STATIONS D ÉPURATION. Une entreprise de Bayer et LANXESS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "STATIONS D ÉPURATION. Une entreprise de Bayer et LANXESS"

Transcription

1 STATIONS D ÉPURATION Une entreprise de Bayer et LANXESS

2 STATIONS D ÉPURATION Introduction INTRODUCTION Les stations d épuration du Secteur Environnement de CURRENTA sont spécialisées dans le traitement d eaux usées contaminées par des composés organiques. L eau potable est notre aliment le plus important et c est pourquoi nous utilisons l eau avec beaucoup de soin. Nous réduisons sans cesse notre consommation d eau en améliorant nos procédés, nous évitons, partout où c est possible, de polluer l eau que nous utilisons et nous dépolluons les eaux souillées en mettant en œuvre des méthodes extrêmement efficaces, dont certaines sont le résultat de notre recherche. Chaque année, le CHEMPARK de Leverkusen consomme environ 240 millions de m 3 d eau qui proviennent, directement ou indirectement, à 95 % du Rhin. Au cours des dix dernières années, la consommation d eau a nettement baissé alors que la production est restée pratiquement stable. L utilisation responsable de cette ressource vitale qu est l eau a une longue tradition dans le CHEMPARK. Dès 1901, une «commission de l eau» s occupait en effet de cette substance précieuse, à la fois matière première et consommable. Même si nous utilisons aujourd hui les systèmes les plus performants d épuration des eaux usées, nous ne nous reposons pas sur nos lauriers et poursuivons notre recherche afin d améliorer encore l utilisation de cette précieuse ressource. L eau, un élément indispensable pour la chimie L eau est indispensable à la chimie, que ce soit comme composant des produits, comme solvant, nettoyant et réfrigérant, comme vecteur énergétique sous forme de vapeur et, bien entendu, par l utilisation quotidienne qu en font les hommes et les femmes qui travaillent chez nous. Le Secteur Environnement de CURRENTA met en œuvre des méthodes modernes d épuration des eaux usées. 02

3 Les trois quarts de cette eau sont utilisés à des fins de refroidissement par les entreprises de production. Cette eau de refroidissement n entre pas en contact avec les produits et nous pouvons donc la rejeter directement dans le Rhin par un système de canalisations séparé, après l avoir soumise à un contrôle effectué par des services indépendants. Nous pouvons également déverser directement dans le Rhin les eaux usées chargées en minéraux n exigeant pas d être traitées, qui ne contiennent que peu ou pas du tout de souillures organiques, ainsi que les eaux pluviales non polluées. Seulement 10 % environ de l eau utilisée entre en contact avec des produits et doit donc être épurée. Il s agit d eaux usées acides ou alcalines, contaminées par des composés organiques, issues des unités de production, des laboratoires ou des centres techniques, ainsi que d eaux usées provenant des sanitaires ou des cuisines. Ces eaux usées sont soumises dans notre propre station d épuration biologique de Leverkusen-Bürrig à un traitement poussé, après avoir subi des mesures physico-chimiques préalables mises en œuvre sur leur lieu de production et visant à en éliminer les substances qui perturberaient l épuration biologique ou ne sont pas aptes à une élimination biologique. Les eaux usées épurées sont ensuite rejetées dans le Rhin. Le procédé d épuration de l eau Il permet une épuration optimale portant à la fois sur les eaux usées municipales et industrielles. L épuration des eaux usées selon des méthodes modernes se fait en plusieurs étapes successives correspondant aux différentes substances contenues dans l eau : élimination mécanique des matières grossières et du sable (dégrillage, dessablage) ; neutralisation (les eaux usées acides ou alcalines sont neutralisées afin de ne pas perturber par la suite l épuration biologique) ; décantation primaire assurant simultanément la séparation des substances non dissoutes et des substances précipitées lors de la neutralisation ; homogénéisation des qualités d eaux usées différentes ; épuration biologique, pendant laquelle les substances biodégradables sont «consommées» par des bactéries, entraînant le développement de la masse bactérienne ; décantation secondaire séparant les boues biologiques de l eau épurée ; une partie de ces boues biologiques est renvoyée vers l étape d épuration biologique afin de maintenir la concentration en boues à un niveau constant. Le reste des boues est évacué vers l unité de traitement des boues. 03

