QUARTIERS DU MONDE: HISTOIRES URBAINES

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1 QUARTIERS DU MONDE: HISTOIRES URBAINES FORMATION SUR LA VIDEO COMME OUTIL DE LA RECHERCHE-ACTION Equipe de Pikine octobre 2007 Silvana Ospina, Référente en Techniques de Communication, INCITA Alice Carré, Coordination Internationale, Quartiers du Monde

2 SOMMAIRE Introduction...3 I- Samedi 20 octobre Dynamique de familiarisation avec la caméra Initiation au langage des images : les plans, les mouvements de caméra Les différents plans et leur sens Les mouvements de caméra Les angles de la caméra Exercice pratique Travail de réflexion sur la thématique des migrations Initiation à la lecture de l image Préparation des vidéos...9 II- Dimanche 21 octobre Prise des images Visualisation des images et préparation au montage Montage des images Projection de vidéos des équipes du réseau «Quartiers du Monde»...12 III- Lundi 22 octobre Projection et analyse des vidéos Evaluation de l atelier Pistes de travail

3 Introduction La formation de l équipe du projet «Quartiers du Monde : Histoires urbaines» de Pikine en Vidéo comme outil de la Recherche-Action participative, s est tenue à Rufisque, du 20 au 22 octobre Les participants étaient au nombre de 11 jeunes, 7 filles et 4 garçons, âgés de 17 à 26 ans, accompagnés de leur facilitateur et du référent en Recherche-Action. La réalisation de la formation dans le Centre d hébergement Raoul Follereau à Rufisque, en dehors du quartier, a permis une entière disponibilité des participants et des horaires de travail étendus en soirée, tout en à proximité des lieux d intérêt pour le tournage des vidéos. La formation contenait les modules suivant : - Maniement de la caméra - Construction de l image - Montage et à l assemblage de vidéos sur ordinateur - Lecture critique des média pour l'analyse de la construction et des pratiques sociales Le but de la formation était de doter l équipe de connaissances techniques, mais également de faire en sorte qu elle s approprie des possibilités de l audio-visuel pour la lecture et l analyse de l environnement et la construction de propositions de changements sociaux. L outil audio-visuel a donc été proposé dans le cadre de la Recherche-Action sur les migrations, menée depuis avril 2007 par les équipes africaines et européennes du réseau. L équipe de Pikine avait donc au préalable travaillé et discuté des notions d émigration, immigration, exode rural, réfléchit à des problématiques et identifié des personnes et des endroits intéressants à filmer. La formation a été ponctuée de dynamiques de groupe et de veillées conviviales, propices à la construction d une ambiance chaleureuse et solidaire entre tous les participants. Nous remercions vivement tous les participants pour leur accueil et leur implication pendant ces journées de travail qui furent fructueuses. I- Samedi 20 octobre 1. Dynamique de familiarisation avec la caméra Les participants se disposent en deux rangs l un en face de l autre. La formatrice explique à une première personne le maniement de la caméra : introduction de la cassette vidéo, mise en marche, enregistrement, visionnage des images, les effacer, etc. Chacun filme alors la personne en face de lui en lui demandant de raconter quel est son rêve. Puis, chaque jeune explique à son tour le maniement de la caméra, qui change de main pour répéter ainsi l exercice. Cet exercice est très important car il nous 3

