Mesurer la pauvreté : l apport de l approche par les capabilités. L exemple de l aire urbaine parisienne en 2010

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1 Nombre de signes : Mesurer la pauvreté : l apport de l approche par les capabilités L exemple de l aire urbaine parisienne en 2010 TOVAR Élisabeth, maître de conférences, Université Paris Ouest et EconomiX (UMR 7235) Notule bibliographique Économiste, maître de conférences à l Université Paris Ouest (laboratoire EconomiX), Élisabeth Tovar travaille sur la justice sociale dans la ville et développe des indicateurs spatialisés de mesure du bien-être, de la pauvreté, de la ségrégation et des inégalités. Résumé de l article L approche par les capabilités offre une cadre d analyse particulièrement bien adapté pour mesurer la pauvreté : au-delà des conditions de vie des individus, le bien-être capabiliste est en effet sensible à leur capacité de conversion des ressources disponibles, mais aussi à l éventail des opportunités de vie qui leur sont accessibles et à leur liberté de choix. Il rompt également avec la conception subjective du bien-être couramment utilisée en économie et qui peut conduire à sous-estimer la pauvreté si les personnes pauvres se résignent à leurs conditions difficiles. Dans cet article, nous proposons un exemple critique de mise en œuvre pratique de l approche par les capabilités pour mesurer la pauvreté pour les communes de l aire urbaine de Paris en Introduction Aujourd hui, la pauvreté est perçue comme le produit de carences multiples : faiblesse du revenu et rigueur des conditions de vie, mais aussi difficultés d appropriation des ressources disponibles et limitation des perspectives d avenir des personnes pauvres. Pour mesurer la pauvreté, il ne suffit plus d apprécier le déficit du revenu des personnes relativement à un seuil défini comme acceptable dans leur société : il faut désormais rendre compte d un phénomène complexe et multidimensionnel, ce qui soulève la délicate question de la sélection et de la hiérarchisation des éléments à intégrer dans sa mesure. S appuyer sur l approche par les capabilités (1) d Amartya Sen permet de se placer dans un cadre théorique offrant une définition riche et nuancée du bienêtre particulièrement pertinente dans le cadre de la mesure de la pauvreté, comme on le présentera dans la première partie de cet article. Cependant, dériver des mesures opérationnelles de la pauvreté d un tel cadre théorique ne va pas sans poser de nouveaux problèmes. Dans la seconde partie de l article, on

2 présente un exemple critique d une mise en œuvre concrète de l approche par les capabilités en mesurant la pauvreté des communes de l aire urbaine de Paris en Un cadre théorique riche et flexible pour mesurer la pauvreté L approche par les capabilités possède deux caractéristiques qui la rendent intéressante pour mesurer la pauvreté : le point de vue non subjectif de la mesure du bien-être des personnes et le caractère multidimensionnel du bienêtre capabiliste. Pauvreté réellement vécue vs. pauvreté ressentie : une mesure objective Une première caractéristique essentielle de l approche par les capabilités est de ne pas reposer sur le «ressenti» des individus pour mesurer leur bien-être, rompant ainsi avec l approche traditionnellement utilisée en économie où le bienêtre des individus est défini par leur utilité subjective, c est-à-dire par leur niveau de bonheur ressenti (ou, dans une version plus moderne, par le degré de satisfaction de leurs préférences). Or, parce qu ils obéissent à un principe de réalité, les individus adaptent leurs préférences et leurs aspirations à ce qu ils peuvent raisonnablement espérer obtenir. Ainsi, parce que les pauvres peuvent internaliser la difficulté de leur situation, utiliser une mesure subjective et le «ressenti» des individus pour apprécier leur bien-être risque donc de surestimer le bien-être réel des pauvres. Même si les pauvres peuvent être heureux car résignés à leur condition, estime A. Sen, il faut que l indicateur qui mesure leur bien-être adopte un autre point de vue que le leur afin de capturer la réalité de leur condition. L approche par les capabilités propose un étalon de mesure du bien-être ne reposant pas uniquement sur l utilité subjective, car des éléments décrivent objectivement l existence des individus «du point de vue de la société». Bien sûr, cette posture peut être accusée de paternalisme : qui plus que les individus eux-mêmes peut être légitime pour dire ce qu ils sont et ce à quoi ils aspirent? Comment garantir que les éléments choisis pour décrire «objectivement» le bien-être des individus ne découlent pas de la subjectivité de l évaluateur? Il n y a pas vraiment de réponse à cette critique ; tout au plus peut-on préférer être paternaliste à surestimer le bien-être des pauvres. A. Sen propose pour sa part de lancer un véritable débat citoyen sur la façon d évaluer le bien-être, afin de faire émerger un consensus «objectif» défini au niveau de la société. D un point de vue pratique, on peut remarquer que le fait que les variables statistiques disponibles soient coûteuses à collecter contraint l évaluateur à se contenter, in fine, des informations sur le bien-être les plus valorisés par la société. Un bien-être sensible aux opportunités et à la liberté d accomplir La seconde caractéristique de l approche par les capabilités repose sur sa nature multidimensionnelle qui lui permet d intégrer des dimensions de l existence humaine particulièrement intéressantes pour la mesure de la pauvreté. La première dimension renvoie aux réalisations effectives des individus, que A. Sen mesure dans l espace des «fonctionnements» («functionnings»). Les

3 «fonctionnements» renvoient à la collection des éléments qui décrivent l existence humaine (en anglais, les «beings» et les «doings» des individus) : être heureux, mais aussi être bien nourri, être bien logé Ces fonctionnements dépendent des ressources accessibles aux individus mais aussi de leur inégale faculté de conversion de ces ressources en réalisations, ce qui confère une grande plasticité à l approche. On peut ainsi tenir compte des effets de situations de handicap ou de tabou social sur le bien-être des individus, indépendamment de leurs dotations objectives. C est un élément intéressant pour la mesure de la pauvreté car ce ne sont souvent pas tant les ressources qui font défaut aux pauvres que la capacité de convertir les ressources qui leur sont accessibles en accomplissements réels. La deuxième dimension du bien-être capabiliste est celle de leur matrice des capabilités, c est-à-dire de l ensemble de tous les vecteurs de fonctionnements qui leurs sont potentiellement accessibles. Cette dimension de liberté d opportunité («well-being freedom») est intéressante pour apprécier la pauvreté car celle-ci se caractérise précisément par l enfermement des individus dans un seul mode d existence : à réalisations identiques, on est plus pauvre lorsqu il nous est impossible, ou plus difficile, de choisir un autre destin. Enfin, la liberté de choix («agency freedom») est un second type de liberté qui reflète la maîtrise exercée par les individus sur leur propre destinée. L inclusion de cette dimension permet de rendre compte de l épineux problème des relations de causalité entre la situation des individus et leurs libres choix passés. En quoi faudrait-il remédier à la pauvreté d individus objectivement démunis mais qui auraient choisi leur situation, ou qui en seraient d une façon ou d une autre responsables? Inversement, dans le cas d une sobriété véritablement choisie, peut-on tolérer d améliorer les réalisations effectives des individus contre leur gré? L intérêt de l approche par les capabilités n est pas tant de résoudre le conflit potentiel entre réalisations et liberté de choix, mais de fournir un cadre qui permet de l expliciter et où les gains et les pertes obtenus dans ces deux dimensions peuvent se compenser pour donner une image nuancée du bien-être individuel. 3. Mesurer la pauvreté capabiliste : l exemple de Paris Si la finesse théorique de l approche par les capabilités la rend séduisante pour définir ce qu est être pauvre, sa mise en œuvre pratique pour mesurer la pauvreté est loin d être aisée. Comment trouver des indicateurs statistiques pour apprécier les capacités de conversion des ressources disponibles ou, pis encore, mesurer l étendue des existences potentiellement accessibles à chaque individu? Par construction, l appareil statistique ne peut que collecter des données sur ce que les individus accomplissent, et il faut se contenter d inférer les deux autres dimensions du bien-être capabiliste des seuls fonctionnements réalisés : mettre en œuvre l approche par les capabilités entraîne nécessairement une certaine trahison de la complexité du cadre théorique. Nous présentons ici à titre d exemple une mesure capabiliste de la pauvreté des communes de l aire urbaine de Paris en La définition du bien-être capabiliste utilisée est spatialisée, en ce sens qu elle accorde une attention particulière au rôle de la localisation dans la ville sur les trois dimensions du bien-être capabiliste. Nous reprenons, de manière simplifiée, le cadre proposée

4 par Élisabeth Tovar (2008, 2012) et amélioré par E. Tovar et Lise Bourdeau- Lepage (2013). Le choix des indicateurs statistiques Les données communales utilisées sont issues du Recensement Général de la Population (INSEE), de la Base Permanente des Équipements (INSEE) et des données locales INSEE-DGI sur les revenus fiscaux communaux médians par unité de consommation. Il s agit bien sûr proxies statistiques fortement contraintes par les données disponibles à l échelon communal. Les réalisations effectives sont appréciées à l aide de trois indicateurs, qui renvoient aux fonctionnements «être bien rémunéré», «être bien employé» et «être bien logé». Le revenu médian de la commune par unité de consommation résume classiquement le niveau de vie général de la population. C est aussi l indicateur traditionnellement utilisé pour rendre compte du niveau d utilité des individus (2) ; La qualité de l emploi de la population est simplement mesurée à l aide de la proportion des salariés résidents employés en contrat à durée déterminée ou titulaires de la fonction publique ; La qualité du logement (résidences principales) de la commune est appréciée de manière composite, avec la proportion de propriétaires parmi la population, la proportion d habitations dotées de sanitaires, la proportion de maisons individuelles et le nombre de pièces moyen par habitation. Pour mesurer la liberté d opportunité, on utilise des éléments des fonctionnements réalisés que l on estime raisonnablement pouvoir influencer la richesse et la diversité des existences potentielles alternatives des habitants des communes étudiées. Le niveau d éducation médian de la commune est un indicateur souvent mobilisé dans les transcriptions empiriques de l approche par les capabilités ; On utilise également la diversité sociale (catégories socio-professionnelles) des résidents de la commune, mais aussi des actifs travaillant sur son territoire ; l argument est que vivre dans un environnement divers et côtoyer des individus différents de soi améliore la perception des possibilités qui s offrent aux individus, et joue donc un rôle positif sur leur liberté d opportunité. On apprécie la diversité des opportunités de vie offertes par les communes en mesurant les divers services aux particuliers et aménités sportives culturelles et commerciales par habitant (3). Plus la ville offre de ressources commerciales, sanitaires, administratives, juridiques, sportives ou culturelles, plus elle favorise la diversité et la richesse des existences potentielles vécues par ses habitants. Enfin, la liberté de choix est appréciée à l aide du droit de vote politique des habitants et leur capacité à être mobiles dans l espace de la ville. La proportion de la population des communes qui possède le droit de vote capture le degré de maîtrise des habitants sur le destin collectif de la

5 société et, en retour, sur les règles qui leur seront appliquées. Il s agit d une mesure basique mais fondamentale de la liberté de choix ; Le deuxième indicateur insiste sur le caractère spatialisé de l existence humaine et apprécie la possibilité pour les individus de s extraire de leur environnement local afin de s approprier les ressources fournies par l aire urbaine. Cette dimension essentielle de mobilité est simplement captée par la proportion d habitants ayant accès à une voiture dans leur ménage et par la présence ou non d une gare de réseau ferré dans leur commune. Agrégation des indicateurs statistiques dans un indice unique Au total, nous obtenons 8 indicateurs qui reflètent les trois dimensions du bienêtre capabiliste. Sans entrer dans les détails techniques de sa mise en œuvre (4), nous présentons les étapes à suivre pour obtenir un indicateur de pauvreté dit «multidimensionnel» qui résume cette information en un niveau de pauvreté global pour chaque commune de l aire urbaine de Paris. La première étape est de rendre commensurables tous les indicateurs collectés afin de pouvoir agréger dans un même indice des informations aussi différentes que le niveau de diplôme médian et le revenu de la population. Ensuite, il faut choisir la formule mathématique à de l indicateur parmi les nombreuses possibilités proposées dans la littérature. Nous choisissons ici la version multidimensionnelle de l indicateur de pauvreté classique de Foster, Greer et Thobecke (1984). Cet indicateur multidimensionnel, développé par François Bourguignon et Satya Chakarvarty (2003), peut simplement se lire comme une moyenne pondérée «améliorée» des dimensions du bien-être. Une troisième étape consiste à choisir le poids relatif des différentes dimensions du bien-être et à décider si l on accepte qu elles puissent se compenser. Dans cet exemple, nous choisissons de pondérer les trois dimensions du bien-être capabiliste de la même manière et de ne permettre qu une faible compensation entre elles. Enfin, la dernière étape, commune à tout calcul de pauvreté, est celui du choix du seuil en-deçà duquel on considère qu un individu (ici, une commune) est pauvre. Dans cet exemple, comme dans l appareil statistique européen, on estime qu une commune est pauvre dans une dimension donnée du bien-être capabiliste si son score est inférieur à 60% de la médiane des communes de l aire urbaine de Paris dans cette dimension. Résultats : une pauvreté moins intense mais plus diffuse La Figure 1 présente les niveaux de pauvreté capabiliste et monétaire des communes de l aire urbaine de Paris en Si l on compare avec l approche monétaire standard, on perçoit certes toujours nettement la zone très défavorisée centrée en Saint-Denis, mais les différences sont notables pour le reste de l'aire urbaine.

6 Figure 1. La pauvreté des communes de l aire urbaine de Paris en 2010 Pauvreté capabiliste Pauvreté monétaire Source : calculs de l auteur sur données INSEE et DGI. Traitement statistique et cartes réalisés sur R.

7 De façon frappante, les communes à faible revenu de la périphérie lointaine ne sont plus perçues comme pauvres à l'aune capabiliste. À l'opposé, l'approche par les capabilités révèle au cœur de l'aire urbaine une pauvreté moins intense mais plus diffuse : traversant désormais Paris par l'est, la zone pauvre empiète sur des portions non négligeables des Hauts-de-Seine et s'étend, à l'est, jusqu'à Bussy-Saint-Georges. Le fait qu il existe des écarts entre les deux approches est prévisible : si les éléments qui le constituent ne sont pas parfaitement corrélés, l étalon de mesure capabiliste, plus riche, a de grandes chances de capturer des facettes de la pauvreté qui restent sous le «radar» de la seule mesure monétaire. L approche par les capabilités permet d identifier plus finement les zones souffrant de niveaux élevés de pauvreté, mais elle apporte aussi la possibilité de nuancer la nature de cette pauvreté, notamment via le degré de compensation mutuelle que l'on accepte pour les dimensions du bien-être : c est ce qui se produit ici pour les zones de la périphérie de l aire urbaine, où les faibles scores dans la dimension «réalisations effectives» sont compensés par de meilleures performances dans les deux autres dimensions du bien-être capabiliste. Cette possibilité de décomposer la mesure de la pauvreté en éléments de nature différente fait tout l intérêt pratique de l approche par les capabilités. L approche quantitative et pleinement agrégative présentée ici permet de contraster ses résultats avec l approche traditionnelle fondée sur le revenu, mais elle permet aussi le déploiement d autres techniques d analyse des données comme la construction de typologies des communes pauvres. 4. Conclusion La complexité et sa plasticité de l'approche par les capabilités en font un outil bien adapté à la mesure de la pauvreté. Cependant, lors de sa mise en œuvre concrète, sa richesse même soulève de nombreuses questions : comment rendre compte de la diversité des existences potentielles avec des indicateurs statistiques ne capturant que peu d aspects des existences vécues par les individus? Quel degré de compensation est-il légitime de tolérer entre ce qu un individu réalise et sa liberté d accomplir? Chaque mise en œuvre singulière de l approche par les capabilités suppose une réponse tout aussi singulière à ces questions. L absence de «recette» automatique pour la mise en œuvre de l approche pour les capabilités pourrait être perçue comme une limite insurmontable à la diffusion de cette approche. Cependant, il n est pas sûr qu une telle «formule magique» soit souhaitable, bien au contraire : avec A. Sen, on pourrait argumenter que c est justement le caractère «asymptotique» de cette approche et la nécessité de l adapter, de façons argumentée, au contexte étudié qui en garantissent une utilisation pertinente et raisonnée. Bibliographie Bourguignon F., Chakravarty S., 2003, «The Measurement of Multidimensional Poverty», Journal of Economic Inequality, vol. 1, n 1, p Foster J., Greer J., THorbecke E. (1984) «A Class of Decomposable Poverty Measures», Econometrica, vol 52, n 3, p Sen A., 2010, L Idée de justice, Paris, Le Seuil.

8 Sen A., 1993, Éthique et économie, Paris, PUF. Tovar E., 2012, «Paris, une ville ségrégée? Une approche capabiliste», in Bourdeau-Lepage L., Repenser la Ville, Economica, Anthropos, Paris, p. Tovar E., Bourdeau-Lepage L. (2013) «Quelle fracture socio-spatiale à l heure du Grand Paris? Le cœur de l Île-de-France à la dérive», Revue d Économie Régionale et Urbaine, n 3. Notes de fin 1 On trouvera dans «L Idée de Justice» (2010) et «Éthique et économie» (1993) une présentation approfondie de l approche par les capabilités. 2 Cela n est pas aussi simpliste qu il n y paraît au premier abord. La monnaie sert en effet d étalon de mesure de la valeur accordée aux biens et services marchands ; dans une situation où ces biens sont rares, les prix monétaires résultent de la confrontation entre l offre et la demande, «traduisant» ainsi les préférences collectives pour ces biens. Utiliser le revenu monétaire pour appréhender le bien-être des individus, c est donc utiliser l étalon de mesure qui sert précisément à réaliser la synthèse de l'agrégation des préférences individuelles dans une société donnée à un moment donné. 3 Sont retenus : les services d action sociale, les médecins généralistes, les centres de santé, les hyper et supermarchés, supérettes et épiceries, les boulangeries, boucheries-charcuteries et poissonneries, les stations-services, les librairies-papeteries, les postes de police et de gendarmerie, les trésoreries publiques, tribunaux et agences de Pôle Emploi et d intérim, les banques, les bureaux de Poste, les plombiers, serruriers, chauffagistes et électriciens et enfin les établissements sportifs et culturels. 4 Pour les détails techniques de la construction de l indicateur, on pourra consulter Tovar (2012) et Tovar et Bourdeau-Lepage (2013).

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