L'administration en ligne dans le processus électoral : L expérience électorale de la République Française sur le vote électronique.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L'administration en ligne dans le processus électoral : L expérience électorale de la République Française sur le vote électronique."

Transcription

1 L'administration en ligne dans le processus électoral : L expérience électorale de la République Française sur le vote électronique. Présentation 5 min Remerciements Je remercie M Bonet et le gouvernement autonome des Baléares pour son invitation et je suis très honoré de pouvoir faire part de mon expérience à cette assemblée. Mes compétences et mes domaines d expertises Précisions sur mes domaines d expertise : «Project manager», «expert en processus électoraux», pilotage de 4 élections de vote par internet dont les législatives Commentaires Je ne suis pas le représentant d une autorité administrative ou un juriste, mon expérience et ma formation m ont permis d acquérir une expertise sur la gestion de projet en SI et les processus électoraux. J étais pendant 5 ans, chargé de mission auprès du directeur (Français de l étranger et consulats Français) pour l eadministration (dématérialisation et simplification des élections) des affaires consulaires. J ai piloté à ce titre en tant que directeur de projet les 4 élections de vote par internet organisées par le ministère et développé une expertise en termes juridiques, organisationnels et sécuritaires sur les processus électoraux. Je précise que les processus électoraux sont un domaine beaucoup plus large que le seul vote électronique puisqu ils peuvent également concerner des sujets comme la dématérialisation de la propagande électorale ou la simplification des votes par procurations par exemple. Le programme de la présentation 5 min 1. L état du droit en France et l évolution des textes législatifs et réglementaires 2. La préparation des dispositifs, la mise en œuvre et les résultats d un vote électronique à distance étude d un cas pratique le vote par internet pour l élection des 11 députés élus par les Français de l étranger (législatives 2012). 3. Questions / Réponses Commentaires La première partie de notre exposé sera consacré à présenter l état de la législation en France pour le VE en général (MV et VI) et l évolution des textes législatifs et réglementaires. La seconde partie plus importante concernera principalement la mise en œuvre d un Vote électronique à distance avec la présentation d un cas pratique «l élection législative des députés des Français de l étranger en 2012» qui concernaient 1.2 million de Français inscrits sur les listes électorales consulaires qui vivent à l étranger. Ce vote est devenu un vote de référence en la matière. Nous aborderons dans cette partie les mesures qui ont été prises pour assurer la sincérité du vote (secret et transparence) et l anonymat du vote. La 3 ème partie concernera les questions/réponses

2 Préambule : Deux modalités différentes, le vote électronique par machine à voter et le vote par internet 5 min Je pense utile d insister préalablement sur les différences entre le vote électronique et le vote dit «en ligne» ou par internet qui est en fait un vote électronique par correspondance. La notion de vote électronique recouvre de fait 2 dispositifs techniques et organisationnels différents : Définition et particularités du vote électronique par machine à voter Vote exprimé dans un isoloir, investissement 4000 euros amorti en frais de personnel?, dépouillement automatique, accessibilité handicapé. Inconvénient contrôle et logistique Définition et particularités du vote électronique par internet Vote réalisé à distance à partir de n importe quel ordinateur, une seule urne contrôle facile, lourd a mettre en œuvre en cas de rejeu, grosse exigences de sécurité. 2 parties l acheminement des codes de vote Commentaires > Présentation des machines à voter (MV) plusieurs types, les derniers modèles permettent de choisir les candidats, le dépouillement automatique. Au panama, couplé à l édition d un bulletin papier introduit dans une urne papier pour double contrôle. Dans ce cas il y a des machines à voter dans tout ou parties des bureaux de votes, chaque bureau de vote est responsable des votes électroniques >le vote électronique à distance (VI), permet le vote par internet, il ne comporte généralement qu un seul bureau de vote électronique (BVE), il permet principalement de résoudre une problématique d accessibilité, les électeurs ne peuvent pas se déplacer pour aller voter à l urne papier.

3 1. L état du droit et l évolution des textes législatifs et réglementaires 15 min Chronologie des textes législatifs et réglementaires relatifs au Vote électronique par machine à voter. La loi du 10 mai 1969 a été mise en œuvre par le ministère de l'intérieur avec l'agrément de trois modèles de machines issus d'un concours et l'acquisition de plus de six cents machines, toutes mécaniques (Art. L57.1 du code électoral). L utilisation de ces machines n est possible que lors de scrutins uninominaux ou à liste bloquée. Pas de panachage. (Cette loi a été mise en œuvre pour améliorer la régularité des opérations électorales dans certaines régions de France). Pas de consensus mais plutôt des réticences du Sénat. Le décret d application est signé le 27 décembre Il dresse une liste de 27 communes autorisées à utiliser ces machines. Ces villes étaient pour l'essentiel situées en Île-de-France et en Corse. Les machines électromécanique doivent être agréées par le ministère de l intérieur. La première expérience intervint lors des élections législatives des 4 et 11 mars Puis pour les scrutins suivants (élections cantonales de 1973 et 1976, municipales de 1977, législatives de Expérience peu concluante : «les défaillances, les pannes subies par ces matériels de même que le coût très élevé de leur maintenance, ont conduit à les retirer peu à peu du service 10(*)».En 1986 seules 2 communes utilisaient encore des machines à voter. En 2003 les machines mécaniques deviennent électroniques grâce aux progrès techniques. Un nouvel arrêté en date du 17 novembre 2003 approuva le règlement fixant leurs conditions d'agrément. Lors de l'élection présidentielle de 2007, quatre-vingt-trois communes étaient autorisées à utiliser des machines à voter. Elles comptaient 1,5 million d'électeurs, soit 3 % du corps électoral. Plusieurs difficultés survenues au cours du premier tour ont à nouveau conduit à de nombreuses critiques répertoriées par le groupe de travail mis en place par le ministre de l'intérieur en septembre En 2008, moratoire, Les 2 chambres conviennent de ne pas étendre le nombre de communes autorisées à utiliser les machines à voter. Synthèse : Une mise en place progressive desservie par l absence d une stratégie globale avec le lancement d un véritable projet. Des réticences du corps électoral et des élus, Des doutes sur la pertinence de ce mode de vote pour des élections locales. Conclusion résultats mitigés, la partie organisationnelle a été sous estimée (pas au panama). On peut noter que ce mode de vote ne répond pas à une problématique d accessibilité seulement d intégrité qu il n a pas réussi à remplir (même si le législateur n a pas été frileux). Histoire d agreement. Des contrôles difficiles puisque multipliés, des couts importants

