Périnatalité Petite Enfance. Chiffres et repères Données 2009 / 2010

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1 érinatalité etite Enfance Chiffres et repères Données 2009 / 2010 Service de rotection Maternelle et Infantile (MI) - Edition 2012

2 Sommaire 1 Données sociodémographiques / p4 2 Données des certificats d issue de grossesse (CIG) / p5 3 Données issues des remiers certificats de santé (CS) / p6 Lieux d accouchement des femmes domiciliées en Seine-Saint-Denis Données concernant la femme enceinte Données concernant l enfant à la naissance 4 Données issues des certificats de santé du 9 ème mois / p9 5 Données issues des certificats de santé du 24 ème mois / p9 6 Couverture vaccinale / p10 7 Bilans de santé en école maternelle / p10 8 Repères sur des projets de prévention spécifique et d accompagnement des familles / p11 Réseaux périnatals de proximité / Allaitement / romotion de la santé bucco-dentaire / révention de l obésité des enfants / révention du saturnisme infantile / Accompagnement des familles ayant un enfant porteur de handicap Accompagnement à la parentalité / Empathie Modes d accueil

3 Edito Avec près de naissances par an, le taux de natalité de Seine- Saint-Denis est le plus élevé de France métropolitaine. Dans ce contexte, la prévention sanitaire et le développement des modes d accueil de la petite enfance sont une priorité pour le Conseil général de la Seine-Saint-Denis. A travers 117 centres de rotection Maternelle et Infantile (MI) de quartier et professionnels, le Conseil général de la Seine-Saint- Denis met en oeuvre d importants moyens humains et financiers pour le suivi de la santé des femmes enceintes, des nouveau-nés, des nourrissons, des jeunes enfants et des mères. Un partenariat de longue date avec l ensemble des professionnels de santé qui entourent la naissance permet, de plus, un travail en réseau sur tout le département. Réalisée grâce au recueil de données issues de l exploitation des certificats de santé des enfants nés en 2009 et 2010, la plaquette érinatalité et petite enfance : chiffres et repères présente les principaux indicateurs départementaux dans ces deux domaines. Elle fournit également des informations sur quelques programmes d actions dans le champ de la prévention et de la promotion de la santé mis en place par le service de rotection Maternelle et Infantile (MI). Je remercie tous les professionnels qui ont contribué à sa réalisation ainsi que tous ceux qui assurent au quotidien la protection maternelle et infantile en Seine-Saint-Denis.

4 1 Données sociodémographiques En 2010 la Seine-Saint-Denis est le 3ème département d Ile-de-France en population, le 6ème en France avec habitants (Source : Insee - Estimations de population). La progression démographique depuis 1999 est de 10,4% (7,5% en France métropolitaine). En 2010, le nombre de naissances domiciliées est de ; soit une augmentation de 12,8 % en 10 ans (4,1% en France métropolitaine). 52 langues et dialectes nécessitent le recours à l interprétariat. En 2010, le taux de bénéficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMUC) est de 10,9% (5,9% en Ile-de-France, 5,8% en France métropolitaine) (Source : IRDS). Le taux de familles monoparentales est de 20% (16% en Ile-de-France, 13% en France métropolitaine (Source : Insee 2008). FRANCE MÉTROOLITAINE ILE-DE-FRANCE SEINE-SAINT-DENIS FEMME DE 15 À 49 ANS * TAUX DE NATALITÉ ** 12,6 15,4 18,6 INDICATEUR CONJONCTUREL DE FÉCONDITÉ *** 1,98 2,02 2,42 LA SEINE-SAINT- DENIS A L INDICATEUR CONJONCTUREL DE FÉCONDITÉ LE LUS ÉLEVÉ DE FRANCE MÉTROOLITAINE * Source : Insee - Estimations de population, 2009(p). ** Naissances domiciliées pour habitants ; Source : Insee, état civil, *** l indicateur conjoncturel de fécondité (nombre d enfants qu aurait une femme tout au long de sa vie, si les taux de fécondité observés l année considérée à chaque âge demeuraient inchangés) ; Source : Insee, estimations de population et statistiques de l état civil, Le taux d activité féminine (de 15 à 64 ans) est de 68,2% versus 67,8% en France métropolitaine (Source : Insee, recensement de la population 2008). Au 31 mars 2011 on recense allocataires du revenu de solidarité active (RSA) (Source : Caisse d allocations familiales d Ile-de-France). MORTALITÉ INFANTILE En Seine-Saint-Denis le taux de mortalité infantile (5,0 ) est supérieur au taux national (3,7 ). Sur la période le taux de mortalité néonatale est de 3,6 versus 2,4 au niveau national et la mortalité post-néonatale est de 1,8 versus 1,2 (Source : Insee Etat-civil exploitation FNORS, ORS Ile-de-France, 2010). Dans le département, la majorité des décès, selon la Classification Internationale des Maladies (CIM 10), est liée aux «affections dont l origine se situe dans la période périnatale» 45,4% versus 48,7% au niveau national, les anomalies congénitales représentent 23,3% versus 21,7%, les symptômes et états morbides mal définis 16,9% versus 14,8%, les traumatismes et empoisonnements 0,9 %versus 2,3% et les autres causes 13,5% versus 12,5% (INSERM CépiDc ). Un travail d analyse sur la mortalité infantile et périnatale en Seine-Saint-Denis est actuellement en cours EVOLUTION DES TAUX DE MORTALITÉ INFANTILE DOMICILIÉE EN SEINE-SAINT-DENIS ET EN FRANCE METROOLITAINE (source INSEE) Décès d enfants de moins de 1an pour 1000 naissances domicilées 5,3 5,1 5,9 5,4 5,4 6,2 6,4 4,9 4,8 4,7 4,6 4,3 4,5 4, ,6 5,1 5,1 5,3 4,1 4,0 3,9 5,6 4,8 5,9 5,0 3,6 3,6 3,6 3,6 3,7 Taux mortalité infantile Seine-Saint-Denis Taux mortalité infantile France métropolitaine 4

