Avancées et limites du modèle politique de réduction des risques à la française. Marie Jauffret-Roustide Cermes3 (Inserm U988)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Avancées et limites du modèle politique de réduction des risques à la française. Marie Jauffret-Roustide Cermes3 (Inserm U988)"

Transcription

1 Avancées et limites du modèle politique de réduction des risques à la française Marie Jauffret-Roustide Cermes3 (Inserm U988)

2 Difficile mise en place de la politique de RDR en France Mise en place tardive des premières mesures de réduction des risques (RDR) à la fin des années 1980, après d autres pays européens. Violence des débats entre partisans de la RDR et intervenants en toxicomanie dans les années 80 en France Choix d une vision intégrationniste de la RDR qui créé une opposition forte entre les différentes approches de la prévention du VIH/VHC et du soin. Promotion d une vision exclusivement sanitaire de la RDR non prise en compte de l ensemble des risques auxquels sont confrontés les usagers de drogues, à savoir les risques légaux, sociaux, et relationnels. Inscription de la RDR dans la loi de santé publique en 2004.

3 Enjeux actuels La France compte actuellement injecteurs actifs, et plus de la moitié d entre eux sont contaminés par l hépatite C. Au niveau européen, la France se caractérise par une prévalence de l hépatite C élevée. Efficacité du modèle français de réduction des risques sur la diminution de la transmission du VIH, mais impact plus limité vis-à-vis de l hépatite C. Quelles est la situation épidémiologique actuelle concernant les épidémies de VIH et de VHC chez les usagers de drogues en France? Quelles sont les forces et les faiblesses du modèle français de réduction des risques?

4 Estimations prévalences VIH et VHC Coquelicot 2011 VIH 9,8% [7,7-12,3] VHC 43,7% [39,3-48,1]

5 Prévalences en % Prévalences VIH et VHC par ville, Coquelicot VIH VHC Bordeaux Lille Marseille Paris Strasbourg

6 Produits consommés au cours du dernier mois (en pourcentages), Coquelicot 2011 Hypnotiques 32 Benzodiazépines 37 LSD 2 Ketamine MDMA 3 3 Amphets 4 Héroïne 19 Cocaïne 28 Crack /Free base 33

7 Une bonne «couverture» des TSO, Coquelicot % des UD sont sous TSO dans les 6 derniers mois. 10% hors cadre médical. 64% méthadone 38% buprénorphine 3% sulfates de morphine

8 Des données préoccupantes La persistance des pratiques à risque : près de la moitié des usagers de drogues déclarent avoir partagé du matériel d injection au cours du dernier mois. Un tiers des usagers déclare avoir réalisé sa dernière injection dans l espace public. 1 usager sur 10 ayant été incarcéré déclare avoir injecté lors de sa détention. Données Coquelicot 2011

9 Une réticence vis-à-vis des innovations Le silence autour des PES en prison. Les hésitations / salles de consommation médicalement supervisées (décision négative du conseil d Etat). L absence de prise en compte du risque d exposition au VHC chez les usagers de crack malgré les résultats positifs de l enquête sur les kits crack.

10 The French Paradox Au niveau international, la France est présentée comme un «modèle» concernant la couverture des TSO. Retard important vis-à-vis de l implantation de mesures innovantes de réduction des risques. Choix français d un modèle «faible» de RDR maintient l interdit et la pénalisation des drogues, valorise une forme médicalisée de la réduction des risques exclusivement axée sur le traitement médicamenteux de l usage de drogues, se désintéresse du contexte social de consommation, Favorise la stigmatisation des usagers et leur exposition au risque

11 Fragilité du modèle «faible» de RDR Malgré l intégration de la RDR dans la loi de santé publique, cette politique reste fragile et encore très souvent décriée, en raison de la perception morale de l usage de drogues en France et du maintien de l interdit légal. Le débat actuel sur les SCMS et la décision négative du conseil d Etat révèlent la fragilité du modèle «faible» de réduction des risques à la française. La vision intégrationniste de la RDR à la française tend à opposer RDR et soin, et entraîne des réticences vis-à-vis des innovations de santé publique comme les SCMS perçues comme une forme de prosélytisme vis-à-vis de l usage et comme un renoncement vis-àvis du soin.

