Alimentation saine, activité physique et image corporelle chez les jeunes

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1 Alimentation saine, activité physique et image corporelle chez les jeunes Résultats du Sondage sur la consommation de drogues et la santé des élèves de l Ontario, Introduction L adolescence est une période où les comportements sains sont adoptés. Or, une alimentation saine et un mode de vie actif sont essentiels à l amélioration de la qualité de vie et des facultés physiques, et contribuent à réduire le risque de souffrir d obésité et de plusieurs maladies chroniques. Cette fiche de renseignements vise à aider les professionnels qui travaillent auprès des jeunes à élaborer des programmes. Les données sur l alimentation saine, l activité physique et l image corporelle chez les jeunes d sont issues du Sondage sur la consommation de drogues et la santé des élèves de l Ontario (SCDSEO), mené au cours de l scolaire , puis à nouveau en Dans le cadre des SCDSEO, on a interrogé un échantillon aléatoire d élèves de la 7 e à la 12 e, inscrits dans des écoles catholiques et publiques. Ce sondage est effectué tous les deux ans depuis 1977, ce qui en fait le sondage en milieu scolaire toujours utilisé le plus ancien au Canada. Il a été mené à auprès d un échantillon représentatif de élèves en 2009, et de élèves en Il sera mené de nouveau en 2013 pour permettre un suivi des tendances au fil du temps. Faits saillants du sondage 2011 Près de 60 % des élèves d ont affirmé avoir déjeuné tous les jours au cours des cinq jours d école précédents. Quatre élèves sur cinq (80 %) ont indiqué avoir bu au moins une boisson sucrée au cours de la semaine précédente. Un peu plus d un élève sur dix (12 %) a mentionné en avoir bu une ou plus par jour. La moitié des élèves n avaient bu aucune boisson énergisante à haute teneur en caféine au cours des douze mois précédents. Peu d élèves (22 %) ont déclaré avoir fait les 60 minutes d activité physique recommandées par jour. Le pourcentage était un peu plus élevé chez les élèves de 7e et de 8e que chez ceux du secondaire. Près de la moitié (48 %) des élèves ont déclaré ne pas être actifs pendant leurs cours d éducation physique ou ne pas être inscrits à un cours d éducation physique. Chez les élèves de la 9e à la 12e, le pourcentage s élève aux deux tiers. Peu d élèves ont affirmé utiliser des modes de transport actifs comme la marche ou le vélo pour se rendre à l école (20 %) ou retourner à la maison (28 %). Trois élèves sur cinq (59 %) passent plus de deux heures par jour à regarder la télévision, à naviguer sur Internet ou à pratiquer toute autre activité devant un écran. Un élève sur cinq (21 %) a rapporté faire de l embonpoint ou souffrir d obésité. Environ le quart des élèves d se trouvent trop minces ou trop gros. Les deux tiers (65 %) ont répondu qu ils essayaient de contrôler leur poids en tentant de le maintenir, d en perdre ou d en prendre. 1