4 Chronologie des textes législatifs et réglementaires relatifs au Vote électronique par internet (correspondance). C est un vote par correspondance électronique, il répond parfaitement à une problématique d accessibilité. Aucun recours n a été jugé recevable à ce jour, il n a encore jamais été la seule modalité de vote. Les recommandations de la CNIL et du RGS sont venus complétés les textes législatifs. Ces textes fournissent les pré requis en matière de sécurité la notion d agreement disparait. Le vote par correspondance. Supprimé en France pour les élections politiques en 1975, a été maintenu pour l'élection des représentants des Français de l'étranger. Le support de ce vote par correspondance a été progressivement modifié, passant du support papier à la voie électronique. La loi n du 28 mars 2003 a ainsi permis le vote par correspondance électronique pour l'élection des représentants des Français de l'étranger (AFE). En 2011, cette modalité de vote a été prévue à l'article L du code électoral pour l'élection des députés élus par les Français établis hors de France. Cependant, le vote par correspondance papier a été parallèlement maintenu. La loi n du 22 Juillet 2013, le vote par correspondance électronique devient la seule modalité de vote à distance avec l abandon du vote postal. a franchi un nouveau cap en maintenant la possibilité du vote par correspondance électronique pour l'élection des conseils consulaires qu'elle instituait mais en supprimant parallèlement son équivalent papier. Pour la première fois, la voie électronique se substituait à la version papier du vote par correspondance. La recommandation de la CNIL du 21 octobre Ensemble de recommandations encadrant la pratique en termes de vote électroniques à distance. Le RGS a été élaboré conformément à l article 9 de l'ordonnance n du 8 décembre 2005 relative aux échanges électroniques entre les usagers et les autorités administratives ainsi qu'entre les autorités administratives. Il fixe les règles que doivent respecter les fonctions des systèmes d information contribuant à la sécurité des informations échangées par voie électronique. Le RGS est un recueil de règles et de bonnes pratiques en matière de sécurité des systèmes d information destiné principalement aux autorités administratives qui proposent des services en ligne aux usagers Synthèse : Un encadrement de plus en plus rigoureux ; Subordonné aux evolutions technologiques Un bon cas d utilité l accessibilité.

5 Focus : les exigences constitutionnelles à respecter le secret et la sincérité du vote Les exigences constitutionnelles rappel : o Secret (anonymat et confidentialité) o Sincérité (Intégrité du vote et transparence du contrôle) Commentaires On voit que le problème va se situer au niveau de la confidentialité et du contrôle Le législateur a dit ok confidentialité / VS accessibilité Plus loin nous parlerons des mesures mise en place pour assurer l anonymat, l intégrité et la transparence

6

7 2. Présentation cas pratique : projet de vote des législatives min Contexte et Objectifs de l élection Contexte Objectifs - 1,5 millions de Français établis hors de France - 1,15 millions de Français inscrits sur les listes électorales à l étranger - La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 ouvre aux Français établis hors de France la possibilité de voter aux élections législatives. Onze circonscriptions électorales ont été créées au sein desquelles onze nouveaux députés seront élus. - Quatre modalités de vote sont proposées aux Français de l étranger pour ces élections législatives : à l urne ; par procuration ; par correspondance postale ; par internet. NB : pour les élections présidentielles, les Français de l étranger pourront voter seulement à l urne ou par procuration. Le vote par internet sera proposé pour la première fois dans le cadre d un scrutin national. Il répond notamment à deux objectifs : l accessibilité au scrutin : les Français de l étranger résident souvent loin de leur bureau de vote. Le vote par internet compense cette difficulté en leur permettant de participer au scrutin de manière simple et sécurisée ; la modernisation de la vie politique : parallèlement à la dématérialisation de la vie administrative (cf. MonConsulat.fr), l entrée des nouvelles technologies dans la vie politique répond aux exigences de citoyens habitués à Internet dans de nombreux domaines de leur vie privée.

8 Le cadre juridique Renforcer l accessibilité Garantir l anonymat et la sincérité du vote Les principes fondamentaux du vote sont garantis. - Le vote par internet présente des garanties d anonymat, de confidentialité et de sincérité au moins équivalentes à celle du vote physique : le vote par internet s effectue dans un isoloir virtuel (applet java). Toutes les actions de l électeur sont protégées ; au moment du vote, le bulletin est chiffré. Il le reste tout au long du traitement informatique jusqu au dépouillement ; l urne électronique, conservée dans un bâtiment sécurisé, est scellée au moyen de clefs cryptographiques détenues par les membres du bureau de vote électronique. la conformité avec la recommandation de la CNIL (délibération n du 21 octobre 2010) garantit le respect de ces principes. La conformité avec le référentiel général de sécurité (RGS) s est traduite par la réalisation d une analyse de risque et l homologation conjointe du système par les secrétaires généraux des ministères des affaires étrangères et de l intérieur. Les acteurs du projet Le Bureau de vote électronique Le BVE, dont la composition a été fixée par décret, a en charge le contrôle des opérations de vote par voie électronique de l élection pour les législatives 2012 de onze députés par les Français établis hors de France Il est tenu un procès-verbal du vote électronique, composé de pages numérotées. Tout événement survenu durant le scrutin, toute décision prise par le bureau du vote électronique, toute intervention effectuée sur le système de vote sont immédiatement portés au procès-verbal. Le BVE ne délibère valablement que si quatre au moins de ses membres sont présents "Les opérations de vote par voie électronique sont placées sous le contrôle d un bureau du vote électronique " - réf : 'article R du code électoral». "Le bureau se prononce provisoirement sur les difficultés qui s'élèvent touchant les opérations électorales. Ses décisions sont motivées. Toutes les réclamations et décisions sont inscrites au procèsverbal, les pièces qui s'y rapportent y sont annexées après avoir été paraphées par les membres du bureau. Pendant toute la durée des opérations de vote, le procès-verbal est tenu à la disposition des membres du bureau [...].") "Il est compétent pour prendre toute mesure d'information et de sauvegarde, y compris l'arrêt temporaire ou définitif des opérations de vote par voie électronique s'il estime que leur sincérité, leur secret ou leur accessibilité n'est plus garanti"] " - réf : 'article R du code électoral». Le responsable des traitements (maitrise d ouvrage) Le RTR est responsable de l organisation et de la sécurité des traitements et des données du vote électronique ainsi que de leur mise en œuvre. Il est également désigné comme «la maitrise d ouvrage». Les responsables du traitement sont les deux ministres du MAEE et du MININT représentés respectivement par la DFAE et la DMAT. Ils ont la charge d organiser le vote électronique des élections législatives 2012.