4 permet de comprendre que nous pouvons tous transmettre les connaissances acquises. Dans notre façon de faire des vidéos, personne n est propriétaire de la connaissance ni de l outil. Au contraire, en partageant ce que nous apprenons, la connaissance se déplace, évolue, s enrichit en passant de l'un à l autre. La caméra n est la propriété exclusive de personne. Cela implique une responsabilité collective : nous devons tous nous occuper du matériel avec lequel nous travaillons et savoir toujours qui en est le responsable à chaque moment. Enregistrer une vidéo est un travail collectif. On décide ensemble les sujets, les plans, les contenus de l image, les interviews. De même, tout le monde participe en filmant et en posant des questions. Par cet exercice, nous avons également appris à mieux nous connaître à travers des questions posées sur nos rêves. Cela permet de valoriser l expression des sentiments, des situations vécues, de la projection vers l avenir et de l image que l on a de soi, que l on socialise à travers la vidéo. 2. Initiation au langage des images : les plans, les mouvements de caméra L image est un langage à part entière, qui comme l écrit, comprend un «alphabet» qui permet de choisir ce qu on veut dire et de se faire comprendre : que voulons-nous montrer en faisant une vidéo? Comment construire une image en fonction de ce que l on veut montrer? 2.1. Les différents plans et leur sens 1 Il existe différents plans, et chacun a un sens dans l information qu il montre. Plan général (PG) Il situe l action et montre tous les protagonistes dans leur contexte. Il doit durer assez longtemps pour que le spectateur puisse avoir assez de repères pour assimiler les informations que le réalisateur a voulu donner : comme indiquer une situation géographique dans laquelle l'action va évoluer par la suite, un groupe de personnes... Plan d'ensemble (PE) On prend la totalité du décor et les personnages qui s'y trouvent. C'est le plan de l'exposition par excellence. Les plans d'ensemble sont souvent utilisés comme introduction ou comme conclusion d'un film, reportage... car ils permettent de situer le cadre de l'œuvre (de même que dans un texte, l'introduction va souvent du général vers le particulier, et la conclusion rouvre vers le général). 1 Adapté de : 4

5 Plan de demiensemble (PDE) Il ne couvre qu'une partie du décor ou de l'action. Il concentre l'attention sur un groupe bien particulier. Plan moyen ou Plan pied (PM ou PP) Il cadre un ou plusieurs personnages en pied. Il concentre l'attention du spectateur sur le ou les personnages, éventuellement dans un espace qui les situe. Plan italien Plan montrant un personnage jusqu'aux genoux. Plan américain (PA) Il cadre les personnages à mi-cuisses. Il rapproche encore davantage le spectateur des personnages. Le plan américain a été ainsi dénommé car c'est le plan typique des films américains des années 30 et 40. Ce type de plan permet également de montrer plusieurs personnages lors d'un dialogue sans nécessiter de modifier la position de la caméra. Plan rapproché taille (PRT) Ce plan cadre les personnages à la ceinture et montre principalement ce qu'ils disent et font sans pour autant attirer exagérément l'attention sur un détail précis. Il place les acteurs à la distance qui sépare les interlocuteurs d'une conversation, il accentue l'intimité, permet de lire les réactions psychologiques, le jeu du visage et des épaules. La durée de ce plan est en fonction du dialogue et de l'action en cours. Plan rapproché poitrine (PRP). Il a les mêmes fonctions que le plan rapproché taille, en accentuant un peu plus les traits du visage du personnage. C'est, par excellence, le plan du journaliste derrière son bureau. La durée de cette valeur de plan est liée au dialogue. Gros plan (GP) On ne voit qu'une partie d'un personnage sur laquelle on veut attirer l'attention. Il permet de lire directement la vie intérieure d'un personnage, ses émotions, ses réactions les plus intimes. C'est le plan de l'analyse psychologique. Le très gros plan Il montre un seul objet, un détail du visage, par exemple. Généralement très bref, il sert la progression du récit ou du suspense en attirant l'attention sur un détail frappant. Plan de détail C'est l'équivalent d'un gros plan mais pour un objet. Il est souvent utilisé pour mettre en valeur un détail du décor comme une carte de visite oubliée sur le lieu d'un meurtre etc. 5