12 Fonder les politiques sur des évidences scientifiques En 2010, la Déclaration de Vienne a demandé aux Etats de fonder les politiques de réduction des risques sur des preuves scientifiques et non de l idéologie. La France a du mal à intégrer ses évidences et considère que ce qui a été efficace «ailleurs» ne sera pas adapté au contexte français. Il est indispensable que la France puisse s inscrire aujourd hui dans cette lignée afin de mettre en œuvre une véritable politique de santé publique incluant une version forte de la réduction des risques qui s oppose à la répression de l usage, s appuie sur des bases scientifiques pour plus d efficacité dans la lutte contre l hépatite C en faveur des usagers de drogues.

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA

Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Drug Misuse and Treatment in Morocco

Drug Misuse and Treatment in Morocco Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:

Plus en détail

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne

Tableau de bord sur les addictions en Bretagne DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/

Plus en détail

Réduction des risques

Réduction des risques Réduction des risques chez les usagers de drogues Synthèse et recommandations Expertise collective Expertise collective - 2-30/06/2010 Ce document présente la synthèse et les recommandations du groupe

Plus en détail

47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique

47 000 consultants testés entre 2004 et 2008 S U R V E I L L A N C E V H C N 8. Encart méthodologique L A L E T T R E D ' I N F O R M A T I O N D U S Y S T E M E D E S U R V E I L L A N C E D U V H C E N P R O V E N C E - A L P E S - C Ô T E D ' A Z U R S U R V E I L L A N C E V H C N 8 Surveillance continue

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010

CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE DRUG MONDIAL SUR LES

RÉSUMÉ ANALYTIQUE DRUG MONDIAL SUR LES RÉSUMÉ ANALYTIQUE RAPPORT WORLD DRUG MONDIAL SUR LES REPORT DROGUES 2014 Résumé analytique Chaque année, le Rapport mondial sur les drogues passe en revue les principales évolutions intervenues sur les

Plus en détail

PRÉVALENCE DE L USAGE PROBLÉMATIQUE DE DROGUES EN FRANCE - ESTIMATIONS 2006 -

PRÉVALENCE DE L USAGE PROBLÉMATIQUE DE DROGUES EN FRANCE - ESTIMATIONS 2006 - F O C U S Consommations et conséquences PRÉVALENCE DE L USAGE PROBLÉMATIQUE DE DROGUES EN FRANCE - ESTIMATIONS 2006 - Jean-Michel Costes Laure Vaissade Emanuella Colasante * Christophe Palle Stéphane Legleye

Plus en détail

Les solutions de crédit lombard. Edition française

Les solutions de crédit lombard. Edition française Les solutions de crédit lombard Edition française Couvrez vos besoins financiers avec une solution adaptée Vous avez besoin de liquidités à court terme? Vous souhaitez optimiser votre structure financière

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE

Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE Page1 LE DROIT AU RESPECT DE LA DIGNITE 0 Page2 Sommaire Les droits rattachés au respect de la personne... 3 Le droit au respect de sa dignité... 3 Quelle est la signification de la dignité en droit de

Plus en détail

Du bon usage de la téléphonie mobile

Du bon usage de la téléphonie mobile Du bon usage de la téléphonie mobile Sommaire 1. Introduction 3 2. Le téléphone mobile a-t-il un impact sur la santé? 4 3. Antenne et terminaux : le Maroc veille à respecter les normes internationales

Plus en détail

La politique marseillaise en faveur des Seniors

La politique marseillaise en faveur des Seniors La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes

Plus en détail

Conditions générales de prestations de services

Conditions générales de prestations de services Conditions générales de prestations de services Article 1 Objet Les présentes conditions générales (ci-après les «Conditions Générales») ont pour objet de préciser les modalités d intervention de GEVERS

Plus en détail

Propositions concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT

Propositions concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT s concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT Les présentes propositions ont été élaborées par le Pôle Festif de l'association Française pour la Réduction des risques liés aux usages de

Plus en détail

USAGES NON SUBSTITUTIFS

USAGES NON SUBSTITUTIFS USAGES NON SUBSTITUTIFS DE LA BUPRÉNORPHINE HAUT DOSAGE Investigation menée en France, en 2002-2003 T R E N D Tendances récentes et nouvelles drogues Serge ESCOTS Georges FAHET Juin 2004 USAGES NON SUBSTITUTIFS

