Gestion, contraintes, innovations et perspectives dans le domaine de la gestion de l eau des piscines publiques

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1 Journées d Etude Nationales, 21 mars 2012 Gestion, contraintes, innovations et perspectives dans le domaine de la gestion de l eau des piscines publiques Serge Lucas, directeur de la piscine sports loisirs de Cesson Sévigné, Président de l ANDIISS Bretagne Bertrand Poitou, directeur des sports de Joué les Tours, Vice-Président de l ANDIISS

2 Plan de l intervention 1) Contraintes et qualité des eaux de piscine 2) Les techniques employées pour le traitement de l eau 3) Innovation et réflexion sur le traitement et la gestion de l eau, cas particulier de la piscine de Cesson Sevigné et autres exemples

3 1) Contraintes et qualité des eaux de piscine a) Les contraintes réglementaires de traitement (Annexe1) b) Éléments influençant la qualité de l eau (Annexe 2) - les effectifs présents - l activité proposée - la saison - l hygiène des locaux et des baigneurs

4 2) Les techniques employées pour le traitement de l eau a) Le recyclage b) La filtration (annexe 3) 1. Filtre à sable 2. Filtre à diatomée c) La désinfection/chloration (annexe 4) 1. Le chlore 2. L ozone (annexe 5) 3. Le PHMB d) La déchloramination 1. Lampe à Ultra Violet

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6 JEN 2012, gestion, contraintes, innovations, perspectives dans le domaine de la gestion de l eau des piscines publiques Filtre à sable Ozonateur Filtre à diatomée Lampe UV

7 3) Innovation et réflexion sur le traitement et la gestion de l eau, cas particulier de la piscine de Cesson Sevigné et autres exemples a) Ultrafiltration b) Billes de verre polarisées c) Récupération des eaux des analyseurs d) Récupération de chaleur sur le circuit d eau usée e) Pompe à débit variable f) Déchloration de l eau à l air g) Tour de striping : limitation THM (TriHaloMéthane)

8 ULTRAFILTRATION Description du principe L ultrafiltration est un ensemble de module de filtration supplémentaire et de désinfection des eaux de lavage Bac tampon Retour bassin ou bac tampon Egout

9 ULTRAFILTRATION Avantages Réduction de l eau d appoint et récupération des eaux de lavage d où un gain d énergie Temps d amortissement court Exploitation entièrement automatique Double barrière antivirus L appareil est également compatible avec l eau salée des bassins de piscine Intervalle de récupération est auto-optimisé Structure compacte, peu encombrante Inconvénients Prévoir un bas tampon complémentaire Investissement aux alentours de 40k Difficile à adapter dans le cadre d une restructuration d équipement Exemple(s) : En service dans la piscine de Pornic (44)

10 BILLES DE VERRE POLARISÉES Principe Des billes de verre polarisées sont utilisées en remplacement du sable pour la filtration de l eau La polarisation des billes, par son magnétisme, favorise la capture des particules d impuretées Avantages Une eau beaucoup plus transparente Des lavages de filtres plus espacés Économie d eau et d énergie Inconvénients Cout d achat de cette masse filtrante Obligation de remplacer les crépines des fonds de filtre Peu de retour dans le temps sur la fiabilité du produit Exemple(s) : Piscine de Carpiquet à proximité de Caen (14), Chevreuse (78)

11 RECUPERATION DES EAUX DES ANALYSEURS Principe Réemployer l eau servant aux analyses obligatoires des eaux de baignades Avantages Economie d eau (1 litre/mn par appareil de mesure soit 540 m3 par an à Cesson Sévigné) Économie de chauffage Inconvénient peu Exemple(s) : Piscine de Cesson Sévigné

12 RECUPERATION DE CHALEUR SUR CIRCUIT D EAU USÉE Principe Préchauffage de l apport d eau neuve par échange thermique avec le circuit d eau usée Avantages Gain énergétique Inconvénients Mise en œuvre et cout de l installation Exemple(s) : Piscine de Levallois (cf annexe)

13 TOUR DE STRIPING : LIMITATION DES THM Principe Aspiration de l eau présente dans les bacs tampon, puis pulvérisation de celle ci dans une colonne (réacteur) dans laquelle de l air est propulsé. Cette action, cumulée avec une extraction de l air vers l extérieur permet d éliminer en grand nombre les THM présents initialement dans l eau.

