Des par cours scolaires

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1 L en sei gne ment se con daire Des par cours scolaires La source L étude de la cohorte des élè ves de 6 e qui étaient présents à la rentrée sco laire dans les col lè ges pu blics a été réalisée à partir du fi chier BEA (Base Elè ves Académique) gérée par le Service Statistique Aca dé mique. Ce fi chier mis en place à par tir de 1993 dans l académie de La Réunion permet de suivre le par cours sco laire des élè ves de la classe de sixième à la ter mi nale. Sur les élèves entrés en 1994 en classe de sixième, 26 % sont sortis de la BEA en tre 1994 et Estce à dire qu ils ont ar rê té leur sco la ri té? Pas tout à fait : d après les ren sei gne ments sai sis par les éta blis se ments, 31 % de ces élè ves pour sui vaient des étu des à La Réu nion dont 18 % en apprentissage ; 13 % d entre eux pour sui vaient leur sco la ri té hors de l aca démie ; seulement 20 % d entre eux dé cla raient mettre fin à leurs études pour oc cu per un em ploi (2 %), re cher cher un emploi (2,5 %), suivre un stage pro fes sion nel (2,5 %) ou sans préciser le mo tif de fin d études (13 %). Les sortants de la BEA pour mo tifs divers (interruption d étu des pour ma ladie, décès ou cause inconnue) re pré sen taient 10 % des mo tifs de sortie ren sei gnés. Enfin un quart des sor tants de la BEA n a pas fait l objet d une saisie d in for ma tion par les éta blis se ments quant à leur mo tif de sortie. Lexique Cohorte : ensemble des individus ayant vécu un même évènement démographique au cours d une même période (la cohorte se confond avec la génération lorsqu il s agit des individus nés la même année. L enseignement se con daire mène environ la moitié des élè ves qui entrent en sixième jus qu à la classe de première sans re dou ble ment. Ceux qui op tent pour l enseignement professionnel, redoublent ou aban don nent leur scolarité, avaient déjà pour la plupart du re tard à l entrée en sixième. L origine so ciale joue un rôle dé ter mi nant pour l orientation et la réussite sco laire. Ce pen dant les fil les ont moins de retard et s orientent plus vers l en sei gne ment gé né ral. En 1994 il y avait un peu plus de élèves dans les classes de sixième des collèges pu blics. Près de 40 % d entre eux avaient déjà pris du re tard sur leur scolarité. Le retard scolaire est plus ac centué dans les mi lieux défavorisés qui forment près des deux tiers de la po pu la tion sco laire. Dans ces catégories so cia les, un élève sur trois a re dou blé une fois à l école pri maire et un sur six l a fait deux fois ou plus. Dans tous les milieux les garçons sont plus en re tard que les fil les. Que sont de ve nus, cinq ans plus tard, les élèves qui étaient en classe de sixième en 1994? Ceux qui n ont pas re dou blé sont ar ri vés soit en classe de première gé nérale ou technologique (26 %), soit en terminale BEP (18 %) ou encore en deuxième année de CAP (5 %). Au total, les élè ves ayant connu un cur sus sans re doublement représentent 48 % de la co horte. La moi tié des élèves is sus d un mi lieu so cial défavorisé ont déjà pris du retard en sixième. La majorité des élèves à l heure s orien tent vers le se cond cycle général, alors que les élèves en retard vont vers le cycle professionnel ou sor tent du sys tème sco laire pu blic. Pour 100 élè ves qui étaient en sixième en 1994, seulement 26 ont ac cé dé à une classe de pre mière générale ou tech nique sans re dou ble ment. Le détail par pro fes sion et ca té gorie sociale du chef de fa mille montre que ce sont les en fants d enseignants qui s orientent da van tage dans la filière gé né rale : les deux tiers des en fants d ins ti tu teurs et pro fes seurs ac cè dent à cette classe sans re dou ble ment. C est le cas pour moins de 15 % des en fants d inactifs ou de chô meurs. L orien ta tion sco laire des élè ves s avère très influencée par leur âge en classe de sixième. Les élè ves qui avaient onze ans ou moins en 1994 et qui donc n ont pas re dou blé dans le cycle élé men taire se sont di ri gés en ma jo ri té vers l en sei gne ment général et tech no lo gique, un tiers al lant vers l en sei gne ment pro fes sion nel. Les élè ves qui avaient douze ans, et avaient donc déjà re dou blé une fois dans le pri maire, ont plutôt opté pour l ensei gne ment pro fes sion nel ; seu le ment 10 % d entre eux conti nuent l en sei gne ment gé né ral et tech no lo gique ; en fin plus d un tiers de ces élè ves ont aban don né le col lège ou le lycée avant la rentrée Cer tains d entre eux se sont orien tés vers l apprentissage ou le lycée agri cole et d au tres ont aban don né leurs étu des. Les élè ves qui avaient treize ans ou plus, ayant redoublé au moins deux fois, ont aban don né pour une grande ma jo ri té le sys tème scolaire. Ceux qui ont poursuivi 14

