P A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1
|
|
- Lucille Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les instruments de la politique commerciale - tarifs: source de revenu et protection des industries nationales -pécifiques : montant fixe par unité de bien importé (exemple: 100 par voiture) -Ad-valorem: fraction de la valeur du bien (10% du prix d une voiture) - barrières non tarifaires: -uotas d importations, d exportations, accords volontaires d exportation, barrières réglementaires, administratives Analyse en équilibre partiel (un seul marché) -2 pays : Nation (importateur), Etranger () (exportateur) -rix d autarcie du bien plus élevé dans Nation - C, pas de coût de transport -érivation de la courbe de demande d importation de Nation: import = demande - offre - courbe d offre d exportation de Etranger: export = offre - demande -Équilibre mondial: demande offre = offre - demande - ou : demande + demande = offre + offre A 1 M
2 X 1 A M X W W roit de douane spécifique: X W M W
3 -Avec le droit de douane le prix dans Nation est - L offre de Nation augmente et la demande de Nation diminue: la demande d importation diminue - l offre d exportation doit aussi diminuer à (nouveau montant des exportations et des importations - le prix hors tarif diminue : l offre de Etranger diminue, la demande de Etranger augmente - le prix pour les consommateurs de Nation augmente moins que le tarif t : une partie est absorbée par la baisse du prix dans Etranger -i pays petit (pas d effet sur l équilibre mondial): pas d effet sur le prix étranger et : = W + etit pays W aux effectif de protection (E) = tarif seulement si production seulement de bien finaux exemple: valeur d une automobile sur marché mondial = 8000 et valeur des composantes/pièces détachées = 6000 pays 1: protection assemblage secteur automobile droit de douane sur les voiture importées de 25% d où prix sur marché domestique: ( ) avant tarif: assemblage se fait si coût 2000 (VA) après tarif: assemblage se fait si coût 4000 (VA) E = 100% > taux de protection nominal de 25%
4 pays 2: protection secteur pièces détachées - tarif 10%; prix sur marché domestique: avant tarif: assemblage peut se faire si coût après tarif: assemblage peut se faire si coût 1400 E = - 30% (= -600/2000) V V E = V W W t A tc = t + A C A C V et V W valeurs ajoutées avec et sans protection t A et t C tarifs automobile et pièces détachées A et C prix (mondiaux) automobile et pièces détachées Coûts et bénéfices d un tarif: -Mesuré par l impact sur le surplus du consommateur, le surplus du producteur et le revenu du tarif pour le gouvernement -urplus du consommateur: montant du gain fait par le consommateur en faisant la différence entre le prix qu il aurait été prêt à payer et le prix effectivement payé - urplus du producteur: montant du gain fait par le producteur en faisant la différence entre le prix auquel il était prêt à vendre et le prix effectif (prix = coût marginal, donc gains pour les facteurs de production) urplus consommateur a 1 2 b 1 2
5 urplus producteur 1 2 d c 1 2 etit pays W a b c d etit pays (pas d effet du tarif sur W ) -erte surplus consommateurs: - (a + b + c + d) - Gain surplus producteurs: + a -Gain revenu gouvernement: x Import = ( - W ) x ( 2-2 ) = + c i valeur marginale d un gain ou d une perte d un groupe sont égales erte nette pour la société: - b d
6 grand pays W a b c d e grand pays (prix mondial diminue à ) Effet net = e b d c + e : revenu du tarif e : gain lié à l amélioration des termes de l échange e et d : pertes d efficience b : pertes de distorsion de production (trop grande quantité produite, mauvaise allocation des ressources, coût marginal trop élevé) d : pertes de distorsion de consommation (trop faible consommation) arif optimal unilatéral (sans rétorsion) pour un grand pays Bien être national arif optimal arif prohibitif
7 Calcul du tarif optimal: pays importateur exploite son pouvoir de monoposone tel que coût marginal de la dernière unité importée = bénéfice marginal de cette dernière unité importée (p ) Coût total et coût marginal: C = IM = ( e IM IM = IM 2 ) 2 C IM = + IM = 1 = IM IM + IM ( 1+ 1/ eim ) élasticité prix de l offre étrangère de bien importé Bénéficie marginal = coût marginal donc = (1 + t) = t = 1/ e IM ( 1+ 1/ eim ) tarif optimal tend vers zéro quand pays devient petit c est-à-dire que prix étranger ne change pas avec changement d importation du pays valable que en l absence de représailles de l autre pays Les consommateurs gagnent! erte pays exportateur Mais le pays perd dans son ensemble: Voir le débat sur l impact des tarifs sur les importations agricoles des V W f g e h Consommateurs: +f roducteurs: -f-g-e-h erte nette: -g-e-h erte mondiale: -b-d+e-g-e-h=-b-d-g-h