14 TOUR DE STRIPING : LIMITATION DES THM Extraction extérieur Eau pulvérisée Bac tampon Air pulsé Retour vers filtration

15 TOUR DE STRIPING : LIMITATION DES THM Avantages Amélioration du confort des usagers et des personnels Installation simple même sur des piscines existantes Réduction de l adduction d eau neuve Inconvénients Rejet en extérieur des THM (atténué cependant par la présence de filtre à charbon actif) Cout de l installation Exemple(s) : Piscine de Cesson Sévigné (35)

16 DECHLORAMINATION DE L EAU A L AIR Principe Récupération des eaux allant à l égout dans des bassins de décantation à l air libre, une succession de trois bassins permet de déchlorer cette eau en 72h Avantages Economie sur les taxes à la contribution du retraitement des eaux usées Réemploi de l eau : arrosage espace vert, nettoyage urbain, réutilisation pour les sanitaires de la piscine Faible cout d investissement Rapide retour sur investissement Inconvénients Difficile à mettre en œuvre dans un équipement déjà en place S assurer d une bonne maitrise du chlore Exemple(s) : Piscine de St Lô (50)

17 Pour prolonger nos échanges et consulter cette présentation et les annexes Serge Lucas Bertrand Poitou

18 Annexe 1 Textes de référence

19 Gestion de l eau au quotidien Code de la santé publique - Articles L à L Article L Légifrance (Modifié par Ordonnance n du 23 février art. 7) Sont déterminées par décret les modalités d application du présent chapitre relatives aux eaux de baignade, et notamment : 1 Les règles sanitaires auxquelles doivent satisfaire les eaux de baignade en fonction notamment de la nature, de l usage et de la fréquentation des installations, et suivant qu il s agit d installations existantes ou à créer ;

20 ANALYSE DES EAUX DE PISCINE 1.CONTROLE DE LA CHLORATION 2.A. CHLORE ACTIF 3.B. CHLORE LIBRE 4.C. CHLORAMINES 5.D. CHLORE TOTAL : ACIDE HYPOCHLOREUX + HYPOCHLORITE + CHLORAMINES 6.POTENTIEL HYDROGENE (PH) 7.APPORTS D'EAU NEUVE

21 Article D L'eau des bassins des piscines doit répondre aux normes physiques, chimiques et microbiologiques suivantes : 1 Sa transparence permet de voir parfaitement au fond de chaque bassin les lignes de nage ou un repère sombre de 0,30 mètre de côté, placé au point le plus profond ; 2 Elle n'est pas irritante pour les yeux, la peau et les muqueuses ; 3 La teneur en substance oxydable au permanganate de potassium à chaud en milieu alcalin exprimée en oxygène ne doit pas dépasser de plus de 4 mg/l la teneur de l'eau de remplissage des bassins ; 4 Elle ne contient pas de substances dont la quantité serait susceptible de nuire à la santé des baigneurs ; 5 Le ph est compris entre 6,9 et 8,2 ; 6 Le nombre de bactéries aérobies revivifiables à 37 C dans un millilitre est inférieur à 100 ; 7 Le nombre de coliformes totaux dans 100 millilitres est inférieur à 10 avec absence de coliformes fécaux dans 100 millilitres ; 8 Elle ne contient pas de germes pathogènes, notamment pas de staphylocoques pathogènes dans 100 ml pour 90 % des échantillons.

