Les droits humains s évaporent-ils aux frontières? Le contre-terrorisme et le droit pénal de l UE
|
|
- Achille Rancourt
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Résumé Les droits humains s évaporent-ils aux frontières? Le contre-terrorisme et le droit pénal de l UE Les droits humains sont souvent présentés comme une barrière potentielle à la protection effective contre des actes terroristes plutôt que comme un prérequis pour une sécurité authentique. Certains avancent que la menace terroriste justifie des limites ou des dérogations aux droits humains, et l on remet même en question l interdiction de la torture. L Union européenne a toujours clairement affirmé qu il ne peut y avoir de sécurité sans droits humains. Cependant, dans la pratique, l UE et ses États membres sont trop souvent disposés à garder le silence sur des atteintes à la protection des droits au sein de l Union ou à l extérieur de celle-ci. On considère généralement que les droits des personnes suspectées de terrorisme sont toujours protégés au sein de l Espace de liberté, de sécurité et de justice de l UE, et l on n accorde que peu d attention aux craintes exprimées que de graves atteintes aux droits humains risquent de se produire lorsque ces suspects sont envoyés dans des pays tiers. L analyse d Amnesty International vise à : 1) Souligner les graves déficiences des normes du droit pénal européen développées en réponse au terrorisme, en raison de problèmes de définition qui affectent la sécurité juridique, du secret qui entoure les listes noires de terroristes et de la manière dont on laisse les obligations de protection de droits humains s évaporer aux frontières. 2) Montrer que l efficacité de la coopération dans la lutte contre le terrorisme est mise en danger lorsque la confiance mutuelle en la qualité de la justice des Etats membres est sapée par les atteintes aux droits humains, de sorte que la sécurité est amoindrie par les infractions aux droits humains et non par leur protection. 3) Souligner que l UE peut combler le déficit en matière de droits humains dans sa stratégie antiterrorisme en créant son propre cadre juridique, avec des définitions du terrorisme suffisamment claires et précises pour garantir la sécurité juridique et pour éviter des abus dans l usage de listes noires de terroristes. Il est également nécessaire de se doter de normes claires et légalement contraignantes sur la façon dont les membres doivent se conformer à leurs obligations internationales de protection des droits humains, lorsqu ils poursuivent des terroristes à travers les frontières, que ce soit à l intérieur ou à l extérieur de l UE. La feuille de route de l Union européenne contre le terrorisme établie quelques semaines après le 11 septembre 2001 couvrait une large gamme de domaines susceptibles d avoir un impact sur le combat contre le terrorisme, depuis les initiatives concernant le droit pénal et la sécurité des transports aériens, jusqu aux relations avec des pays tiers et à la coopération. Le présent document examine les domaines de compétence et d action dans lesquels l UE porte une responsabilité directe lorsqu il faut garantir une protection adéquate des droits humains dans le contexte de la lutte contre le terrorisme. Il propose des manières dont l UE peut s assurer que sa façon d aborder le combat contre le terrorisme intègre activement la nécessité de protéger les droits humains et l état de droit, rendant ainsi ses efforts antiterrorisme plus efficaces.
2 Amnesty International arrive à la conclusion que l UE n a pas jusqu ici traité correctement la grave question de la protection des droits fondamentaux dans ses politiques collectives et sa législation antiterrorisme. En étudiant la multitude des initiatives antiterrorisme au niveau de l UE sur le plan du droit pénal depuis le 11 septembre 2001, on voit clairement que l absence de garanties concrètes non seulement conduit à enfreindre les droits humains, mais également entraîne confusion et incertitude juridiques. Une coopération transfrontalière efficace pour combattre le terrorisme se fonde sur le principe de reconnaissance mutuelle, selon lequel une décision d une autorité judiciaire d un des États membres doit être considérée comme valide dans un autre. Ceci repose également sur la confiance mutuelle des États membres dans les systèmes judiciaires des autres et sur le partage des mêmes valeurs. En réalité, des pratiques et des cadres législatifs antiterrorisme contestables dans certains États membres compromettent ces valeurs communes et entravent ainsi la confiance mutuelle sur laquelle repose la coopération. Les procédures qui affectent les personnes suspectées de terrorisme sont souvent précisément celles où le risque de violations des droits humains ou d allégations de telles violations est le plus grand. Les erreurs judiciaires qui découlent de violations des droits humains dans des affaires de terrorisme non seulement font naître le risque potentiel de laisser en liberté les véritables auteurs d actes terroristes, mais elles ont aussi un impact significatif sur la confiance des citoyens dans l état de droit. Ceci peut également entraîner un sentiment d aliénation dans certains secteurs