6 2.2. Les mouvements de caméra Déplacer la caméra sans intention gêne le spectateur. Un mouvement de caméra doit nous amener d un point d intérêt à un autre, afin de montrer et d expliquer quelque chose. Il faut faire attention à la vitesse du mouvement : trop rapide, il sera désagréable et incompréhensible, trop lent il ennuiera. - Le zoom: la caméra est fixe et l on zoom en avant ou en arrière. Attention à ne pas en abuser l image perd en qualité et les mouvements sont souvent trop rapides. De plus, si l on zoom en avant tout en étant éloigné du sujet, le son risque de ne pas être audible. On préfèrera donc se déplacer avec la caméra, afin de se rapprocher ou s éloigner du sujet. - Le panoramique : la caméra tourne sur son axe, de manière verticale ou horizontale, en étant dans la main du caméraman immobile ou sur un trépied. Ce mouvement permet de décrire un lieu, une situation, sans avoir besoin de mots, de sous-titres ou de commentaires. Il aide aussi la narration en mettant l accent sur le point sur lequel on va s arrêter à la fin. - Le travelling: la caméra se déplace d un lieu à l autre (droite à gauche, haut ou bas) sur une grue ou par une personne qui se déplace (dans un train, sur une bicyclette, des patins, un chariot etc.) Les angles de la caméra La caméra se tient le plus souvent dans l axe horizontal par rapport à ce qu on filme. C est la meilleure position car on est à la même hauteur que la personne interviewée ou que l image que l on veut enregistrer. La plongée: Il s agir d une prise de vue du haut vers le bas, lorsque la caméra est située plus haut que l objet que l on filme. Cet objet /personne devient plus petit, comme s il avait rétréci ou était tassé. Cela peut donner l impression que la personne est inférieure, faible. Il est donc important de savoir quand on l utilise, pourquoi on l utilise et si on l utilise. La contre-plongée: C est la vue qu'a un petit enfant en regardant un adulte et qui se produit lorsque la caméra est située plus bas que l objet que l on filme. Cela donne l impression que l objet / la personne est plus grand, de grandes proportions. Il est donc important de savoir quand on l utilise, pourquoi on l utilise et si on l utilise. Il est important de connaître ces éléments pour pouvoir les utiliser lors de la réalisation d une vidéo. Mais ils sont aussi importants au moment de la lecture, de l analyse d un produit des médias, car on peut ainsi connaître quelques-unes des stratégies utilisées par ceux qui font de la télévision, du cinéma, de la publicité, pour nous faire sentir ou penser d une manière ou d une autre. Cela est également important dans le travail de pré-production (avant d enregistrer), pour décider ce que nous 6

7 voulons savoir, ce que nous voulons montrer, la manière dont nous allons le montrer, et pour qui nous voulons le montrer. Pour cela, le groupe doit définir chaque étape de la vidéo en termes d objectifs, de types d informations, d images ou de scènes, de décors (si on veut faire une fiction), ainsi que les personnes qu on veut interviewer et les questions qu on veut poser On doit faire un storyboard, où le groupe définit chaque plan, son contenu, qui va le filmer, qui l on va interviewer ou qui vont être les acteurs, et avec quelles questions ou dialogues on va intervenir. Malgré cela, il est nécessaire d avoir aussi une disposition pour improviser, pour s adapter à la réalité qu on ne contrôle pas totalement, pour pouvoir capter et profiter des éléments que l on n avait pas prévus, qu il s agisse d images ou de témoignages, pouvoir réagir pour approfondir un élément d une interview, etc Exercice pratique Les participants s exerce alors à filmer des images en ayant au préalable choisit le plan et l angle de la caméra qu ils souhaitent utiliser. Cela a permis de familiariser les participants avec l utilisation de l appareil tout en permettant aux jeunes de prendre des images d eux et du groupe, de se voir dans un petit écran, de choisir une pose, la manière dont ils souhaitent se montrer, d effacer les photos qui ne leur plaisent pas, de jouer avec leur image et celle de leurs camarades. Pendant cet exercice informel, des éléments techniques étaient également abordés, tels que : le contre-jour, le cadrage, l équilibre de l image, etc. 3. Travail de réflexion sur la thématique des migrations Avant de penser aux vidéos à réaliser sur le thème des migrations, le groupe discute du thème et expose sa problématique et les hypothèses correspondantes : Pourquoi les jeunes du quartier migrent-ils? - Avoir de l argent plus vite - Revenir dans le pays pour investir - Etre valorisé par les gens du quartier - Travailler légalement et gagner de l argent - Aider la famille - Avoir une meilleure formation - Apprendre une autre culture Le débat s engage entre les participants, suscitant témoignages, questionnements et opinons passionnées. Ces échanges sont filmés par les jeunes eux-mêmes. En effet, la vidéo est un outil de la Recherche-Action. Or la Recherche commence par chacun des jeunes du groupe, et au sein du groupe lui-même, à partir de ses propres 7