4 Historique de l épuration des eaux Faits et chiffres Les premiers procédés mécaniques et biologiques d épuration des eaux usées municipales remontent à la fin du XIXe siècle. Le traitement des eaux usées industrielles par des méthodes mécaniques, biologiques et chimiques date du milieu des années 50. Avant, on estimait généralement qu il n était pas possible d épurer par des moyens biologiques les eaux usées contaminées par des produits chimiques Bayer crée une «commission de l eau» sur le site de production de Leverkusen. La pollution des eaux usées produites par l usine fait l objet de relevés mensuels. Entrée en service 1971 : Épuration biologique en bassins 1980 : Épuration biologique en tours : Nouveaux bassins biologiques 1928 Les eaux usées sont analysées régulièrement selon certains paramètres (29 composants). Fonction Épuration d eaux usées contaminées par des composés organiques 1954 Mise en place d un laboratoire d analyse des eaux usées et des effluents gazeux. Principaux groupes Neutralisation, décantation primaire, épuration biologique, décantation secondaire 1958 Bayer AG et EC (Erdölchemie GmbH) construisent la première station d épuration à l usine de Dormagen. Capacité 1,7 million d équivalents-habitants, dont CHEMPARK : 1,4 million d EH Comité de bassin de la Wupper : 0,3 million d EH Faisant suite au projet de 1958, une station d épuration mécanique et biologique des eaux usées est construite dans la partie de l usine de Leverkusen située sur le territoire de Flittard. L expertise issue de cette station a ensuite servi à la construction de la station d épuration collective de Leverkusen, qui traite les eaux usées du CHEMPARK et celles du bassin versant inférieur de la Wupper (comité de bassin de la Wupper). Mise en service de la première tranche d extension (la deuxième étape d épuration actuelle) La station d épuration biologique du CHEMPARK Uerdingen entre en service. Quantités d eau usées Capacité de dégradation Dégradation de l azote CHEMPARK : m 3 /j Comité de bassin de la Wupper : m 3 /j Par temps de pluie : m 3 /j max. Bürrig : (sanitaire, pressage des boues, eaux de lavage issues de l incinérateur, lixiviats) : env m 3 /j 95 % (les 5 % restants sont pris en charge par la capacité d auto-épuration du Rhin) Depuis 1995, la dénitrification et la nitrification permettent de retirer des eaux usées 800 t/a d azote de plus qu auparavant. Réduction supplémentaire de 40 % des composés organiques azotés (cf. nouveaux bassins biologiques) 1978 Construction de la deuxième station d épuration mécanique et biologique au CHEMPARK de Dormagen. Déphosphatation Par précipitation simultanée, concentration de sortie fiable < 0,6 mg/l Deuxième phase d extension de la station de Leverkusen avec les tours d épuration biologique. Le contrat de coopération d épuration collective des eaux usées entre Bayer Industry Services (actuellement CURRENTA) et le comité de bassin de la Wupper est prolongé jusqu à Temps de séjour Alimentation par la galerie Gisela : env. 1,5 h Neutralisation : env. 0,5 h Décantation primaire : env. 3 5 h Stockage : env h Tours d épuration biologique : env h Bassins biologiques I & II : env. 5 8 h 2007 Fin de la première tranche du chantier des nouvelles tours d épuration biologique. Le projet «Épuration biologique en cascade» devrait être achevé d ici 2010 et réduire de plus de 40 % les eaux usées contenant des oxydes d azote. Bassins de décantation secondaire : env. 6 8 h Décanteurs tronconiques : env h Temps de séjour total des eaux usées dans la station d épuration : env. 2 3 jours

5 STATIONS D ÉPURATION La station d épuration de Leverkusen-Bürrig LA STATION D ÉPURATION DE LEVERKUSEN-BÜRRIG Pas à pas : Vue d ensemble des éléments et des processus du circuit d eaux usées. Dégrillage mécanique Les eaux usées biodégradables issues du CHEMPARK de Leverkusen empruntent une galerie de douze mètres de profondeur et de deux kilomètres de long qui les conduit en deux heures à la station d épuration de Bürrig. À leur arrivée à la station, elles sont dégrillées, c est-à-dire débarrassées des matières les plus grossières. Neutralisation Ces eaux usées, issues de la production, sont en général très acides (ph de 1,5 environ). Afin de protéger les bactéries de la station d épuration, on ajoute du lait de chaux, le dosage étant fonction du ph des eaux usées. Les matières minérales (composés de calcium, d aluminium et de fer, etc.) et une partie des matières organiques sont précipitées. Décantation primaire Pendant l étape suivante, la décantation primaire, les produits de précipitation issus du processus de neutralisation et les autres matières solides tombent au fond des bassins et sont séparés par des moyens mécaniques. Les boues de décantation primaire ainsi produites sont collectées avec des boues provenant des autres étapes d épuration (cf. ci-dessous) et dirigées vers le traitement des boues d épuration. Stockage Après le nettoyage mécanique et la neutralisation, les eaux usées sont entreposées dans des cuves tampon, où se produit une compensation de la concentration et de la quantité afin d améliorer la dégradation biologique lors des étapes suivantes. Épuration biologique en tours La conception Les processus d épuration biologique des eaux usées sont comparables à l auto-épuration des cours et plans d eau : les bactéries se nourrissent des matières contenues dans les eaux usées et les transforment, en utilisant l oxygène dissous dans l eau, en dioxyde de carbone, en eau et en biomasse. 04