Plus en détail

PHÉNOMÈNES ÉMERGENTS TENDANCES RÉCENTES LIÉS AUX DROGUES EN 2005 SUR LE SITE DE PARIS. Tendances récentes et nouvelles drogues

PHÉNOMÈNES ÉMERGENTS TENDANCES RÉCENTES LIÉS AUX DROGUES EN 2005 SUR LE SITE DE PARIS. Tendances récentes et nouvelles drogues PHÉNOMÈNES ÉMERGENTS LIÉS AUX DROGUES EN 2005 T R E N D Tendances récentes et nouvelles drogues TENDANCES RÉCENTES SUR LE SITE DE PARIS Janvier 2007 PREFECTURE DE LA REGION D ILE-DE-FRANCE REGION ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005

Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position adoptée en janvier 2005 1 Le partenariat des organismes communautaires du Nouveau-Brunswick liés au sida ÉNONCÉ DE POSITION Une approche selon la réduction des méfaits pour les utilisateurs de drogues injectables (UDI) Position

Plus en détail

usagers de drogues par injection

usagers de drogues par injection Recherche-action sur les besoins et l offre de services à destination des usagers de drogues par injection en Région wallonne novembre 2010 Avec le soutien de la Région wallonne Recherche-action sur les

Plus en détail

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale

Plus en détail

plus savoir drogues Premier ministre livret juridique

plus savoir drogues Premier ministre livret juridique Premier ministre drogues savoir plus livret juridique droit et réglementation actions internationales dispositifs publics données statistiques formation politiques publiques prévention science et recherche

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

Hépatite C chez les usagers de drogues

Hépatite C chez les usagers de drogues MISE AU POINT Dr Jean-Michel Delile*, Dr Brigitte Reiller*, Dr Juliette Foucher**, Pr Victor de Lédinghen**, Pr Jean-Pierre Gachie*, *** * CEID, 24, rue du Parlement Saint-Pierre, F-33000 Bordeaux. Courriel

Plus en détail

USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS

USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS USAGERS DE DROGUE ET VHC ADIJA CHAMPAGNOLE MARDI 17 MARS RAPPELS Répartition des patients VHC 15% Nosocomial 20% Autres + Inconnue 3% Activité prof. 37 % Transfusion 1 % sexuel 25 % Toxicomanie IV D'après

Plus en détail

Cahier des charges APPEL À PROJETS 2015 ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES

Cahier des charges APPEL À PROJETS 2015 ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES APPEL À PROJETS 2015 Cahier des charges ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES Fondation Harmonie Solidarités, 143 rue Blomet - 75015 Paris - Autorisation administrative de

Plus en détail

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé

L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne

Plus en détail

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS

Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch

Plus en détail

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant www.rsi.fr Le RSI a pour mission d assurer la protection sociale obligatoire de 6,1 millions de chefs d entreprise indépendants actifs

Plus en détail

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE

THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 F A C U L T É D E M É D E C I N E Année 20 13 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR CUSSAC Fanny Née le 24 février 1984 à Brou sur Chantereine Présentée

Plus en détail

Synthèse des réflexions

Synthèse des réflexions Synthèse des réflexions 5ème Journée de Rencontres Inter-Professionnelles ADDICTION ET PRÉCARITÉ Le 2 février 2008 À l Auberge de Jeunesse DU PORT DU RHIN ------------------------------------ Organisée

Plus en détail

«Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel»

«Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel» «Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel» Incidence de la réforme de la loi «Informatique et libertés» et de la loi «Économie Numérique» Emilie PASSEMARD, Chef du service

Plus en détail

11ème Colloque International

11ème Colloque International 11ème Colloque International 8-11 octobre 2013»»» Centre de Congrès Le Bellevue Biarritz - France www.ths-biarritz.com /// Séances plénières /// Débats /// Ateliers de travail /// Communications affichées

Plus en détail

1.2 AD Missions a pour vocation de prendre en charge la gestion du contrat de travail et des contrats commerciaux qu aura prospectés l Adhérent.