2 largement prédéterminés dos sier Taux d accès en 1ère générale et tech no lo gique sans redoublement Selon la ca té gorie so ciale Cohorte d élè ves en sixième en 1994 Groupe de PCS code Pro fes sion et Ca té gorie So ciale (PCS) Insti tu teur et as si mi lé Professeur et assimilé Cadre de la fonction pu blique Cadre ad mi nis. et com mercial d en tre prise Pro fes sion li bé rale Pro fes sion in for ma tion, arts, spec tacle Chef d en tre prise de six sa la riés ou plus Ingé nieur cadre tech nique d en tre prise Effec tifs ère GT % 66,9 64,6 55,4 55,4 52,8 47,4 43,9 42,3 Gar çons 61,9 61,7 41,9 51,7 43,9 58,3 34,3 45,2 Fil les,3 67,9 76,9 59,6 63,4 28,6 59,1 38,1 Ecart FG 9,4 6,2 35,0 7,9 19,5 29, ,8 51,8 65,0 13, Re traite cadre, pro fes sion Intermédiaire Con tre maître, agent de maî trise Pro fes sion in term. ad mi nis tra tion, com merce, en tre prise Pro fes sion in term. admi nis tra tion fonc tion pu blique Pro fes sion in term. san té tra vail social Tech ni cien Cler gé, re li gieux ,0 56,0 53,0 49,4 48,2 46,4 33,3 52,9 45,9 42,3 45,2 32,6 39,0 25,0 69,0 65,8 61,9 54,1 67,2 55,6 50,0 24,8 7,1 16,1 19,9 19,6 8,9 34,6 16,6 25,0 Favorisé ,2 40,0 61,1 21, Employé ad mi nis tra tif d en tre prise Com mer çant et as si mi lé Artisan Empl. ci vil agent ser vice fon ction publique Re trai té ar ti san, com merce chef en treprise Employé de com merce Po li cier et militaire Agriculteur ex ploi tant Per sonnel ser vice direct aux par ti cu liers Re trai té agri cul teur exploitant ,0 41,0 39,4 34,7 33,3 31,9 30,8 24,6 21,7 19,2 42,3 34,7 27,5 26,1 33,3 25,2 31,9 17,1 14,7 7,7 60,0 50,5 51,3 44,2 33,3 39,7 29,7 32,6 29,9 30,8 17,7 15,8 23,8 18,1 0,0 14,5 2,2 15,5 15,2 23,1 Dé fi ni tions Le re grou pe ment des pro fes sions et ca té gories so cio pro fes sion nel les en quatre ca té go ries est cou ram ment uti li sé dans les études menées par la DPD (Direction de la Programmation et du Développement au Ministère de l Education Na tio nale) pour appréhender l échec scolaire et établir des indicateurs de per for mance des éta blis se ments scolaires. La ca té gorie sociale Très favorisée comprend les ca dres et professions li bé ra les, les pro fes seurs et ins ti tu teurs, les in gé nieurs, les chefs d en tre prise de dix sa la riés et plus, les professions de l information, des arts et du spec tacle. La ca té gorie Favorisée comprend les professions intermédiaires de la san té, du travail so cial, ad mi nis tra ti ves (de la fonc tion publique, du com merce ou des en tre pri ses), les tech ni ciens, les contremaîtres, les agents de maîtrise, les re trai tés cadres et pro fes sions intermédiaires et le cler gé. La ca té gorie ne com prend les agriculteurs exploitants, les artisans, les com mer çants, les em ployés (ad mi nis tra tifs, de com merce, ci vils), les agents de ser vice de la fonc tion pu blique, les policiers et mi li taires, le personnel de service direct aux particuliers, les retraités exploitants agri co les, artisans, com mer çants ou chefs d en tre prise. Enfin, la ca té gorie Dé fa vo risée com prend les ou vriers (qualifiés, non qualifiés, agricoles), les retraités em ployés ou ou vriers, les chômeurs n ayant jamais tra vail lé, les per son nes sans activité pro fes sion nelle ,7 25,0 41,2 16, Ou vrier qua li fié Re trai té em ployé et ou vrier Ou vrier non qualifié Ou vrier agri cole Non ren seignée (inconnue ou sans ob jet) Per sonne sans ac ti vi té pro fes sion nelle Chô meur n ayant ja mais tra vail lé ,1 23,8 19,1 14,3 16,5 14,4 12,5 19,5 17,9 13,6 8,0 13,8 9,5 7,5 32,5 31,9 25,3 20,8 18,9 19,7 17,8 13,0 14,0 11,7 12,8 5,1 10,2 10,3 Dé fa vo ri sé ,1 11,8 22,7 10,9 Toutes PCS ,5 19,4 32,0 12,6 15