8 connaissances. Les pluies d idées et débats au sein du groupe sont un moment essentiel de la Recherche-Action, permettant aux jeunes d apprendre à construire une pensée en argumentant et en sachant écouter les autres. Filmer ces moments peut être un moyen de garder en mémoire ces moments essentiels d échange et de réflexion, qu on pourra reprendre au moment d analyser les informations recueillies qui viennent valider ou réfuter les hypothèses A partir de la formulation des questions et hypothèses du groupe, la vidéo est également un outil parmi de recueil d information. On choisira donc la vidéo quand cela est approprié, puis la forme que la vidéo prendra pour recueillir ces informations : - Jeux de rôles filmés pour analyser les représentations qu on les membres du groupe d un thème ou d une situation. - Construction d une fiction (scénario, mise en scène, distribution des rôles) qui permettra aux jeunes de représenter des situations qu ils connaissent mais qu ils ne peuvent pas filmer «en direct». - Parodies d images de films ou de publicités - Interviews approfondies d une personne en particulier - Interviews spontanés de type «micro-trottoir» Dans ce cas là, la vidéo n est pas une fin en soi, mais un outil pour répondre à l objectif d analyse du contexte et de proposition de changement social. 4. Initiation à la lecture de l image Des publicités tirées de magazines sont distribuées aux participants qui, par groupes de deux, répondent aux questions suivantes : - Qu est-ce vend l image? - Comment le produit est-il montré? - A qui s adresse cette publicité? - Quel message la publicité véhicule-t-elle? Que veut-on nous faire croire? Le groupe discute de l idée de bonheur associée à la consommation des objets cités dans les publicités, aux normes de beauté imposées, aux préjugés et aux rôles sociaux véhiculés par la publicité, selon la nationalité, le sexe, l âge, etc. Cet exercice d analyse de l image est essentiel pour décoder les messages des médias, souvent reçus de façon inconsciente, afin de les rendre conscients et donc de pouvoir se positionner. Il s agit également de savoir quels types d images le groupe veut-il construire à son tour? Reproduire les rôles et préjugés véhiculés par les images des médias locaux, nationaux et internationaux, ou construire des images véhiculant un message différent, reflétant une réalité propre aux jeunes? De façon plus générale, l image d un objet n est pas l objet lui-même, mais une représentation de cet objet, influencée par les idées de la personne qui le montre. C est pourquoi il est important que nous ayons nos propres critères sur les choses, par exemple 8

9 lorsque l on regarde la télévision. Nous ne devons pas accepter toutes les informations d un bloc, parce que ce qui nous est présenté n est pas toujours vrai à 100%. L image est une interprétation de la réalité. L image joue avec nos sens et nous aussi, nous pouvons «jouer» avec les sens d autres personnes pour leur déclarer ce que l on souhaite à travers des images. 5. Préparation des vidéos Les participants se divisent en deux groupes, en fonction du territoire où des personnes à interviewer ont été identifiées au préalable. Chaque groupe réalise son story-board, en discutant et décidant de la façon de filmer ces personnes dans leur contexte, et des questions à leur poser, selon ce que l on veut dire et montrer. L image doit s expliquer par elle-même, être compréhensible pour quelqu un d extérieur au groupe. On insiste sur l importance de reformuler les questions et les hypothèses de la rechercheaction en questions concrètes et précises, facilement compréhensibles pour des personnes extérieures au groupe, sur la différence entre questions fermées et ouvertes. Il est primordial de préparer préalablement le sujet et les questions qui intéressent le groupe, d anticiper certaines réponses pour pouvoir rebondir et approfondir, tout en ayant la capacité d être ouverts à l imprévu et de savoir écouter la personne interviewée pour pouvoir rebondir, questionner pour approfondir ses propos, etc. Un groupe ira à Pikine interviewer quatre personnes, afin de recueillir leur témoignage et/ou opinion sur l émigration. 9