9 Les auditeurs indépendants et l ANSSI Les experts indépendants assurent un audit de l ensemble du système de vote avant pendant et après le vote (voir détail ci-dessous). A l issue de chacune des phases ils remettent un rapport d expertise qui comprend notamment l évaluation des dispositifs utilisés par le système au regard des recommandations de la CNIL «Extrait recommandation de la CNIL 2010» Selon la recommandation de la CNIL 2010 : Tout système de vote électronique doit faire l objet d une expertise indépendante. L expertise doit couvrir l intégralité du dispositif installé avant le scrutin (logiciel, serveur, etc.), l utilisation du système de vote durant le scrutin et les étapes postérieures au vote (dépouillement, archivage, etc.). L expertise doit porter sur l ensemble des mesures décrites dans la présente délibération et notamment sur : le code source du logiciel y compris dans le cas de l utilisation d un logiciel libre, les mécanismes de scellement utilisés aux différentes étapes du scrutin (voir ci-après), le système informatique sur lequel le vote va se dérouler, et notamment le fait que le scrutin se déroulera sur un système isolé ; les échanges réseau, les mécanismes de chiffrement utilisé, notamment pour le chiffrement du bulletin de vote sur le poste de l électeur. L expertise doit être réalisée par un expert indépendant, c est-à-dire qu il devra répondre aux critères suivants : être un informaticien spécialisé dans la sécurité ; ne pas avoir d intérêt financier dans la société qui a créé la solution de vote à expertiser, ni dans la société responsable de traitement qui a décidé d utiliser la solution de vote ; posséder une expérience dans l analyse des systèmes de vote, si possible en ayant expertisé les systèmes de vote électronique d au moins deux prestataires différents ; avoir suivi la formation délivrée par la CNIL sur le vote électronique. Le rapport d expertise doit être remis au responsable de traitement. Si l expertise peut couvrir un champ plus large que celui de la présente recommandation, le rapport d expertise fourni au responsable de traitement doit comporter une partie spécifique présentant l évaluation du dispositif au regard des différents points de la recommandation. L expert doit fournir un moyen technique permettant de vérifier a posteriori que les différents composants logiciels sur lesquels a porté l expertise n ont pas été modifiés sur le système utilisé durant le scrutin. La méthode et les moyens permettant d effectuer cette vérification doivent être décrits dans le rapport d expertise. L agence nationale de sécurité des systèmes d informations (ANSSI) est rattachée au secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, elle apporte son concours aux services de l'etat en matière de sécurité des systèmes d'information et mène des inspections des systèmes d'information des services de l'etat"-(décret n du 7 juillet 2009). Dans le cadre du projet de vote électronique elle mène une inspection du système de vote et de ses différents dispositifs. La maitrise d œuvre Le fournisseur de la solution de vote électronique (SCYTL), le fournisseur des dispositifs d envoi des codes de votes (GEDICOM), le fournisseur de la liste électorale (DSI)

10 Les opérations de vote du point de vue de l électeur (5 min) Présentation du processus de vote du point de vue de l électeur (slides ppt) Présentation commentée d une animation vidéo (video) La solution de vote Une solution en 2 parties : acheminement des codes de vote/ vote en ligne et dépouillement Une organisation en mode projet pour répondre à la complexité du contexte Les chantiers du projet Les mesures pour garantir le contrôle et la sécurité Des exigences de sécurité maximales - L ensemble des opérations de vote est effectuée sous le contrôle du bureau de vote électronique, présidé par un membre du Conseil d Etat. Il dispose d un journal informatique infalsifiable qui enregistre automatiquement tous les événements survenus dans l urne. Une plateforme de surveillance, sous le contrôle du Ministère des affaires étrangères, contrôle en temps réel le périmètre de l urne électronique. - Des exigences de sécurité de niveau très élevé ont été définies pour prévenir les attaques contre le système de vote et garantir l inviolabilité de l urne. Le data center qui héberge les serveurs en ligne est muni de procédures de contrôle d accès très strict et d un pare feu, les serveurs hors ligne sont conservés dans des coffres situés dans des salles sécurisées du ministère. - Le respect des ces exigences de sécurité est contrôlé par : l Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d Information (ANSSI) ; le Responsable de la Sécurité des Systèmes d Information (FSSI) ; un cabinet d audit indépendant spécialisé en sécurité informatique (ALTI). Les mesures pour renforcer la participation et l accessibilité - Communication et assistance Bilan Participation Sécurité

11 Les facteurs clés de succès La sécurité (analyse de risque) La solution est technico-organisationnelle (Exemple des backups et des mesures de sauvegarde) Fonctionnement en mode projet sous le contrôle des autorités administratives L importance de la communication et de l assistance (objectif participation) Vote internet : une modalité complémentaire pour des électeurs ciblés 3. Questions/ Reponses 10 min

Vote par Internet : quel avenir?