1.2 AD Missions a pour vocation de prendre en charge la gestion du contrat de travail et des contrats commerciaux qu aura prospectés l Adhérent. ENTRE LES SOUSSIGNES : La Société «AD Missions», SAS au capital de 150.000 Euros, RCS Paris 412 383 234 dont le siège social est situé 20 rue Brunel 75017 PARIS, représentée par Monsieur Sylvestre BLAVET,

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

BILAN D ACTIVITES PLAN D ACTION 2014. Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro

BILAN D ACTIVITES PLAN D ACTION 2014. Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro BILAN D ACTIVITES DU PLAN D ACTION 2014 Hôpital Psychiatrique Saint Vincent de Paul de Yamoussoukro 1 AVANT PROPOS Avec un taux de croissance de 6% de nouveaux cas reçu cette année, l Hôpital Psychiatrique

Plus en détail

Libre choix par l assuré de son réparateur et de son expert : le CNPA à l offensive

Libre choix par l assuré de son réparateur et de son expert : le CNPA à l offensive 22 mai 2015 IA15087 Libre choix par l assuré de son réparateur et de son expert : le CNPA à l offensive Le combat du CNPA pour rendre pleinement opérationnel de libre choix de son réparateur s amplifie

Plus en détail

Politique Utilisation des actifs informationnels

Politique Utilisation des actifs informationnels Politique Utilisation des actifs informationnels Direction des technologies de l information Adopté le 15 octobre 2007 Révisé le 2 juillet 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. OBJECTIFS... 3 2. DÉFINITIONS... 3

Plus en détail

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise

Plus en détail

rogues et addictions, données essentielles

rogues et addictions, données essentielles 2013 D rogues et addictions, données essentielles Drogues et addictions, données essentielles Contributions Drogues et addictions, données essentielles est un ouvrage collectif de l Observatoire français

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

La qualité des services mobiles en France métropolitaine

La qualité des services mobiles en France métropolitaine Juin 2014 La qualité des services mobiles en France métropolitaine Synthèse de l enquête 2014 ISSN : 2258-3106 Synthèse des résultats de l enquête 2014 de l ARCEP sur la qualité des services mobiles Ce

Plus en détail

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49 Les cartes de Bruit Recueil des données du trafic aérien Service Technique de l Aviation Civile François WATRIN Recueil et mise en forme des données du trafic

Plus en détail

Liste de vérification pour la planification des services d approche

Liste de vérification pour la planification des services d approche Liste de vérification pour la planification des services d approche Janvier 2014 La présente liste de vérification s adresse aux praticiens de la santé publique qui font du travail de proximité auprès

Plus en détail

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

24 ème Réunion du Conseil de Coordination du Programme de l ONUSIDA Genève, Suisse 22-24 juin 2009

24 ème Réunion du Conseil de Coordination du Programme de l ONUSIDA Genève, Suisse 22-24 juin 2009 14 mai 2009 24 ème Réunion du Conseil de Coordination du Programme de l ONUSIDA Genève, Suisse 22-24 juin 2009 Prévention du VIH parmi les consommateurs de drogues injectables Page 2/29 Documents complémentaires

Plus en détail

Faire accepter les lieux de réduction des risques : un enjeu quotidien

Faire accepter les lieux de réduction des risques : un enjeu quotidien Faire accepter les lieux de réduction des risques : un enjeu quotidien Gwenola Le Naour, Chloé Hamant, Nadine Chamard-Coquaz To cite this version: Gwenola Le Naour, Chloé Hamant, Nadine Chamard-Coquaz.

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Loi institutant un Médiateur de la République du Sénégal

Loi institutant un Médiateur de la République du Sénégal Loi institutant un Médiateur de la République du Sénégal Loi n 91-14 du 11 février 1991 Article Premier Il est institué un Médiateur de la République, autorité indépendante qui reçoit, dans les conditions

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

Loi de santé 2015 Plaidoyer pour une lutte effective contre les inégalités de santé

Loi de santé 2015 Plaidoyer pour une lutte effective contre les inégalités de santé Loi de santé 2015 Plaidoyer pour une lutte effective contre les inégalités de santé SOmmaire 1. Simplifier l accès aux droits et aux soins... 7 La généralisation du tiers payant : une mesure qui améliore

