Tableau de bord de l industrie française
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- Bruno Desmarais
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1 Tableau de bord de l industrie française Mars 7 Document réalisé par Coe-Rexecode Groupe des Fédérations Industrielles - 98 Paris La Défense cedex - Tél Fax Coe-Rexecode - 9 avenue Hoche 758 Paris - Tél Fax
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3 Tableau de bord de l industrie française Pages Tendances Production et commandes industrielles Echanges extérieurs et consommation de produits industriels Facteurs de production Prix et trésorerie Performances comparées Tendances comparées de la production Facteurs de la compétitivité - Prix Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales...5 Position des produits français sur les marchés extérieurs GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page
4 Tendances Production et commandes industrielles 6 Production industrielle - (= moyenne mobile sur mois) Source : INSEE (y compris énergie et agroalimentaire) (97-6).% Opinion sur les carnets de commandes - (soldes d'opinion centrés réduits) Source : INSEE (industrie hors agroalimentaire) Commandes totales Commandes étrangères page GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
5 Tendances Production et commandes industrielles La production de l industrie a progressé de,8 % en moyenne annuelle en 6. Après un premier semestre durant lequel la croissance industrielle était plutôt vigoureuse, celle-ci s est repliée en fin d année. Exprimée en moyenne mobile sur trois mois, l activité industrielle se contracte ainsi de,6 % en glissement sur un an en janvier. A cette date, l indice de la production industrielle ne dépasse que de, % son niveau record qui avait été inscrit il y a six ans au printemps, signe de la langueur persistante de l activité industrielle depuis le début de la décennie. 4 Indice de la production industrielle () (=) Cette faible progression de l activité industrielle masque d importantes dispersions. L industrie automobile a connu une année très difficile durant laquelle son activité s est contractée de 7, % en moyenne annuelle. A l inverse, le secteur des biens d équipement a été favorisé par le redémarrage de l investissement productif qui s est opéré dans l ensemble de la zone euro. Son indice de production industrielle a gagné 5, %, une progression inédite depuis. L activité a cependant fléchi en cours d année dernière dans ce secteur. Les secteurs des biens intermédiaires, des biens de consommation et de l agro-alimentaire ont connu des progressions plus faibles (respectivement, %,,8 % et,5%) qui laissent leurs indices sectoriels de production à des niveaux encore inférieurs à leurs records du début. Le fléchissement de l activité observé durant la seconde partie de l année écoulée ne paraît pas devoir s amplifier. Il ne paraît pas non plus pouvoir d ores et déjà céder la place à un redressement rapide de l activité. Les industriels ont fait état d un regonflement de leurs carnets de commandes en février dernier, en particulier de leurs commandes à l exportation. Mais, leurs perspectives personnelles de production ne se sont pas redressées pour autant. Le scénario de la poursuite d une croissance molle paraît pour l heure le plus probable Opinion sur les carnets de commandes () - () y compris énergie et agroalimentaire (soldes d'opinion centrés réduits) Commandes totales Commandes étrangères () industrie hors agroalimentaire GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page
6 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels 5 5 Commerce extérieur - (milliards d'euros) Source : DGDDI Produits industriels (hors énergie, y compris IAA) 5 Exportations Importations 6 4 Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de 99 Achats de produits manufacturés par les ménages - (milliards d'euros ) Source : INSEE (97-6) % page 4 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