2 Alimentation saine Déjeuner Les élèves qui déjeunent chaque matin sont plus susceptibles de satisfaire leurs besoins nutritionnels quotidiens. Ils tendent également à avoir un meilleur rendement scolaire et une plus grande assiduité et sont moins enclins à avoir un surplus de poids. 2 On a demandé aux élèves combien de matins, au cours des cinq jours d école précédents, ils avaient déjeuné (plus qu un verre de lait ou de jus de fruits), que ce soit à la maison, sur le chemin de l école ou à l école avant le début des cours (Figure 1). Figure 1. Élèves d qui ont déclaré en 2011 ne pas avoir déjeuné au cours des cinq jours d école précédents, comparativement à 2009 et aux élèves du reste de l Ontario, et selon le sexe, le niveau scolaire, le statut socio-économique et le niveau d éducation du père. 35% 3 25% 15% 1 5% = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. ÉS éducation au secondaire, post sec. éducation postsecondaire, SS statut socio-économique. En 2011, 58 % (51 %, 64 %) des élèves d ont affirmé avoir déjeuné tous les jours au cours des cinq jours d école précédents, 14 % (11 %, 18 %) ont indiqué avoir déjeuné trois à quatre jours, 17 % (15 %, 19 %) ont déclaré avoir déjeuné un à deux jours, et 11 % (9 %, 15 %) ont rapporté ne pas avoir déjeuné au cours des cinq jours d école précédents. Les élèves d ont indiqué avoir déjeuné dans une plus grande proportion que ceux de l Ontario en général. Il semblerait que les garçons ont indiqué avoir déjeuné plus souvent que les filles. Aucune différence n a été observée entre les versions du sondage ou entre les élèves de 7 e et 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e. Les élèves issus de familles de statut socio-économique (SS) faible sont plus susceptibles que ceux issus de familles de SS plus élevé d avoir indiqué ne pas avoir déjeuné au cours des cinq jours d école précédents (21 % [14 %, 29 %] contre 9 % [6 %, 13 %]). Les élèves dont le père a fait des études postsecondaires sont moins susceptibles de ne pas avoir déjeuné au cours des cinq jours d école précédents que ceux dont le père n a pas dépassé les études secondaires (9 % [6 %, 12 %] contre 18 % [13 %, 25 %]). 2

3 Consommation de boissons sucrées La consommation de boissons sucrées, ne serait-ce qu une fois par semaine, accroît le risque de faire de l embonpoint ou de souffrir d obésité. 3 Une canette de 355 ml de boisson gazeuse contient l équivalent de 10 cuillères à thé de sucre, mais est dépourvue de vitamines, de minéraux et de protéines. On a demandé aux élèves combien de fois, au cours des sept jours précédant le sondage, ils avaient consommé une canette, une bouteille ou un verre de boisson sucrée, qu il s agisse d une boisson gazeuse ou de boisson sportive comme le Coke, le Pepsi, le Sprite ou le Gatorade, sans compter les jus de fruits (Figure 2). Figure 2. Élèves d qui ont déclaré en 2011 avoir bu au moins une boisson sucrée par jour au cours des sept jours d école précédents, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe et le niveau scolaire. 3 25% 15% 1 5% Ontario sans Filles Garçons 77e e et et 88e e 9e 9 e à 12e e = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Au total, 26 % (20 %, 33 %) des élèves d ont répondu avoir bu une boisson sucrée au cours des sept jours précédents, 34 % (30 %, 38 %) ont répondu en avoir bu de deux à quatre, 7 % (6 %, 9 %) ont répondu en avoir bu de cinq à six, et 12 % (9 %, 17 %) ont répondu en avoir bu une ou plus par jour. Un peu moins du quart (21 % [17 %, 24 %]) des élèves d ont répondu n avoir consommé aucune boisson sucrée au cours des sept jours précédant le sondage. Les garçons ont été plus nombreux que les filles à affirmer avoir consommé de cinq à six boissons sucrées par semaine (11 % [8 %, 4 %] contre 4 % [2 %, 6 %]) ou au moins une par jour (19 % [12 %, 27 %] contre 6 % [4 %, 9 %]) au cours des sept jours précédents. 3

