % des Français et les bonus techniques, plus prisés des cinéphiles, (interviews, biographies, filmographies, commentaires audio et analyse des scènes) le sont pour 30 % à 50 % des Français. En fin de liste, se trouvent les bonus qui proposent le matériel promotionnel, comme les photos et les affiches (33,5 %), mais également le story-board (34,2 %). sexe homme femme âge ans ans ans ans 50 ans et plus CSP CSP+ CSPinactif dont étudiant habitat région parisienne province habitudes de fréquentation cinéma assidu régulier occasionnel non spectateur habitudes d achat vidéo assidu régulier occasionnel non acheteur habitudes de location vidéo assidu régulier occasionnel non loueur ensemble A ,3 4,3 4,1 4,2 4,4 3,6 5,0 4,7 4,1 4,2 5,5 4,4 4,7 4,8 4,8 4,3 4,1 3,4 3,3 3,4 3,1 4,0 3,9 3,5 4,2 4,7 4,2 4,5 4,5 3,8 4,5 4,8 3,9 4,2 4,5 4,1 4,3 4,3 3,8 6,1 5,5 3,6 4,5 4,9 3,9 4,0 4,0 3,9 5,0 4,2 3,4 13,1 8,2 13,2 7,1 5,2 5,9 3,5 4,1 3,6 3,7 4,1 2,7 9,2 12,0 8,9 5,4 6,9 4,8 3,7 3,8 3,6 4,0 3,7 3,8 4,3 4,3 3,8 Nombre moyen de visionnages de DVD par mois Lecture : En 2009, les hommes regardent, en moyenne, 4,1 DVD par mois. Source : CNC Harris Interactive. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

18 02 Les pratiques vidéo des Français en 2009 Les assidus de l achat vidéo possèdent plus de 70 DVD En moyenne, la DVDthèque des Français contient 39,8 DVD en 2009, en légère augmentation par rapport à 2008 (38,3 DVD). Les ans détiennent en moyenne 37,8 DVD en 2009, soit 2,5 DVD de plus qu en 2008, tandis que le nombre de DVD possédés par les ans baisse de 1,3 DVD entre 2008 et La DVDthèque est plus importante dans les foyers des consommateurs assidus du cinéma en salles (47,1 DVD). Les spectateurs de cinéma achètent fréquemment des DVD et enrichissent leur DVDthèque. Les acheteurs assidus de DVD en détiennent naturellement le plus grand nombre et déclarent posséder en moyenne 72,8 DVD au sein de leur foyer en 2009, contre 65,7 pour les acheteurs réguliers et 37,2 pour les occasionnels. Tout à fait ou plutôt important le bêtisier les scènes retirées du film ou fins alternatives le making of, c est-à-dire le reportage sur le tournage du film les bonus musicaux les documentaires autour du sujet du film les interviews les commentaires audio (réalisateurs, acteurs, etc.) les courts-métrages autour du sujet du film les bandes annonces l analyse de scènes les biographies ou filmographies des acteurs ou du réalisateur le story-board les photos, affiches B ,7 75, ,6 75, ,7 69, ,9 56, ,1 50, ,5 48, ,4 46, ,4 45, ,7 43, ,3 41, ,6 34, ,4 34, ,0 33,5... C Perception du contenu des bonus (%) Lecture : En 2009, 75,5 % des Français déclarent que le bêtisier est important dans les bonus d un DVD. Source : CNC Harris Interactive. De multiples sources d approvisionnement en DVD Comme les années précédentes, l achat est la première source d approvisionnement des foyers en DVD : en 2009, sur 100 DVD arrivés dans un foyer, 42 ont été achetés. Parallèlement, 18 % des DVD qui entrent dans les foyers proviennent d actes locatifs. Les approvisionnements non marchands constituent 40 % des DVD entrant dans les foyers en 2009 (42 % en 2008). L emprunt : deuxième source d approvisionnement En moyenne, 20 % des DVD qui entrent dans un foyer en 2009 sont empruntés (22 % en 2008). L emprunt s opère le plus souvent auprès de proches, d amis ou de membres de la famille. 