7 Tendances Echanges extérieurs et consommation de produits industriels La demande extérieure a soutenu l activité industrielle au cours de l exercice écoulé. En moyenne annuelle, les exportations industrielles ont progressé de 8,8 % en valeur en 6 mais leur progression a fléchi durant la seconde partie de l année. Exprimée en glissement sur un an en janvier 7, elle n est plus ressortie qu à hauteur de 4,5 %. Les exportations industrielles ont été favorisées par deux éléments exceptionnels qui joueront probablement moins en 7. D une part, les exportations d Airbus (4,6 % de l ensemble des exportations industrielles) ont atteint un niveau record en 6 en progressant de 4,9 % en valeur. Performance qu il sera difficile de rééditer lors des prochains exercices au regard des difficultés que connaît l avionneur européen. D autre part, la progression des ventes à destination de l Allemagne observée entre avril et novembre derniers explique à elle seule la progression de l ensemble des exportations françaises, toutes destinations confondues. Or, il est probable que les ventes vers l Allemagne aient été partiellement soutenues en 6 par des importations réalisées en anticipation de la hausse de la TVA opérée outre-rhin début janvier 7. L accroissement des exportations et des importations a été quasiment identique en 6 (8,5 % pour les importations industrielles), de sorte que le solde déficitaire des échanges industriels (CAF-FAB) est resté stable à hauteur de, milliards d euros en 6 après,9 milliards en 5. Achats de produits manufacturés par les ménages 9 Commerce extérieur industriel (*) (milliards d'euros - mm) (milliards d'euros ) Exportations Importations (*) produits industriels (hors énergie, y compris IAA) La croissance des achats de produits manufacturés en volume effectués par les ménages a été soutenue en 6. Elle a même de nouveau accéléré début 7, sous l effet principalement de la progression des achats de produits d équipement du foyer (+8,5 % en moyenne annuelle). Le dynamisme de la demande des ménages continue de soutenir en premier lieu les importations et non pas les producteurs installés en France. De la fin à la fin 6, la consommation des ménages en biens de consommation a progressé de %, les importations de ce type de biens ont avancé de 46 % et celle de la production sur le territoire de seulement 6 % GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page 5
8 Tendances Facteurs de production Emploi salarié dans l'industrie - (glissement annuel - %) Source : Ministère de l'emploi (hors intérim) 9 Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie (%) Source : Banque de France (98-6 : 84, %) Importations de biens d'équipement professionnels (milliards d'euros) Source : DGDDI Exclusion des DOM TOM du champ des échanges extérieurs à partir de page 6 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
9 Tendances Facteurs de production La stagnation de l activité industrielle n a pas permis d interrompre la contraction des effectifs industriels observée depuis. Au cours de l exercice écoulé, 65 emplois directs ont été perdus dans les entreprises industrielles de plus de dix salariés, soit,7 % des effectifs. Le rythme des pertes d emplois s est modéré par rapport aux exercices précédents : 87 emplois avaient été perdus dans l industrie en 5 et 4 en 4. Signalons également que les évolutions de l emploi salarié dans les entreprises de moins de dix salariés restent mal connues en cours d année. Or l évolution de l emploi dans ce type d entreprises a pu être favorisée par la mise en place des contrats nouvelle embauche à l automne 5. Le recours aux missions d intérim s est par ailleurs légèrement renforcé, le volume moyen journalier des missions d intérim dans l industrie ayant progressé de, % en moyenne annuelle en 6. Les industriels anticipent également une nouvelle modération des pertes d emploi dans le secteur ; le solde de leurs opinions sur l évolution prévue des effectifs s inscrivant désormais audessus de sa moyenne de longue période. - - Taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie (glissement annuel - %) (%) Emploi salarié dans l'industrie (*) - (*) hors intérim La stagnation de l activité n a pas non plus été propice à l investissement. Les dépenses d investissement en valeur effectuées dans l industrie manufacturière auraient stagné en 6 (+ % dans l ensemble de l industrie). Ce nouveau recul porte à près de % la contraction des budgets d investissement dans l industrie observée depuis. En revanche, une progression de 5 % des dépenses d investissement est attendue par les industriels pour 6. Rappelons cependant que par le passé de telles prévisions ont souvent fait l objet d amples révisions à la baisse. En outre, une telle progression resterait encore bien trop faible pour compenser six années d un recul continu de l investissement. Cette situation peut faire douter du potentiel d offre industrielle en cas de reprise. L inscription du taux d utilisation des capacités de production à un niveau proche de sa moyenne ne permet pas en outre d anticiper de vive accélération de l investissement Difficultés de recrutement dans l'industrie manufacturière (% des entreprises) GFI - REXECODE - Tableau de bord de l industrie française - Février 6 page 7