10 Mr Sow : un émigré revenu dans le quartier et qui a investi dans un commerce - Pourquoi est-il parti? - Comment vivait-il? - Avait-il des amis espagnols? - Parlait-il l espagnol? - A-t-il ressenti du racisme ou s est-il senti bien accueilli? - Pourquoi est-il revenu? - Quel message à ceux qui veulent émigrer et aux Sénégalais qui sont à l étranger? - Comment se sent-il dans la société sénégalaise après avoir séjourné en Espagne? Mme N Diaye : l entendre parler de l émigration en tant que mère de famille - As-tu un fils qui a émigré? - si oui quand, où, comment, pourquoi? - si non, accepteriez-vous que votre fils puisse émigrer dans l avenir? pourquoi? - Quelles sont les retombées au niveau de la famille? - As-tu participé à son départ? - Comment t es-tu sentie au moment du départ? - Y a-t-il un vide (nostalgie)? - Comment se passe son séjour? - Quelle est ton opinion sur la migration? - Quel message aux jeunes qui veulent émigrer? Ismaela Fall : un jeune qui a émigré clandestinement - Peux-tu nous faire le récit de ton projet de migration / voyage? - Qu est-ce qui t as motivé à partir? - Quels ont été les dangers? - Pourquoi es-tu revenu? - Es-tu prêt à repartir? - Quel message pour les jeunes? L autre groupe ira à Rufisque au local de l association Bokk Xalate. Le groupe discute donc de l intention de cette vidéo et de la notion de migration. En effet, le mot est synonyme de voyage en wolof, et lorsque l on parle de migration, on se réfère à n importe quel type de déplacement. La discussion a donc comme but de clarifier la notion : partir étudier, participer à une rencontre de jeunes ou à une formation, partir en vacances, n est pas le même sens qu un projet migratoire, qui implique de quitter le pays en ne sachant pas quand sera le retour, avec un but économique, celui d aider sa famille en lui envoyant de l argent. L hypothèse du groupe est finalement que : la migration a un côté positif et un côté négatif, ce qui sera vérifié à travers les questions posées à des enfants pendant un atelier de peinture pendant lequel ils dessineront leur représentation de l émigration, ainsi qu à des personnes du quartier qui connaissent le thème ou ont vécu une expérience migratoire. 10

11 II- Dimanche 21 octobre 1. Prise des images Chaque groupe se rend dans les quartiers pour rencontrer les personnes à interviewer. Les différents rôles sont distribués entre tous les participants : prise des images, prise du son, interview. Les groupes doivent faire face aux imprévus : personnes identifiées non disponibles, témoignages imprévus, nouvelles questions à poser. 2. Visualisation des images et préparation au montage De retour au centre d hébergement, chaque groupe visionne les images prises sur l écran de la caméra en notant les images à couper au montage : contre-jour, erreur de micro, plan trop long, image mal cadrée, etc. Chaque groupe réfléchit également au titre à donner à son film et aux musiques qu il souhaite insérer. S engage une discussion en plénière sur le tournage des images. On souligne le lien entre caméra et pouvoir : manier la caméra donne du pouvoir. Celui-ci est entre les mains du groupe, qui doit apprendre à la gérer en respectant les personnes filmées. Il faut toujours demander l autorisation des personnes que l on veut filmer, leur expliquer la démarche et ce que l on fera des images, revenir leur projeter la vidéo terminée. De la même façon, c est au groupe de décider qui il veut filmer, en fonction des objectifs du travail de Recherche-Action, et ne pas céder aux appels de personnes déjà détentrices de pouvoir et qui voudront utiliser la possibilité d être filmées pour le renforcer. 11