Vote par Internet : quel avenir? Journée de la sécurité des systèmes d information du 22 mai 2008 Proposition d intervention Thème général : anonymat, vie privée et gestion d'identité Vote par Internet : quel avenir? Le 22 mai 2008 Benoit

Plus en détail

GUIDE DE SENSIBILISATION DES ELECTEURS

GUIDE DE SENSIBILISATION DES ELECTEURS 1 République de Guinée Commission Electorale Nationale Indépendante GUIDE DE SENSIBILISATION DES ELECTEURS Election Présidentielle, octobre 2015 Conakry, Août 2015 1 2 Introduction Les organisations de

Plus en détail

INSTRUCTION PERMANENTE RELATIVE AUX MACHINES A VOTER. Le Ministre de l intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales

INSTRUCTION PERMANENTE RELATIVE AUX MACHINES A VOTER. Le Ministre de l intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales INSTRUCTION PERMANENTE RELATIVE AUX MACHINES A VOTER Paris, le 26 mai 2004 Le Ministre de l intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales à Mesdames et Messieurs les préfets et Mesdames

Plus en détail

Le présent document a pour objet de définir les modalités d organisation de l élection des délégués du personnel (ou du C E) de

Le présent document a pour objet de définir les modalités d organisation de l élection des délégués du personnel (ou du C E) de Le présent document a pour objet de définir les modalités d organisation de l élection des délégués du personnel (ou du C E) de Article 1 er : Effectif de l entreprise Nombre de sièges à pourvoir L effectif

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES RÉPUBLIQUE DU BÉNIN COUR CONSTITUTIONNELLE REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Article 1 er : Le présent Règlement Intérieur est pris en application des dispositions de la Loi n 90-032

Plus en détail

27 mars 2014. Sécurité ECNi. Présentation de la démarche sécurité

27 mars 2014. Sécurité ECNi. Présentation de la démarche sécurité Sécurité ECNi Présentation de la démarche sécurité Présentation du cabinet Solucom Cabinet de conseil indépendant en management et système d information Fondé en 1990 / Plus de 1 400 collaborateurs / 2

Plus en détail

Élections municipales de 2014. Communes de moins de 1000 habitants

Élections municipales de 2014. Communes de moins de 1000 habitants Élections municipales de 2014 Communes de moins de 1000 habitants Introduction présentation générale de la réforme Importantes modifications du code électoral introduites par la loi du 17 mai 2013 et son

Plus en détail

Validation des acquis de l expérience. Quelles démarches pour les agents publics? collection. Ressources humaines

Validation des acquis de l expérience. Quelles démarches pour les agents publics? collection. Ressources humaines Validation des acquis de l expérience Quelles démarches pour les agents publics? collection Ressources humaines Le présent document vise à donner les grandes lignes d'une démarche de validation des acquis

Plus en détail

PASSI Un label d exigence et de confiance?

PASSI Un label d exigence et de confiance? PASSI Un label d exigence et de confiance? INTRINSEC Site Intrinsec www.intrinsec.com Blog Intrinsec sécurité Securite.intrinsec.com Twitter Intrinsec @Intrinsec_Secu INTRINSEC Identité Fondée en 1995,

Plus en détail

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE

STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE STATUTS DE CONTACT PARIS ILE-DE-FRANCE Chapitre 1 - BUT ET COMPOSITION DE L ASSOCIATION Article 1 Il est fondé entre les adhérent-e-s aux présents statuts une association régie par la loi du 1 er juillet

Plus en détail

Le ministre de l intérieur et de l aménagement du territoire Le ministre de l outre-mer. Mesdames et Messieurs les maires

Le ministre de l intérieur et de l aménagement du territoire Le ministre de l outre-mer. Mesdames et Messieurs les maires MINISTERE DE L INTERIEUR ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTERE DE L OUTRE-MER Paris, le 10 mai 2007 Le ministre de l intérieur et de l aménagement du territoire Le ministre de l outre-mer à Mesdames

Plus en détail

Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises. Cadre juridique

Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises. Cadre juridique Les outils «cloud» dédiés aux juristes d entreprises Cadre juridique Présenté par Béatrice Delmas-Linel et Céline Mutz Cabinet De Gaulle Fleurance & Associés 29 juin 2012 1 Introduction La dématérialisation

Plus en détail

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004 Recrute Le/la directeur(trice) adjoint(e) de l établissement I. Les missions et l

Plus en détail

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire Décision n 2014-246 L Nature juridique de l article L. 723-23 du code rural et de la pêche maritime Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel 2014 Sommaire I. Normes de référence...

Plus en détail

FEDERATION FRANÇAISE DE PARACHUTISME

FEDERATION FRANÇAISE DE PARACHUTISME FEDERATION FRANÇAISE DE PARACHUTISME 62 rue de Fécamp 75 012 Paris Tél.: 01 53 46 68 68 Fax: 01 53 46 68 70 E-mail: ffp@ffp.asso.fr Site: www.ffp.asso.fr Paris, le 23 octobre 2012 Ref. 12.1200 Objet :

Plus en détail

Le rôle du Tribunal fédéral suisse comme autorité de recours dans le processus électoral

Le rôle du Tribunal fédéral suisse comme autorité de recours dans le processus électoral Troisième séminaire des correspondants nationaux de l ACCPUF Paris, 17 19 novembre 2003 Le rôle du Tribunal fédéral suisse comme autorité de recours dans le processus électoral par Robert Zimmermann, Docteur

Plus en détail

ASSOCIATION DES JURISTES DU MASTER ENVIRONNEMENT DE L UNIVERSITE PARIS SUD XI - A.J.M.E. Titre 1 Constitution.

ASSOCIATION DES JURISTES DU MASTER ENVIRONNEMENT DE L UNIVERSITE PARIS SUD XI - A.J.M.E. Titre 1 Constitution. ASSOCIATION DES JURISTES DU MASTER ENVIRONNEMENT DE L UNIVERSITE PARIS SUD XI - A.J.M.E. STATUTS DE L ASSOCIATION Titre 1 Constitution. ARTICLE PREMIER : DENOMINATION Il est fondé entre les adhérents aux

Plus en détail

CONSEIL DES MINISTRES

CONSEIL DES MINISTRES CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA

Plus en détail

Conformément aux statuts, les listes électorales seront établies à partir des informations fournies par les établissements.