3 L en sei gne ment se con daire leur sco la ri té ont été orientés vers l en sei gne ment pro fes sion nel (37 %). Seule ment 2 % d entre eux ont sui vi la filière générale. Audelà des retards sco lai res la dif fé ren ciation des parcours est très liée à deux variables bien connues : le milieu social et le sexe. Les enfants des milieux fa vo risés et très favorisés s orientent plutôt vers l enseignement gé né ral et technolo gique, tandis que les en fants des clas ses moyennes suivent dans une pro por tion moindre ce type de cur sus et sont at ti rés pour un tiers d entre eux vers le se cond cycle pro fes sion nel. Enfin, les en fants des mi lieux défavorisés sont orientés prin ci pa le ment vers la voie profession nelle que ce soit à tra vers une pour suite d étude dans le se cond cycle profession nel ou l apprentissage (élè ves sor tis de la BEA). Fil les et garçons ont des par cours sco lai res très dif fé rents Tout au long de leur sco la ri té, les filles ont moins de retard que les garçons : 54 % des fil les ont atteint la classe de première générale ou technologique ou la ter mi nale BEP ou la deuxième année de CAP contre 43 % pour les gar çons. Les garçons ont ten dance à aban don ner leur sco la ri té plus fré quem ment que les filles : 31 % des garçons sont sor tis de la base élè ves de l aca démie contre 20 % pour les fil les. Ensuite, les garçons choi sissent plutôt l enseignement profession Les gar çons abandonnent plus sou vent leur scolarité et choi sis sent plutôt l enseignement pro fession nel nel et les filles plu tôt l en sei gne ment gé né ral ou technique. Ain si sur 100 élè ves de sixième on trouve 32 filles contre 19 gar çons en pre mière générale ou tech no lo gique cinq ans plus tard ; 12 fil les pour 8 gar çons en se conde générale ; en BEP les pour cen ta ges sont très pro ches tandis qu en CAP les garçons sont un peu plus nom breux. Si le milieu so cial de l élève est le prin ci pal élé ment explicatif du par cours sco laire, à l intérieur d une même ca té gorie so ciale, on relève presque tou jours une meil leure réus site des filles par rap port Environ 60 % des élèves is sus de ca té go ries so cia les très fa vo ri sées accèdent à la première gé né rale, contre à peine 22 % dans les ca té go ries défavorisées. Les fil les y accèdent tou jours plus que les gar çons. aux gar çons. Ainsi, parmi les mi lieux dé fa vo ri sés le pour cen tage global d ac cès à la première générale et technologique est de 23 % pour les filles contre 12 % pour les garçons. Cet écart existe pour toutes les catégories so cia les, le dif fé ren tiel maxi mum concer nant les classes fa vo ri sées avec 21 points d écart : 61 % de fil les at tei gnent la première gé né rale ou tech nique contre 40 % seulement pour les garçons. A un ni veau plus dé tail lé, on peut re le ver que 77 % des fil les is sues d un milieu fa mi lial «cadre de la fonc tion publique» ac cè dent à la pre mière gé né rale ou tech nique sans re dou ble ment ; tan dis que les garçons is sus de ce même milieu n y parviennent qu à un pour cen tage de 42 %. L avantage des fil les est moindre dans les familles d ensei gnants (voir tableau page 15). Yvon CHEUNG CHIN TUN Le bac Déjà sé lec tion nés par leur par cours scolaire, les candidats au baccalauréat se répartissent entre les ty pes de bac et les séries selon leur origine so ciale. La série scien ti fique du bac général est la plus prisée par les ca té go ries favorisées, alors que les bacs tech no lo gi ques et profession nels regroupent une large majorité d élè ves is sus des ca té go ries sociales moyennes ou défavorisées. Dans toutes les séries, le taux de réus site est supé rieur en haut de l échelle so ciale. Les effets quan ti ta tifs de la démocratisa tion de l en sei gne ment se con daire se sont amplifiés de puis les années quatrevingts et l obtention du bac est de venue plus fréquente dans tou tes les ca té go ries so cia les. Pour tant les inégalités so cia les pè sent encore lar ge ment sur les chances de réus site au baccalauréat. Les différencia tions sociales apparaissent déjà dans le choix du bac et de la série pré sentée. Sur 100 candidats présents à l examen, 52 sont issus de la filière gé né rale, 31 de la fi lière tech no lo gique et 17 vien nent de la fi lière pro fes sion nelle. Envi ron candidats se sont présentés au baccalauréat à la ses sion Avec un taux de réus site moyen de 72 %, La Réu nion fait moins bien que la France métropolitaine (78,5 %). Ce pen dant, elle ar rive en tête dans les DOM avec La Martinique. Parmi les can di dats réunion La ma jo ri té des candidats fils d agri cul teurs, d ou vriers, de chô meurs ou d inactifs se présentent au bac technologique ou profes sionnel. 16