5 Données des certificats d issue de grossesse (C.I.G) 2 Le CIG, spécifique au département de la Seine-Saint-Denis, est un certificat rempli pour tous les mort-nés à partir de 22 semaines d aménorrhée (SA) et/ ou 500 g de poids de naissance. L exhaustivité est de 100%. Le taux d autopsies réalisées est de 42.1%. EVOLUTION DES TAUX DE MORTINATALITÉ ENREGISTRÉE 27,3 % des décès sont des interruptions médicales de grossesse (IMG) dont le motif est dans 80,5% des cas une malformation fœtale (Source CIG de 2002 à 2009). * Depuis l application du décret du 20/08/2008 relatif aux modalités de déclaration des «enfants sans vie» à l état civil, les parents peuvent ou non déclarer leur enfant mort-né quelque soit le terme. Les taux de mortinatalité publiés par l INSEE ne peuvent plus être comparés à ceux des années précédentes et aux données internationales. Les données des CIG remplis pour tous les enfants nés sans vie dans le département permettent de mesurer le taux annuel de mortinatalité enregistrée et de le comparer aux données européennes EVOLUTION DES TAUX DE MORTINATALITÉ ENREGISTRÉE LE TAUX DE MORTINATALITÉ ENREGISTRÉ E EST STABLE EN SEINE-SAINT-DENIS (environ 300 mort-nés par an) 10,6 8,2 mort-nés pour naissances totales 12 10,8 11,9 10,9 8,9 9 9,1 9,4 9,3 11,6 11, * 12,5 Taux mortinatalité enregistrée Seine-Saint-Denis (C.I.G) Taux mortinatalité enregistrée France métropolitaine (INSEE) CAUSES DE DÉCÈS DES MORT-NÉS HORS INTERRUTIONS MÉDICALES DE GROSSESSE (IMG) (Source : CIG ) our 59,2 % des décès, une cause a été identifiée. > armi les causes fœtales, les principales sont les infections, les malformations, le RCIU isolé. > La principale cause placentaire est le placenta vasculaire. our 40,8% des cas aucune cause n a été identifiée mais seuls 34% des décès restent inexpliqués si on prend en compte uniquement les cas dont les données de l autopsie étaient disponibles. CAUSES DE DECES HORS IMG (Source CIG de 2002 à 2009) Sans cause 40,8 % Causes obstétricales 1,1 % Causes maternelles 8,2 % Causes fœtales 29,8 % Causes placentaires 20,1 % 5