4 Consommation de boissons énergisantes Il a été démontré que la consommation de boissons énergisantes à haute teneur en caféine (boissons énergisantes) entraîne une augmentation des risques de maux de tête 4, de troubles du sommeil 5 et d hypertension artérielle 6 chez les enfants et les adolescents. Dans le cadre du sondage de 2011, on a demandé aux élèves combien de canettes de Red Bull, de Rockstar, de Full Throttle, de Monster ou d autres boissons énergisantes ils avaient bues au cours des sept jours précédents (Figure 3). Une canette de Red Bull de 8,3 oz contient 66,7 mg de caféine par portion. 7 Santé Canada a récemment modifié la réglementation relative à la caféine : le maximum a été fixé à 85 mg par jour pour les enfants de 10 à 12 ans et à 2,5 mg/kg de poids corporel pour les jeunes de 13 ans et plus. 8 La question n était pas posée dans le sondage de Figure 3. Élèves d qui ont déclaré en 2011 avoir bu au moins une boisson énergisante à haute teneur en caféine au cours des sept jours d école précédents, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe et le niveau scolaire. 3 25% 15% 1 5% Ontario sans Filles Garçons 7e 7 e et 8e e 9e 9 e à 12e e Source : Initiative de surveillance des facteurs de risque en Ontario SCDSEO (2011), Centre de toxicomanie et de santé mentale. = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Dans l ensemble, 15 % (11 %, 20 %) des élèves d ont dit avoir bu au moins une boisson énergisante dans les sept jours précédents, 36 % (31 %, 41 %) ont indiqué n en avoir bu aucune au cours des sept jours précédents, mais au moins une au cours des douze mois précédents, et la moitié (43 %, 57 %) des élèves ont indiqué n en avoir bu aucune au cours des douze mois précédents. Aucune différence n a été observée entre les sexes, entre les élèves d et ceux de l Ontario ou entre les élèves de 7 e et 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e. Les élèves immigrants étaient plus susceptibles d indiquer n avoir consommé aucune boisson énergisante au cours des douze mois précédents que les élèves non immigrants (69 % [50 %, 83 %] contre 46 % [39 %, 53 %]). 4

5 Activité physique Niveau d activité physique au cours de la semaine précédente L activité physique est primordiale pour optimiser la croissance et le développement et réduire le risque d embonpoint, d obésité et de plusieurs maladies chroniques. 9 Selon les Directives canadiennes en matière d activité physique, les jeunes de 12 à 17 ans devraient faire chaque jour au moins 60 minutes d activité physique d intensité modérée à élevée. 10 Dans le cadre du SCDSEO, on a demandé aux élèves combien de fois, au cours de la semaine précédente, ils avaient fait au moins 60 minutes d activité physique par jour. Par activité physique, on entend toute activité associée à une augmentation de la fréquence cardiaque et à une respiration devenant haletante par moments (Figure 4). Figure 4. Élèves d qui ont déclaré en 2011 avoir fait au moins 60 minutes d activité physique par jour au cours des sept jours précédents, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe et le niveau scolaire. 4 35% 3 25% 15% 1 5% Ontario sans Filles Garçons 7e 7 e et 8e 8 e 9e 9 e à 12e e = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Moins du quart (22 % [17 %, 29 %]) des élèves d ont indiqué avoir fait au moins 60 minutes d activité physique par jour au cours des sept jours précédents. La majorité (43 % [36 %, 51 %]) des élèves ont indiqué avoir fait 60 minutes d activité physique par jour à quatre à six reprises au cours des sept jours précédents, 30 % [23 %, 37 %] ont indiqué avoir fait 60 minutes d activité physique par jour à une à trois reprises au cours des sept jours précédents et 5 % (3 %, 7 %) ont dit n avoir fait 60 minutes d activité physique continue durant aucun des sept jours précédents. Les élèves d sont moins susceptibles que ceux de l Ontario d être inactifs. En 2009, les garçons étaient plus susceptibles que les filles d avoir fait de l activité physique tous les jours durant les sept jours précédents (27 % [24 %, 31 %] contre 17 % [13 %, 22 %]). La différence n était pas statistiquement significative dans le sondage de Les élèves de 7 e et de 8 e ont été plus susceptibles d indiquer être actifs la plupart des jours de la semaine que ceux de la 9 e à la 12 e. 5