87,2 % des Français déclarent emprunter des DVD à des amis en 2009, dont 55,5 % déclarent le faire régulièrement (12,4 % souvent et 43,1 % de temps en temps). L emprunt peut également se faire auprès d établissements spécialisés. Ainsi, 30,7 % des Français empruntent-ils des DVD dans des médiathèques ou des vidéothèques. Toutefois, seuls 16,0 % d entre eux pratiquent ce type d emprunt régulièrement. À noter que l emprunt est une pratique plutôt féminine : 58,2 % des personnes qui empruntent des DVD auprès d amis et 54,7 % de celles qui empruntent dans des médiathèques sont des femmes. systématiquement souvent rarement jamais B ,3 9, ,7 22, ,8 48, ,2 20, ,0 100,0... Fréquence de visionnage des bonus (%) Lecture : En 2009, 9,0 % des Français déclarent visionner systématiquement les bonus. Source : CNC Harris Interactive. Le DVD, un cadeau idéal Le DVD constitue un cadeau particulièrement apprécié des Français. 20 % des DVD d un foyer proviennent de cadeaux en 2009 (20 % en 2008). 89,9 % des Français déclarent avoir déjà acheté des DVD pour les offrir en cadeau et 63,5 % le font régulièrement. Cette pratique est très répandue parmi les acheteurs assidus de DVD, puisque 100 % d entre eux achètent des DVD pour les offrir. Le DVD est également un objet prêté à son entourage afin d en faire découvrir le contenu. 80,5 % des Français déclarent prêter des DVD, dont 57,0 % le font régulièrement. Le prêt est plus répandu chez les femmes : parmi les personnes qui prêtent souvent des DVD, 57,6 % sont des femmes. Les Français sont attachés à l objet DVD L achat de DVD d occasion est très peu pratiqué par les Français. 79,9 % d entre eux déclarent ne jamais le faire, ou très rarement. Seuls 4,0 % des Français achètent souvent des DVD d occasion. Les Français préfèrent conserver leurs DVD pour constituer une DVDthèque plutôt que de les vendre après visionnage. Ainsi, 90,1 % des Français ne revendent-ils jamais ou rarement leurs DVD. En effet, près de 65 % des acheteurs de DVD déclarent les collectionner. achat location emprunt cadeau C Sources d approvisionnement des foyers en DVD (%) Lecture : En 2009, sur 100 DVD arrivés dans un foyer français, 42 ont été achetés. Source : CNC Harris Interactive. 16 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

19 D L achat de DVD L achat de DVD reste particulièrement répandu chez les Français, même si une diminution de cette pratique semble progressivement se dessiner depuis 2005 (-4,0 % d acheteurs en moyenne par an). 66,3 % des Français déclarent avoir acheté au moins un DVD en 2009, contre 77,7 % en Seuls 0,9 % des acheteurs de DVD sont des assidus de l achat (-1,3 point par rapport à 2005). En revanche, 53,4 % des acheteurs sont des occasionnels (+1,2 point par rapport à 2005). En 2009, les acheteurs sont majoritairement des femmes (54,3 % contre 45,7 % d hommes). Les ans représentent la plus grande part des acheteurs de DVD (46,5 % en 2009) et les ans en constituent la principale tranche d âge (29,2 % en 2009). Le poids des plus de 50 ans est plus important parmi les non acheteurs (35,7 % en 2009) que parmi les acheteurs de DVD (24,6 %). Les acheteurs de DVD vont légèrement plus souvent dans les salles de cinéma que les non acheteurs. En 2009, 33,7 % des acheteurs de DVD sont des habitués du cinéma, contre 32,0 % des non acheteurs. Néanmoins, la proportion d occasionnels du cinéma est de 63,3 % parmi les acheteurs de DVD, contre 65,5 % parmi les non acheteurs. En 2009, 66,9 % des acheteurs de DVD ne sont pas des loueurs de supports vidéo physiques. Ce taux s élève à 79,7 % pour les non acheteurs. sexe homme femme âge ans ans ans ans 50 ans et plus CSP CSP+ CSPinactif dont étudiant habitat région parisienne province habitudes de fréquentation cinéma assidu régulier occasionnel non spectateur habitudes de location vidéo assidu régulier occasionnel non loueur non non non acheteurs acheteurs acheteurs acheteurs acheteurs acheteurs 47,6 42,6 49,9 39,8 45,7 39, ,4 57,2 50,1 60,2 54,3 60, ,5 15,5 13,9 16,9 16,9 12, ,1 13,2 13,4 11,7 12,0 11, ,4 17,0 19,3 15,7 17,3 16, ,4 20,5 29,1 18,1 29,2 23, ,6 33,7 24,2 37,7 24,6 35, ,4 29,2 31,8 25,6 29,9 28, ,9 27,4 28,2 26,8 28,1 24, ,8 43,3 40,3 47,6 42,0 47, ,3 20,6 18,3 19,0 20,1 14, ,8 17,8 21,8 19,9 19,1 24, ,2 82,2 78,2 80,1 80,9 75,7... 