Les artistes et les travailleurs culturels du théâtre québécois

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1 LES CHANTIERS DE RÉFLEXIONS Ce document est le résultat de consultations et de concertations avec l ensemble des composantes du milieu théâtral : praticiens, associations professionnelles et syndicats d artistes. Il est le reflet de la diversité et de la multiplicité des enjeux qui animent actuellement les professionnels du théâtre québécois. Ces chantiers de réflexion ont fait l objet de tables de concertation tenues dans le cadre des travaux préparatoires des Seconds États généraux du théâtre. Les artistes et les travailleurs culturels du théâtre québécois Que signifie être un artiste de théâtre au Québec aujourd hui? Afin d exercer leur art, les praticiens du théâtre québécois doivent évoluer à l intérieur de structures économiques bien précises. Comment relever le défi d être un artiste de théâtre à l intérieur de structures déjà existantes? Comment créer et pratiquer un théâtre différent en dehors de ces structures? Quelles sont les principales réalités artistiques et économiques auxquelles les différents métiers de la profession sont confrontés? Les bourses individuelles octroyées par les conseils des arts sont-elles adaptées aux besoins spécifiques de nos praticiens? Quelles sont les différences de rémunération entre la relève, les praticiens intermédiaires et ceux déjà établis? Comment prendre en considération la professionnalisation des divers métiers occupés par les travailleurs culturels? Quels sont les impacts de la Loi sur le statut de l artiste? Qu en est-il du filet de sécurité sociale et du principe d assurance-emploi pour les praticiens et travailleurs du théâtre québécois?

2 Les générations du théâtre québécois Depuis plus de 50 ans, le théâtre québécois se pratique de manière professionnelle. Au fil des années, de nombreuses compagnies ont vu le jour, des institutions se sont affirmées, des structures, d abord fragiles, se sont consolidées, alors que d autres ont disparu. Ainsi, ces développements nous conduisent maintenant à nous interroger sur la transmission des savoirs, des expertises et des structures entre les différentes générations du théâtre québécois. Toute la richesse et le dynamisme de notre théâtre reposent sur la diversité des générations et des genres : une diversité qui fait notre spécificité. Ce sont donc les conditions permettant les échanges et la cohabitation entre des praticiens établis et d autres émergents qu il faut questionner. Comment élaborer des principes intergénérationnels ancrés dans la transmission d un savoir et d une expertise tout en reconnaissant l apport d une saine cohabitation? Quelles sont nos attentes vis-à-vis de nos institutions théâtrales? Quelles sont nos attentes vis-à-vis de nos compagnies théâtrales? Comment faudrait-il soutenir nos institutions? Comment faudrait-il soutenir nos compagnies théâtrales? Notre milieu sait-il être en adéquation avec ces attentes? Quelles sont les politiques déjà existantes qui favorisent l accueil et l intégration de la relève? Comment favoriser le développement d initiatives et de pratiques propres à la relève? Quels sont les impacts artistiques et économiques de l arrivée constante de nouveaux praticiens issus des différentes écoles de formation sur la scène professionnelle théâtrale québécoise? L écriture dramaturgique québécoise Le théâtre québécois n est pas le fait d instances, de mécanismes, de processus. Il est le fruit du travail de ses artistes, concepteurs et metteurs en scène qui ont su lui donner son originalité, façonner sa spécificité. C est l œuvre des auteurs dramatiques qui est à l origine d une grande partie de la création théâtrale. L écriture dramatique québécoise est encore jeune, mais déjà elle nous a légué un répertoire important. Nos auteurs dramatiques et leurs textes témoignent des évolutions de notre société et façonnent les balises de notre mémoire théâtrale. Il importe ici de mettre à jour tout l espace consacré à nos auteurs dramatiques québécois dans notre société. 3

3 Les auteurs dramatiques québécois occupent-ils la place qu il leur revient? Les auteurs dramatiques québécois pourraient-ils jouer un rôle accru tant à l intérieur des différentes structures du théâtre que dans la société québécoise? Faut-il envisager la création d un fonds de soutien spécifique à la création québécoise? La production du théâtre québécois Le paysage théâtral québécois est composé de deux grands pôles, Montréal et Québec, et de plusieurs régions qui modèlent et façonnent les modes de production du théâtre québécois. Institutions, compagnies au fonctionnement ou à projet, compagnies de la relève, structures émergentes, voire compagnies non financées, une multitude de réalités apparaissent. Dans un premier temps, il faudra circonscrire les divers modes de production afin d en évaluer les besoins. C est sur cette base que nous serons alors en mesure de définir les difficultés rencontrées et les moyens d y remédier. Cet exercice se fera donc en trois volets : l étude de la diversité des modes de production, les problématiques liées à la diffusion initiale d une production théâtrale et les solutions que peut offrir le principe de mise en commun des ressources. Quels sont les différents modes de production et les enjeux spécifiques à chacun? Quels sont les besoins spécifiques des compagnies se produisant en région ainsi que celles se produisant dans les grands centres que sont Québec et Montréal? Quelles applications et recommandations doivent être faites afin de faciliter et d encourager la circulation des artistes sur le territoire québécois? Comment favoriser la mise en place de résidences d artistes? Quels sont les principaux obstacles et difficultés rencontrés dans la recherche d un accès aux scènes pour les compagnies qui ne disposent pas de lieu de création permanent? Quelles sont les diverses possibilités de mise en commun des ressources qui s offrent à nous : leurs avantages respectifs, mais aussi leurs limites? 4