Conformément aux statuts, les listes électorales seront établies à partir des informations fournies par les établissements. Note relative à l organisation de l élection des représentants élus des personnels, de l élection des représentants élus des usagers et de l élection des représentants des établissements d enseignement

Plus en détail

Catalogue de critères pour la reconnaissance de plateformes alternatives. Annexe 4

Catalogue de critères pour la reconnaissance de plateformes alternatives. Annexe 4 Catalogue de critères pour la reconnaissance de plateformes alternatives Annexe 4 Table des matières 1 Objectif et contenu 3 2 Notions 3 2.1 Fournisseur... 3 2.2 Plateforme... 3 3 Exigences relatives à

Plus en détail

STATUTS DE L'ASSOCIATION : Viviers Fibre

STATUTS DE L'ASSOCIATION : Viviers Fibre STATUTS DE L'ASSOCIATION : Viviers Fibre ARTICLE 1 : Constitution et dénomination Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret

Plus en détail

LE PROTOCOLE D ACCORD PREELECTORAL (PAP)

LE PROTOCOLE D ACCORD PREELECTORAL (PAP) LE PROTOCOLE D ACCORD PREELECTORAL (PAP) Le protocole d accord se négocie entre le chef d entreprise ou son représentant (dument mandaté à cet effet) et les organisations syndicales (OS) représentatives.

Plus en détail

Le Registre national

Le Registre national E Le Registre national 34 2005 RAPPOR D ACTIVITES E.1. Description Le Registre national est un système de traitement d'informations qui assure, conformément aux dispositions de la loi du 8 août 1983 organisant

Plus en détail

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité

Statuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité Statuts de la Communauté d universités et établissements Université Sorbonne Paris Cité 1 / 22 L Université Sorbonne Paris Cité regroupe des établissements d enseignement supérieur et de recherche et des

Plus en détail

Référentiel Général de Sécurité

Référentiel Général de Sécurité Premier ministre Agence nationale de la sécurité des systèmes d information Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l État Direction générale de la modernisation de l État Référentiel

Plus en détail

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE L 82/56 2.6.204 RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE LE CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE

Plus en détail

OBJET : Sectionnement électoral et conséquences électorales de la création d une commune associée

OBJET : Sectionnement électoral et conséquences électorales de la création d une commune associée secrétariat général DIRECTION DE LA MODERNISATION ET DE L ACTION TERRITORIALE SOUS-DIRECTION DES AFFAIRES POLITIQUES ET DE LA VIE ASSOCIATIVE BUREAU DES ELECTIONS ET DES ETUDES POLITIQUES Paris, le 17

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE CIRCULAIRE CDG90 11/12 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

Renouvellement du conseil d administration du CCAS/CIAS

Renouvellement du conseil d administration du CCAS/CIAS Renouvellement du conseil d administration du CCAS/CIAS Actes-types : 1 / Fixation du nombre d administrateurs 2 / Délibération portant élections des représentants élus 3 / Affichage pour publicité aux

Plus en détail

Loi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE

Loi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE Loi N 1/018 du 19 décembre 2002 portant ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE AINSI QUE LA PROCEDURE APPLICABLE DEVANT ELLE TABLE DES MATIERES CHAPITRE I. DE L ORGANISATION... 4 CHAITRE

Plus en détail

Service juridique CSFV

Service juridique CSFV Service juridique LE CALENDRIER DES OPERATIONS ELECTORALES Les délais mentionnés dans cet exemple le sont à titre purement indicatif, dans le respect des minima et maxima imposés par le code du travail.

Plus en détail

Prestations d audit et de conseil 2015

Prestations d audit et de conseil 2015 M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations

Plus en détail

FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai "Certification d'un SAE*, normes et référentiels"

FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai Certification d'un SAE*, normes et référentiels FedISA Congrès 2013 Table ronde du 17 mai "Certification d'un SAE*, normes et référentiels" Compte-Rendu Date publication : 19/07/2013 *SAE = Système d Archivage Electronique 1 1 Introduction Le présent

Plus en détail

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes

Agrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à

Plus en détail

Département intercommunalité et territoires 18 mars 2013 MCG-HG. Principales dispositions concernant les communes et les intercommunalités

Département intercommunalité et territoires 18 mars 2013 MCG-HG. Principales dispositions concernant les communes et les intercommunalités Département intercommunalité et territoires 18 mars 2013 MCG-HG Principales dispositions concernant les communes et les intercommunalités Projet de loi relatif à l élection des conseillers départementaux,

Plus en détail

! "! #! $%& '( )* &#* +,

! ! #! $%& '( )* &#* +, !"#$ % & '! "! #! $%& '( )* &#* +, ( )' *!- + Le Système d Information AUJOURD HUI : à tous les Acteurs «DEMAIN La révolution : à tous digitale les inverse «Citoyens les défauts» : ce qui était autrefois

Plus en détail

Conférence CRESTEL. Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015

Conférence CRESTEL. Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015 Conférence CRESTEL Du risque SI aux risques business v1.0 09/03/2015 1 Bonnes pratiques de certification, de conformité En matière de SSI, la «perfection», un «système sans faille», est toujours l objectif

Plus en détail

Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE

Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Élections municipales de novembre 2005 Rapport d évaluation des nouveaux mécanismes de votation octobre 2006

Élections municipales de novembre 2005 Rapport d évaluation des nouveaux mécanismes de votation octobre 2006 Élections municipales de novembre 2005 Rapport d évaluation des nouveaux mécanismes de votation octobre 2006 LE DIRECTEUR GÉNÉRAL DES ÉLECTIONS DU QUÉBEC Table des matières Introduction...1 La méthodologie...5

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR Approuvé par l Assemblée Générale du 16 avril 2013