6 Silo à chaux Bassins de décantation primaire Eaux usées issues de l usine Dégrillage Neutralisation Cuve de stockage Traitement des boues d épuration Flottation Incinération des effluents gazeux Dénitrification Décanteurs tronconiques Sortie Bassins ouverts Épuration biologique Bassins de décantation secondaire Épuration biologique en tours Eaux usées municipales Air Le circuit des eaux usées dans la station d épuration de Leverkusen-Bürrig. Dans les stations d épuration biologique, ce processus s effectue sur un espace réduit et beaucoup plus rapidement que dans la nature. L efficacité des bactéries dépend de leur spécialisation, qui se développe au bout d un certain temps en fonction des substances présentes dans l eau. De plus, les bactéries ont besoin d une alimentation optimale en oxygène, qui est assurée de façon particulièrement efficace par le traitement biologique en tours. Les spécialistes en procédés du Secteur Environnement de CURRENTA ont mis au point une méthode, très économe en énergie, qui permet d incorporer au mélange composé d eau et de boues bactériennes l oxygène de l air nécessaire à la dégradation biologique. Des injecteurs fonctionnant selon le principe de pompes à jet d eau insufflent de l air comprimé dans les tours d épuration. Ces injecteurs sont un élément important de l épuration biologique en tours. Leur utilisation permet en effet de remplacer les grands bassins d épuration à ciel ouvert, d une profondeur de trois à sept mètres, munis de différents systèmes d aération, par des tours couvertes de 30 m de hauteur. Étant donné que les tours, en raison de la colonne de liquide élevée, permettent une utilisation beaucoup plus efficace de l oxygène de l air, il en résulte une production moindre d effluents gazeux. Les effluents gazeux, qui contiennent également des substances organiques expulsées, sont collectés et incinérés dans une unité de traitement thermique spéciale. Cela évite les nuisances olfactives pour l environnement. Décantation intermédiaire Les eaux usées traitées dans les tours d épuration biologique passent par des cyclones, dans lesquels s effectue le dégazage du mélange d eaux usées et de boues, et s écoulent ensuite vers le module de décantation intermédiaire, suspendu en hauteur. C est là que les boues activées et l eau sont séparées. La plus grande partie de la boue activée est reconduite aux tours biologiques par des pompes centrifuges, une partie plus réduite, la boue renouvelée excédentaire, est retirée et dirigée vers le traitement des boues d épuration. Nitrification, dénitrification En plus des bactéries déjà présentes, dégradant les composés carbonés, d autres souches bactériennes sont nécessaires pour traiter les molécules azotées, comme les composés d ammonium. Dans un premier temps, des bactéries nitrifiantes transforment, à des températures supérieures à 10 C et en utilisant de l oxygène, les composés d ammonium en nitrate. 05