4 confirme l échelle sociale dos sier nais de la ses sion 1999, on retrouve un peu plus de candidats dont le père est sans ac ti vi té professionnelle que de can didats dont le père ap par tient aux caté gories «fa vo ri sées ou très favorisées» (respectivement 25 % et 23 %). Les en fants is sus de catégories so cia les mar gi nalisées éco no mi que ment sont donc bien présents à cette étape de validation de leurs ac quis scolaires. Pourtant la po pu lation des can di dats au bac est très dif fé rente de celle qui est entrée en sixième quelques années plus tôt. Elle com pre nait 38 % de fils d inac tifs et seulement 13 % d en fants de ca té go ries fa vo ri sées ou très fa vo ri sées. Selon la ca té gorie so ciale de leurs pa rents, les can di dats ne se présentent pas au même type de bac. Parmi ceux qui sont fils de «ca dres et pro fes sions in tel lectuelles su pé rieu res», huit sur dix se sont pré sen tés au bac gé né ral (le pour centage est même de 87 % pour les en fants de professeurs). Pour ces ca té go ries so cia les très favorisées, le choix du bac pro fes sion nel est une exception : la pro por tion de can di dats ins crits ne dé passe pas les 4 % et elle est pra ti que ment nulle pour les en fants de pro fes seurs. Pour la catégorie des pro fes sions in ter mé diai res, ce sont sept jeunes sur dix qui se présentent au bac général et à peine un sur dix au bac pro fes sion nel. Pour les en fants dont le père est ou vrier, retraité, ou chômeur n ayant jamais tra vaillé, la pro por tion se présentant au bac général se situe entre 40 % et 44 %. Pour les chô meurs n ayant jamais tra vaillé, contrairement à l ensemble des catégories, ce n est pas le bac gé né ral qui mo bi lise le plus de candidats mais le bac technologique (47 %). Les can di dats dont le père est sans activité, ou re trai té, s ins cri vent plus sou vent au bac pro fes sion nel (res pec ti ve ment 24 et 25 %). Plus de la moitié des candidats au bac gé né ral de ca té gorie so ciale favorisée se sont présentés à la série scientifique contre moins d un tiers parmi les défavorisés. Cette différenciation au niveau des fi liè res se décline en inégalités en core plus mar quées à l in té rieur du bac gé né ral, entre les séries «scientifique», «éco no mique et social» et «littéraire». Il y a une sorte de spécialisation sociale : les can di dats issus des ca té go ries les plus fa vo ri sées se présentent en majorité dans la série «scientifique» alors que ceux is sus des catégories défavorisées sont plus nom breux à choi sir la série «éco no mique et social». La spécialisation des Le taux d accès en ter mi nale Le taux d ac cès en terminale rapporte les entrées en classe de ter mi nale des jeu nes ayant entre 16 et 23 ans à l effectif des gé né ra tions concernées. Cet effectif est en core estimé, pour 1999 à par tir du re cen se ment de 1990, il faut donc le consi dé rer avec pré cau tion. Le taux d ac cès en terminale est de 57 % en 1999, en sta gna tion par rap port à l année pré cé dente, après avoir aug men té de 20 points entre 1990 et L écart avec la France mé tro po li taine n est plus que de 5 points. Taux de réus site se lon le type de baccalauréat et la catégorie so ciale Ca té gorie so cio pro fes sion nelle du père Bac Gé né ral Bac Tech no lo gique Bac Professionnel 1997 % 1999 % 1997 % 1999 % 1997 % 1999 % Très fa vo risée Fa vo risée ne e (41*) 73 (46*) (30*) 77 (58*) 69 * Nombre d ad mis Service Statistique Aca dé mique Les taux de réussite au bac sont d autant plus élevés que la catégorie sociale est favorisée, quelle que soit la série présentée. 17