REGLEMENT INTERIEUR Approuvé par l Assemblée Générale du 16 avril 2013 Mutuelle d Entreprises Schneider Electric SIREN n 390 820 058, Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité. REGLEMENT INTERIEUR Approuvé par l Assemblée Générale du 16 avril 2013

Plus en détail

ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. )

ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. ) ASSOCIATION LOI DU 1er JUILLET 1901 COMITE DE COOPERATION AVEC LE LAOS ( C.C.L. ) ARTICLE 1 : FORMATION Il est créé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er Juillet

Plus en détail

Annexe 6 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par chaque candidat

Annexe 6 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par chaque candidat Annexe 6 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par chaque candidat 53 54 Annexe 7 : Modèle de déclaration de candidature à remplir par le candidat tête de liste ou son mandataire 55 56 Annexe

Plus en détail

LA CCMOSS VOUS INFORME Bulletin N 5

LA CCMOSS VOUS INFORME Bulletin N 5 LA CCMOSS VOUS INFORME Bulletin N 5 NOUVELLES DISPOSITIONS DU CODE DES MARCHES PUBLICS Fin décembre 2008, plusieurs décrets sont venus modifier les dispositions du Code des marchés Publics : - Décret 2008-1334

Plus en détail

CONCOURS INGENIEUR D ETUDES AUDITEUR INTERNE A L AGENCE COMPTABLE AC3 SESSION 2014

CONCOURS INGENIEUR D ETUDES AUDITEUR INTERNE A L AGENCE COMPTABLE AC3 SESSION 2014 CONCOURS INGENIEUR D ETUDES AUDITEUR INTERNE A L AGENCE COMPTABLE AC3 SESSION 2014 Durée : 3 heures Coefficient : 3 Le candidat traitera quatre sujets: Sujet 1 : Traduction Anglais/Français Sujet 2 : Comptabilité

Plus en détail

VADE MECUM DEPARTEMENTALES 2015

VADE MECUM DEPARTEMENTALES 2015 VADE MECUM DEPARTEMENTALES 2015 Les électeurs sont convoqués le 22 mars 2015. Le scrutin sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures (ces horaires pourront être élargis par arrêtés spéciaux pris par les

Plus en détail

I S agissant de l article 7 bis

I S agissant de l article 7 bis 20 Décembre 2013 SAISINE du CONSEIL CONSTITUTIONNEL Sur la LOI de FINANCES RECTIFICATIVE pour 2013 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers, Les Sénateurs soussignés 1 ont l honneur

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Article L52-4 Article L52-5 Article L52-6

Article L52-4 Article L52-5 Article L52-6 Article L52-4 Tout candidat à une élection désigne un mandataire au plus tard à la date à laquelle sa candidature est enregistrée. Ce mandataire peut être une association de financement électoral, ou une

Plus en détail

Statuts : Etoile Saint Amandoise.

Statuts : Etoile Saint Amandoise. Statuts : Etoile Saint Amandoise. Sommaire : Présentation But et composition Affiliation Ressources Administration et fonctionnement o Comité de direction o Le bureau o Assemblée générale Ordinaire o Assemblée

Plus en détail

Règlement de la Consultation

Règlement de la Consultation DEPARTEMENT DE LA GIRONDE (33520) MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Règlement de la Consultation Ville de Bruges Pôle Ressources Service Juridique et Commande Publique Hôtel de Ville

Plus en détail

Journal Officiel de la République Tunisienne 10 septembre 2013 N 73. Page 2634

Journal Officiel de la République Tunisienne 10 septembre 2013 N 73. Page 2634 Arrêté du ministre des technologies de l information et de la communication du 29 juillet 2013, portant approbation du cahier des charges fixant les conditions et les procédures de fourniture des services

Plus en détail

Processus 2D-Doc. Version : 1.1 Date : 16/11/2012 Pôle Convergence AGENCE NATIONALE DES TITRES SECURISÉS. Processus 2D-Doc.

Processus 2D-Doc. Version : 1.1 Date : 16/11/2012 Pôle Convergence AGENCE NATIONALE DES TITRES SECURISÉS. Processus 2D-Doc. Page 1 sur 16 PROCESSUS 2D-DOC...1 1. ARCHITECTURE GLOBALE...4 1.1. 1.2. Les rôles... 4 Les étapes fonctionnelles... 5 1.2.1. Etape 1 : la création du code à barres... 5 1.2.2. Etape 2 : l envoi du document...

Plus en détail

FONDEMENTS JURIDIQUES

FONDEMENTS JURIDIQUES PREFECTURE DE L ALLIER DIRECTION DES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITES TERRITORIALES Bureau du Conseil et du contrôle de légalité LA COMMISSION DE DELEGATION DE SERVICE PUBLIC (CDSP) élection, constitution,

Plus en détail

COUDEKERQUE-BRANCHE STATUTS

COUDEKERQUE-BRANCHE STATUTS COUDEKERQUE-BRANCHE Siége administratif : 33 rue Arago, 59210 Coudekerque branche Association loi 1901 n 6356 Affiliation Fédération Française de Triathlon n 02021 Agrée Jeunesse et Sports n 59S1875 N

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CIRCULAIRE CDG90 07-13 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, article 22 bis. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions

Plus en détail

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur

GUIDE OEA. Guide OEA. opérateur Guide > > Fiche 1 : Pourquoi être certifié? > > Fiche 2 : Les trois types de certificats et leurs critères > > Fiche 3 : La préparation de votre projet > > Fiche 4 : Le questionnaire d auto-évaluation

Plus en détail

Modalités de transmission du pli par voie électronique

Modalités de transmission du pli par voie électronique Modalités de transmission du pli par voie électronique Ce document est visé dans les règlements des consultations lancées par le CHU de Poitiers Il est précisé que le retrait des documents électroniques

Plus en détail

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes)

Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) 1 Commune municipale Cahier des charges du secrétaire municipal et administrateur des finances municipales (les définitions personnelles se rapportent aux deux sexes) I. GENERALITES 1. Bases légales, prescriptions