12 Ainsi, le groupe doit toujours avoir conscience de ce qu il veut faire et ce qu il est en train de faire par rapport à ses propres objectifs, à savoir ce qu il veut apprendre et ce qu il veut montrer. 3. Montage des images A tour de rôle, chaque groupe d initie au montage des images sur le logiciel Pinnacle 2. Avec l ordinateur connecté à Internet, en cliquant sur l icône «aide» du logiciel, on peut trouver des réponses aux questions et problèmes techniques. Le montage demande du temps. Il faut se familiariser petit à petit avec les éléments techniques, en essayant, en se trompant, en recommençant Le montage d une vidéo est un moment de réflexion et d échange. En effet, les images sont un support pour la réflexion et l analyse d un thème et/ou d une situation et le choix des images doit être argumenté et négocié au sein du groupe : pourquoi choisit-on de garder cette image plutôt qu une autre lors du montage, que veut-on dire/montrer, pourquoi? Quand nous utilisons une caméra, nous choisissons de montrer une petite partie de réalité. C'est-à-dire que nous choisissons ce que nous pensons devoir être montré. Il faut donc toujours se demander : qui prend la décision de laisser ceci ou cela dans une vidéo ou pas, et pourquoi? Ainsi, une discussion intéressante a lieu sur la possibilité de supprimer une image d ordures, donnant une «mauvaise impression» du quartier. Le groupe se demande alors ce qu il veut montrer : la réalité ou une réalité embellie? Les images de l Europe que l on voit à la télévision et qui nous font rêver, sont-elles aussi la réalité, toute la réalité ou une réalité embellie, avec des images qui ont été coupée au montage? 4. Projection de vidéos des équipes du réseau «Quartiers du Monde» Pendant que l un des groupes réalise le montage de sa vidéo, l autre visionne la vidéo collective du réseau sur les Discriminations. Le film est analysé et commenté par les participants, tant sur le fond que sur la forme, soulignant en particulier toutes les possibilités qu ont utilisées les autres équipes pour réaliser leurs images : - Interviews approfondies - Micro-trottoir - Dessin animé - Fiction jouée par les jeunes - Conversation au sein du groupe - Témoignages masqués

13 On remarque que le fait d analyser les images des autres nous interroge sur notre propre réalité : quelles sont les différences, quelles sont les similitudes de contextes, de situations, de relations, de préjugés, etc.? L un des intérêts du travail en réseau est de se confronter eu regard de l autre, et de poser son regard sur l autre, afin de s interroger soi-même et sa propre société. III- Lundi 22 octobre 1. Projection et analyse des vidéos Chaque vidéo est projetée en plénière. Les membres du groupe qui ne l a pas réalisée expliquent ce qu ils ont compris et font des commentaires de façon à pouvoir améliorer collectivement la pratique. Puis les personnes ayant participé à la réalisation livrent leurs impressions et leurs explications. 2. Evaluation de l atelier On procède l évaluation de l atelier lors d un tour de table où chacun s exprime sur les questions suivantes : Qu est-ce que j ai appris/aimé? Toucher la caméra, enregistrer des images, interviewer La partie théorique Qu est-ce que je n ai pas aimé / Quelles ont été mes difficultés? Le montage, à cause du manque de temps et de concentration La fatigue quand on tient la caméra Est-ce que j ai envie de travailler la vidéo? Comment? Poursuivre la formation Etre journalise Travailler en collectif Difficulté de concentration Faire des recherches sur d autres thèmes Poser des questions, parler avec les gens Faire des vidéos pour des personnes qui ne sont pas Le montage Analyser le message des images Les exercices pratiques Manier la caméra est une grande responsabilité Préparer les questions allées à l école Faire des vidéos sur les activités de l association (enfants et jeunes travailleurs) Lancer des messages Faire passer nos vidéos sur la chaîne de TV communautaire de Pikine AGR 13

14 3. Pistes de travail Ensemble, jeunes, facilitateurs et formatrices proposent alors les pistes de travail suivantes à court terme : - Transmettre les connaissances acquises aux autres jeunes n ayant pas pu participer à la formation - Continuer le travail de montage des vidéo afin d en raccourcir la durée - Projeter les vidéos aux personnes interviewées et à la communauté - Traduire les vidéos en français afin qu elles puissent être visionnées par les autre équipes du réseau - Trouver un financement local pour l achat d un ordinateur uniquement consacré au montage - Contacter une personne ressource qui puisse accompagner les jeunes à l utilisation du logiciel de montage. A moyen terme, les jeunes proposent d organiser des formations auprès d associations locales. Ces formations qui pourraient être rémunérées, permettraient de valoriser l expérience des jeunes, de renforcer leur autonomie tout en transmettant le savoir acquis. 14

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