de la société qui se sentent injustement pris pour cible dans le combat contre le terrorisme. Ce n est pas seulement aux frontières internes de l UE qu Amnesty International estime que les droits humains sont oubliés. Lorsqu il s agit de coopération avec des pays tiers pour extrader ou expulser des individus suspectés de terrorisme, on attache trop peu d attention à des préoccupations crédibles selon lesquelles de graves atteintes aux droits humains risquent de se produire lorsque ces personnes sont transférées dans des pays tiers, ce qui rend l UE complice de ces atteintes. La tendance inquiétante qui affecte les méthodes par lesquelles les individus suspectés de terrorisme sont soustraits à la juridiction de l UE par l expulsion, la remise et même l enlèvement, souligne cette préoccupation. Principaux points de l analyse Définition du terrorisme Au cours des négociations pour la Décision cadre de 2001 sur la lutte contre le terrorisme, un certain nombre d États membres de l UE ainsi que des ONG, y compris Amnesty International, se sont dits préoccupés du fait que la définition contenue dans la proposition de la Commission n était pas suffisamment précise pour garantir la sécurité juridique, et que l ampleur du champs d application de la définition proposée risquait de menacer le droit à la liberté de réunion et celui de protestation légitime. En réponse, une déclaration a été adjointe à la Décision cadre, ainsi que des assurances dans son préambule, pour tenter de régler ce problème. Amnesty International considère ces ajouts comme ambigus, et indique qu ils ne remédient pas au caractère vague de la définition du terrorisme elle-même. Ceci est un motif particulier de préoccupation, du fait que cela constitue la base de nouvelles mesures telles que l adoption de listes de terroristes. Amnesty International demande à l UE de veiller à ce que les définitions du terrorisme soient suffisamment claires et précises pour garantir la sécurité juridique.
3 2. Listes noires de terroristes Les difficultés rencontrées pour identifier la nature du terrorisme deviennent plus aiguës lorsque des personnes ou organisations sont identifiées comme terroristes. Dans un climat où l identification comme terroriste a de graves implications pour la jouissance des droits fondamentaux, il est crucial que cette identification soit fondée sur des preuves claires susceptibles de pouvoir être contestées. Cependant, il n y a eu pratiquement aucun contrôle démocratique concernant l établissement de ces listes noires de terroristes, et il n existe pas de contrôle judiciaire concernant leur constitution, alors que les individus qui s y trouvent placés sont de fait privés de recours effectif pour contester leur inscription dans ces listes. Amnesty International demande à l UE de revoir la législation concernant l établissement de listes de terroristes pour faire en sorte qu il existe des procédures claires de révision judiciaire de l inscription de personnes ou de groupes dans ces listes. 3. Mandat d arrêt européen (MAE) Deux cas dans lesquels l extradition a été refusée entre États membres de l UE, juste avant l entrée en vigueur du MAE en 2004, montrent que le non-respect des droits humains peut porter atteinte à l efficacité de la coopération contre le terrorisme, même au sein de l Union, en faisant obstacle à l extradition. Au cœur de ces affaires se trouve la question de la recevabilité des preuves qui auraient été obtenues d un tiers par torture ou mauvais traitements, ce qui pourrait avoir pour conséquence un déni flagrant du droit à un procès équitable. Sans confiance mutuelle dans les garanties procédurales, le MAE risque de connaître des difficultés semblables. Amnesty International demande à la Commission européenne de contrôler soigneusement la mise en application du Mandat d arrêt européen, en relevant les cas qui posent question concernant d éventuelles infractions aux droits humains ou aux garanties de procédure, et en réglant les problèmes mis à jour par le biais de recommandations ou de législation. 4. Protection des droits des suspects et accusés dans les procédures pénales L UE a proposé des normes minimales dans son projet de Décision cadre sur certains droits des suspects et accusés en matière de procédure. Amnesty International considère que la portée et le niveau des normes minimales proposées sont insuffisants et est préoccupée par le fait que les négociations risquent de conduire à une nouvelle dilution de ces normes. Ceci concerne en particulier la possibilité d exclure les actes de terrorisme et de crime organisé du champ d application de la Décision cadre proposée. Cette proposition avait été promise à l origine comme un complément nécessaire au Mandat d arrêt européen, qui lui-même était présenté comme un instrument du combat contre le terrorisme, et il paraîtrait non seulement incohérent et illogique dans ce contexte, mais véritablement contestable, d exclure de son champ d application le type même de crimes qu il était supposé affronter. Amnesty International exhortera la Commission à retirer la Décision cadre proposée sur les garanties procédurales si les crimes de terrorisme doivent être exclus de son champ d application.