4 La diffusion du théâtre québécois Depuis maintenant plusieurs années, des politiques de diffusion des arts ont été élaborées par les bailleurs de fonds publics. Néanmoins, certaines questions fondamentales, et malheureusement toujours urgentes, apparaissent distinctement. D une part, il importe de se pencher sur le rôle des diffuseurs du théâtre québécois, sur les problématiques liées à la circulation des spectacles, tant aux niveaux local, régional, national qu international. D autre part, nous voulons examiner les différentes façons de développer de nouveaux publics et de nouveaux marchés. Quels sont les principaux mécanismes qui permettent une démocratisation et une accessibilité du théâtre québécois sur l ensemble de son vaste territoire? Quels sont les mécanismes économiques et politiques permettant la diffusion de spectacles aux niveaux local, régional, national et international? La loi du marché, et notamment celle qui détermine les cachets de la pratique jeunes publics du théâtre québécois, est-elle juste et respectée? Si non, comment peut-on y remédier? Les structures de diffusion, tout comme les salles de théâtre et de spectacles, tiennent-elles compte de la diversité des genres, des pratiques et des esthétiques? L Académie québécoise du théâtre joue-t-elle pleinement son rôle quant à la promotion du théâtre québécois? La fréquentation du théâtre par la jeunesse Les boycottages des activités culturelles par les enseignants du secteur public ont marqué les esprits de tous. L objectif ici n est pas de rouvrir les débats, mais plutôt de tirer les principales leçons de ces boycottages. Comment définir et approfondir les liens existants entre le milieu scolaire et le milieu théâtral? Comment élaborer des liens riches et durables avec les professeurs afin que les élèves, tant au primaire et au secondaire qu au collégial, aient accès aux diverses pratiques professionnelles du théâtre québécois? Collectivement, souhaitons-nous une augmentation de la fréquentation jeunes publics? Si oui, sous quelles formes? 5

5 Le rôle des festivals dans la société québécoise Les festivals de théâtre au Québec sont devenus de véritables vitrines pour l art théâtral et le rayonnement de notre culture. Force est de reconnaître leur rôle de premier plan : favoriser et faciliter un mélange de cultures issues d horizons très différents, encourager les rencontres et les échanges entre praticiens d ici et d ailleurs, élargir les frontières du théâtre québécois. Nous aborderons les enjeux liés à la tenue de festivals sur tout le territoire québécois et traiterons de l émulation recherchée au sein de ces rencontres. Quels sont les rôles des festivals dans le paysage théâtral québécois? Comment les festivals participent-ils à la démocratisation de la culture? Droits et responsabilités Un ensemble de règles de gestion, d administration et de transparence régissent les organismes sans but lucratif et les compagnies subventionnées par les pouvoirs publics. Ces organismes sont en effet soumis à différents mécanismes de vérification et à différentes procédures en reddition des comptes. Le milieu connaît-il bien ces mécanismes et la nature réelle des rapports entre subventionnés et subventionneurs? Quels sont ces mécanismes et ces règles de gouvernance? Les mêmes règles de gouvernance devraient-elles s appliquer pour l ensemble des institutions et des compagnies théâtrales québécoises? Quelles sont les conséquences concrètes et pratiques de l application de ces règles et mécanismes sur l administration des organismes du théâtre québécois? Le patrimoine immobilier du théâtre québécois Au cours des cinq dernières décennies, nous nous sommes dotés, à la grandeur du Québec, d un parc immobilier théâtral considérable. Certains théâtres possédant leurs lieux doivent procéder à d importants travaux afin de répondre à leurs besoins et à ceux de la communauté, alors que d autres cherchent à ouvrir des lieux qui correspondent à de nouvelles réalités de la pratique. Aujourd hui, il est de notre devoir de nous pencher sur ce bien collectif. 6