6 3 Données issues des remiers Certificats de Santé 2010 (Source : CS 2010) LIEUX D ACCOUCHEMENT DES FEMMES DOMICILIÉES EN SEINE-SAINT-DENIS EN 2010 MATERNITÉS, SERVICES DE NÉONATOLOGIE ET DE RÉANIMATION NEONATALE DE SEINE- SAINT-DENIS 70,2 % des mères accouchent dans les 11 maternités du département 29,8 % hors du département dont plus de la moitié à aris H 6 NAISSANCES VIVANTES ENREGISTRÉES DANS LES MATERNITÉS DE SEINE-SAINT-DENIS EN 2010 source périnat-ars-idf H H H H H TYE NAISSANCES CH MONTREUIL III 3059 CH SAINT DENIS III 3006 CH AULNAY IIB 2475 HÔITAL JEAN VERDIER IIB 2408 LE RAINCY-MONTFERMEIL IIB 2021 HÔITAL RIVÉ DE LA SEINE-SAINT-DENIS IIB 2798 CLINIQUE DE L'ESTRÉE IIA 2267 OLYCLINIQUE VAUBAN I 1678 MATERNITÉ DES LILAS I 1614 HÔITAL EUROÉEN DE ARIS IIA 1364 CLINIQUE DU VERT GALANT I 917 CLINIQUE HOFFMANN (fermeture année 2010) I 30 TOTAL H Etablissement public Etablissement rivé Etablissement rivé participant au service public hospitalier Type I : Etablissements ayant une autorisation d activité en obstétrique Type IIA : Etablissements ayant une autorisation d activité en obstétrique et en néonatalogie Type IIB : Etablissements ayant une autorisation d activité en obstétrique et en néonatalogie dont soins intensifs Type III : Etablissements ayant une autorisation d activité en obstétrique et en néonatalogie dont soins intensifs et réanimation néonatale

7 3 En 2010, le taux d exhaustivité des CS est de 96,1 % avec un recueil systématique dans l ensemble des maternités du département des cer tificats des nouveau-nés transférés, des prématurés, des naissances multiples et des accouchements à domicile. DONNÉES CONCERNANT LA FEMME ENCEINTE (Sources : CS 2010 / Enquête Nationale érinatale : EN 2010) ÂGE MOYEN MATERNEL : 30,3 ans (EN 2010 : 29,7 ans) 38 ans 11,2% < 18 ans 0,4% ans 88,4 % Les données 2010 des naissances vivantes du département sont com parées à celles de l Enquête Natio nale érinatale 2010 ( incluant l en semble des mort-nés et naissances vivantes ). SUIVI DE LA GROSSESSE SSD 2010 % EN 2010 % 1 ÈRE CONSULTATION AU 3ÈME TRIMESTRE DM 3,1 % 1,9 1,2 RÉARATION À LA NAISSANCE DM 17,1 % 30,6 48 our les primipares 41,9 73,2 our les multipares 22,7 28,5 NOMBRE D ÉCHOGRAHIES < 3 DM 9,6 % 5,2 1,9 ARMI LES FEMMES AYANT EU UNE ÉCHOGRAHIE AU REMIER TRIMESTRE, 92,8% ONT EU UNE MESURE DE LA CLARTÉ NUCALE ACCOUCHEMENT : 85.6 % des femmes ont bénéficié d une analgésie en 2010 (DM : 3, 5 %) (EN 2010: 84,3 %). Spontané 66,9 % Césarienne 10,8 % Déclenché 22,3 % Voie basse spontanée 63,3% Césarienne 23,2 % Voie basse opératoire 13,5% DÉBUT DE TRAVAIL (source : CS 2010) DM : 5,8% MODE D ACCOUCHEMENT (source : CS 2010) DM : 3,9% 7