4 5. Recevabilité des preuves obtenues sous la torture Amnesty International est gravement préoccupée par l arrêt de la Cour d Appel d Angleterre et du Pays de Galles, en 2004, selon lequel des preuves obtenues sous la torture par des agents étrangers pourraient être recevables. Amnesty International appelle la Commission européenne à se saisir de la question des preuves obtenues sous la torture et autres mauvais traitements dans ses prochains livres blancs sur les preuves. 6. Extradition vers des pays tiers En 2003, l UE a conclu un accord d extradition avec les États-Unis, premier accord de ce genre sur la coopération judiciaire en matière criminelle avec un pays tiers. Amnesty International considère que cet accord laisse une marge d appréciation inacceptable sur la question de la peine capitale et celle d un procès équitable. Alors que l accord d extradition UE-EUA est le premier accord communautaire dans cette matière, d autres accords avec des pays tiers risquent d être négociés à l avenir, en particulier dans le contexte du combat contre le terrorisme. Par exemple, à la suite du récent sommet UE-Russie, la coopération dans le domaine du contre-terrorisme doit être accélérée entre l UE et la Fédération de Russie. Amnesty International recommande que tous les futurs accords avec des pays tiers fixent des paramètres clairs pour le respect des droits humains, qui soient conformes aux normes appliquées par l UE dans son propre Espace de liberté, de sécurité et de justice. 7. Extradition et asile Les règles concernant l asile et l extradition se recoupent lorsqu un demandeur d asile ou réfugié statutaire fait l objet d une demande d extradition par un pays tiers dans le cadre d une procédure pénale. La version finale du projet de directive sur les procédures d asile laisse ouverte la possibilité pour les États membres d accéder à la demande d extradition alors qu une demande d asile est encore en cours. Compte tenu de ses conséquences potentiellement étendues sur le principe de non refoulement, c est-à-dire l interdiction de renvoyer une personne vers un pays où elle risque de subir de graves violations des droits humains, l extradition ne devrait pas être exécutée tant qu une demande d asile est en cours d examen. La directive relative à la reconnaissance de la qualité de réfugié facilite pour les Etats membres la révocation ou l annulation du statut de réfugié lorsque il existe des motifs raisonnables de considérer [l intéressé(e)] comme un danger pour la sécurité de l État membre dans lequel il ou elle se trouve. Cette disposition est d autant plus inquiétante que, dans son application, elle peut conduire à affaiblir l interdiction absolue de non refoulement. Amnesty International pense que la révocation du statut de réfugié n est pas un moyen approprié de traiter des personnes pouvant être suspectées de terrorisme. S il existe des raisons de suspecter un demandeur d asile ou réfugié d avoir commis des crimes qui tombent sous le coup des clauses d exclusion de la Convention de Genève sur les réfugiés, les États devraient le poursuivre ou le remettre à un autre Etat en accord avec le droit international des droits humains. Amnesty International demande à l UE de veiller à ce que les Etats membres respectent le principe absolu de non refoulement en toutes circonstances.
5 8. Remise et enlèvement En dehors du cadre traditionnel de l extradition, il existe une tendance de plus en plus inquiétante, dans le contexte de la guerre contre le terrorisme, consistant à utiliser des méthodes pour transférer les suspects par-delà les frontières qui contournent les exigences des garanties procédurales et conduisent à de sérieuses atteintes aux droits humains. Ces pratiques comprennent la remise exceptionnelle, l expulsion assortie d assurances diplomatiques et l enlèvement illégal. Depuis le 11 septembre 2001, il est devenu courant de signaler dans le monde entier des remises exceptionnelles par lesquelles des gens sont transférés contre leur volonté par-delà les frontières sans garanties de procédure et souvent dans la clandestinité. Dans la plupart des cas signalés, à l exception de ceux survenus en Suède et cités dans ce rapport, les remises exceptionnelles ont été exécutées par les États-Unis, mais pas directement par des Etats membres de l UE. Il existe cependant d inquiétantes allégations selon lesquelles des Etats membres de l UE ont autorisé l utilisation de leur territoire comme points d atterrissage pour des avions utilisés pour ces remises, effectuées en traversant l espace aérien de l UE. Selon les médias et d autres sources, les aéroports de Francfort, Mayorque et Shannon sont connus comme escales pour des avions de la CIA, sans identification, exécutant des remises irrégulières. Les États membres qui autorisent l utilisation de leur territoire pour ces escales sont complices de graves atteintes aux droits humains. Amnesty International demande à l UE d établir des règles interdisant d autoriser l utilisation de l espace aérien ou des aéroports sur le territoire d un Etat membre de l UE pour le transfert de personnes dans des circonstances où il existe une menace sérieuse de violations supplémentaires de leurs droits humains en route ou une fois arrivées à destination. 9. Assurances diplomatiques La pratique qui consiste, dans les cas d extradition et d expulsion, à se reposer sur des assurances diplomatiques face au risque de torture ou autres mauvais traitements, a conduit à de graves abus. La mise en garde de tribunaux des Etats membres de l UE a parfois été écartée par le pouvoir exécutif gouvernemental, avec de graves conséquences pour les personnes concernées. Amnesty International demande aux Etats membres de l UE de veiller à ce que, s ils se basent sur les assurances diplomatiques des pays de destination lorsque des personnes sont transférées vers des pays tiers, ces dernières ne soient effectivement pas en danger de torture ou autres mauvais traitements.