5 L en sei gne ment se con daire sexes est tout aus si nette : seulement une fille sur trois est ins crite en série «scien tifique», contre deux gar çons sur trois. Au bac technologique, on retrouve plus souvent, au sein de chaque série, des candidats is sus des ca té go ries moyen nes et dé fa vo ri sées ; en ef fet, dès le dé part, ils sont plus nom breux à choisir ce bac que leurs camarades is sus de ca té go ries socioprofessionnelles plus fa vo ri sées. Par com pa rai son avec le bac gé né ral,il y a peu de différences dans le choix des différentes séries : en vi ron 60 % des candidats se présentent en séries scien ces et technologies tertiaires quelle que soit leur origine so ciale. La ré par ti tion par sexe est tout de même très diffé renciée puisque les filles se retrouvent presque toutes en série «tertiaire» ou «médicosociale» alors qu il n y a pra ti quement que des gar çons en «scien ces et technologies in dus triel les». L essentiel n est pas de se pré sen ter, il faut aus si réussir et les taux de réus site sont for te ment liés à la catégorie so ciale du can di dat. L in fluence de l ori gine so ciale est sur tout marquée au bac gé né ral. Les chan ces d obtenir son bac gé né ral sont d au tant plus élevées que le candi dat est issu d une ca té gorie plus fa vo risée. Un candidat au bac général a ain si 82 % de chances d ob te nir son di plôme s il est de ca té gorie so ciale très fa vo risée. Il n en a plus que 67 % s il est d origine sociale dé fa vo risée, soit un écart de 15 points. Même si l écart s est réduit par rapport à 1997, la ca té gorie sociale reste une va riable discriminante dans la réus site à l exa men. Au bac technologique, les can di dats is sus de ca té go ries très favorisées ont en core les meilleurs taux de réus site. Néanmoins, depuis 1997, un net rat tra page a eu lieu pour les ca té go ries moyennes et dé fa vo ri sées : elles ont maintenant autant de chan ces de réus site au bac technologique que les ca té go ries favorisées ( %). Au bac pro fes sion nel, les ré sul tats sont à relativiser compte tenu des effectifs peu importants pour les ca té go ries très fa vo ri sées et fa vo ri sées. L influence de l ori gine socioprofession nelle sur les chan ces de réussite est tout aussi per cep tible au ni veau des séries présentées au bac gé né ral. On ob serve une sorte de hié rar chi sa tion sociale des taux de réus site : les candidats is sus de catégories défavorisées af fi chent les taux les plus bas alors que ceux de caté gories très favorisées se positionnent en Près des deux tiers des can di dats au bac technologique se pré sen tent en série sciences et tech no lo gies ter tiai res. tête dans tou tes les sé ries. Les dif fé ren ces les plus nettes concer nent la série «scientifique» où le taux de réus site des can di dats issus de la ca té gorie très fa vo risée est de 81 %, alors qu il n est plus que de 60 % pour la catégorie défavo risée, soit un écart de 21 points. Non seu le ment, les can di dats is sus de caté gories très fa vo ri sées choisissent en ma jo ri té la série «scientifique», mais ils ont aus si le taux de réus site le plus éle vé. Pour les autres séries «éco no mique et so cial» et «lit té raire» les dif fé ren ces entre les deux extrémités de l échelle so ciale sont moin dres, mais elles restent tout de même de l ordre de 15 points en série «littéraire» et 14 en série «éco no mique et so cial». Sans prétendre to ta le ment éra di quer les iné ga li tés liées à des facteurs so ciaux ex té rieurs au sys tème éducatif, l Edu ca tion nationale s ef force de les di mi nuer. Elle accompagne l en sei gne ment de masse d une ou ver ture qua li ta tive axée sur les compétences scolaires de vant dé bou cher sur le choix de la meil leure série au bac pour chaque élève. Le pro jet de l Académie, pour les an nées 2000 à 2003 est d agir sur des domaines recon nus essentiels pour l amé lio ra tion des performances sco lai res, et no tam ment la maî trise des lan ga ges. Fabrice PAYET Les Sept mois après leur sortie du lycée pour entrer dans la vie ac tive, six jeu nes sur dix sont en core à la recherche d un em ploi. Les con trats d in ser tion, et notamment les em ploisjeu nes ont per mis de li mi ter le chô mage et de mettre le pied à l étrier à cer tains jeunes. Ils bénéficient peu aux jeu nes à faible qua li fi ca tion qui sont de plus en plus exclus du mar ché du tra vail. A tous les niveaux de for ma tion les fil les ont plus de dif fi cul tés. Chaque année l enquête «in ser tion dans la vie active» s adresse aux élè ves sor tis des cy cles tech no lo gi ques et pro fes sion nels des lycées (y com pris les BTS) pour