6 Participation aux cours d éducation physique Les cours d éducation physique à l école peuvent contribuer à améliorer la condition physique des enfants, favoriser le développement de leurs aptitudes sociales et de leur estime de soi et accroître leur rendement scolaire. 11 Dans le cadre du SCDSEO, on a demandé aux élèves le nombre de jours au cours desquels ils avaient fait de l activité physique pendant au moins 20 minutes dans le cadre de leurs cours d éducation physique des cinq jours d école précédents (Figure 5). Figure 5. Élèves d qui ont déclaré en 2011 avoir été actifs dans le cadre du cours d éducation physique chacun des cinq jours d école précédents, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe et le niveau scolaire Ontario sans Filles Garçons 7e 7 e et 8e e 9e 9 e à 12e e = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Au total, 48 % (32 %, 64 %) des élèves d ont déclaré avoir été inactifs lors des cours d éducation physique ou ne pas être inscrits à un cours d éducation physique à l école, 24 % (21 %, 27 %) ont indiqué avoir été actifs lors des cours d éducation physique au cours d un à quatre des cinq jours d école précédents, et 28 % (16 %, 44 %) ont répondu avoir été actifs au cours de chacun des cinq jours d école précédents. Aucune différence n a été observée entre les élèves d et ceux de l Ontario quant à la participation aux cours d éducation physique. Les garçons étaient plus susceptibles que les filles d indiquer avoir été actifs dans les cours d éducation physique au cours de chacun des cinq jours d école précédents (35 % [20 %, 53 %] contre 21 % [11 %, 35 %]). On a observé une importante différence entre les élèves de 7 e et 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e. Les élèves plus jeunes étaient plus susceptibles que les plus vieux d indiquer avoir été actifs lors des cours d éducation physique au cours d un à quatre des cinq jours d école précédents (42 % [32 %, 53 %] contre 17 % [14,5 %, 20 %]) ou au cours de chacun des cinq jours d école précédents (55 % [40 %, 69 %] contre 17 % [10 %, 29 %]). Les deux tiers (66 % [53 %, 76 %]) des élèves de la 9 e à la 12 e n ont participé à aucun cours d éducation physique. 6

7 Déplacements actifs entre la maison et l école Les jeunes qui se rendent à l école à pied ou à vélo sont généralement plus actifs physiquement que ceux qui utilisent un moyen de transport motorisé comme la voiture ou l autobus. 12 Dans le cadre du SCDSEO de 2011 (la question n était pas posée dans le sondage de 2009), on a demandé aux élèves de quelle façon ils se déplaçaient habituellement entre la maison et l école (Figure 6). Figure 6. Élèves d qui ont déclaré en 2011 utiliser un moyen de transport motorisé pour se rendre à l école, comparativement aux élèves de l Ontario et selon le sexe, le niveau scolaire et la langue parlée à la maison Source : Initiative de surveillance des facteurs de risque en Ontario SCDSEO (2011), Centre de toxicomanie et de santé mentale. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. La majorité des élèves d de la 7 e à la 12 e ont indiqué utiliser un moyen de transport motorisé pour se rendre à l école (79 % [71 %, 85 %]) et revenir à la maison (71 % [61 %, 79 %]). Peu d élèves ont déclaré utiliser des modes de déplacement actifs pour se rendre à l école (20 % [14 %, 28 %]) et revenir à la maison (28 % [20 %, 38 %]). Les garçons étaient plus susceptibles que les filles d affirmer utiliser des modes de déplacement actifs pour se rendre à l école (26 % [18 %, 36 %] contre 15 % [11 %, 21 %]) et retourner à la maison (34 % [24 %, 45 %] contre 22 % [15 %, 32 %]). Aucune différence n a été observée entre les élèves d et ceux de l Ontario, ou entre les élèves de 7 e et 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e. Les élèves qui ont déclaré ne parler qu anglais à la maison étaient plus susceptibles d indiquer qu ils emploient des modes de transport actifs pour se rendre à l école que ceux qui ont dit parler une langue autre que l anglais ou le français à la maison (23 % [16 %, 32 %] contre 9 % [5 %, 15 %]). 7