8 Guerre commerciale entre deux grands pays appliquant le tarif optimal sur leurs importations UE Libre-échange arif optimal U U UE U UE Libre-échange arif optimal dilemme du prisonnier équilibre de Nash : ( -5, -5) équilibre de areto (négociation): ( 10, 10) Évaluation empirique du coût: cas petit pays (prix mondial inchangé), tarif ad-valorem t Effet net = b - d b = 1/2 ( - W ). ( 2-1 ) = 1/2 t W ( 2-1 ) d = 1/2 ( - W ). ( 1-2 ) = 1/2 t W ( 1-2 ) erte nette = N = b + d = 1/2 t W IM N/IB = 1/2 t W IM/Y IM W élasticité prix demande d importation = =ηim IM tw donc: N/IB = 1 2 W IM t η IM 2 Y rotection d autant plus coûteuse que: - t droit de douane élevé - importations (sans droit de douane) représentent une part importante du IB : WIM Y - élasticité prix des importations est élevée WIM η IM = 5 = 0,25 t =0,20 Y coût: 0.5(0.2)(0.2)50.25= 2,5% du IB
9 W a b c d + effet du «rent seeking»: le tarif crée une rente pour les producteurs, ils sont prêts à dépenser jusqu au montant a pour garder le tarif (lobbystes, corruption etc ) Coût supplémentaire: a Études empiriques sur le coût des mesures protectionnistes dans les pays industrialisés 1. Hufbauer et Elliot (1994): États-Unis coût de la protection (21 secteurs étudiés) pour le consommateur: 70 Mds $ ou 1,3% du IB; Coût par emploi sauvé = $ 2. Messerlin (2001): UE coût de la protection (22 secteurs étudiés) pour le consommateur européen = 90 Mds ou 6% du IB UE (IB espagnol) - taux effectif global de protection (incluant l équivalent tarifaire des barrières non tarifaires mais pas les barrières réglementaires): 12% pour l UE (plus élevé que d autres études) Grosses différences entre secteurs: sucre: 117%; produits laitiers (104%); engrais (33%); habillement (31%); automobiles (17%); papier journal (7%) Coût par emploi sauvé (3% du total des emplois) = (10x le salaire moyen dans ces secteurs) - coût élevé de la protection, coût «dispersé», autres moyens pour sauver ou créer des emplois
10 ubside exportation: grand pays W a b c d e f g exportations ubside aux exportations pour un grand pays (prix mondial diminue à ) Consommateurs: - a - b roducteurs: + a + b + c Coût du subside: - (b + c + d + e + f + g) erte nette = - (b + d + e + f + g) Autre possibilité: transfert forfaitaire du montant: a + b + c aux producteurs; pas de perte d efficience et de termes de l échange Cas d un petit pays: perte nette = - b - d ubside exportation = prix garanti, le cas de la AC; Equivalent subside = garanti - garanti Coût du prix garanti exportations
11 uotas d importation: restriction directe sur la quantité importée (via licences données aux sociétés importatrices) -importations limitées à M 2 < M (en libre échange) -rix payé par les consommateurs augmente comme dans le cas du tarif (au prix initial la demande excède l offre domestique plus les importations) -Équivalent tarif limitant les importations à M 2 -as de recette pour le gouvernement (sauf si licence vendue aux enchères aux exportateurs étrangers) - Rentes du quota va aux détenteurs de licence d importation (d où corruption pour acquérir la rente) - Uruguay Round: «tarifer» les quotas etit pays Montant du quota: M2 W Rente du quota: - Etat (si licences vendues) - Importateur (détenteur de licence) - Exportateur uota du sucre aux Etats-Unis, 1997 U =444 W = 222 a b c d M. tonnes
12 - quota: 3 millions de tonnes (11 8) - rix intérieur est le double du prix mondial - Estimation des courbes de demande et d offre: si libre échange et prix mondial ne change pas : importations augmenteraient à 10 millions de tonnes (12 2) erte consommateurs: a + b + c +d = 2,55 Mds $ (8,5/pers) Gain des producteurs: a = 1,11 Mds $ istorsion de production: b = 0,66 Mds $ istorsion de consommation : d = 0,11 Mds $ Rente pour exportateurs: c = 0, 66 Mds $ erte nette: b + c + d = 1, 43 Mds $ Accords volontaires d exportation: variante des quotas d importation où la rente va aux exportateurs étrangers - «volontaire» (en fait imposé sous la pression du pays importateur) - se sont beaucoup développés dans les années (acier, voitures, textile accord Multifibres etc ) - très coûteux pour le pays importateur car rente va aux exportateurs étrangers (selon études environ 2/3 du coût pour les consommateurs) - manière d acheter les gouvernements étrangers Les barrières «frictionnelles»: réglementations sanitaires, environnementales etc qui augmentent davantage le coût de production pour les étrangers que pour les producteurs nationaux exemple: En uède, toutes les voitures doivent avoir des essuis-glaces sur les phares; augmente plus le coût pour le voitures étrangères que pour AAB ou Volvo Lobby des constructeurs domestiques pour définir les réglementations en leur faveur - difficile de séparer réglementation pour l intérêt public/protectionnisme (bœuf aux hormones) - dans ce cas rente est «détruite» par l augmentation du coût de production