faire le point sur leur situation. Tous ces jeu nes ne se présentent pas sur le mar ché du tra vail : 20 % poursuivent des étu des su pé rieu res, tout comme leurs condisci ples admis au bac général, et 10 % s orien tent vers l ap pren tis sage. Les au tres ten tent de s in sé rer dans la vie ac tive et leur premier contact avec le mar ché du tra vail est très dif fi cile. Au 1 er février 1999, sept mois après avoir quitté le lycée pour s orien ter vers la vie ac tive, six jeu nes sur dix sont en core à la recherche d un emploi. Par rap port à 1997, cette proportion a di mi nué tan dis qu aug men tait celle des jeu nes en si tua tion in ter mé diaire (contrats de qua li fi ca tion, d adap ta tion, d orien ta tion, con trats emploijeune et emploisolidarité). L uti li sa tion de plus en plus grande des mesures intermédiai res explique en partie le recul du chô mage par mi les ly céens qui s orientent vers la vie ac tive. 18

6 lycéens pié ti nent à la sortie Situations au 1er fé vrier 1999 des jeu nes lycéens et lycéennes (en %) Gar çons Fil les Sexe et ni veau de formation BTS IV V V bis BTS IV V V bis Emploi non aidé Si le chômage recule de puis 1997, c est en partie grâce aux emploisjeunes. Selon l enquête in ser tion dans la vie ac tive, 15 % des jeu nes oc cu pés en fé vrier 1999 en ont bé né fi cié. Parmi eux, on compte une large ma jo ri té de filles (68 %), la proportion de filles est en core plus forte au niveau na tio nal (74 %). La plupart de ces em ploisjeu nes ont été at tribués au ni veau bac ca lau réat ou bac ca lauréat plus deux ans. Compte tenu de ce ni veau de recrutement, les jeu nes ayant bé né fi cié d un emploijeune sont sen si ble ment plus âgés que l ensemble des sor tants : vingtetun ans contre dixneuf ans. Malgré cette mesure de grande am pleur ins taurée en oc tobre 1997, le chô mage continue de peser for tement sur les jeunes Réunionnais à la sortie du sys tème édu ca tif. Emploijeune 14, Service Statistique du Rec to rat : Enquête I.V.A Autre me sure d in ser tion 11, Chô mage Face aux difficultés d insertion profes sionnelle, le niveau de formation à la sortie de l école joue un rôle de plus en plus déterminant. Le ni veau de for ma tion structure les dé buts dans la vie ac tive : l ac cès à l em ploi est d autant meilleur que le di plôme est éle vé à la sortie du lycée. Pour les jeu nes qui sortent sans qualifi cation, le chômage se généralise. Leur situation s est for te ment dégradée de puis le dé but des années quatrevingtdix et la ten dance se pour suit sur les deux der nières années. En 1999, ils étaient 87 % à re cher cher un emploi alors qu ils n étaient que 79 % au premier fé vrier Même si le nombre de sor tants sans qualification (ni veau Vbis) n a ces sé de diminuer de puis 1990, la ré duc tion des offres d emploi à ce niveau, com binée à l élévation du niveau de for ma tion leur laisse peu de place sur le mar ché du travail. Les jeu nes qui sor tent avec un ni veau BTS sont les plus fa vo ri sés : par mi eux 39 % se déclarent en em ploi non aidé. Ils sont aus si beaucoup plus utilisateurs de mesures d insertion (25 %), en particu lier des emploisjeunes. Ils sont ain si moins sou vent au chô mage (36 %) que les jeu nes sortant avec un niveau infé rieur. Les ni veaux de for ma tion Par mi les élè ves qui ont quitté en 1999 le se cond de gré des lycées de l Education nationale, 59 % sont issus du ni veau IV, ils étaient 49 % en Le ni veau de formation s est amé lio ré entre 1990 et 1994, il est stationnaire de puis cette date. Les jeunes sans formation re pré sen tent maintenant moins de 2 % des sor tants des lycées. Il faut tou te fois y ajou ter les sortants des col lè ges, non étu diés ici. Niveau IV : niveau des jeu nes sor tant des classes de terminale (ici ter mi nale technologique et pro fes sion nelle) ou abandonnant leur sco la ri té en cours de formation de BTS sans avoir obtenu le di plôme (dans cette étude, il s agit des abandons en cours ou en fin de pre mière année de BTS). Niveau V : niveau des jeunes sortant de l année ter mi nale des cy cles de détermination de la voie pro fes sion nelle (Terminale de C.A.P., 2nde année de B.E.P., mention complémentaire) ou aban don nant la sco la ri té en classe de 2nde ou 1ère de ly cées. Niveau V Bis (sans qua li fi ca tion) : niveau des jeu nes sor tant de 3ème ou sortant en cours de formation pro fes sion nelle avant la classe de terminale C.A.P. ou B.E.P. Des condi tions plus difficiles pour les fil les La pro por tion de jeunes à la re cherche d un em ploi di minue avec l élé va tion du ni veau de for mation. A La Réu nion comme en mé tro pole, l enquête sur l in ser tion professionnelle des ly céens montre que la si tua tion des filles est sin gu liè re ment plus dif fi cile. A diplôme égal, les fil les ont plus de mal 19