8 Temps passé devant l écran Selon les Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire, les jeunes devraient limiter à deux heures par jour le temps passé devant un écran (télévision, ordinateur, etc.). Trop de temps passé devant un écran est associé à des «mesures défavorables de la composition corporelle, ainsi qu à une diminution de la condition physique, de l estime de soi, du comportement social et du rendement scolaire 13». On a demandé aux élèves combien d heures par jour ils avaient passé en moyenne à regarder la télévision ou des films, à jouer à des jeux vidéo, à clavarder, à consulter ou écrire des courriels ou à naviguer sur Internet, au cours des sept jours précédents (Figure 7). Figure 7. Élèves d qui ont déclaré en 2011 passer deux heures ou moins par jour devant un écran, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe, le niveau scolaire et la langue parlée à la maison Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Trois élèves sur cinq (59 % [53 %, 64 %]) à ont indiqué passer plus de deux heures par jour devant un écran, tandis que moins que la moitié (37 % [32 %, 42 %]) des élèves ont répondu ne pas dépasser deux heures par jour devant un écran. Aucune différence n a été observée entre les élèves d et ceux de l Ontario, ni entre les garçons et les filles. Les élèves qui ont déclaré parler une langue autre que l anglais ou le français (71 % [63 %, 78 %]) à la maison ont été plus nombreux à affirmer passer deux heures ou plus devant un écran que ceux qui ont dit parler anglais seulement (57 % [51 %, 63 %]) ou anglais et français seulement (49 % [33 %, 65 %]). Les élèves qui ont affirmé être actifs étaient plus susceptibles de passer deux heures ou moins par jour devant un écran. 8

9 Indice de masse corporelle (IMC) Image corporelle Les enfants qui font de l embonpoint ou qui souffrent d obésité sont plus susceptibles que ceux qui ont un poids santé d avoir des problèmes de santé tels que l hypertension artérielle, le diabète et des problèmes orthopédiques, mais aussi des problèmes relatifs à l acceptation sociale, à l image corporelle et à l estime de soi. 14 De plus, les personnes souffrant d obésité pendant leur enfance sont davantage à risque de faire de l embonpoint ou de souffrir d obésité à l âge adulte. 14 Dans le cadre du SCDSEO, on a demandé aux élèves d indiquer leur taille et leur poids. Leur IMC a été déterminé, en fonction de l âge et du sexe, au moyen des tableaux de référence sur la croissance de 2007 de l Organisation mondiale de la Santé, lesquels permettent de déterminer si une personne a un poids santé, fait de l embonpoint ou souffre d obésité (Figures 8 et 9). 15 Figure 8. Élèves d qui ont indiqué en 2011 faire de l embonpoint, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe, le niveau scolaire, le statut d immigrant et la langue parlée à la maison. 35% 3 25% 15% 1 5% = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. 9

10 Figure 9. Élèves d qui ont indiqué en 2011 être obèses, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe. 18% 16% 14% 12% 1 8% 6% 4% 2% Ontario sans Filles Garçons = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. La majorité (76 % [70 %, 82 %]) des élèves d ont été classés comme ne faisant pas d embonpoint ou ne souffrant pas d obésité d après la taille et le poids qu ils ont fournis, tandis que 13 % [10 %, 17 %] ont été classés comme faisant de l embonpoint ou souffrant d obésité (8 % [6 %, 12 %]). Les élèves d sont plus susceptibles que ceux de l Ontario de ne pas faire d embonpoint ou souffrir d obésité (76 % [70 %, 82 %] contre 68 % [65 %, 71 %]). Les élèves immigrants sont plus susceptibles de faire de l embonpoint que les élèves non immigrants (20 % [15 %, 27 %] contre 11 % [8 %, 16 %]). Les élèves qui parlent une autre langue que l anglais ou le français à la maison sont plus susceptibles que ceux qui ne parlent qu anglais à la maison de faire de l embonpoint (23 % [15 %, 32 %] contre 11 % [8 %, 14 %]). 10