Plus en détail

Agrément des associations de protection de l environnement

Agrément des associations de protection de l environnement 1 Agrément des associations de protection de l environnement (Articles L 141-1 et R 141-1 à R 141-20 du code de l environnement). Le cadre général Les conditions pour qu une association soit agréée Le

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION

REGLEMENT DE LA CONSULTATION PRÉFET DE LA CHARENTE Direction des Ressources Humaines, Des Finances et de la Logistique Mutualisée Bureau Interservices de l Immobilier et de la logistique mutualisée REGLEMENT DE LA CONSULTATION ENTRETIEN

Plus en détail

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016

CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant

Plus en détail

Protocole d'accord préélectoral d'entreprise relatif aux élections des délégués du personnel d'e.on France Management

Protocole d'accord préélectoral d'entreprise relatif aux élections des délégués du personnel d'e.on France Management Protocole d'accord préélectoral d'entreprise relatif aux élections des délégués du personnel d'e.on France Management Entre : E.ON France Management dont le siège social est situé à Paris (75009), 5 rue

Plus en détail

SOMMAIRE. Page 2 sur 15

SOMMAIRE. Page 2 sur 15 Fiche FOCUS Les téléprocédures Créer un espace abonné professionnel avec identifiant / mot de passe (en 3 étapes) Page 1 sur 15 Les téléprocédures Fiche FOCUS : Créer un espace abonné professionnel avec

Plus en détail

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la Loi 1901, ayant pour titre :...

Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la Loi 1901, ayant pour titre :... Statuts d'association : exemple de statuts type Si l'on s'en tient strictement aux termes de la loi 1901, il n'y a pas de statuts modèles. Cependant,l'utilisation de statuts-type facilite la création d'une

Plus en détail

Innovation technologique dans les établissements scolaires : l ENT, les impacts sur l organisation du travail et les risques associés

Innovation technologique dans les établissements scolaires : l ENT, les impacts sur l organisation du travail et les risques associés Innovation technologique dans les établissements scolaires : l ENT, les impacts sur l organisation du travail et les risques associés Version destinée aux enseignants qui exercent dans des établissements

Plus en détail

Poll-O Guide de l utilisateur. Pierre Cros

Poll-O Guide de l utilisateur. Pierre Cros Poll-O Guide de l utilisateur Pierre Cros TABLE DES MATIÈRES Table des matières Table des matières 1 1 Créer un site sur Poll-o.fr 2 2 Configurer le site 2 3 Créer une enquête ou un vote 2 3.1 Ajouter,

Plus en détail

F-Montélimar: Services d'architecture, d'ingénierie et de planification 2010/S 67-101090 AVIS DE CONCOURS

F-Montélimar: Services d'architecture, d'ingénierie et de planification 2010/S 67-101090 AVIS DE CONCOURS 1/6 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:101090-2010:text:fr:html F-Montélimar: Services d'architecture, d'ingénierie et de planification 2010/S 67-101090 AVIS DE CONCOURS

Plus en détail

FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS

FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS FONCTIONNEMENT DES ASSOCIATIONS 1 IMPORTANT A L APPROCHE DE VOS ASSEMBLEES GENERALES PENSEZ A METTRE A JOUR VOS STATUTS OU REGLEMENT INTERIEUR SELON LE CAS Les fondateurs d'une association peuvent avoir

Plus en détail

Organisation de la Cyberse curite. E ric Jaeger, ANSSI/SDE/CFSSI Journe e SPECIF-Campus du 7 novembre 2014, CNAM, Paris

Organisation de la Cyberse curite. E ric Jaeger, ANSSI/SDE/CFSSI Journe e SPECIF-Campus du 7 novembre 2014, CNAM, Paris Organisation de la Cyberse curite E ric Jaeger, ANSSI/SDE/CFSSI Journe e SPECIF-Campus du 7 novembre 2014, CNAM, Paris Quelques enjeux de la cybersécurité Virus DoS Défigurations Vie privée Escroqueries

Plus en détail

INDICATIONS DE CORRECTION

INDICATIONS DE CORRECTION SUJET NATIONAL POUR L ENSEMBLE DES CENTRES DE GESTION ORGANISATEURS TECHNICIEN TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2 ème CLASSE SESSION 2014 EPREUVE Rédaction d un rapport technique portant sur la spécialité au titre

Plus en détail

Thalesflaytheon ys e PROTOCOLE D ACCORD PRE- ELECTORÂL. Elections 2013 des Membres du Comité d Entreprise et des Délégués du Personnel

Thalesflaytheon ys e PROTOCOLE D ACCORD PRE- ELECTORÂL. Elections 2013 des Membres du Comité d Entreprise et des Délégués du Personnel Thalesflaytheon ys e s PROTOCOLE D ACCORD PRE- ELECTORÂL Elections 2013 des Membres du Comité d Entreprise et des Délégués du Personnel Entre: LA SOCIETE THALES RAYTHEON SYSTEMS COMPANY SAS d une part,

Plus en détail

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme

UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme UE 8 Systèmes d information de gestion Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur Indications

Plus en détail

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier.

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier. Ce texte a été élaboré par la CSSF à des fins d information ; seul le texte publié au Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg fait foi. Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes

Plus en détail

Règlement intérieur de l Université Sorbonne Paris Cité

Règlement intérieur de l Université Sorbonne Paris Cité Règlement intérieur de l Université Sorbonne Paris Cité (adopté par le Conseil d administration du 8 octobre 2014) * Chapitre 1. Dispositions électorales communes aux instances de gouvernance Article 1.