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?
CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité? Automne 2011 QU EST-CE QU UN CERTIFICAT DE SÉCURITÉ? Créée en 1978, la procédure actuelle trouve son fondement dans la loi sur l immigration
Plus en détailCAS PRATIQUES A LA LUMIÈRE DU NON-REFOULEMENT
CAS PRATIQUES A LA LUMIÈRE DU NON-REFOULEMENT AMNESTY INTERNATIONAL ET LE PRINCIPE DE NON-REFOULEMENT Pour prévenir la torture, les mauvais traitements et les traitements dégradants, Amnesty International
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailCour européenne des droits de l homme. Questions & Réponses
Cour européenne des droits de l homme Questions & Réponses Questions & Réponses Qu est-ce que la Cour européenne des droits de l homme? Ces questions et réponses ont été préparées par le Greffe de la Cour.
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailGROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)
Strasbourg, 22 août 2014 CDDH-CORP(2014)10 COMITÉ DIRECTEUR POUR LES DROITS DE L'HOMME (CDDH) GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP) Projet de recommandation du Comité
Plus en détailLe régime d asile européen commun. Affaires intérieures
Le régime d asile européen commun Affaires intérieures Europe Direct est un service destiné à vous aider à trouver des réponses aux questions que vous vous posez sur l Union européenne. Un numéro unique
Plus en détailLes autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.
COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique
Plus en détailLes Recommandations du GAFI
NORMES INTERNATIONALES SUR LA LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME ET DE LA PROLIFÉRATION Les Recommandations du GAFI février 2012 GROUPE D ACTION FINANCIÈRE Le Groupe
Plus en détailOn vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main!
Finances Achats e-commerce Santé Tourisme Véhicules Shutterstock Immobilier énergie Justice On vous doit de l argent en Europe... Deux procédures judiciaires simplifiées à portée de main! brochure réalisée
Plus en détail4./4/14 DE DROIT AÉRIEN. (Montréal, 26 CONVENTION SURVENANT. (12 pages) 14-1044 DCTC_WP_DCTC_
DCTC Doc n o 33 4./4/14 CONFÉRENCE INTERNATIONALE DE DROIT AÉRIEN (Montréal, 26 mars 4 avril 2014) TEXTE REFONDU DE LA CONVENTION RELATIVE AUX INFRACTIONS ET À CERTAINS AUTRES ACTES SURVENANT À BORD DES
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détail' '(!)('( ' #$%&'# ! '! " #$%&
ATTAQUER LE LISTING DU SOUTIEN AU TERRORISME DE NOUVELLES OPTIONS JURIDIQUES? UN RESUME DES JUGEMENTS RECENTS DE LA COUR DE JUSTICE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Dès les arrêts Yusuf 1 et Kadi 2, d une part,
Plus en détailCode de conduite pour les responsables de l'application des lois
Code de conduite pour les responsables de l'application des lois Adopté par l'assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979 (résolution 34/169) Article premier Article 2 Les responsables de
Plus en détailHaut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme. Les droits. des non-ressortissants
Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme Les droits des non-ressortissants Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme Les droits des non-ressortissants Nations Unies New
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA JUSTICE ET DES LIBERTÉS Décret n o 2010-148 du 16 février 2010 portant application de la loi organique n o 2009-1523 du 10 décembre 2009 relative
Plus en détailComment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise?