8 3 DONNÉES CONCERNANT L ENFANT À LA NAISSANCE (Sources : CS 2010 / EN 2010) En 2010, parmi les nouveau-nés vivants, 50,6% sont des garçons et 49,4 % des filles (DM : 0, 4%). 3,5% sont issus de grossesses multiples (EN 2010 naissances vivantes: 2,9%). 9,3% des nouveau-nés vivants sont hypotrophes (<10ieme percentile selon la courbe de Leroy Lefort) (N=2530) (DM: 1 %), parmi eux 16,2 % sont prématurés et 83,8 % sont nés à terme. SSD 2010 EN 2010 OIDS MOYEN 3267 ± 564,8 g ± 567,7 g DM 0,2 % OIDS < g 7,4 % 6,4 % OIDS < g 1,1 % 0,8 % TAILLE MOYENNE 49,3 ± 2,6 cm 49,2 ± 2,7 cm DM 3 % EN SEINE-SAINT-DENIS, 301 NOUVEAU- S ONT UN OIDS NÉS ONT UN OIDS ÉRIEUR INFÉRIEUR À 1 500G A 1 500g DONT 84 < À DONT 84 < A 1 000g g EVOLUTION DU TAUX DE RÉMATURITÉ SELON LE TERME DE NAISSANCE EN SEINE-SAINT-DENIS( < 37 SA ) % 6,0 5,7 6,0 6,0 6,1 6,7 6,3 0,71 0,82 0,78 0,76 0,82 0,9 0,7 0,22 0,23 0,28 0,25 0,3 0,3 0, ,2 0,9 0, TAUX DE RÉMATURITÉ : 7,4%(EN NAISSANCES VIVANTES : 6,6) SOIT 2017 NOUVEAU- NÉS DONT 309 SONT DE GRANDS RÉMATURÉS (<32SA) 20,4% DES RÉMATURÉS SONT HYOTROHES SA SA SA EVOLUTION DES LIEUX DE NAISSANCE DES GRANDS RÉ- MATURÉS ( < 32 SA ) DOMICILIÉS EN SEINE-SAINT-DENIS ET NÉS DANS UNE MATERNITÉ D ILE-DE-FRANCE (source : CS) % 9,7 12,4 77,9 21,7 11,9 66,4 18,5 4,8 76,7 23,3 5, ,3 6, ,6 20,8 5,2 7 18,4 16,7 2,6 80,7 TRANSFERT DES NOUVEAU-NÉS 10,8% des nouveau-nés sont transférés en 2010 (DM : 4,1%), (EN 2010:. 6,6%) 15,6% (437 enfants) sont transférés en réanimation néonatale, 68% (1903 enfants) en néonatalogie, 16,2 %(453 enfants) en unité kangourou (EN 2010 : 2,7%) et 0,07% en chirurgie. 53,3 % nouveau-nés transférés sont nés à terme et 46,7% sont prématurés N=226 N=253 N=270 N=262 N=283 N=308 N=256 N=306 8 type 1 type2 type3

9 Données issues des certificats de santé du 9 ème mois 4 Données issues des certificats de santé du 24 ème mois 5 Le taux de réception est de 60,5 % ; l analyse porte sur un échantillon de certificats tirés au sort. Le taux de réception est de 51,9 % ; l analyse porte sur un échantillon de 1467 certificats tirés au sort. 73,4% des certificats sont établis en centre de MI (DM : 37,9 %). Les enfants mesurent en moyenne 71,3 cm (DM : 0,7 %), et pèsent 9 kg (DM : 0,4 %), données compa - rables à la moyenne nationale. 40,2% des mères ont une activité professionnelle 6,4 % sont au chômage, (DM : 41, 2 %), 75,1 % des certificats sont établis en centre de MI. Les enfants mesurent en moyenne 87,5 cm (DM : 1,8 %), pèsent 12,8 kg (DM : 0,8 %), et sont dans la moyenne nationale. L IMC (Indice de Masse Corporelle) moyen est de 16,7 pour les garçons et de 16,5 pour les filles selon la courbe IOTF. ALLAITEMENT MATERNEL 81,3 % des femmes ont émis le souhait d allaiter en salle de naissance (DM : 34,6 %). 72,7 % des enfants ont été allaités (DM : 15,9%). INDICE DE MASSE CORORELLE A 24 MOIS ENTRE 1997 ET 2010, LE TAUX D ENFANTS AYANT UNE SURCHARGE ONDÉRALE (SUROIDS ET OBÉSITÉ) EST STABLE À 14,3% IOTF / INTERNATIONAL : TASK FORCE OBESITY, COURBE, DE RÉFÉRENCE INTERNATIONALE AR SEXE ) FILLE GARÇON SUROIDS IMC 18 IMC 18,4 OBÉSITÉ IMC 19,8 IMC 20 9