3,5 4,0 4,4 3,6 3,0 4, ,6 30,2 24,9 22,3 30,7 27, ,9 63,0 68,9 70,5 63,3 65,5... 2,0 2,6 1,8 3,6 3,0 2,5... 3,1 1,5 4,3 1,5 1,8 1, ,7 8,6 7,4 3,6 8,8 4, ,8 20,8 24,7 14,2 22,4 15, ,3 68,9 63,5 80,7 66,9 79,7... acheteurs assidus réguliers occasionnels non acheteurs D ,7 74,6 71,8 68,8 66,3... 2,2 1,4 1,1 1,1 0, ,3 18,7 15,8 13,1 12, ,2 54,5 54,9 54,5 53, ,3 25,4 28,2 31,2 33, ,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Habitudes d achat vidéo (%) Lecture : En 2009, 66,3 % des Français ont acheté au moins un DVD. Source : CNC Harris Interactive. ensemble 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0... D Profil des acheteurs de DVD (%) Lecture : En 2009, 45,7 % des acheteurs de DVD sont des hommes. Source : CNC Harris Interactive. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

20 02 Les pratiques vidéo des Français en 2009 E Magasins spécialisés et supermarchés : des lieux privilégiés d achat de DVD Pour les acheteurs de DVD, les magasins spécialisés (FNAC, Virgin, ) et les grandes surfaces alimentaires constituent les lieux les plus fréquemment choisis pour se procurer des DVD. 86,2 % des acheteurs de vidéogrammes effectuent leurs achats dans des magasins spécialisés dont 69,1 % régulièrement. Parallèlement, 86,0 % des Français achètent des DVD dans des supermarchés ou des hypermarchés. Ils sont 67,6 % à acheter régulièrement dans ces lieux. Les lieux d achat de DVD varient en fonction du rythme de fréquentation des salles de cinéma. 58,8 % des assidus du cinéma achètent souvent des DVD dans des magasins spécialisés, contre 29,4 % pour les occasionnels. Par ailleurs, 45,0 % des CSPachètent souvent des DVD dans les supermarchés ou hypermarchés, contre 37,8 % des CSP+. Internet : troisième circuit d achat de DVD Internet constitue le troisième moyen d achat de DVD en La pratique d achat de supports vidéo physiques sur internet est en baisse en 2009, puisque 62,3 % des acheteurs l ont fait, contre 70,0 % en Plus les spectateurs de cinéma fréquentent les salles assidûment, plus ils achètent fréquemment des DVD sur internet. 82,4 % des assidus du cinéma achètent des DVD sur internet dont 70,6 % régulièrement. 75,0 % des assidus de l achat de DVD s approvisionnent également sur internet. Magasins spécialisés, grandes surfaces alimentaires et internet se distinguent largement des autres circuits de distribution de DVD. Les kiosques à journaux et les maisons de la presse sont sources d approvisionnement occasionnel pour 37,2 % des Français et les librairies pour 19,1 % d entre eux en Les marchés (12,1 %), les vidéoclubs (9,6 %) et les stations services (6,1 %) sont peu fréquentés comme points de vente de DVD. L achat de DVD, une pratique spontanée 57,7 % des achats de DVD ne sont pas prévus à l avance et sont donc décidés au dernier moment, de même que le choix du titre s effectue principalement au dernier moment (57,0 %). En termes d achat, 88,4 % des Français déclarent acheter des DVD pour voir des films qu ils n ont jamais vus, dont 69,1 % régulièrement. Cette pratique est très répandue chez les ans (92,3 %). Par ailleurs, 87,0 % des Français achètent également des DVD pour revoir des films qu ils ont déjà vus. Ceci concerne 94,4 % des ans (45,8 % en achètent souvent). L achat de DVD pour l enrichissement de la collection concerne 63,6 % des Français. Ce taux atteint 88,2 % des spectateurs assidus du cinéma et 100 % des acheteurs assidus de DVD. Les bandes-annonces, premier vecteur d achat de DVD En 2009, 56,3 % des Français déclarent que le visionnage