6 Quels sont les principaux obstacles et difficultés rencontrés face à l entretien de notre patrimoine immobilier théâtral? Quelles politiques de soutien et de financement devraient être appliquées? Est-il encore possible, voire souhaitable, d acquérir un lieu voué à la création et à la présentation du théâtre québécois? Les salles actuelles sur l ensemble du territoire québécois correspondent-elles aux productions théâtrales que nous proposons? Les politiques culturelles L ensemble des politiques culturelles élaborées par les pouvoirs publics constitue un enjeu fondamental affectant tout le milieu théâtral québécois. Depuis plusieurs années, le paysage théâtral et le contexte d exercice de notre profession ont considérablement évolué. En effet, l accroissement de l offre s est accompagné d une diversification des genres et des esthétiques. Les conséquences sont nombreuses. D une part, cela ne facilite évidemment pas le rôle des agents des conseils des arts, ni celui des jurys de pairs. D autre part, il est devenu de plus en plus difficile de se voir attribuer une subvention au fonctionnement ou au projet ou encore une bourse individuelle. Quels constats faisons-nous de nos conseils des arts en regard des politiques culturelles qu ils prônent? Quels types de rapports les agents de programmes des conseils des arts entretiennent-ils avec les praticiens du théâtre? Souhaitons-nous une modification de leur rôle? L évaluation par les pairs issus des institutions, compagnies et individus, est-elle toujours le mode privilégié par le milieu? Les critères d évaluation artistique, quant à l attribution des financements au fonctionnement, au projet ou pour l obtention d une bourse individuelle, nous semblent-ils en adéquation avec les besoins des praticiens, des compagnies et des institutions du théâtre québécois? Le financement public Le financement public constitue encore et toujours la pierre angulaire de la production et de la diffusion théâtrale au Québec. Ainsi, les multiples questions que soulève ce constat reflètent tant sa complexité que son importance. Nous voulons nous demander si le financement public est en adéquation avec la réalité du milieu théâtral, s il est à la hauteur de nos objectifs théâtraux. 7

7 Les divers programmes de bourses individuelles offrent-ils un véritable soutien au développement de la carrière d un praticien? Les procédures et mécanismes d attribution des bourses individuelles des conseils des arts sont-ils adéquats? Les divers programmes de subventions offrent-ils un véritable soutien aux institutions et compagnies théâtrales québécoises? Ces divers programmes permettent-ils le développement des genres et des formes? Quels sont les principaux freins que posent les demandes de financement et leur mode d attribution? Les sommes attribuées sont-elles adaptées aux spécificités de chaque pratique tant dans les grands centres que dans les régions? Le financement privé Depuis quelques années, les diverses subventions et bourses attribuées par les pouvoirs publics n ont pas été réellement indexées à l augmentation des coûts de la pratique du théâtre québécois. Pour pallier ce manque à gagner, il importe plus que jamais de se retourner vers de nouvelles sources de financement issues du secteur privé. À cet effet, les instances publiques ont mis en place des mesures visant à inciter les particuliers et les entreprises à donner plus généreusement aux organismes culturels. Ce sont ces programmes ainsi que toutes nouvelles avenues permettant l augmentation de revenus autonomes que nous souhaitons étudier et questionner. Le financement privé est-il inévitable, un mal nécessaire ou, au contraire, souhaitable? Si oui, sous quelles formes et dans quelles limites? Comment faciliter la recherche de financement privé à l intérieur d une société comme la nôtre? Comment faire de l entreprise privée un partenaire responsable et engagé dans le développement de l art théâtral sous toutes ses formes? Faut-il créer un outil collectif de recherche et de gestion du financement privé? Il existe actuellement les Fondations du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil québécois du théâtre. Ces Fondations sontelles des avenues de réflexions possibles? 8

8 Les orientations futures du Conseil québécois du théâtre Les premiers États généraux du théâtre professionnel au Québec, en 1981, donnaient naissance au Conseil québécois du théâtre (CQT). Dans une réelle volonté de se fédérer, le milieu théâtral se dotait d une instance centrale permettant de rassembler les différents types de pratiques et de représenter les intérêts propres à chacun. En fait, il s assurait ainsi d une structure qui l aiderait à identifier ses besoins, à faire valoir ses droits auprès des pouvoirs publics et à favoriser la mise en commun des ressources. En plus des congrès et colloques qu il organise régulièrement, le CQT a mené diverses études afin de sensibiliser, et même d influencer, les pouvoirs publics sur les conditions socioéconomiques des praticiens du théâtre. Par ailleurs, il continue toujours, grâce à ses différentes publications et bulletins électroniques, à promouvoir le théâtre auprès des instances gouvernementales, mais aussi à informer ses membres sur toute actualité concernant le milieu théâtral. Ainsi, en 25 ans, sous l impulsion du CQT, le paysage théâtral a grandement évolué. Soulignons, par exemple, le rôle qu il a joué dans la consolidation du financement public, la création de la Table de concertation art-éducation, la naissance de l Académie québécoise du théâtre, l instauration du Mouvement pour les arts et lettres (MAL), ou encore la mise en place du site TrocThéâtre. Vingt-cinq ans plus tard, il importe de se pencher sur l avenir du CQT. Répondil toujours aux besoins et aux attentes du milieu? Aujourd hui, quelles sont les attentes vis-à-vis de cette instance regroupant praticiens et associations du théâtre québécois? Faut-il repenser son mode de fonctionnement? C est ce que nous ferons tous ensemble à l automne 2007, lors de l assemblée plénière des Seconds États généraux. Et surtout rêvons Au terme de tous les débats, que nous reste-t-il à envisager? Libérons-nous pour un instant des principes de plate gestion et de rationalisation! L utopie n est pas une pure fantaisie, elle n est pas le fait d un simple optimisme. Être utopique, c est démontrer la capacité de déployer une force créatrice formidable. Quel est notre Québec théâtral utopique? Autrement dit, que nous souhaitonsnous de plus fou, de plus grand, pour l avenir du théâtre québécois? À quoi rêvons-nous afin que nous puissions dire collectivement Le Théâtre plus que jamais? 9

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