22 APPORTS D'EAU NEUVE 1Article D L'eau des bassins doit être filtrée, désinfectée et désinfectante. L'alimentation en eau des bassins doit être assurée à partir d'un réseau de distribution publique. Toute utilisation d'eau d'une autre origine doit faire l'objet d'une autorisation prise par arrêté préfectoral sur proposition du directeur général de l'agence régionale de santé après avis du conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques.

23 Gestion des apports d eau neuve Art. 1er - Les dispositions suivantes sont applicables aux piscines visées à l'article 1er du décret N du 7 avril Art. 2 - L'apport d'eau neuve au circuit des bassins doit se faire en amont de l'installation de traitement par surverse dans un bac de disconnexion. Toutes dispositions doivent être prises pour éviter la contamination de l'eau des réseaux de distribution par celle des circuits intérieurs des piscines et celles des bassins des eaux usées. Art. 3 - Un renouvellement de l'au des bassins à raison d'au moins 0,03 mètres cube par baigneur ayant fréquenté l'installation doit être effectué chaque jour d'ouverture; cette valeur peut être augmentée par le préfet lorsque les résultats d'analyses font apparaitre que l'eau d'un bassin est de qualité insuffisante. Un ou plusieurs compteurs totalisateurs réservés exclusivement à l'enregistrement des renouvellements journaliers sont installés. Afin de mieux maitriser les apports d apports d eau neuve dans un équipement aquatique La pose de sous compteur par alimentation et par bassin en aval du comptage principal est nécessaire

24 EXIGENCES DE TRAITEMENT (Piscine recevant du public) 1) En l'absence de stabilisant : ph : 6, 9 à 7,7 chlore libre actif : 0,4 à 1,4 mg/l déterminé en fonction du ph et de la teneur en chlore libre (demander la table CIFEC 556 donnant les résultats en lecture directe), chlore combiné : pas plus de 0,6 mg/l de chloramines. 2) En présence de stabilisant : ph : 6,9 à 7,7. Chlore libre déterminé avec DPD1 au moins 2 mg/l, chlore combiné : pas plus de 0,6 mg/l de chloramines. stabilisants : teneur inférieure ou égale à 75 mg/l. EXIGENCE DE RECYCLAGE (Piscines publiques de plus de 240 m2) en 1/2 heure pour les pataugeoires ; (débit en m3/h = volume en m3 multiplié par 2), en 8 heures pour les bassins et fosses de plongée (débit en m3/h = volume en m3 divisé par 8 ou multiplié par 0,125), en 1 h 30 pour les parties des autres bassins de profondeur égale ou inférieure à 1,50 m : (soit débit en m3 = volume des parties concernées des bassins exprimé en m3 divisé par 1,5 ou multiplié par 0,667), en 4 h pour les parties des autres bassins de profondeur supérieure à 1,50 m (débit en m3/h = volume des parties concernées, exprimé en m3, divisé par 4 ou multiplié par 0,25). en 10 minutes pour les spas collectifs et bains bouillonnants Source : doc CIFEC, Piscine publique les 8 étapes

25 Annexe 2 Etude de cas sur la gestion de l eau des piscines faite par l Université Aix Marseille

26 Annexe 3 Document de la piscine municipale de Saint Paul lès Dax expliquant les principes de filtration

27 Annexe 4 Document sur l analyse des eaux de piscine

28 Annexe 5 Ozonation

29 Annexe 6 Exemple : Hygiène piscine DDASS Dordogne

30 Annexe 7 «Degrés bleus» ville de Levallois Chauffage de l eau de piscine par récupération de calories du réseau d eaux usées

31 Annexe 8 Schéma d exploitation

32 vers bac tampon eau de ville 10 injection chlore débitmètre compteur injection acide bac disconnexion clapet 3 refoulement 2 fond 1 bac tampon 8 préfiltre pompe eau non filtrée FILTRE 9 6 voyant égout Schéma d exploitation Vannes ouvertes Vannes fermées dif. manos 800 gr ou 9 et ou 9 et 11 eau non filtrée eau filtrée egout eau de vile égout

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