10 Tendances Prix - Trésorerie 6 Perspectives personnelles de prix - (soldes d'opinion - %) Source : INSEE Difficultés de trésorerie - (% des entreprises industrielles) Source : INSEE page 8 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
11 Tendances Prix et trésorerie Confrontées notamment à un choc de coût lié au renchérissement de leurs approvisionnements en matières premières, les entreprises du secteur de l industrie ont vu leur excédent brut d exploitation se contracter de,4 % au cours de l année dernière. Depuis le point haut touché en, l excédent brut d exploitation des entreprises industrielles opérant sur le territoire s inscrit en recul de,8 %. Cette contraction des résultats s explique d une part par le recul continu du taux de valeur ajoutée des entreprises industrielles. Ce taux, qui rapporte la masse de la valeur ajoutée réalisée par les sociétés à la valeur de leur production, est ressorti à 5,5 % en moyenne en 6, soit son plus faible niveau depuis 978 au moins. La hausse du coût des consommations intermédiaires (+4,9 % en 6) n a ainsi pas été répercuté en aval : le prix de la valeur ajoutée des branches industrielles a même reculé de, % au cours de l année écoulée. D autre part, en ressortant à hauteur de 9,5 %, le taux de marge des sociétés non financières du secteur industriel a retrouvé un niveau bas qui n avait plus été atteint depuis 99. Pour autant, le nombre d entreprises du secteur industriel se déclarant confrontées à des difficultés de trésorerie reste bas, de l ordre de % Perspectives personnelles de prix (soldes d'opinion - %) Difficultés de trésorerie (% des entreprises industrielles) Inaperçue au niveau des prix de la valeur ajoutée, la hausse des cours des matières premières s est toutefois traduite dans une accélération des prix à la production. Exprimés en glissement sur un an, ces derniers avancent de,9 % sur un an. En particulier, les prix à la production des biens intermédiaires avancent de 5, % sur un an en janvier. Les hausses de ces mêmes prix ont été plus contenues dans les autres secteurs. Elles ne se poursuivraient pas. Le solde des opinions des industriels sur l évolution prévue de leurs prix de vente ne progresse plus, en ligne avec la modération des prix des produits énergétiques GFI - REXECODE - Tableau de bord de l industrie française - Février 6 page 9
12 Performances comparées Production et commandes à l'industrie 6 Indices comparés de production industrielle - ( base en 99) Source : instituts nationaux de statistiques France / Union Européenne France / Etats-Unis France / Japon Enquête sur les carnets de commandes globaux (soldes d'opinion centrés réduits) Source : Direction générale des affaires économiques et financières - Commission européenne France Zone Euro Royaume-Uni Italie Allemagne page GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
13 Performances comparées Tendances comparées de la production Depuis le début de la décennie, l atonie de l activité n était pas l apanage de l industrie française. Elle s observait, peu ou prou, dans l ensemble de l économie européenne. L exercice 6 marque une rupture sur ce point. Parmi les douze pays membres de la zone euro à l exception de la Grèce, c est en France que la croissance de la production industrielle a été la plus faible. L indice de la production industrielle a en effet avancé de,8 % en moyenne annuelle dans l Union monétaire contre,8 % en France. Déjà distancée par l industrie allemande depuis 4, l industrie française a également vu l industrie italienne se ranimer en 6, celle-ci connaissant une progression de son indice de production de, %. L industrie allemande continue d afficher pour sa part des rythmes de progression très vifs : 5,6 % en 6. Début 7, l indice de la production industrielle allemand s inscrit ainsi à l indice 6,7 (pour une base fixée en ) quand celui de la zone euro ressort à 9,6 et celui de l industrie française à,5. Pour sa part, le décrochage de l activité industrielle en France vis-à-vis de l industrie