Plus en détail

association suisse du mimosa du bonheur

association suisse du mimosa du bonheur association suisse du mimosa du bonheur STATUTS Chapitre Premier Dispositions générales Article 1 Nom et siège L Association Suisse du Mimosa du Bonheur est une association au sens des articles 60 et suivants

Plus en détail

2 ASIP Santé/DSSIS : Guide Pratique - Règles de sauvegarde des Systèmes d Information de Santé (SIS) Juillet 2014 V0.3

2 ASIP Santé/DSSIS : Guide Pratique - Règles de sauvegarde des Systèmes d Information de Santé (SIS) Juillet 2014 V0.3 VERSION V0.3 Guide Pratique Règles de sauvegarde des Systèmes d Information de Santé (SIS) Politique Générale de Sécurité des Systèmes d Information de Santé (PGSSI-S) - Juillet 2014 MINISTÈRE DES AFFAIRES

Plus en détail

N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08

N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08 N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08 CONVENTION D'ACCUEIL D'ETUDIANTS AU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES DANS LE CADRE DES STAGES D'ETUDES I. CONDITIONS GENERALES DE

Plus en détail

S T A T U T S (Association loi 1901)

S T A T U T S (Association loi 1901) CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée

Plus en détail

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin Vu les articles L.213-2 et L.421-23 II du code de l Education qui confient aux départements la compétence

Plus en détail

COMMISSION D ACCÈS À L INFORMATION

COMMISSION D ACCÈS À L INFORMATION Siège Bureau de Montréal Bureau 1.10 Bureau 18.200 575, rue Saint-Amable 500, boulevard René-Lévesque Ouest Québec (Québec) G1R 2G4 Montréal (Québec) H2Z 1W7 Tél. : (418) 528-7741 Tél. : (514) 873-4196

Plus en détail

STATUTS CLUB FJR 1300 France www.clubfjr1300france.fr

STATUTS CLUB FJR 1300 France www.clubfjr1300france.fr STATUTS CLUB FJR 1300 France www.clubfjr1300france.fr Article 1 : Création Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16

Plus en détail

Introduction et sommaire

Introduction et sommaire Mémoire de l Association canadienne des professionnels de l insolvabilité et de la réorganisation Introduction et sommaire 277, rue Wellington Ouest Toronto (Ontario) M5V 3H2 Tél. : 416-204-3242 Téléc.

Plus en détail

ASSOCIATION DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE COTE D'IVOIRE (A.U.B.E.F C.I)

ASSOCIATION DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE COTE D'IVOIRE (A.U.B.E.F C.I) ASSOCIATION DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS FINANCIERS DE COTE D'IVOIRE (A.U.B.E.F C.I) ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES INTERETS ET LA DEFENSE DES DROITS DES USAGERS DES BANQUES ET ETABLISSEMENTS

Plus en détail

CoperfinFlash Extra. L équipe se forme. Dans ce numéro: Qui sont vos nouveaux managers? Mise en oeuvre de la nouvelle structure

CoperfinFlash Extra. L équipe se forme. Dans ce numéro: Qui sont vos nouveaux managers? Mise en oeuvre de la nouvelle structure L équipe se forme... CoperfinFlash Extra L équipe se forme Depuis début avril, l équipe de nos N-1 est au grand complet: Jean-Marc DELPORTE devient le nouvel Administrateur général de notre entité Impôts

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

Commentaire. Décision n 2014-405 QPC du 20 juin 2014. Commune de Salbris

Commentaire. Décision n 2014-405 QPC du 20 juin 2014. Commune de Salbris Commentaire Décision n 2014-405 QPC du 20 juin 2014 Commune de Salbris (Répartition des sièges de conseillers communautaires entre les communes membres d une communauté de communes ou d une communauté

Plus en détail

Charte d adhésion «Marché Public Simplifié»

Charte d adhésion «Marché Public Simplifié» Charte d adhésion «Marché Public Simplifié» Préambule Ce document traduit l engagement des parties à faciliter l accès des entreprises aux marchés publics, en œuvrant à la réduction des informations ou

Plus en détail

Objet de la consultation

Objet de la consultation REGLEMENT DE LA CONSULTATION Objet de la consultation Télésurveillance des alarmes anti-intrusion et incendie, avec gardiennage pour les bâtiments de la Communauté d agglomération Caen la mer MARCHES PUBLICS

Plus en détail

LIVRET SERVICE. Portail Déclaratif Etafi.fr

LIVRET SERVICE. Portail Déclaratif Etafi.fr LIVRET SERVICE Portail Déclaratif Etafi.fr LS-YC Portail Déclaratif Etafi.fr-11/2013 ARTICLE 1 : PREAMBULE LIVRET SERVICE PORTAIL DECLARATIF ETAFI.FR Les télé-procédures de transfert de données fiscales

Plus en détail

Règlement intérieur du Conseil d administration

Règlement intérieur du Conseil d administration Règlement intérieur du Conseil d administration Le présent règlement intérieur a été adopté par le Conseil d administration à sa première session, le 14 décembre 1977. À sa cinquante-quatrième session,

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CCONSULTATION

REGLEMENT DE LA CCONSULTATION ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH ECOLE NATIONALE DES SCIENCES APPLIQUEES FES APPEL D OFFRES OUVERT SCEANCE PUBLIQUE N 02F/2014 REGLEMENT DE LA CCONSULTATION OBJET : ACHAT EN RENOUVELLEMENT

Plus en détail

La présente circulaire a pour objet de vous préciser les mesures que vous aurez à prendre avant, pendant et après le scrutin.

La présente circulaire a pour objet de vous préciser les mesures que vous aurez à prendre avant, pendant et après le scrutin. Secrétariat général DIRECTION DE LA MODERNISATION ET DE L ACTION TERRITORIALE Sous-direction des affaires politiques et de la vie associative Bureau des élections et des études politiques CIRCULAIRE N

Plus en détail

Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger.

Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Olivier HOEBANX Associé BMH Avocats Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Introduction Depuis quelques années, de nombreux pays se sont engagés dans des démarches

Plus en détail

Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux

Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux 11 février 2010 CONFERENCE IDC CLOUD COMPUTING Le Cloud dans tous ses états Le contrat Cloud : plus simple et plus dangereux Les bons réflexes pour entrer dans un contrat Cloud en toute sécurité Benjamin

Plus en détail

CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE MISE A JOUR SITE INTERNET

CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE MISE A JOUR SITE INTERNET CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE MISE A JOUR SITE INTERNET Entre les soussignés : La société Creerweb.fr Immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Perpignan sous le numéro Siret : 795

Plus en détail