des bandes-annonces est le premier motif d incitation pour l achat de DVD (+1,6 point par rapport à 2008). La recommandation d amis ou de proches touche 54,6 % des Français et constitue le deuxième motif incitatif, alors qu elle était le premier en 2008 (55,3 %). Le boucheà-oreille de l entourage joue d ailleurs un rôle très important chez les ans, puisqu ils sont 72,4 % à être influencés par ce biais. La publicité à la télévision et les articles dans la presse incitent moins de 40 % des Français. magasin spécialisé supermarché ou hypermarché internet kiosque ou maison de la presse librairie marché vidéo club station service E ,8 88,2 86,2 85,5 87,2 86,0 64,6 70,0 62,3 42,4 41,2 37,2 31,3 32,6 19,1 13,7 13,7 12,1 13,1 13,6 9,6 9,0 5,9 6,1 Lieux d achat des DVD (%) Lecture : En 2009, 86,2 % des acheteurs de DVD déclarent avoir pratiqué au moins un achat dans des magasins spécialisés. Source : CNC Harris Interactive. 18 Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars 2010

21 F La location de DVD, une pratique de moins en moins répandue La proportion de loueurs de DVD diminue de façon significative sur la période de 2005 à 2009 (-16,1 % de loueurs par an en moyenne). 25,9 % des Français déclarent avoir loué au moins un DVD en 2009, contre 30,7 % en 2008, 38,7 % en 2007, 44,4 % en 2006 et 52,0 % en En 2009, 8,5 % des loueurs de DVD sont des habitués de la location, dont 1,9 % sont des assidus non non non loueurs loueurs loueurs loueurs loueurs loueurs En 2009, comme en 2008, les loueurs de DVD sont majoritairement des femmes (57,7 % en 2009), l écart entre hommes et femmes étant moins important chez les non loueurs (52,9 % de femmes en 2009). Les ans composent la principale population des loueurs (29,1 %). La pratique de la location est plus marginale chez les ans (11,7 %) et les plus de 50 ans représentent la tranche d âge la plus importante au sein des non loueurs (33,0 %). Les inactifs composent 45,6 % des non loueurs. Les loueurs de DVD vont plus souvent au cinéma que les non loueurs. Ainsi, 48,5 % des loueurs sont-ils des habitués du cinéma en salles, contre 28,7 % des non loueurs. Les loueurs de DVD en achètent aussi plus fréquemment. En 2009, 20,4 % des loueurs de DVD sont des habitués de l achat vidéo (9,4 % des non loueurs). sexe homme femme âge ans ans ans ans 50 ans et plus CSP CSP+ CSPinactif dont étudiant habitat région parisienne province habitudes de fréquentation cinéma assidu régulier occasionnel non spectateur habitudes d achat vidéo assidu régulier occasionnel non acheteur 41,5 47,7 38,1 50,0 42,3 47, ,4 52,3 61,9 50,0 57,7 52, ,8 17,1 18,1 15,2 15,8 15, ,4 14,9 13,8 11,6 11,7 11, ,5 19,0 21,0 16,1 24,5 15, ,8 26,0 26,2 24,7 29,1 24, ,1 22,9 21,0 32,4 18,9 33, ,0 27,5 32,4 29,1 43,9 26, ,5 27,5 32,9 27,0 27,6 28, ,7 45,0 34,8 43,9 28,6 45, ,5 22,1 19,0 18,6 10,7 15, ,0 23,2 22,9 20,4 22,4 20, ,9 76,8 77,6 79,6 77,6 79,3... 5,4 4,7 1,9 3,5 7,7 5, ,6 23,2 44,8 23,7 40,8 23, ,6 69,5 53,3 68,9 49,5 67,8... 1,3 2,6 0,5 3,8 2,0 3,4... 1,2 1,2 1,0 0,6 1,0 0, ,6 16,2 21,0 10,3 19,4 8, ,1 60,8 59,5 54,9 57,7 53, ,8 21,8 19,0 34,1 21,9 37,5... loueurs assidus réguliers occasionnels non loueurs F ,0 44,4 38,7 30,7 25,9... 7,2 4,4 3,2 2,4 1, ,0 14,3 11,2 8,3 6, ,9 25,8 24,2 20,0 17, ,0 55,6 61,3 69,3 74, ,0 100,0 100,0 100,0 100,0 Habitudes de location vidéo (%) Lecture : En 2009, 25,9 % des Français ont loué au moins un DVD. Source : CNC Harris Interactive. ensemble 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0... F Profil des loueurs de DVD (%) Lecture : En 2009, 42,3 % des loueurs de DVD sont des hommes. Source : CNC Harris Interactive. Le marché de la vidéo / dossier du CNC #313 / mars

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