7 L en sei gne ment se con daire L en quête L enquête I.V.A. (Insertion dans la Vie Active) donne une photographie de la si tua tion des jeu nes sept mois après leur sortie du lycée. Elle est pilotée au niveau na tio nal par le CEREQ (Centre d Etu des et de Re cher ches sur les Qua li fi ca tions) et la DPD (Direction de la Programmation et du Développement au ministère de l Edu ca tion na tio nale). Les éta blis se ments in ter ro gent par voie postale les élèves sor tis l année pré cé dente et éla bo rent des tableaux ré ca pi tu la tifs à par tir des ré pon ses obtenues, à l aide du logiciel IVA. Les don nées sont en suite trans mi ses au Service statistique aca dé mique et analysées. L enquête couvrait jusqu en 1995 un échan til lon de col lè ges et l en semble des lycées. Depuis cette date, les col lè ges ne sont plus in ter ro gés. Seuls les jeunes sortis de formations professionnelles cour tes ou longues, des clas ses de se con des et premières d enseignement gé né ral et tech no lo gique, de ter mi nale tech no lo gique et de BTS ont reçu un ques tion naire. Les terminales d enseignement gé né ral ne font pas partie du champ de l enquête car ils sont sup po sés pour suivre des études à l issue du bac. Lors de la dernière enquête, lycéens ont été interrogés et ques tion nai res ont été dé cla rés ex ploi ta bles (263 ques tion nai res inex ploi ta bles). Le taux de ré ponse est de 42,5 %, soit un taux meil leur que ce lui re le vé l année pré cé dente (38 %). que les gar çons à trou ver rapidement un emploi et sont plus sou vent chô meu ses qu eux (1). Ainsi, avec un ni veau BTS, un garçon sur deux se déclare salarié au premier fé vrier 1999 et seu le ment un quart re cherche en core un emploi ; chez les fil les, 37 % sont sa la riées et 38 % sont encore au chômage. Les me sures in ter médiaires sont par contre utilisées dans les mê mes pro por tions chez les deux sexes. Au niveau IV, les gar çons sont aussi plus favorisés que les fil les. Mais lorsqu ils ont un ni veau inférieur, les gar çons éprou vent autant de difficultés que les filles, avec toutefois un léger avan tage pour les garçons sor tis au niveau VBis. En plus du ni veau de for ma tion, l in ser tion des ly céens est en core influencée par le domaine de formation. Pour les sor tants de ni veau de BTS, l entrée dans la vie active est moins dif fi cile lorsqu ils sont is sus des formations re levant de la production, par rapport à ceux de même niveau qui vien nent du do maine des ser vices. L em ploi non aidé des BTS re pré sente 45 % dans la pro duc tion contre 38 % dans les services. Dans la pro duc tion, ils bé né fi cient aus si plus souvent de mesures intermédiaires. Ils sont ain si moins nom breux que leurs homologues des ser vi ces à rechercher un em ploi (27 % contre 38 %. (1) le service na tio nal est ex clu de ma nière à rendre per ti nente la com pa rai son. (*) Les sortants du sys tème édu ca tif après la ter mi nale d en sei gne ment gé né ral pour en trer dans la vie ac tive sont comp ta bi li sés dans cette case. L enquête I.V.A. qui nous permet de suivre les jeu nes sor tis des ly cées ne les in ter roge pas car ils sont sup po sés pour suivre des étu des. Envi ron élèves ont quit té les ly cées en 1999, plus d un tiers d entre eux pour sui vent des étu des su pé rieu res à La Réunion, 7% s orientent vers l apprentissage et un peu moins de 2% effectuent leur ser vice mi li taire. Les autres, s ils ne poursuivent pas d étu des en mé tro pole, ten tent de s in sé rer sur le marché travail. 20