11 Image corporelle des élèves L image corporelle est la représentation mentale que l on se fait de son corps son apparence et ce que l on ressent par rapport à son corps. Les personnes qui ont une image corporelle négative sont plus susceptibles d adopter des comportements malsains de contrôle du poids, comme les régimes et les frénésies alimentaires 16, ainsi que de souffrir d anxiété ou de dépression et d avoir une faible estime de soi 17. Dans le cadre du SCDSEO, on a demandé aux élèves comment ils percevaient leur poids corporel. Ils devaient indiquer s ils se trouvaient : 1) trop minces, 2) juste bien ou 3) trop gros (Figure 10). Figure 10. Élèves d qui ont déclaré en 2011 qu ils croyaient avoir un poids adéquat, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe et le niveau scolaire Ontario sans Filles Garçons 7e 7 e et 8e 8 e Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. 9e 9 e à 12e e Près des trois quarts (72 % [68 %, 76 %]) des élèves d ont répondu qu ils trouvaient leur poids adéquat, 17 % [12 %, 23 %] ont répondu qu ils se trouvaient trop gros, et 12 % [8 %, 17 %] ont répondu qu ils se trouvaient trop minces. Les élèves d étaient moins susceptibles que ceux de l Ontario de se trouver trop gros (17 % [12 %, 23 %] contre 25 % [22 %, 28 %]) et plus susceptibles de trouver leur poids adéquat (72 % [68 %, 76 %] contre 64 % [61 %, 67 %]). Aucune différence n a été observée entre les sexes ou entre les élèves de 7 e et de 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e pour ce qui est de la proportion des adolescents qui trouvent leur poids adéquat. La différence en ce qui a trait à ceux qui se trouvaient trop minces ou trop gros n a pas été rapportée. Les élèves classés comme faisant de l embonpoint ou obèses étaient plus susceptibles que les autres à répondre qu ils se trouvaient trop gros (46 % [30 %, 62 %] contre 10 % [7 %, 14 %]). 11

12 Attitude envers le poids corporel Les adolescents, en particulier les adolescentes, sont parfois préoccupés par leur image corporelle, ce qui peut causer des problèmes de santé physique et mentale. 18 Dans le cadre du SCDSEO, on a demandé aux élèves s ils tentaient de contrôler leur poids. Ils devaient indiquer s ils 1) ne faisaient rien de spécial, 2) essayaient de perdre du poids, 3) tentaient d éviter de prendre du poids ou 4) essayaient de prendre du poids (Figure 11). Figure 11. Élèves d qui ont déclaré en 2011 essayer de perdre du poids, comparativement à 2009 et aux élèves de l Ontario, et selon le sexe, le niveau scolaire et la catégorie d IMC = Interpréter ces données avec circonspection grande variabilité dans l échantillon. Les barres verticales représentent un intervalle de confiance de 95 %. Un peu plus du tiers (35 % [30 %, 40 %]) des élèves d ont dit ne rien faire de spécial pour contrôler leur poids, alors que 27 % [22 %, 33 %]) ont dit tenter d éviter de prendre du poids, 21 % [17 %, 25 %] ont dit essayer de perdre du poids, et 17 % [13 %, 23 %] ont dit essayer de prendre du poids. Les filles étaient plus susceptibles que les garçons d essayer de perdre du poids (30 % [24 %, 37 %] contre 13 % [8 %, 21 %]). En outre, les élèves de l Ontario étaient plus susceptibles que ceux d d affirmer qu ils essayaient de perdre du poids (31 % [28 %, 33 %] contre 21 % [17 %, 25 %]). On n a observé aucune différence entre 2009 et 2011, ou entre les élèves de la 7 e et 8 e et ceux de la 9 e à la 12 e. Les élèves qui n ont pas été classés comme faisant de l embonpoint ou obèses étaient plus susceptibles que les autres d affirmer ne rien faire pour contrôler leur poids (39 % [33 %, 44 %] contre 18 % [12 %, 27 %]). Les élèves qui ont été classés comme faisant de l embonpoint ou obèses étaient plus susceptibles que les autres d affirmer essayer de perdre du poids (36 % [24 %, 50 %] contre 17 % [13 %, 22 %]). 12