Plus en détail

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE

CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE Nicolae Cochinescu Juge à la Cour constitutionnelle de la Roumanie CONSIDÉRATIONS SUR LA MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE 1. Conformément à l article 146 de la Constitution de la

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

Le classement des villes les plus gay-friendly de France

Le classement des villes les plus gay-friendly de France Le classement des villes les plus gay-friendly de France TÊTU publie le classement de 23 grandes agglomérations françaises, de la plus gay-friendly à la plus froide à l égard de ses habitants homos. 6.000

Plus en détail

Stimuler. Réduction des risques. l herbe qui cache la forêt / 19. Le crack. la recherche clinique. contre le trafic. et traitement anti-vih / 5

Stimuler. Réduction des risques. l herbe qui cache la forêt / 19. Le crack. la recherche clinique. contre le trafic. et traitement anti-vih / 5 Santé, réduction des risques et usages de drogues N o 44 Trimestriel / 2 Édito / 24 Le crack selon l enquête Coquelicot / 2 Réduction des risques et traitement anti-vih / 5 COMPTE Stimuler la recherche

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

tendances récentes 123RF/rawpixel TREND Rennes et Bretagne Auteur et nouvelles Guillaume Pavic drogues OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE SANTÉ BRETAGNE

tendances récentes 123RF/rawpixel TREND Rennes et Bretagne Auteur et nouvelles Guillaume Pavic drogues OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE SANTÉ BRETAGNE Auteur Guillaume Pavic tendances récentes TREND et nouvelles drogues 2013 Rennes et Bretagne 123RF/rawpixel OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE SANTÉ BRETAGNE 1 Table des matières Introduction au rapport de site...4

Plus en détail

PORTAIL DOCUMENTAIRE Guide d utilisation

PORTAIL DOCUMENTAIRE Guide d utilisation PORTAIL DOCUMENTAIRE Guide d utilisation Document réalisé par le Centre Ressources du CRFPE Septembre 2014 SOMMAIRE :: SOMMAIRE :: p. 3 1. Le portail documentaire : page d accueil p. 3 2. Le compte lecteur

Plus en détail

Conseil spécialisé céréales du 14 décembre 2011 POINT 5 Avis du Conseil sur la décision du Directeur Général de FranceAgriMer relative au financement

Conseil spécialisé céréales du 14 décembre 2011 POINT 5 Avis du Conseil sur la décision du Directeur Général de FranceAgriMer relative au financement Conseil spécialisé céréales du 14 décembre 2011 POINT 5 Avis du Conseil sur la décision du Directeur Général de FranceAgriMer relative au financement des céréales avec aval de FranceAgriMer sur la campagne

Plus en détail

Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité sur la route, mais toujours des prises de risque

Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité sur la route, mais toujours des prises de risque Communiqué de presse Mardi 16 septembre 2014 Baromètre AXA Prévention sur le comportement des Français en deux-roues motorisés Motards et Scootéristes, le paradoxe : Un sentiment croissant d insécurité

Plus en détail

Recommandations en matière d intervention en santé publique pour contrer l hépatite C en Ontario

Recommandations en matière d intervention en santé publique pour contrer l hépatite C en Ontario Recommandations en matière d intervention en santé publique pour contrer l hépatite C en Ontario Comité consultatif provincial des maladies infectieuses Maladies transmissibles Juilllet 2014 Santé publique

Plus en détail

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011

Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Guide de la pratique sur les réserves aux traités 2011 Texte adopté par la Commission du droit international à sa soixante-troisième session, en 2011, et soumis à l Assemblée générale dans le cadre de

Plus en détail

La guerre AUX. Rapport de la Commission MONDIAle POUr la politique des drogues. Juin 2011. (version française publiée en septembre 2011)

La guerre AUX. Rapport de la Commission MONDIAle POUr la politique des drogues. Juin 2011. (version française publiée en septembre 2011) La guerre AUX drogues Rapport de la Commission MONDIAle POUr la politique des drogues Juin 2011 (version française publiée en septembre 2011) Rapport de la Commission MONDIAle POur la politique des drogues

Plus en détail

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1

L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de

Plus en détail

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion

Tableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion Tableau de bord Tableau de bord Les addictions à La Réunion Décembre 2011 Tableau de bord sur les addictions à La Réunion Décembre 2011 Page 2 sur 52 SOMMAIRE INTRODUCTION...... 5 OFFRE ET PRODUCTION....