Comment me protéger face aux risques liés à ma fonction de dirigeant d'entreprise? PASS RC des Dirigeants d'entreprise Prévention juridique ASSistance pénale d urgence Responsabilité Civile des Dirigeants
Plus en détailFIN-NET. La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers. Guide du consommateur
FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers Guide du consommateur FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans
Plus en détailCommission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL
PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)
Plus en détailANNEXE. L obligation d extrader ou de poursuivre («aut dedere aut judicare») en droit international. Observations préliminaires. (Zdzislaw Galicki)
ANNEXE L obligation d extrader ou de poursuivre («aut dedere aut judicare») en droit international Observations préliminaires (Zdzislaw Galicki) I. Introduction générale du sujet 1. L expression «extrader
Plus en détailL ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs
L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite
Plus en détailCongo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo
Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice
Plus en détailDirection de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile
Direction de l administration pénitentiaire Le placement sous surveillance électronique mobile Sous-direction des personnes placées sous main de justice (PMJ) Pôle PSEM Septembre 2007 Le placement sous
Plus en détaille réseau aérien consiste dans un hub aérien à Liège, en Belgique et une flotte de 50 avions ; et
1. RESUME Les informations suivantes doivent être lues uniquement comme une introduction au présent Prospectus. Toute décision d investir dans les Actions Ordinaires doit être basée sur une étude du présent
Plus en détailN 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code
Plus en détailCOMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES LIVRE VERT
COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES Bruxelles, le 24.10.2006 COM(2006) 618 final LIVRE VERT SUR L AMÉLIORATION DE L EXÉCUTION DES DÉCISIONS DE JUSTICE AU SEIN DE L UNION EUROPÉENNE: LA SAISIE DES AVOIRS
Plus en détailNotice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures
Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions
Plus en détailDéfinition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats
Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays
Plus en détailHRS: Nouvelles conditions de vente et augmentation des commissions
HRS: Nouvelles conditions de vente et augmentation des commissions 1. Situation initiale À partir du 1 er mars 2012, la plate-forme de réservation en ligne HRS fera passer sa provision sur les réservations
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailL application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures d autorisation préalable
COMMISSION EUROPÉENNE Direction générale des entreprises et de l industrie Document d orientation 1 Bruxelles, le 1 er février 2010 - L application du règlement sur la reconnaissance mutuelle aux procédures
Plus en détailIntroduction. 1 Communication de la Commission au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social
Observations du HCR sur la Communication de la Commission européenne «Programme commun pour l intégration : Cadre relatif à l intégration des ressortissants de pays tiers dans l Union européenne» (COM
Plus en détailCONDITIONS CONTRACTUELLES GENERALES (CCG)
CONDITIONS CONTRACTUELLES GENERALES (CCG) L Agence nationale de traduction et de certification (OFFI Zrt), s engage en tant que prestataire (par la suite : l Agence) auprès de ses Clients à accomplir les
Plus en détailPROTECTION JURIDIQUE POUR INDEPENDANTS ET ENTREPRISES DÉFEND VOS DROITS
PROTECTION JURIDIQUE POUR INDEPENDANTS ET ENTREPRISES DÉFEND VOS DROITS Pour indépendants ou entreprises: la Protection juridique de la DAS Les entrepreneurs et responsables d entreprise manquent souvent
Plus en détailLes paroles s envolent les écrits restent
Les paroles s envolent les écrits restent COMMENT S Y RETROUVER CONCERNANT LA PROCURATION LE MANDAT EN CAS D INAPTITUDE LE TESTAMENT Avril 2008 INTRODUCTION TABLE DES MATIÈRES NTRODUCTION...... 1 DÉFINITION
Plus en détailLa Cour Européenne des Droits de l Homme et les Droits des Migrants Affectés par les Politiques d Expulsion
PROJET JUSTICE SANS FRONTIÈRES La Cour Européenne des Droits de l Homme et les droits des migrants affectés par les politiques d expulsion Une initiative de MRI et OSIWA Email : justice@jsfjwb.org Site
Plus en détailPosition d Amnesty International sur la question des assurances diplomatiques dans les cas d extradition vers la Turquie
Section suisse Schweizer Sektion Sezione svizzera Swiss Section Erlachstr.16B Case postale 3001 Berne Suisse Tél: 031 307 22 22 Fax: 031 307 22 33 E-mail: info@amnesty.ch www.amnesty.ch PC 30-3417-8 CCP
Plus en détailMémoire remis au Comité des affaires juridiques et constitutionnelles Paris sportifs
Mémoire remis au Comité des affaires juridiques et constitutionnelles Paris sportifs Sommaire Le présent mémoire décrit le fonctionnement des paris sportifs légaux en Australie et fait particulièrement
Plus en détail2.2 Objet du contrôle Il y a lieu de vérifier les points suivants de manière individuelle ou combinée.
Protection des données; examen périodique des applications informatiques; CONDITIONS GÉNÉRALES (également valables lors de recours à des sociétés d audit) 1 Quiconque souhaite charger une société d audit
Plus en détailGROUPE DE TRAVAIL «ARTICLE 29» SUR LA PROTECTION DES DONNÉES
GROUPE DE TRAVAIL «ARTICLE 29» SUR LA PROTECTION DES DONNÉES 01037/12/FR WP 196 Avis 05/2012 sur l informatique en nuage Adopté le 1 er juillet 2012 Le groupe de travail a été institué en vertu de l article
Plus en détailImportations parallèles: intérêt du consommateur et intégration communautaire
«Le traitement des restrictions verticales en droit comparé de la concurrence» Université Paris II Panthéon Assas & University College London Paris, le 23 mai 2008 Importations parallèles: intérêt du consommateur
Plus en détailLE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION
LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION 1 Document Unique de Délégation Un document qui permet de définir les responsabilités : civiles - pénales Des dirigeants pleinement conscients de leur périmètre de responsabilité,
Plus en détailCONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE
Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la
Plus en détailCode à l intention des partenaires commerciaux
Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailResponsabilité civile et pénale de l instituteur
Responsabilité civile et pénale de l instituteur 1 Responsabilité civile et pénale de l instituteur Le terme instituteur désigne toute personne mandatée ou agréée par l administration pour assurer un enseignement
Plus en détailCommentaires du Barreau du Québec sur la modernisation des dispositions du Code criminel relatives aux moyens de transport Document de travail
PAR COURRIEL Le 30 avril 2010 Consultation sur la conduite avec facultés affaiblies Section de la politique en matière de droit pénal Ministère de la Justice Édifice commémoratif de l Est 284, rue Willington
Plus en détailLe stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage.