13 Que fait Santé publique (SPO)? Santé publique (SPO) cherche à promouvoir l alimentation saine et l activité physique dans des endroits tels que les écoles, les milieux de travail et les logements communautaires. Plus particulièrement, SPO met tout en œuvre afin de réduire la consommation d aliments et de boissons riches en calories à faible valeur nutritive, accroître le recours aux modes de transport actifs et mobiliser l ensemble de la population en vue de créer un environnement social et physique favorable à l adoption de comportements sains. Voici quelques-unes des activités principales de SPO : Initiatives de promotion de l alimentation saine : o Collaboration avec les conseils scolaires, les enseignants et les élèves, ainsi qu avec le Réseau de prévention des maladies cardiovasculaires de la région de Champlain (RPMCC), pour appuyer la Politique concernant les aliments et les boissons dans les écoles (note Politique/programmes n o 150); o Enseignement des rudiments de l alimentation et de la nutrition dans les écoles et les logements communautaires; o Campagne de sensibilisation sur les risques de la consommation du sucre pour la santé; o Promotion de l étiquetage nutritionnel dans les menus des installations municipales, des restaurants et des cafétérias, et promotion de la préparation des aliments et des routines entourant les repas qui sont saines, en particulier chez les parents et les familles à faible revenu. Formation à l intention des responsables du Programme du petit déjeuner dans les écoles, qui offre des repas sains aux élèves de l élémentaire et du secondaire; Campagne Réduisez le temps passé devant l écran, qui vise à inciter les élèves à «éteindre l écran» et à faire plus d activité physique pendant une semaine; Ensemble de pochoirs offert aux écoles et aux groupes communautaires afin de créer des terrains de jeux qui incitent les enfants et les jeunes à être actifs physiquement; Augmentation du niveau d activité physique au moyen de programmes de transport actif tels que : o Programmes de cartographie virtuelle et d applications mobiles; o Programme Écoliers actifs et en sécurité, qui vise à augmenter le nombre de jeunes qui se o déplacent entre la maison et l école à pied ou à vélo; Partenariat avec Green Communities Canada pour la mise en œuvre du projet Planification des déplacements scolaires. Création de modules en ligne, d ateliers et d affiches pour les écoles, afin d aider les adultes et autres influenceurs adultes à promouvoir une image corporelle positive chez les enfants et les jeunes. Il existe également de nombreuses ressources communautaires visant à aider les enfants et les jeunes à être actifs, à manger sainement et à se bâtir une image corporelle positive. En voici quelques-unes : Loisirs et culture d offre divers programmes aux enfants et aux jeunes pour les rendre actifs : Le Centre hospitalier pour enfants de l est de l Ontario (CHEO) offre le programme du Centre des saines habitudes de vie pour le traitement des enfants obèses. Ce programme de traitement centré sur la famille repose sur une approche interdisciplinaire fondée sur des données probantes, qui est axée sur le fonctionnement global de l enfant et de sa famille, c est à dire les dimensions physique, mentale et sociale. Pour en savoir plus, visitez le Le personnel de Saine Alimentation Ontario offre des renseignements en matière de nutrition et de saine alimentation, en plus de répondre aux questions sur les choix alimentaires quotidiens, la prévention des maladies chroniques et les sujets populaires sur la nutrition. Visitez le pour en savoir plus. Écoles en santé 2020 du Réseau de prévention des maladies cardiovasculaires de la région de Champlain (RPMCC) est un partenariat communautaire qui offre des ressources et des outils pratiques visant à appuyer les écoles dans leurs efforts pour promouvoir l activité physique et les choix alimentaires sains tous les jours. Pour en savoir plus sur ces programmes, appelez la Ligne info-santé publique, au