Plus en détail

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions?

Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Comment mobiliser les pharmaciens d officine sur les addictions? Quelques pistes de réflexions à partir de l expérience du Respadd David Michels, chargé de projets, Respadd Introduction L engagement de

Plus en détail

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015

Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel

Plus en détail

DON D ORGANES Donneur ou pas

DON D ORGANES Donneur ou pas Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par la loi de bioéthique du 6

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

zone 1 zone 2 zone 3 zoe 4 zone 5 zon 6 Abo mensuel 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 0,0498 0,0504 0,0511 0,0518 0,0524 0,0532

zone 1 zone 2 zone 3 zoe 4 zone 5 zon 6 Abo mensuel 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 15,40 0,0498 0,0504 0,0511 0,0518 0,0524 0,0532 DIRECT ENERGIE Direct Energie SA Capital : 9 786 660 - - immatriculée au RCS de Paris sous le n 448 570 057 - SIRET : 448 572 057 00058- Siège : 2 bis rue Louis Armand 75015 Paris Fiche Descriptive de

Plus en détail

Journée CAARUD 10 ans

Journée CAARUD 10 ans Journée CAARUD 10 ans Actes de la journée CAARUD 10 ans 15 janvier 2015 Prévus par la loi de santé du 9 août 2004, les CAARUD ont vu leurs missions précisées en 2005 par le décret 1606 du 19 décembre.

Plus en détail

ORS OBSERVATOIRE DE L ACCÈS AUX SOINS DE LA MISSION FRANCE. RAPPORT 2011 octobre 2012. mip

ORS OBSERVATOIRE DE L ACCÈS AUX SOINS DE LA MISSION FRANCE. RAPPORT 2011 octobre 2012. mip O ORS mip OBSERVATOIRE DE L ACCÈS AUX SOINS DE LA MISSION FRANCE RAPPORT 2011 octobre 2012 1 À la suite de la loi contre les exclusions de 1998 et de la création en 2000 de la couverture maladie universelle

Plus en détail

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI

RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

Règlement de Fonctionnement

Règlement de Fonctionnement Règlement de Fonctionnement Service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs Le règlement de fonctionnement est établi conformément aux dispositions du décret N 2008-1504 du 30 décembre 2008.

Plus en détail

Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert

Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert soins des personnes détenues Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert Pratique(s Addictions: les

Plus en détail

Conférence de consensus. Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés : place des traitements de substitution

Conférence de consensus. Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés : place des traitements de substitution Avec la participation de Conférence de consensus Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés : 23 et 24 juin 2004 Lyon (École normale supérieure) TEXTES DES RECOMMANDATIONS (version

Plus en détail

«L évaluation des politiques publiques : Un moyen de réconciliation entre opinion publique et action publique?»

«L évaluation des politiques publiques : Un moyen de réconciliation entre opinion publique et action publique?» Journée d'étude Organisée par le groupe PopAct de l'afsp et le Centre Emile Durkheim : «L évaluation des politiques publiques : Un moyen de réconciliation entre opinion publique et action publique?» Le

Plus en détail

RECOMMANDATION MEDIA. La Boîte à Pizza

RECOMMANDATION MEDIA. La Boîte à Pizza RECOMMANDATION MEDIA La Boîte à Pizza Sommaire I - Rappel du Brief 1.1 Produit 1.2 Contexte II - Cibles 2.1 Principale 2.2 Secondaire III - Objectifs IV - Stratégie des moyens - Aquitaine 4.1 Presse 4.2

Plus en détail

DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire?

DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire? DEPOSER UNE MARQUE : Quel intérêt et comment faire? FICHE CONSEIL Page : 1/7 Le choix d un nom sous lequel exercer son activité, la création d un logo, l élaboration d une charte graphique ne sont pas

Plus en détail

L'accès aux soins en milieu précaire : un défi pour la protection sociale

L'accès aux soins en milieu précaire : un défi pour la protection sociale L'accès aux soins en milieu précaire : un défi pour la protection sociale Caroline Despres (chercheur associé à l IRDES) - 1 - Deux recherches L analyse repose sur deux recherches réalisées deux années

Plus en détail

Conditions générales de vente - individuel

Conditions générales de vente - individuel Conditions générales de vente - individuel Article 1 : Information préalable au contrat. Le présent document constitue l information préalable à l engagement du client. Des modifications peuvent toutefois

Plus en détail

Dossier. Politique. Et nos rubriques. International 1,50. Les images et les drogues. RdR, Autosupport, Vie associative, Produits...

Dossier. Politique. Et nos rubriques. International 1,50. Les images et les drogues. RdR, Autosupport, Vie associative, Produits... 1,50 Dossier Asud-Journal n 35 Les images et les drogues s e h c o r acc s e l l e u vis Politique étienne Apaire et Fadela Amara International Le cannabis chez les ibères Et nos rubriques RdR, Autosupport,

Plus en détail

ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS

ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS La convention RDR et d expertise ASSURANCE AUTO : POINT IMPORTANTS Le but de la convention est d accélérer les règlements de sinistre. Ainsi les frais de gestion sont diminués et les assurés sont contents.

Plus en détail

LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues

LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues Juillet 2013 SOMMAIRE I. L utilité du crédit à la consommation Quel est le rôle du crédit dans l économie? Le marché du crédit à la consommation. A

Plus en détail

L éthique dans la société contemporaine

L éthique dans la société contemporaine L éthique dans les entreprises en contexte de gestion de crise dans le secteur agroalimentaire Horizon Marketing agroalimentaire 2009 Jeudi15 octobre 2009 M e Manon Beaumier, DSG-UQTR L éthique dans la

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 58 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2011-2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 25 octobre 2011 PROPOSITION DE LOI relative à la communication des collectivités territoriales, PRÉSENTÉE Par M. Jean-Claude

Plus en détail

La guerre aux drogues face au VIH/sida Comment la criminalisation de l usage de drogues aggrave la pandémie mondiale

La guerre aux drogues face au VIH/sida Comment la criminalisation de l usage de drogues aggrave la pandémie mondiale JUIN 212 La guerre aux drogues face au VIH/sida Comment la criminalisation de l usage de drogues aggrave la pandémie mondiale RAPPORT DE LA COMMISSION MONDIALE POUR LA POLITIQUE DES DROGUES Devant l ambassade

Plus en détail

Les collectivités territoriales face aux conduites addictives

Les collectivités territoriales face aux conduites addictives GUIDE PRATIQUE Les collectivités territoriales face aux conduites addictives Stupéfiants Alcool Tabac REMERCIEMENTS Ministère de la Justice et des Libertés Ministère de l Intérieur, de l Outre mer, des

Plus en détail

Rapport d activités 2009

Rapport d activités 2009 S O I N S P R E V E N T I O N F O R M A T I O N C O N S E I L EN A D D I C T O L O G I E C E N T R E D E S O I N S D 'AC C O M P A G N E M E N T E T D E P R E V E N T I O N E N A D D I C T O L O G I E

Plus en détail

Investir les contrées managériales de l action publique locale: le recours aux consultants

Investir les contrées managériales de l action publique locale: le recours aux consultants Investir les contrées managériales de l action publique locale: le recours aux consultants Atelier n 19 Participaient à cet atelier : Laurent DJEZZAR, directeur des finances et du contrôle de gestion au

Plus en détail

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)

Perspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD) Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation

Plus en détail

Liste des principales abréviations

Liste des principales abréviations 2014-2019 2 Liste des principales abréviations ART CRS DMG DPG FSF HSH IST LGBTQI MAS NONOPEP OPEP PMTCT PrEP PVVIH SIDA TasP TPE VIH Thérapie antirétrovirale Centres de référence Sida Dossier médical

Plus en détail

ma référence solidaire

ma référence solidaire Bien plus qu une mutuelle p ma référence solidaire mgen.fr Mutuelle Santé Prévoyance Autonomie Retraite Le groupe MGEN p La référence solidaire pour tous Chiffres clés 2013 2 3,7 3 209 millions de personnes

Plus en détail