Le stationnement irrégulier de véhicules appartenant à la communauté des gens du voyage. Une des problématiques récurrente pour les collectivités en matière d occupation illégale de son territoire tient
Plus en détailLOI N 2004-045 du 14 janvier 2005. (JO n 2966 du 25.04.05, p.3450) CHAPITRE PREMIER DE LA PREVENTION DES INFRACTIONS
LOI N 2004-045 du 14 janvier 2005 relative à la prévention et la répression des infractions en matière de chèques (JO n 2966 du 25.04.05, p.3450) CHAPITRE PREMIER DE LA PREVENTION DES INFRACTIONS Article
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailLa protection des associés en droit congolais et en droit OHADA
Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailC11 : Principes et pratique de l assurance
Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous
Plus en détailLa lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme
SEPTEMBRE 2015 HORS-SÉRIE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Ce
Plus en détaille Fichier central des chèques (FCC) et le Fichier national des chèques irréguliers (FNCI),
Le rôle du Fichier central des chèques et du Fichier national des chèques irréguliers Note d information La Banque de France a reçu du législateur la mission de «veiller au bon fonctionnement et à la sécurité
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailCONTRAT DE LOCATION SCOOTER (version 20110604) entre Scenic Tours sprl (propriétaire loueur) et le client/locataire/conducteur qui accepte.
Scenic Tours sprl tel/fax +32-(0)82-21 96 37 Chaussée Romaine, 10 gsm +32-(0)475-24 26 50 B5500 Dinant email info@scenic-tours.be Belgium www.scenic-tours.be TVA: BE 865.731.136 Entreprise n : 0865.731.136
Plus en détaildans la poursuite pénale dirigée contre en présence du Ministère Public l arrêt qui suit :
N 8 / 2012 pénal. du 2.2.2012. Not. 4066/08/CD Numéro 3029 du registre. La Cour de cassation du Grand-Duché de Luxembourg, formée conformément à la loi du 7 mars 1980 sur l'organisation judiciaire, a rendu
Plus en détailREPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007
REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD
Plus en détailCONVENTION D AIDE MUTUELLE JUDICIAIRE D EXEQUATUR DES JUGEMENTS ET D EXTRADITION ENTRE LA FRANCE ET LE MAROC DU 5 OCTOBRE1957
CONVENTION D AIDE MUTUELLE JUDICIAIRE D EXEQUATUR DES JUGEMENTS ET D EXTRADITION ENTRE LA FRANCE ET LE MAROC DU 5 OCTOBRE1957 Le Président de la République française Et Sa Majesté Le Roi du Maroc, Constatant
Plus en détailDroit Commercial. Notes personnelles. La Responsabilité. Responsabilité civile. La Responsabilité. Page : 1
Responsabilité civile Art 1382 du Code Civil : «Tout fait quelconque de l homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer». La responsabilité civile entraîne
Plus en détailPrise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique
COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61
Plus en détailVINGT PRINCIPES DIRECTEURS SUR LE RETOUR FORCE
VINGT PRINCIPES DIRECTEURS SUR LE RETOUR FORCE Septembre 2005 1 2 TABLE DES MATIERES Note Préliminaire...5 Vingt principes directeurs du Comité des Ministres du Conseil de l Europe sur le retour forcé
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION DIPLOMATIQUE...