américaine s est poursuivi en Indices comparés de production industrielle Enquête sur les carnets de commandes globaux Enquête (soldes sur d'opinion les carnets centrés réduits) de commandes globaux (%) France / UE France / USA France / Japon France Zone Euro Le retard pris par rapport à l ensemble de l industrie européenne ne semble pas devoir être comblé rapidement. En dépit d une amélioration qui reste à confirmer, les opinions des industriels français sur le niveau de leurs carnets de commandes ont plafonné pendant l exercice 6 quand elles continuaient de s améliorer dans l ensemble de la zone euro. En particulier, l optimisme des industriels allemands ne se dément pas, le solde des opinions des industriels installés outre-rhin demeurant au voisinage de son niveau record. Le fait nouveau est que la bonne tenue de l industrie allemande a entraîné dans son sillage l industrie européenne, seule l industrie française restant encore en retrait. - - Royaume-Uni Italie Allemagne GFI - REXECODE - Tableau de bord de l industrie française - Février 6 page
14 Performances comparées Facteurs de la compétitivité - Prix 8 Ecart de prix à la consommation - (France=) Source : Coe-Rexecode Etats-Unis Japon Allemagne Royaume-Uni Italie Taux de change effectif du FF - (997=) Source : Rexecode 9 8 Réel Nominal page GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
15 Performances comparées Facteurs de la compétitivité Si l on ne considère que la composante du coût salarial, on peut estimer que la tendance à la dégradation de la compétitivité-coût de l industrie française vis-à-vis de ses concurrentes européennes, à l œuvre depuis plus de cinq ans, se modère. Au troisième trimestre 6, le coût salarial horaire en France est ressorti 4,9 % au-dessus du même coût dans l industrie européenne. Cet écart était de 4,4 % un an plus tôt et de, % en. Après avoir reculé de près de quinze points au cours des dix dernières années en défaveur de la compétitivité-coût de l industrie française, l écart entre le coût salarial horaire dans l industrie en France et en Allemagne ne se résorbe plus. Rappelons que l évolution des coûts salariaux horaires ne prend toutefois pas en compte les différences enregistrées en nombre d heures travaillées pas plus qu elle ne tient compte des évolutions des rythmes de productivité. La compétitivité de l industrie française vis-à-vis de ses concurrentes non européennes a en revanche pâti de la réappréciation de l euro contre le dollar et plus encore contre le yen observée le début de l année 6. L écart de coût salarial dans l industrie en France vis-à-vis du coût dans l industrie américaine et plus encore japonaise s est fortement accru en défaveur de l industrie française. Au troisième trimestre 6, le coût salarial horaire dans l industrie en France est ressorti à hauteur de, % du coût salarial horaire dans l industrie américaine Coût horaire de la main d'œuvre dans l'industrie manufacturière (France=) Taux de change effectif réel du FF (997=) Etats-Unis Zone euro Royaume-Uni Italie Source : Eurostat Allemagne Confrontées à l appréciation de leur taux de change effectif (+6,7 % depuis ), à une forte dérive du prix de leurs consommations intermédiaires (+,7 %) et de leurs coûts salariaux horaires (+, %), les exportateurs français ont ainsi été conduits à réaliser des efforts de prix substantiels pour limiter le recul de leurs parts de marché, les prix à la production sur les marchés extérieurs dans l ensemble de l industrie se situaient en décembre 6 au même niveau qu en Réel Nominal GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page
16 Performances comparées Part de marché en valeur dans les exportations mondiales* (%) 6 Etats-Unis 6 Allemagne Japon 9 8 France Royaume-Uni 4 Zone Euro Italie Autres pays de la zone euro Pays-Bas Belgique Espagne * 4 principaux pays exportateurs Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) page 4 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