8 Les condi tions d in se rtion sont moins dif fi ci les pour les BTS is sus des for ma tions in dus triel les que pour ceux ve nant du domaine des services. A l intérieur de chaque sec teur de for ma tion, les conditions d insertion dé pen dent aussi de la spécialité. Dans le do maine de la pro duc tion, ce sont les spé cia li tés Génie civil, cons truc tion, bois et, dans une moindre me sure, les spécialités des Transformations qui sont fa vo ri sées. Dans le domaine des services, c est la spécialité Services aux personnes qui conserve un avan tage, suivie de la spé cialité Echanges et ges tion. Cette der nière rassemble 57 % des sor tants de BTS. Les jeunes qui tra vail lent Parmi les jeunes qui tra vail lent sept mois après leur sortie du lycée, seule une pe tite ma jo ri té a un em ploi non aidé. Parmi eux la part des con trats tem po rai res (CDD) est deux fois plus forte que celle des em plois stables (CDI). Si l on com pare la ré par ti tion des CDI et des CDD par niveau, ce sont les ti tu lai res du bac ca lau réat et du BTS qui bé né fi cient le plus souvent de ces formes de contrats. Les disparités se lon le niveau de diplôme sont surtout mar quées pour les em bau ches sur CDI : pour ces con trats un peu plus de huit jeu nes sur dix ont au moins un niveau IV, pratiquement un jeune sur deux est ti tu laire d un BTS. Pour les jeu nes sans qua li fi ca tion, les CDD et les CDI sont l ex cep tion. Les contrats d in ser tion concer nent 45 % des jeunes qui ont pu trouver un emploi à la sortie du lycée ; il s agit d emplois jeu nes, de con trats de qua li fi ca tion, de con trats em ploi solidarité ou au tres... Au premier février 1999 les em ploisjeu nes concernent déjà 15 % des lycéens qui tra vail lent. Par mi eux un peu plus d un sur deux possède un niveau BTS. Les con trats de qua li fi ca tion se po si tion nent en se conde po si tion (14 %). Alors que ces con trats s adres sent en prio ri té aux jeu nes sans qua li fi ca tion, ce sont les ba che liers qui en ont bénéficié le plus, et, dans une moindre me sure, les jeu nes de ni veau V. On peut pen ser que les diplômés les utilisent sou vent comme complément de formation, ce qui laisse évidemment moins de chan ces aux jeu nes sans quali fi ca tion. Dans l ensemble, on retient que les quel ques mois qui sui vent la sortie du sys tème éducatif se révèlent in suf fi sants pour trouver un emploi. L uti li sa tion de plus en plus grande des me su res in ter mé diai res comme moyen d in ser tion amène à pen ser que la pé riode d in ser tion est un pro ces sus long et complexe, qu une en quête de che mi ne ment pour rait décrire avec plus de pré ci sion. Fabrice PAYET Les au teurs du dossier Yvon CHEUNG CHIN TUN est res pon sable du ser vice sta tis tique académique. Fabrice PAYET est char gé d étu des au service statistique aca dé mique. Bi blio graphie Trois in di ca teurs de performance des lycées, Bac ca lau réat gé né ral, technologique et professionnel 1997 ré sul tats lycée par lycée Les dos siers d Edu ca tion et Formation n 98 DPDMEN mars 1998 sur internet pour les sessions 1998 et Note d in for ma tion du Ministère de l édu ca tion na tio nale (juin) L in ser tion pro fes sion nelle des jeu nes lycéens (situation au 1er février 1997) par Isa belle HATRISSE et Chris tine REBIERE, Di rec tion de la Pro gram ma tion et du Dé ve lop pe ment (5 pa ges). For ma tion et éco nomie éco nomie de La Réunion n 85 septembreoctobre Un élève sur deux vise le bac et for ma tion et mo bi li té sociale éco nomie de La Réunion n 90 juil letaoût Mobilité so ciale : la part de l hé ré di té et de la formation Economie et Sta tis tique n 306 INSEE 1997 internet : ca tion.gouv.fr/ival/ ou le mi ni tel : 3615 EDUTEL code IVAL Con trats de tra vail des sor tants de lycées selon le ni veau de diplôme au 1er fé vrier 1999 ni veau de for ma tion V Bis V IV BTS To tal Emploi non aidé dont CDI dont CDD dont au tres 4,3 0 3,4 15,6 25,4 18,2 28,7 28,6 34,1 32,9 33,2 38,6 36,2 48,9 34,7 17,2 54, ,5 8,3 Emploi aidé dont CA dont CQ dont em ploi jeune dont au tres 4 4,4 0 4,5 37,9 34,1 16,9 62,3 34,2 49, ,9 12,1 51,1 9,2 45,2 1,6 13,6 14,9 15,1 CDI : Con trat à durée in dé ter minée CDD : Con trat à durée dé ter minée Au tres : re groupe les em plois Installé à son compte, Aide fa mi lial et Enga gé dans l armée CA : Con trat d adap ta tion (struc ture par niveau nonsi gni fi ca tive) CQ : Con trat de qualification Autres contrats d in ser tion : d orientation, CES, CIA. 21

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