10 6 Couverture vaccinale (Sources : CS9 / CS24 et bilans de santé en école maternelle, moyenne section : BSEM 2009/2010) 7 Données issues des bilans de santé en école maternelle réalisés par le service de MI (année 2009/2010) La couverture vaccinale par le BCG reste très élevée malgré la levée de l obligation vaccinale de juillet La recommandation concernant le maintien de cette vaccination en Ile de France est bien appliquée en Seine-Saint-Denis. 52,3 % des enfants de 4 ans inscrits en école maternelle ont bénéficié d un bilan de santé en enfants ont bénéficié de dépistages visuels et auditifs dont avec une consultation médicale en présence de leurs parents. CS 9 e mois (N=1979) CS 24 e mois (N=1467) DIHTÉRIE-TÉTANOS, OLIOMYÉLITE, HAEMOH.INFLUENZAE B 3 injections 96,5 98,9 BSEM (N=12422) 3 injections + rappel 93,1 98,9 COQUELUCHE 3 injections 96,4 98,6 3 injections + rappel 92,6 98,9 HÉATITE B SURCHARGE ONDÉRALE ( DM 22,6%) % Obésité Surpoids 5,3 13,1 5,5 15,6 5,4 14,3 1 dose 78,4 Au moins 3 doses R.O.R. au moins 1 dose 95,3 98,8 2 doses 89,7 Garçons Filles Ensemble L IMC MOYEN EST DE 16,1 OUR LES FILLES ET 16,2 OUR LES GARÇONS. 19,7 % DES ENFANTS ONT UNE SURCHARGE ONDÉRALE, 5,4 % SONT OBÈSES (IOTF). B.C.G. 96,2 96,4 98,5 NEUMOCOQUE 2 doses 93,5 Au moins 3 doses 91,2 ND * *Non disponible DÉISTAGE AUDITIF 7,9 % des enfants ont une anomalie au dépistage par audio vérificateur. Le plus souvent ce sont des anomalies de transmission : bouchons de cérumens ou otites séreuses. DÉISTAGE VISUEL 20,3 % ont une anomalie au dépistage par le test CADET (Echelle d acuité visuelle de loin). DÉISTAGE DENTAIRE 8,8 % des enfants ont des caries non soignées (5,3% ont 1 à 2 caries et 3, 5 % en ont 3 et plus). DÉISTAGE DES TROUBLES DU LANGAGE Depuis 2009, les troubles du langage sont dépistés à l aide du test ERTL4. 10

11 Repères sur des projets de prévention spécifique et d accompagnement des familles 8 RÉSEAUX ÉRINATALS DE ROXIMITÉ Ces réseaux existent autour des cinq maternités publiques et sont en cours d organisation autour de certaines maternités privées. Leur objectif est d améliorer le suivi et la prise en charge des femmes enceintes et des nouveau-nés grâce à la formation des professionnels de la périnatalité et à la coordination des soins. arallèlement, le réseau NEF (Naître dans l Est Francilien) va bientôt regrouper la totalité des maternités du département et le Conseil général de Seine-Saint-Denis (service de MI) pour une meilleure cohérence des actions. ALLAITEMENT Des groupes de soutien à l allaitement, des séances de préparation à la naissance et à la parentalité ainsi que des groupes de paroles pour femmes enceintes existent dans un certain nombre de centres de MI. La formation de nouvelles sages-femmes de MI au diplôme de consultante en lactation permettra de poursuivre les consultations de soutien à l allaitement et d assurer la formation des professionnels du département. Un numéro d appel «Ecoute Allaitement 93» a été mis en place afin d écouter, d informer, d orienter et de répondre aux questions que se posent les femmes sur l allaitement. NUMÉRO D AEL ECOUTE ALLAITEMENT ROMOTION DE LA SANTÉ BUCCO-DENTAIRE Le programme de prévention bucco dentaire vise à renforcer la prévention des caries par des mesures d hygiène bucco-dentaire et alimentaire. La MI s inscrit dans cette démarche en direction des enfants et des familles en partenariat avec le Service départemental de la révention et des Actions Sanitaires (SAS) et les villes, notamment par des conseils aux parents, aux enfants et par la distribution d une brosse à dents lors de la consultation du 24 ème mois. RÉVENTION DE L OBÉSITÉ DES ENFANTS Le service de MI développe un programme visant à réduire la prévalence du surpoids et de l obésité des enfants par des actions de prévention auprès des parents et enfants fréquentant la MI, par la systématisation du dépistage et par l accompagnement des familles ayant un enfant en surcharge pondérale. ar ailleurs, le service de MI a participé au Comité départemental du Réseau de révention et de rise en charge de l Obésité édiatrique (REO). RÉVENTION DU SATURNISME INFANTILE Le saturnisme est une intoxication chronique grave par le plomb, à déclaration obligatoire depuis Le service de MI s est engagé dans une démarche de dépistage des enfants vivants dans un habitat ancien dégradé, dès enfants intoxiqués ont été repérés ; 27 enfants intoxiqués continuent à être suivis en 2010 et gardent des plombémies supérieures au seuil d intoxication fixé à 100 µg/l. ar ailleurs, de nombreuses femmes en âge de procréer habitent dans des logements à risque : il est donc nécessaire de poursuivre la sensibilisation des acteurs périnatals aux risques de l intoxication par le plomb chez la femme enceinte et à sa prévention. Une étude réalisée dans les 5 maternités publiques du département a mis en évidence d autres facteurs d intoxication pour la femme enceinte : l utilisation des plats à tajine (dont les peintures ou les vernis contiennent du plomb) et l utilisation du khôl (contenant du plomb). ACCOMAGNEMENT DES FAMILLES AYANT UN ENFANT EN SITUATION DE HANDICA Créé en 1983, l Instance de Médiation et de Recours promeut et soutient l accueil d enfants en situation de handicap dans les structures d accueil de la petite enfance et chez les assistantes maternelles. Elle soutient et accompagne les professionnels lors de réunions régulières avant l arrivée et tout au long du séjour de l enfant. Un partenariat est mis en place avec les services de soins qui suivent l enfant et veillent à son orientation à la fin de son accueil. arallèlement, un groupe de parole animé par des psychologues départementaux est proposé aux professionnels. 11