17 Performances comparées Parts de marché de chaque pays dans les exportations mondiales L érosion continue des parts du marché mondial détenues par les exportations françaises depuis 999 se poursuit. Fin 6, cette part est tombée à 4,8 % contre 6, % en 998, soit un recul de %. Les fluctuations des changes expliquent en partie ce recul. Celui-ci apparaît toutefois bien moins prononcé dans le cas des exportations de la zone euro (y compris échanges internes à la zone euro) confrontées pourtant au même handicap associé à l évolution du taux de change de l euro. Ce recul se limite à 4,5 % sur la même période dans le cas des exportations européennes. 4 Part des exportations de chaque pays dans les exportations de la zone euro (en % des exportations de la zone euro) Allemagne A nouveau, c est donc surtout en comparaison des performances des autres pays européens que les exportations françaises sont des plus décevantes. Elles ne représentent plus que,5 % des exportations européennes en fin d année dernière contre 6,9 % en 998. Ce recul concerne tout autant les échanges au sein de la zone euro que les échanges avec les pays situés hors de la zone euro. Si la part des exportations françaises dans celles de la zone euro, toutes destinations confondues, avait été stabilisée à son niveau de 998, les premières auraient été d un montant de 469 milliards d euros en 6 contre 89 milliards observés, soit 4,5 points de PIB France Italie Ce recul de la performance relative des exportations françaises s observe en particulier vis-à-vis de l Allemagne. Début 7, elles ne représentent plus que 4, % des exportations allemandes contre 56, % en 998. La différence des structures de spécialisations sectorielle comme géographique reste trop faible pour expliquer une telle divergence de performances. L écart de la croissance de la demande mondiale adressée respectivement à l Allemagne et à la France entre 999 et 6 n explique qu environ 5 % de la divergence du volume des exportations des deux pays Espagne Belgique Pays-Bas GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page 5
18 Performances comparées Part des produits français dans les importations totales... de l'union Européenne Union européenne Allemagne, Italie, Pays-Bas, Belgique, Royaume-Uni, Espagne 6 des Etats-Unis du Japon 4 de quatre pays d'amérique Latine des quatre dragons (Corée, Hong-Kong, Singapour, Taïwan) Source : douanes nationales (calcul Coe-Rexecode) page 6 GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7
19 Performances comparées Position des produits français sur les marchés extérieurs Le taux de pénétration des exportations françaises recule sur la plupart des principaux marchés à l importation. Cette observation reste toutefois tributaire des évolutions des prix relatifs. La hausse des cours des matières premières observée depuis plusieurs années vient en effet gonfler la valeur des importations mondiales de sorte que le poids relatif des exportations des pays ne produisant pas ce type de biens à l échelle mondiale se trouve amoindri. Au delà de cette précaution initiale, le recul des parts de marchés à l importation de la France paraît particulièrement accusé sur le marché à l importation de l Union européenne à 5. Celle-ci est la destination d environ 6 % de l ensemble des exportations françaises. Fin 6, les exportations françaises vers l Union européenne à 5 ne représentaient plus que 7 % des importations de cette zone contre 9, % en 998. A titre de comparaison, le taux de pénétration des exportations allemandes sur la même zone a progressé de,9 à 4, % durant la même période. La part des exportations françaises dans les importations américaines s est de nouveau effritée en 6, ramenant le poids des exportations françaises sur le marché à l importation des Etats-Unis à son plus faible niveau depuis 97. Un même recul s observe sur le marché japonais depuis quatre ans. Ce constat s applique également sur l ensemble des zones émergentes. Les exportations françaises ne représentent plus que,5 % des importations latinoaméricaines et 5, % des importations des pays de l est (contre 5,7 % en ). En revanche, le recul régulier observé en Asie émergente au cours de la période 998 à a laissé place à une stabilisation de la part des exportations françaises, en raison principalement de la remontée des exportations d avions vers l Asie. La part des exportations françaises à destination de la Chine dans les importations chinoises a pour sa part progressé en 6 revenant à, % après être tombée à, % en Part des exportations françaises dans les importations... de l'union Européenne des Etats-Unis du Japon de sept pays d'amérique Latine * des pays de l'est (PECO + Russie) des pays d'asie en développement rapide ** GFI - Coe-Rexecode - Tableau de bord de l industrie française - Mars 7 page 7
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