TABLE DES MATIÈRES REMERCIEMENTS... VII PRÉFACE....IX LISTE DES ABRÉVIATIONS... XXVII INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE L ENGAGEMENT D UNE PROTECTION CLASSIQUE DE L INDIVIDU À TRAVERS L ACTION EN PROTECTION
Plus en détailL ÉVOLUTION DE LA DÉFENSE ET DU DROIT DE LA DÉFENSE À PARTIR DE LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L HOMME (*)
L ÉVOLUTION DE LA DÉFENSE ET DU DROIT DE LA DÉFENSE À PARTIR DE LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L HOMME (*) Les conférences qui se sont succédées ce matin et cette aprèsmidi, de continent à continent,
Plus en détailL an deux mil quatorze Et le dix-huit mars
KF/KV REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE COUR D APPEL D ABIDJAN TRIBUNAL DE COMMERCE D ABIDJAN ORDONNANCE DE REFERE du 18 mars 2014 RG N 402/14 --------------- La Société Immobilière de Gestion et de Management
Plus en détailALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST
ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX
Plus en détailCirculation Privée Immeuble PME. assista. Conditions générales d assurance Edition 2007. Assurance protection juridique pour PME et Indépendants
Circulation Privée Immeuble PME assista Conditions générales d assurance Edition 2007 Assurance protection juridique pour PME et Indépendants CGA TABLE DES MATIÈRES DISPOSITIONS GÉNÉRALES 1 Parties au
Plus en détailLa pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité. Marie Pierre ROUSSEAU
La pertinence du choix français de la question préjudicielle de constitutionnalité Marie Pierre ROUSSEAU Avec l existence du seul contrôle a priori des lois l ordre juridique français n a jusqu à présent
Plus en détailLA RESPONSABILITE DES DIRIGEANTS
Sources : F. LEFEBVRE «associations» Code civil Code pénal Code du commerce Code du sport Livre des procédures fiscales AVERTISSEMENT : Les renseignements contenus dans cette fiche ne constituent qu une
Plus en détailAnnexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications
Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur
Plus en détailL'AGENT IMMOBILIER. Attention : les cartes professionnelles déjà délivrées restent valables jusqu à leur date d expiration.
L'AGENT IMMOBILIER L'agent immobilier est un intermédiaire intervenant dans les opérations d achat, de vente, d échange, de sous-location ou de location de maisons, appartements, fonds de commerce, terrains.
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détailFORMATION DU 13 DECEMBRE 2012 LA DEMARCHE COMMERCIALE DANS LE RESPECT DES REGLES ETHIQUES
FORMATION DU 13 DECEMBRE 2012 LA DEMARCHE COMMERCIALE DANS LE RESPECT DES REGLES ETHIQUES 1 Mise à jour : 26 11 2012 A - INTRODUCTION - Rappels - 2 LES 5 PRINCIPES DU DROIT DE LA CONCURRENCE 1. Liberté
Plus en détailCopie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement.
PROTOCOLE ADDITIONNEL À LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CRIMINALITÉ TRANSNATIONALE ORGANISÉE VISANT À PRÉVENIR, RÉPRIMER ET PUNIR LA TRAITE DES PERSONNES, EN PARTICULIER DES FEMMES ET DES ENFANTS
Plus en détailComment remplir le formulaire de requête. I. Ce qu il faut savoir avant de remplir le formulaire de requête
FRA 2014/1 Comment remplir le formulaire de requête I. Ce qu il faut savoir avant de remplir le formulaire de requête Les griefs que la Cour peut examiner La Cour européenne des droits de l homme est une
Plus en détailLes Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24
Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 24 Commentaire de la décision n 2007-557 DC du 15 novembre 2007 Loi relative à la maîtrise de l immigration, à l intégration et à l asile Déposé sur le bureau
Plus en détailMemo BATL : la nouvelle loi sur la régularisation fiscale
Memo BATL : la nouvelle loi sur la régularisation fiscale Dans le cadre de ses objectifs, la BATL souhaite collaborer à une législation efficace et de qualité qui soit applicable dans la pratique du droit
Plus en détailGuide de la pratique sur les réserves aux traités 2011
Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de
Plus en détailLE DOCUMENT DE MONTREUX
LE DOCUMENT DE MONTREUX sur les obligations juridiques pertinentes et les bonnes pratiques pour les États en ce qui concerne les opérations des entreprises militaires et de sécurité privées pendant les
Plus en détailConvention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui?
81 rue du pré Catelan 59110 La Madeleine Tél : 03 20 39 33 47 Fax : 03 20 63 92 21 lille@valoxy.fr www.valoxy.fr Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui? Attention aux prestations de
Plus en détailContrat d interface pour l enregistrement et la gestion des noms de domaine qui dépendent du domaine ".ch" et ".li" conclu entre
Contrat d interface pour l enregistrement et la gestion des noms de domaine qui dépendent du domaine ".ch" et ".li" conclu entre SWITCH Werdstrasse 2 8021 Zurich Suisse ci-après registre et Partie2 Personne
Plus en détailÀ propos du régime de surveillance financière au Canada
Commissariat à la protection de la vie privée du Canada Office of the Privacy Commissioner Of Canada À propos du régime de surveillance financière au Canada Mémoire du Commissariat à la protection de la
Plus en détailQuel cadre juridique pour les mesures d investigation informatique?