7 Lors d un procédé en amont, ce nitrate est transformé en azote moléculaire et s échappe dans l air ambiant. Comme ce processus ne fonctionne qu en l absence d oxygène (anoxique) et en présence de composés carbonés, 80 % des eaux usées s écoulant des tours sont acheminées par pompage vers une cuve séparée. Cette cuve contient très peu d oxygène de l air et suffisamment de composés carbonés issus des eaux usées non épurées qui la traversent avant d être dirigées vers les tours. Ce procédé, appelé dénitrification en amont, permet de retirer chaque année plus de 800 tonnes d azote des eaux usées. Des quantités considérables d azote sont également éliminées avec les boues excédentaires. Déphosphatation Lors de la neutralisation au lait de chaux, une grande partie des phosphates est précipitée et séparée avec les boues de décantation primaire. En outre, les phosphates sont précipités par apport de sels d aluminium et de fer lors des étapes de traitement biologique. Les avantages des tours biologiques Les tours biologiques affichent une série d avantages par rapport aux bassins biologiques plans et ouverts : L injecteur garantit une utilisation optimale de l oxygène incorporé. La réduction de la quantité d effluents gazeux réduit les coûts d incinération de ces effluents. La conception fermée et le traitement des effluents gazeux évitent les nuisances olfactives pour le voisinage. Le système d injecteurs permet d économiser jusqu à 70 % d énergie. Le brassage total des eaux usées et des boues activées est garanti sans mélangeurs mécaniques supplémentaires. Les tours biologiques ne comprennent aucune pièce en mouvement et l installation est donc extrêmement facile à entretenir et a une grande fiabilité de fonctionnement. La conception verticale garantit un contrôle simple et fiable des fuites, évitant toute infiltration inaperçue des eaux usées dans le sol. Les tours biologiques ont un encombrement réduit de 50 à 70 % par rapport aux stations d épuration conventionnelles. Épuration biologique en bassins L eau provenant de la décantation intermédiaire des cuves des tours biologiques est traitée avec les eaux usées de la ville de Leverkusen et des communes environnantes. Cette opération, la deuxième étape biologique, a lieu dans des bassins d activation ouverts, où des aérateurs de surface assurent l introduction d oxygène et le brassage. Avant d être introduites dans les bassins, les eaux usées municipales sont dégrillées, dessablées et décantées dans une station de décantation primaire du comité de bassin de la Wupper. Décantation secondaire Enfin, la boue activée est séparée dans trois bassins de décantation secondaire et dix décanteurs tronconiques puis les eaux usées épurées, surveillées en permanence, sont rejetées dans le Rhin. La boue excédentaire issue de la décantation secondaire est dirigée vers le traitement des boues d épuration. Traitement des boues d épuration Les boues produites par la station d épuration de Bürrig (boues issues de la décantation primaire des eaux usées industrielles et communales et boues excédentaires) sont concentrées, homogénéisées et déshydratées dans des filtres-presses à membrane. Le gâteau de filtration est ensuite éliminé dans notre incinérateur à boues d épuration. Les cendres qui restent après l incinération sont enfouies dans notre décharge. Flottation La flottation est un autre procédé de traitement des eaux usées. Elle consiste à insuffler des bulles de gaz qui adhèrent aux flocons de boue présents dans les eaux usées. Cette augmentation de leur flottabilité les fait remonter à la surface du liquide où ils constituent une couche d écume, le flottat, qui est éliminée. La galerie «Gisela», par laquelle les eaux usées s écoulent du CHEM- PARK à Leverkusen-Bürrig, est praticable.

8 STATIONS D ÉPURATION Contrôle et surveillance CONTRÔLE ET SURVEILLANCE Le Secteur Environnement de CURRENTA mène en permanence de vastes analyses pour garantir le respect les exigences complexes d une élimination durable. 06

9 Les eaux usées brutes, les eaux usées issues des différentes étapes de l épuration et les eaux usées épurées provenant de la dernière étape de traitement font l objet de contrôles réguliers au plan biologique et chimico-analytique afin de garantir la sécurité du fonctionnement de la station d épuration. Les eaux usées épurées sont contrôlées en permanence pour assurer le respect des valeurs de l autorisation de rejet. Nous procédons en outre à des contrôles continus du taux d épuration à l aide d autres paramètres. Les données analytiques de l alimentation et de l évacuation fournissent, avec la quantité d eaux usées, des indications sur la teneur et la composition des matières contenues dans les eaux usées et sur le taux d épuration de la station. On mesure notamment les matières décantables, les paramètres globaux comme la demande chimique et biochimique en oxygène, des substances minérales et organiques importantes ainsi que la salinité. On vérifie en outre en permanence si les eaux usées contiennent des matières pouvant nuire à la capacité de dégradation des boues bactériennes. Nous avons mis en place à l intention des autorités de surveillance un point de contrôle, accessible à tout moment, pour l analyse des eaux usées épurées issues de la station d épuration biologique. Dans le cadre de leur obligation de surveillance, les autorités prélèvent des échantillons dans les eaux rejetées par la station d épuration et contrôlent qu elles respectent bien l autorisation de rejet. Les agents chargés des prélèvements peuvent intervenir à tout moment, même le week-end et la nuit, sans avis préalable. La qualité des eaux usées traitées fait l objet d une surveillance permanente. 07

10 Publié par Currenta GmbH & Co. OHG Leverkusen Allemagne Mise à jour : mars 2010

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6 Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline

Plus en détail

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets

Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

allianceautopropane.com

allianceautopropane.com allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Leading in Welded Bellows Technology. Soufflets à membranes soudées pour de nombreuses applications.