14 Méthodes d enquête et analyse des données Les intervalles de confiance de 95 % (IC 95 %) sont présentés à la suite des estimations en caractères plus petits, encadrés de crochets ou de parenthèses. Les intervalles de confiance de 95 % n ont pas été utilisés pour déterminer si les différences étaient statistiquement significatives; le test «chi» au carré (p<0,05) a été utilisé en premier, suivi par une correction de Bonferroni (p<0,05) pour faire les ajustements nécessaires pour une comparaison multiple. L astérisque () indique une grande variabilité des réponses des élèves dans la catégorie en question; les résultats doivent donc être interprétés avec circonspection. À noter que l estimation de l «Ontario» ou de l «Ontario sans» n est pas celle de l ensemble de la province étant donné qu elle ne comprend pas (sauf indication contraire). Les écarts entre et l Ontario ne signifient pas qu soit différente des autres circonscriptions sanitaires de la province, mais plutôt que la ville se démarque de la moyenne des résidents du reste de l Ontario. Pour en savoir plus, consultez la fiche de renseignements sur la méthodologie du SCDSEO. Pour une description détaillée du SCDSEO, rendez-vous à Remerciements Ce rapport a été rédigé par : Stephanie Prince, Jacqueline Willmore et Amira Ali, épidémiologistes, Santé publique Robin Ray et Pascale Messier, Promotion de la santé et prévention des maladies, Santé publique Révision : Millicent Toombs Les données utilisées dans cette publication proviennent du SCDSEO Surveillance des facteurs de risque en Ontario, réalisé par le Dr Edward Adlaf et le Dr Robert Mann, du Centre de toxicomanie et de santé mentale. Son contenu et son interprétation relèvent entièrement de l auteur et ne représentent pas forcément la position officielle du Centre de toxicomanie et de santé mentale. Bibliographie 1. PAGLIA-BOAK, A., et coll. The mental health and well-being of Ontario students: : Detailed OSDUHS findings (Série no 29 des documents de recherche du CTSM), Toronto (Ontario), Centre de toxicomanie et de santé mentale, pdf 2. RAMPERSAUD, G. C., et coll. «Breakfast consumption, weight, and academic performance in children and adolescents», Journal of the American Dietetic Association, Vol. 105, n o 5, 2005, p MALIK, V. S., M. B. SCHULZE, et F. B. HU. «Intake of sugar-sweetened beverages and weight gain: a systematic review», American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 84, 2006, p HERING-HANIT, R., et N. GADOTH. «Caffeine-induced headache in children and adolescents», Cephalalgia, Vol. 23, 2003, p POLLACK, C. P., et D. BRIGHT. «Caffeine consumption and weekly sleep patterns in US seventh-, eigth-, and ninth-graders», Pediatrics, Vol. 111, no 1, 2003, p SAVOCA, M. R., et coll. «The association of caffeinated beverages with blood pressure in adolescents», Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, Vol. 158, n o 5, 2004, p MCCUSKER, R. R., B. A. GOLDBERGER, et E. J. CONE. «Caffeine content of energy drinks, carbonated sodas, and other beverages», Journal of Analytical Toxicology, Vol. 30, 2006, p Caféine (en ligne), Santé Canada, JANSSEN, I., et A. G., LEBLANC. «Systematic review of the health benefits of physical activity and fitness in school-aged children and youth», International Journal of Behavioral Nutrition and Physical Activity, Vol. 7, n o 40, TREMBLAY, M. S., et coll. «Nouvelles directives canadiennes en matière d activité physique», Physiologie appliquée, nutrition et métabolisme, Vol. 36, n o 1, 2011, p BAILEY, R. «Physical education and sport in schools: a review of benefits and outcomes», Journal of School Health, Vol. 76, n o 8, 2006, p FAULKNER, G. E. J., et coll. «Active school transport, physical activity levels and body weight of children and youth: A systematic review», Preventive Medicine, Vol. 48, n o 1, 2009, p TREMBLAY, M. S., et coll. «Systematic review of sedentary behaviour and health indicators in school-aged children and youth», International Journal of Behavioral Nutrition and Physical Activity, Vol. 8, 2011, p DIETZ, W. «Health consequences of obesity in youth: childhood predictors of adult disease», Pediatrics, Vol. 101, suppl. 2, 1998, p ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ. Growth reference data for 5-19 years, NEUMARK-SZTAINER, D., et coll. «Does body satisfaction matter? Five-year longitudinal associations between body satisfaction and health behaviors in adolescent females and males», Journal of Adolescent Health, Vol. 39, n o 2, 2006, p

15 17. KOSTANSKI, M., et E. GULLONE. «Adolescent body image dissatisfaction: relationships with self-esteem, anxiety, and depression controlling for body mass», Journal of Child Psychology and Psychiatry, Vol. 39, n o 2, 1998, p PAGLIA-BOAK, A., et coll. The mental health and well-being of Ontario students: : Detailed OSDUHS findings (Série no 29 des documents de recherche du CTSM), Toronto (Ontario), Centre de toxicomanie et de santé mentale, pdf 15

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