Quel cadre juridique pour les mesures d investigation informatique? Les Matinales IP&T Fabienne Panneau Avocat Counsel 12 mai 2011 Introduction Constat : la recherche d informations sur un serveur informatique
Plus en détailLa réforme du permis de construire
La réforme du permis de construire Les textes de la réforme Les textes de la réforme L ordonnance du 8 décembre 2005 relative aux permis de construire et aux autorisations d urbanisme Le décret du 5 janvier
Plus en détail1 - Les conditions légales et réglementaires
LES REMPLACEMENTS 1. Les conditions légales et réglementaires 2. Formalités diverses - obligations 3. Responsabilités du médecin remplacé et du médecin remplaçant 1 1 - Les conditions légales et réglementaires
Plus en détailRÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME
INFORMATIONS JURIDIQUES J 14 Mutuelle des architectes français assurances OCTOBRE 2007 ANNULE ET REMPLACE LA FICHE J 14 DE FÉVRIER 1998 RÉFORME DES AUTORISATIONS D URBANISME La réforme des autorisations
Plus en détailProblématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui?
13 décembre 2012 Problématiques cross-border : comment démarcher un client fiscalisé et comment communiquer avec lui? Conférence Academy & Finance du 13 décembre 2012 Alexandre de Senarclens ads@oher.ch
Plus en détailLa Carpa, outil d auto-régulation de la profession d avocat et de lutte contre le blanchiment d argent
La Carpa, outil d auto-régulation de la profession d avocat et de lutte contre le blanchiment d argent Tout avocat peut être confronté, dans le cadre de son exercice professionnel, à la question du blanchiment
Plus en détailSi connu: la ou les langues que la personne recherchée comprend: Traits distinctifs / description de la personne recherchée:
MANDAT D'ARRÊT EUROPÉEN 1 Le présent mandat a été émis par une autorité judiciaire compétente. Je demande que la personne mentionnée ci-dessous soit arrêtée et remise aux autorités judiciaires aux fins
Plus en détailPROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION -----------------
LIBERTE EGALITE FRATERNITE REPUBLIQUE D HAITI PROPOSITION DE LOI PORTANT PREVENTION ET REPRESSION DE LA CORRUPTION ----------------- Vu la Constitution de la République ; Vu la Convention des Nations Unies
Plus en détailJe suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie?
FR Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie? B Informations pour les demandeurs d une protection internationale dans le cadre d une procédure de Dublin en vertu de l article 4 du Règlement
Plus en détailConvention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales
Convention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales 1986 Faite à Vienne le 21 mars 1986. Non encore en vigueur. Voir Documents
Plus en détailLe tribunal de la famille et de la jeunesse
Le tribunal de la famille et de la jeunesse Le tribunal de la famille et de la jeunesse (*) est opérationnel dans tout le pays depuis le 1 er septembre 2014. C est désormais ce tribunal qui est compétent
Plus en détailOCTOBRE 2010. Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles
Editeur responsable Liliane Baudart Direction générale de l aide à la jeunesse Boulevard Léopold II, 44 1080 Bruxelles PROTOCOLE DE COLLABORATION CONSEILLERS & DIRECTEURS AJ - EQUIPES SOS ENFANTS PROTOCOLE
Plus en détailSUPPLEMENT TRADING ELECTRONIQUE
ActivTrades Plc est autorisée et réglementée par la Financial Conduct Authority SUPPLEMENT TRADING ELECTRONIQUE Ces conditions supplémentaires doivent être lues conjointement avec les Contrats Clients
Plus en détailSURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE
Strasbourg, 21 juin 2012 pc-cp\docs 2012\pc-cp (2012) 7 f rév PC-CP (2012) 7 rév COMITÉ EUROPÉEN POUR LES PROBLÈMES CRIMINELS (CDPC) Conseil de coopération pénologique (PC-CP) CHAMP D APPLICATION ET DÉFINITIONS
Plus en détailLa participation au concours est gratuite et sans obligation d achat.
1. Objet du concours L Agence wallonne pour la Sécurité routière (ci-après dénommée «AWSR»), dont le siège social est situé au 14 Avenue Comte de Smet de Nayer, 5000 Namur, organise un concours via le
Plus en détail11 janvier 2003. DÉCRET-LOI n 003-2003 portant création et organisation de l Agence nationale de renseignements.
11 janvier 2003. DÉCRET-LOI n 003-2003 portant création et organisation de l Agence nationale de renseignements. TITRE Ier DE LA CRÉATION ET DE LA MISSION Art. 1er. Il est créé un service public doté de
Plus en détail«La prison est la seule solution pour préserver la société.»
«La prison est la seule solution pour préserver la société.» Nous n enfermons rien d autre en prison qu une partie de nous-mêmes, comme d autres abandonnent sur le bord de la route leurs souvenirs encombrants
Plus en détail