Leading in Welded Bellows Technology. Soufflets à membranes soudées pour de nombreuses applications. Leading in Welded Bellows Technology Soufflets à membranes soudées pour de nombreuses applications. Solutions complètes innovantes et économes avec soufflets à membrane. Aussi personnalisés que l ensemble

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

MUNICIPALITE DE GLAND

MUNICIPALITE DE GLAND MUNICIPALITE DE GLAND Préavis municipal n 56 relatif à l octroi d un crédit pour financer la rénovation des installations de chauffage des vestiaires sis au centre sportif "En Bord". Madame la présidente,

Plus en détail

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle

Plus en détail

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande

Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

VAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire

VAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:

Plus en détail

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables

Solutions pour le calibrage et l entretien Gamme complète d accessoires indispensables Solutions laboratoires Solutions pour les laboratoires Tampons ph Étalons de conductivité Solutions de mesure redox et O 2 dissous Solutions de mesure ISE Solutions de maintenance Solutions pour le calibrage

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes

TITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :

Page : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification

Plus en détail

Gestion moteur véhicules légers

Gestion moteur véhicules légers Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,

Plus en détail

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE

MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Constructions Cadolto.

Constructions Cadolto. La technologie de construction modulaire Cadolto La fascination de la construction modulaire Constructions Cadolto. Constructions Cadolto. La fascination de la construction modulaire La fascination de

Plus en détail

12107 Letellier Ahuntsic-Cartierville (Montréal) H3M 2Z9

12107 Letellier Ahuntsic-Cartierville (Montréal) H3M 2Z9 12107 Letellier Ahuntsic-Cartierville (Montréal) H3M 2Z9 Plan unité (plan 1 de 3) rez de chaussée, 2 e et mezzanine Superficie : 1 860 pi 2 Description : Condo sur 2 niveaux avec mezzanine, 3 cac, terrasse

Plus en détail

Bacs de lavage et équipements de buanderie

Bacs de lavage et équipements de buanderie Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles

Mesure de conductivité on-line. Mesurer Surveiller Régler. Mesure de conductivité on-line. Eaux d égout communales et eaux usées industrielles Mesure de conductivité on-line Mesurer Surveiller Régler La mesure de conductivité est un paramètre reconnu, dont on ne peut plus se passer en analyse moderne des process, des eaux et eaux usées. On utilise

Plus en détail

RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT.

RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT. RECAPITULATIF GENERAL CONCEPTION GENERALE - FIABILITE SECURITE DE FONCTIONNEMENT. Le procédé OXYLAG, est un procédé rustique, efficace, spécialement destiné aux zones rurales. Il se distingue par les caractéristiques

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces

Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Prestations de services d application Solutions pour vos besoins en réparation des surfaces Henkel Votre partenaire en solutions de réparation des surfaces Grâce à de nombreuses années d expérience dans

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Nettoyage et entretien de pistolets de laquage

Nettoyage et entretien de pistolets de laquage Le guide pour un entretien parfait du pistolet de laquage Nettoyage et entretien de pistolets de laquage www.sata.com Les démarches - Un nettoyage de pistolets professionnel Produits hydrodiluables Attention:

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

pour la détermination du COT dans l eau ultra pure être légèrement oxydées, certaines plus que d autres, les pharmacopées prescrivent

pour la détermination du COT dans l eau ultra pure être légèrement oxydées, certaines plus que d autres, les pharmacopées prescrivent Pharma Eau purifiée Perspectives dans l analyse des eaux purifiés 11 News THORNTON Leading Pure Water Analytics SST Test d adéquation du système pour la détermination du COT dans l eau ultra pure La détermination

Plus en détail

Chauffage à granulés de bois

Chauffage à granulés de bois 0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le

Plus en détail

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE

À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE Eau France Le 17 mars 2015 À LA RENCONTRE D UN CHERCHEUR DE FUITE SUEZ environnement s engage pour gérer durablement la ressource Préserver la ressource en eau représente pour SUEZ environnement plus qu

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Premiers secours. Article 36

Premiers secours. Article 36 Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