12 8 EMATHIE Le centre de MI «Empathie» propose un accompagnent aux familles endeuillées par la perte d un enfant lors d une mort inattendue de l enfant ou lors d une mort fœtale pendant la grossesse ou l accouchement. La prise en charge par les professionnels d Empathie (médecin, psychologue, puéricultrice) se poursuit souvent jusqu à la grossesse suivante, permettant à la femme de mieux vivre celle-ci. ar ailleurs, l équipe rencontre lors de ses visites à domicile, le conjoint, les enfants ou la famille élargie et apporte ainsi une aide et un soutien pour expliquer le décès de cet enfant. ACCOMAGNEMENT À LA ARENTALITÉ 50 lieux d Accueils arents-enfants en faveur du soutien à la parentalité sont ouverts aux familles du département dans les centres de MI, animés par des éducatrices de jeunes enfants et des auxiliaires de puériculture. our sensibiliser à la littérature jeunesse, des actions sont menées en partenariat avec le service culturel départemental et les bibliothèques municipales. Des lectures en salle d attente sont proposées par les équipes des centres de MI et un livre est également offert chaque année aux familles accueillies ainsi qu aux enfants des crèches. Des animations musicales interculturelles (chants et instruments de musique) sont partagées avec les parents et les enfants dans les salles d attente. LES MODES D ACCUEIL DE LA ETITE ENFANCE Le service de MI veille notamment à l accès et à la qualité des modes d accueil des enfants âgés de 0 à 6 ans (établissements et services d accueil des jeunes enfants, agrément, suivi et formation des assistants maternels). Depuis 2008, en partenariat avec la Caisse d allocations familiales et les villes, le Conseil général a mis en œuvre un programme de soutien à la création de 3500 places d accueil supplémentaires pour les tout-petits. Ce plan de relance, adopté en juin 2008 pour une période de trois ans, avait pour ambition de développer et de diversifier les modes d accueil de la petite enfance, mais aussi de simplifier les démarches des familles. Au 31 décembre 2011, environ 1800 places d accueil supplémentaires ont été créées en structures collectives et plus de 2000 places chez les assistants maternels. A ce jour, de nombreux projets de création de structures d accueil sont connus du service de MI et devraient voir le jour dès ar ailleurs, environ familles employant une assistante maternelle agréée pour l accueil de leur enfant de moins de trois ans perçoivent l Allocation Départementale de l Accueil du Jeune Enfant (ADAJE). Enfin, en lien avec la Caisse d allocations familiales, le Département a mis en place l Agence départementale pour le développement de l accueil individuel (ADDAI) dont la mission est de développer les modes d accueil innovants et atypiques ainsi que d améliorer l adéquation entre l offre d accueil individuel du jeune enfant et les besoins des familles.

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