13 Barrière frictionnelle Coût total: b+c+d avec réglementation W a b c d +a si lobbying sur la réglementation arifs et quota en situation de monopole - comportement de monopole impossible en situation de libre échange: le monopoleur ne peut fixer son prix au dessus de W. roduit tel que MC = W < M ; F < M mais consommation: M < F - avec droit de douane. ermet d augmenter son prix à W < W + < M - avec un quota: restreint importations à donc demande au monopoleur = - = - prix plus élevé avec quota que tarif: avec tarif le monopoleur se comporte comme en C (mais avec prix plus haut); avec quota garde monopole (mais avec demande plus faible) Effet d un tarif en concurrence imparfaite MC MR M W + W F M F
14 Non équivalence entre quota et tarif en concurrence imparfaite MC W + = ou Imports avec tarif W MR L effet d un tarif en équilibre général (petit pays): - 2 biens (IM et EX) - tarif ne change pas leur prix relatif dans le monde: p= p IM / p EX p = (1+t) p: perçu les producteurs nationaux augmente augmentation de la production de IM (baisse de la production de EX) de F à revenu du tarif reversé aux consommateurs nouvelle droite de budget: passe par nouveau point optimal de production doit être valorisé aux prix internationaux équilibre commercial (aux prix mondiaux): p IM IM = p EX EX ou p IM (C IM - IM ) = p EX ( EX -C IM ) ou p = p IM / p EX = ( EX -C IM ) / (C IM - IM ) donc pente de la droite de budget = prix mondial onc: baisse des importations et des exportations, baisse de l utilité
15 EX (1+t) F U F U IM Équivalence des instruments de taxation tarif = taxe sur la consommation + subvention à la production si objectif est d augmenter la production du secteur des imports, mieux vaut faire une subvention à la production sans avoir l effet de distorsion d une taxe sur la consommation rincipe général d économie publique: l instrument le plus efficace pour atteindre un objectif est celui qui s attaque directement à cet objectif ourquoi utilisation des tarifs alors que plus coûteux en bien-être? - transfert moins transparent sur le plan politique EX (1+s) F U F U U IM
16 Les tarifs en présence d échec de marché: la théorie du second rang - analyse coûts-bénéfices d un tarif en terme de surplus des consommateurs et producteurs: hypothèse d absence d échec de marché: les surplus mesurent parfaitement les coûts et bénéfices - faux si échec de marché: l augmentation de la production peut permettre (en plus du surplus du producteur) de: - employer des travailleurs au chômage ou sousemployés - gains d expérience, de technologie i: - marché du travail ne fonctionne pas bien (chômage) - marché du capital ne fonctionne pas bien (le capital ne va pas dans les secteurs à haut rendement social, ne prend pas en compte les externalités positives induites dans certains secteurs) accroissement de la production permet un: bénéfice social marginal pas capturé par le surplus du producteur dans ce cas il existe toujours un tarif optimal non nul a b W c Bénéfice social marginal
17 tarif optimal: maximise c - a - b exemple de la théorie du second rang: non-intervention sur un marché n est optimale que si tous les autres marchés fonctionnent bien une création de distorsion sur un marché (le tarif) peut améliorer le bien-être en compensant les distorsions existantes sur les autres marchés (travail, capital) ici: problème dans le fonctionnement interne de l économie peut justifier l instauration de distorsions dans les relations économiques externes lus généralement, faux de dire que la théorie économique offre une argumentation sans exception (ou dogmatique) en faveur du libre-échange Critiques de ce type d argument: - argument du second rang valable que si augmentation de production ne peut être par un instrument plus direct - subvention à la production meilleur instrument : permet d éviter les distorsions crées pour les consommateurs rincipe général de politique publique: il faut corriger les échecs de marché de la manière la plus directe possible Les politiques commerciales sont des politiques de «second rang» pour corriger des problèmes internes sur le marché de l emploi, du capital etc ourquoi choix d instruments non efficaces plutôt que d instruments plus directs: économie politique - seconde critique: si vrai que analyse coûts bénéfices traditionnelle ne prends pas en compte certains bénéfices des tarifs, ne prends pas non plus en compte d autres coûts - exemple: études sur lien entre commerce et corruption, étude sur 75 pays (ransparency International) déterminants de la corruption Corruption = - 1,61 log (IB/hab) - 0,53 log (Import/IB) + 0,78 log (part des ressources nat./exports) + autres facteurs - coefficients significatifs - effet du commerce = 1/3 de celui d une de IB/hab
Section 2 - Les politiques commerciales : l'affirmation d'une aversion pour le protectionnisme visible
Section 2 - Les politiques commerciales : l'affirmation d'une aversion pour le protectionnisme visible Pour isoler l activité nationale des effets de la concurrence étrangère, l Etat va mettre en œuvre
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailLe coût des politiques climatiques. Double dividende ou coûts excessifs?
Introduction La première séance : Les justifications de la politique climatique. La dialectique court terme long terme : Intuition écologique contre «raison»économique. Taux d actualisation : Prix relatif,
Plus en détail4.1.2. Les instruments protectionnistes
4.1.2. Les instruments protectionnistes On classe les instruments protectionnistes en deux grandes catégories : les droits de douane et les nouveaux instruments protectionnistes (ou instruments non-tarifaires).
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détailConcurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détail(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier
Loi n 13-89 relative au commerce extérieur promulguée par le dahir n 1-91-261 du 13 joumada I 1413 (9 novembre 1992), telle quelle a été modifiée et complétée par la loi n 37-93 promulguée par le dahir
Plus en détailLes relations commerciales UE-Japon: la question des marchés publics
Les relations commerciales UE-Japon: la question des marchés publics Patrick A. Messerlin et Sébastien Miroudot Groupe d Economie Mondiale de Sciences Po A la recherche de la croissance: Quel avenir pour
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailLa Commission européenne
La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation
Plus en détailEvolution de la fiscalité des carburants
Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailTrading our health away. Prêts à échanger votre santé?
Trading our health away Prêts à échanger votre santé? Plan I. Est-ce grave docteur? 1. Tensiomètre : définir les concepts 2. Documentaire : une pêche d'enfer 3. Quiz : les raisons du libre-échange 4. Photo-langage
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailLACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012
Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser
Plus en détailExposé 1: Les aspects théoriques des relations monétaires internationales
Guide à l attention de l enseignant Jour 5: Les relations monétaires internationales H. Michelsen Université d'hohenheim Cette journée d étude a pour but de raviver les connaissances de base sur les relations
Plus en détail10 avantages du système commercial de l OMC
10 avantages du système commercial de l OMC Aussi bien pour l argent que nous avons en poche et les marchandises et les services que nous utilisons que pour l instauration d un monde plus pacifique, l
Plus en détailÉtude de cas sur les incitations fiscales
RÉALISER LE POTENTIEL D INVESTISSEMENTS RENTABLES EN AFRIQUE Séminaire de haut niveau organisé par l'institut du FMI en coopération avec l'institut multilatéral d'afrique TUNIS,TUNISIE,28 FÉVRIER 1ERMARS2006
Plus en détailPlan d action du PDC concernant le franc fort
Plan d action du PDC concernant le franc fort Vendredi 20 février 2015, à 16 h 45 Renseignements : Filippo Lombardi, président du groupe et conseiller aux Etats (TI), mobile : 079 620 64 65 Pirmin Bischof,
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailAutoconsommation d énergie photovoltaïque
Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires
Plus en détailFINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS. CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE»
FINANCEMENT DES RISQUES PROFESSIONNELS CHU de la TIMONE UE «ORGANISATION DE LA SECURITE SOCIALE» Intervenant : Jean-Jacques LANTONNET Expert Tarification AT-MP Direction des Risques Professionnels Caisse
Plus en détailOECD Insights International Trade: Free, Fair and Open? Les essentiels de l OCDE Le commerce international : Libre, équitable et ouvert?
OECD Insights International Trade: Free, Fair and Open? Summary in French Les essentiels de l OCDE Le commerce international : Libre, équitable et ouvert? Résumé en français Le commerce international influe
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailLa gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN
Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détailLes assurances sociales et le travail à temps partiel
Les assurances sociales et le travail à temps partiel Informations utiles à toutes les personnes qui travaillent à temps partiel et assument la garde d enfants ou l assistance de parents. Informations
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailLa régulation du commerce international et la PAC
www.supagro.fr La régulation du commerce international et la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques Quizz 1: la place du commerce agricole
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailDérivés Financiers Contrats à terme
Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New
Plus en détailECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU
ECONOMIE MANAGÉRIALE NESSRINE OMRANI ECOLE POLYTECHNIQUE NESSRINE.OMRANI@POLYTECHNIQUE.EDU 1 CHAPITRE 3: L ASYMÉTRIE D INFORMATION NOTIONS IMPORTANTES: Asymétrie d information Antisélection (ou sélection
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailFiche 8 : Libre-échange et protectionnisme
Fiche 8 : Libre-échange et protectionnisme Plan de la fiche 1. Notions de base 2. Problèmes économiques et sociaux 3. Théories et auteurs 4. Repères historiques La croissance économique dans le monde est-elle
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailCHAPITRE IV Les externalités
CHAPITRE IV Les externalités 6 avril 2011 Une externalité désigne une situation où un agent économique influe indirectement sur la situation d autres agents, sans qu ils n aient été consultés et touchent
Plus en détailL impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.
L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif
Plus en détailIIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003. François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND
IIème congrès du Réseau MONDER, 24-26 Novembre 2003 François MIRABEL * Jean-Christophe POUDOU * et Michel ROLAND *CREDEN-LASER, Université Montpellier 1 GREEN, Université Laval, Québec Introduction Partout
Plus en détailPeut on taxer les revenus du capital?
Peut on taxer les revenus du capital? observatoire français des conjonctures économiques centre de recherche en économie de Sciences Po www.ofce.sciences po.fr xavier.timbeau@ofce.sciences po.fr 01 44
Plus en détailMarchés, réseaux et politique de la concurrence. Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu)
Marchés, réseaux et politique de la concurrence Claude Crampes (claude.crampes@tse-fr.eu) Toulouse, avril 2015 2. Comportements anti-concurentiels 2.1. Choix stratégiques 2.2. Abus de position dominante
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailN 6 : EPARGNE SALARIALE
N 6 : EPARGNE SALARIALE Épargne salariale et rémunération périphérique Les dispositifs de l épargne salariale - Actionnariat salarié - Compte épargne temps - Participation - INTERESSEMENT - PEE PERCO -
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailCoûts de transfert de compte bancaire
LA MOBILITE BANCAIRE La concurrence ne peut fonctionner que si la mobilité du client est assurée. Avec 2 %, le marché français semble présenter un des taux les plus faibles d attrition au niveau des marchés
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailL Elasticité Concept et Applications Chapitre 4
L Elasticité Concept et Applications Chapitre 4 L Elasticité...... est une mesure de la réaction des acheteurs et vendeurs aux changements dans les conditions du marché...... nous permet d analyser les
Plus en détailEconomie Industrielle 06
Economie Industrielle 06 Structure de marché et pouvoir de marché Marc Bourreau Marianne Verdier Telecom ParisTech & Université Paris Ouest MB-MV (TPT-Univ. ParisOuest) Cours 06 : Structure de marché et
Plus en détailPlan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion
Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction
Plus en détailimmigration conséquences positives pour les assurances sociales
immigration conséquences positives pour les assurances sociales Fiche d information 4 : Assurances sociales L essentiel en bref : Seuls ceux qui cotisent aux assurances sociales peuvent bénéficier de leurs
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailCas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal
Cas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal Objectif : comprendre le rôle de l Etat dans l économie et son influence sur les décisions de production des entreprises. Introduction Théorie néoclassique
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailArgumentaires Contre
Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 13.095 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaires Contre Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l énergie. Initiative populaire
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailSécurité sociale. Votre couverture d assurance légale en Suisse. (Dernière mise à jour: janvier 2015) ASSURANCES SOCIALES EN SUISSE
sozialversicherungen der Schweiz ASSURANCES SOCIALES EN SUISSE Sécurité sociale. Votre couverture d assurance légale en Suisse. (Dernière mise à jour: janvier 2015) Prestations Assurance-vieillesse et
Plus en détail101 COMMENT EXPLIQUER LA MONDIALISATION DES ECHANGES?
CHAP 10 QUELS SONT LES FONDEMENTS DU COMMERCE INTERNATIONAL ET DE L INTERNATIONALISATION DE LA PRODUCTION? Introduction : 1. La mondialisation peut être définie comme l extension du capitalisme et de l
Plus en détailCOORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES
COORDINATION NON COOPÉRATIVE: MÉTHODES D ENCHÈRES Cours 6c Principe Protocole centralisé, un commissaire-priseur/vendeur (auctioneer) et plusieurs enchérisseurs/acheteurs (bidders) Le commissaire-priseur
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailNécessité d un «électrochoc» fiscal
Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses
Plus en détailLa fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse
La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailInstitut Informatique de gestion. Communication en situation de crise
Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un
Plus en détailTHEMES ABORDES : Les statuts possibles selon la forme juridique de la société
THEMES ABORDES : Les statuts possibles selon la forme juridique de la société : Assimilé salarié ou TNS Comparaison des deux statuts Les régimes facultatifs des TNS Le statut du conjoint du TNS Les statuts
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailREUNION D INFORMATION 30 JUIN 2008 LES RETRAITES
REUNION D INFORMATION 30 JUIN 2008 LES RETRAITES Synthèse CPI-CNBF (maj 17 avril 2008) Documents de travail : Comparatif CPI et CNBF 25 ANS et 30K Comparatif CPI et CNBF 35 ANS 65K avec produit de retraite
Plus en détailLES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE
LES GARANTIES DU REGIME CONVENTIONNEL DES CADRES DE LA PRODUCTION AGRICOLE Dernière mise à jour : avril 2010 CPCEA 1 2 Préambule Le régime conventionnel des cadres de la production agricole est institué
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailUniversité Senghor, 5-16 décembre 2004
Université Senghor Module de formation de base en économie et politique de gestion des ressources naturelles Université du Québec à Montréal (UQAM) Module de formation de base en économie et politique
Plus en détailSalaires AVS et Suva. Valable dès le 1.1.2011. Publié en collaboration avec l Office fédéral des assurances sociales
Salaires AVS et Suva Valable dès le 1.1.2011 Publié en collaboration avec l Office fédéral des assurances sociales Les présentes directives facilitent la déclaration des salaires à l AVS et à la Suva ainsi
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailL Organisation mondiale du commerce...
L Organisation mondiale du commerce......en quelques mots, l Organisation mondiale du commerce (OMC) est la seule organisation internationale qui s occupe des règles régissant le commerce entre les pays.
Plus en détailLES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME
LES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME Une note de Riviera Family Office Mise à jour : juillet 2004 Les principaux avantages fiscaux des valeurs mobilières Aucune imposition sous
Plus en détailDate du prélèvement Dénomination Montant
Nom du titulaire : Banque : Adresse : Horaires : Conseiller : Numéro de téléphone : RIB Code banque Code Guichet Numéro de compte Clé RIB Domiciliation IBAN BIC Date du prélèvement Dénomination Montant
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailRevendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!
Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailréforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14
réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détail013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R
2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a
Plus en détailDocument d études. direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Document d études direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Numéro 171 Mars 2012 Évaluation de l impact du revenu de solidarité active (RSA) sur l offre de travail Philippe
Plus en détailÉpargne et investissement. L épargne...
Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)
Plus en détailEstimation et interprétation des indicateurs de protection, d incitation et d efficacitééconomique de l économie marocaine
Public Disclosure Authorized R oyaum e du M aroc M inistère du Com m erce E xtérieur المملكة المغربية وزارة التجارة الخارجية Public Disclosure Authorized Public Disclosure Authorized Estimation et interprétation
Plus en détail