DISTRIBUTION D EAU POTABLE

DISTRIBUTION D EAU POTABLE Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE

Plus en détail

SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES

SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES SOLO MIDI AVD DUO NETTOYAGE HAUTE PERFORMANCE DE PIECES EN MILIEU AQUEUX EXPERTS DANS LA TECHNOLOGIE, LA CHIMIE ET LE PROCESS DU NETTOYAGE DE PIECES NETTOYAGE EFFICACE DES PIECES MECANIQUES DE PRECISION

Plus en détail

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o

LA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe

Plus en détail

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal

Maximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de

Plus en détail

L analyse chimique du vin avec Metrohm

L analyse chimique du vin avec Metrohm L analyse chimique du vin avec Metrohm Analyse von ph Wert, Gesamtsäure, freie und gesamte schwefelige Säure La titration tactile le 916 Ti-Touch Complément au ph mètre : 876 Manual Titrator Plus Exécution

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d

Plus en détail

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat 2012 Construction éco-citoyenne : l intérêt de chacun, un bienfait pour tous! La Région Martinique a renforcé

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS

LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.

Plus en détail

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)

L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,

Plus en détail

Puissant et écologique à la fois

Puissant et écologique à la fois Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une

Plus en détail

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...

Plus en détail

Immeuble de bureaux Ilot T8 ZAC de Tolbiac Paris 13e

Immeuble de bureaux Ilot T8 ZAC de Tolbiac Paris 13e Immeuble de bureaux Ilot T8, ZAC Tolbiac à Paris R. Ricciotti, O. Gaujard 1 Immeuble de bureaux Ilot T8 ZAC de Tolbiac Paris 13e Rudy Ricciotti Architecte FR-Bandol Olivier Gaujard Gaujard Technologie

Plus en détail

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)

β-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P) bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du

Plus en détail

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS. Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles

Plus en détail

produit La chaudière en fonte monobloc Chaudière basse température et à condensation Weishaupt Thermo Unit-G

produit La chaudière en fonte monobloc Chaudière basse température et à condensation Weishaupt Thermo Unit-G produit Information sur les chaudières fontes au sol La chaudière en fonte monobloc Chaudière basse température et à condensation Weishaupt Thermo Unit-G Weishaupt Thermo Unit G Le chauffage en toute simplicité

Plus en détail

consulting concept know-how equipment products academy service Wetrok Système de dosage

consulting concept know-how equipment products academy service Wetrok Système de dosage consulting concept know-how equipment products academy service Wetrok Système de dosage Le système de dosage Wetrok simple, rapide et sûr Le nouveau système de dosage Wetrok garantit un dosage simple,

Plus en détail

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice

Plus en détail

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,

Plus en détail

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement

Remeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et

Plus en détail

2.0 MegaWattBlock pour parcs solaires

2.0 MegaWattBlock pour parcs solaires The better electric. 391 MWc puissance photovoltaïque construite par BELECTRIC 2011. BELECTRIC est le leader mondial de l étude, la fourniture et la réalisation (EPC) de systèmes photovoltaïques selon

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

Construisons en aluminium pour les générations futures

Construisons en aluminium pour les générations futures Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux

Plus en détail

Énergies renouvelables efficaces économiques durables

Énergies renouvelables efficaces économiques durables EES Jäggi-Bigler AG 4554 Etziken Tel +41 32 686 88 00 www.eesag.ch Niederlassungen 5436 Würenlos Tel +41 56 610 88 00 6317 Zug Tel +41 41 720 22 84 Énergies renouvelables efficaces économiques durables

Plus en détail

M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.

M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires. Sigean le, mercredi 2 novembre 2012 Note Rédaction Jean Claude GOUZÈNE M. FIAMAZZO Bruno, Président du conseil syndical À Copie M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.

Plus en détail

ORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement

ORDRE DU JOUR. La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement. Questions/Réponses. Les travaux de canalisation et leur financement ORDRE DU JOUR La gouvernance, la refonte des statuts et du règlement Le projet de budget Questions/Réponses Les travaux de canalisation et leur financement L éventuel passage en copropriété Conclusion

Plus en détail

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines

Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines Note de présentation du projet de loi n 33-13 relative aux mines La législation minière actuellement en vigueur au Maroc est consacrée par le dahir du 9 rejeb 1370 (16 avril 1951) portant règlement minier.

Plus en détail

Métallerie / Serrurerie

Métallerie / Serrurerie Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail